Pamiers

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Pamiers
Carte de localisation de Pamiers
Pays France France
Région Midi-Pyrénées Midi-Pyrénées
Département Ariège Ariège (sous-préfecture)
Arrondissement Pamiers (Chef-lieu)
Canton Canton de Pamiers-Est et de Pamiers-Ouest (Chef-lieu des deux cantons)
Code Insee 09225
Code postal 09100
Maire
Mandat en cours
André Trigano
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Pamiers
Latitude
Longitude
43° 07′ 03″ Nord
         1° 36′ 42″ Est
/ 43.1175, 1.611666667
Altitude 256 m (mini) – 473 m (maxi)
Superficie 45,85 km²
Population sans
doubles comptes
15 118 hab.
(2008)
Densité 292 hab./km²

Pamiers (occitan : Pàmias) est une commune française, la plus peuplée du département de l'Ariège, dans la région Midi-Pyrénées. La ville n'est en revanche qu'une des deux sous-préfectures du département (avec Saint-Girons), la préfecture étant Foix.

Ses habitants sont les Appaméens.

Sommaire

[modifier] Toponymie

L'origine du nom de Pamiers est sujet à controverses.

D'aucuns pensent que ce nom viendrait de pam, unité de mesure usitée en ces contrées. Les nouveaux habitants de la cité bénéficiaient en effet de terres gratuites mesurées en pams, ou a pamez.

Néanmoins, l'explication la plus répandue fait intervenir Roger II de Foix, revenant de la première croisade, plus précisément de la région d'Apamée en Syrie. Comme il est parfois coutume à l'époque pour un chevalier rentrant de croisade, il nomme le château et ses dépendances du nom de ses faits d'armes : Castrum Appamiae. Progressivement, ce nom aurait été donné à la ville. Cette hypothèse paraît appuyée par le gentilé des habitants de la ville (Apaméens).

[modifier] Géographie

Une rue du centre-ville
Une rue du centre-ville

Pamiers est située dans la Plaine de Basse-Ariège, à environ 52 kilomètres au sud de Toulouse, 17 kilomètres au nord de Foix, 61 kilomètres à l'Ouest de Carcassonne et 72 kilomètres à l'Est de Saint-Gaudens. Desservie par le réseau SNCF (ligne Toulouse/Latour-de-Carol), par l'autoroute A66 (Villefranche-de-Lauragais/Pamiers) et la route nationale RN20 (Paris/Espagne), la ville est un important carrefour de communications entre le bas pays toulousain et la vallée de la Haute-Ariège.

La ville longe le cours de la rivière Ariège, dont dérivent les canaux qui enserrent le centre ancien (inscrits depuis juillet 1999 à la liste des Monuments historiques).

[modifier] Héraldique

Blasonnement : Coupé d'un et parti de deux : au premier de gueules au lion d'or, au deuxième d'azur à la fleur de lys d'or, au troisième d'or aux trois fasces de gueules, au quatrième de gueules à l'aigle bicéphale d'or surmontée d'une couronne du même, au cinquième de gueules à la tour crénelée de cinq pièces d'argent, ouverte, ajourée et maçonnée de sable, au sixième d'or à l'ormeau arraché de sinople

Blason de Pamiers

Le blason représente les 6 quartiers de la ville :

  • Le Mercadal (autour de la cathédrale), représenté par le lion qui se trouvait dans les armes d'Arnaud de Villemur, évêque de Pamiers au XIVe siècle.
  • Villeneuve (autour de la place de la République), qui, par sa fleur de lys, symbolise le paréage avec Philippe le Bel en 1308.
  • Les Trois Barris, représenté par la tour (du Boulevard de la Libération jusqu’au marché au bois).
  • Roumengous (du parc municipal jusqu’à l’école de Lestang). Ce quartier est représenté par l’aigle bicéphale, armes des religieux de Saint-Antoine du Viennois, qui fondèrent un hôpital dans le quartier.
  • Le Camp (Autour de l’église Notre-Dame du camp) est représenté par trois fasces, symbolisant les barrières des champs clos.
  • Loumet (seul quartier à l’extérieur des canaux), représenté par un ormeau (« l’olmet » en occitan).
Logo de Pamiers
Logo de Pamiers

[modifier] Histoire

[modifier] Fondation de la cité

Vue sur la vieille ville, à partir du cimetière Saint-Jean
Vue sur la vieille ville, à partir du cimetière Saint-Jean

La présence romaine est attestée notamment par la découverte de monnaies (sur la place du Mercadal où se situe la cathédrale) et d’une statuette en bronze de Mercure remarquablement conservée sur le site du cimetière Saint-Jean. Ainsi on peut, de source sûre, faire remonter la présence romaine au IIIe siècle av. J.-C.. Le 2 mai 1963 on découvre, sur la butte du calvaire, un puit funéraire daté de -50 à -30 ans av. J.-C.[1].

Certains pensent à une fondation beaucoup plus ancienne. La situation géographique, idéale pour la surveillance, les communications et la culture agraire, semble conforter ces assertions.

Au Ve siècle, le roi wisigoth de Toulouse Théodoric Ier laisse à Frédéric, l'un de ses fils, le territoire correspondant à la ville, qui se nommera alors Frédélas (c’est-à-dire « le domaine de Frédéric »).

[modifier] L’histoire de la ville se confond avec celle de Saint Antonin

Saint Antonin, fils de Frédéric, qui évangélise la région. Il est martyrisé en 506 par les Wisigoths restés ariens.

Un sanctuaire est élevé pour abriter les reliques du saint. Ce lieu est antérieur à 961, date du premier document écrit dont nous disposons sur l'histoire de la ville. Il est remplacé peu à peu par une abbaye construite sur l'autre rive et qui prit le vocable de Saint-Antonin après la translation des reliques en 987. La ville est fondée par le comte Roger II de Foix à son retour de croisade et l'aurait nommé en fonction d'une ville syrienne, Apamée.

[modifier] Aux XIIe et XIIIe siècles, une ville en plein essor grâce à la religion

Au XIIe siècle, la ville se développe fortement, malgré la crise du catharisme. Pamiers est alors un fief de l’orthodoxie. En 1207, au château de Pamiers (aujourd'hui rasé), se déroule le Colloque de Pamiers, dernière rencontre entre les cathares et l'Église catholique avant la Croisade des Albigeois.

Le pape Boniface VIII récompense la fidélité de la ville en érigeant Pamiers en évêché en 1295. Il nomme évêque l'abbé Bernard Saisset, et celui-ci devient son principal intermédiaire auprès de Philippe IV le Bel lors du conflit de 1296.

Dès lors, la ville s’enrichit et rayonne grâce à la religion. De nombreux ordres s’implantent à Pamiers. Ces ordres religieux, outre leur mission évangélique, développent aussi l'enseignement, en particulier les Dominicains, mais aussi les Franciscains et les Carmélites.

Par le nombre de ses couvents, Pamiers fut au même rang que Toulouse, Bordeaux, ou même Paris… En voici la liste :

  • Les Dominicains

La première mention des Dominicains, ou Frères prêcheurs date du 16 décembre 1269. Leur couvent était situé sur l'emplacement de l'actuelle maison des œuvres du diocèse, rue des Jacobins, anciennement appelée « carrera dels predicadores » (rue des prêcheurs), signe de leur présence.

  • Les Franciscains

Les Franciscains, (aussi appelé Frères mineurs ou Cordeliers), s'installèrent en 1269 au quartier de Lestang. La Tour des Cordeliers en atteste.

  • Les Carmes

Les Carmes s'établirent en 1311 sur les bords du canal, rue des Escoussières. On pourra noter que l’ordre des Carmélites est encore présent dans la ville. Pour combien de temps, on l’ignore…

  • Les Augustins

On retrouve les Augustins en 1315 au quartier de Loumet. Il reste de leur bâtiment la tour des Augustins, très ruinée, trace sans doute du mur d’enceinte du couvent.

  • Les Clarisses

Les Clarisses (Minorettes), placées sous l'obédience de Saint- François, habitaient dès 1328 rue Major (actuellement rue Gabriel Péri), à côté de la rue Sainte-Claire.

  • Les autres ordres religieux

On relève à Pamiers la présence d'autres ordres religieux comme les Béguins (1358) et les Béguines (1327), les Hospitaliers, les Jésuites, etc…

[modifier] Les guerres de Religion

Les guerres de Religion furent dévastatrices, et la ville en souffrit beaucoup. Les différentes églises sont rasées (hormis les clochers qui servent de tour de guet), l'abbaye ne s'en relèvera pas. En 1629, le prince de Condé prend et ravage la ville, suite à la prise d’armes des Protestants. Les habitants de la cité sont envoyés aux galères[2].

Sous la direction des grands évêques que sont François de Caulet au XVIIe siècle ou Jean-Baptiste de Verthamon au XVIIIe siècle, d’importants chantiers sont ouverts (églises, palais épiscopal (actuelle mairie), présidial (actuel palais de justice), séminaires (actuel lycées du Castella et des Jacobins).

[modifier] La Révolution

Lors de la Révolution, Pamiers est un lieu de tensions extrêmes. En effet, l'ardeur révolutionnaire des Appaméens ne va pas de plein accord avec le siège épiscopal de la ville. Elle va perdre ce siège, tout comme son présidial. Du reste, ce présidial, l'actuel palais de justice, verra les fleurs de lys) de son fronton effacées.

[modifier] Un nouveau moyen d’essor économique : la métallurgie

Au XIXe siècle, l’effort de religion est reporté sur l’industrie naissante. On crée en 1817 l’usine métallurgique de Pamiers, qui devient alors le moteur de la ville. Encore aujourd'hui, l'entreprise fait vivre nombre d'Appaméens et d'Ariégeois.

La ville, "porte d'entrée de l'Ariège", est aujourd'hui en pleine expansion. Cette "renaissance" est dûe notamment par l'ouverture en 2002 de l'A66, la croissance économique (zones industrielles et commerciales en construction), la proximité relative de Toulouse et le cadre de vie : campagne et montagne proche, mais proximité des services également.

[modifier] Démographie

Évolution démographique
(Source : INSEE[3])
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2008
13 297 14 564 14 325 13 345 12 965 13 417 15 118
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Agglomération :

[modifier] Administration

[modifier] Mairie

Icône de détail Article détaillé : Liste des maires de Pamiers.
Liste des maires successifs depuis 1959
Période Identité Parti Qualité
1995 2014 André Trigano UMP
1982 1995 François Bernard Soula PCF
1982 1989 Francis Rouquet PCF
1959 1982 Gaston Bareilles PCF Médecin

[modifier] Enseignement

  • Enseignement public du 1er degré : École maternelle des Condamines, Ecole élémentaire Cazalé, École maternelle et élémentaire des Carmes et du Pont Neuf, École maternelle et élémentaire de Lestang, École maternelle Gabriel Fauré, École élémentaire des Canonges.
  • Enseignement privé du 1er degré : École élémentaire et maternelle Jeanne d'Arc, École maternelle et élémentaire Jean XXIII, Institution Notre-Dame maternelle et primaire, École maternelle et élémentaire Calandreta del Païs de Pamias.
  • Enseignement public secondaire : Collège Pierre Bayle, Collège Joseph-Paul Rambaud, Lycée polyvalent du Castella, Lycée agricole (LEGTA), Lycée d'enseignement adapté (EREA), Lycée professionnel Irénée Cros.
  • Formations Post-bac : BTS force de vente et action commerciale (Lycée du Castella), Institut de formation en soins infirmiers

[modifier] Jumelages

[modifier] Économie

[modifier] Transports

[modifier] Centres commerciaux, vie commerçante

  • Centre commercial développé, avec village Auto (rassemblant un bon nombre de concessionnaires).
  • Ville commerçante par son histoire, le centre de Pamiers reste encore dynamique, malgré la concurrence du centre commercial proche

[modifier] Grandes entreprises présentes sur la commune

  • Usine métallurgique : Plus gros employeur privé du département, elle appartient à l'entreprise Aubert et Duval
Icône de détail Article détaillé : Usine métallurgique de Pamiers.
  • Maestria Peintures : regroupe plusieurs entreprises dans le domaine des peintures (de la peinture pour les bâtiments jusqu'aux peintures spécifiques pour l'aérospatiale).

[modifier] Culture et patrimoine

[modifier] Patrimoine architectural

Église Notre-Dame-du-Camp de Pamiers
Église Notre-Dame-du-Camp de Pamiers
Tour des Cordeliers de Pamiers
Tour des Cordeliers de Pamiers

L’architecture, de style toulousain, fait la part belle à la brique rouge, en incluant parfois la moraine, matériau charrié par l’Ariège. La plupart des bâtiments historiques datent du XVIIe et XVIIIe siècle.

  • Cathédrale Saint-Antonin

Elle fut reconstruite au XVIIe siècle. Portail et sculptures du XIIe siècle. Le buffet de l'orgue date du XVIIIe siècle.

Icône de détail Article détaillé : Cathédrale Saint-Antonin de Pamiers.
  • Église Notre-Dame du Camp

L’église Notre-Dame-du-Camp tient son nom (« Notre Dame des Champs ») de sa situation géographique, hors les murs de la ville. Si la construction de l’église date du XIIe siècle, un agrandissement important incluant la construction de la puissante façade en brique, fut effectué au XIVe siècle. Cette façade est la seule partie qui subsistera après la destruction de l’église par les Huguenots en 1577. L’église que nous connaissons aujourd’hui date donc du XVIIe siècle.

Le portail, classé, fut reconstruit à l’identique en 1870. Plusieurs toiles, des XVIIe et XVIIIe siècles, sont classées.

L’Église abrite un orgue construit en 1860 par Emile Poirier et Nicolas Lieberknecht, classé monument historique pour sa partie instrumentale. Il a été restauré en 2004.

On y trouve également un carillon de 21 cloches.

  • Le Carmel

Le Carmel fut fondé en 1648 par les sœurs de l'ordre de Sainte Thérèse d'Avila qui, anciennement établies à Auch, vinrent s'installer à Pamiers en 1648, et les bâtiments claustraux datent de la fin de ce siècle. Le couvent étant encore occupé, il est rare de pouvoir y admirer les magnifiques charpentes et les belles boiseries datant du XVIIIe siècle, dont le bois nécessaire à la construction fut acheminé par flottaison grâce au marquis de Gudanes dont la fille était religieuse dans le couvent de Pamiers de 1707 à 1784.

La construction de la chapelle débuta en 1704 et s'étala sur plus d'un siècle faute de moyens. Elle est admirablement bien entretenue par les sœurs carmélites. L’aménagement y est original, reprenant l’idée d’une ascension mystique, de l’entrée vers l’autel, situé en haut d’un escalier de marbre, à hauteur des cellules.

À l'extérieur s'élève une tour carrée appelée "tour de l'évêque", construit en 1285 sur les ordres du comte de Foix Roger-Bernard III, après s'être établi dans la ville par la force. Il s'agissait pour lui de marquer son pouvoir à la suite du paréage entre le Roi Philippe IV de France et Bernard Saisset (alors évêque de Pamiers). Comme sentence, Guy III de Lévis, Seigneur de Mirepoix, attribue cette tour à l'évêque, d'où son nom, décision confirmée par le Pape Boniface VIII le 17 février 1299. A la fin du XVIIe siècle, la tour est cédée au Carmel. On ne peut plus admirer ni les trois fenêtres romanes de cette tour, ayant été obstruées par une construction en 1967, ni les murs anciens qui ont disparus sous le crépi.

On notera que les bâtiments du Carmel furent utilisés comme prison sous l’Inquisition comme pendant la Révolution.

  • Tour des Cordeliers

Son érection date de 1512. Elle reproduit à l'identique celle des Cordeliers de Toulouse, clocher octogonal à deux étages. Il existait bien une église avant le XIVe siècle, mais elle fut détruite par les Réformés au printemps 1562. Malgré une reconstruction modeste, elle n'échappa pas à la révolution. La tour seule, gardée comme tour de guet, témoigne de cet ancien édifice.

  • Abbaye de Cailloup

L’Abbaye de Cailloup (dite aussi « Mas-Vieux ») est une chapelle romane construite dans la première moitié du XIIe siècle. Maintenant restauré, le bâtiment a été classé monument historique en 1992.

  • Palais de justice

Commencé en 1665, le Tribunal de Première Instance devint rapidement exigu. On le reconstruisit alors, et il fut terminé en 1777.

  • Lycée du Castella

Aujourd'hui Lycée, il s’agit à l'origine d’un ancien séminaire datant du XVIIIe siècle, construit sous les ordres de François de Caulet, alors évêque de la ville. En 1998, on ajoute un troisième étage à l'édifice.

  • L’actuelle mairie

Datant du XVIIe siècle, et alors siège de l'évêché, le bâtiment devint mairie à la Révolution, retrouva sa destination première en 1823, et fut vendu en 1920 à la Banque de France. Il est redevenu mairie en 1980.

  • La Tour de la Monnaie

Il s’agit de la tour de garde d’un atelier monétaire créé en 1419 par Jean Ier. Cet atelier cessa son activité en 1422, conformément à la décision de Charles VII. Il la reprit au siècle suivant, grâce à la translation de l’atelier monétaire de Toulouse vers Pamiers. Mais en 1596, l’Hôtel des Monnaies de Toulouse rouvre.

  • Porte de Nerviau

Il s’agit du seul témoignage de l’enceinte fortifiée qui séparait les quartiers du Couserans et du Mercadal. Le dernier remaniement de ce bâtiment date du XVe siècle.

  • Les canaux

Les canaux ceinturant la vieille ville sont inscrits à l’Inventaire supplémentaire des Monuments historiques en 1999. Dès le XIe siècle, ils faisaient tourner les nombreux moulins.

[modifier] Patrimoine environnemental

La ville, irriguée par des canaux, abrite une population de canards relativement importante. Pamiers possède également un parc fort bien entretenu, avec des arbres centenaires.

[modifier] Gastronomie

Dans la vallée de l’Ariège, est produit un haricot particulier, nommé « coco de Pamiers ». Il s’agit d’un petit haricot rond qui, bien que présent depuis bien longtemps, avait été supplanté par le lingot. Remis au goût du jour par quelques passionnés (qui ont par la suite créé une confrérie), on peut à nouveau apprécier sa saveur délicate dans la mounjetado, le cassoulet local.

[modifier] Devise

On peut noter deux devises : l'une en latin, l’autre en langue d’oc. On n'en connaît pas l’origine.

  • Incolumen sic me fata reservant (Les destins me gardent ainsi saine et sauve)
  • Que ma feyt me gardo (Qui m’a fait me garde)

[modifier] Personnalités liées à la commune

Gabriel Fauré
Gabriel Fauré

[modifier] Vivre à Pamiers

[modifier] Marchés

  • Marché les mardi, jeudi, et samedi matin
  • Marché aux puces le dimanche matin

[modifier] Le sport

[modifier] La vie culturelle

[modifier] Services culturels

[modifier] Animations

  • Musiques au pays de Gabriel Fauré (musique classique) : mai - juin, septembre – octobre
  • Festival Pro-Musica (musique classique) : août et programmation toute l'année
  • Théâtrales d’Automne : octobre - novembre
  • Appaméennes du Livre : mai

[modifier] Infrastrucure

  • Salle polyvalente du Jeu du Mail : pour théâtre, concerts, spectacles...
  • Salle Aglaë Moyne : ancienne chapelle transformée en salle de 150 places, idéale pour des concerts de musique de chambre, mais aussi pour des conférences.
  • Salle Espalioux : pour conférences
  • Salle des Capelles

[modifier] Festivités

  • Fête annuelle : dernier week-end d’août
  • Fiesta Latino : juillet
  • Fête de la musique : 21 juin

[modifier] Services publics sur place

[modifier] Lieux de culte

  • Religion catholique : Cathédrale Saint-Antonin, Église Notre-Dame-du-Camp, Chapelle du Carmel
  • Religion protestante : Église réformée (temple rue du Rempart du Touronc)

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens internes

[modifier] Liens externes

commons:Accueil

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Pamiers.


[modifier] Sources

  • Divers auteurs, Histoire de Pamiers, syndicat d’initiative de Pamiers - Basse-Ariège, 1981, 631 p.
  • Divers auteurs, Les terres d'Ariège au temps des guerres de religions, 1550-1630, 2007, 144 p. ISBN 978-2-9529670-0-6
  • Jules de Lahondes, Annales de Pamiers
  • Adelin Moulis, Vieux sanctuaires ariégeois, Éd. Lacour/Rediviva, 1972-1995,150 p.

[modifier] Notes

  1. Max et Denise Dejean, Découvrir l'Ariège, Éd. Horwath, p. 10
  2. Pierre Miquel, Les Guerres de religion, Club France Loisirs, 1980, (ISBN 27274207858) p. 433
  3. Pamiers sur le site de l'Insee
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