Utilisateur:Frdm/Palestine (résumé)

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Sommaire


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Terminologie et HistoireCarte russe de et intitulée « Palestine », ca 1900 comprenant « Vilayet de Beyrouth » et « Sandjak de Jérusalem », ces deux circonscriptions de l’Empire ottoman correspondant, sous le nom de regroupement « Filastin ou Filistin/Palestine » (soit par la coutume locale, soit à titre officiel selon les périodes), approximativement à la province romaine de « Syria Palæstina », ca 135, incluant rive est du Jourdain, (Transjordanie riveraine, en Jordanie actuelle) et partie du Liban actuel (cf. CARTE province romaine & Hadrien).Au cours de la période « médiévale » (au sens européen du terme) séparant l’empire romain et celui ottoman, durant le Califat (632-1537), ce qui forme aujourd’hui le sud d’Israël/Palestine et le sud de la Jordanie a pendant une période constitué la circonscription « Al Jund al Filastin/Palestine », et le nord de ces pays « Al Jund al Urdun/Jourdain » (cf. CARTE « d’après les descriptions de géographes arabes médiévaux »).Ceci est un simple résumé.
Terminologie et Histoire
Carte russe de et intitulée « Palestine », ca 1900 comprenant « Vilayet de Beyrouth » et « Sandjak de Jérusalem », ces deux circonscriptions de l’Empire ottoman correspondant, sous le nom de regroupement « Filastin ou Filistin/Palestine » (soit par la coutume locale, soit à titre officiel selon les périodes), approximativement à la province romaine de « Syria Palæstina », ca 135, incluant rive est du Jourdain, (Transjordanie riveraine, en Jordanie actuelle) et partie du Liban actuel (cf. CARTE province romaine & Hadrien).
Au cours de la période « médiévale » (au sens européen du terme) séparant l’empire romain et celui ottoman, durant le Califat (632-1537), ce qui forme aujourd’hui le sud d’Israël/Palestine et le sud de la Jordanie a pendant une période constitué la circonscription « Al Jund al Filastin/Palestine », et le nord de ces pays « Al Jund al Urdun/Jourdain » (cf. CARTE « d’après les descriptions de géographes arabes médiévaux »).
Ceci est un simple résumé.

Palestine1 désigne d’abord :

  • par évolution par l’égyptien, l’hébreu, le grec et le latin2 d’un terme rendu aussi par Philistie,
  • d’après le nom d’un peuple, les Philistins, connu à la charnière de l’Âge du Bronze et de l’Âge du Fer,
  • installé d’abord ou principalement mais non exclusivement sur la Bande de Gaza,

une région côtière du Proche-Orient située au sud-est de la Méditerranée.

Au centre ou comme limite orientale de cette région Palestine se trouve le fleuve (ou rivière) Jourdain :

  • dans le cas d’extension de portée au delà du fleuve Jourdain,
  • et par rapport à l’originelle Philistie (cf. pour une carte, article Pays de Canaan),

« Palestine » désignerait un territoire englobant la Cisjordanie et la Transjordanie (sur chaque emploi de ces termes, voir note : 3).

Cette extension de portée de la dénomination « Palestine » a résulté exclusivement :

  • de la réinstauration officielle du nom par l’empereur Hadrien en 135, inspiré de celui toujours connu de peuple disparu précité (voir Philistins et Pays de Canaan),
  • au sens de circonscription administrative et politique,
    • pour la circonscription de l’Empire
      • qui portait à ce moment et jusque là (époque romaine) le nom latin Iudæa (Judée) (et lat. Iudæus, Juif),
      • alors remaniée et rattachée à celle de Syrie romaine de culture hellénique à l’époque,
  • sous la forme de l’expression composée « Syria Palæstina », et donc pas même sous la forme autonome de Palæstina : suivre le lien précédent pour une carte administrative indiquant les circonscriptions instaurées par Hadrien ; cette carte montre l’extension de la province Syria Palæstina en Transjordanie géographique et sur le territoire du Liban actuel.
Voir aussi sur la Palestine dans l’Antiquité (en particulier romaine et byzantine) notamment l’article Palestine.

À l’époque la plus récente où il a désigné une entité territoriale sous exercice de souveraineté unique, le terme Palestine a été officiellement jusqu’en 1948 le nom :

  • du territoire :
    • alors brièvement sans maître internationalement reconnu,
    • issu de l’Empire ottoman disparu (la Turquie étant l’État successeur, mais sans revendication sur ladite région appelée Palestine),
    • confié au Royaume Uni par mandat (CARTE) de la Société des Nations en juin 1922,
    • et couramment désigné par l’anglicisme syntaxique “Palestine mandataire”.
  • Ce territoire couvrait au sens géographique :
  • Mais :
    • de même que la province romaine n’allait pas aussi loin à l’est que la Transjordanie du mandat britannique,
    • dans les documents quotidiens du mandat on trouve plus souvent « Palestine et Transjordanie » que « Palestine » au sens global.

Le territoire “Palestine mandataire” global n’a ensuite plus inclus la Transjordanie, quand et au sens où :

  • dans son exercice du mandat de la Société des Nations,
  • le Royaume Uni a instauré dans les années 1920 la dynastie hachémite sur ce territoire.
  • Ce territoire de Transjordanie constitue actuellement l’État (Royaume hachémite) « de » “Jordanie”, depuis que l’ONU en 1948 a entériné sa mise en place.

Mais dès lors que la Transjordanie a été placée sous dynastie hachémite, bien avant la fin du mandat,

  • l’emploi politique et administratif du terme Palestine a été limité au territoire de Cisjordanie (de la Méditerranée au Jourdain, voir note nº3),
  • tandis que sa portée juridique restait — selon certains ou certains autres, comme tout ce qui est énoncé ici — plus vaste, inchangée au sens du mandat de la Société des Nations (tel que lu ou interprété par ces personnes et entités ou d’autres, comme, par hypothèse tout ce qui est énoncé ici),
  • jusqu’à l’instauration de l’Organisation des Nations Unies (successeur de la Société des Nations, en quelque sorte) en mesure de réviser la situation juridique.

Ce territoire de Palestine à cette étape,

  • ne comprenant au sens politique et administratif plus que la Cisjordanie (donc de la Méditerranée au Jourdain, voir note nº3),
  • correspond politiquement aujourd’hui
    • à celui de l’État d’Israël (voir aussi : Israël (Bible))
    • et aux territoires occupés par Israël en 1967 (CARTE) dits, selon leur disposition concrète la plus précise dans les dénominations disponibles,
      • “Rive ouest du Jourdain” (West Bank) (ou dénominations historiques antiques, constantes en français jusqu’à nos jours, de Judée et Samarie, en hébreu reprises de manière territoriale approximative par la partie israélienne4, et y compris « Jérusalem-est »5), d’une part,
      • et « Bande de Gaza » (CARTE), d’autre part.
      • Pour mémoire, le « plateau du Golan » est, lui, un territoire syrien occupé (CARTE & CARTE), et ne fait ainsi pas partie des territoires “palestiniens occupés”6.

Il en résulte, selon certains, d’autres trouvant ce rappel déplacé, que l’État actuel d’Israël

  • serait et continuerait d’être l’État juif de Palestine7, un État palestinien, au sens :
    • non seulement de continuité :
      • de dénomination Palestine politiquement et administrativement substituée à celle de Judée depuis l’empereur Hadrien,
      • de présence sur place continue de populations juives, même minoritaires, nonobstant leur déportation et massacre massifs sous cet empereur,
    • mais encore du mandat de la Société des Nations,
    • et enfin de la Résolution de l’Assemblée générale de l’ONU prévoyant l’instauration moderne d’un tel État.

Et, au sens de la langue et de la civilisation française, issue principalement de celle d’Hadrien — et au sens de toutes celles qui en sont issues—,

  • l’État d’Israël réinstauré comme État juif après presque deux mille ans, peut selon certains ou d’autres comme tout ce qui est énoncé ici, être désigné comme un État palestinien :
    • non seulement en considération documentaire de la Société des Nations, telle que présentée ci-dessus, et de l’ONU,
    • mais encore, avant même qu’une quelconque population arabe mette le pied sur ce territoire, du point de vue historique également documentaire il est tel dès lors que jamais la dénomination Palestine n’a cessé d’être employée au sens d’Hadrien, ni la présence juive, même minoritaire, en (Judée-)Palestine.

Cette présentation est désapprouvée par d’autres ou certains, comme il figure ci-dessous.

C’est dans la formulation précédente que se trouve l’articulation avec les populations arabes présentes en Palestine au moment de la création de l’État d’Israël au sens de l’ONU.

Car le point de vue aujourd’hui de ces populations est, que ce sont elles qui forment les Palestiniens et la Palestine.

  • Il est indifférent à ce point de savoir que ce serait par référence aux Philistins de l’Âge du Bronze, ou à la politique d’Hadrien.
    • Tandis que ce n’est plus indifférent s’il s’agit pour elles de reconnaître ou non un partage de la Palestine,
      • car reconnaître que le nom Palestine viendrait à titre politique et administratif d’Hadrien (par ses sources culturelles égypto-hébréo-gréco-latines)
      • et aucunement de manière directe de l’Âge du Bronze,
    • revient à reconnaître ce qui en devient le fait historique :
      • d’un État des Juifs jusqu’à Hadrien (où, selon certains ou d’autres comme tout ce qui est énoncé ici, les seuls arabes qui pouvaient s’y rencontrer ne pouvaient être que des voyageurs, jusqu’à Hadrien et encore bien après lui)
      • et de la présence continue de Juifs et de leur culture antique sur ce territoire depuis trois mille ans et plus.
    • Dans l’autre cas, il n’y a pas lieu de reconnaître ces points, et les Juifs peuvent alors être vus par la partie arabe :
      • sans par hypothèse avoir à examiner l’évolution sur le terrain ni celle des dénominations territoriales successives :
      • comme des immigrants inconnus comme peuple en Palestine avant le XXe siècle, hormis quelques voyageurs et hôtes tolérés comme ailleurs,
    • et s’ensuit le raisonnement selon lequel l’État d’Israël n’a été créé par les Européens qu’exclusivement pour résoudre le problème de leur propre culpabilité quant à la Shoah, par quoi les Arabes ne sont, ne seraient ou n’auraient été aucunement concernés, ou n’auraient pas dû l’être.

Et :

  • tout ceci étant exposé plus haut dans l’abstraction totale des causes religieuses d’antagonisme, puisque :
    • si du point de vue documentaire y compris archéologique les Juifs (comme nation) ont une religion antérieure dans l’histoire à celle des musulmans (et du même point de vue aussi les chrétiens),
    • du point de vue de la foi musulmane (même étant matériellement manifestée dans des documents postérieurs, ce qui est indifférent en matière de foi), la religion musulmane est antérieure à celle des Juifs, qui n’en est, toujours de ce point de vue, qu’une déformation, comme celle chrétienne ;
    • ce qui n’empêche pas de vivre en paix avec des juifs (ou des chrétiens), mais de là à opérer un partage de territoire, en devient pour le moins étrange, de ce point de vue cumulé avec tous les autres de la partie arabe.

Par voie de conséquence, un point de vue arabe, Palestinien au sens arabe, consiste fréquemment à observer :

  • que l’État d’Israël n’a pu voir jour que par la force armée, et notamment :
    • ayant repoussé les armées arabes attaquantes en 1948 (CARTE : Ligne d’armistice de Rhodes 1949),
    • ayant mené une attaque dite préventive face à des concentrations de troupes arabes en 1967 (Guerre des Six Jours) conduisant à des conquêtes (CARTE)
    • ayant rasé les villages arabes dépeuplés à l’occasion et à la suite de ces opérations (CARTE, ici précision expresse d’origine de la carte externe, à toutes fins éventuelles : site académique palestinien listé en page d’accueil du site de l’Autorité nationale palestinienne)
  • que l’État d’Israël ne présente rigoureusement aucune légitimité (voir ci-dessus les développements du point de vue arabe préalables à celui-ci, et ci-après) qui même seulement accompagnerait cette voie de force :
    • toutes les décisions contraignantes favorables à la mise en place d’un État juif en Palestine,
      • que ce soit celles de la Société des Nations ou celles de l’ONU au début de l’existence de celle-ci,
      • n’ayant été prise que par des membres qui étaient alors majoritairement issus de peuples chrétiens (ou historiquement chrétiens).
  • Dès lors, il convient suivant ce point de vue d’obtenir de l’ONU des décisions inverses par des majorités qui ne présentent plus cette caractéristique, pour résoudre le problème vu par la partie arabe — pour une symétrie complète on doit ajouter : et musulmane, les questions de foi n’étant pas étrangères à la situation, comme examiné précédemment8.

Ont été examinés ici plusieurs des points de vue en présence, à l’exception de ceux observables actuellement quant à l’ONU. Au sein des Nations unies,

  • le nom Palestine, dans un emploi
    • soit par abréviation, par rapport au Plan de partage de 1947 et ses adaptations ultérieures,
    • soit “national” au sens factuel non étatique, aucune autre partie ne revendiquant ce nom à ce titre jusque là,
  • désigne actuellement le siège d’observateur de l’« Organisation de Libération de la Palestine ».
  • Ce terme désigne ainsi éventuellement des ou les territoires occupés en 1967 précités.
  • Ceci, sans préjudice juridique aucun de la dénomination d’un futur État arabe en Palestine,
    • au sens des constatations terminologiques du Plan de partage de la Palestine de 1947,
    • que rien n’est venu remettre en cause sur ce point des aspects terminologiques
    • mais plan de partage qui n’est pas accepté ni reconnu par la et les parties arabes.

Cependant, au sens de la partie arabe du conflit « israélo-palestinien », ainsi dénommé par abus de langage selon partie des présentes prises en considération de la portée de la dénomination « Palestine » :

  • la dénomination simple « Palestine » serait
    • par ces usages
      • certes à des titres limités,
      • mais officiels,
    • retenue par l’ONU pour le nom du futur État arabe en Palestine.
  • Ceci serait conforté par le fait
    • que l’État de Jordanie — « Royaume hachémite de Jordanie »,
      • dénommé auparavant selon sa situation géographique à titre officiel « Transjordanie » pendant sa période de mise en place de dynastie hachémite sous mandat britannique,
      • s’est lui-même approprié
        • avec l’accord de l’ONU
        • le nom d’un territoire géographique qui s’étend jusqu’à la Méditerranée (le “pays du Jourdain”, Jordanie : par hypothèse à la fois Cis- et Transjordanie).
  • cependant
    • si “Jordanie” s’inspire d’une appellation géographique constante de l’Antiquité comme d’aujourd’hui, par référence au Jourdain (cours d’eau),
    • en revanche “Palestine” s’inspire d’une désignation de peuple,
      • réinstaurée à l’époque de l’Empire romain
        • alors que le peuple correspondant avait cessé d’être identifiable parmi les populations locales depuis environ un millénaire
        • la référence ultérieure étant alors à la dénomination réinstaurée par Rome en référence expresse à ce peuple disparu.

Ce serait un cas rare, pour ne pas dire inexistant, dans l’histoire des divisions territoriales depuis l’existence de l’ONU,

  • qu’un État entièrement issu d’une division territoriale
    • serait autorisé à porter le nom exactement référent au peuple,
      • ici disparu,
      • désignant ledit territoire au complet,
    • une telle revendication niant expressément,
      • dans la population même, réelle ou même supposée,
      • le fait même d’une autre partie étatique issue entièrement du même territoire à dénomination de peuple.
  • Cependant le cas de la réinstauration récente de l’État de “Macédoine-Skopje”9 pourrait (d'après certains, et d'après d'autres non, comme tout ce qui figure dans le présent article selon une formule qui devrait être répétée à chaque paragraphe) apporter un éclairage (UN éclairage) sur ce point :

[N.B. : le cas présenté n’est en rien identique, sauf strictement sous l’angle d’appropriation (officiellement contestée ou non) de noms antiques de territoires, et pour des détails sur les limites strictes de l’illustration, et non “comparaison”, prendre soin de consulter l’article consacré au cas évoqué : Macédoine (pays)] :

    • mais l’autre État concerné, la Grèce,
      • ne comporte actuellement du territoire de l’antique Macédoine qu’une ou plusieurs partie(s) régionale(s) :
        • la Grèce comme territoire n’est pas issue de ce territoire,
        • comme l’est entièrement l’État d’Israël de celui dénommé Palestine en tout cas par l’Onu en 1947
  • de plus, l’origine ou une origine de la Grèce dans le territoire plus restreint de Macédoine représente UN point commun avec une origine ou inspiration de l’État actuel d’Israël dans le territoire antique de Judée ; on peut retrouver des cas sur ce point analogues s’agissant du Haut-Karabagh pour l’Arménie semble-t-il, et du Kosovo pour la Serbie, mais sans superposition de dénominations actuelles de territoires dans ces cas, et surtout ici sans plus d’apprécation de justesse des revendications qui donnent lieu à ces éclairages du présent article.

Pour toutes ces raisons, la question reste ouverte autant du point de vue politique10 que juridique11, si en tout cas du point de vue historique elle est sans ombre à partir des termes documentés et notamment ceux instaurés à titre administratif et politique par l’empereur Hadrien.

[modifier] Notes


Millénaires et siècles, liens directs vers section « Palestine » si section présente :

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Xe siècle | XIe siècle | XIIe siècle | XIIIe siècle | XIVe siècle | XVe siècle | XVIe siècle | XVIIe siècle | XVIIIe siècle | XIXe siècle |
XXe siècle | XXIe siècle |

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[modifier] Palette d’articles relatifs à Palestine

Palestine (région, terminologie, histoire générale)

Palestine (arabe)

Israël

Conflit israélo-arabe et « israélo-palestinien »

[modifier] En:Category:Palestine