Racing Club de Lens

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Racing Club de Lens
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Nom complet Racing Club de Lens
Surnom(s) Les Sang et Or
Date de fondation 1906
Statut professionnel 1934 - 1969
puis depuis juillet 1970
Couleurs Rouge et Jaune
Stade Stade Félix-Bollaert
(41 649 places)
Affluence record 48 912 spectateurs
(15 février 1992, Olympique de Marseille)
Équipementier Nike
Siège Centre Technique et Sportif
de la Gaillette
33, rue Arthur-Lamendin
62 210 Avion
Centre d'entraînement La Gaillette
Président Gervais Martel
Entraîneur Jean-Guy Wallemme
Championnat actuel Ligue 2 A partir de la saison 2008-2009
Site web http://www.rclens.fr/

Team colours Team colours Team colours
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Domicile
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Extérieur
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Extérieur 2
Pour la saison en cours, voir :
Saison 2008-2009 du RC Lens
Consultez la documentation du modèle

Le Racing Club de Lens est un club français de football fondé en 1906. Le club est présidé par Gervais Martel depuis 1988 et entraîné par Jean-Guy Wallemme depuis le 27 mai 2008.

Le club « Sang et Or », champion de France en 1998 et vainqueur de la Coupe de la Ligue en 1999, faisait partie de l'élite depuis 1991, avant de terminer 18e en 2008 et d'être relégué en Ligue 2.

Sommaire

[modifier] Palmarès

Localisation de Lens.
Localisation de Lens.

[modifier] Records

[modifier] Budget du club au fil des saisons

Saison 2003-2004

  • Le budget du club était de 44 million d'euros avec un bénéfice en fin de saison de 1.945 million d'euros.

Saison 2004-2005

  • Le budget du club était de 51 million d'euros avec un déficit en fin de saison de 5.519 million d'euros.
  • Le club a touché 16 million d'euros de droits télé pour cette saison.

Saison 2005-2006

  • Le budget du club était de 65 M d'euros avec un bénéfice en fin de saison de 0.526 million d'euros.

Saison 2006-2007

  • Le budget du club était de 69 M d'euros avec un bénéfice en fin de saison de 2,061 million d'euros.
  • Le club a touché 34 million d'euros de droits télé pour cette saison.

[modifier] Classement UEFA

[modifier] Anecdotes

  • Le Stade Félix-Bollaert, avec ses 41 233 places, pourrait à lui seul accueillir dans ses tribunes toute la population de la commune de Lens, qui est inférieure à 40 000 habitants (36 206 exactement).
  • Depuis sa création en 1906, le club n'a eu dans son effectif professionnel que deux joueurs natifs de Lens : il s'agit de Chérif Oudjani, qui porta le maillot lensois de 1983 à 1985 et de 1986 à 1989, et fils d'Ahmed Oudjani (co-détenteur du record de nombre de buts inscrits avec Lens), et de Ludovic Batelli, lensois de 1976 à 1983.

[modifier] Repères historiques

[modifier] Naissance d'un club

1905, Lens. Sur la place Verte (actuelle place de la République), des lycéens jouent au football. Ils ne savent pas encore qu’ils sont en train d’écrire les premières lignes de l’histoire du Racing Club de Lens. Pourquoi ce nom ? Le football a été inventé en Angleterre, et il était donc de bon goût d’avoir un nom de club à consonance anglo-saxonne. De plus, les jeunes de l’époque vibraient au gré des exploits du Racing Club de France et du Racing Club de Roubaix.

Le premier comité est formé par les parents de ces adolescents sous le nom de Racing club lensois, avant que le club soit officiellement enregistré en 1906 sous son nom définitif de Racing Club de Lens. Les couleurs du maillot sont le vert, en référence à la naissance du club sur la place Verte, et le noir, inéluctable dans une ville où la mine est omniprésente.

Entre 1907 et 1912, les joueurs lensois sont forcés de changer plusieurs fois de terrain de jeu : ils évolueront à la pâture Mercier au niveau de la fosse 2, puis sur le terrain de la gendarmerie, rue de Béthune, avant de s’installer à l’actuel parc des Glissoires, entre Avion et Lens.

Durant la Première Guerre mondiale, le club disparaît puis renaît de ses cendres sous l’impulsion du Comité de secours américain. Le maillot des Lensois vire alors au bleu ciel bordé de blanc.

[modifier] De sang et d'or

De 1906 à 1910, les couleurs du club sont le vert et le noir. Jusqu'en 1924, ils passent ensuite au noir uni.

C’est en 1924 qu’apparaissent les couleurs Rouge et Jaune. La légende raconte que Mr Moglia, président du club depuis 1923, choisit ces couleurs en référence au drapeau espagnol. Cette idée lui serait venue en passant devant l'église de la ville, vestige de l'occupation espagnole de 1648.

Toujours en 1924, le club reçoit l'autorisation d'évoluer au stade municipal Raoul Briquet (aujourd'hui Léo Lagrange) nouvellement aménagé. Pour son ouverture, les Lensois arborent leur nouvelle tunique Sang et Or.

Le stade Félix Bollaert un soir de match
Le stade Félix Bollaert un soir de match


1926 est une année faste pour le RCL : l’anglais Kid Fenton est la première vedette à jouer à Lens, il restera huit saisons. De plus, le Racing voit naître son premier club du supporter. Et enfin, il finit l’année en fanfare puisqu’il remporte pour la première fois le Championnat d’Artois.

La ville de Lens s’intéresse de plus en plus à son club de foot et lui offre sa première subvention (8 400 F, soit 13 Euros à cause des anciens francs). Le club prend alors possession du stade Raoul Briquet.

En 1929, le Racing est champion du Nord promotion B accédant ainsi pour la première fois en Division d'Honneur de la Ligue du Nord. Afin de bien se comporter face à l'Olympique Lillois, R.C. Roubaix, Excelsior Athlétic Club de Roubaix et autres A.C. Amiens, deux Tchèques rejoignent le R.C.L. en Division d'Honneur.

Dans la Ligue Artois, le club devient de plus en plus connu. On envisage alors la construction d'un grand stade, en 1930. Le premier janvier 1932, le Conseil National adopte le statut pro et c'est cette même année que le club inaugure le stade Félix Bollaert, devenu "stade officiel".

[modifier] Premiers faits d'armes

En 1937, le RC Lens accède en première division terminant premier de la D2 avec des joueurs tels que Stanis et Spechtl. Lens réussit à atteindre les huitièmes de finale de la Coupe de France mais l'équipe est éliminée par le Red Star 3 buts à 2.

Avec un meneur de jeu incroyable nommé Siklo, le Racing fera de très bonnes prestations. En 1943, Stanis refait parler de lui, il marque 43 buts en 30 match et son équipe terminera première de D1 zone Nord.

Après la Seconde Guerre mondiale, en saison 45/46, Lens termine 6ème mais descend en D2 la saison suivante. En 1948, l’équipe va jusqu’en finale de la Coupe de France et est battu par le LOSC.

Puis, Lens remonte en D1 et recrute Maryan Wisnieski qui fera le bonheur de l'équipe. Malheureusement, des problèmes avec les dirigeants l'oblige à quitter le club pour le UC Sampdoria Gênes sans grand succès.

En 1962, les mines ferment, et s’annonce la probable fin du Racing dont la majorité des joueurs étaient mineurs. De 1956 à 1968, le Racing a du mal à survivre. Pourtant, en 1964, Lens termine troisième et le meilleur buteur du championnat se nomme Ahmed Oudjani (30 buts). Un autre joueur encore va venir s'incruster dans l'équipe, il s’agit de Georges Lech. La relégation intervient néanmoins en 1968.

Dès l'année suivante, les dirigeants des Houillères décident de lâcher le club et de stopper le football professionnel à Bollaert. Lens redevient amateur un an après sa descente en D2.

Henry Trannin, directeur sportif du club, et Arnold Sowinski restent fidèles en attendant des jours meilleurs et jouent les hommes à tout faire…

[modifier] Les années fastes et la chute

Et les jours meilleurs arrivent en 1969 : la mairie parie sur le Racing. Le maire de Lens, André Delelis, désire voir ce club continuer à faire vibrer le public de Bollaert. Accompagné du futur président lensois, Jean Bondoux, le premier magistrat rassemble bénévoles et souscriptions afin de faire survivre le club. Le Racing sort la tête de l'eau et la mairie récupère le stade Bollaert dans le cadre du transfert du patrimoine minier.

En 1972, le Racing arrive en demi-finale de la Coupe de France face à Bastia. L'arrivée de deux Polonais, Faber et Gregorczik, permet ensuite au club de remonter en D1.

En 1975, Lens atteint encore une fois la finale de la Coupe de France face à l'AS Saint-Etienne. Mais les Verts s'imposent (2-0), notamment grâce à une reprise de volée d’anthologie de Jean-Michel Larqué.

En 1976, Saint-Étienne vainqueur de la Coupe et à la fois Champion de France ne peut participer à deux compétitions européennes différentes. Le RC Lens, en tant que finaliste de la Coupe de France, participe à sa première Coupe d'Europe, celle des vainqueurs de Coupe (aujourd’hui disparue) mais se fait vite éliminer par le club néerlandais de La Haye.

Lens continue sa progression et après avoir terminé deuxième du championnat derrière Nantes, se qualifie pour la Coupe UEFA. Il élimine Malmö FF, et surtout la Lazio de Rome, après une défaite 2 à 0 en Italie, et un match retour de légende : 6 à 0 après prolongation !. Malheureusement, après cet exploit rare pour un club français, Lens se fait éliminer par les Est-Allemands Magdebourg. Pire, le club redescend une nouvelle fois en D2 en 1978.

Le retour parmi l'élite se fait en 1979 avec Roger Lemerre aux commandes de l'équipe. Dans les années 1980, Gérard Houllier et Joachim Marx lui succèderont. Lens est une équipe moyenne de première division, qui réalise quelques exploits mais qui vit avec peu de moyens.

En Coupe UEFA, en 1984, le club affronte les uns après les autres les trois clubs belges engagés. Après avoir éliminé plus ou moins facilement La Gantoise et Anvers, le Racing bute sur Anderlecht, tenant de cette coupe, malgré un but à Bollaert marqué grâce au lancé d'un projectile sur le ballon lors d'une passe en retrait vers le gardien belge Munaron. Au retour, les Lensois s'inclinent 1-0 et laissent les Bruxellois filer vers la finale. En 1987, la Coupe UEFA s'achève dès le premier tour, après une défaite (0-2) face à Dundee United (finaliste de la même coupe la même année)

Lens n'a pas les moyens de ses ambitions, alors que la région doit gérer la fin de l'extraction du charbon. À la fin de cette décennie, les grands noms comme Huard, Sénac, Vercruysse ou Catalano s'exilent. Les finances, tout comme l'équipe, sont mal en point.

[modifier] Le club de son cœur

Arrive alors à la tête du Racing Gervais Martel, un homme d'affaires de la région, secondé par Serge Doré. Le club va peu à peu se muer en entreprise et s'ouvrir aux investisseurs. Le public se mobilise derrière le projet, et même si les résultats sportifs ne sont pas encore ceux des plus grandes années, on sent le club sur la pente ascendante.

En 1988, l'arrivée au poste d'entraîneur d'Arnaud Dos Santos va enfin redonner des couleurs aux Sang et Or. Le club remontera en D1 en 1991, réussissant à faire stade comble lors des barrages pour l'accession à l'élite, et gagnant sa place finalement sur tapis vert.

En 1993, Lens est en position de reléguable mais réussit à rester en D1. En 1994 le club joue le haut de tableau et se qualifie, deux fois de suite en coupe d'Europe. Il atteint la demi-finale de la Coupe de France après avoir éliminé le PSG au Parc des Princes. Mais l’équipe échoue face à Montpellier.

En 1996, les arrivées de futurs grands comme Tony Vairelles, Titi Camara, Vladimír Šmicer et Marc-Vivien Foé donnent un nouvel allant au club.

En 1998, Les Sang et Or vont écrire la plus belle page de leur histoire sous la direction de Daniel Leclercq. Champion de France, demi-finaliste de la coupe de la ligue et finaliste de la coupe de France face au Paris SG (défaite 2-1), le club signe de belle manière son premier titre. La génération dorée des Warmuz, Déhu, Wallemme, Sikora et Magnier obtient enfin une récompense à la hauteur de son talent. Comme un symbole, c’est un pur produit du RCL, Yoann Lachor, qui inscrit à Auxerre le but permettant à Lens de devancer Metz au classement général.

Toujours sous la direction du « Druide », Lens va en 1999 remporter le second titre majeur de son histoire : au terme d’un excellent parcours en Coupe de la Ligue, le Racing bat Metz en finale grâce à Daniel Moreira et offre à ses supporters un des plus beaux cadeaux : un deuxième titre national en 2 ans. Notons également un parcours probant en Ligue des Champions. Lens est le premier club français à gagner dans le mythique stade de Wembley, puisque grâce à Mickaël Debève, le RCL bat Arsenal 1 à 0. Certes, Lens a été éliminé à la fin de la première phase, mais il faut dire que les adversaires étaient d’un calibre bien supérieur : outre Arsenal, le Dynamo Kiev et le Panathinaïkos d’Athènes composaient ce groupe.

La saison 1999/2000 est marquée par l'éviction de Daniel Leclercq mais également par l'excellent parcours lensois en Coupe UEFA. En effet, les hommes de François Brisson n'ont été éliminés qu'en demi-finale par le club anglais d'Arsenal. Le Racing s'est distingué en éliminant Kaiserslautern (victoire 4-1 en Allemagne), l'Atlético de Madrid et le Celta Vigo.

En 2000/2001, c'est un ancien de la maison, Georges Tournay, qui évite au club d'être relégué en seconde division, redressant le parcours chaotique de l'équipe entraînée par Rolland Courbis.

Joël Muller est alors appelé aux commande de l'effectif Sang et Or. Son bilan est plutôt mitigé avec une première saison réussie : Lens a terminé deuxième et s'est ainsi qualifié pour la Ligue des Champions pour la deuxième fois de son histoire. En revanche les deux saisons suivantes ont été assez ternes (8e par deux fois).

Il sera remplacé au cours de sa quatrième saison par Francis Gillot qui entame là sa carrière d'entraîneur de haut niveau. Après avoir accroché la qualification en Coupe Intertoto malgré une première partie de saison difficile, Gillot conduit le club à la 4ème place en 2005/2006, synonyme de qualification en Coupe UEFA.

Lors de la saison 2006/2007, les Sang et Or terminent la première partie de saison à la 2ème place. La suite est moins réussie, et l'avance obtenue précédemment est vite diminuée. Et lors de la dernière journée, alors que le Racing a toutes les cartes en main concernant la qualification en Ligue des Champions, les hommes de Gillot échouent à Troyes, reléguant le club à la 5ème place, synonyme de Coupe Intertoto, et provoquant la colère des nombreux supporters qui avaient fait le déplacement.

Quelques jours plus tard, Gervais Martel annonce la démission de Francis Gillot, sous doute accélérée suite à la non-participation du club à la Ligue des Champions, mais également déçu par la politique de recrutement menée par Francis Collado.

[modifier] Lens redescend

Le 5 juin 2007 dans la matinée, la signature de Guy Roux est annoncée pour remplacer cette démission. Le 27 juin, la LFP refuse ce contrat. Le Racing Club de Lens fait appel mais prépare peut-être le choix d'un nouvel entraîneur si cette décision est entérinée. Le 11 juillet finalement, le CNOSF a confirmé que Guy Roux pourra bien entraîner Lens, la saison prochaine. Mais après un début de saison médiocre (2 points en 4 matches), Roux propose sa démission le 23 août 2007 au président Martel, qui l'accepte le 25 août à la mi-temps de la rencontre Strasbourg - Lens[3].

C'est alors Jean-Pierre Papin qui prend le relais d'entraîneur et qui commença avec un net succès 5-1 contre les Young Boys de Berne en Coupe UEFA le 30 août 2007. Lens se fera éliminer au premier tour de cette coupe par le FC Copenhague. Le club est déjà en difficulté en championnat, enchaînant défaites et matches nuls, avec un jeu dont la faiblesse inquiète.

A la mi-saison, le Racing est 18ème et relégable avec un match retard, le dernier match de l'année face au rival lillois ayant été reporté. Le 9 janvier 2008, après l'élimination de Lens face à Niort en Coupe de France, Daniel Leclercq revient au RC Lens en tant que directeur sportif pour soutenir l'entraîneur en place, Jean-Pierre Papin, sans expérience en Ligue 1, et tenter de maintenir le club dans l'élite après une première partie de saison très difficile.

Daniel Leclercq connaîtra son premier match sur le banc aux cotés de JPP lors du match Lens - Nancy et se qualifiera en demi-finale de la Coupe de la Ligue qui se jouera contre Le Mans. En championnat, Lens redresse la barre, avec notamment un succès face au champion lyonnais 3-0, qui permet au Racing de sortir de la zone des reléguables.

Lens se qualifiera par la suite en finale de la Coupe de la Ligue en battant Le Mans 5 à 4 lors d'un match tout en folie qui s'est joué jusqu'aux prolongations (4-4), et où Sidi Keita a sauvé son équipe en marquant le but décisif à la 119ème minute.

Lors de la finale, le Racing manque son début de match, et encaisse un premier but. Au retour des vestiaires, Lens appuie sur l'accélérateur, et inscrit le but de l'égalisation par Éric Carrière. Après plusieurs actions qui auraient pu voir les Sang et Or prendre l'avantage (poteau de Monterrubio, tête de Maoulida, frappe de Demont), Paris se voit accorder un pénalty plus que généreux par l'arbitre (M.Duhamel), et le transforme à 30 secondes du terme.

Après 17 années consécutives en Ligue 1 , Lens est relégué en Ligue 2 en terminant à la 18ème place du championnat consécutivement à un match nul contre les Girondins de Bordeaux (2-2) lors de la dernière journée de l'exercice 2007-2008. Cette saison restera l'une des plus noires de l'histoire du club, conjuguant une finale perdue, l'insulte d'une banderole déployée par des supporters du PSG et une relégation dans la division inférieure.

[modifier] Les présidents

Cette section présente les présidents du Racing club de Lens depuis 1906 :

[modifier] Les entraîneurs

Cette section présente les entraîneurs du Racing club de Lens depuis 1934 :

Guy Roux a proposé sa démission le 23 août au président Martel qui l'accepte le 25 à la mi-temps du match contre le Racing Club de Strasbourg[3].

[modifier] Effectif actuel

Cette section présente la liste des joueurs actuels du Racing Club de Lens, classés par poste.[4]

[modifier] Gardiens de but

Nom Poste Naissance Nationalité sportive[5] Sélections
1 Vedran Runje Gardien 9 février 1976 à Split Croatie Croatie Croatie A
16 Ronan Le Crom Gardien 13 juillet 1974 à Lorient (56) France France
40 Arnaud Brocard Gardien 19 août 1986 à Dijon (21) France France
Kévin Goeman Gardien 14 mars 1988 à Bruxelles Belgique Belgique Belgique Espoirs

[modifier] Défenseurs

Nom Poste Naissance Nationalité sportive[5] Sélections
2 Marco Ramos Arrière gauche 26 avril 1983 à Levallois-Perret (92) Portugal Portugal[5] Portugal -19 ans
4 Adama Coulibaly Défenseur central 9 octobre 1980 à Bamako Mali Mali Mali A
11 Nadir Belhadj Arrière gauche 18 juin 1982 à Saint-Claude (39) Algérie Algérie Algérie A
15 Fabien Laurenti Arrière droit 6 janvier 1983 à Marseille (13) France France France Espoirs
25 Milan Biševac Déf. central / Arrière 31 août 1983 à Mitrovica Serbie Serbie Serbie A
26 Yohan Demont Arrière / Milieu droit 15 mai 1978 à Valenciennes (59) France France
Romain Sartre Défenseur central 12 novembre 1982 à Lyon (69) France France France -17 ans
Grégory Vignal Arrière gauche 19 juillet 1981 à Montpellier (34) France France
Lucien Aubey Arrière gauche 24 mai 1984 à Brazzaville  Congo
Eric Chelle Défenseur central 11 novembre 1977 à Abidjan Mali Mali Mali A

[modifier] Milieux de terrain

Nom Poste Naissance Nationalité sportive[5] Sélections
5 Mounir Diane Milieu offensif 16 mai 1982 à Oulad Abbou Maroc Maroc Maroc A
6 Abdou Kader Mangane Milieu défensif 23 mars 1983 à Thiès Sénégal Sénégal Sénégal A
7 Abdoulrazak Boukari Milieu offensif 25 avril 1987 à Lomé (Togo) France France France Espoirs
18 Olivier Monterrubio Milieu / Ailier gauche 8 août 1976 à Gaillac (81) France France France A'
21 Sidi Yaya Keita Milieu défensif 20 mars 1985 à Bamako Mali Mali Mali A
22 Jonathan Lacourt Milieu défensif 17 août 1986 à Avignon (84) France France France Espoirs
23 Nenad Kovačević Milieu défensif 11 novembre 1980 à Kraljevo Serbie Serbie Serbie A
24 Bedsenté Gomis Milieu offensif 14/04/88 à Mont-Saint-Aignan (76) France France
28 Julien Sablé Milieu offensif 11 septembre 1980 à Marseille (13) France France France Espoirs
Issam Jemâa Milieu / Ailier gauche 28 janvier 1984 à Gabès Tunisie Tunisie Tunisie A
20 Adil Hermach Milieu défensif 27 juin 1986 à Nîmes (30) Maroc Maroc Maroc A

[modifier] Attaquants

Nom Poste Naissance Nationalité sportive[5] Sélections
8 Toifilou Maoulida Avant centre 8 juin 1979 à Dzaoudzi (Mayotte) France France France Espoirs
14 Kévin Monnet-Paquet Avant centre 19/08/1988 à Bourgoin-Jallieu (38) France France France -19 ans
27 Aruna Dindane Avant / Ailier droit 26 novembre 1980 à Abidjan Côte d'Ivoire Côte d'Ivoire Côte d'Ivoire A
41 David Pollet Avant centre 21 août 1988 à La Bassée (59) Belgique Belgique[5] Belgique Espoirs
Kanga Gauthier Akalé Ailier gauche 7 mars 1981 à Abidjan Côte d'Ivoire Côte d'Ivoire Côte d'Ivoire A
Seïd Khiter Avant centre 19 janvier 1985 à Roubaix (59) France France France -19 ans
Nolan Roux Avant centre 1er mars 1988 à Compiègne (60) France France

[modifier] Staff technique

Nom Poste Naissance Nationalité
Jean-Guy Wallemme Entraîneur 10 août 1967 à Maubeuge (59) France France
Daniel Leclercq Directeur technique 4 août 1949 à Trith-Saint-Léger (59) France France
Christophe Delmotte Entraîneur adjoint 9 juin 1969 à Comines (59) France France
Michel Ettore Entraîneur adjoint (gardien) 14 octobre 1957 à Amnéville (57) France France

[modifier] Joueurs emblématiques

[modifier] Internationaux français

Clast. Nom Poste Sél. à Lens Sél. au total
1 Maryan Wisnieski Attaquant 33 33
2 Georges Lech Attaquant 16 35
3 Xercès Louis Milieu 12 12
4 Didier Six Attaquant 11 52
5 Alou Diarra * Milieu 11 13
6 Guillaume Bieganski Défenseur 5 9
7 Philippe Vercruysse Milieu 4 12
8 Ladislas Siklo 4 4
9 Tony Vairelles * Attaquant 3 8
10 Daniel Xuereb Attaquant 3 8
11 Pierre Laigle Milieu 2 8
12 Daniel Moreira * Attaquant 2 3
13 Didier Sénac Défenseur 2 3
14 François Brisson Attaquant 2 2
15 Edmond Novicki Attaquant 2 2
16 Michel Stievenard 2 2
17 Frédéric Déhu Défenseur 1 5
18 Farès Bousdira Milieu 1 1
19 Paul Courtin Attaquant 1 1
20 Jean Desgranges 1 1
21 Raymond François Milieu 1 1
22 Richard Krawczyk Milieu 1 1
23 Marcel Ourdouillié Milieu 1 1
Légende : * Encore en activité.

[modifier] Joueurs français

[modifier] Joueurs étrangers

[modifier] Bilan saison par saison

Division Saisons Titres* Matchs Joués Victoires Nuls Défaites Buts marqués Buts encaissés Différence
D1/L1 55 1 1998 743 535 720 2856 2835 +21
D2 12 3 402 205 106 91 776 452 +324
D3/CFA 1 - - - - - - - -
DH 5 - - - - - - - -
PH 3 - - - - - - - -
Regional 5 - - - - - - - -

[modifier] Historique du Racing Club de Lens

[modifier] Supporters du RC Lens

Les supporters du RC Lens figurent parmi les plus actifs de France. Le premier club de supporters du club a été fondé en 1926.

Icône de détail Article détaillé : Supporters du Racing Club de Lens.

Dominique Regia-Corte est le responsable des relations entre le clubs et les nombreux groupes de supporters

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens internes

[modifier] Liens externes

[modifier] Références

  1. Le championnat 1944 a en fait été remporté par l'équipe de Lens-Artois, la compétition réunissant des équipes fédérales régionales.
  2. Coupe Charles Drago sur www.rsssf.com. Consulté le 17 mars 2008.
  3. ab Lens - Guy Roux « n'aurait pas dû » L'Équipe du 25 août 2007.
  4. Effectif en date du 10 juin 2008.
  5. abcdef Certains joueurs comme Marco Ramos, par exemple, ont une double nationalité (française et autre), mais un même joueur ne peut jouer que pour une seule sélection nationale.


RCL : Général Joueurs et Staffs
Supporters • Liens • Stade • La Gaillette Liste de Joueurs • Effectif Actuel • Réserve
Palmarès Matchs
Palmarès • Records Tableau Récapitulatif • Coupes d'Europe • Derby du Nord
Saison en cours
Saison 2008-2009 (Ligue 1, Coupe de France et Coupe de la Ligue)