Sare
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Sare | ||
Pays | France | |
---|---|---|
Région | Aquitaine | |
Département | Pyrénées-Atlantiques | |
Arrondissement | Bayonne | |
Canton | Espelette | |
Code Insee | 64504 | |
Code postal | 64310 | |
Maire Mandat en cours |
Jean-Baptiste Laborde 2008-2014 |
|
Intercommunalité | Communauté de communes du Sud Pays Basque | |
Latitude Longitude |
||
Altitude | 27 m (mini) – 881m (maxi) | |
Superficie | 51,34 km² | |
Population sans doubles comptes |
2 184 hab. (1999) |
|
Densité | 42,54 hab./km² | |
Localisation sur la carte départementale
|
Sare est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques et la région Aquitaine.
Son nom basque est Sara. Le nom d'habitant est Saratar.
La commune bénéficie du label des plus beaux villages de France, décerné par une association indépendante visant à promouvoir les atouts touristiques de petites communes françaises riches d'un patrimoine de qualité.
Sare a servi de modèle à Pierre Loti pour Etchezar, le village de Ramuntcho (1897).
Sommaire |
[modifier] Géographie
[modifier] Situation
Sare est une commune de la province basque du Labourd, frontalière avec l'Espagne et à un quart d'heure par la route de la côte basque.
Sare et Ainhoa, conjointement aux deux communes espagnoles de Zugarramurdi et Urdax, composent un territoire transfrontalier, appelé Xareta. À cheval sur la frontière avec l'Espagne, c'est un passage incontournable du Chemin de Saint-Jacques (voie du Baztan), qui part de Bayonne à Pampelune.
[modifier] Accès
Sare est reliée à Saint-Pée-sur-Nivelle par la route départementale D3, à Ascain par la D4, à Vera de Bidasoa (Espagne) par la D406 et le col d'Ibardin (315 m) et à Etxalar (Espagne également) par la D906 et le port de Lizarrietta (507 m).
La commune est également reliée par un service de cars à Saint-Jean-de-Luz.
[modifier] Hydrographie
La commune est traversée[1] par des affluents de la Nivelle, le Tontoloko erreka, l'Uzkaingo erreka, l'Arrayoko erreka, le Galardiko erreka et le Lizuniako erreka et les tributaires de ce dernier, l'Hiruetako erreka (et par les affluents de celui-ci, l'Ourioko erreka et le Tonbako erreka), le Beherekobentako erreka et le ruisseau de Portoua (et par l'affluent de celui-ci, le ruisseau d'Helbarrun[2]).
[modifier] Lieux-dits et hameaux
|
|
[modifier] Communes limitrophes
- Saint-Pée-sur-Nivelle au nord-est
- Ascain et Urrugne au nord-ouest
[modifier] Toponymie
Le toponyme Sare apparaît[3] sous la forme Sares (XIIe siècle, cartulaire de Bayonne[4]).
Le toponyme Haranburua apparaît[3] sous les formes Haramboure (XVIIIe siècle, collations du diocèse de Bayonne[5]) et Haramburua (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[3]).
Le toponyme Helbarrun apparaît[3] sous la forme Helbarren (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[3]).
Le toponyme Istilarte apparaît[3] sous la forme Istillarte (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[3]).
Le toponyme Lehenbizkai apparaît[3] sous la forme Léhembiscay (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[3]).
Le toponyme Olhalde apparaît[3] sous la forme Olhade (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[3]).
[modifier] Histoire
[modifier] Mythologie
Etsai représente le diable, le démon dans la mythologie basque. Il a été représenté plusieurs fois sous la forme d'un dragon.Il habitait la grotte Leiza à Sare où il tenait une école et enseignait en peu de temps les sciences, les arts et les lettres.
Mikelats est un des deux fils de Mari. C'est un être maléfique. Avec son frère Atarrabi, qui est son contraire, symbole du bien moral, ils firent des études à l'école du diable. À la fin des études, ce dernier, en guise de paiement, tirait au sort parmi ses élèves pour en garder un à son service. Mikelats voulait détruire les champs de blé de Sare dont son frère était devenu le curé. Pour contrer son projet de destruction, Atarrabi lui opposa la prière. C'est ainsi qu'il sauva les récoltes des siens.
Zanpantzar est un mannequin de paille fabriqué par les jeunes de Sare le soir du mercredi des cendres. Ils le promènent dans une charrette à travers les quartiers du village, comme s'il s'agissait d'un convoi funèbre où le mort serait Sanpantzar. Quelques jeunes figurent le deuil et les autres vont de chaque côté de la route tenant des chandelles de résine allumées. Arrivés à la place du village ils brûlent le pantin.
[modifier] Histoire moderne
La frontière de 32 km avec le Pays basque sud (villages de Zugaramurdi, Etxalar et Vera) a profondément marqué son histoire. Cela lui attira la considération de Louis XIV, et plus tard les foudres de la Révolution. En 1693, les Saratar mirent en déroute des pilleurs espagnols. Louis XIV octroya au village des armoiries, en cette même année, pour conserver le souvenir de cette action intrépide[6].
Son curé, Axular, transcrivit pour la première fois au XVIe siècle le basque parlé, pérénisant ainsi l'Euskara.
En 1790, Sare fut le chef-lieu d'un canton comprenant les communes d'Ainhoa, Ascain et Sare, et dépendant du district d'Ustaritz.
En 1794, au plus fort de la Terreur, et à la suite de la désertion de quarante sept jeunes gens d'Itxassou, le Comité de salut public (arrêté du 13 ventôse an II - 3 mars 1794) fit arrêter et déporter une partie des habitants (hommes, femmes et enfants) d'Ainhoa, Ascain, Espelette, Itxassou, Sare et Souraïde, décrétées, comme les autres communes proches de la frontière espagnole, communes infâmes[7]. Cette mesure fut étendue à Biriatou, Cambo, Larressore, Louhossoa, Mendionde et Macaye.
Les habitants furent « réunis dans diverses maisons nationales, soit dans le district d'Ustaritz, soit dans celles de la Grande Redoute, comme de Jean-Jacques Rousseau »[8]. En réalité, ils furent regroupés dans les églises, puis déportés dans des conditions très précaires[9] à Bayonne, Capbreton, Saint-Vincent-de-Tyrosse et à Ondres. Les départements où furent internés les habitants des communes citées furent le Lot, le Lot-et-Garonne, le Gers, les Landes, les Basses-Pyrénées (partie béarnaise) et les Hautes-Pyrénées.
Le retour des exilés et le recouvrement de leurs biens furent décidés par une série d'arrêtés pris le 29 septembre et le 1er octobre 1794, poussés dans ce sens par le directoire d'Ustaritz : « Les ci-devant communes de Sare, Itxassou, Ascain, Biriatou et Serres, dont les habitants internés il y a huit mois par mesure de sûreté générale, n'ont pas été cultivées. Les habitants qui viennent d'obtenir la liberté de se retirer dans leurs foyers, demandent à grands cris des subsistances sans qu'on puisse leur procurer les moyens de satisfaire à ce premier besoin de l'homme, la faim. »[10]. La récupération des biens ne se fit pas sans difficulté, ceux-ci avaient été mis sous séquestre mais n'avaient pas été enregistrés et avaient été livrés au pillage.
Le maire de Sare, Martin Dithurbide, assisté de 33 notables, adressa aux autorités une pétition qui décrit les conditions de vie durant cette période de déportation de la population :
« Nés dans une contrée qui avait conservé une ombre de liberté au sein du despotisme (...) avec quelle ardeur n'avons-nous pas couru à l'heureuse révolution qui a rétabli le peuple français dans les plénitude de ses droits ! (...). Nous avons seuls été chargés de construire les barraques qui sont entre Beaugard (Saint-Pé), Ascain et Sare (...). Nous avons employé plus de 3 000 journées pour les retranchements du camp des Sans-Culottes et autres ouvrages publics. Nous avons fourni une quantité immense de briques et de bois de chauffage (...). Toutes les réquisitions en grains, en fourrages, vêtements, contingents d'hommes ont été ponctuellement exécutées (...). Pour comble de tourments, plusieurs de nos jeunes filles ont été invitées par nos satellites à se procurer les moyens de subsister par les prostitutions ; nous les avons vues rapporter à leur mère mourant de faim et de soif, des morceaux de pain de maïs ; elles versaient des larmes dont nous ignorions la cause, mails leurs voyages répétés chaque jour nous ont enfin dévoilé cet affreux mystère et nous avons frémi de désespoir et d'horreur (...). Les biens, meubles et immeubles des habitants de Sare, n'ont été ni constatés ni légalement décrits ; tous nos meubles et effets mobiliers ont été enlevés et portés confusément dans les communes voisines. Au lieu de les déposer dans des lieux sûrs, on en a vendu une partie aux enchères, et une autre partie sans enchères. »[11]
Le Père Barandiaran, ethnologue de grande renommée, réfugié à Sare durant la guerre d'Espagne de 1936, fit découvrir au public les grottes de Sare.
Appelée à se prononcer par référendum en 1978, la population de Sare rejeta le projet de création d'une route menant au sommet de la Rhune, ce qui permit au petit train à crémaillère de survivre, et à la région de garder son originalité.
[modifier] Administration
Liste des maires successifs | ||||
Période | Identité | Parti | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1995 | 2008 | Jean Aniotzbehere | ||
2008 | 2014 | Jean-Baptiste Laborde | ||
Toutes les données ne sont pas encore connues. |
[modifier] Intercommunalité
Sare fait partie de neuf structures intercommunales :
- Communauté de communes du Sud Pays Basque
- Syndicat intercommunal Biek-Bat
- Syndicat intercommunal Nive - Nivelle
- Syndicat intercommunal des collèges d'enseignement secondaire de Saint-Jean-de-Luz
- Syndicat mixte Bizi Garbia
- Syndicat mixte Kosta Garbia
- Syndicat pour le soutien à la culture basque
- Syndicat AEP Nive - Nivelle
- Syndicat départemental d'électrification.
Sare fait partie de l'Eurocité basque Bayonne - San Sebastian.
[modifier] Démographie
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
2005 : population provisoire de l'Insee (Source : Insee).
[modifier] Économie
L'activité de la commune est principalement agricole.
Une mine de fer fut en activité jusqu'au XIXe siècle[12].
[modifier] Culture et patrimoine
Parmi les proverbes basques attachés aux villages, Sara, astia (Sare, pays de loisirs) est parvenu jusqu'à nous[13].
[modifier] Patrimoine civil
- Les grottes de Sare sont des grottes ayant été occupées durant la Préhistoire. On y trouve des racloirs et des éclats âgés d'au moins 45 000 ans (Moustérien), et en plus grand nombre des outils (burins et pointes) d'environ 25 000 ans (Gravettien) et des lamelles et grattoirs d'environ 13 000 ans (Magdalénien).
- Le camp retranché de Mouiz[14] date du début du XIXe siècle.
- La maison dite Ihartze Artéa[15] date du XVIIe siècle.
- Le musée du gâteau basque propose une découverte de ce gâteau dans un environnement traditionnel.
] |
[modifier] Patrimoine religieux
- L'origine de l'église Saint-Martin[16] date du XIIe siècle. Elle recèle un ensemble de mobilier[17] (cinq autels, cinq retables, une clôture de chœur, des lambris de revêtement, un escalier, des tableaux et des statues) inventorié par le ministère de la Culture. D'autre part, une plaque (Orai den seroraren eta izanen direnen jar lekua eta hobia - Ceci est le siège et le caveau de la benoîte actuelle et de celles à venir) signale la tombe et la place traditionnelle des benoîtes[18].
- La chapelle de Sainte-Catherine[19] fut bâtie au XVIIe siècle, sur les fondations d'une construction datant de 1481. Elle fut offerte à Napoléon III et à l'impératrice Eugénie le 6 octobre 1867 par le conseil municipal de Sare, qui mit aux pieds de Sa Majesté l'impératrice, en toute propriété la chapelle de Sainte Catherine, en suppliant Sa Majesté de vouloir bien en accepter le don. La commune dans toute son humilité, ne trouverait aucun moyen de reconnaître envers L.L.M.M. tous les bienfaits dont le pays leur sont, et leur seront redevables. Le couple visita la chapelle le 8 octobre 1868, lors d'excursion vers les grottes de Sare.
- Quatorze oratoires sont à découvrir sur les routes de la commune. Des processions religieuses (rogations) eurent lieu jusqu'en 1968[20], chacun des trois jours qui précèdent l'Ascension, pour demander la protection des travaux des champs, et des hommes et des animaux contre les maladies. Des processions semblables avaient lieu le vingt cinq avril, jour de la Saint Marc. L'oratoire consacré à Marie est caractéristique de l'habitat souletin, avec son toit à deux fortes pentes couvertes d'ardoises. Sa construction date des années 1820, et fut initiée par l'abbé Bordaguibel, natif de Sare, et curé de la paroisse de 1820 à 1830.
] |
[modifier] Patrimoine environnemental
La Rhune (905 m) est une destination touristique prisée, grâce notamment depuis 1924 au petit train de la Rhune, un train à crémaillère partant du col de Saint Ignace.
[modifier] Équipements
- Enseignement
La commune dispose d'une écle primaire publique et de l'école privée Saint-Joseph.
[modifier] Personnalités liées à la commune
- Joanes d'Ibarrola, né au XVe siècle à Sare, docteur utriusque juris (docteur en droit civil et canonique), conseiller au parlement de Rouen, puis à celui de Bordeaux, commissaire du roi chargé en autres de la rédaction de la coutume de Soule (1520). Il contribua également à la fondation du collège de Guyenne[21] ;
- Bertrand de Lahet, né au XVe siècle à Sare, fut évêque de Bayonne de 1504 à 1519[22] ;
- Pedro de Axular, né en 1556 à Urdax et décédé en 1644, est un écrivain basque célèbre qui transcrivit pour la première fois au XVIe siècle le basque parlé. Il fut confirmé dans sa possession et jouissance de la cure de Sare par le parlement de Bordeaux, à l'initiative d'Henri IV, cure qui lui était contestée en sa qualité d'étranger[23] ;
- Alberto de Palacio y Elissague, né en 1856 à Sare et décédé en 1939, est un ingénieur et architecte, créateur du pont transbordeur de Portugalete ou « Pont de Biscaye », construit en 1893, inscrit en 2006 au patrimoine mondial de l'Unesco.
- Elissamburu, né au XIXe siècle à Sare, est un capitaine et poête qui a laissé des vers basques, toujours célébres au Pays basque[24] :
Voyez-vous le matin |
Ikhusten duzu goizean |
- Victor Ithurria, né en 1917 à Saint-Jean-de-Luz et décédé en 1944 près de Blain, est un champion régional de pelote basque qui s'illustra durant la deuxième guerre mondiale et se fit notamment remarquer par son habileté à lancer les grenades. Il est inhumé à Sare.
[modifier] Notes
- ↑ Notice du Sandre sur Sare
- ↑ Helbarrun est noté Helbarren par Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- ↑ a b c d e f g h i j k Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- ↑ Cartulaire de Bayonne ou Livre d'Or - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ Manuscrits du XVIIe et du XVIIIe siècles - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ Philippe Veyrin, Les Basques, Arthaud 1975 (ISBN 2 7003 0038 6), page 165.
- ↑ Philippe Veyrin, Les Basques, Arthaud 1975 (ISBN 2 7003 0038 6), page 187.
- ↑ Archives nationales, AF II 133/1014, citées par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque - tome 4, Elkarlanean 2002 (ISBN 2 9131 5646 0), page 300
- ↑ Le maire et l'officier municipal de Capbreton demandèrent des consignes aux Représentants du peuple par un courrier (texte transcrit par P. Haristoy, Les Paroisses du Pays Basque pendant la période révolutionnaire, Pau, Vignancour, 1895-1901, pages 256-257) du 24 ventôse an II (14 mars 1794) pour les 229 détenus sous leur responsabilité :
« 1°) Combien de pain à donner à chaque homme (nous n'avons pas de pain, si ce n'est de la méture) ?
2°) Pouvons-nous consentir à ce qu'ils s'achètent du vin ou autres provisions ?
3°) Nous t'observons que nous n'avons point de viande ;
4°) Pouvons-nous leur permettre d'avoir de la lumière, la nuit, dans un fanal ?
5°) Pouvons-nous permettre qu'ils aient leurs matelas ou paillasses ? Nous leur avons fait porter de la paille pour coucher ;
6°) Pouvons-nous permettre qu'ils sortent deux à deux pour laver leur linge ?
7°) S'il y a des malades, sommes-nous autorisés à les faire sortir de la maison de réclusion pour les traduire dans d'autres pour les faire traiter ? » - ↑ Archives nationales, F11/394, 18 vendémiaire an III (9 octobre 1794), citées par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque - tome 4, Elkarlanean 2002 (ISBN 2 9131 5646 0), page 309
- ↑ Bulletin de la Société des sciences, lettres et arts de Bayonne, année 1935, pages 67 à 70, et Les paroisses du Pays basque, page 263, Gure Herria, années 1930-1932 - Sources citées par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque - tome 4, Elkarlanean 2002 (ISBN 2 9131 5646 0), page 310.
- ↑ Philippe Veyrin, Les Basques, Arthaud 1975 (ISBN 2 7003 0038 6), page 22.
- ↑ Philippe Veyrin, Les Basques, Arthaud 1975 (ISBN 2 7003 0038 6), page 228
- ↑ Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le camp de Mouiz
- ↑ Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la maison dite Ihartze Artéa
- ↑ Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Martin
- ↑ Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le mobilier de l'église Saint-Martin
- ↑ Philippe Veyrin, Les Basques, Arthaud 1975 (ISBN 2 7003 0038 6), page 243.
- ↑ Source : notice affichée sous le porche de la chapelle
- ↑ Source : notice affichée dans l'oratoire dédiée à Marie
- ↑ Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque - tome 2, Elkarlanean 1999 (ISBN 2 9131 5624 X), page 122. L'auteur cite les sources suivantes : Ernest Gaullieur, L'histoire du collège de Guyenne, Paris, Andoz et Fischbacher, 1874 - Le Parlement de Bordeaux, Gure Herria, 1955, n°5, page 347 - Archives municipales de Bayonne, CC 340.
- ↑ Philippe Veyrin, Les Basques, Arthaud 1975 (ISBN 2 7003 0038 6), page 113.
- ↑ Philippe Veyrin, Les Basques, Arthaud 1975 (ISBN 2 7003 0038 6), page 132.
- ↑ Philippe Veyrin, Les Basques, Arthaud 1975 (ISBN 2 7003 0038 6), page 222.