Orléans

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Pour les articles homonymes, voir Orléans (homonymie).
Orléans
Pays
drapeau de la France
     France
Région Région Centre Centre
(chef-lieu)
Département Loiret Loiret
(préfecture)
Arrondissement Orléans
(chef-lieu)
Canton chef-lieu de 6 cantons
Code Insee 45234
Code postal 45000 45100
Maire
Mandat en cours
Serge Grouard (UMP)
2008-2014
Intercommunalité Agglomération Orléans Val de Loire
Coordonnées
géographiques
47° 54′ 11″ Nord
         1° 54′ 18″ Est
/ 47.903056, 1.905
Altitudes moyenne : 116 m
minimale : 90 m
maximale : 124 m
Superficie 2 748 ha = 27,48 km²
Population sans
doubles comptes
113 237 hab.
(2005)
Densité 4 117 hab./km²
Gentilé Orléanais, Orléanaises
Site www.ville-orleans.fr
Carte de localisation de Orléans

Orléans est une commune française, située dans le département du Loiret et la région Centre, dont elle est la préfecture.

Ses habitants sont appelés les Orléanais. La ville fait partie d'un groupe de communes appelé Agglomération Orléans Val de Loire, dite AgglO. L'Agglomération représente 22 communes pour un total de 275 000 habitants.

Sommaire

[modifier] Devise

Hoc vernant lilia corde (donnée par Louis XII, alors duc d'Orléans) « C’est par ce cœur que les lis fleurissent » ou « Ce cœur fait fleurir les lys »

[modifier] Géographie

[modifier] Généralités

Orléans est située dans le coude septentrional de la Loire, qui la traverse d'est en ouest. Orléans appartient au secteur de vallée de la Loire situé entre Sully-sur-Loire et Chalonnes-sur-Loire, qui a été classé en 2000 par l’UNESCO Patrimoine mondial de l’humanité. Capitale de l'Orléanais, à 133 kilomètres au sud-sud-ouest de Paris (A10), elle est en bordure nord de la Sologne dont le quartier de la Source fait partie, et en bordure sud de la Beauce et de la forêt d'Orléans.

Cinq ponts permettent le franchissement du fleuve :

  • Pont de l'Europe
  • Pont du Maréchal Joffre (appelé aussi pont Neuf)
  • Pont George-V (appelé aussi pont Royal), servant de passage au tramway
  • Pont René-Thinat
  • Pont de Vierzon (ferroviaire)

Au nord de la Loire (rive droite), se trouve une petite butte (cote 102 au pont Georges-V, cote 110 à la place du Martroi) qui monte légèrement jusqu'à la cote 125 à la Croix Fleury, à la limite de Fleury-les-Aubrais.

Inversement, le sud (rive gauche) présente une légère dépression autour de 95 m d'altitude (à Saint-Marceau) entre la Loire et le Loiret. Ce secteur est classé en zone inondable. À la fin des années 1960 a été créé le quartier Orléans-la-Source, à une dizaine de kilomètres au sud de la ville originelle, et séparée de cette dernière par le Val d'Orléans et la rivière du Loiret qui prend sa source dans le Parc floral de La Source. L'altitude de se quartier varie de 100 à 110 m environ.

Orléans est un carrefour autoroutier : en effet, elle est frôlée par l'A10 (reliant Paris à Bordeaux), et l'A71 (dont le pont sur la Loire est en dehors des limites de la commune) y débute, allant vers la Méditerranée, via Clermont-Ferrand où elle devient A75.

[modifier] Quelques distances kilométriques

  • Paris : 135 km
  • Tours : 116 km
  • Blois : 56 km
  • Nantes : 300 km
  • Bourges : 123 km
  • Chartres : 73,5 km
  • Lyon : 450 km
  • Lille : 349 km
  • Strasbourg : 610 km
  • Bordeaux : 461 km
  • Nice : 914 km
  • Toulouse : 555 km

[modifier] La Loire et la navigation

La Loire en crue à Orléans
La Loire en crue à Orléans

Au niveau de la ville, la Loire est séparée longitudinalement en Grande Loire au nord, autrefois navigable, et en Petite Loire au sud par une digue submersible, appelée le dhuis. Cette digue est intégrée dans un ensemble plus vaste d'aménagements permettant la navigation de la marine de Loire.

Autrefois important axe de navigation et de transport de marchandises, la Loire n’est aujourd’hui plus navigable pour les plus gros bateaux que dans son estuaire, jusqu’à Nantes environ.

Les bateaux étaient traditionnellement à fond plat, avec un grand mât (pour prendre le vent au-dessus des berges) escamotable (pour passer sous les ponts) : gabarre, futreau.... Ces derniers, à des fins touristiques, sont toujours visibles près du pont Royal.

Le débit irrégulier du fleuve limitait fortement la circulation, en particulier la remontée de celui-ci, qui pouvait être cependant aidée par le halage des navires.

Un bateau à roues du type « Inexplosible » commandé par la mairie, est installé à quai au mois d'août 2007. Il accueille un bar, et est situé face à la place de la Loire.

Tous les deux ans, le Festival de Loire rappelle le rôle joué par le fleuve dans l'histoire de la Ville.

S'y abouche, rive nord du fleuve, près du centre ville, le canal d'Orléans, qui rejoint Montargis mais qui n'est plus en activité dans sa totalité. Son trajet orléanais est parallèle au fleuve, séparé de ce dernier par un muret, lieu de promenade. Son dernier bief avait été transformé en piscine extérieure dans les années 1960, puis comblé. Il a été rouvert en 2007 pour les fêtes de Loire, dans le but de le faire revivre en y installant un port de plaisance.

[modifier] Histoire

[modifier] Généralités

Icône de détail Articles détaillés : Cenabum et Histoire d'Orléans.

Cenabum fut une place forte gauloise, l'une des villes principales de la tribu des Carnutes dont l'assemblée annuelle des druides est restée célèbre. Elle fut conquise et détruite par César en 52 av. J.-C., puis reconstruite à la romaine. L’empereur romain Aurélien a refondé la ville, elle fut nommée cité d'Aurélien puis simplement Orléans par simplification et évolution phonétique. Pour une mise au point sur l'étymologie exacte de ce nom, voir aussi Cenabum, Aurelianis, Orléans de Jacques Debal (Coll. Galliae civitates, Lyon, PUL, 1996).

Accompagnés des Vandales, les Alains franchissent la Loire en 408. Un de leurs groupes, dirigé par Goar accepte de se joindre aux forces armées romaines. Aetius l'installe sur la Loire et à Orléans. Mais ces Alains, turbulents, sont très mal perçus par les autochtones. Un jour, estimant ne pas être payés assez vite ou suffisamment, ils n'hésitent pas à tuer des sénateurs d'Orléans.

À Orléans toujours, sous le roi Sangiban, les Alains se joignent aux forces d'Aetius qui s'opposent à Attila qui avait envahi la Gaule en 451 et prennent part à la bataille des Champs Catalauniques. Une centaine de localités de l'Orléanais se souviennent de l'installation de ce peuple : Allaines, Allainville, etc.

À l'époque mérovingienne Orléans fut la capitale du royaume d'Orléans à la suite du partage du royaume de Clovis Ier.

À l'époque capétienne, Orléans fut la capitale d'un comté puis d'un duché tenu en apanage par la maison de Valois-Orléans. La famille de Valois-Orléans accèdera au trône de France par Louis XII puis François Ier.

En 1108, Louis VI Le Gros est sacré dans la cathédrale d’Orléans par l'archevêque de Sens. Il s'agit d'un des rares sacres capétiens n'ayant pas eu lieu à Reims. Il empêche la création d’institutions communales en 1138[1].

La ville a toujours été un point de passage stratégique de la Loire car elle se situe sur le point du fleuve le plus au nord, donc au plus près de Paris. Or les ponts étaient rares et la Loire dangereuse. Au Moyen-Âge Orléans est l'une des trois villes les plus riches de France avec Rouen et Paris.

Sur la rive sud un châtelet dit « des Tourelles » protégeait l'accès au pont. C'est là qu'eut lieu la bataille qui permit à Jeanne d'Arc d'entrer dans la ville libérée le 8 mai 1429, aidée des grands généraux du royaume, Dunois et Florent d'Illiers (voir l'article Siège d'Orléans). Les habitants lui vouèrent dès lors une admiration et une fidélité qui durent encore aujourd'hui. Ils la nommèrent « la pucelle d'Orléans » et lui offrirent une maison bourgeoise dans la ville. Ils participèrent également à la rançon pour la délivrer lorsque celle-ci fut faite prisonnière, mais en vain car le Dauphin devenu Roi grâce à elle garda l'argent pour lui et Jeanne ne fut pas libérée.

Une fois la guerre de Cent Ans terminée, la ville recouvrit sa prospérité. Le pont lui rapportait l'argent des taxes ainsi que l'attractivité économique des commerçants de passage. Le roi Louis XI a largement contribué à sa prospérité. Il dynamisa l'agriculture de l'Orléanais. Les terres exceptionnelles de la Beauce favorisent les cultures. Il relança la culture du safran à Pithiviers. Plus tard à la Renaissance la ville bénéficia des passages des riches châtelains allant dans le val-de-Loire devenu très à la mode, à commencer par le roi lui même, Chambord, Amboise, Blois, Chenonceau étant des domaines royaux.

L'Université d'Orléans a contribué aussi au prestige de la ville. Spécialisée dans le droit, elle était réputée dans toute l'Europe. Jean Calvin y fut reçu et hébergé. Il y écrivit une partie de ses thèses réformistes. En remerciement de cette protection, le roi d'Angleterre Henry VIII, inspiré des pensées du réformateur pour la religion anglicane, offrit une bourse à l'Université. La ville abrita de nombreux protestants.

Jean-Baptiste Poquelin, plus connu sous le pseudonyme de Molière, vint lui aussi y étudier le droit, mais il participa au carnaval pourtant interdit par les règles non laïques de l'Université et fut pour cela renvoyé de l'établissement.

Du 13 décembre 1560 au 31 janvier 1561, les États généraux y furent réunis. Ce fut à cette époque que mourut le roi François II, le fils ainé de Catherine de Médicis et d'Henri II, le 5 décembre 1560 dans l'Hôtel Groslot, a ses cotes sa femme Marie Stuart.

La cathédrale fut plusieurs fois reconstruite. La dernière version a vu sa première pierre posée par Henri IV, et les travaux s'étalèrent sur un siècle, offrant ainsi un mélange de style fin Renaissance et époque Louis XIV. Elle est l'une des dernières cathédrales construites en France et non des moins spectaculaires.

Lorsque la France colonise l'Amérique, son territoire conquis est immense, tout le fleuve Mississipi, baptisé fleuve Colbert, de l'embouchure jusqu'à sa source aux frontières du Canada. Ce sera la Louisiane. La capitale est nommée la Nouvelle-Orléans en l'honneur du régent de Louis XV, le duc d'Orléans. Elle est peuplée de 8 000 Français et Cajuns chassés du nord-est par les troupes britanniques.

Les ducs d'Orléans ne venaient presque jamais dans leur ville. En tant que frères ou cousins du roi, ils faisaient partie de sa Cour et avaient peu l'occasion la quitter. Officiellement leur château était celui de Blois. Le duché d'Orléans était le plus vaste de tous. Il débutait à Arpajon, continuait à Chartres, Vendôme, Blois, Vierzon, Montargis. Le fils du duc portait le titre de duc de Chartres. Les héritages de grandes familles et les mariages leurs ont permis d'accumuler une richesse colossale. On disait de Philippe Égalité qu'il était l'homme le plus riche du monde. Son fils Louis-Philippe Ier reçut en héritage les fortunes des Penthièvres et des Condés.

1852 c'est la création des Compagnies ferroviaires Paris-Orléans et sa célèbre gare d'Orsay.

Lors de la guerre contre les Prussiens en 1870, la ville se présente encore comme enjeu stratégique géographiquement. Le 13 octobre 1870, la ville est occupée par les Prussiens. L'armée de la Loire est constituée sous les ordres du général d'Aurelle de Paladines et se base en Beauce à proximité de la ville (voir l'article Bataille d'Orléans).

Pendant la seconde guerre mondiale, les nazis font de la gare d'Orléans Fleury-les-Aubrais une gare centrale pour leur logistique ferroviaire. Le pont Georges V est rebaptisé « pont des Tourelles »[2]. Un camp de transit sur le chemin de la déportation est bâti à Beaune-la-Rolande. À la Libération, l'aviation américaine bombarde intensément la ville et la gare. Les dégâts sont très importants. La ville est l'une des premières reconstruites après la guerre : le plan de reconstruction et d'aménagement de Jean Kérisel et Jean Royer est adopté dès 1943 et les travaux commencent dès le début de l'année 1945. Cette reconstruction se fait pour une part à l'identique comme la rue Royale et ses arcades mais aussi ailleurs par la mise en œuvre de procédés de préfabrication innovants, comme l'îlot 4 sous la direction de l'architecte Pol Abraham[3].

La grande ville d'autrefois est aujourd'hui une ville moyenne de 250 000 habitants avec son agglomération. Elle a su tirer parti une fois de plus de sa position stratégique pour attirer de nombreuses entreprises intéressées par la réduction des coûts de transport qu'offre une ville au centre de la France située à moins d'une heure de la capitale.

[modifier] Héraldique

Icône de détail Article détaillé : armorial des communes du Loiret.
Blason d'Orléans

Les armes d'Orléans se blasonnent ainsi :

Selon Victor Adolphe Malte-Brun, dans La France Illustrée, 1882 

de gueules, à trois cailloux en cœur de lys d'argent, deux et un, au chef d'azur, chargé de trois fleur de lys d'or.

Selon Charle Grandmaison, dans Dictionnaire Héraldique', 1861 :

D'or à trois coeurs de gueules. L'augmentation de chef de France n'est pas donnée.

  • Devise : hoc vernant lilia corde (ce cœur fait fleurir les lys).


On trouve parfois, de manière fautive, le blasonnement suivant :

de gueules à trois fleurs de lys d'argent, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or.[4]

  • À noter que la gravure qui accompagne ce blason montre quant à elle trois cœurs de lys - vus du dessus. Ce cœur de lys serait, alors, non pas celui d'un lys véritable, le lys ayant 6 tépales, mais une hypothétique vue de dessus du meuble fleur de lys. Probable est aussi la déformation progressive du coeur héraldique, similaire à celui du jeu de cartes.

Certains auteurs règlent le problème en parlant de tiercefeuille, laquelle est définie comme un trèfle sans tige (une feuille en haut deux en bas). Le blason deviendrait alors : de gueules, à trois tiercefeuilles renversées d'argent, etc.

[modifier] Les quartiers

  • Bourgogne - République, au centre ville ;
  • Carmes - Bannier, à l'ouest du centre ville, le plus petit ;
  • Saint-Marc - Faubourg Bourgogne et Argonne Sud, à l'est du centre ville ;
  • La Barrière Saint-Marc - La Fontaine, au nord-est, le moins peuplé (recensement 1999) ;
  • Argonne - Nécotin - Belneuf, au nord-est ;
  • Gare - Pasteur - Saint-Vincent, au nord ;
  • Acacias - Blossières - Murlins, au nord ;
  • Châteaudun - faubourg Bannier, au nord-ouest ;
  • Madeleine, à l'ouest ;
  • Saint-Marceau, au sud de la Loire ;
  • La Source, plus au sud, le plus peuplé et le plus vaste.

Les codes postaux de la Ville d'Orléans sont 45 000 pour le nord de la ville et 45 100 pour le sud. Le nord et le sud sont partagé par la Loire.

[modifier] Démographie

Courbe de l'évolution de la population
Courbe de l'évolution de la population
  • Population intramuros : 113 089 habitants en 1999, 113 237 en 2005
  • Population dans l'Agglomération : 275 000 habitants
  • Population dans l'Aire urbaine 1999 : 355 811 habitants

C'est la trente-et-unième ville de France par sa population.

Evolution de la population Orléans Rang National
Population (1999) 113 089 hab. 31e
Population (1990) 105 111 hab. 33e
Variation de population 1990 - 1999 + 7 978 hab. 10e
Solde naturel 1990 - 1999 + 8 779 hab. 19e
Solde migratoire 1990 - 1999 - 764 hab. 8 101e
Taux annuel moyen de variation de la population 1990 - 1999 + 0,8% 2 797e
Superficie 27,48 km²
Densité 4 115 hab. / km²
Population en ZUS 15 217 hab. 84e

Evolution de la population. Source Insee.

[modifier] Économie

Orléans est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie du Loiret. Elle gère l’Arboria, le port d’Orléans et le port de plaisance de Briare ainsi que le CFSA. La ville fait partie de l'Espace Metropolitain Val de Loire-Maine.

[modifier] Médias

[modifier] Les transports

[modifier] Transports urbains

Les transports urbains de l'agglomération orléanaise sont assurés par la société d'exploitation des transports de l'agglomération orléanaise (sous le nom commercial SEMTAO).

Orléans est équipé depuis le 20 novembre 2000 (date d'inauguration) d'une première ligne de tramway (d'axe nord-sud : Ligne A du tramway d'Orléans). Le projet d'une deuxième ligne (est-ouest) a été validé il y a peu, et devrait être développé durant l'intervalle 2007-2010.

Un service de location de vélos par bornes, est progressivement mis en place depuis juin 2007. L'AgglO compte 28 stations Vélo'+. Orléans est ainsi la troisième ville française à disposer de ce type de service après Lyon et Rennes.

Quelques chiffres clefs:

  • 22 communes desservies
  • 30 lignes de bus, dont 3 navettes et 8 lignes de service à la demande
  • 1 ligne tramway ( une deuxiéme en construction)
  • 201 bus
  • 22 rames de tramway
  • 1 330 points d'arrêt
  • 23,4 millions de voyageurs
  • 11 millions de kilomètres parcourus
  • 684 personnes en terme d'effectifs, dont 474 conducteurs

[modifier] Autoroutes

  • Généralités

La ville d'Orléans est un carrefour de transport de marchandises. Elle est traversée par 2 autoroutes à fort trafic, l'A10 qui relie Paris, Tours et Bordeaux et l'A71 qui relie Orléans à Clermont-Ferrand.A proximité de Paris, 1h30 par autoroute (A10) et a un peu plus d'une heure en train, cela en fait une des principales plaques tournantes du trafic marchandises.

  • En cours de réalisation

L'A19 pour permettre une liaison optimale avec l'est de l'Europe. La réalisation de l’autoroute A19 permettra de relier, sur 100 km environ, l’autoroute A10 (Paris-Orléans) au niveau d’Artenay au nord d’Orléans, à l’autoroute A6 (Paris-Auxerre-Beaune-Lyon).

[modifier] Cinq grands secteurs d'activités

1er pôle pharmaceutique de France avec 70% de la production nationale. Un médicament sur deux est produit en région Centre. Orléans accueille notamment :

  • Servier, Sanofi, Famar France, McNeil (site européen de production forme liquide)
  • Le centre de biophysique moléculaire
  • L'institut de chimie organique et analytique.

2e région pour la cosmétique et les parfums autour d'Orléans, Chartres et Dreux; la « Cosmetic valley », pôle national de compétitivité.

La ville accueille notamment Dior (1 500 emplois), Gemey (550 emplois), Shiseido (530 emplois), Sephora, Caudalie.

3e plate-forme logistique de France, Orléans, plus gros employeur de la filière, avec 9 000 salariés. 406 entreprises ou établissements spécialisés dans le conditionnement, l'entreposage, le transport : Quelle, Deret, TNT, Norbert Dentressangle, Premium logistic, Hays logistique, Stockalliance, Giraud, Calberson, BeBloom.com, Amazon.fr ...

[modifier] Administration

[modifier] Division cantonale

L'Hôtel de Ville et la Cathédrale
L'Hôtel de Ville et la Cathédrale

Orléans est actuellement divisée en 6 cantons :

Auparavant, la commune était divisée entre 5 cantons, supprimés à une date non encore identifiée (années 1970 ?) :

[modifier] Personnages célèbres

Robert-Joseph Pothier (1699-1772), juriste ;

L'université d'Orléans a eu également quelques enseignants et étudiants renommés : voir université d'Orléans#Enseignants et étudiants

[modifier] Monuments et lieux touristiques

Bien que la ville ait beaucoup souffert des bombardements de la Seconde Guerre mondiale, de nombreux bâtiments et quartiers anciens ont subsisté parmi les constructions plus contemporaines.

[modifier] Patrimoine civil

  • Enceinte gallo-romaine dont des restes sont visibles près du transept nord la cathédrale (IVe siècle) ;

En descendant la rue de la Tour-Neuve, on peut également voir les restes de l'enceinte gallo-romaine qui sert de base à l'ancienne usine de vinaigre, à côté de la salle Eiffel.

  • La Maison de Jeanne d'Arc, où elle séjourna du 24 avril au 9 mai 1429 (en fait, une reconstitution, l'originale ayant été détruite durant les bombardements) ;
  • La place du Martroi, cœur symbolique de la cité, comporte en son centre une statue équestre monumentale de Jeanne d'Arc (où cette dernière est plus grande que son cheval), sculptée par Denis Foyatier. Cette statue fut brisée pendant la seconde guerre mondiale puis réparée par le sculpteur Paul Belmondo père du célèbre acteur;
  • La Porte Bannier, découverte en 1986 et se situant à l'aplomb de la statue de Jeanne d'Arc. Elle date du XVe siècle. On y accède, lors de certaines circonstances, par une trappe située sur la Place du Martroi ;
  • La Tour Blanche, seule tour subsistant de l'enceinte gallo-romaine, actuellement service d'archéologie de la ville d'Orléans ;
  • La salle de l'Institut, place Sainte Croix, est une petite salle de concert au sein du conservatoire qui peut également se transformer en salle de bal grâce à un plancher modulable ;
  • Hôtel Cabu, appelé aussi maison de Diane de Poitiers, construit par Philippe Cabu, avocat en 1547, sur des plans de l'architecte Androuet du Cerceau ;
  • Hôtel Hatte, du XVe siècle. Il abrite actuellement le centre Charles-Péguy ;
  • Hôtel Toutin, du XVIe siècle ;
  • Hôtel Ducerceau
  • Hôtel des Créneaux, ancien hôtel de ville. Abrite actuellement une partie du conservatoire d'Orléans ;
  • Maison de Jean Dalibert
  • La préfecture : ancien monastère bénédictin, construit en 1670 et abritant la préfecture depuis 1800. Il contient un escalier d'honneur en fer forgé monumental, datant de 1680 (inscrit à l'inventaire des monuments historiques en 2005, ne se visite qu'au cours de certaines circonstances) ;
  • Le Pont de l'Europe, dessiné par Santiago Calatrava, est un pont en arc bow-string incliné particulièrement original;
  • Le Pont royal ou Pont George V, le plus ancien, gardé au sud par deux anciens postes de perception de l'octroi. ;
Le pont George V
Le pont George V
  • Le Pont des Tourelles, construit en 1140 et détruit en 1760, fut le premier pont en pierre d'Orléans.
  • Statue la baigneuse par Paul Belmondo, rue Royale, inaugurée le 23 juillet 1955.
  • La bibliothèque des sciences du campus d'Orléans la Source (2005), équerre d'argent 2005 (prestigieux prix d'architecture français), dessinée par Florence Lipsky et Pascal Rollet, architectes.
  • Le Palais épiscopal, datant des XVIIe et XVIIIe siècles et ayant hébergé Napoléon et Adolphe Thiers. Il est transformé en bibliothèque municipale en 1912. L'essentiel des fonds ayant été transféré à la médiathèque en 1994, il abrite désormais la bibliothèque de quartier « Bourgogne » mais une partie de l'immeuble est inoccupée.
La médiathèque vue depuis la place Gambetta
La médiathèque vue depuis la place Gambetta

Il faut se promener dans les quartiers les plus anciens de la ville (autour de la rue de Bourgogne, descendre vers la Loire) pour admirer certaines façades d'architecture médiévale. D'autre part les façades XIXe de la rue de la République et de la place du Martroi n'ont pas toutes été détruites pendant la guerre, même si on devait les maintenir debout. Elles ont été conservées et rénovées. Depuis quelques années, toutes les façades de la ville ont été rafraîchies ou sont en train de l'être.

[modifier] Patrimoine religieux

La Tour Saint-Paul
La Tour Saint-Paul
Icône de détail Article détaillé : Cathédrale Sainte-Croix d'Orléans.
  • L'église Notre-Dame-de-Recouvrance, édifiée entre 1513 et 1529 et rénovée au XVIIe et au XIXe siècle. Elle contient un chœur datant du Second Empire de style Renaissance ;
  • La collégiale et crypte Saint-Aignan (Xe et XIe siècle) ;
  • L'église Saint-Paterne
  • La collégiale Saint Avit (XIe et XIIe siècle) dont ne reste que la crypte ;
  • La Tour-clocher (1620 à 1627) de l'église Saint-Paul dont le reste de l'édifice a été détruit en 1940
  • Les vestiges de l’église Saint-Pierre-Lentin : mur et restes d'un arc triomphal datant du XIe siècle ;
  • L'église Saint-Pierre-Le-Puellier, du XIIe siècle mais remaniée ultérieurement. Elle sert de lieu d'exposition ;
  • Le Campo Santo : ancien cimetière entouré de galeries avec arcades du XVe et du XVIe siècle ;
  • L'église Saint-Donatien de style classique : l'église initiale, datant du XIe siècle, aurait abrité les dépouilles de Saint Donatien et de Saint Rogatien. Elle a été détruite lors du siège d'Orléans par les anglais en 1429, puis par les protestants entre 1562 et 1568. Elle a été reconstruite au XVIIe siècle, date du porche classique avec colonne de style dorique.

[modifier] Les musées

  • Musée des beaux-arts d'Orléans :

-Un chef-d'œuvre de Vélasquez au premier étage (Saint Thomas), également au premier des paysages de Boucher. -Collection moderne au sous sol avec Jean Hélion, Roger Toulouse. Impressionnante salle comprenant une toile de Hantai (de 17 mètres de long) et un paysage de l'abstraction lyrique de Olivier Debré et un tableau du peintre chinois Zao Wo Ki.

  • Hôtel Cabu (musée historique et archéologique de l'orléanais) ;
  • Centre Charles-Peguy, compilant des documents sur l'écrivain ;
  • Muséum des sciences naturelles.

[modifier] Les parcs

  • Le parc Pasteur, de 4,5 hectares au nord du centre ville, créé en 1927 sur des anciens jardins ouvriers situés sur le terrain d'un cimetière désaffecté. Il comprend un théâtre pour enfants ainsi qu'un petit train à vapeur circulant sur un circuit circulaire, donné par la ville de Wichita en 1952.
  • Le jardin des plantes de 4 hectares situé au sud de la Loire ;
  • Le Parc floral de La Source, créé en 1963 et faisant près de 35 hectares et centré sur la source du Loiret (le bouillon), en fait, simple résurgence de la Loire.
  • Le parc Anjorrant
  • Le parc de la Fontaine de l’Etuvée au nord-est vers Saint-Jean-de-Braye;
  • Le parc du Moins-Roux au sud en direction d'Olivet;
  • Le jardin de l’Evêché derrière la cathédrale;
  • Le parc Léon-Chenault derrière l'église Saint-Marceau;
  • Le jardin Jacques-Boucher

[modifier] Cultes

[modifier] Culte catholique

Orléans est le siège d’un diocèse catholique romain. La ville fait partie du doyenné d’Orléans. Le territoire de la commune occupe tout ou partie de quatre zones pastorales (Orléans centre, Orléans est, Orléans nord et Orléans sud).

Le Centre-ville relève de la zone Orléans centre, qui comprend le groupement paroissial Sainte-Croix / Saint-Paterne, qui inclut la cathédrale, ainsi que les quatre paroisses Saint-Donatien, Sainte-Jeanne-d'Arc, Saint-Laurent et Saint-Vincent[8].

La zone d'Orléans est comprend les paroisses de Saint-Marc et de Saint-Jean-Bosco. Une seule paroisse de la zone Orléans nord se troue sur le territoire de la commune : il s'agit de Notre-Dame-de-Consolation, rattachée au groupement paroissial de Fleury-les-Aubrais.

Au sud de la Loire, les deux paroisses sont Saint-Marceau pour le quartier du même nom et Saint-Yves pour la Source[9].

[modifier] Autres cultes

Le temple du XVIIe siècle.
Le temple du XVIIe siècle.

L’Église réformée de France dispose d’un temple en centre-ville.

La chapelle du Campo-Santo est mise à disposition de la paroisse orthodoxe du Christ-Sauveur, qui relève de la Métropole orthodoxe grecque de France et donc de l’Église orthodoxe de Constantinople.

Orléans a aussi une synagogue, installée dans une chapelle dépendant autrefois de l'évêché.

[modifier] Gastronomie

  • Cotignac d'Orléans (pâte à base de gelée de coing), cité par Rabelais et qui se retrouve sur les tables des Noces de Canaa, tableau de Paul Véronèse. Il est présenté dans de petites boîtes cylindriques en bois, appelées fripounes.
  • Vinaigre : la remontée de la Loire par des futreaux, barges plates chargés de barriques de vin à destination de la capitale, était souvent difficile et aléatoire du fait des variations de débits du fleuve royal. Lorsque le vin tournait « aigre », on le débarquait à Orléans où est née ainsi une tradition vinaigrière dont le plus célèbre représentant est la vinaigrerie « Martin Pouret », toujours en activité.
  • En 2006, plusieurs pâtissiers se sont associés pour créer une nouvelle spécialité gastronomique afin de redonner du cachet à la ville. En effet, ils créèrent les macarons aux fruits d'Orléans, disponibles dans plusieurs pâtisseries, du centre-ville notamment.

[modifier] Sortir à Orléans

[modifier] Fêtes et manifestations

  • Les Fêtes johanniques, chaque début mai, restent la manifestation populaire la plus importante d'Orléans.
  • Fête de la Saint-Fiacre, du quartier Saint-Marceau construit sur des anciens vergers et potagers, se déroule chaque année depuis 1806 (sauf durant les deux guerres mondiales) et honore, sur trois jours (week-end le plus proche de la Saint Fiacre, fin août), les métiers horticoles.
  • Fête de la Saint-Aignan, en novembre, dans le quartier du même nom, remplacée à partir de 2005 par un festival de musique : le festival DE TRAVERS [10].
  • Orléans'jazz est une série de manifestations musicales durant le mois de juillet depuis 1991.
  • Concours international de piano du XXe siècle : créé par Françoise Thinat en 1994 et se déroulant tous les deux ans.
  • Le Festival de Loire rassemble en septembre, tous les deux ans les années impaires, une importante batellerie avec des manifestations autour de ce thème[11].
  • Grande braderie, traditionnellement fin juillet (sauf en 2005 et 2006 où elle s'est déroulée fin août).
  • Archilab, rencontres internationales d'architecture comportant diverses expositions et dont la création a eu lieu en 1999; elles se déroulent depuis tous les deux ans.
  • Le Forum des droits Humains (anciennement Forum des droits de l'Homme), chaque rentrée, ce forum permet à la population de l'Orléanais d’échanger informations, réflexions et points de vue là où les droits Humains sont bafoués. Le forum se déroule sous la forme de conférences-débats, projections, ateliers...

[modifier] Sorties culturelles, concerts, cinémas, loisirs

  • Salles de spectacle :
    • Le Zénith d'Orléans, grande salle de spectacle polyvalente pouvant accueillir près de 7 000 personnes ;
    • Le Carré Saint-Vincent constitué de plusieurs salles pour le théâtre, la danse et les concerts ;
    • L' Institut musical d'Orléans comporte une salle d'un peu moins de 400 places consacrée à la musique classique.
    • L'astrolabe est la salle de concert phare pour les musiques actuelles à Orléans. Géré par l'association antirouille, pour le compte de la ville d'Orléans, l'Astrolabe présente de septembre à juin un panel sonore impressionnant. Pour accueillir les artistes de Rock, Electro, Pop, World Music, Hip Hop et autres, mais surtout pour l'auditoire, 550 places sont disponibles dans l'Astrolabe et 180 places dans l'Astroclub.
    • Le théâtre Gérard Philipe avec près de 600 places, ouvert en 1973 et rénové en 2006 ;
    • Le théâtre du parc Pasteur, avec près de 100 places, consacré essentiellement à des spectacles pour enfants.
  • Les cinémas :
    • Cinéma Pathé de 9 salles, bientôt 12 (1 908 fauteuils ouverture mi-2003 en remplacement de l’Artistic de 5 salles 1 197 fauteuils) dans le centre historique d'Orléans, face à la Loire. Un deuxième multiplexe devrait être construit dans la banlieue nord de l'agglomération, à Saran (12 salles 2 800 fauteuils).
    • Cinéma UGC de 5 salles au nord du centre-ville
    • Cinéma Le Select classé Art et Essai (5 salles). Films diffusés en version française et/ou en version originale sous titrée.
    • Cinéma Les Carmes classé art et essai (3 salles). Films diffusés en version originale sous titrée (très exceptionnellement en version française pour le jeune public par exemple).

[modifier] Jumelages

La ville d'Orléans est jumelée avec :

[modifier] Enseignement

La ville d'Orléans accueille le rectorat de l'académie d'Orléans-Tours, dont elle est le chef-lieu, ainsi que l'Inspection académique du Loiret.

[modifier] Université

  • le campus de l'Université d'Orléans est situé à Orléans-la-Source. L'Université compte 4 UFR (Unité de formation et de recherche) :
    • Lettres, Langues et Sciences Humaines ;
    • Droit, Économie et Gestion ;
    • Sciences ;
    • Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives (STAPS).
  • Il existe une école d'ingénieurs : l'École Polytechnique d'Orléans (EPO ou Polytech'Orléans) qui regroupe depuis 2002 les anciennes ESEM (École Supérieure des Energies et des Matériaux) et ESPEO (École Supérieure des Procédés Electroniques et Optiques). L'EPO dépend de l'Université d'Orléans et se trouve sur le campus de La Source.
  • Un Master MIAGE unique en Région Centre : Méthodes Informatiques Appliquées à la Gestion des Entreprises

[modifier] Écoles supérieures

[modifier] Lycées

Le nombre d'élèves concerne la rentrée 2005 [12]

  • Lycée Benjamin Franklin, lycée polyvalent, nombre d'élèves : 2144 ;
  • Lycée Pothier, lycée d'enseignement général et technologique et classe prépas, nombre d'élèves : 1838 ;
  • Lycée Jean Zay, lycée polyvalent, nombre d'élèves : 1524 ;
  • Lycée Charles Peguy, lycée d'enseignement général et technologique, nombre d'élèves : 1275 ;
  • Lycée Voltaire à Orléans-la-Source, lycée d'enseignement général et technologique, nombre d'élèves : 1773 ;
  • Lycée Paul Gauguin à Orléans-la-Source, lycée professionnel, nombre d'élèves : 767 ;
  • Lycée Saint Charles, lycée privé d'enseignement général et technologique ;
  • Lycée Sainte Croix Saint Euverte, lycée privé polyvalent ;
  • Lycée Saint Paul Bourdon Blanc, lycée privé polyvalent;
  • Lycée de L'Horticulture et du Paysage, lycée privé agricole.

[modifier] Divers

  • La rumeur d'Orléans a concerné la disparition de jeunes femmes dans certaines boutiques de vêtements tenues par des juifs en 1969. Edgar Morin en a fait une étude détaillée dans un essai éponyme, décrivant la naissance, la diffusion et l'extinction d'une rumeur publique dans des villes de moyenne importance.

[modifier] Activités sportives

[modifier] Vie militaire

Unités ayant tenu garnison à Orléans:

  • État-Major de la 5e Région Militaire, (avant) 1906 - août 1939 (jusqu'à ?)
  • État-Major du 5e Corps d'Armée, 1906 - 1913 (jusqu'à ?)
  • État-Major de la 9e Division d'Infanterie, (depuis ?) 1913 - 1928
  • État-Major de la 9e Division d'Infanterie Motorisée, à partir de 1928
  • État-Major de la 1re Division de Cavalerie, août 1939
  • État-Major de la 7e Division de Cavalerie, (depuis ?) 1913 (jusqu'à ?)
  • État-Major de la 2e Division Blindée
  • 131e Régiment d'Infanterie, 1906
  • 30e Régiment d'Artillerie, 1906
  • 32e Régiment d'Artillerie, 1906
  • 30e Régiment d'Artillerie Divisionnaire, août 1939
  • 1er Régiment de Hussards, août 1939
  • 8e Régiment de Chasseurs, août 1939
  • 1er Groupe d'Automitrailleuses, août 1939
  • 4e Légion de Gendarmerie, 1906
  • 28e Régiment de Transmissions, 1er Juillet 1979 - septembre 1998
  • Centre National de Soutien Spécialisé des Transmissions

Unités actuellement stationnées à Orléans:

[modifier] Voir aussi

[modifier] Articles connexes

[modifier] Liens externes

commons:Accueil

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Orléans.

[modifier] Notes et références

  1. André Chédeville, « Le mouvement communal en France aux XIe et XIIe siècles, ses éléments constitutifs et ses relations avec le pouvoir royal » in Robert Favreau, Régis Reche et Yves-Jean Riou (directeurs), Bonnes villes du Poitou et des pays charentais (XIIe-XVIIIe siècles) : Actes du colloque tenu à Saint-Jean-d’Angély les 24-25 septembre 1999, publiés par la Société des antiquaires de l'Ouest in Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest et des Musées de Poitiers, 5e série, tome VIII (2002), à Poitiers. ISBN 2-9519441-0-1, p 20
  2. Actualités mondiales du 16 mai 1941, disponible sur le site de l'INA (lien direct).
  3. Joseph Abram, L'architecture moderne en France, du chaos à la croissance, tome 2, éd. Picard, 1999, pp. 28 et 37-38
  4. Grand Larousse encyclopédique en 10 volumes, 163
  5. Histoire de la ville d'Orléans : liste des maires d'Orléans
  6. La République du Centre, édition Orléans, 24 mars 2007, p 10
  7. Site de la Médiathèque d'Orléans
  8. Annuaire 2006 du diocèse d'Orléans, Imprimerie nouvelle, 2005, p. 38-41.
  9. Annuaire 2006..., p. 48-49.
  10. Le site du festival DE TRAVERS organisé par l'association ABCD
  11. Portail du Festival de Loire.
  12. Site sur les lycées de la région Centre fait par le conseil régional
  13. Le site d'US Orléans Loiret Judo Jujitsu
Communes de la communauté d’agglomération d’OrléansOrléans Val de Loire
Population Communes
+ de 100 000 Orléans
+ de 20 000

Fleury-les-Aubrais · Olivet

+ de 10 000

Saint-Jean-de-Braye · Saint-Jean-de-la-Ruelle · Saran

+ de 5 000

La Chapelle-Saint-Mesmin · Chécy · Ingré · Saint-Denis-en-Val · Saint-Jean-le-Blanc · Saint-Pryvé-Saint-Mesmin

+ de 2 000

Boigny-sur-Bionne · Mardié · Ormes · Saint-Cyr-en-Val · Saint-Hilaire-Saint-Mesmin · Semoy

- de 2 000

Bou · Chanteau · Combleux · Marigny-les-Usages