Artistes Dada

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[modifier] A

  • Anastassia Akhtyrko, (Moscou, 1902 - Moscou, 1968). Peintre russe. Elève du Laboratoire de formation supérrieure technico-artistique de Moscou, elle participe aux premières expériences de théâtre abstrait (1921). Adepte de la tendance constructiviste, elle rencontre Tristan Tzara à Berlin, en 1925, dont elle fait un portrait.[1]
  • Pierre Albert-Birot, (Angoulême, 1876 - Paris, 1967). Écrivain, directeur de revue, dramaturge français. En 1916, à Paris, il fonde la revue "SIC" (Sons-Idées-Couleurs) qui accueille les écrits des dadas zurichois. Précurseur de la poésie concrète et sonore, il se tourne vers le théâtre en 1919.[2]
  • Guillaume Apollinaire, (Rome, 1880 - Paris, 1918). Poète, essayiste, chroniqueur français. Rencontre les futurs dadas Marcel Duchamp et Francis Picabia en 1912 qui admirent chez lui son goût pour l'audace et son "esprit nouveau". Duchamp lui dédie le ready-made « Apolinère Enameled » et Picabia publie dans sa revue "391" le calligramme « L'Horloge de demain ». Dès sa naissance à Zurich, le groupe Dada ne cache pas son admiration, ses poèmes sont lus au cours des manifestions du Cabaret Voltaire et Tzara lui fait parvenir les premières revues Dadas. Dans le contexte de la guerre, de la censure et du bourrage de crâne, Apollinaire succombe au patriotisme belliciste qui le retient d'apporter sa pleine adhésion au mouvement. À sa mort, un hommage sincère lui est rendu dans le troisième numéro de "Dada".[3]
  • Louis Aragon (Paris, 1897-1982). Poète et romancier français.
  • Céline Arnauld, (née Carolina Goldstein. Călăraşi, Roumanie, 1885 - Paris, 1952). Poète et romancière française. L'une des rares femmes, avec Suzanne Duchamp, à avoir participé activement au mouvement Dada parisien de 1920 à 1924. Créatrice de la revue "Projecteur" (un seul numéro). Amie de Francis Picabia et de René Hilsum qui éditera ses œuvres jusque dans les années 1930. Mariée à Paul Dermée.[4]
  • Jean ou Hans Arp (Strasbourg, 1886 - Bâle, 1966). Sculpteur, peintre et poète alsacien. Membre fondateur du mouvement Dada et animateur du Cabaret Voltaire à Zurich (1916). Avec Sophie Taeuber, ils réalisent plusieurs œuvres en commun. "Le retour à l'innocence que préconise Dada se traduit par l'implication du hasard dans la genèse de l'œuvre d'art ou le recours à certains procédés automatiques." [5] Rejoint le mouvement surréaliste dès son arrivée à Paris en 1926.

[modifier] B

  • Johannes Baader, (Stuttgart, Allemagne, 1875 - Adeldorf, Allemagne, 1955). Écrivain allemand. Autoproclamé « Oberdada ». A réalisé des collages dont la majeure partie à été détruite au cours de la seconde guerre mondiale. Raoul Hausmann : « Sans Baader, Dada n'aurait pas eu lieu à Berlin. »
  • Johannes Theodor Baargeld, pseudonyme de Alfred Emanuel Ferdinand Gruenwald. (Stettin, Allemagne, 1892 - Massif du Mont-Blanc, France, 1927). Journaliste et écrivain allemand. Surnommé « Zentrodada ». A essayé le dessin, le collage et le photomontage en autodidacte. Max Ernst : « Il y a seulement un vrai président ici sauf moi (à Cologne), c'est Baargeld. ». Il renie Dada en 1921.
  • Hugo Ball, (Pirmasens, Allemagne, 1886 - Sant'Abbondio, Suisse, 1927). Écrivain et poète allemand. L'un des fondateurs de Dada et animateur des soirées du Cabaret Voltaire à Zurich. Il doit sa renommée internationale à une photo souvent reproduite où il apparaît dans un costume rigide et argenté figurant un phallus en érection. Il rompt définitivement et sans la moindre explication avec Dada en mai 1917.
  • Erwin Blumenfeld. Dessinateur et peintre allemand. Ami proche de Paul Citroen, il rencontre les dadas berlinois en 1917 ou 1918. Il quitte Berlin pour Amsterdam, adapte son patronyme en Jan Bloomfield et co-dirige, avec Citroen la Centrale Dada de Hollande. « J'écrivais le jour des historiettes, la nuit, je devenais peintre du dimanche [...] Ne sachant pas dessiner, je m'en passais. Mon style : dadaïsme futuriste. » Après Dada, il devient photographe de mode.[7]
  • André Breton, (Tinchebray, Orne, 1896 - Paris, 1966). Poète, écrivain, essayiste français, théoricien et animateur du surréalisme. Admirateur de Dada depuis 1918, il fallut la venue de Tristan Tzara à Paris en janvier 1920 pour que Breton devienne l'un des organisateurs des plus actifs et inventifs des soirées Dada parisiennes. Redoutant que le nihilisme des dadaïstes s'apparente à de l'infantilisme, il prend ses distances avec le mouvement après le « Procès Barrès » (mai 1921).
  • Gabrielle Buffet-Picabia

[modifier] C

  • Serge Charchoune, (1888-1975). Peintre et poète russe. Après avoir quitté la Russie, en 1914, pour Barcelone, où il rencontre Arthur Cravan et Francis Picabia, il s'installe à Paris en 1919. Il rencontre les Dadaïstes au Festival Dada de la salle Gaveau (26 mai 1920) et participe à leurs manifestations dont le « Procès Barrès » (mai 1921) et le salon Dada de la galerie Montaigne organisé par Tristan Tzara (juin 1921). Il y expose des dessins inspirés des œuvres "mécaniques" de Picabia et compose également un poème illustré de douze dessins « Foule immobile » très bien accueillis par les dadaïstes. À son tour, il créé un groupe Dada appelé "Palata Poetov" ("La Chambre des Poètes") qui se réunit dans un café du quartier Montparnasse (décembre 1921). Dans l'espoir d'obtenir enfin un visa, il se rend à Berlin, en mai 1922. Il y créé une revue Dada en langue russe "Perevoz Dada" ("Le Transbordeur Dada"), édite une anthologie de poésie dadaïste allemande, française et russe « Dadaizm, kompilacija » et collabore à diverses revues comme "Merz" de Kurt Schwitters.
  • Christian, (pseudonyme de Georges Herbiet, Anvers, 1895 - Paris, 1969). Libraire, poète et critique littéraire. Ami de Francis Picabia, il tient, à Saint-Raphaël (Var), de 1920 à 1923, la librairie "Au bel exemplaire" spécialisée dans la diffusion des œuvres et revues dadaïstes.[8]
  • Hans Citroen.[9] Frère de Paul Citroen. Dessinateur. Quatre de ces œuvres sont exposées à la première Foire internationale Dada de Berlin.[10]
  • Paul Citroen.[11] Dessinateur et peintre hollandais. Rencontre les Dadas berlinois en 1917 ou 1918. Co-dirige avec Erwin Blumenfeld la Centrale Dada de Hollande. S'éloigne de Dada en 1921 pour devenir membre du Bauhaus.[12]
  • John Covert, (Pittsburgh, Pennsylvanie, 1882-1960). Peintre américain. Influencé par Marcel Duchamp, il combine la peinture à des matériaux de toute sorte et son goût pour les mathématiques et la cryptographie. Ses peintures abstraites sont considérées comme les plus proches de l'esprit Dada de New York.[13]
  • Arthur Cravan, (Né Fabien Avenarius Lloyd, Lausanne, 1887 - Mexique (?), 1918). Boxeur et poète. Éditeur et unique rédactuer de la revue "Maintenant" (1912-1915), ses excentricités et ses provocations en font un précurseur du dadaïsme.
  • Jean Crotti, (Bulle, Suisse, 1878 - Neuilly-Sur-Seine, Hauts-de-Seine, 1958). Peintre français. Rejoint le groupe Dada parisien par l'intermédiaire de Suzanne Duchamp, peintre et soeur de Marcel Duchamp (1916). Ensemble, ils tenteront de créer un mouvement à la fois dadaïste et mystique appelé "Tabu-Dada" (1921).[14]

[modifier] D

  • Paul Dermée, (né Camille Janssens, Liège, Belgique, 1886 - Paris, 1951). Écrivain, poète belge, critique littéraire et directeur de revues. Surnommé "Proconsul Dada".
  • Otto Dix, (Gera, Allemagne, 1891 - Singen, Allemagne, 1969). Peintre allemand.
  • Arthur Garfield Dove. Peintre.
  • Katherine Dreier. Bien que collectionneuse de l'œuvre de Marcel Duchamp et co-fondatrice avec lui du premier musée américain consacré à l'art contemporain, elle s'opposa à l'exposition de la « Fontaine », œuvre emblématique du concept de ready-made.
  • Marcel Duchamp, (Blainville-Crevon, Seine-Maritime, 1887 - Neuilly-sur-Seine, Hauts-de-Seine, 1968).
  • Suzanne Duchamp, (Blainville-Crevon, Seine-Maritime, 1889 - Neuilly-sur-Seine, Hauts-de-Seine, 1963). Peintre. Soeur de Marcel Duchamp qu'elle cotoie tant en France qu'à New York. L'une des rares femmes peintres du groupe Dada parisien. En 1919, elle épouse Jean Crotti et, ensemble, ils tenteront d'imposer un nouveau courant mêlant dadaïsme et mysticisme appelé "Tabu-Dada".

[modifier] E

  • Carl Einstein, (Neuwied, Allemagne, 1885 - Betharram, France, 1940). Écrivain, historien et critique d'art. Dadaïste berlinois de tendance anarchiste. Créateur, avec George Grosz de la revue "Der Blutige Ernst" (Terriblement sérieux) en 1919.[15]
  • Paul Éluard, (Saint-Denis, Seine-St-Denis, 1895 - Charenton-le-Pont, Val de Marne, 1952). Poète français. A participé à toutes les manifestations parisiennes Dadas.
  • Agnes Ernst Meyer
  • Germaine Everling
  • Julius Evola, (Né Giulio Cesare Evola, Rome, 1888-1974). Philosophe, poète et peintre italien. Intéressé par les tendances les plus modernes de l'art, il correspond avec Tristan Tzara.

[modifier] F

  • Wilhelm Fick
  • Salomon Friedländer (Mynona)

[modifier] G

  • Jefim Golyscheff, (Kherson, Ukraine, 1897 - Paris, 1970). Compositeur et peintre russe. Bien qu'il ne se trouve aucune affinité avec les dadaïstes berlinois, préfèrant les artistes expressionnistes du Novembergruppe, il est invité à jouer son « Antisymphonie » au cours de la soirée Dada du 30 avril 1919. Il signe également le manifeste « Qu'est-ce que veut Dada et que veut-il en Allemagne ? » En 1922, il prend ses distances avec le mouvement pour se rapprocher de Walter Gropius, fondateur du Bauhaus.
  • Max Goth

[modifier] H

  • Marguerite Hagenbach
  • Marsden Hartley
  • Raoul Hausmann, (Vienne, 1886 - Limoges, Haute-Vienne, 1971). Plasticien et écrivain. "Der Dadasophe." Fondateur avec Richard Huelsenbeck du groupe Dada de Berlin en 1917. Le photomontage fut son domaine d'expression par excellence.
  • Paul Haviland
  • John Heartfield, anglicisation volontaire de Helmut Herzfeld (Berlin, 1891-1968). Peintre et photographe allemand. Ami de George Grosz qui l'introduit dans le mouvement Dada (1918). En 1920, il délaisse la peinture pour le photomontage.
  • Jean Van Heeckeren
  • Walter Helbig
  • Georges Herbiet
  • Wieland Herzfelde
  • René Hilsum. Éditeur et libraire français. En 1919, il fonde la maison d'édition "Au Sans Pareil" destinée à publier les écrits dadaïstes, ouvre une librairie sous le même nom qui devient un lieu de rendez-vous quotidien des Dadas (1920) et organise la première exposition consacrée à Max Ernst (1921). Jusqu'à sa faillite en 1936, il poursuivra, sans interruption, l'édition des ouvrages dadaïstes.[17]
  • Hannah Höch, (Gotha, Allemagne, 1889 - Berlin, 1978). Plasticienne allemande. "Dadasophin". Expérimente le collage et le photomontage avec Raoul Hausmann. Seule femme a avoir participé aux manifestations Dada de Berlin.
  • Jacob Van Hoddis
  • Angelica Hoerle, (née Fick, Cologne, Allemagne, 1899 - Cologne, 1923). Dessinatrice allemande. Considérée de manière condescendante comme l'hôtesse du "Dadaheim".
  • Heinrich Hoerle, (Cologne, Allemagne, 1895 - Cologne, 1936). Peintre et écrivain allemand.
  • Richard Huelsenbeck, (Frankenau, Allemagne, 1892 - Minusio, Suisse, 1974). Écrivain et poète allemand. L'un des fondateur de Dada et animateur du Cabaret Voltaire à Zurich, et promotteur de la poésie bruitiste déclamée comme des injures et accompagnée de percussions. En 1918, avec Raoul Hausmann, il fonde le "Club Dada de Berlin" et organise la première Foire international Dada à Berlin (5 juin 1920).

[modifier] J

  • Paul Joostens

[modifier] K

  • Alfred Kreymborg

[modifier] L

[modifier] M

  • Émile Malespine, (Nancy, Meurthe-et-Moselle, 1892 - Paris, 1953). Médecin psychiatre. En 1922, il créé la revue "Manomètre" ouverte à tous les courants de l'avant-garde internationale. En 1925, le ton dadaïste est abandonné pour un « suridéalisme » en opposition ouverte au surréalisme qualifié de « magasin d'accessoires qu'on déballe ».[18]
  • Rolph de Maré
  • John Marin
  • Walter Mehring

[modifier] N

  • Katherine Nash Rhoades
  • Alan Norton

[modifier] O

[modifier] P

  • Ivo Pannagi
  • Clément Pansaers, (Neerwinden, Belgique, 1885 - Bruxelles, 1922). Artiste plasticien et écrivain belge.
  • Francis Picabia, (Paris, 1879-1953). Peintre et poète français. Artiste représentatif de l'avant-garde picturale avec Marcel Duchamp à partir de 1913, il rallie Dada en 1916, puis rompt avec le mouvement en juillet 1921.

[modifier] R

  • Man Ray, (Philadelphie, Pennsylvanie, 1890 - Paris, 1976). Peintre, photographe et cinéaste américain. Animateur du mouvement Dada de New York avec Marcel Duchamp jusqu'en 1921, date à laquelle il s'installe à Paris et rencontre les surréalistes.
  • Otto van Rees
  • Georges Ribemont-Dessaignes, (Montpellier, Hérault, 1884 - Saint-Jeannet, Alpes-Maritimes, 1974). Poète, écrivain, dramaturge et peintre français. Participe aux manifestations Dada du groupe parisien de 1920 à 1922.
  • Hans Richter, (Berlin, 1888 - Locarno, Suisse, 1976). Peintre et cinéaste américain. Rallie le groupe Dada de Zurich en 1916.

[modifier] S

  • Erik Satie, (Honfleur, Calvados, 1866 - Paris, 1925). Pianiste et compositeur français. Peu réceptifs à toute expression musicale, les dadaïstes parisiens comme les futurs surréalistes n'ont pas reconnu comme l'un des leurs le compositeur de « Musique d'ameublement ». Seul Tristan Tzara a témoigné de sa constante amitié.[20]
  • Christian Schad, (Miesbach, Allemagne, 1894 - Stuttgart, 1982). Peinture et photographe allemand.[21]
  • Georg Scholz, (Wolfenbüttel, Allemagne, 1890 - Waldkirch, Allemagne, 1945). Peintre allemand.[24]
  • Kurt Schwitters, (Hanovre, Allemagne, 1887-1948). Artiste plasticien et écrivain allemand. Refusé par le groupe Dada berlinois, en 1919, il créé un mouvement à la fois parallèle et concommittant à Dada : « Merz ».
  • Franz Seiwert
  • Walter Serner, (Karlovy Vary, Bohême, 1889-1942). Écrivain germanophone. Il rencontre les Dadas de Zurich en 1916, notamment, Christian Schad qui devient son ami. À ce dernier, il suggère la technique du photogramme (photographie sans appareil) que Tristan Tzara appellera « schadographie ».
  • Claude Sernet, (Né Ernest Spirt à Tirgu Ocna, Roumanie, 1902 - Paris, 1968). Poète roumain. Premiers textes publiés sous le pseudonyme de Mihaïl Cosma dans la revue "75 HP" créée par Victor Brauner et Ilarie Voronca. En 1925, il s'installe à Paris et rencontre Benjamin Fondane et le groupe Le Grand Jeu.
  • Philippe Soupault, (Chaville, Yvelines, 1897 - Paris, 1990). Poète et romancier français. L'arrivée à Paris de Tristan Tzara (janvier 1920) coincide avec la première manifestation Dada dont fait partie Soupault. Un temps surnommé "Philippe Dada", il joue dans la pièce de Tzara « Vaseline symphonique ». S'il refuse à André Breton son soutien au Congrès de Paris en 1922, il s'éloigne de Dada l'année suivante.
  • Kate Steinitz
  • Alfred Stieglitz, (Hoboken, New Jersey, 1884-1946). Photographe et marchand d'art. Cité pour avoir photographié pour la postérité, l'"original" ("perdu" depuis) de la « Fontaine » de Marcel Duchamp, en 1917.

[modifier] T

  • Dorothea Tanning
  • Guillermo de Torre
  • Tristan Tzara, (Moineşti, Roumanie, 1896 - Paris, 1963). Poète et essayiste roumain. L'un des fondateurs de Dada et animateur du Cabaret Voltaire à Zurich. En relation épistolaire avec André Breton depuis décembre 1918, il arrive à Paris en janvier 1920 et participe aux manifestations Dada du groupe parisien. Le « Procès Barrès » de mai 1921 révèle les divergences entre Breton et Tzara. La représentation chahutée du « Cœur à gaz » de Tzara, le 6 juillet 1923, consomme la rupture entre dadaïstes et surréalistes et marque la fin du groupe Dada parisien.

[modifier] V

  • Theo Van Doesburg,[25] (Utrecht, Pays-Bas, 1883 - Davos, Suisse, 1931). Dessinateur, peintre et poète hollandais. Fondateur du mouvement "De Stijl" en 1918, il publie dans la revue du même nom un extrait du « Manifeste Dada 1918 » (février 1920). Il assiste aux manifestions dadas de Paris et publie les documents envoyés par les groupes berlinois et parisien. Sous le pseudonyme d' I. K. Bonset, il créé la revue Dada "Mecano" (1922).[26]
  • Ilarie Voronca

[modifier] W

[modifier] Z

  • Marius de Zayas
  • Ilya Zdanévitch (Iliazd)

[modifier] Sources bibliographique

  • Laurent Le Bon (sous la direction de) « Dada », catalogue de l'exposition présentée au Centre Pompidou du 5 octobre 2005 au 9 janvier 2006, Éditions du Centre Pompidou, Paris, 2005. (Le Bon)
  • Giovanni Lista « Dada libertin & libertaire », L'Insolite, Paris, 2005 (Lista)

[modifier] Notes et références

  1. Lista, p.214
  2. Lista, p.214
  3. Le Bon, p.80
  4. Le Bon, p.88
  5. José Pierre « L'Univers surréaliste », Somogy, Paris, 1983, p.301
  6. Pierre Daix « La Vie quotidienne des surréalistes », Hachette, 1992, p. 150
  7. Le Bon, p. 76
  8. Le Bon, p.216
  9. Pas de tréma sur le e
  10. Le Bon, p. 76
  11. Pas de tréma sur le e
  12. Le Bon, p.76
  13. Le Bon, p.290
  14. Le Bon, p.921
  15. Le Bon, p. 194
  16. Biro, p.
  17. Voir également Personnalités liées au mouvement surréaliste
  18. Biro, p. 258
  19. Le Bon, p. 269
  20. Le Bon, p. 860
  21. Le Bon, p. 865
  22. Le Bon, p. 868
  23. Le Bon, p. 873
  24. Le Bon, p. 875
  25. Classé à V dans Le Bon, p. 968
  26. Le Bon, p. 968
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