Banou Ifren

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Les Banou Ifren ou Ifren (en arabe أَو يفرن , أو إفوراقس، أو إفوراغس، أو إفورن) sont des Berbères de la branche de Madghis ( Medghassen) et des Botr[1]. Ils appartiennent à la grande branche des Zénètes[2] .

Sommaire

[modifier] Mythologie berbère

As d'Hadrien (136), représentant sur l'avers Africa, portant une dépouille d'éléphant, tenant un scorpion et une corne d'abondance, un modius de blé à ses pieds.
As d'Hadrien (136), représentant sur l'avers Africa, portant une dépouille d'éléphant, tenant un scorpion et une corne d'abondance, un modius de blé à ses pieds.
Mosaïque de la Domus Africa de Thysdrus
Mosaïque de la Domus Africa de Thysdrus

Afrique ou Africa provient de Ifren [3] ,Ifri est une divinité berbère[4] [21] [5] [22], le pluriel est Ifren[6] [23]. La traduction ou l'emprunt latin nous donne Africa ( Afrique )qui a été une déesse Berbère avant la conquête des Romains. Dea Africa signifie déesse Africa et représente un symbole à l'époque romaine. Et aussi Ifri désigne les populations locales des Afers. Ifru symbolise les rites dans les cavernes pour protéger les commerçants.La grotte non loin de Constantine à Guechguech et la pièce de monnaie romaine indiquent le mythe de la protection. [7] [24] Ifru était une déesse solaire et en même titre un dieu des cavernes et protecteur du foyer, etc.[8] [25].Ifru est une sorte de Vesta Berbère.

[modifier] Origine et territoire

Ifren était un roi berbère (une divinité). Tous les rois Berbères Gétules ou de la Numidie finissent par "n" comme Medghassen à Batna dans les Aurès en Algérie.

Les Banou Ifren sont Zénète ( Gétules)[26][9] . Ibn Khaldoun fait remonter leur origine à Madghis [10] ( Medghassen ). Ifri a eu un enfant du nom Isliten. Ce dernier a eu plusieurs enfant dont Ifren et Maghraoua, etc. Ifren a pour frère Maghra Maghraoua et Irnyan , tous descendent d'Izliten. Les Banou Ifrens sont une tribu nomade et sédentaire berbère. On les retrouve dans les villes, les plaines et les montagnes au Moyen-Âge. La tribu Ifren ou Ifrenide ou Iforen [11] ou Ifouras ou (Ifuraces [12], [13] [14], [15] [16] [17] ou Afer en latin ) ou Fren ou Wafren ou Yefren ou Yafren ou Yafran descend d'Ifri (le ben a été ajouté par les écrivains arabes, on dira plus tard Ben Ifren ou ifrinide ou Ifren : veut dire en langue berbère Zénète caverne, il est élu et choisi, se cacher ici et le mois d'août ,selon le calendrier berbère tripolitain ( Julien)[18] ).

Les Ifrens étaient concentrés dans la région des Aurès méridionale [19] et dans la Hodna et dans le Zab.[20] Au nord du Maghreb, Les Ifrens ( Hodna, Mzab, Aurès ), les Merendjisa [21], les Beni Wargu ( Hodna), les Beni Wassin ( Les Aurès)[22] [27], les Beni Yala( Ouest et centre de l'Algérie), etc., tous font parties des Beni Ifrens .[23] La majorité des chaouis des Aurès sont issus des Banou Ifren [24] dont les Wassins.[25] [26]

Au sud, plusieurs tribus Touaregs font parties des Banou Ifrens. La grande tribu Azguez est formée par les Banou Ifrens. De Plus, les Banou Ifren du Hoggar sont divisés en 3 souches : les n'Oukiren , les n'Irdad( oiseaux), les n'Ettedel ( tambours).[27]

[modifier] Histoire

Les Banou Ifren ont joué un rôle en Afrique du Nord dans l'antiquité, ils appartenaient aux Zénètes ( Gétules). Ils fondent la Numidie. Ils avaient le contrôle de l'or Ophir depuis le temps des Phéniciens aux Romains [28]

Le nom du continent africain, anciennement Ifriquia( la Tunisie actuellement plus les régions de l'est de l'Algérie), dérive du mot Ifri( caverne , grotte) et Ifren( une caverne en langue berbère) que les Romains lui ont donnait . Par la suite , Afrique sera le nom de tout le continent africain. [29],[30],[31],[32],[33]

Pendant l'antiquité , les B Ifren ont construit la cité Tilimeyen dans la région du Saf Saf à Skikda en Algérie[34]. Au Moyen Âge, les B Ifren ont fondé plusieurs villes au Maghreb central après les Romains : Frenda, Tlemcen(Agadir), Salé, Tedla, Ouargla, N'gaous, Touggourt, Ifren, etc.[35], [36] , [37], [38] , [39] , [40] , [41] , [42], [43], [44], [45]


Les Banou Ifren ont érigé la Kalaa de Tlemcen [46] [47] Les Banou Ifren ont construit la plus ancienne mosquée de Ouargla [48] [49]

À l'époque romaine les Banou Ifren sont divisées en deux parties : les Afris( les gens romanisés) et les maures( les gens qui ne sont pas romanisés)[50] [28]

C'était une tribu amazighe guerrière, des experts en cavalerie ( razzia et fantasia) surtout qu'ils possédaient le Barbe (cheval), le cheval maghrébin. Avant l'arrivée de l'armée musulmane, les Ifrenides ou Ait Ifren expulsèrent les Francs et les Byzantin qui voulaient occuper l'Afrique du Nord.[51]

Les Banou Ifren ont combattu les Vandales à leur arrivée aux régions de l'intérieur de l'Algérie , ce qui a limité la conquête des vandales juste au nord de l'Algérie. les Ifrinides au coté des Zénètes ont pu vaincre et chasser les Vandales.[52]

Et, selon Corripus dans la Johannide, à l'époque de Jean Troglita sous le règne de Justinien entre 547 et 550, Les Beni Ifren faisaient la guerre au Byzantin.[53].D'après plusieurs historiens, dont Ibn Khaldoun, les Banou Ifrens avaient un royaume qui s'entendrait de la Tunisie en passant par les Aurès jusqu'à Tlemcen et Oujda vers le VIIe siècle.Ils ont laissé des vestiges.[54]

Pendant le début de la conquête musulmane, les Banou Ifren ont joué un rôle important dans l'histoire. [55] Ils ont organisé plusieurs révoltes.

Avant et après la mort de Koceila, Les Banou Ifrens furent les premiers à défendre leur territoire aux côtés de la Kahina [56] , de son vrai nom Dihia, descendant également de la tribu Zénète dans les montagnes des Aurès. Les musulmans arabes ont été expulsés de la région. [57]

À l'époque des Idrissides, les Banou Ifren acceptent le traité d'Idriss.

Par la suite, les Banou Ifrens et Maghraouas étaient opposés à tous les gouvernants Omeyyades, Fatimides et Abbassides [58]. Les Banou Ifrens régnaient sur l'ouest de l'Algérie. Et après la conquête des Fatimides, les Banou Ifrens occuperont presque la totalité du Maroc actuel aux cotés des Maghraouas jusqu'à l'arrivée des Hilaliens et des Almoravides[59], [60] .

À cause de la brutalité des Berbères, les Banou Ifrens tenaient un rôle important sécuritaire des deux plus importantes villes d’Andalousie, Cordoue et Séville à l’époque du républicain Ibn Jawhar vers 1021, et de Ronda. [61]

La tribu des Banou Ifrens sera la première dynastie [62] [29] musulmane berbère au côté des Maghraouas, de 740 à 1033 ,à affaiblir les Omeyyades et les Fatimides à la fois. [63]. Il s'en suit une période de désordre où il y avait un éclatement des tribus Zénètes au Maghreb el Aksa entre Maghraouas et Ifrenides.La lutte entre Les Banou Ifren et Bologhine ibn Ziri va être primordiale dans l'histoire. Bologhine ibn Ziri pour contenir tous les Banou Ifren et les Zénètes, il interdira l'élevage des chevaux[64]. Cela entrainera la défaite des Berbères après contre les Hilaliens. Le légendaire Ifuraces, habillé tout en noir sur son cheval pendant la nuit et le jour en gardant toutes les plaines et les abords des montagnes, la cavalerie la plus puissante de toute l'histoire des Berbères est privée dans son âme. Ensuite, les Banou Ifrens et tous les Berbères seront vaincus par les Hilaliens vers 1058.[65], malgré la ténacité du commandant des troupes berbères Abou Soda. Le dernier héros de la bataille historique entre les Hilaliens et les Berbères. [66] Par la suite, les Almoravides formés de Sanhadjas et de Lemtonas ( quelques tribus des Sanhadjas étaient apparentées aux Banou Ifren )[67] attaqueront les Beni Ifrens et les Maghraouas du Maghreb occidental et central pour prendre le pouvoir au Maghreb. Il y aura des milliers de morts du côté des Ifrenides du Maghreb el Aksa et du centre, vers 1057 à 1080. [68] Les Oussin et les Ifrens des Aurès échapperont aux massacres des Almoravides.

En somme, la dynastie des Banou Ifrens s'achève par la montée des Almoravides du Sud. Les Almoravides prendront le pouvoir par la suite au Maghreb durant plus d'un siècle. [69] À l'époque des Almohades, les Banou Ifren reprennent leur autorité au côté des Zénètes dans la région de Tlemcen. Au temps des Dynasties Mérinides et Abdelwadides, les Banou Ifrens étaient sans pouvoir. Au temps des Hafsides, vers 1437 , les Banou Ifrens chasseront les Mérinides du Maghreb central et établiront leur pouvoir à Tlemcen.[70]

[modifier] Hakem ou seigneur de Bni Ifren en Andalousie

Les Qurra seront des seigneurs de Ronda (Ville d'Espagne) en Andalousie. Yeddas il sera un chef militaire des troupes berbères qui étaient en guerre contre le roi chrétien et d'El Mehdi.[71] [30] Le fils de Corra, Abou Nasr ou Nour sera seigneur de Ronda et Séville en Andalousie de 1023 à 1039 et de 1039 à 1054. Le fils de Nour Badis ben Hallal de 1054 à 1057 à Ronda. Abou Nacer de 1057 à 1065 à Ronda.[72]

[modifier] Les Khalifes et les personnages influents et importants de la tribu

Massinissa descend de cette tribu des Afers, son nom en romain était Memmius Afer [73]

Agadir (Tlemcen) fut fondé par le roi de TlemcenAbou Qurra [74] et en même temps calife de la tribu des Banou Ifren en 790. Tlemcen devient la capitale des berbère sufrites des Banou Ifren . La ville fut construite sur les ruines de Pomaria. Abou Qurra invite Idriss I à séjourner à Agadir ( Tlemcen). Idriss I construisit une grande mosquée. [75] [76]

Abou Qurra el Ifrenide (765) est le premier fondateur du Kharidjisme Sufrite[77] en Afrique du Nord. Il avait 350 000 cavaliers sous son commandement. Cela lui a permis de prendre le pouvoir aux musulmans arabes. Le Khalif Kharejiste Qurra (767, 776) a pu rassembler tous les berbères. Qurra a assiégé la ville de Kairouan, là le chef arabe de l'Ifriqiya (Tunisie) mourut. À la fin, Qurra quitte le commandement puisque Yazid- Ibn- Haten brise la coalition berbère. L'expédition que Qurra a entreprise, elle a fait la plus grande perte subie à ce jour des fils d'Ifri. Il en résulte que Abou Qurra connaissait bien les fondements de la religion, cela lui a permis de s'opposer aux chefs tyranniques des Omeyyades et Abbassides. Par la suite, Les Banou Ifren vont abandonner le Kharidjisme graduellement après Abou Yezid. Le Kharidjisme se transformera en Ibadisme avec l'arrivée de Ibn Rustom le Persan. [78]

Le chef Abou Yezid, issu de la tribu des Banou Ifren de la Tunisie, natitf de la ville de Tozeur [79], il soulève les tribus issues des Ifrenides, les fils d'Ouargou et les Merendjisa et tous les Chaouis. [80]

Abu Yezid, dit l'homme à l'âne, aux côtés du chef de la secte Nekkarite Abd-el Hamid- el- Ama , dit l'aveugle, feront la guerre aux Fatimides. La doctrine de ce Berbère farouche et énergique tenait en ces mots : chasser l'étranger, gouverner le pays par des assemblées choisies. C'est toujours l'esprit démocratique et nationaliste qui réapparaît sous le prétexte d'une guerre de religion[81].

Abu Yezid sera mis en prison par les Fatimides puis avec l'aide de ses fils, il s'échappera de la prison. Il rassemblera plusieurs tribus dans l'Aurès chaouis qui combattront à ses côtés.[82]

En 942, Abu Yezid fera la guerre aux Kutama et aux Sanhadja alliées aux Fatimides de Tunis. Par la suite, Abu Yezid occupera Tebessa et prendra toute la Tunisie avec 100 000 hommes. Les Fatimides subiront une grande perte. Al-Mansur, chef des Fatimides, sera tué et les Fatimides finiront par fuir les combats. [83]

Cette guerre a fait des désastres humains sur le sol tunisien et l'Est de l'Algérie. Abu Yezid sera contesté par les autres chefs de tribu et par la population par ses agissements tyranniques. Abu Yezid mourra supplicié en juillet 947à Kairouan. En tout et pour tout, la guerre entre les Karidjites et les Fatimides a duré cinq années. [84]

Les Fatimides aux côtés des Maghraouas feront la guerre aux chefs Ifrenides par la suite. [85]

Abd-Allah-Ibn-Bekkar deviendra chef Ifrinide puis son fils Yala Ibn Mohamed fondera Ifgan ou Frenda.[86]

Les Fatimides refouleront les Bni Ifren vers l'ouest de l'Algérie. Une lutte sans merci est entreprise contre les Ifrenides à cette époque. [87]

En 954, Yala Ibn Mohamed[88] prendra Oran, il fera évacuer les habitants de la ville pour détruire complètement la ville d'Oran en l'incendiant [89] . Yala prendra aussi Tiaret, il établira sa puissance au Maghreb à la fin.

Yala Ibn Mohamed fera par la suite une alliance avec les Fatimides.[90] Un membre des Fatimides Jawhar al-Siqilli ou le Sicilien assassinera Yala Ibn Mohamed à Frenda en 958 en fin de règne. Jawhar al-Siqilli détruira le royaume des Ifrenides, Ifghan. [91]

Yeddou fils de Yala Ibn Mohamed succédera à son père, il conquerra Challa et Fès. Yeddou enlèvera Fès à Ziri-Ibn- Atia de la tribu Maghraoua par deux fois. [92]

Yeddou voulait renverser les Omeyyades. Mais Ziri-Ibn- Atia de la tribu Maghraoua tuera environ 3 000 hommes de Yeddou. [93]

En 993, Yeddou mourut dans le désert.

Habbous [94], le frère de Yala Ibn Mohamed, prendra Tedla et fera la paix en 1015 avec Kairouan.

En 1029, Temim Ibn Ziri, petit fils de Yala Ibn Mohamed succèdera au commandement de la tribu Ifren, il prendra Temsna aux Berghwata. La première défaite des Berghwatas dans l'histoire. La région des Berghwatas est conquise par les Ifrinides. Temim Ibn Ziri construit la mosquée Al Adhem ( المسجد الأعظم في سلا) à Salé.[95]

En 1033, la guerre éclate entre les chefs de tribu Ifrenide et Maghraoua.[96]

Par la suite, Hammama fils de Attia de la tribu Maghraoua fera la guerre au chef tyrannique de la tribu Banou Ifren l'émir Abou -l- Kemal. Ce tyran marquera la décadence de la tribu. Il déclenchera la Guerre sainte dans la région ouest du Maghreb. Il s'attaque aux Juifs et aux Berghwatas. Abou -l- Kemal prendra Fès, mais Hammama de la tribu des Maghraouas sauvera le reste de la population en appelant toutes les tribus Zénétiennes et les Maghraouas pour arrêter le tyran d' Abou -l- Kemal. Ce dernier se réfugiera à Chala et mourut en 1037, après qe Hammamade la tribu des Maghraouas assiège la ville pendant des jours. Abou -l- Kemal marquera la décadence de la tribu et il sera rejeté et tué par les Zénètes. Les Almoravides extermineront presque la totalité des Zénètes et des Barghwata, dans la région de l'ouest du Maghreb.[97]


Le denier calife Abou Soda de la tribu Banou Ifren a combattu les Hilaliens. Il sera le dernier chef de tous les Berbères à mener la guerre contre l'invasion des Hilaliens. Lors de la dernière bataille des Berbères( Zénètes et Hammadides ) contre les Hilaliens, Abou Soda sera décapité. Dès lors, les Sanhadjas et les Zénètes devaient livrer tout le pays aux Hilaliens.[98]

Mohamed el saghir el Ifrini ou Wafrani, grand savant et historien du XVIIe siècle entre 1669 à 1744. Il a écrit plusieurs ouvrages, dont Nozhet-elhâdi traduit par O. Houdas. [99]

L'émir Abd El-Kader un symbole algérien du XIXe siècle. Il prétendait être de la tribu des Banou Ifrens[100],[101]



Précédé par Banou Ifren Suivi par
Fatimides et Omeyades
Dynastie Ifren [102]
Almoravides


Chefs des Ifrens

[modifier] Langue berbère des Banou Ifren

Dans les Aurès, les Chaouis qui sont issu des Ifrens et des Maghraouas parle le Ifren tamazight, langage chaoui [103]

Il ne reste que les peuplades des Banou Ifren de Libye qui ont pu préserver leur langage Berbère Zénète.

Les autres peuplades des Banou Ifren parlent le Zénète, Dahra,Mozabites issu des Maghraouas, Ouarsenis, Ouargla,Aïn Témouchent, etc.

Les Banou Ifren de la Kabylie à Béjaia dans la vallée de la Sommam parlent le Kabyle et à Jijel, parmi c'est tribu: Ait Yala, Ait Kheir, Wassin, Ouled Affer, etc.

Les Banou Ifren de N'gaous, de Mostaganem, de Tlemcen, etc., parlent l'arabe depuis l'avènement du l'Islam au Maghreb. Les Banou Ifren du Tassili ( les Touaregs Azguez) garde le Berbère primitif.[104]

La majorité des Tunisiens issue des Ifren parle en arabe.

Certains généalogistes ratachent Ferdjioua aux Banou Ifren , les Ferdjouas parlent arabe.[105]

[modifier] Notes et références

  1. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionales, traduit par William Mac- Guckin De Slane, Édition Berti , Alger 2003 ( partie concernant les Zénètes
  2. ↑ http://pages.infinit.net/savoir/berbere/genealogie.htm Tribus berbères d'après M. Albarnossé tirées du livre d'Ibn Khaldoun
  3. ↑ (en) JSTOR:The Berbers la relation entre Africa et Ifren
  4. ↑ Archives des missions scientifiques et littéraires De France Commission des missions scientifiques et littéraires, France
  5. ↑ Archives des missions scientifiques et littéraires De France Commission des missions scientifiques et littéraires, France
  6. ↑ Mots De Edmond Rostand
  7. ↑ Recueil des notices et mémoires de la Société archéologique, historique, .. du département de Constantine , Arnolet, 1878
  8. ↑ Les cultes païens dans l'Empire romain De Jules Toutain, page 416, p635 et p636
  9. ↑ Recueil des notices et mémoires de la Société archéologique de la province ... De Société archéologique
  10. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionales, traduit par William Mac- Guckin De Slane, Édition Berti , Alger 2003
  11. ↑ [1]
  12. ↑ [2]
  13. ↑ [3]Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique Septentrionale De Ibn Khaldūn, William MacGuckin
  14. ↑ [4]
  15. ↑ [5]
  16. ↑ [6]
  17. ↑ [7]
  18. ↑ [8] linguistique berbere, Sale Chaker
  19. ↑ http://www.algerie-ancienne.com/livres/histoire/histoire2.htm le livre d'Ernest Mercier en format pdf
  20. ↑ [9]Histoire de l'Afrique septentrionale (Berbérie) depuis les temps les plus ... De Ernest Mercier
  21. ↑ Histoire sur les Merindjissa appartenant aux Ifren
  22. ↑ Les civilisations de l'Afrique du nordBerbères-Arabes Turcs De Victor Piquet
  23. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères, édition berti, 2003, Alger
  24. ↑ http://www.algerie-ancienne.com/livres/histoire/histoire2.htm le livre d'Ernest Mercier en format pdf
  25. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionales, traduit par William Mac- Guckin De Slane, Édition Berti , Alger 2003
  26. ↑ Histoire de l'Afrique septentrionles depuis les temps les plus reculés jusqu'à la conquête farnçaise 1830, p 188, Enest Mercier, tome 1
  27. ↑ [10] Mémoires de la société géographique de Genève, par société de Genève
  28. ↑ Itineraria Phoenicia De Edward Lipiński p 200
  29. ↑ [11]The Berbers Geo. Babington Michell Journal of the Royal African Society, Vol. 2, No. 6 (Jan., 1903), pp. 161
  30. ↑ [12] The Golden Age of the Moor De Ivan Van Sertima
  31. ↑ Decret & Fantar, 1981
  32. ↑ [13]Itineraria Phoenicia De Edward Lipiński
  33. ↑ Oases of the Libyan Desert H. R. Palmer The Geographical Journal, Vol. 73, No. 3 (Mar., 1929), pp. 302-303
  34. ↑ Histoire des monuments , Victor Piquet
  35. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionales, traduit par William Mac- Guckin De Slane, Édition Berti , Alger 2003
  36. ↑ Histoire sur les habitants de Ourgla
  37. ↑ Histoire de la ville Salé
  38. ↑ Djelfa et Tlemcen
  39. ↑ Kenitra
  40. ↑ Histoire de touggourt
  41. ↑ Ville de Mahdia et son histoire
  42. ↑ Histoire de la ville de Tlemcen
  43. ↑ les Zénètes et Adrar
  44. ↑ Agadir
  45. ↑ Monument de la médine de Salé
  46. ↑ Du nouveau sur la Chanson de Rolandla genèse historique, le cadre ... De Prosper Boissonnade
  47. ↑ http://books.google.fr/books?id=diQgAAAAIAAJ&q=mosqu%C3%A9e++ifren&dq=mosqu%C3%A9e++ifren&pgis=1
  48. ↑ Chronique d'Abou Zakaria De Abou Zakariya, Yaḥyá ibn Abī Bakr Abū Zakarīyāʾ al-Warjalānī, Yahyá ibn Abī Bakr al-Warjalānī, Emile Masqueray
  49. ↑ http://books.google.fr/books?id=VUZCAAAAIAAJ&pg=PA261&dq=mosqu%C3%A9e++ifren&lr=
  50. ↑ Les Lieux de pouvoir au Moyen Age en Normandie et sur ses marges De Anne-Marie Flambard Héricher
  51. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionales, traduit par William Mac- Guckin De Slane, Édition Berti , Alger 2003
  52. ↑ Carthage De Pierre Hubac
  53. ↑ Monographie de l'Aurès par Delartigue
  54. ↑ berkane groupements berbers au commencement du moyenne age
  55. ↑ Ibn Khaldoun , histoire des berbères
  56. ↑ [14]Kitāb el-istiqça li akhbār doual el-Maghrib el-Aqça =Histoire du Maroc De Aḥmad ibn Khālid al-Salāwī
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  58. ↑ [15]
  59. ↑ Les almoravides et les Banou Ifren
  60. ↑ Les almoravides et les Banou Ifren
  61. ↑ Voir Histoire des Musulmans d’Espagne. R. Dozy
  62. ↑ Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique Septentrionale De Ibn Khaldūn, William MacGuckin
  63. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères
  64. ↑ Ibn khaldoun, histoires des Berbères
  65. ↑ Ibn Khaldoun, histoire des Berbères
  66. ↑ Ibn Khaldoun, histoire des Berbères
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  68. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères
  69. ↑ Ibn Khaldoun ,Histoire des Berbères
  70. ↑ [16] L'Univers histoire et description de tous les peuples, Rozet et Carette
  71. ↑ Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionale De Ibn Khaldūn, William MacGuckin Slane, Paul
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  73. ↑ Le colonat en Afrique sous le Haut-Empire De Jerzy Kolendo
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  75. ↑ La médina de Tlemcen: l’héritage de l’histoire , Fouad Ghomari
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  78. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionales, traduit par William Mac- Guckin De Slane, Édition Berti , Alger 2003
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  80. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionales, traduit par William Mac- Guckin De Slane, Édition Berti , Alger 2003
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  82. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionales, traduit par William Mac- Guckin De Slane, Édition Berti , Alger 2003
  83. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionales, traduit par William Mac- Guckin De Slane, Édition Berti , Alger 2003
  84. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionales, traduit par William Mac- Guckin De Slane, Édition Berti , Alger 2003
  85. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionales, traduit par William Mac- Guckin De Slane, Édition Berti , Alger 2003
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  87. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionales, traduit par William Mac- Guckin De Slane, Édition Berti , Alger 2003
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  90. ↑ [20] Histoire de l'Afrique septentrionale (Berbérie) depuis les temps les plus ... De Ernest Mercier]
  91. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionales, traduit par William Mac- Guckin De Slane, Édition Berti , Alger 2003
  92. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionales, traduit par William Mac- Guckin De Slane, Édition Berti , Alger 2003
  93. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionales, traduit par William Mac- Guckin De Slane, Édition Berti , Alger 2003
  94. ↑ Afrique et Banou Ifren
  95. ↑ وزارة الأوقاف و الشؤون الإسلامية
  96. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionales, traduit par William Mac- Guckin De Slane, Édition Berti , Alger 2003
  97. ↑ Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionales, traduit par William Mac- Guckin De Slane, Édition Berti , Alger 2003
  98. ↑ Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique Septentrionale De Ibn Khaldūn, William MacGuckin p37 à p47
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  102. ↑ http://books.google.fr/books?id=H3RBAAAAIAAJ&pg=PR115&dq=ibn+khaldoun#PPR10,M1 Tabeau fait par Ibn Khaldoun et traduit par Slane indiquant la dynastie des Banou Ifren par Ibn Khaldoun
  103. ↑ Recueil des notices et mémoires de la Société archéologique, historique, Société archéologique
  104. ↑ Mémoires de la Société de geographie de Genève De Société de géographie de Genève
  105. ↑ foughaliblog

[modifier] Voir aussi

[modifier] Bibliographie

  • Voir Ibn Khaldoun Les prolégomènes El Mokadima
  • Voir Ibn Khaldoun 1332-1406 L'histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique Septentrionale vol 1,2,3,4 Casanova,Baron de Slane (le tome 3 *(ISBN 2705336389) . Ibn Khaldoun consacre plusieurs chapitres sur les Banou Ifren 'la première race des zénètes', page 197 à 226).
  • ISBN 2705336354
  • ISBN 2705336362
  • ISBN 2705336370
  • ISBN 2705336389
  • ISBN 2705336397
  • Voir Le passé de l'Afrique du Nord. Écrit par E.F. Gautier. Édition Payot, Paris 1952.
  • L'histoire de la Berbérie Tome I, Enest Mercier.
  • Histoire des souverains du Maghreb, Roudh el Kartas, d'Ibn Abi Zar, traduit par A. Beaumier.
  • Voir le livre de Gisèle Halimi. Titre: La Kahina.
  • Voir aussi la généalogie berbère selon Ibn Khaldoun

[modifier] Articles connexes

[modifier] Liens externes


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