Neuville-sur-Saône

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45° 52′ 37″ N 4° 50′ 30″ E / 45.8769444, 4.84166667

Neuville-sur-Saône
Pays
drapeau de la France
     France
Région Rhône-Alpes
Département Rhône
Arrondissement Lyon
Canton Neuville-sur-Saône
Code Insee 69143
Code postal 69250
Maire
Mandat en cours
Jean-Claude OLLIVIER
2008-2014
Intercommunalité Communauté urbaine de Lyon
Coordonnées
géographiques
45° 52′ 37″ Nord
         4° 50′ 30″ Est
/ 45.8769444, 4.84166667
Altitudes moyenne :
minimale : 168
maximale : 310
Superficie 547 ha = 5.47 km²
Population sans
doubles comptes
7 062 hab.
(1999)
Densité 1 291 hab./km²
Gentilé Neuvillois
Site http://www.mairie-neuvillesursaone.fr
Carte de localisation de Neuville-sur-Saône

Neuville-sur-Saône est une commune française, située dans le département du Rhône. Ses habitants sont appelés les Neuvillois

Pour les articles homonymes, voir Neuville.

Sommaire

[modifier] Géographie

[modifier] Situation

Neuville est située à 15 kilomètres au nord de Lyon dans le Val de Saône, sur la rive gauche de la Saône qui détermine sa bordure ouest. Bordée à l'est par un relief pentu, un vallon permet l'accès à la côtière de la Dombes (301 mètres d'altitude). En venant du nord, Neuville forme un goulet d'étranglement entre le talus du plateau de la Dombes et les Monts d'Or, fermant ainsi la plaine alluviale dans laquelle coule la Saône. C'est tout naturellement à cet endroit qu'un pont permet de franchir la rivière.

[modifier] Communes limitrophes

[modifier] Communications

Neuville, commune du Grand Lyon, est principalement reliée à la métropole régionale par la route du bord de Saône (D433), qui entre à Lyon par le quartier de Serin, où elle croise la route nationale 6 à l'entrée du tunnel sous la Croix-Rousse. Au trafic local se surimpose un trafic important entre Lyon et le sud-Beaujolais, qui traverse la Saône à Neuville, causant de sérieux encombrements. La D51, sur la rive droite, et l'autoroute A46, qui passe légèrement au nord de la commune, délestent en partie le fort trafic de cet axe.

Les transports en commun desservent abondamment la commune : lignes TCL n° 40 vers Lyon-Pêcherie, 43 vers Genay et Lyon-Vaise, 70 vers la Part-Dieu, 84 vers Vaise par Poleymieux, 97 vers Montanay et Saint-Germain-au-Mont-d'Or ; lignes départementales 184 vers Trévoux et Ars et Perrache, et 260 vers Villefranche.

La voie ferrée Paris - Lyon passe à Villevert, sur la rive droite de la Saône, à un kilomètre du pont de Neuville. La gare d'Albigny-Neuville est desservie par les TER Rhône-Alpes (relations Vienne - Lyon - Villefranche et Lyon - Roanne), qui rejoignent plus de 20 fois par jour en semaine Lyon-Part-Dieu ou Perrache en moins de 20 minutes[1].
L'ancienne gare de Neuville, d'où partaient les trains vers la Croix-Rousse, est fermée, mais la ligne n'est pas abandonnée, et sa réouverture au trafic voyageurs est envisagée.

[modifier] Histoire

Il paraît certain que l'emplacement actuel de Neuville était habité dans les temps préhistoriques. La preuve nous en est donnée par les haches en pierre polie qui furent trouvées dans les terres neuvilloises ; ainsi que par les huit pendants en os de l'époque néolithique d'un collier trouvé dans un pouding calcaire en 1871 par un garçon de 15 ans près du pont de Neuville.
Avant l'arrivée des Romains il existait à Neuville un groupement de Gaulois. Il est probable que ces habitants appartenaient à l'importante tribu des Ségusiaves, composée d'agriculteurs qui occupèrent le pays jusqu'à la conquête de César. La preuve de la présence de ces Gaulois est apportée par la découverte en juillet 1963 d'un cimetière gaulois lors des fouilles exécutées pour la construction d'un lotissement au Monteiller. Ce cimetière se compose de nombreuses tombes parallèles ; les corps y sont disposés face à l'ouest et placés dans une sorte de cercueil en pierres plates recouvert d'une pierre plate sans sculpture.
Des pièces à l'effigie de Marc-Aurèle et Commode ont été trouvées à la Tatière, ce qui permet d'affirmer que le lieu était habité par des Romains vers l'an 200.
La décadence de l'empire romain et l'affaiblissement de sa puissance qui en découla permirent aux Burgondes de s'installer à l'Ouest du Rhin. En 443, l'empereur Aetius leur a permis de s'établir dans la Sapaudia, future Savoie, entre Genève et Grenoble. Peu à peu, sans violence, se faisant octroyer une partie des terres par les autochtones, ils élargissent leur domaine à toute la vallée de la Saône. Notre petite ville devint un fief burgonde.

Les tours du vieux château de Vimy
Les tours du vieux château de Vimy

En 534, le royaume burgonde est partagé entre les fils de Clovis, puis intégré au Royaume Mérovingien en 679, rattaché à la Lotharingie en 842, au royaume d'Arles en 933. « Sans roi, sans duc et sans prince », selon la formule de Pierre le Vénérable, abbé de Cluny, le Lyonnais fut l'objet de luttes incessantes entre les archevêques et comtes de Lyon, les sires de Beaujeu et les comtes du Forez), jusqu'à l'annexion finale par le roi de France en 1320 (traité de Vienne). Après la Paix d'Arras (1435), des troubles persistèrent. Le village fut rasé par des Écorcheurs. Charles VII rétablit l'ordre.

Le petit bourg fortifié, alors nommé Vimy[2], prit de l'importance en 1630 lorsque Camille de Neufville de Villeroy, archevêque de Lyon, y acheta la propriété d'Ombreval, dont il fit une somptueuse résidence (château, pavillon de chasse, nymphée, etc.). Il y fit aussi construire, sur ses propres deniers, une église qui est l'église paroissiale actuelle. En 1665, Vimy fut promu capitale de la province de Franc-Lyonnais. Après la mort de son bienfaiteur, la paroisse de Vimy se rebaptisa Neuville-l'Archevêque.
Au XVIIIe siècle, le développement économique de la région lyonnaise permit à Neuville de devenir un centre d'industrie textile, et d'augmenter considérablement sa population. En 1790, lors de la constitution du département de Rhône-et-Loire, Neuville comptait 1600 habitants, dont 114 ayant droit de vote pour l'élection de la municipalité.
Durant la Révolution, Neuville-l'Archevêque dut changer de nom : ce fut d'abord Marat-sur-Saône, puis Neuville-sur-Saône, son nom définitif.

[modifier] Origine du nom de Vimy

Plusieurs étymologies sont possibles, toutes d'origine latine :

  • de via minima, nom de la route reliant Lyon à Trévoux, qui passait par là
  • de vimen, osier, plante qui pousse volontiers dans les lieux marécageux comme la plaine de la Saône (étymologie due au prof. F. Gaillard, de Dijon) ; à rapprocher du mot vime signifiant osier dans l'Angoumois et environs, selon Littré[3], et du nom du Viminal, une des sept collines de Rome
  • variante : de vismeria, lieu planté d'osier ; on trouve d'ailleurs le nom de Vismeias en 1200[4]
  • de Viminiacum, nom d'une ville de Pannonie dont auraient été originaires les fondateurs de Vimy, installés ici après la victoire de Septime Sévère sur Niger et Clodius Albinus près de Trévoux en 197 ap. J.-C., ou peut-être après la victoire de Probus sur Proculus en 276. Cette dernière étymologie a pour elle un texte de Guillaume Paradin dans son Histoire de Lyon écrite en 1573 :

    « L'Empereur Sévère son père venant en Gaule, contre Clodius Albinus, et estant arrivé à Vimy,(qui est petite et antique, villette près de Lyon) déclara et eslut Bassianus[5] sin fils César pour estre consort de son Empire, et pour luy succéder quelquefois.  »

On trouve d'ailleurs l'appellation Vismiacum dans la charte de Conrad le Pacifique confirmant les possessions de l'abbé Heldebert en 971[4].

La plaque commémorative sur le quai de Saône
La plaque commémorative sur le quai de Saône

[modifier] Anecdote

En juin 1895, la ville voisine de Lyon accueille le Congrès de l’Union des Sociétés photographiques. Le 11 juin, Louis Lumière filme les congressistes descendant de bateau à Neuville-sur-Saone. 24 heures plus tard, le film nommé "Arrivée des congressistes à Neuville-sur-Saône" est projeté dans les Salons Monnier (place Bellecour) devant une assemblée ébahie. C'est le tout premier documentaire d'actualité de l'histoire du cinéma.

[modifier] Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
22 juin 1884 15 mai 1892 M. Jean Christophe Radical-socialiste Chaufournier
15 mai 1892 19 mai 1912 M. Auguste Wissel ___ Manufacturier
19 mai 1912 19 mai 1935 M. M. Elie Guillon ___ Entrepreneur en maçonnerie
19 mai 1935 31 mai 1941 M. Joseph Cicéron ___ Négociant en coton
31 mai 1941 11 octobre 1945 M. René Chassin ___ Ingénieur
11 octobre 1945 9 novembre 1957 M. Jean Oboussier ___ Pharmacien
9 novembre 1957 22 mars 1959 M. Léon Chambaretaud ___ Agent d'Assurance
22 mars 1959 25 mars 1977 M. Paul François Campant ___ Cultivateur
25 mars 1977 6 mars 1983 M. Jean Machurat PS Ingénieur
6 mars 1983 22 mars 2008 M. Paul Laffly UMP Médecin
22 mars 2008 (2014) M. Jean-Claude Ollivier DVD[6] Acheteur d'énergies vertes
Toutes les données ne sont pas encore connues.
Le blason de Camille de Neufville sur le château d'Ombreval, aujourd'hui mairie de Neuville-sur-Saône
Le blason de Camille de Neufville sur le château d'Ombreval, aujourd'hui mairie de Neuville-sur-Saône

[modifier] Blason de Neuville

« D'azur au chevron d'or accompagné de trois croisettes ancrées du même »

Ces armes, empruntées à Mgr Camille de Neufville de Villeroy (1606-1693),ont été adoptées en 1890.
La devise des Villeroy « PER ARDUA SURGO » a été ajoutée en 1984 par la municipalité de Neuville. On peut traduire cette maxime latine par « Debout face à la tempête ».

[modifier] Démographie

Évolution démographique
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
4703 5413 5663 6982 6762 7062 En cours
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

[modifier] Économie

La position géographique et l'importance historique de Neuville-sur-Saône en ont fait le centre économique de la banlieue nord de Lyon.

Au XVe siècle, la navigation sur la Saône était importante, et le port de Neuville constituait une étape à la sortie de Lyon. Du XVIIe au XIXe siècle, les « coches d'eau » reliant Lyon à Chalon y faisaient étape. Avant l'introduction de la vapeur en 1827, les bateaux remontant la Saône devaient être halés par des hommes ou des chevaux. Le chemin de halage est encore présent sur la rive gauche entre Neuville et Trévoux.

En 1832 un pont suspendu type Seguin, technique toute récente, relia Neuville à la rive droite de la Saône (Monts d'Or, Azergues, Beaujolais). Il fut révisé et rehaussé en 1851. Ce pont, d'abord privé, était à péage. La municipalité de J.Christophe le racheta et supprima le péage en 1886. En 1934 il fut remplacé par l'actuel pont en béton armé.

Au début du XIXe siècle se tenaient à Neuville 9 foires annuelles. La « Foire aux échelles » fut celle qui perdura le plus longtemps, mais évolua : de nos jours c'est le marché international de la moto qui rassemble quelques milliers d'amateurs de véhicules à deux roues chaque 1er mai.

Jusque dans les années 1960, les activités neuvilloises étaient surtout liées à la présence d'eau (la Saône, plusieurs ruisseaux, des sources de qualité). A la fin du XIXe siècle, Neuville comptait une dizaine de moulins à eau, et autant de teintureries. Le dernier moulin, dit « moulin neuf de Parenty », créé en 1635, ne disparut qu'en 1965 ; le ruisseau qui l'alimentait fut alors comblé. Les activités de soirie, de menuiserie (fabriques de meubles) disparurent aussi du paysage neuvillois entre 1950 et 1960. Les bâtiments des fabriques installées sur le torrent des Torrières sont toujours debout, mais désaffectés. La Saône hébergea jusqu'en 1945 des plattes, nom donné en région lyonnaise à des pontons flottants amarrés à la rive, où les blanchisseuses travaillaient en eau vive.

Une fonderie de plomb située à l'entrée sud de la ville perdura de 1836 à 1971. Sa « tour à plomb » haute de 45 mètres, qui servait à la fabrication de la grenaille, fut malheureusement abattue. Une importante usine chimique de la société Rhodiaceta, implantée en bord de Saône au nord de la ville, fut, et reste, le seul employeur important sur la commune. Cette activité de chimie fine a été le noyau à partir duquel s'est développée la « zone industrielle Lyon-Nord », qui, débordant largement sur la commune voisine de Genay, s'étend sur 180 hectares et employait en 2003 plus de 3500 salariés dans 76 établissements (chiffres INSEE et agence d'urbanisme)[7].

Par ailleurs, Neuville reste un centre d'importance local, avec présence de la totalité des activités de service (3 pharmacies, 7 coiffeurs !), et de commerce de détail. Le marché du vendredi occupe toute la longueur du quai de Saône, de part et d'autre de l'entrée du pont.

Neuville a une réputation de ville gastronome : la charcuterie Las, installée en 1928, a été le personnage principal d'un film, « le Charcutier de Mâchonville », et les pognes neuvilloises (brioches aux pralines, analogues au gâteau de Saint-Genix savoyard, et donc à ne pas confondre avec la pogne de Romans drômoise) sont recherchées.

[modifier] Sites et monuments

  • Le vieux château de Vimy, dont la première mention historique est une « Charte de clôture du bourg de Vimy » en l'an 1200, a été ravagé par les Écorcheurs en 1443, et ses restes restaurés à la fin du XVIe siècle par Pierre d'Épinac, archevêque de Lyon. Il en reste deux tours (réhabilitées aux XVIII° et XIX° siècles) et quelques murs d'enceinte. En centre ville, on peut voir quelques maisons de construction ancienne en « pierres dorées ».
  • Le château d'Ombreval, construit en 1458 par Monsieur d'Ombreval, fut ensuite en la possession de la famille Buatier, puis acquis en 1586 par Mgr d'Espinac, en communauté avec sa sœur Madame de Gresolles, qui l'aménagea, mais fut contrainte de le vendre à la mort de son frère pour payer ses dettes. Il fut alors acquis par Jean Livet, secrétaire de l'archevêque de Lyon, qui s'était enrichi aux dépens de son maître. Camille de Neuville le racheta en 1630, et en fit une résidence somptueuse. Restauré à la Révolution, il appartint à des propriétaires privés jusqu'en 1961, date à laquelle ses propriétaires, Laurent Vergnais et sa sœur Madame Bertrand, le cédèrent à la commune, qui y a établi la mairie. Le parc du château est devenu parc public. Les douves entourent toujours le bâtiment. La chapelle du château est elle aussi conservée, en parfait état extérieur, ainsi que le nymphée proche, et le pavillon de chasse, dit « pavillon de l'Écho », sur une butte voisine.
  • L'église, construite par Camille de Neuville, consacrée le 8 septembre 1681 et dédiée à Notre-Dame de l'Assomption, est intéressante par sa construction en pierres dorées de Couzon et ses deux lanterneaux inspirés de l'Hôtel-Dieu de Lyon, dont elle est contemporaine. Sa façade, modifiée en 1894 par l'architecte Chaumel à la demande du curé Béraud, la dénature quelque peu. L'abside, semi-circulaire, est en style néo-roman. Le chœur, précédé de deux rangées de stalles surmontées de larges panneaux peints, est décoré d'un ensemble de boiseries sculptées remarquable réalisées au XVIIIe siècle par Michel Perrache, son fils Antoine-Michel Perrache et Jean-Antoine Morand, trois ingénieurs lyonnais. Les stalles ont été classées monuments historiques en 1904 ; les tableaux de l'avant-chœur et les sculptures du chœur, réhabilités en 1962, ont été classés en 1982. L'orgue, qui provient du couvent des Cordeliers de Lyon, a été restauré en 1957, mais ses jeux anciens des XVIIe et XVIIIe siècles ont été conservés[8].
  • Le pont sur la Saône date de 1934 (début de la construction). Il a été construit à quelques mètres en aval de l'ancien pont suspendu type Seguin qui datait de 1832, ce qui explique qu'il n'est pas dans l'alignement de la rue Victor Hugo qui lui fait face. Il a été inauguré par Édouard Herriot, alors président du conseil, le 15 août 1935, jour de la fête patronale de la ville. Une arche a été dynamitée par les Allemands lors de leur retraite le 2 septembre 1944 ; elle a été restaurée à l'identique.

C'est un exemplaire unique de pont en béton en bowstring, à 3 travées. Chacun des 3 tabliers est suspendu à deux arches en béton armé parallèles par des piliers en béton. Les arches parallèles sont solidarisées par des superstrustures elles aussi en béton. Les trottoirs sont situés à l'extérieur des arches. La largeur hoirs tout de l'ensemble st de 12,20 mètres. Pour lui donner une assise suffisamment stable, il a fallu creuser les fondations de l'une de ses piles jusqu'à 38 mètres au-dessous du niveau de la Saône.
Le profil de ce pont à trois arcs a été adopté par la municipalité de Neuville comme logo de la ville.

Les blasons de Neuville et Alpirsbach sur le kiosque du quai de Saône
Les blasons de Neuville et Alpirsbach sur le kiosque du quai de Saône

[modifier] Jumelage

Drapeau : Allemagne Alpirsbach (Allemagne)
Drapeau : Portugal Cabeceiras de Basto (Portugal)

[modifier] Personnalités liées à la commune

commons:Accueil

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[modifier] Voir aussi


Communes de la Communauté urbaine du Grand Lyon

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[modifier] Liens externes

[modifier] Sources historiques

  • Histoire de Neuville-sur-Saône, CD-Rom édité par la Société des amis du vieux Neuville
  • Préinventaire des monuments et richesse artistiques n°11, Neuville-sur-Saône, édité par le Conseil général du Rhône, 2001 (ISBN 2-910865-13-4)
  • Jacques Bruyas, Andre Vylar, Alain Rostagnat : Le canton de Neuville-Sur-Saône pendant la Revolution, Editions Val de Saône, 1989

[modifier] Notes

  1. depuis décembre 2007, la relation est cadencée sur la fréquence moyenne d'un train par heure (voir [1])
  2. aucun rapport avec la commune de Vimy dans le département du Pas-de-Calais
  3. Paul-Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, tome 4, page 6696, éd. Encyclopaedia Britannica, 1978 (ISBN 0-85229-349-6)
  4. ab Préinventaire des mouments et richesse artistiques... (op.cit.), page 5
  5. Bassianus, fils de Septime Sévère, nous est connu sous le nom de Caracalla
  6. M. Laffly ne se représentant pas, M. Ollivier a conduit une liste "sans étiquette" comprenant plusieurs de ses anciens adjoints, et a été élu contre une liste "d'union de la gauche"
  7. site entreprendre.grandlyon.com et site lyon-business.org
  8. Préinventaire des monuments et richesses artistiques... (op.cit.), pp. 64 à 75