Religion d'État
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state religion → 
Religion d'État ---- (+ d’infos)
Une religion d'État (également appelée religion officielle) est une religion ou une profession de foi officiellement adoptée par un État. La notion de religion d'État est étroitement liée à ce que les sociologues appellent l'ecclésia, bien que les deux soient légèrement différents. Les religions d'État sont des exemples du fonctionnaire ou gouvernement-sanctionnés établissement de religion , à la différence de théocratie. Il est également possible que a église nationale devienne a établi sans être sous la commande d'État.
Sommaire |
[modifier] Types de religion d’État
D'églises d'État le degré et la nature du support d'État pour la dénomination ou la foi indiquée comme religion d'État peuvent changer. Elle peut s'étendre de la seule approbation et de l'aide financière, avec la liberté pour d'autres fois à la pratique, à interdire n'importe quel corps religieux de concurrence du fonctionnement et à persécuter les palpeurs d'autres sectes. En Europe, la concurrence entre les dénominations catholiques et protestantes pour le patronage d'État au XVIe siècle a évolué le principe cuius regio, eius religio(« les États suivent la religion du prince ») appliqué dans le texte du traité qui a marqué la paix d'Augsbourg , 1555. Dans l'Angleterre le monarque a imposé le cochon dinde Protestantisme, avec se remplaçant le pape, alors que dedans l'Écosse église de l'Écosse devenait Kirk établi en opposition à la religion de la règle. Dans certains cas, un État peut avoir un ensemble de dénominations religieuses État-commanditées qu’il place ; tel est le cas dedans l’Alsace-Moselle dedans la France, après le modèle dedans l’Allemagne. Dans certains les statearouibabouer État-a commandité des organismes religieux sont rencontrées de divers degrés de désapprobation officielle. Dans ces caisses, des religions d’État sont largement vues comme des efforts par l’État d’empêcher des sources alternatives d’autorité.
[modifier] Aspects sociologiques
églises et État se rapportent aux religions traditionnelles d’État comme des dénominations religieux. Les religions d’État tendent à admettre une plus grande variété d’opinion dans eux que des dénominations. Les dénominations rencontrant des divergences de vues principales dans elles-mêmes sont susceptibles de se dédoubler ; cette option n’est pas ouverte pour la plupart des Églises d’État, ainsi elles tendent à essayer d’intégrer des avis différents dans elles-mêmes. Cependant, les Églises d’État se sont divisées, avec les dissidents perdant les avantages de l’appui d’État. église de l’Écosse a dédoublé plusieurs fois dans le passé pour des raisons doctrinales, y compris la signification et l’acceptabilité de l’appui d’État. Tentatives par le monarque d’imposer des évêques sur Kirk mené à se dédoubler au loin du non-établi église épiscopale écossaise. Ses plus grandes ramifications de a rupture de rupture 1843 étaient église libre de l’Écosse et église libre unie de l’Écosse. Ces ramifications ont perdu le statut établi de leur parent, mais puisque 1929 (partiellement) l’église réunie de l’Écosse s’est considérés comme étant "église nationale" plutôt qu’une église établie, comme il est entièrement indépendante de la commande d’État dans les sujets spirituels. Légalement, elle reste établie. Beaucoup de sociologues considèrent maintenant l’effet d’une église d’État comme analogue à privilégier monopole dans la religion. Là où les religions d’État existent, il est habituellement vrai la majorité de résidents sont officiellement considérés des adhérents ; cependant, beaucoup de cet appui est peu davantage que le nominal ; beaucoup de membres de l’Église s’occupent rarement d’elle. Mais l’allégeance de la population vers la religion d’État est souvent assez forte pour les empêcher des groupes religieux de concurrence se joignant. Le statut d’une dénomination en tant que religion officielle n’implique pas toujours que la juridiction interdit l’existence ou l’opération d’autres sectes ou corps religieux. Il tout dépend du gouvernement et le niveau de la tolérance que les citoyens de ce pays prennent pour l’un l’autre. Quelques pays avec des religions officielles ont des lois qui garantissent la liberté de culte, la pleine liberté d’opinion, et les endroits du culte pour tous les citoyens ; et mettez en application ces lois que d’autres pays qui n’ont pas un fonctionnaire ou une religion établie d’État.
[modifier] Séparation
Article détaillé : Laïcité.[modifier] Pays chrétiens
Les États ci-dessous reconnaissent une certaine forme de christianisme comme étant leur religion officielle (par dénomination) :
- Église catholique romaine : Pays qui reconnaissent le catholicisme
- - Argentine
- - Bolivie
- - Costa Rica
- - Salvador
- - Haïti
- - Liechtenstein
- - Malte
- - Monaco
- - une partie des cantons suisses
- - Vatican
- Église orthodoxe orientale : pays qui reconnaissent l’orthodoxie
- Église luthérienne : pays qui reconnaissent le luthéranisme
- Église anglicane : l’Angleterre est le seul pays qui reconnaît l’anglicanisme comme religion d’État
- Églises réformées : quelques cantons de Suisse ont fait de l’Eglise réformée leur religion officielle.
[modifier] Pays islamiques
Pays reconnaissant l’islam comme religion d’État
- Afghanistan
- Algérie
- Bahreïn
- Bangladesh
- Brunei
- Iran
- Irak
- Jordanie
- Koweït
- Libye
- Maldives
- Mauritanie
- Maroc
- Oman
- Pakistan
- Qatar
- Arabie saoudite
- Somalie
- Tunisie
- Émirats arabes unis
- Yémen
- Algérie
- Malaisie
- Arabie saoudite (comme religion d’État sanctionnée)
- Somalie
- Iran (comme religion d’État sanctionnée)
[modifier] Pays bouddhistes
Pays qui reconnaissent le bouddhisme comme religion officielle :
- Bhoutan (Droukpa Kagyu école du bouddhisme tibétain)
- Cambodge (Bouddhisme theravāda)
- Birmanie (Bouddhisme theravāda)
- Kalmoukie, une république de la Fédération de Russie (bouddhisme tibétain - entité bouddhiste unique en Europe)
- Sri Lanka
- Thaïlande (Bouddhisme theravāda)
- Le plus ancien et durable État bouddhiste fut le Tibet (début :792 sous Trisong Detsen, fin : 1959 sous le 14e dalaï lama, Gouvernement tibétain, Gouvernement tibétain en exil (Gelugpa, école du bouddhisme tibétain).
- La Mongolie, la Bouriatie, la Kalmoukie et Tuva sont (ou furent pour certains) aussi des États bouddhistes, culturellement influencés par le bouddhisme tibétain.
[modifier] Autres
- Israël est défini comme un État juif, toutefois le terme "juif" ne se rapporte pas nécessairement à la religion juive. Quoi qu’il en soit, il y a un rabbin officiel et l’État reconnaît par ailleurs, les tribunaux religieux juifs, musulmans et chrétiens.
[modifier] Religions d’État antiques
- Égypte et Sumer : le concept de religion d’État était connu sous les empires d’Égypte et Sumer, quand chaque ville avait son ou ses propres dieux. Plusieurs des règles sumériennes tôt étaient des prêtres de leur dieu de ville de patron. Certains des premiers rois de semi-finale-mythological ont pu avoir passé dans le Panthéon, comme Dumuzid, et quelques plus défunts rois sont venus pour être regardés comme divins peu après leurs règnes, comme Sargon d'Akkad. Une des premières règles à proclamer un dieu pendant son règne réel était Gudea de Lagash, suivi de quelques plus défunts rois de Ur, comme Shulgi. Souvent, la religion d’État était intégrale à la base de puissance du gouvernement régnant, comme en Égypte, où des pharaons ont été souvent considérés comme des incorporations du dieu Horus.
- Empire persan : le zoroastrisme était la religion d’État de la dynastie des Sassanides qui a duré de 226 à 651.
- Ville-État grecque : plusieurs villes grecques avaient un dieu ou des déesses liées à cette ville. Ce n’était pas seulement le dieu de la ville, mais également celui qui recevait des honneurs spéciaux. Dans la Grèce antique, la ville d’Athènes avait Athéna, Sparte avait Artémis, Délos avait Apollo et Artemis, et Olympe avait Zeus.
- Religion romaine et christianisme : à Rome, le bureau du Pontifex Maximus était réservé à l’empereur, qui était souvent reconnu comme un "dieu" à titre posthume, et parfois pendant son règne. Le manque d’adorer l’empereur en tant que dieu était parfois punissable par la mort, comme gouvernement romain cherché pour lier le culte d’empereur avec la fidélité à l’empire. Beaucoup de chrétiens et juifs étaient sujets à la persécution, à la torture et à la mort dans l’empire romain, parce qu’il était contre leur croyance pour adorer l’empereur. En 311 av. J.-C., l’empereur Galerius, sur son lit de mort, a déclaré la liberté religieuse dans tout l’empire romain, se concentrant particulièrement sur la fin de la persécution d’anti-Chrétien. Par édit de Milan de 313, son successeur dont Constantin Ier, avait commuté son patron Apollon Christus, disestablished le paganisme romain, et après il a réorganisé l’église, installation le Ier concile de Nicée, bien qu’il n’ait pas été baptisé réellement jusqu’à plus tard. En dépit d’avoir l’appui populaire considérable, le christianisme n’était toujours pas une religion « officielle » d’État à Rome, bien qu’il ait été dans certains États voisins comme l’Arménie et le royaume d’Aksoum. religion romaine (Hellénisme néoplatonique) a été reconstitué pendant un certain temps près Julien II dit l'Apostat de 361 à 363. Julien ne semble pas avoir rétabli les persécutions du plus tôt les empereurs romains. Le christianisme a été déclaré pour être la religion d’État du l’empire romain dedans 392 par le décret de Théodose Ier.
- Le confucianisme de la dynastie Han et le bouddhisme de la dynastie Sui : En Chine, la dynastie Han (206 av-J.-C. - 220) préconisait le confucianisme comme religion d’État, établissant des essais basés sur les textes confuciens comme condition d’entrée dans le service de gouvernement. Les empereurs de Han ont apprécié l’ordre social qui est un concept central de confucianisme. Le confucianisme continuerait comme religion d’État jusqu’à la dynastie Sui (581 - 618), quand elle a été remplacée près bouddhisme. Néo-confucianisme retourné comme religion d’État autrefois au Xe siècle.
[modifier] États sans religion d’État
Ces États ne professent aucune religion d’État :
- Australie
- Azerbaïdjan
- Belgique
- Canada
- Chili
- France
- Inde
- Japon
- Mexique
- Népal
- Nouvelle-Zélande
- Philippines
- Roumanie
- Singapour
- Suisse fédérale
- Afrique du Sud
- Corée du Sud
- Turquie
- États-Unis
[modifier] Actuelles et anciennes religions d’État en Europe
Note 1: En 1967, le gouvernement albanais fait de l’athéisme d'État, la "doctrine officielle" du régime. Cette désignation est demeurée en effet jusque en 1991.
Note 2: En Finlande, l’Église de Suède demeura l'église officielle jusque en 1809, année où le pays passa de la domination suédoise au joug russe. Devenu grand-duché autonome de la Russie tsariste de 1809 à 1917, la Finlande a maintenu le système luthérien d’Église d’État, et une Église d’État séparé de la Suède, plus tard appelée Église luthérienne évangélique de la Finlande, a été établie. Elle a été détachée de l’État comme entité juridique séparée quand la nouvelle loi d’église est venue pour forcer en 1870. Après que la Finlande ait gagné l’indépendance en 1917, la liberté religieuse a été déclarée dans la constitution de 1919 et une loi séparée sur la liberté religieuse en 1922. Par cet arrangement, l’église luthérienne évangélique de la Finlande a perdu sa position comme église d’État mais a gagné un statut constitutionnel comme église nationale au côté de l’Église orthodoxe de Finlande, dont la position cependant n'est pas codifiée dans la constitution.
Note 3: En Hongrie les lois constitutionnelles de 1848 ont déclaré cinq églises établies sur le statut égal : catholique romain, calviniste, Luthérien, orthodoxe oriental et Unitarien église. Dans 1868 la loi a été ratifiée encore après Ausgleich. En 1895 judaïsme a été également reconnu comme sixième église établie. En 1948 chaque distinctions entre les différentes dénominations ont été supprimés.
[modifier] Voir aussi
- religion civile
- religion politique
- séparation de l'Église et de l'État
