Utilisateur:Bordeaux3/Cours d'Histoire Moderne sous Louis XVI

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Sommaire

[modifier] Population française au XVIIIème

La population française, relativement stable de 1300 à 1700 (15 millions à 18), passe à une phase de croissance lors du XVIIIème siècle (1700-1800)

[modifier] Évolution de la population (XVIII)

[modifier] Dénombrement (XVIII° s)

Les locaux tiennent à quantifier leur population domaniale d'aprés mademoiselle la naine l'inindulgente qui se prenait de haut dés cette époque Les religieux tiennent des registres de baptêmes, communions, et [..?..] depuis le XVème siècle. Le pouvoir royal, ensuite, tient à connaître le nombre de ses sujets. Il officialise et ordonne la tenue de registres paroissiaux (principales décisions : l'Ordonnance de Villers-Cotterêts de 1539 (art. 51-55, 111), le Code Louis d'avril 1667, la déclaration royale du 19 avril 1736). Il ordonne un recensement de la population, pour compter les contribuables, pour estimer la force nationale potentielle (soldats potentiels). Sur ces relevés, on doit cependant poser des réserves : beaucoup de comptes-rendus ont été perdus, tous sont peu fiables, car les locaux s'opposent à une "centralisation" de cette information, suspectée de servir la levée d'impôts. C'est Sébastien Le Preste, Comte de Vauban (1633-1707) qui établit la méthode de dénombrement.

"La grandeur d'un Roi se mesure par le nombre de ses sujets"

Mais, malgré la volonté, un dénombrement national demeure hors de portée, seuls des dénombrement ponctuels sont possibles.
On se fie donc à une autre méthode d'estimation. On multiple le nombre de baptêmes par un chiffre, ce qui est censé donner la population baptisée et non-baptisée -donc la population totale- d'une région.

Ex de la méthode d'estimation :
On comptabilise 1 000 baptisés dans les registres paroissiaux du domaine paroissial de Vieux-Château-sur-Cailloux ; après un recencement rigoureux (méthode de terrain), on constate 1 560 habitants.
Admettons que la somme des registres paroissiaux d'Aquitaine indique (environ) 1 million de baptisés, donc :
Il y aurait en Aquitaine :
1 000 000 x 1,56 = 1 560 000 habitants.

Cette méthode est intéressante, mais très approximative, elle n'est pas considérée comme fiable.
Jusqu'en 1780, ni la population, ni l'État n'étaient conscients de la croissance de la population. L'opinion commune est plutôt au dépeuplement, jusqu'à ce que Necker, en 1784, estime la population française à 24,6 millions (réalité : 28,3 millions).

[modifier] Augmentation de la population (XVIII)

Estimations actuelles, la France de l'époque n'était pas consciente de tel chiffres : 1700-1729 : 23~23,8 millions ; 1740 : 24,6 ; 1760 : 26,1 ; 1780 : 28 ; 1790 : 28,6
La France est -de loin- l'État le plus peuplé d'Europe (Russie exclus), mais elle à diminuée en importance relative : 18% de la population d'Europe en 1700 ; 16% en 1800. Les autres nations on eu des croissances relativement plus forte.

(à vérifier) La France a eu une croissance lente et irrégulière jusqu'en 1740, constante et forte de 40-70 ; très lente en 70-80 ; pour redevenir à croissance notable mais modeste a partir de 1780, la piramyde des ages est comme celle du tiers monde actuel : /\ ; et il n'y a pas de déséquilibre masculin/féminin dans celle-ci, les moins de 20 ans y représente 42% de la population (aujourd'hui: 25%)


Il y a 96 hommes pour 100 femme, un léger déséquilibre mais faible (Russie actuel 100 pour 115). Il nait pourtant légèrement plus de garçon que de fille, mais l'enfance rétablit l'équilibre. La vie adulte voit une plus forte mortalité féminine (accouchement ?), puis la population masculine diminue en ration, jusqu'a être légèrement minoritaire.

  • Répartition géographique de la population (XVIII).

Déterminer la répartition géographique des populations françaises est encore plus délicat. Les données sont rares et peu fiable, surtout pour les campagne. On constate cependant une plus forte densité sur le nord, déterminé par une ligne Nantes-Orléans-Paris-Reims, apres un creux en Lorraine, L'Alsace est également fortement peuplé, ainsi que le Lyonnais.
On estime que la population urbaine passe de 18,2 % en 1750 à 20,5% en 1790, et la densité nationale atteint environ 50hab/km^.


[modifier] Mortalité-Natalité (XVIII)

Le Solde Mortalité/Natalité détermine la croissance de la population. Le taux de naissance annuelle est relativement stable (40 puis 38 pour 1000), même si les élites urbaines tendent à controler leur naissance, c'est surtout une diminution de la mortalité qui permet la croissance au XVIIIème.

[modifier] Mortalité ordinaire (XVIII)

De 40 pour 1000 en 1740, le taux de mortalité passe a 35,5 pour 1000 en 1785. L'espérance de vie des plus de 25 ans est bonne :

  • encore 31,2 ans pour les femmes (donc 56,2 ans), et 31,3 pour les hommes (56,3 ans) de 1740 à 1749
  • [à compléter] encore [...] ans pour les femmes (donc [...] ans), et [...] pour les hommes ([...] ans) ede 1780 à 1789.

La mortlité infantile est très importante, sur 1000 naissances :

  • 282 meurent avant 1 an, puis... (282 morts)
  • 204 avant 5 ans, puis... (486 morts)
  • 19 avant 10 ans (505 morts, 495 vivants)
(Chiffres calculés, ma prise de note peu-clair, il y a un bug: 
* [...] 151 avant 25 ans
---A 25 ans, il reste 344 vivants, et 656 sont morts. Parmis ces 344 : ---
* 219 [....dépasse ? 25-60 ans ??] 60 ans,)
  • 125 dépasseront les 70 ans.

Des sages femmes sont instruites par les soeurs, et deviennent "professionnelles". L'hygiène, également fait des progrès, tout comme la nourriture qui s'améliore (moins de famines). Les éléments "fragiles" (femme en couche, nourrissons) survivent mieux. Le recul de la mise en nourrisse -dangereux pour les nourrissons- a aussi un effet positif.

[modifier] Crises démographiques (XVIII)

Elles restent régionales, se marquant par une pointe de la mortalité (multiplication par plus de 2 de la mortalité) comparé aux périodes normale.

Ex : Rouen en 1693-1694, il y eu 11 000 déces contre 2600 habituellement pour la meme période.


Il s'en suit moins de mariages; une chute de la fécondité (visible par chute des naissances-batême).

  • Crise de subsistance : une ou plusieurs mauvaises récolte.

Hivers 1709-1710, une vague de froid et un gel des pousses, mauvaise récolte.
Été : une sécheresse fait des récolte maigre ; la surabondance de pluies pourrie les récoltes sur place.
Toute raréfaction des denrées entraine une hausse des prix. La partie la plus fragile de la population ne peut plus se nourrire, est sous ou mal alimenté, donc affaiblissement, maladies, et morts. La période la plus délicate étant le printemps avec l'épuissement des stocks d'hivers.

  • Crise épidémique : souvent liée a une crise de subsistance (affaiblissement) ou militaire (destructions et migrations).

Ex: La Peste bulbonique, on peut y survivre ; la Peste pulmonaire : on y reste !~ (85 à 90% des cas sont léthale) Les maladies endémiques profitent des crises pour devenir épidémique : dysentrie; typhus ; suette milliaire ; petite variole et syphilis (someillante mais toujours mortelle).

Mais.... La médecine faisant ses progrès, l'État commençant un certain interventionisme d'urgence (achat de grains étrangers pour fournir les marchés locaux ; isolation de régions contaminée comme la Peste de Marseille, en 1720).
Il faut également noté que les petites crises sont rapidement compensées par le dynamisme des survivants, plus robuste.

[modifier] Nuptialité, fécondité, natalité (XVIII)

Voir : nuptialité, fécondité, natalité.


La chape religieuse de l'époque fait que la masse des naissances se faisait éffectivement en mariage. Seul 1% des naissances (recencés) était hors-mariage (17[...]), en campagne comme en ville.
En 1790 : 8% hors mariage en ville, mais souvent le cas de campagnardes exilées en ville.
Les Conception pré-nuptiale, d'avant mariage, sont également assez faible : 3-4%; passe a 10-20% sur 1750-1800.
L'age de mariage des femmes, a également son importance pour la fécondité du couple, et donc -a grande échelle- pour la fécondité nationale dans la mesure où les naissances se font en mariage.

  • Age de mariage : moyenne 24,5 ans (à vérifier).

Age moyen en ville de 1650-1750 : 27,2 pour les filles; 29,7 pour les hommes. Rouen : 26,4 pour les fille; 28,5 pour les hommes. La différence d'age reste faible.
Le taux de natalité est de 40, puis 39, et 38 pour 1000 (1740 ; 17.. ; 1...). Le célibat -religieux ou de fait- a également sont importance.
Ainsi : surveillance religieuse ; Vieilles mariées ; et célibat explique la modération de la croissance.

  • Raison économique ? : la dégradation des salaires réels des travailleurs (ouvriers artisants et agricoles : masse de la population), aurait reculer l'age du mariage dans une société catholique surveillée.
  • Raison économique et culturelle ? : le model culturel, la pression sociale tent a limité le nombre d'enfant. C'est le début du "peu d'enfant, plus d'attention". La contraception commence dans les élites urbaines, et à de notable effet :
Rouen, la fécondité passe de 6,23 en 1700, a 3,77 en 1792.

notament dans l'idée de ne pas morceler les héritages. Les premières réussites sociales, fruit de la compétition, doivent se maitenir à niveau : c'est les début de l'individualisme. S'occuper mieux de moins de chose, leur donnant plus de valeur et réussite (enfants).

[modifier] Famille dans France d'ancien régime (XVIII)

[modifier] Type de ménage

Type de ménage : unité de gens unis sous un meme toit, "A même pot', à m'me feu ! (+"boudiou !")". Souvent de meme famille, mais également d'entreprise (propriétaire et ouvriers).
Il existe 5 formes de ménages...

  • ménages de solitaire : son assiette, son feu, no problème.
  • ... de parentés : parents mais non mariés (frere-soeur, cousins, oncle, ...)
  • ... simple (ou Nucléaire) : couple marié, avec ou sans enfants.
  • ... élargie : couple marié, élargit a un ascendant (grand parents) ou collatéral (frere-soeur d'un époux).
  • ... poly-nucléaire : avec plusieurs noyaux.

Le type de ménage prédominant est la famille nucléaire, avec ou sans enfants.
AuNord de la France : elle forme une proportion écrasante.

Le village de Jaron, en Mayenne, est représentatif : 78% de ménage nucléaire en 1779 les solitaire 11%, et les familles complexe (élagie et poly) ne forme que 7%.

La taille des ménages est relativement basse, 4 à 6 personne par ménage du nord, relativement similaire à 1930.
Au Sud : le nombre de famille élargie et polynucléaire est plus important, même si les familles nucléaire reste majoritaire (surtout ville). Mais dans les campagne les types complexe sont représentatives. La famille souche est un type de famille ou le chef de famille -propriétaire- cohabite avec le couple du fils ainé. Les cadets doivent soit être serviteur agricole de l'ainé, soit partir. Les familles communautaire du centre -ou frèrèche- où cohabite plusieurs couple de frère soeur cohabitant. Les groupes liniagés pouvant atteindre une trentaine de personne : parents, enfants, petits enfants.

Ex : la communauté des Pinons, existant depuis 500 ans en 1789 - mais s'affirmant 1200- ; le chef y est élus "Maitre Pinons"; et tout les membre de la communauté se marient dans la communautés, avec un fort esprit communautaire (repas commun, mode de vie, etc.).


La famille française se ratache à un modele familiale d'Europe du Nord-Ouest.

[modifier] Famille d'Europe du Nord-Ouest

  1. Un mariage tardif, age mure, environ 27 ans.
  2. Les femmes devant par ailleur ammener une dote à la famille du marie.
  3. L'age des époux est relativement semblable.
  4. Avec une proportion relativement élever de célibataire,
  5. un controle des naissance, soit par des moyen naturel -allètement, abstinance- soit par les 'funestes secrets.
  6. La néolocalité : le couple emménage dans une nouvelle demeure; ne pratiquant pas la patrilocalité (parent du mari) ni la matrilocalité (mere de la marié).
  7. La nucléarité, tourné autour du père
  8. Placement des jeunes à l'extérieure des familles le plus tôt possible (13-14 ans) soit par l'apprentissage, soit comme servant-domestique. Celà entraine notament une grande mobilité de leur part.

[modifier] Migration

Leur état sommaire des voix de communications à longtemps fait pensé que les français se déplaçaient peu, insistant sur la sédentarité de la nation française, avec l'idée de "Naissance et mort sous l'ombre du même clocher". Mais cette représentation de 1970 coincide avec l'insistance sur la nature paysane, rurale de la France, elle est fondé sur le lieux de signature du mariage rurale, où l'on constate qu'ils sont endogame (même paroise-localité), et peu sont exogame mettant en jeu un époux émmigrant, d'où l'idée de sédentarité. Mainenant, on insiste davantage sur la mobilité des français, certains n'hésitant pas à se déplacer sur de longue distance pour divers motif (affaires, procés), pouvant être qualifier de migration temporaire, et il arrive ainsi fréquemment qu'il y ait instalation et migration définitive. Les contemporains avaient également le sentiment d'une france carrefour, tant de voyageurs que d'émmigrant.
Évidemment, la majorité des déplacement été des déplacements courts (temps et distance) par simple nécessité du jour (marchet, village à village), mais il y a aussi des migration temporaire, saisonnière, pouvant se faire dans la direction de la ville (ex: 20 000 maçons, 30% de la population active de la Creuse partant saisonièrement pour Paris ); vers d'autre régions agricole (vendage); vers l'étranger (massif centrale => ville espagnole de catalogne à l'andalousie). Ces migrations consernent le plus souvent les régions montagneuse du royaume, car:

  1. rareté du travail relativement à la population (++) et
  2. du fait de la suspension des activités lors de l'hivers
  3. et l'existance de réseaux de migrations déjà en place, balisé avant eux, vers des quartiers, villes, où ils savent pouvoir trouver logement et embauche.

Ces migrations n'entraine pas une rupture entre individus et communauté d'origine.

Pour les migrations définitives, elles sont surtout à courte distance, d'où le terme de "Micro-mobilité". Mais les plus intéréssante son le départ campagne vers ville (dont le solde naturelle est généralement négatif) exerçant sur les campagne une attraction insitant les campagnards à se rendre en ville, puis que les salaires y sont plus important, ainsi, les villes les plus importante dispose d'un bassin démographique, à partir des quels tout les ans partent femmes et homme attirer par les possibilités d'embauche. Ainsi : la ville de Bordeaux 45 000 en 1740 à 120 000 habitant vers 1790, la ville recrute ses immigrant dans tout le Sud-Ouest. Les immigrant non-spécialisé viennent des environs de Bordeaux, alors que les immigrants spécialisés viennent de toute la france maçons (Limousin, creuse) , patissier suisses, professions libérale (petite bourgeoisie de petites villes et toute autres ville).
La France n'était pas une patrie de départ -le plus grand départ étant celui des Hugenots en 1685 (révocation de l'édit de Nantes) 200 000 personnes (1660-1730). Pour le Canada, 27 000 personnes dont 13 000 soldats (obligés).
N'est pas non plus un pays d'arriver ( émigration ? ), hormis ses comptoire.




[modifier] Échanges dans la France du XVIIIème

cf livres sur l'économie d'anciens régimes : Histoire Économie de la france d'anciens régimes

[modifier] Intro

Entre les 2 énormes masses de l'histoire de la production et celle de la consomation est l'univers étroit mais fondamentale du monde de l'échange, de la circulations, des biens, des services, de l'économie de marché. Le monde change des que l'on dépasse le sueil d'auto-suffisance, qui conduit à l'échange (d'abord femmes, puis matière). Il est difficil d'apprécier les échanges (+ -.- ... les femmes...) intérieure, là où les échanges extérieure était clarifier par les compte de douane. D'abord qq notion de transport, puis

[modifier] L'Organisation des transports

Les échanges intérieure se font sur 3 supports : le cabotage, la voix d'eau et la route.

[modifier] Création d'un réseaux routier nationale

Il y avait peu de vrai route avant 1750. Il y a plutôt des itinéraires de villes en villes, plusieurs interchangeable fonction de la saisons, du moyen de transport, etc, du fait des chemins en terre (le chemins le plus court pouvant être inondé). Il subissait la topographie locale, avec peu de pont mais plus de "bac". L'irrégularité de ces chemins due à l'entretient médiocre par les localités malgrès les encouragement de Colbert. Situation améliorer sous [...] et Filibert Orry (et Daniel Tru[..]aire) qui ont fait une priorité d'un grand résseaux routier royal centralisé de routes royales reliant les grandes villes à Paris, puis entre elles. Cet effort s'est calqué sur le résseaux urbain, et n'a pas creer de nouvelles aglomérations.
Ce réseaux vise à améliorer le commerce, facilité le déplacement de troupe, accentuer le controle royal (rapidité). La route royale, par sa rectitude, témoigne de la perfection de la volonté et application du pouvoir royale.
Le budget des ponts et chaussées est croissant, de 1 millions à 10 millions de livre tournois vers 1790. Le bureau des ponts et chaussées est créé dès 1716, et une formation d'ingénieur d'État est créée, et devient l'école royale des ponts et chaussées en 1775. Il améliore continuellement l'application des routes royale. Elles doivent faire 17,5 m, la partie centrale pavée ou empiérrer, bordés de faussés et bosse, préférablement rectiligne, et avec pont en pierre.
La Corvée royale (1738) est institutionnalisé : les paysans dont les villages étaient situé a moins de 20 km de la route devaient travailler entre 12 et 40 jours à l'édification de la route, sous direction des entrepreneurs charger du chatier. Cette corvée à était très critiqué : par les paysan février 1776; mais à était rétablit en Aout, fréquement est convertis en impots royale.
Bilan : 26 000 km de route empierré, de qualité inégale, fonction de la motivation du maitre d'oeuvre ou des paysans-maçon. Une bonne déserte dans le nord (Normandie à Alsace), ainsi que dans la vallée du Rhône. Le sud est plus mitigé. Limite

  1. Les goulot d'étranglement, notament des ponts
  2. L'état fragile des routes
  3. Les chemins locaux sur lesquels se réalise une foules (nombre) d'échange reste hors gestions.

[modifier] Un réseaux navigable [..]

On compte 8 000 km de voix navigable, dont 7 000 de rivières aménager, et 1000 de canaux. Colbert avait imaginé un ensemble de canaux nationaux reliés, mais qui ne put etre tenues (ex : le canal des 2 mers (Canal du midi ; Canal de Crozat 1738). La France prends cependant du retard sur Angleterre, Pays-Bas, etc. Elle se contente donc de cour d'eaux aménager. La déscente y est facile (C'est du raft ^O^). La remonté est moins amusante, et se fait par halage, tracté par un atelage de chevaux ou boeufs.

[modifier] Avantages comparés

La route est désavantager dans tout les domaines.

  1. En capacités, les charetes sont limités à 2 tonnes, le mulet ne transporte que 150 kg. Alors que les bateaux les plus gros se charge à une centaine de tonnes, se formant même des chaines de bateaux cumulant leurs capacités
  2. Transport de passagé : les charetes ne pouvait en transportaient qu'une petite dizaine dans des conditions assez rude, alors que les bateaux en prennent une centaine dans de meilleur conditions. En outre : le transport maritime est moins couteux.

Mais la pluparts des marchandise s'échangeant à courtes distance, celà n'influence que peu. Mais dans le transport de voyageur, La Turgotine, une charette pouvant emporter 16 personne au galot augmente la distance journalière de 40 à 80 km/jour. Paris-Bordeaux passe de 11-12 jours à 6 jours de Paris, et l'ensemble du royaume est à moins de 12 jour de trajet. Mais ce mode ne concerne qu'une élite, et la majorité des trajets restent à patte (Paris-Bordeaux = 20 jours)

[modifier] Commerce Interieur

L'échange d'une marchandise donnée par un producteur et un consommateur sont d'autant plus copmplexes qu'ils ne sont pas strictement gérés par les principes d'offre et de demande.

[modifier] Les lieux d'échanges

Le Marché est le lieu coutumier des villes, une fois par semaine, parfois plus, à ciel ouvert avec traitaux où sont posés les marchandises. Pouvant être sous une halle de pierre, sous responsabilité municipale comme les poids et mesures employés par les commerçants. L'aire de rayonnement d'un marché est environ de 10 à 15 km. Le marché est également une occasion de socialisation, rencontre entre adulte, entre garçons et filles, c'est le centre des affaires. Dans les grandes villes, la fréquence et le nombre augmente avec spécialisation (marchés aux grains, aux bestiaux, etc.). La plupart sont poly... ; mais certain sont spécialisés et par souci de commodité (bestiaux) cantonnés à la périphérie. Il se vend toute les semaines à Paris : 1300 boeufs, 2000 veaux, 8200 moutons qui circulent donc dans la capitale. Dans la France de la fin XVIIIeme il y avait 2446 lieux de marché, et [4264] lieu de foire. Foire : rassemblement de marchant dans un lieu donnée, environ 4 fois dans l'année, et bénéfit de franchises, elles sont peu -ou prou- taxé. Ne dure généralement qu'une journée, mais peuvent durée une à 2 semaine, durée fixée par les pouvoir publique. Elles restent locale, mais ont pour but de donnée aux individus des marchandises non-ordinaire (produit travaillé). Elles déclinent face à la la boutique de détaille.
Les foires bien développé continue à prospérer. Elles jouent le role de marché de gros, ou certaines marchandise, bestiaux, testilles, étaient consentrée avant d'être redistribuer dans le royaume voir à l'étranger.

Exemple : Les grosses foires aux bestiaux.
En 1790 : environ 26 foires d'importance nationale : Foire de Guibré, Cane ; Foire de Lyon ; Foires de Bordeaux ; foire St Germain, Paris. Ce sont de véritable villes éphémère qui se forme, se conscentre les produit de l'arrière pays avant d'être redistribuer (port, villes, autres destinations). C'est l'occasions des foires ambulantes, de jeux de hasards, etc. La foire de [bocker] est la plus importante : environ 20 000 personne par jours,et la valeur des marchandises apportées est supérieure à 16 million de livre tournois.

Le système de la foire tend à décliner, car le commerce de gros commençant à se faire directement entre grand négociant. La fonction de forum décline, sa fonction financière également : les vendeur s'y entre-aidant et y réglant leur dette passer.

L'éssort des boutique de détaille. Au XVIIIeme, les lieux de vente dans une ville sont soit les étales du marché, hebdomadaire, soit l'étale de l'artisant par vente direct. Ces artisants sont intégrer aux corps de métiers, d'autre les regratiers rachètent de toutes petites quantité qu'ils revendent sans boutique. La boutique de détaille (boulanger, coiffeur) à une devanture, une signalisation, une localisation préférentielle et ne sont plus des lieux de production. Les merceries "Vendeur de tout, faiseur de rien". Des boutiques spécialiser -vettement, services, apoticaire, boutique du préteur sur gage - La boutique de détaille y fait crédit (aux plus riches).

Les Col-porteur : Traine une charette derrière eux, ou simplement a balle -un sac- transportant de la cotellerie, quincailleres, des tissus, bcp d'accéssoire (boucles, chapeau, etc.). très bien organiser, membre d'un groupe familiale, souvent issus de régions périphérique. Généralement, un membre est marchand, et envois les d'autres membre de la familles aller vendre ça et là. Le fondement des resseaux de col-portage est fondé sur des familles.

[modifier] Condition de l'échange

La monaie :

  • La monaie mécanique, d'or, le Louis d'or, ou l'écu. Le gillion, mélange de cuivre et d'argent(peu), la monaie noir, sert pour les petits achat. Il n'ont pas de valeur fasciale, car leur valeur est fonction de la monaie de Com(p?)te, la livre tounois
  • Monaie de Comte

Livre Tournois = 20 [...] et 1 [...] = ... (...) Mais il n'existe pas de pièce de Livre tournois. Le rapport entre la pièce du roi et la livre tournois est succeptible d'être modifier. L'État à le monopole de la frappe de la monaie. Lorsqu'il change le rapport, il peut - avec le meme poid de métal précieux- il peut payer davantage ses créanciers. Mais ces modifications sont désastreuse pour la confiance publique. Mais en 1726 le rapport est stabilisé 1789 : 1 louis d'or : 24 livre tournois

1 écu = 6 livre tournois
  • La monaie financière : ce ne sont pas des billets de banque, mais des lettres de change billet à ordre. Signé par des particuliers, promettant de payer à quelqu'un une certaine somme.

Le commerce n'est pas un commerce libre, en particulier le commerce alimentaire, notament celui des grains : la vigilence des pouvoirs publique est très importante, encadré par pouvoir local et royale, que le peuple considère comme responsable du bon approvisionnemment en grains des marchés locaux. Les Autorité surveille : _Poids et mesure, _prix des grains _approvisionnement des marché. Le fermier vivant aux voisinage d'une ville n'est pas libre de vendre ses grain en dehors du marché publique, le jour, et sur tel marché. Il n'est pas libre de le vendre à son prix, mais doit les vendres au prix fixé par les autorités, et ne peut les vendre à qui il souhaite. Les premnière heures sont strictement réservé aux particuliers, aux locaux, et ensuite seulement aux commerciaux (qui pourront les revendre dans d'autres localité). La vente est publique. C'est une vision selon laquelle il est normale que les autorité assure aux populations un prix acéssible (notament en ville) : c'est l' économie moale.
Son opposée est l ' économie politique théorisé par les premiers économistes libéraux, partisans de la main invisible du marché, qui ajuste l'offre à la demande. L'expension du marché privé, les fermier prennent de plus en plus la liberté de vendre endehors des marchés publique : chez le fermiers, où dans des rencontre cachés. Des mesures de libéralisations sont prise par Bertin, puis Turgot 1775-1776. Elles sont rapidement abolis, mais ont lancées l' économie politique privé.

Le commerce interieur est freiner.

  • L'existance de droit de péage/passage, d'origine ségneurale, pour l'utilisation d'une voix (route, pont, voie d'eau). Mais cela ne s'accompagner pas d'entretient. Aout 1724, la commission des péages ayant pour mission de vérifier la légitimité de ces péages et dans supprimer le plus possible; mais il reste 3000 péages en 1790.
  • Les droits de douane interieures existe dans toute l'europe continentale. Les marchandises voyangeant entre provinces paye des traites.
  1. Au centre du royaume : l'Étendue, de la Normandie à la champagne bourgogne à l'est et poitou-picardie. Soumise au tarif de 1664 : les biens y circulent librment, mais y sont taxé à la sortie et entrée de la zones.
  2. Les provinces Étrangère (à l'étendue), payant des taxes lorsqu elles commerce avec l'étendue.
  3. les provinces récemment annexé. : commerce à peut-près librement avec l'extèrire de la France, mais paye des taxes vers celle-ci.

Cela freine la circulation des marchandise, mais les tentative royale de transformer le royaume interieure en libre échange ont étaient repoussée par les finnanciers qui touchaient ces traites.

  • L'Octroie : les marchandises à l'entrée des villes paye l'Octroie, consédé aux ville, pour réglé les dépense [é...dilitaire]

[modifier] Émergeance d'un marché nationale

Mais : l'émergeance d'un marché nationale. L'étude des marchandise présente à Paris à mis en valeur que toutes les régions participe à la fournissure de Paris, même si l'essentielle venais de l'Iles de France, l'Orléanais, la Champagne et la Normandie.
Malgrès tout les freins, les marchandises parviennent à Paris : 600 000 habitants. Le blé et les grains viennent des régions proche, mais les autres denrée peuvent venir de régions plus éloigné (oeufs des Flandre, pommes d'Auvergne). L'établissement de ce commerce, l'attirance du profit, ont influencé les paysans qui se sont spécialisés dans certaines culture-élevages.

Ex : les Vertes prairie d'embouche de Normandie.

Les villages près de Paris se couvre de verger pour fournir en fruit les étales de Paris. L'approvisionnement alimentaire de Paris à était un moteur de l'agriculture proche, du commerce, et la croissance démographique de Paris à était un moteur décissif de la modernisation de la France.



[modifier] Commerce internationale de la France au XVIII

Le commerce internationale est l'élément moteur de l'économie Française. Essentielleement un commerce maritime, car nous disposons de meilleur chiffre, mais les commerce terrestres (Espagne, Italie, Allemagne) ne sont pas non-plus négligeable.

Le commerce de ce siècle est caractérisable par les faits suivant :

  1. Le marché Européen est prédominant, avec une évolution du commerce vers les pays de la mers du nord et baltique au dépend des méditerranéens.
  2. C'est une américanisation des échanges : place fondamentale des antilles, puis empire espagnole.
  3. Maintient de relation étroite avec le proche orient, par Marseille.

Subdivisable en 3 période..

  1. Jusqu'au année 1740 c'est un démarage de ce commerce internationale.
  2. Puis -malgrès les guerres-, une croissance accélérer jusqu'a 1770.
  3. et une phase oscilante du règne de Louis XVI jusquá un effondrement du commerce maritime en 1792.

Quelques chiffres comparant 1716 à 1787 :

  • Antilles vers France 4,4 millions de livres tournois, et France vers Antilles 2,1 ;
  • Puis en 1787 respectivemant 193 et 93 millions.

[modifier] Les grands flus commerciaux

[modifier] Le commerce coloniale

Commerce direct, en droiture, par lequel, les navires ammènes aux antilles des produit alimentaire ou manufacturé et en reviennent chargé de produit coloniaux.

Europe vers Afrique, débarque de la pacotille -textiles, tissus, armes- et achètent des exclaves; emmènes ces esclaves dans les villes des antilles pour les vendres; chargent du sucre, et le revendent, les profit de ce cycle pouvant atteindre 150%, mais demeurant le plus souvent autour de 10%, avec de fort risques notament par mortaltité de l'équipage, mais aussi échec de l'expéditions (tempête, piraterie).

  • La traite des noir :

Les Affricains sont massivement déportés vers l'[[amérique du nord], Brésil, ou Antilles. On estime que 6 millions d'africains -un quart de la population française de l'époque- entre 1701 et 1810. Les Anglais en étant les principaux acteurs, et les français y participant à 1/5 ou 1/4. Le principale port négrier français étant Nantes, réalisant les quasiment 1/2 du commerce négrier français dans la première moitier du siècle, pour être ensuite concurencé par Bordeaux.

  • Commerce de réexportation :

Les commerces coloniaux ne pouvant entièrement être assimilés par le commerce nationale sont réexporté vers le reste de l'Europe : Vers l'europe du nord, puis également vers la méditérannée Saint domingue, Iles sous le vent -Martinique, Guadeloupe et Sainte-Lucie -.

  • Les produits coloniaux :
  • 1765 : 83% sucre ; 12,5% café; puis indigo ; cacao; coton.
  • 1788 (les volumes ont augmentés) : 70% de sucre, 27% café ; 8% coton; indigo et cacao n'ont pas progresser.
  • Commerce coloniale et Exclusif

Le commerce coloniale est étroitement encadrer par le principe d'exclusif, qui réserve à la France la production de ses colonie, interdissant le commerce entre les colonies française et les autres pays où colonies étrangères. Il est tres difficiles à assurer, notamment durant les guerre (Guerre de Sept Ans), et les autorité ne peuvent que rinstaurer un régime mitigé, adoucis : les interdictions sont maintenue, mais une certaine tolérance est apparut. Il se dévelope donc un commerce inter-colonies (favorisant l'autonomie coloniale).

[modifier] Commerce avec l'océan indien

Les Indes; les iles aux épice (actuelle indonésie : Java, Sumatra) avec poivre, muscade, saffrant; et la Chine. Ce commerce est très étroitement encadré par les grandes companies de commerces bénéficiant de monopole accordé par la couronnes. Compagnie française des Indes , fondé en 16[64?] par colbert pour faire face a la compagnie Aglaise des indes, et hollandaise. Mais sa

Compagnie des Indes de John Law en 1719 ; après l'échec, elle est réorganisé en 1723 puis en 1730 et elle à a peut-près fonctionnée jusqu'a la guerre de 7 ans.

L'importation de cotonade du golf du bingale ; puis le thé ~1million de tonne de thé entre [17....et 17.......] et porcelaine et soierie de Canton. Arrivant au port de Lorient, et la compagnie vend ses marchandises pour les négociant parisiens, nantais, etc. Ce commerce, entre 1723 et 1769 la compagnie envoit en moyenne 17 gros navires, lourdement armée, avec une centaines d'hommes d'équipage pour au moins 2 ans.


21 février


Commerce de la compagnie des Indes, de gros vaiseaux, à 3 mats, navigant en convois lourdement armés.

Après avoir était tres actif dans les années 1740, sous Duplex, gouverneur de Pondichery, gouverneur dénérale des posséssion de l'Inde, mais elle est entres grande difficulté lors de la Guerre de sept ans, en concurrence contre la compagnie englaise qui remporte tout une série de succé constituant le noyaux de ce qui deviendra l'ampire britanique des Inde. La compagnie n'a pas réussit a rétablir sa situation àpres 1763, et la royauté suspend son monopole en 1769. Le commerce devient libre, seul les capitaux et logistique sont exigé, bordelais et marseillais commence à l'emploité. La compagnie française des Inde passe dans une longue phase de liquidation, seulement entrecouper par une reconstitution temporaire en 1785, et est supprimer à la révolution.

La compagnie a développé une véritable politique coloniale, notament dans les Mascarpeen, constituté de l'Iles Bourbon (Réunion, prise en 1665) et ile de France (Maurice). Le dévelopement de ces iles ne commence qu'en 1710 (500 blanc, et 400 esclave). Dans les années 17.., il y a importation de plants de caféïé. en 1764, il y a plus de 4000 européen, et 15 500 exclave. La production est d'environ 700 000 livre-bois jusqu'a 3 millions en [...](~)

  • Ile de France : dévelopé vers 1730, 1740, sous la direction de [Labourdonaie]. L'ile ce dévelope sur le , le port Louis, elle devient la principale escale des navires de la compagnie des Inde et Royale. 20 000 habitant en 1767 dont l'activité est orienté vers le port.

[modifier] Les autres formes de commerce

  • Avec Europe du Nord :

Échange très dinamique, instalation dans les port français de communautés marchandes étrangères très dynamiques. Le commerce conciste en la réexportation vers l'europe du nord de matière coloniale (sucre, café), ainsi que des produit francais traditionnel (vin d'aquitaine et eau de vie de Charente), expoté vers l'UK si de qualité, vers l'Europe du Nord pour les matière de seconde qualité. Iles en rapporte bois (pour tonneau), lin, chanvre (pour les voiles). Le commerce tend a s'étendre à Pologne et Russie, notament pour le café (russie).

  • Commerce méditérranéen :

La méditérannée n'est plus le coeur des échanges commerciaux, elle reste importante, mais s'est fait supplanté par l'Atlantique. Elle reste parcourrue par des flus intense, dont Marseille est une place clef, ou se connecte commerce Atlantique, métitérannéen et Alpin.. En 1789, le proche-orient (27%) et l'Italie (24%) forme a eux 2 plus de la moitier de son commerce. L'espagne 7%, la Barbarie 6,5%, les Antilles 23,9% du commerce Marseillais. Marseille exporte de la Soie, et du coton en provenance de l'Empire ottoman, des Dras du Languedoc (Nimes), réexporte du Café et du sucre vers le proche orient. Marseille et son arrière pays devient le grenier a blé de la méditérannée occidentale, notament un arrêt du 8 dec 1723 autorisant l'entrée-sortis des grain dans le port, libéralisation locale et avant l'heure du commerce des grains.

[modifier] Répercution du commerce

  • essort des port
  • essort de l'atlantique
  • essort de la marine

[modifier] Les Ports

Le grand commerce maritime est directement resposable de la croissance de la faca de atlantique, notament Le Havre, Nantes, Bordeaux. Le Havre, ex-avantport de Rouen. La Rochelle et Lorient en profite également. C'est port profite de l'essort notament du fait que ce sont 5 port généraliste, profitant du tout commerce. 45 000 1740 et 120 000 en 1792, devenant ainsi une ville monumentale, presque entierement reconstruite dans le Style bordelais (haut rez de chaussé, arcade, entre-sol, sur lequel se pose l' "étage noble", puis les autres étages, plus humble). Dans cette ville, la municipalité a les moyens de mener de vrai projet d'urbanisme. La ville est cosmopolite : Irlandais, Anglais, des hollandé, avec des matière d'allemagne, d'Ibérie, etc. On trouve aussi des Créoles, venus faire leur éducation, ainsi que des Noir, pouvant etre libre. Le Port de Nantes s'enrichit autant mais se modifit moins. Toulon, Brest, [...un port] sont des port militaire pour la marine Royale, ainsi que St Malot, Dunquerke, Boulogne. Il y a spécialisation de ces ports secondaire, St Malot se liant a Cadix l'espagnol, arrive à en retirrer []. Dunkerque, Boulogne commerce avec le Nord et contrebande pour le thé et l'eau de vie, Dunkerque recevant 1 millier de navires/ans. On estime les ventes de 1784 -officielle et de contrebande, étaient toute 2 quasiment équivalente : environ 11 millions de Livre-tournois.

[modifier] Economie des façade atlantique

Le commerce extériere réorganise entièrement la façade maritime du royaume a 3 niv:

  • dévelopement de la transformation des matiere première ramené des colonie : rafinerie de sucre et manufacture de tabac.
Pour Bordeaux, respectivement 26 et 7 au alentour 1780, avec 1000 à 1200 ouvrier naval, les rafinneries de sucre 300, les manufacture de tabac 500. Donc au minimum, les industries portuaire représente 1500 emploies. En 1788, un controleur constate qu'il n'y a pas de chomage à Bordeaux

Nates, fin 1760, on retrouve les rafinneries de sucre, des verrerie, des soirie, des entreprise liées à la marine.

  • La transformation de l'arrière pays, pour fournir les vivres dont les colonies ont besoins.

L'Agricolture de la garonne s'oriente vers le Blé et le vin,pour etre réexpédié. On note aussi l'achat de viande sallée en Irlande pour être réexpédier vers les colonies.

  • Transformation de l'industrie de l'arrière pays.

Fusils de Tules, fabriqué pour étre échangé dans le commerce triangulaire. La soie tissée (Sedan, Lyon) peu etre exporté vers les colonies

[modifier] Transformation de la marine

Les petits navire servent indifféremment pour le cabotage, transportant de port en port les marchandises sans perdre de vu les cotes, ou à la pêche cotière. Alors que les gros navires peuvent etre utilisé pour la pêche hauturière, [..], ou etre armée en corsaire lors des conflits.

  1. 1686 : la flotte française est de 240 000 tonneaux de Joge,
  2. 1786 : 720 000 tonneaux et 5 500 batiments, et témoigne de la santé de la production navale française.

Le nombre de marins est rester stable ~60 000 marins (chiffres fiable car enregistré en prévision de guerre), les bateaux étant devenus plus maniables. L'aller Bordeaux-Iles durant 4 à 5 semaines, le retour 6 à 8 semaines. La mortalité était importante : 12 à 15% de l'équipage.

[modifier] L'économie agricole française

L'Agriculture est la principale activité française, représentant 80% de la production. L'ensemble de la population dépend des récoltes -campagne et ville-. La majeur partie des activités industrielle est dépendante des production agricole: laine, orge, houblon, bois, pour tissage, brassier, chantier naval. Même la ville augmente ses mariages a la fin des récolte. L'agriculture de subsistance est devenue une agriculture de marché, changement ldu XV au XIX.

  • Agriculture de subsistance :
Les paysans vivent en relatives otarcie, ils achètent peu sur le marché, et vendent peu ou pas. Les outils, qui sorte de leur production, son acquit par échange ou service rendu.
  • Agriculture de marché
Le fermier, l'agriculteur, vent à l'extérieure, en tire de l'argent, pour acheté les produits dont il ne dispose pas

Ce mouvement est commencé au XVème lorsque les paysans ont du se fournir en monaies pour payer l'impot royale. Mais ce mouvement s'est accélérer puisque les paysans ses sont mit à produire pour le marché. L'agriculture française à put soutenir la croissance démographique du XVIII.

[modifier] Les cadre de la vie rurale

[modifier] La Paroisse

La paroisse est la cellule de base de la vie des paysans. Elle est d'abord une institution éclésiastique, dont le prêtre y est le "Curé" (parfois "Recteur", en bretagne). Les paroissiens doivent payer une contribution spécifique pour entretenir les batiement de la paroisse, ce sont les Dîmes. Il est fait par l'exploitant, en nature, et sur le lieu meme de la récolte. La dîme se paye sur les céréale, mais aussi sur la Vigne, et sur le Droît du Bétaille : les bêtes qui sont née dans l'année. Le produit des jardins est exempt de Dîme. Les nouvelles cultures : Maïs, pomme de terre, sont frappé d'une dîme plus faible, meme si il y a volonté de traitement égale. Au XVIIIème siècle, les prêtres et paysans sont souvent en conflit a propos des Dîmes. Les prêtres ne perçoivent pas toujours l'intégrité des dîmes. Des organismes religieux se substituent parfois aux pretres, ne leur reversant qu'une parti des dîmes perçu : la part congrue.
Le temporel de la paroisse est composé des batiments, meubles et objects du culte, et est gérer par une institution locale : la fabrique de la paroisse, formé d'un commité de petit notable locaux, l'un des lieux de pouvoir de la paroisse.

La Paroisse est une institution civique ! Le curée étant responsable d'un registre de Batême, mariage et sépulture. La répartition du payment de la Taille est repartie entre paroisse [d'une meme région], et répartit par les notable locaux sur les différents locaux. Le curée est l'intermédiaire entre pouvoir publique et locaux.

La paroisse se confond en général avec un village, régis par les communauté d'habitant. Dans le nord et l'Est elles sont vieille et puissante, alors que dans l'Ouest et le midi, où l'habitat est dispercé, ces communautés -lorsqu'elle existe- à peu de pouvoir. L'assemblé général du village, ayant lieu plusieur fois par ans, le dimanche, après la messe. Femmes et journaliers sont exclus : femmes car jugés inaptent, les journaliers n'ayant pas de raisons de s'investir dans ces affaires. Les gros propriétaire -coq de village- que sont désigné le syndict de la communauté, qui va gérer pour une année les affaires du village, aidé par le curé, et surveillé par le seigneur.

La Communauté des habitants organise les travaux devant être réalisé en commun, nome les gardes champères, et les Garde-récolte, elle veille ensuite au respect des contraintes collectives. Elle est respossable des tirages au sort pour les milices, et a droit d'agir en justice contre curé et Seigneur. Elles sont étroitement surveillées sous surveillance royale, de l'Intendance qui surveille les nominations et décision de ces communautés. La royauté tente de les faire diminuer, jusqu'a ce que Louis XVI [édit de juin 1787] éssaya d'en faire de vrai institution, réunion régulière et budget, précurseuse des conseil municipaux.

[modifier] La Seigneurie

La notion de propriété absolue sur un bien -mobilier ou immobilier (maison, etc)- ne s'applique pas a la terre, car d'autre que le propriétaire on des droit sur ces terres : le seigneur et les paysans du villages.
La terre en france ressort de 2 catégorie

  • Alleux : bien hériditaire franc (exempté de tout droit seigneurial). En principe, il n'y a pas d'Alleux en france car toutes terre a un seigneur. Dans les fait, il y en a, notament dans le massif central, l'Est et le Midi. Mais reste des terres de petites tailles : jardins, vergés, etc.
  • Seigneurie: hérité du moyen age les rois ayant concédé des part de leur térritoire a des seigneurs pour qu'ils tiennent (gouverne) la terre en leur nom, en échange de services, notament militaire. On estime entre 40 et 50 000 segneuries. Elle réunit entre les mains d'une meme personne la possessions d'un fief

Le fief est un dommaine noble concédé par le rois ou un nobles plus important sous condition de foi, hommage et fidélité. La Seigneurie est assujétie a certain services et taxes. La Reserve ségneuriale est une partie des terre de la Ségneurie, sur lesquelles le Seigneur local possède pleinement (propriété utile : Droit de recolte, de vente, et de la faire hérité).

  • Droit seigneuriale : publique, judiciaire, fiscaux, sur l'ensemble de ces fief : Réserve et terres consédées (Tenures et Censives). Il n'est pas propriétaire des Censives, mais y a des droits : "la propriété éminente" ; il n'en a pas la propriété utile. Les Censives de la seigneurie et leur différentes mutations sont inscrites dans un livre terrier, soigneusement conservé puisque déterminant quels sont les droits du seigneur sur chaque terre.
  • Fonction de la Seigneurie :

Symbolique, enrichir le seigneur. Elle a une porté symbolique dans une société de déférance (soumision au supérieur). Il a certain signe de pouvoirs : un colombier, le premier rang a l'église, le monopole de la chasse.
Le paysan doit être déférant envers son seigneur et montrer toutes les marque de respect : enlever le chapeau, politesse,...
Tout les seigneurs ne sont pas nécessairement nobles, les roturiers bourgeois peuvent être seigneur de terre.
Elles doivent repporter de l'argent au seigneur par les impots qu'il peut y lever.

  1. Cens :Il perçoit le cens reconnictif de seigneurie. Le paysans reconnait par ce cens sa sujetion au seigneur. Ils demeurent infime -dont le montant n'a pas été réévaluer- mais hautement symbolique.
  2. Surcens sont les tentatives seigneurale d'accroitre le cens, généralement faible.
  3. Le Champart, sorte de dîme seigneuriale, prélevé en nature, proportionnelle à la récolte, oscilant entre 1/6 à 1/12 (prélèvement s'ajoutant à celui de la dîme du Curée : 1/10ème).
  4. Droits casuels, versé irrégulièrement, exemple les "lods aidantes", prélever a chaque fois qu'une terre Censive est vendu.
  5. Banalités (ex : Les banalités du moulin), obigeant les paysant à faire moudre leur grains au moulin du seigneur.

Ces diverses charges, indépendament faibles, se révèlent très lourdes lorsqu'aditionnés. La disparition de ces charges, en 1789, fut donc particulièrement bien accueillit. Le Seigneur lui meme et également exploitant agricole, concurant déloyal, puisque n'éyant pas les mêmes charges, et disposant de privilèges : premier à vendre, etc.

La seigneurie confère aussi un droit de rendre la justice. Tant dans les affaires civiles que dans les affaires criminels. Par les ordonnance judiciaire de 1670, la seigneurie est responsable des ...

  1. Basses justice, inférieure a 3 livres tournois.
  2. Moyenne justice, permet également des ammandes.
  3. Haute justice : peine infamante, afflective, ou mortelle.

Le verdict d'un seigneur est systèmatiquement mise en appel, ou les parlements cassent souvent les lourdes comdamnations.

Les seigneurs avec droit de basse et moyenne justice on droit d'afficher leur armoiries, ceux de haute justice on droit d'afficher en plus les fourches patibulaires, symbole de justice.

[modifier] La réversion Seignorial

A partir de du XVIeme, mais surtout à partir de 1760, les seigneurs auraient chercher a faire revivre d'anciens droit seigneuriaux oubliés afin d'augmenté leur revenu. Les Seigneurs ont fait refaires ces livres terriers par les feudistes, spécialistes des archives seigneurales, des livres terriers et de l'arpentage de terre, par lesquels les seigneurs ont chercher a mieux maitriser l'espace de leurs seigneuries. On relativise desormais l'importance de ce mouvement de Réaction seigneuriale, mais les révoltes locales et le climat qu'elles entraine en 1789 aurait ammorcés la Révolution française.

[modifier] La propriété du sol

Le Seigneur et le propriétaires sont parfois confondu (Réserve ségneuriale), mais sinon : propriétaires (propriété utile) et seigneurs sont différenciés. Les propriétaire, le plus souvent, loue la terre au paysan amodie :

  1. le bail à loyer d'Argent : le Fermage
  2. le bail à mi-fruit : le métayage, qui induit un partage de la Récolte.

Les clerc possèdent en moyenne 10 à 12 %, et jusqu'a 20% du sol. Les nobles environs 25%. Au nord-est de la ligne Lyon-Caen environ 30%, à sont Sud-Ouest : 20% Les bourgeois des villes : de 15 à 20% des sol, surtout en périphérique des villes. Cette proportion a augmenté, concernant bourgeois, marchant, mais aussi artisant. Mais aux détriments des paysans (surtout près des villes). Il est notable que la paysannerie française est ici plus chanceuse que ses voisines.

Le recul de la propriété paysanne est notament fruit des crises, nécessitant endètement, puis expropriation.

On peut noter que la mentalité égalitaire du nord mène -par héritage- à une masses de micro propriétaire fragile.

[modifier] Organisation des cultures

Repas : Soupe longuement bouillit : Légumes, un morceaux de lard, et un morceaux de viandes les bons jours. On y ajoute des morceaux de pain.

[modifier] Les produits du sol

La culture principale sont les céréales d'hivers -Gros blé- car elles sont semé en hivers.

  • Le Froment est la principale céréale puisque donnant la farine blanche qui est utilisé
  • Le Sègle, sur les terres sèche, caillouteuse, c'est une céréale pauvre, mais très résistante et a croissance assez rapide.

Les petits blé (de printemps)

  • L'orge, nourriture pour bétail, mais pouvant faire un pain grossier, moins nourrissant lors des période de crise. C'est une céréale facile a récolté, et permet de gerer la soudure (période du printemp).
  • L'Avoine, céreale pauvre, sert sourtout pour les chevaux.
  • le Sarazin, -plante de la famille des groseilles- venue sur les sols particulièrement pauvre, notament en bretagne, préférentiellement destiné aux annimaux. Peut se consommé en bouillit.
  • le Mil -ou milet-, non panifiable, pauvre.

Ils plantent également des légumes : les herbes, et les racines (carotes, etc.) cultivé dans les potagés. C'est un complément allimentaire diminuant la dépendance aux céréales. Les légumes sont parfois en cultures intensives. Fèves, poids, lentilles, oignons, poireaux, venu d'Italie : artichaux, citrouilles, courges, ou d'amérique : haricots, tomates, pomme de terre. Les légumes n'ont que raremet la meme allure qu'aujourd'hui, ex : les carotes blanches.

Le riz est surtout importé, notament d'Italie, mais avec tentative en Camargue et Picardie. Le Maïs, d'abord importé, mais conquière le sud-ouest. Elle a le double avantage d'un grand rendement, et d'une culture de printemps, ne subissant pas l'hivers. Mais étant moins nourrissant que le blé, il peut être considéré comme une régression.

Les plantes [8888] : trèfle, luzerne. Elles servent a nourrir le bétail, tout en rechargent le sol en Azote etc., la récolte suivante est ainsi améliorer.

Le Chanvre et le lin : servant a faire des toiles grossières et des cordages. Le lin sert plutot à faire des toiles fines, des dentelles.

Le colza, servant de ... mais également a faire de l'huile.

Les plantes taticorriale : la garance, le pastèle, la guèle, la maude, le safran. Elles fournissent colorant et éléments de produit "médicaux", mais sont des culture particulièrement délicate.

La Pomme de terre : connu depuis le XVIème

[modifier] L'évolution des rendements

Comment l'agriculture française à telle fait pour servir la croissance démographique française de 22 à 28 millions d'hab. Une révolutions agricole aurait eu lieu, avec une croissance des rendements, par l'apparition de nouvelles plantes. La progressions des rendement n'a fait que +20 % environs.

Dans les années ordinaire : un grain semé en donne 3. Les bonne 4 ou 5, les bonnes terres 6. Dans le bassin parisien, plus moderne et avec de bonne terre, les bonnes années en donnent 10-12.

La hausse de la production est surtout dut a la mise en culture de nouvelles terres, soit par défrichement, soit par recul de la jachère au profit de l'alternance des cultures. Par ailleur, une meilleur consservation de grains, et la meilleur circulations des productions exédantaires auraient également joués, d'où le recul des famines.

[modifier] Les régions agricoles

On en compte 6, fonction des équilibres écologique.

  1. Nord
  2. Ouest : Normandie, Bretagne, Poitou : sol pauvre, zone du bocage. avec différence entre les terre moins mauvaises -chaude-, et les terres ingrates -froide- qui sont à la périphérie voué a l'élevage, aux friches, des terres closes par des haies d'épineux planté d'arbre.
  3. Montagne : Pyrénnée, Alpes, Massif centrale. Soumises a un climat rigoureux essentiellement bovin.
  4. Aquitaine :
  5. Midi, landoc et méditérannée. La trilogie méditérannéenne Blé, Vigne, Olivier, et mouton. [Avec une zone cultivé autour du village, et le saldus -terre broussailleuse, terre fréquemment en feu, maquis- ou les moutons broutent.
  6. Flandre : jardinnage à très fort rendement.
  7. Zone de vignoble : Bordelais.

2005 mars 14:


Le territoire de la paroisse, le finage, est divisé en 3 parties _ Enclavure, arrable, loué en permanance a la culture, _Près et pairie permanante pour le bétail _Bois et friche, en principe de tres faible superficit, généralement au marge de la paroisse. Forme généralement les communaux, car a disposition de l'ensemble de la communauté villageoise, selon des règles assez strict d'exploitation, d'efinit par l'assemblé du village dont l'infraction entraine ammende. Les régions de champs ouvert se trouve près de l'habitat nucléaire ou habitat groupé, [~le nombre des écart est généralement faible~].

Une ferme contient potager, verger, un enclos a bétail. Les villages sont des illots verts, de vergés et maison, au millieu de champs sans haies.

Le village est entouré de champs ouverts, 3 sole. Chaque paysan exploite une ou plusieur parcelle de terre dans chacune des 3 sols, régit par le principe de la rotation triénale. Chaque année, une des 3 sols est cultivé en céréale d'hiver, l'autre en céréal de printemps, et l'autre en jachère pour se recharger.

  • Cycle triénal : Jachère => Céréale d'hivers (très demandeuse en nutriment) => Céréale de printemp,

Le paysan ne choisit pas les cultures sur ses terres. elles sont imposé par la communauté. Et le paysans n'a pas le droit de déssolé. C'est une agriculture communautaire, surtout dans le gros tiers nord-est. C'est une association de céréaliculture et mouton (viande, laine, lait, fumier). Consiliant le besoin d'un maximum de céréale possible, donc augmenter l'espace cultiver; et nourrire le maximum de mouton possible, donc augmenter la surface de prairie, et qui permet de produire le fumier indispensable. C'est un compromis entre surface consacrée a l'élevage et surfaces consacrée à la culture.

Les collectivité possèdent des droits sur les terres des particulier ainsi que sur les communaux,

Droit communaux

  1. droit de dépéssance sur la jachère : dès la mise en jachère d'une sole, tout un chacun peu y ammener ses moutons.
  2. chaule/chole/[ce qui reste après la fauché des champs]
  3. Droit de paisson : pour les porc mangeant dans les bois
  4. droit de chauffage, pour du bois.
  5. droit du bois d'oeuvre, pour construiction
  6. droit flanage pour femmes et enfants de rammaser les épis tombé en terre

Ces droit communaux sont indispensable a la survie de certaines partie de la population. L'exode des campagnes du XIX siècles est en partie du a la disparition de ces droit communaux, le communautarisme disparait au profit de l'individualisme et du libéralisme. Les grands vaincueurs des réformes révolutionnaires sont ainsi une petite partie riche des campagne ayant su racheter les terres communales.

[modifier] La France industrielle

La réalité industrielle de la France d'ancien régime est intimement lié aux campagnes. Les paysans formes l'essentielle de la mains d'oeuvre industrielle, et une part essentielle des déboucher de l'industrie. La ville ne reste qu'un puisant moteur ponctuel. Les puissant[..................................]

  1. Les sources d'énergie : eau, bois (et vent) sont plutôt disponible dans les campagnes.Il faut se défaire de l'idée moderne Industrie = Ville.
  2. L' industrie du XVIII n'est pas la meme industrie que l'industrie qu'aujourd'hui. L'industrie d'ancien régime désigne l'ensemble des productions materielle par transformation et mise en oeuvre de matière première
  3. Les sources d'information sont extraimement dispercer, et les différences entre secteurs industrielle est tel que de les étudiés comme entité unique est très maladroit. Pourtant, il faut déjà s'y interressé, puisque la France apparait finalement comme la première productrice d'europe, bien que dépassé par la production Anglaise à la tête d'habitants. La france envois des missions d'observations, des ingénieurs, des espions, et l'apparition de l'idée que la France est en retard par rapport a l'UK apparait dès la seconde moitier du XVIIIème. La croissance de la production, de 1700 à 1790 est estimé -avec réserve- à 1,9%/ans. Cette croissance étant lié a la progression de la population, mais aussi à une mutation de la consommation, tendant vers la consomation de masse.

[modifier] Les formes de production

[modifier] L'artisanat

La majeur partie de la production manufacturé l'est dans le cadre de l'artisanat et le cadre familiale, le chaf de famille faisant fonctionné une machine avec l'aide de sa femme et de ses enfants. Les différences professions artisanale libre étaient généralement inscrite dans un système que l'on apelle inproprement "Corporation" (mot anglais venant après), alors que l'on parlait de "Communauté d'art (artisanat, art mécanique, nécessitant une connaissance) et de métier", de "Corp de métier". Tout individu exerçant une profession artisanale doit faire partie d'un corps de métier, comportant 3 hiérarchie:

  1. Les maître de métier, détenteur de ses outils de travail (et locaux)
  2. les compagnant, ouvrier confirmé, soit attendant de devenir maitre, soit -trop pauvre- destiné a le demeurer.
  3. les apprentis, entre 14 et 20 ans, apprenant le métier.

Les membres des corps de métiers ont le monopole du marché local, ils ont pour fonction de controlé les norme et la qualité des produit. C'est un accord monopole/qualité. A partir de 1760, les corps de métiers sont de plus en plus critiqué sous le libéralisme montant, au point qu'ils sont brièvement supprimé par Turgot. Il arrive qu'une ville soit spécialisé, avec des centaines de petits atteliers, on appel ces regroupement des manufactures.

Ex : Manufactures de Lyon, pour la soie.

Une Manufacture est une aire de production rassemblant un grand nombre d'atelier.

[modifier] Les grandes manufactures

réunissant plusieur centaines d'ouvriers et équipé également de machines spécialisé. Ils se trouvent en villes, pour les débouchés, ou à la campagne, pour les matière première. Elles sont souvent sous protection royale, avec privilège pour encourager ces nouvelles industries.

Ex : Manufactures d'indienne, toiles de coton imprimer, par Oberklabf, dans le village de Joy, près de Paris. Constitué d'un immense batiment de 100 m de long réunissant toutes les étapes de la fabrication, employant 900 ouvrier dont il essaies d'encadrer le travail de manière rationnel, l'adaptation des paysans au monde industriel étant délicat.
Les arsenaux de Brest, Rochefort, Toulon. L'arsenal est un très large espace, soigneusement surveillé, et ou les productions se font dans de long batiment spécialisé (corderie, menuiserie), avec des milliers d'ouvriers 2157 en 1771 et 9300 en temps de guerre (1780 ?). Certaines de ces manufactures appartiennent directement au roi. Roi : manufacture royale des Gobelin, à Paris, pour la fabrication de tapisseries haut de game.

La royauté et l'État encourages souvent par des près et privillèges pour lancer les début de ces industries.

[modifier] 3-La manufacture rurale et proto industrialisation

L'activité insustrielle repose sur la répartition du travail Campagnes/villes. Les marchants confient le travail purement manuel, ne necessitant aucune machine, aux paysans (et leur femmes). Lorsque le produit avait été traité, le marchand récupère le produit semi finit pour le rapporter dans les ateliers. ou il sera finit. Ce système de protoindustrialisation est partout visible, et noté vers 1770 par Francklin [Mendels] qui a construit ce concept pour comparer les condition de marche vers l'industrie -tant en europe qu'ailleur-. Il a décrit et nomé le processus. L'économie de régions entières est organisé et dominé par une ou plusieurs villes dont les marchants donnent du travail aux paysans.

Ex : Les villageois faisant des cérures, les marchands les récupérants, les artisants urbains fabricants les coffres.

[modifier] L'industrie textille

[modifier] Les formes de l'industrie textille

Sa production représente 2/3 du produit industrielle de la révolution.

les produits de la laine, pour les toiles de laines : 1/4
la soi : 14%
le lin et le chamvre 13%
industrie du coton : 11%

Il ne sagit pas de la taille des vêtements, mais de la fabrication de pièce de tissus. Les formes de l'industrie textiles sont très varié :

ex : Manufacture de drap fin, avec 1500 ouviers, pour des produits de luxe, nécessitant un savoir faire très précis.
ex : Manufactures dispersées Lyonnaise de la soierie, 30 000 personnes, pour 100 000 personnes. Ils sont tous inscrit dans le cadre de petits ateliers dispercé et de faible dimension, avec : Le maitre, sa famille, et un seul compagnant ou apprentis, vivant ensemble dans un appartement servant de logement et de lieu de travail. La production de soie étant très sévèrement encadré par la communauté d'art et métier de soie.
ex : certaines villes fonde leur prospérité sur la capacité de travail de leur arrière pays paysan, au coeur et moteur de ville proto-industrielles. Les paysans éffectuaient le catage des toisons de mouton en fil de laine -travaillable-, puis la ville tissait la laine en toile.
ex : manufacture rurale : l'intégralité de la production et réalisé par les paysans, généralement pour une qualité grossière, mais de produit couteux (toiles de Bretagne, etc.).

Toujours est-il que le produit reste peu couteux, les paysans étant de 20 à 50% moins cher que les urbains. La proto industrialisation permet autant des ventes locale que lointaine : jusqu'en amérique, chine, et colonies.
La proto industrialisation induit un liens tjrs plus favorable au marchand. Il apparait pourtant des artisants-tisserant, sans terre, qui souffre donc énormément pendant les troubles.

[modifier] Localisation de l'Industrie Textile

Localisé dans certains lieux ponctuel, mais répartis sur le térritoire :

  1. Lyon (soierie)-Saint-Étienne(rubannerie)
  2. Languedoc (Montaban : draps et tissus de laine; Nîmes : soierie ; Toulouse, Carcassone : Coton)
  3. Grand-Ouest : production de toiles de lin (Bretagne interieure, le Mans)
  4. Ensemble Picardie-Flandre-Cangrési-Valanciennois, diver :
  1. laine : 30% d'Amiens, Beauvais, etc., soit 170 000 personnes
  2. lin, en 1780 : 68 000 fileurs qui confit leur production a 6 000 tisserant
  3. multinerie : toile fine de lin, Valencienne entre 50 et 60 000 personne.
  4. sayetterie : draps de laines, Lilles.

Certaines région sont onc dénudé d'industrie textiles -Aquitaine, Centre-massif central- mais les productions circulant bien, cela ne pose pas de problème. La production textile reste sujette a de très vilantes fluctuation, fonction des crises démographique, économique, guerres, qui font basculer des régions entière dans une tès grande misère. Certaines villes on aussi subit une déinsdustrialisation, soit par une défaillance propre (incapacité a se renouveller), ou par l'éfficacité, l'ombre de concurrants (près de Paris)

ex : Nîmes et sont industrie drapiaire qui s'éffondre face a la concurrance du XVIIème, et est remplacer par la soierie courrante, destiné davantage à l'étranger Ibérique et ses colonie qu'a la métropole.

Il est admit dès le XVIIème que pour bien vendre une marchandise il faut qu'elle soit de bonne qualité, et c'est a l'État d'en vérifier la qualité. Donc la réglementation étatique de la qualité est issue de l'idée que les manufacturiés produiraient spontanément de la mauvaise qualité afin d'augmenter leur bénéfices.

Texte du 13 août 1769 exige qu'une marque soit aposé sur tout drap de laine afin que la longueur, largeur et qualité de 317 articles différent soit facilité. Dès 1670, la couronne crée le corps des controleur de manufacture, 21 en 1671, leur compétance est élargie en 1739 a l'ensemble des toile et à la papetterie. Ils sont 64 en 1764, divisé géographiquement, ils doivent controler la qualité et encourager la production. Le fait que les normes soient fixées par le conseil du roi n'exclus pas que les artisants soient consultés par les autorités locales.
Mais... Cet interventionismeà tendu a reculer face au idée libérales (1760-1770). Selon elles, il existe un ordre d'équilibre naturel pour vu qu'il soit libre. Il faut selon eux supprimer les règlements, afin de favorisé liberté de commerce et de production. Ces idée on particulièrement été promotionné par [Vincent de Cournay], insistant sur les vertues de la concurance entraver par les règlement. Et les controleurs ont progressivement été gagné par le libéralisme, influençant leur travail

Arrêt du conseil du 7 novembre 1762, à accorder aux campagnes la liberté de filage, et surtout, la liberté de tissage. Les artisants urbains n'en n'ont plus le monopole. Autorisation en 1769 de fabriquer -en France- des indiennes. Arrêt du conseil passé par Necker en 1779 autorisant les fabriquants a se soumettre a la règlementation de l'état, ou a s'y soutraire. Créant un double sytème entre réglementé et non-réglementé.

[modifier] Les conditions de ... industrielle

[modifier]  ??

Les différents secteur augmente leur production, du fait de la craissance démographique ainsi que de la modernisation des mode de consommation. Le pouvoir d'achat a augmenter. La part de l'alimentation dans les budgets a diminué. La demande en vêtement, en meuble, en instrument de travail a augmenté dans les campagnes et dans les 20% des villes. Les gammes de produits ont eu tendance a se diversifier.

Le textile augmente au cour du XVIIIème, sous la forme d'habit, mais également serviettes de table, rideaux, nappe de tables.
Il y a différentes qualités de tissues. Par exemple de Lin de peu cher, consommable par tous, ou de Lin de très hautes qualité, cher. Il en va de même pour la soie.

Pour une même étoffe, le nombre d'articles devient de plus en plus grands. Pour les soyeux de Lilles proposaient 5 articles vers 1700, environs 100 articles fréquement remis à la mode a l'approche de la révolution.

Mais l'on reste soumis a la conjecture, des crises, qui voit le pain devenir le principale achat.

Cela reste également une société de seconde main, qui achète des biens non-neuf et pour longtemps.

[modifier] Importance du role direct de l'État

L'État, par ses commande, joue un role fondamentale dans l'économie, notamment militaire. Il faut vétire, et armer plus de 100 000 soldats. La métalurgie française est étroitement liée a l'Armée. La métalurgie française civile produit surtout une matière médiocre, trouver sous le terme générique de Quincaillerie, vendu uniquement sur le marché français et sur les marché coloniale. La seule vrai réussite de la métallurgie française est la production militaire, de fusils : St-Étienne, Charlesville, Tules.

Souvent depuis le XVIème siècle, et... à coté des petits artisants apparait une manufacture royale produisant 40 a 50 000 fusils par ans (1780). C'est toute l'industrie militaire qui est metamorphosé par la mise sous controle étatique. Dès 1760 l'activité métalurgique française est concentrée en quelques lieux hyper productif. A partir de 1779, un seul homme prend la direction de l'ensemble des métalurgies françaises pour fournir l'éffort de guerre.

[modifier] Mutation technique et sociale

Au XVIIIème, la France -contrairement a l'Angleterre- n'a pas connue le glissement d'une "économie organique" (végétaux, céréale, bois de chauffage) vers une "économie minérale", des produitsdu sol non "vivant" (donc marbre, charbon, argent, et.). La pression sur les forêts française n'a cesser de croitre. La France ne s'est pas dirigé vers le charbon ou la houille. La modernisation, en France, s'est surtout fait par des petites améliorations isolé. Des bricolages astucieux, plus que de véritables recherches et innovations. La mécanisation française a eu lieu très tardivement. Une figure nouvelle apparait : l'entrepreneur. Souvent un ancien ouvrier, ou un petit marchand, ou un étranger, venant avec un savoir faire technique de valeur, acquis ou volés ailleur, qui lui sert de garant afin de réunir les capitaux necessaire au lancement d'un ateliers. Ils reste considéré comme en bas de l'échelle, puisque producteur direct. Seul de Forgeron et le Verrier bénéficit d'une aura noble (feu). Mais arrivent progressivement a avoir une connotation positive, mais ce font finalement menacer par la l'émergeance et la concurance du prolétariat.

[modifier] La France catholique

L'opinion de la population française envers le monde catholique est étroitement liée a la décatholie

[modifier] Un royaume très chrétiens

La vie des français est étroitement encadrée par la vie catholique. Les sept sacrements : Batême, mariage, et extrème onction. Ainsi que l'obligation a la messe dominicale (obligatoire) et doit recevoir le sacrement de l'oecaristie au moins une fois par mois. La plupart des français participent régulièrement au dévotions collective, suit les processions. Ils appartiennent a une confrèrie de laic, unis dans la dévotion a un saint particulier, un saint locale ou de corps de métier. Les français suivent également les missions pour précher, délivrer des sacrements pendant une semaine ou deux. L'instruction primaire repose encore essentiellement sur les curés de paroisse, et le secondaire est quasiment entièrement entre les mains de religieux. L'ordre enseignant le plus important est l'ordre des Jésuites : 111 collèges, et 1 250 enseignant sur 3 500 [............] en tout. Ils ont mit en place une pédagogies originales. Avec enseignement des Humanités (grec, latin, etc.), accueillent les élites locales, mais aussi les enfants pauvres et doués distingué par les curés de paroise. Toute la production culturelle est suceptible d'être soumise a la censure de l'Église.

[modifier] La modernisation de l'Église Française

La qualité de l'enseignement écliéastique n'a cesser de s'accroitre dans les 18 archevèché et 110 évêchés. L'épiscopat est de plus en plus "noble": 90% des évêques sont des nobles, ils sont davantages des administrateur que des pasteurs. Ils en demeure pourtant conscient de leur devoir spirituels et sont souvent très bien formés, résident dans leur dioscèse, et pratique assidument les visites pastorales pour controler la qualité des services rendue par les curés dans leur paroisse. Les évêques font ce qu'on attend d'eux : un encadrement de qualité des 40 000 paroisses de 1789. Qui s'agisse du clergé séculié (qui vie dans le siècle), ou du clergé réguliers, les curés sont de mieux en mieux formé grace a leur passage a des séminaire, qui les formes à la théologie comme a la pratique, afin de bien gérer leur paroisse. Et peuvent par ailleur participé a la réunion de dioscèse annuelle. Ils se conforme par ailleur de plus en plus a l'idéal du bon pasteur de la Réforme triantine : le curé doit être distinct des fidèles, il apparait la tenue. Il doit devenir un guide, un exemple : ne pas trop boire, ne pas jouer, ne pas être un marchand. C'est le succès de la réforme catholique.

réforme Tridentine? réforme catholique ou Contre-Réforme, est le processus long terme engagé depuis le concile de Trente 1545-1563, les autorités éclésiastique ont engager une série de réforme de la spiritualité marquant l'Église jusqu'a Vatican II. Cela influença le dogme, la liturgie (déroulement de la messe), l'organisation de l'Église. Autant le XVIème et le XVIIème ont constitué l'élaboration de la réforme, que le XVIII a été l'étendue, l'appropriation par tous de la réforme.Par exemple, débarracer les chrétiens de leurs croyances anciennes, pour touner les croyances vers la trinité uniquement.

[modifier] Des minorités religieuse inexistantes ?

Louis XIV ayant repoussé l'Édit de Nantes par l'Édit de Fontainebleau en Septembre 1685, une partie des protestants tente alors de quitter le Royaume. Il ne reste en France que quelques opiniâtres, et une majorité de "Nouveaux-catholiques/convertis", en particulier dans le Poitou, l'Anuis, la Saintonge et l'Angoumois, mais aussi dans le Languedoc, les Cévennes, ou le Dauphiné. Cependant, près de 90% de ces "NC" ne sont convertis qu'en surface et pratiquent leur culte illégalement, en secret, dans des maisons, des forêts, ... C'est la naissance du culte au Désert. La tolérance, au sens du XVIIIème siècle ne leur sera accordée qu'en 1787 après un siècle de persécutions multiples, comme l'envoi aux galères, l'enfermement dans les prisons, hôpitaux généraux et couvents, mais aussi avec l'intervention des missionnaires bottés, instaurés par l'intendant du Poitou Marillac en 1681. En effet, en 1724 le duc de Bourbon avait repris l'intégralité des lois anti-protestantes. Ces lois, bien qu'ayant peu d'effet (en quantité), devaient entretenir un état de terreur, critiqué par l'esprit des lumières quelqu'il soit.

Les juifs sont peu représentés, surtout à Bordeaux et Bayonne, ils sont bien intégrés, et pratiquent de plus en plus librement leur religion, bien qu'interdite. Il y a aussi l'Avignon, et l'Alsace, la Loraine. Ils restent discriminé par un antijudaïsme galican, les posants comme "tueur de Jésus".

[modifier] Un conflit religieux

La condition contient le germe d'un conflit théologico-politique. A partir de 1781 les penseurs protestant (Amsterdam) on commencer a attaquer conjointement les fondement de la monarchie absolue et de la société catholique.

  • Certains protestant appellent en une religions non plus sur les vérités révélé mais
  • Les jansémistes sont plus querelliste, et ont surtout discridité la monarchie.impossible a établir mais a une religion fondé sur la raison.


Les ordres monastique, vivant sur les rêgles régulières (isolé), ont subit une crise importantes fin XVIII, marqué par certains faits constatés :

  1. baisse des vocation -1768-1788- elle passe de 27 000 religieux a 17 000, soit 1/3. Il y a une baisse de l'interêt envers la religion. Cela frappe surtout les ordres anciens -Bénédictains-, mais aussi les ordres récents et dynamique.
  2. une incompréhension croissante de la société envers les mode de vie et valeurs monastique, constrate saississant entre la richesse des ordres pécuniés et leur role réel. Les ordres religieux sont violement attaqués par les philosophes dénonçant l'inutilité des moines et les tournent en rédicule (panflés, ouvrages satiriques, parfois pornographiques).

Face à ces mouvements, l'Église réagit, l'arrêt du 25 mai 1766 ( Conseil du Roi ), dirigé par l'archevêque de Tours, il prit notament la décision de fermer certaines maisons religieuses, les petites ou a intéret douteux. L'age à été reculé a 22 ans pour les hommes et 18 pour les femmes. Enfin, un nombre minimale de Soeur et moines est exigé pour les monastères. C'est tout de même un éssouflement des pratiques chrétiennes, notament au environ 1760. En voici les indices :

  1. chute des ordinations, - 20% entre 1740-49 et 1780-89.
  2. l'assistance à la messe dominicale semble moins assidu (commentaires, mais chiffres non disponible).
  3. le discour testamentaire évolue. Commençant moins par un recommandement de leur âme a Dieu, le testament devient un simple acte notarié et laïque.
  4. la consommation de viande durant le carême augmente durant le siècle.
  5. les naissances illigitimes, comdamné par l'Église, deviennent de plus en plus nombreuse. Plus de 1% en 1700, elles représentent 10 à 20% des naissances en 1789.
  6. la par de publication religieuse est devenue minoritaire.

Les historiens constate une "Déchristianisation" de la France, mais ce terme est exagéré : le christianisme ne disparait absolument pas. C'est une laïcisation de la France, la foi mute, et dirige de moins en moins la vie quotidienne des français.

[modifier] L'impact des Lumière

[modifier] Qu'est ce que les Lumières

Trop complexe pour etre évoqué simplement :

  1. ce n'est pas un mouvement cohérent, il n'a pas d'unité, de but. Raison et Progrès, mots clefs, mais chacun y voit une direction différente a prendre.

Les lumière ne sont pas un courant de pensée, c'est trop étalé dans le temps et dans son contenu, etc.

  1. Les idées des lumières on un contenus bien trop variant, et avec une multitude d'interprétation. Kant : Qu'est-ce que les lumières ? déjà se posait la question, mais c'est chaque époque qui se pose la question et modele la réponse a son temps.

Le plus grand point commun est la volonté de libéré l'homme des croyance et surperstition, afin de lui donnée les moyen de comprendre ce qui l'entoure. De sorte que les lumière ne sont pas séparable des progrès de la Révolution scientifique Gallilé, Descarte, Isaac Newton, [Lock], qui ont montrait qu'il était possible d'interpréter le monde autrement que par la religion, par le biais de termes scientifique, mathématique, de loi intangible mais constatable (ex : la terre tourne autour du Soleil). La lutte de cette révolution scientifique et des affirmations religieuse, avec la victoire finalement des science, sera un coup terrible à la religion, son obstination, et son ignorance. Les publication fondamentale de la période son celles de science, les hommes, les notables des lumières seront particulièrement marqués par ces recherches, ces constats, cette logique fondé sur l'observation. L'homme des lumières se considère d'abord comme un scientifique. (voir : Micromégas, livre.) L'interêt est également croissant envers les progrès technique, mécanique : automates, la pompe à air, les mongolfières dès 1783. Les lumières semble avoir pris naissance en France est dans l'allemagne lutherrienne et notament la Prusse de Frédéric le Grand, puis la Russie. mais aussi certains états nord italiens. Les lumières ont par ailleurs toujours eu une valeur universaliste.

[modifier] Les lumières en France

La France est considérée comme la patrie des lumières. Par...

  1. la présences d'auteurs clef : Comme la trilogie Voltaire-Diderot-Rousseau, mais aussi d'étranger comme le Baron Holbach et Benjamin Franklin.

Noter cependant que Voltaire participa assez peu à l'encyclopédie, mais que son renom était tel à l'époque que même de nos jours, il reste attaché à cet ouvrage. Au moment ou d'Alembert, qui fut avec Diderot, le premier à travailler sur l'Encyclopédie, quitta l'entreprise ( en 1758 ) c'est Voltaire lui-même qui l'y encouragea...

  1. les 3 000 auteurs parisiens, dont seuls une trentaine pouvant vivre professionellement de leur plume, plus 1/2 milliers d'essayistes et panphlétaires "moyen" : les "Rousseaux du Ruisseau".
  2. les salons parisiens, fréquentés par des auteurs, des courtisans, des ministres, des artistes, se réunissant pour pratiquer l'Art de la conversation policée. Leur succes est aussi fondé sur leur principe d'égalité, la parole est donnée en fonction des talents d'expression.

En France, on note également une implication des philosophes dans la vie politique. c'est aussi le foyer de l'Encyclopédie Il faut préciser que les salons furent l'oeuvre de certaines femmes d'esprit telles Mme de Tencin ( mère de d'Alembert ), madame Georgin, madame de Lambert, madame Du Deffand, et que chacune imprimait sa marque.Même si beaucoup fréquentait différents salons en même temps, ils avaient tous leur spécificité. La clientèle de Mme Geoffrin n'était pas la même que celle de madame Du Deffand, etc...

L'Encyclopédie, de 1750 à 1772, plus de 60 000 articles, le chevalier de Jaucourt à écrit a lui seul 17 000 articles. Mais on trouve également de simples artisans ayant écrit un unique article.

  1. Elle est un condensé, avec une prétention à l'universalité de toute la connaissance de l'époque.
  2. La conviction que le savoir libèrera les hommes.
  3. Les lecteurs sont surtout des élites traditionnelles : Noblesse, clerc, et magistrature.
  4. Elle fut une entreprise risquée, soumise à la censure du directeur du livre. Nombreux sont les auteurs ayant fait un tour à la bastille (Voltaire, Diderot). Après 1740, c'est 50% des embastillés qui aurait appartenu à l'industrie du livre. Les 2 premiers tomes sont d'abord interdits, puis toléré mais surveillé.

Noter également que si la censure fut pesante, ce fut sous le poids de l'Eglise ( n'oublions pas que le Parlement était de tendance Janséniste )qui voyait d'un mauvais oeil toute cette émancipation, et que chaque faction Jésuite et Janséniste se livrait un duel serré. Les lumières ne sont pas réservées au élites, la sociabilisation se modifie, avec l'apparition des cafés, des académies provinciales, des sociétés de lecture ou des bibliothèques publiques. Ces formes de sociabilité permettent la diffusion de l'esprit des lumières chez les négociants, marchands, voire artisans riches, etc. Il y a par ailleurs une progression de l'alphabétisation, et une masse de plus en plus large de connaissances furent mises à disposition d'une population de plus en plus grande. Repportant les fait, repportant les reflexions a ce public, il y a création d'une opinion publique éduqué, juge, et politisé.

[modifier] L'attaque des philosophe

Les philosophes on combattue la croyance et le jeu de manipulation autour de l'idée de miracle, de croyance locale, pour finalement être antireligieux. Mais ils ne sont pas anti-dieux, ils sont souvent Déiste, croyant en un Dieu créateur, posant le monde, son grand architecte, mais n'y agissant pas. Les prêtres, les religieux seraient des manipulateurs, des usurpateurs, prétendant être détenteur d'une parole, d'une légitimité qu'ils n'auraient pas ! Les philosophes sont rarement athée, mais souvent anti-cléricaux. L'Église de France, l'assemblé du clergé de 1750 a dénoncé pour la première fois les "livres impits". L'Église de France à succité des ouvrages réfutant le déisme, réfutant l'anticléricalisme des philosophes, mais se fut un coup de paille face à l'armée d'intellectuels de lettre que sont les philosophes.

[modifier] Louis XVI de ... à 1792

Il y a un contraste entre son arrivé populaire et sa sortit dramatique, un petit peu ratée.

La mort de Louis XV le 10 mai 1774 fut accueillit avec joie. Louis XVI était le 3ème fils du Dauphin, le Duc de Bourgogne, et restat longtemps dans l'ombre. Son arrivé fut associé a l'annonce de nombreuses réformes. On disait qu'il avait rédigé la liste des sujets les plus honnetes du royaume, qu'il serait un nouvel Henri IV. A l'inverse, les gazettes annoncent que le peuple se montrera volontaire et serviable envers ce nouveau bon roi. Il bénéfit d'une période de... . Il se soucis de sa popularité, rapelle Maurepas. Il renvoya les ministres rapella le parlement et sembla annoncé une ère plus honnette et fidèle avec Marie-Antoinette d'Autriche.

[modifier] Marie-Antoinette et Louis XVI

Il existe quantité d'ouvrage, mais dificillement utilisable, car soit injurieux, soit élogieux.

Jusqu'a récement il était considéré avec sévérité, ou une certaine tolérance. Il apparait finalement qu'il à eu une bonne éducation, mais par des maitres hostiles aux lumières, et avec un Programme scolaire royal datant de 1690 ! ce qui limita le réalisme des ses connaissance. Il n'en reste pas moins qu'il était assidu, soigné au travail, aimant la géographie, la navigation, l'astronomie, mais également les travaux manuels de finesse : scérurerie et horlogerie. Mais il n'a pas eu d'éducation politique ou de gestion du royaume, n'a jamais assisté a un conseil de ministre du roi, n'a pas eu de formation.

En lui même, il se montre comme un homme simple et paisible, pacifique même , dans ses correspondances avec son ministre des affaires étrangères. Lorsqu'il s'engage dans une guerre, notament américaine, c'est par contrainte face a ses ennemies. Il est timide, n'aime pas les mondanité, il n'aime pas les conversation d'éloquance. Il fut extrèmement vertueux, sans maitresse. Mais au bilan, il apparait comme un roi de bonne volonté mais avec une vue limité, sans audace, sans confiance, bref sans le talent necessaire à s'opposer à ses opposants. Il se consacre à la chasse et à la bonne nourriture, qui l'arrondit. Il semble hélas sans la carure nécessaire a la situation tendue.

Il apparait comme un homme ordinaire, bon, débonaire, sérieux, touchant, sympatique, autant de point faisant un bon homme, mais un roi faible.

[modifier] Marie Antoinette d'Autriche

2 novembre 1757, fille l'empératrice .... d'Autriche et de François Ier de Lorraine. Épousa Louis XVI.

Bonne culture en art et littérature, mais une culture politique quasi nulle. Elle ne fut formé qu'a aider l'empire d'Autriche, mais c'est en fait surtout pour le bien de sa famille Autrichienne qu'elle se démène, lien familiale et nostalgie vite desatreux. Elle est considéré comme élégante, mais elle est bourré d'inaptitude. Une incroyable légèreté, sa paresse intellectuelle, son inaptitude à l'effort meme facile. Elle n'a pas fait l'éffort de devenir française et n'a pas chercher a se former aux affaires de l'État tout en voulant peser dans les choix. Elle devient "L'Autrichienne" dans les années 1770. Elle a des gouts de luxes, notament en bijou, elle joue également beaucoup, mais perd. Et elle fait payer ses dettes aux trésor royal. Superficielle, accumulant les maladresses n'en tirant aucune leçon, elle s'inquiète peu de l'image de la royauté, et est vite devenue très critiqués et peu apprécié à la Cours. La population suit la vague de mécontentement. Elle est précossement et durablement discridité, et à discridité le roi.
Les critiques augmentes alors qu'elle finit pourtant par s'amélioré.

[modifier] Un couple mal àdroit

Le mariage de mai 1770 n'a était consomé qu'en 1777, ce qui fit ce poser de nombreuse questions et rumeur sur la vie du couple royale, ce qui à discridité la royauté Française, devenue risiblement stérile ! Donc une royauté à la puissance limité.

[modifier] Marie Antoinette

  1. l'image de Marie-Antoinette.

Dès les premiers temps de la monarchie elle est la cible des panflétaires, etc. Devenant de plus en plus sévère et ordurié. La révolution permet une déchainement contre elle, et ne s'arrête qu'après sa mort le16 octobre 1793. L'image de Marie-Antoinette n'est que le reflet, le négatif de ce qu'aurait du être la reine.
Elle est montré comme une femme maléfique corompant le bon roi, et desastreuse pour les dépenses de l'État. Au fur et a mesure de la stérilité du couple elle est décrite comme une reine courtisane, accusé d'infidelité envers le bon roi. Elle apparait comme proche de certains hommes à réputation douteuse (Compte de ... ; Duc Alex de Versene). Ses contemporains son convaincu de son infidelité, mais lorsqu'elle devient plus calme, on l'accuse désormais de relation lesbienne -notament avec la Comtesse de Polignac-, et il est évoqué un complot lesbien s'ingérant dans les affaire du Royaume. Hypothèse tres destructrice pour l'image de la Reine, du role du Roi, de la crédibilité de l'État.

c'est une affaire porte un coup sévère à la royauté. L'implication indirect de la reine, et la mauvaise gestion de l'affaire. Deux joalliers parisiens ont réalisé le collier le plus beau du monde, mais personne n'en veut. Louis René Édouard de Rohan : cardinal avec intention politique, mais hais par la reine.

L'affaire n'est pas étouffé, La reine exige qu'elle soit porté devant le parlement pour comdamné le Cardinal de Rohan. Mais si la comtesse de la motte est comdamné, le Cardinal de Rohan est relaxé. Cela revient à considéré que la manipulation été crédible, qu'il n'avait fait aucune faute à croire en un comportement "vicelard" de la Reine (rencontre de nuit, dans les bois, avarisse de diamant). Louis XVI ne cassa pas le jugement, mais révoque le Cardinal de sa charge et l'exile en auvergne. Ceci est d'une par considéré comme une faiblesse, mais aussi comme une tyranie : l'injustice est dénoncé. Cette affaire achève de ruiner la réputation de Marie-Antoinette, et semble comme une autorisation à la calomnier.

  • une famille divisée

Les historiens ont beaucoup insisté sur le rôle, et le manque d'envergure de Marie-Antoinette qui a fortement discédité la monarchie, et désacralisé la monarchie. Mais le reste de sa famille a elle aussi un rôle douteux. Ainsi, le comte de Provence (Louis XVIII), était jaloux du roi, et a alimenté les attaques contre Marie-Antoinette. Inversement, le Comte d'Artois (Charles X) fait figure de jeune sot libertin, ami de la reine. Louis-Philippe d'Orléans, favorable à une monarchie constitutionelle, brouillé avec la famille royale, fait de sa résidence : le Palais Royal de Paris; un foyer d'agitation anti monarchique.

[modifier] Turgot : ou l'échec du despotisme éclairé à la française

1774-1776

Les hommes de droits on essayer de mener une révolution par le haut, inspiré par les philosophe, les lumières, les économistes libéraux, dont le but était de résoudre les crise constitutionnelle, les crise de structure que le reigne de Louis XV avait mit en valeur. Dès 1774, le dernier gouvernement du Chancelier Maupeou, l'Abbé Terray et du Duc d'Aiguillon est écarté. Louis XVI fait appel a Maurepas, 73 ans, pour être son premier ministre sans en avoir le titre. Il reste premier ministre jusqu'en 1781. Il conseille de nommer Turgot au contrôle général des finances. C'est un signe fort de rupture que Louis XVI a voulu montrer à son royaume.

[modifier] Turgot et son programe réformateur

[modifier] Itinéraire d'un homme des lumières

Il est souligné sa probité et son honnêteté, ainsi que sa timidité et sa maladresse a communiqué. Généralement d'humeur sombre, mais extrèmement travailleur. Méthodique et réfléchit, inquiet du détail et de la perfection, proche des philosophes, ayant rédigé quelques articles de l'Encyclopédie. Sa réputation est aquise sur son travaille dans le Limousin. Dans cette province délicate, pauvre, il se distingue par ses qualité d'administrateur, d'organisateur, de réformateur, notament par l'application dans le commerce. Il se fait connaitre par ses écrit sur le commerce et la formation des richesses. Influencé par les physiocrates, il est préoccupé par la recherce de l'origine de la richesse afin de la développé et de la répartir équitablement. Il encourage à la liberté des échanges, liberté des capitaux et de travail, dans le but de rendre les hommes meilleurs et plus heureux. Fort de cette réputation, de son expérience du terrain, il devient controleur général des finances à 47 ans, et tente d'étendre ses idées au royaume. Lorsqu'il entre en fonction il a déjà un programe politique, économique et financier, qu'il présente au roi dans une lettre du 24 août 1774. Il sait qu'il a besoin impérativement de son soutient face aux resistances qu'il va lever.

[modifier] Le progamme de Turgot

Un despotisme éclairé, il est partisant de la monarchie absolue mais souhaite la réformé, l'adapté a son temps, et être fondé sur " justice et raison ", qu'il emploit fréquement. Il souhaite également que le roi prennent l'avis de ses sujets : la classe propriétaire, mais simplement comme un avis, une opinion, aidant le roi a choisir, renforçant ses positions, mais n'ayant aucun autre pouvoir que d'exposé une opinion. Turgot envisage tout une pyramide d'assemblé dénomées "municipalité" (voir : Municipalité de Turgot). Municipalité de paroisse a la base; Municipalité d'élection ; Municipalité de province ; puis une Municipalité nationale. Les représentant de ces municipalités seraient désignés sans distinction d'ordre. Elles émétraient des voeux sur des sujets posés, voeux qui aideraient le roi a prendre ses décisions. Turgot assossit également ceci a une nécéssité d'instruire les populations, avec la création d'un Conseil de l'Instruction Nationale,

[modifier] Les Vaines tentatives de Necker

Les tentatives de Turgot echouantes, la situation s'agrave, les tensions augmentes, augmenté par les tensions de l'après guerre américaines

[modifier] La France alliée des guerres américaines

Louis XVI confia les affaires étrangère à Vergennes, il partage avec Choiseul le désir d'une revanche sur l'Angletterre. Il mene d'abord une politique prudente en Europe, préservant un équilibre entre Prusse et Autriche à l'est, notament lors de la guerre de succession de Bavière dans laquelle elle n'intervint pas. Parrallèlement, il dote la France d'une vrai flotte apte a affronter l'Angletterre, et veille assidument à l'augmentation des tensions en Amérique

[modifier] Les origines du conflit

Depuis la fin de la guerre de sept ans, la Grande Bretagne s'était mise à exercer un controle de plus en plus étroit sur le commerce et l'économie des colonies, et leur demandent même de participé à léntretient des troupes britanique des colonie par un impot particulier. Mais les sujets-colon évauque une lois prétendant que "Nul population sujette de la royauté ne peut être imposé sans l'accord de sa majorité". L'impot est pourtant imposé, s'en suit une série de friction. L'épisode le plus connu est la partie de Thé de Boston, où les colons refuse le monopole des compagnies Anglaise et le jettant par dessus bord. L'Angletterre décide de Fermer le port en représaille, et le reste de l'opinion se sentent solidaire des Bostoniens. En 1774, un congrès de colons est organisé, organise des milices armée, et de nouvelles institution. Le 18 avril 1775, dans La ville de [Monfort], une fusillade sonne le dépar de l'insurrection. Le 4 juillet 1776 les États-Unis proclame leur union et indépendance, il leur reste encore à l'imposer.

Face à la puissance britanique ils manquent d'armes et d'alliés, et se tournent donc naturellement vers l'Amérique. La France, qui n'a objectivement aucun interet, s'engage pourtant dans une guerre ouverte mais non déclarer, puis déclarer à partir du 5 février 1778.

[modifier] Une guerre ouverte

La déclaration d'Indépendance, l'insurrection américaine à était particulièrement bien accueillit en France. Elle est apparut comme le fruit de l'esprit des lumière face à la " tyrannie Anglaise ". L'accueil de B. Francklin est entousiaste, et de nombreux français s'embarquent pour les amériques, animés par les idéaux de liberté, de modernité. L'accueil institutionnel est plus calme, Louis XVI et Vergennes sont favorable a l'entrée de la France, mais pas immédiatement, ils cherchent d'abord des alliées (Espagne et le pacte de famille, Autriche ?) ou leur neutralité (Autriche ? Pays-Bas ? Prusse ?). La France s'engage dans une guerre privé, par la vente d'armes, commencée dès 1776 (Beaumarchais), qui reçoit l'autorisation de vendre poudre et munition pour près d'un Million de Livres tournois sous le couvert d'une compagnie portugaise. La France à part ailleur accueillit des frégates Américaines qui "piratés" les navires marchants anglais. La France fournissait une aide économique soit par don, soit par près. Mais également une aide technique, accordant des "Congés" à certains de leurs militaires et stratèges afin d'assister les troupes américaines.

[modifier] Guerre ouverte et conséquences

La victoire de Saratoga provoca l'enthousiasme de l'opinion française et américaines, Vergennes décide donc, le 6 février 1778 de signé un traité d'amitié et alliance officielle avec les provinces unies d'Amérique. La France reconnait l'indépendance des Province, chacun s'engage à ne pas signer de paix séparé, et les USA s'engage à protéger les possessions française d'Amérique. Les batailles s'engage en Amérique, dans les Antilles. L'intervention française est maritime et non décisive, puis il envoit en 1780 un corps de 6 000 hommes de Rochambeau est décisif, la partie est perdu pour les Anglais en Amérique, notament après le Siège de Yorktown (17 octobre 1781). A partir de là, des négociation s'engagent directement entre Londre et Washington. L'angletterre leur accorde toutes les positions au sud des grand lac et à l'Est du Mississippi. Faisant ainsi, elle brisait l'union France-Province-Unis, et limité donc la force de la France et de l'Espagne. La paix du donc etre signé le ... septembre 1783, lors du Traité de Paris (1783). La France gangne des territoire en Amérique, en Afrique, et en Indes, ainsi que des droits accru (Pêche à terre neuve).

Cette guerre est surtout importante pour le prestige et la fierté de la France, elle retrouve un role d'Arbitre européen. La France ne devient pourtant pas le principale partenaire commerciale des USA, malgrès des dépenses militaire particulièrement élevées. Des troupes ont étaient envoyées très loin, donc très coûteuses, pour 1 milliard de Livre Tournois, posant la france face à un gouffre finnancier totale de 3 milliard de LT.

[modifier] Les tentative de réforme de Necker

Apres la disgrace de Turgot, le 13 mai 1776, et le court intermede de Clugny (1776) qui suprima les réformes de Turgot, Necker devient Directeur général des finances jusqu'en 1781 (affaire du Conte Bleu).

Necker succède à Turgot. Il avait fait fortune à Paris en redressant la compagnies des Indes après le désastre de la Guerre de Sept Ans. En 1773 il remporte une reconnaissance de l'académie française par son texte "Éloge de Colbert (texte)", puis il défend les principes d'une intervention modérée de l'État dans l'économie. Sa femme également le fait briller puisque gérante un salon de discution. En juin 1776 il devient Directeur général des finance (Suisse, il ne peut pas être Controleur général des Finances). Il séduit les résistants au libéralisme de Turgot et les libéraux modérés. Necker se refuse à augmenter les impots, il profite de son crédit pour emprunter, il fixe lui même des taux d'intéret très avantageux pour les préteurs (8 à 10%) et hypothèque donc l'avenir de la France. Il entreprend quelques réformes de détail, notamment la réduction du role des fermiers généraux. Necker sait que sa politique d'emprunt ne peut pas durer éternellement, mais peut lui permettre un laps de temps permettant les réformes nécessaires, notamment en voulant instaurer un impôt foncier unique. Toujours soucieux de sa popularité, il fait accepter un édit royal en février 1780 par lequel le roi ne pouvait augmenter la Taille que par un édit enregistré par le parlement alors qu'auparavant le roi fixait la Taille seul. Ainsi, Necker priva la monarchie de la possibilité d'augmenter la Taille puisque le parlement s'y refusait perpétuellement. La Taille resta la même jusqu'à la révolution. Devant rembourser de plus en plus d'argent, et ne pouvant pas augmenter la taille, l'État s'appauvrit de plus en plus, ruiné, et Necker doit bloquer le trésor royal. Tout ceci alors que la France est de plus en plus riche.

Necker a compri que seule la collaboration avec les représentants de la nation permettrait de résoudre les problèmes financiers. Necker présente donc un mémoire démontrant la supériorité de la gestion collective, et propose la création d'assemblée provinciale ayant le contrôle local de l'impôt et le droit de conseiller le Roi par la formulation de voeux. Necker va dans le sens d'une réforme modérée. L'expérience est tentée dans le Berry et la Haute Guyenne. Elle rencontre immédiatement l'hostilité des parlement perdant leur role, et se reconstitue donc la même coalition ayant provoquée la chute de Turgot : Parlementaire, Clergé, Banquiers.

[modifier] La démission de Necker

Au moi de février 1781, il public le Compte rendu au Roi, surnomé le Conte Bleu du fait de sa couverture (bleu). Pour la première fois les comptes de la nation sont présentés à la population : recettes et dépenses. Mais les chiffres y sont truqués, il y escamote les coûts de la guerre américaine, les conséquences de sa politique d'emprunt, mais souligne les coûts de la Cour. C'est un acte qui dévoile des secrets d'État, souligne les abus -relatifs- de la noblesse, et en appelle à l'opinion publique. Vendu à 6 000 exemplaires le premier jour, puis finalement 100 000, c'est un véritable petit acte révolutionnaire. Nombre de ministres et d'oppositions se lève face à Necker, ses escamotages sont dénoncés en place publique, et l'opinion commence à perdre son estime. Mais, prenant les devant, il démissionne, et récupère une popularité immense en étant posé comme victime de sa franchise.

[modifier] L'Après Necker

Après Necker se succèdèrent 3 controleurs généraux des finnances:

  1. Jean-François Joly de Fleury : mai 1781 à mars 1783,
  2. Henry Lefèvre d'Ormesson : mars à novembre 1783,
  3. Charles de Calonne : 1783 au 8 avril 1787, ramène une certaine stabilité ministérielle en suivant une politique inverse de celle de Necker.

puis Étienne-Charles de Loménie de Brienne le 30 avril 1787.

[modifier] De la Démission de Necker à Callonnes

Joly de Fleury mets un termes aux innovations de Necker, les assemblée du Berry et de Haute-Guyenne sont petit à petit privées de tout pouvoir. Il augmente les impots, crée un troisième vingtième, augmente les taxes sur la consommation et tabac. Le public crit à l'incompétence, Joly de Fleury fournit un nouveau Conte rendu au Roi mais vrai cette fois, et qui mettait en lumière les gouffres financiers français . Il fut donc accusé de mauvaise gestion.

Henry Lefèvre d'Hormeson est obligé de démissionner après 7 mois et 2 emprumts maladroit.

Calonne arrive après la victoire de 1783, la France est la puissance majeur d'Europe et le Roi est à son apogée. Calonne à la pleine confiance des banquiers, et fut l'on des plus durable controleur général de Louis XV, mais essuit également de nombreuses critiques. Calonne considérait que le prestique de la monarchie et son maintient nécessitait une certaine dépense d'argent. Il voulait lancer la France dans la course à la modernité, et fit conclure en 1786 un traité de commerce avec la Grande-Bretagne qui abaissait les droits de douanes sur un certains nombre de produit. Il pense également que l'emprumt permet de dynamiser l'économie nationale et permettrait de restaurer les finances (impot) de l'état. Le cercle vertueux s'avère pourtant être une impasse, la dette augmente, les préteurs n'ont plus confiance en l'État, et les parlements augmentes leurs dénonciations des dépenses de l'État.

En aout 1786 il renverse sa politique et lance un plan de réforme en 3 points :

Ce revirement fiscale fait partit d'une série de modernisation et compte sur la loyauté des propriétaires fonciers. Mais il sous-estimat l'hostilité des notables et leur exaspération face à une monarchie hésitante et critiquée.

[modifier] La Révolution des Notable de 1787

Les parlementaires (Paris et provinciaux) s'opposent à ses réformes puisqu'il seraient noyé dans une représentation nouvelle. Callonnes passa faire preuves d'habileté en faisant appel à une Assemblée des notables. Cette ancienne représentation été beaucoup employé au début du XVI afin d'évité les états généraux. L'assemblée des notables est composée de notables désignés par le roi là où les états généraux sont élu. L'assemblée des notables est donc -théoriquement- plus favorable aux rois. Composée des prélat, des Princes du sang, Duc et pairs, des magistrats, des maires de grandes villes, elle est appellée afin de contrer la paralysie dû aux parlementaires. Le roi en appel à l'avis d'une poignée de représentant et à leur docilité théorique. Contre toute attente, cette Assemblée des notables se retourna contre le roi. Les parlementaires y ont une influence trop grande et les nobles libéraux restent insatisfait. Les notables finissent par donner leur adhésion sauf a la création d'un nouvelle impot, en s'affirmant incompétant et en renvoit la charge aux parlement et aux États généraux. Le ministère Calonne est dans une impasse complète. L'intervention de Marie-Antoinette aboutit aux renvoit de Calonne le 8 avril 1787 et impose par la reine et ses conseiller un homme qu'il n'aimé pas, un chef de l'opisition notable à Calonnes : Loménie de Brienne.

[modifier] Le Ministère de Loménie de Brienne

Le 30 avril 1787, Loménie de Brienne devient Chef du conseil royal des finnance puis principal ministre en aout 1787. Louis XVI ne l'aime pas.

[modifier] Un grand prélat des Lumière

Loménie est un opposant à Calonne, amie des philosophes, un prélat éclairé, dont la foie et la vertue semble petite mais un administrateur compétent, et très impliqué dans les affaires de l'État, il apparait surtout comme un leader lors de l'assemblée des notables. Il est également connu pour ses actions charitable, ses mesures pour développer l'instruction, ainsi que son opposition à la monarchie absolue, défenseur des privilèges et de l'aristocratie. Mais il a affaire à une situation politique bloqué, et financièrement à sec. Il est un grand espoir pour le royaume. Il aime le pouvoir et calcula durant toute sa vie ses ascenssions succécives. Le problème est qu'il a 60 ans et est malade, le pouvoir lui arrive trop tard, et dans une situation bloqué, et un trésor royal vide. La couronne de France est surendetté, le reboursement de la dette atteint 40% des revenus de la couronne. Pourtant, il fait l'effort de lancer la France dans un programme de réforme et modernisation, face à la résistance des notables et parlement. Il a su s'entourer de personnages talentueux, tel Malesherbes.

[modifier] Les réformes de Loménie de Brienne

Il a conscience de la situation, et s'efforce d'agir le plus possible. Par l'édit du 17 juin 1787, cette réforme s'applique dans les 23 généralités du royaume (pays d'élections), mais ne s'applique pas dans les Pays d'État. Elle entreprent la création d'assemblées locales plus responsable de la gestion du commun et de l'impôt.

  • Réforme administrative : de nouvelles assemblées

La réforme crée 3 degrès d'assemblée, fondées sur un vote censitaire, et sous la tutelle des intendant.

  1. niveau de la paroisse rurale, elles se trouve doté d'une assemblée municipale, composé du curé, du seigneur, et 3-6-ou 9 membres, fonction de la dimension de la paroisse. Ces quelques membres sont élus par les habitant payant au moins 10 livres d'impots, et pour être électible le seuil est de 30 livres. L'assemblée donne donc le pouvoirs aux notables. Le curé, le seigneur, le syndict, et 2 élus participe à l'élection du niveau suppérieur.
  2. Assemblé de District : comprend entre 16 et 24 membres, représentant à égalité ville et campagne, et pour motier le tiers état, et pour l'autre moitier : noblesse et clergé. Il élisent leur supérieur.
  3. Assemblée Provinciale (Généralité) : de 28 à 50 membres, 2/4 de tiers état, 1/4 de nobles et 1/4 clergé. Ont pour responsabilité la répartition de la Taille et de la capitation, la responsabilité des travaux publiques, de la charité, et de l'assistance.

L'objectif est de donnée a la noblesse provinciale, au clergés et aux notables locaux un role important dans l'administration régionale et locale. Loménie réforme l'organisation locale. Le rôle des intendants est amoindrit, mais demeure. Le système administratif est réformé mais n'est pas remit à plat. C'est un amalgame entre ancien système et réforme. Il vise à établir un concensus.

La mise en place de ces assemblées fonctionne, mais ne sont réunit qu'une fois en 1788 et sont disgraciée en même temps que Loménie de Brienne, et les oppositions parlementaire et locale empêche leur sauvegarde. Mais les révolutionnaire garderont le souvenir de cette audace, et s'inscrive d'abord dans sa strict continuité.

  • Réforme de l'Armée (ordonnance du 17 mars 1788)

Le conseil de la guerre est crée (octobre 1787), le reste des réfomes servent surtout à économiser. Les compagnies de la Maison militaire du Roi sont réduite, le nombre de charge honorifique également, créant une certaine résistance de la haute noblesse. Pourtant, la solde des soldats est augmenté, et le système de promotion interne est réorganisé afin de mieux récompenser le mérite.

  • Réforme Économique

Établissement d'un nouveau Conseil royale des Finances et Commerce, dont le but est d'accroitre l'interventionnisme de l'état dans l'économie.

  • Réforme de "L'Édit de Tolérance" (29 novembre 1787)

Le gouvernement autorise les protestants à faire enregistrer devant un juge royale leur naissance, mariages et décés. Les protestants retrouvent le droit d'avoir un état-civil (anciennement interdit depuis 1685), ce qui reconnait en parti la légalisation des réformés français : ~ 1 millions sur 28 millions de français. Cet édit ne va pas plus loin, et même renouvelles certaines interdiction concernant le culte réformé, leur exculsion des fonctions judiciaires et municipales. Il est donc abussif de parler d'Édit de Tolérance. Même si cet Édit est relativement restrictif, il a subit une grande opposition du clergé et de la population catholique. Certains évèques rejettent l'édit comme rompant le liens entre Catholicisme et Royaume de France, et ouvrant la voix de l'athéisme ou de la réformation. Les craintes sont relayé part les parlements, certains refusant d'enregistrer l'Édit (Besançon, Bordeaux, et...).

  • Réforme Fiscale

Loménie est parfaitement consient de l'impérieuse nécessité d'accroitre les recettes fiscalea, sans augmenter l'imposition. Il propose donc une "Subvention nationale" afin de remplacer les autres impots, facilité la levé d'impôt, et surtout, qui serait payé par tous, même privilégiés et clerc. A cette époque, 10% de la société possède 50% des biens et sont pourtant -en proportion de leur biens- ceux qui contribuent le moins à l'impôt. Il invente le principe de papier timbré, tamponé et taxé par la monarchie. Mais il échoue, comme ses prédécesseur. Au début du mois de mai 1787, Loménie de Brienne propose son projet à l'assemblée des notables qui la refuse. Il la dissoud donc fin mai 1787. L'assemblée des notables n'a fait que cristaliser les tensions sociales, elle imposse l'échec de la réforme politique, et l'échec de l'appel des privilégiés pour aider à faire appliquer les réformes désiré par la royauté.
Mais le régime s'est déjà engagé dans la voix de la consultation de la nation pour la gestion des affaires du royaume et ne peut plus reculer.

[modifier] Échec de la réforme Judiciaire de Malesherbes

Enregistrement forcé par un lit de justice, mais le parlement dénonce ce lit de justice et monte son opposition. Loménie de Brienne tente un arrangement avec les parlements: Le gouvernement rapelle le parlement de Paris, renonce aux nouveaux impots et s'engage à convoquer les États généraux pour 1792. En contre partie, le parlement s'engage a enregistrer le renouvellement des vingtièmes et un gros emprumt. L'accord est conclus, mais n'est pas respecter par le parlement.

Lors de l'enregistrement de l'emprumt le 19 novembre 1787, deux conseillés réclame la réunion des États généraux pour 1789. Alors que le rois faisait un lit de justice, son cousin, le Duc d'Orléans, se leva et s'opposa à cet enregistrement illégale. Le roi exile le Duc d'Orléans, et Louis XVI réalise un dernier Coup de Majesté, impose la réforme judiciaire de Malesherbes le 8 mai 1788.

  • Réforme de

Abolition de la Question préalable (faire parler par torture avant exécution), de la torture lors des intérrogatoire. Un délais d'un mois est instauré entre condamnation a mort et exécution. Il y a une volonté d'humanisation de la procédure judiciaire. Il y a aussi la volonté de rapprocher la justice des citoyen : 47 cours d'Appel plus locales son crées. Création de la Cours pleinnière, présenté comme une résurrection de la cour du roi. Reçoit la charge de l'enregistrement des lois générales, et comprends les Princes du sang, les Ducs et pairs, des évêques, des militaires, etc. La royauté espérait que cette nouvelle instance enregistre les lois de manière plus responsable et moins oppositionnelle, et plus soucieuse du bien publique. Cette Cour n'a pas l'occassion d'agir.

[modifier] Chute de la Monarchie

La Révolution française n'a pas commencée le 14 juillet 1789, qui n'est que l'irruption de la population parissienne dans l'arêne politique. La monarchie est déjà attaqué depuis longtemps. Arthur Young disait déjà en 1787 "Une opinion générale [sentait] qu'on était à l'aurore d'une grande révolution". La réforme judiciaire a été enregistré de force, et le parlement mis en vacance immédiate, mais à succité une révolte générale des parlement de France et autres élites de Frances. La noblesse s'oppose a la disparition des privillèges face à l'impôt, les parlementaires également, ainsi qu'une masse de judiciaire, avocat, procureurs etc. , le clergé de France, indigné par l'Édit de Tolérance et la peur d'être taxé de sa richesse. Une demande commence à croitre : celle de la réunion des États généraux

[modifier] Crise Générale de 1789

Un pays basculant dans la désobéissance générale

Les movement de résistances se développe en provinces pour la défence des privilège. A Grenoble, le 7 juin 1789, les soldats devant escorté des parlementaire en exile hors de la ville sont accueillit a coup de tuile (Jounée des Tuiles) par la population. Le pouvoir royale est attaqué, un intendant est tabassé par la foule, et l'autorité de l'état est laminé. Le 21 juillet 1792, les états provinciaux du Dauphiné, n'ayant pas étés réunis depuis le 17ème siècle, et s'organise dans un chateau près de Grenoble. Il réclament, pour le royaume, a la réunion des États généraux, avec droit de consentir des impot. Pour le Dauphiné la réunion officielle des états, avec le doublement de la représsentation du Tiers état. Ces demandes sont importante car elles décident pour la première fois de l'organistation d'un nouvel ordre sociale : ils déclarent qu'ils sont près a abandonner les privillèges au profit d'un bénéfice supérieure pour la nation. Le Roi finit par cédé. Le 8 août 1789, il convoque les États généraux, il renvoit Lobénie de Bruyère, et rappelle Necker, il permet de nouveaux emprumt. La politique du royaume est en attente de la réunion des États généraux, alors que la France est dans une dure crise économique

[modifier] Hivers 1788-1789 et conséquences

Les historiens ont longtemps considéré cette crise comme un évènement très important. Notament du fait d'une tempête de grêle le 13 juillet, la moisson de 1788 est catastrophique : le prix des grains et pains double, et triple à Paris. Les ménages consacre de plus en plus au pain, ce qui les empêche de consommer d'autres produits manufacturié. L'Industrie textile est durement touché, alors qu'elle est déjà, depuis 1766, en concurrence libre avec les textiles anglais. Le chomage progresse partout, les vagabons aussi, etc. La disette, la hausse des prix, le chomage et le sous emplois entraine en particulier dans les villes des émeutes sporadique, contre les entrepreneurs, contre les seigneurs qui exigent le paiment des taxes.

[modifier] Réunions des États généraux

Le Roi n'avait pas précisé les modalités de leur réunions, les questions se pose sur l'organisation des élections, et l'égalité du nombre des députés part ordre. Le Tiers-état représente alors 90% de la population. Ensuite, le poids des votes : les votes ce feront-ils par ordre, ou par tête. Les privilégiés -nobles et clergés ont fait savoir qu'il était favorable a un respect des tradition : un vote par ordre. Le tiers-état demande un vote par tête. Les parlement se prononce pour la concervation des tradition : un vote par ordre; ce qui ruine leur popularité. Durant cette période, les membres du Tiers-état mettent au point leur position. Le Palais royale, posséssion du Duc d'Orléans, devient le coeur d'une vie politique active. La plupart des pamphlet politique y sont écrit, par un courant de "national" de journaliste, dit "Courant patriote", "Courant national". Des club politique se forme, tel la Société des Trentes, se réunisant c'est un jeune parlementaire, et qui accueille les jeunes libéraux, tel Lafayette.
L'écriture de livre idéologique, notament dans "Qu'est-ce que le Tiers-état", dans lequel l'auteur posse le poid démographique et utilitaire de ce Tiers-état et son insignifiance politique.

Le réglement de 1789 prévoit l'élection de 1200 député issu des Baillage. Le nombre de député du Tiers doit être autant que les 2 autres, le Roi à cédé, mais le vote restant par ordre, l'effet en est annulé. La réunion de ces États généraux prévoit la rédaction pour chacun des ordres de chacun des baillages. Ceux du Tiers sont rédigé par paroise, puis "fusionné" à l'échelle du bail. L'idée que la parole paysane fut modifier est largement exagérer. Des "modèles ont effectivement circulé

[modifier] La Difficile mise en place d'une monarchie constitutionnelle

[modifier] La création de l'

Les États généraux s'ouvre le 5 Mai 1789, et un bras de fer s'engage sur la réunion des 3 ordres, qui jusque là travail séparément. Le droit de vote par tête est également demander, et se clos sur une auto proclamation. Le Tiers, rejoins par une 40aine de nobles libéraux et une poignée de Curé et se proclame Assemblée Nationale, et fait le Serment du jeu de paume : les députés jures de resté enssemble jusqu'a ce qu'une constitution soit établit. Le roi accepte fnalement la réunion des 3 ordres, ce qui reconnait implicitement une nouvelle conception de représentation du royaume. Mais la pression de la reine et du comte d'Artois pousse le roi à tenter un coup de force. Un regrouppement militaire entre versaille et Paris allerte la population Parissienne. Le 11 juillet, le renvoit de Necker et la nomination d'un gouvernement réactionnaire provoque une forte émotion. Le 13, la ville s'agite, et les autorité municipale ---- établice une milice de ville. Le 14 juillet, la population et la garde nationale se réunnissent devant la Bastille.

Louis XVI rapelle Necker le 17 juillet, le roi se rend à Paris, et reçoit une cocarde tricolore. Alors que Louis XVI tarde a reconnaitre les décret du 4 août, une nouvelle journée révolutionnaire fait converger vers versaille un ---- suivit des gardes nationaux, et l'Assemblée nationale est ramener à Paris.

A partir de Juillet 1789, l'Assemblée nationale se pose pour objectif d'écrire une Déclaration des droit de l'homme et citoyen (26 août 1789), affirce l'égalité entre les hommes, et la souveraineté du peuple.

Ensuite, elle travaille à l'édification d'une Constitution, achever en septembre 1791. Ce sont les division de l'Assemblée nationale qui freine cette élaboration. Dans l'été 1789, des camps commence à se déssiné. Lorsque l'Assemblée nationale est venue se réunir aux tuilerie, les partisants de l'ordre s'assoit à droite du Roi.

Les partisant de l'ordre traditionnel s'appuie sur la partie réactionnelle des nobles et clerc, ceux qui ont rejoin l'Assemblée nationale sous ordre du roi, on les dit l' Ordre des Noirs, ce qui représente environ 200 députés, bien organisé journalistiquement.

Les Monarchiens, réputé conservateurs modéré, a l'origine des "patriote", ils approuve les transformations de juin-juillet-août, mais veulent s'en tenir la et le rétablissement de l'ordre par un pouvoir fort dans les mains du roi. Ils veulent arrêter la révolution. Ils sont réunnit dans le club des Impartiaux, et sont environs 70, et se raprochent finalement des partisants de l'ordre.

Les Patriotes, dirigés par le triumvirat, [Barda, Dubord, Vavelle], ils dominent l'assemblée. Ils sont réunit dans la société des amis de la révolution, et devient ensuite les club des Jacobin. Regroupe environ 230 à 280 député. Assez hétérogène. Il veulent arrêter la révolution après une Monarchie constitutionnelle avec pouvoir exécutif faible. Le 17 Mai 1791, "Ce que nous appellons la révolution est achevée" (Dubord). Cela s'avèrera ne pas etre le cas.

[modifier] La Constitution de 1791

La constitution se fonde sur la séparation des pouvoir, mais le législatif est clairement supérieure a l'exécutif. Le roi, devenu Roi des français, peu nomé les ministres, à un droit de véto suspensif, et non absolue. Les dépenses du roi sont strictement encadré, comme sont action en politique étrangère. La plupart des serviteur de l'État ne sont plus nomé par le roi mais élus. Louis XVI a l'impression de ne plus être qu'un agent du régime, le "Premier fonctionnaire du royaume", le roi ne règne plus au nom de dieu mais au nom de la loi, qui lui est supérieure. Le Roi doit préter serment à la constitution et les bien de la couronne sont les biens de la nation. Les hommes sont égaux, mais les citoyens sont inégaux. Les citoyens actif (~ 4 millions), homme, français, domicilié depuis plus d'un an sur un lieu, qui n'est pas domestique, et qui paye un impot superieur a 3 journées de travail. Les autres sont des "citoyens passifs" (~3 millions). Femmes et enfant ne sont pas compté. L'inégalité est écomique. L'élection devient la norme à l'échelle locale ou nationale pour la quasi totalité des charges, amisnistrations, justice, garde nationale, et même curé. La France des premiers temps de la Révolution a fait un apprentissage accéléré de la vie démocratique, avec une politisation des citoyens actif.


[modifier] Le législatif monochamérale

C'est une chambre monochamérale, les monarchiens avaient bien insisté sur la nécéssité de mettre l'acces sur 2 chambres, avec une "Chambre haute", composé de citoyen plus riches, plus vieux, qui aurait permit un allongement des débats, afin d'aboutir a leur maturation. Ils veulent évité la dictature de la démocration.

L'Assemblée nationale a voté une série de réformes fondamentales. La nuit du 4 août 1789 se succède une série d'orateurs, de nobles, qui viennent renoncer devant tous à leur privilèges. L'abandon des droits féodaux est particulièrement apprécié (plus tard autorisé a être récupérer pour conserver l'ordre ancien). Cette nuit du 4 août suit la grande peur: une rumeur de bandit fait que -de proche en proche- 3/4 de la paysannerie s'est sur-armée. Mais cette grande peur prend une tournure anti-noble à la moindre étincelle, et une vague d'insurection anti-féodale inquète la france de Juillet à août 1789.

Nul personne ne peut plus être emprisonné sans qu'un édit légale ne soit signifié par un juge, et c'est cette mesure, qui rompt l'arbitraire, qui assure la liberté des citoyens. L'apparition en 1790 d'un système de jury est organisé. Un nouveau code pénale est instauré : "La peine doit être proportionnelle au délit", il abolit toute forme de torture. Une loi sur l'abolition de la peine de mort est rejetté. Loi proposé par Robespierre. Un nouveau découpage administratif est décidé : 83 départements, dont chaque administré doit pouvoir se rendre en une journée a son chef lieu. Les protestants reçoivent la liberté de culte. En décembre 1789, les protestant sont admissible et élligible à tout emplois ou poste administratif. Les Décrets présenté en octobre 1789 pour admettre les juifs comme citoyens ont d'abord été repoussé, mais ils ont progressivement été émancipé, d'abord ceux du sud, puis ceux d'alsaces.
LE droit des femmes a être citoyenne est renié, malgrès une Déclaration du droit de la femme.
La question de l'esclavage n'est pas tranché, malgrès le militantisme de la Société des Amis des Noirs, luttant contre la traite des noirs et les mauvais traitement plus que contre l'esclavage. La constitution n'a légiféré que sur la question des métisses et des noir-libre. L'abolition de l; esclavage n'est voté que le 4 juillet 1794.

Au terme de cette réforme la france a été complétement transformé, il ne reste plus que la monarchie. Mais les tension politique et sociale oeuvre dans le sens d'une disparition de la monarchie.

[modifier] La Chute de la Monarchie

Début de la décandence Française


[modifier] Autres

  • POUSSOU, La Terre et les paysans en france et Grande-Bretagne au XVIIIème.
  • TUZELAT, L[...] de la France

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