Édith Piaf

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Édith Piaf
Alias La Môme Piaf
Nom Édith Giovanna Gassion
Naissance 19 décembre 1915
Paris, France France
Décès 10 octobre 1963
Grasse, France
Années actives 1935 - 1963

Édith Piaf née Édith Giovanna Gassion le 19 décembre 1915 à Paris, morte le 10 octobre 1963 à Grasse est une chanteuse française de music-hall et de variétés. Surnommée à ses débuts « la Môme Piaf », on lui doit de très nombreux succès du répertoire francophone comme La Vie en rose, Non, je ne regrette rien, Hymne à l'amour, Mon légionnaire ou Milord. Personnalité hors norme, elle a inspiré de nombreux compositeurs, fut le mentor de nombreux jeunes artistes et a connu une renommée internationale, malgré une fin de carrière rendue difficile par de graves problèmes de santé. Édith Piaf fut aussi comédienne au théâtre et au cinéma.

Sommaire

[modifier] Biographie

[modifier] Enfance

Plaque commémorant la naissance d'Edith Piaf, 72 rue de Belleville à Paris XXème
Plaque commémorant la naissance d'Edith Piaf, 72 rue de Belleville à Paris XXème

Édith nait le 19 décembre 1915 à Paris, au 72 rue de Belleville, dans le 20e arrondissement, d'après la plaque apposée sur la maison sise à cette adresse; selon son acte d'état-civil, Édith Giovanna Gassion est née 4 rue de la Chine, adresse de l'hôpital Tenon[1]. Enfant du spectacle, née dans la misère, elle est la fille de Louis Alphonse Gassion, artiste de cirque contorsionniste (né à Castillon dans le Calvados en Normandie le 10 mai 1881) et d'Annetta Maillard (1895-1945), Line Marsa de son nom d'artiste, chanteuse de rue d’origine française, italienne par son père et kabyle par sa mère.

Sa mère, trop misérable pour l'élever, la confie très petite à sa grand-mère maternelle, Aïcha Saïd Ben Mohammed (1876-1930), originaire de Kabylie en Algérie. Sa grand-mère, qui ne songe qu'à boire, ne s'en occupe pas, laissant la petite fille dans la saleté, ignorant l'eau et l'hygiène. Ses biberons se font au gros vin rouge. Couverte d'eczéma, d'une maigreur alarmante, elle reste 18 mois dans cette demeure misérable avant que son père, en permission de retour du front, la confie à sa grand-mère paternelle, patronne d'une maison close à Bernay en Normandie. Édith est choyée par les prostituées de la maison, mangeant pour la première fois à sa faim, portant de jolies robes et buvant du lait de Normandie. Vers l'âge de 7 ou 8 ans, elle perd momentanément la vue en raison d'une kératite. La grand-mère, ayant appris la guérison d'une gamine atteinte de la même maladie après qu'on eut prié pour elle sur la tombe de Thérèse Martin à Lisieux, décide d'aller avec ses « filles » y demander la guérison de la petite. On prend le train, on prie sur la tombe de Thérèse, on ramène de la terre qu'on lui applique en bandeau sur les yeux tous les soirs. Après huit jours environ, Édith est guérie ! Elle conservera toute sa vie une dévotion particulière à la « petite » Thérèse, dont elle gardera la médaille autour du cou sa vie durant.

À la fin de la guerre, son père est démobilisé et la reprend avec lui, pour vivre la vie d'artiste de petits cirques itinérants, puis la vie d'artiste de rue indépendant et misérable. C'est, à l'image de sa mère, en chantant des airs populaires dans la rue avec son père qu'Édith révèle son talent et sa voix d'exception.

En février 1933, âgée de seulement 17 ans, elle a une fille, Marcelle, de son amant d'alors, Louis Dupont. L'enfant meurt d'une méningite foudroyante deux ans plus tard.

[modifier] Chanteuse de cabaret

En 1935, elle est découverte dans la rue par Louis Leplée, gérant du cabaret Le Gerny's situé sur les Champs-Élysées. A cette époque, Piaf fredonnait principalement des chansons du répertoire de Fréhel. Leplée lui choisit comme nom d'artiste « la Môme Piaf » qui, en argot, signifie « moineau ». Et c'est le succès. Son talent et sa voix hors normes sont remarqués entre autres par le compositeur Raymond Asso et par sa future, et fidèle, grande amie Marguerite Monnot, compositeur et pianiste virtuose qui l'accompagnera tout au long de sa carrière et composera pour elle les musiques de Mon légionnaire, Hymne à l'amour, Milord et Amants d'un jour.

En 1936, elle enregistre son premier disque, Les Mômes de la cloche, chez Polydor, et connaît un succès médiatique immédiat. Mais en avril, on retrouve Leplée assassiné à son domicile parisien. On découvre qu'il faisait partie des milieux du banditisme de Pigalle, ce qui précipite Édith dans le scandale et l'anéantissement médiatique, la renvoyant d'où elle est venue : la rue et les petits cabarets de misère.

Elle reprend contact avec Raymond Asso (auteur de Mon légionnaire et du Fanion de la Légion, créés par Marie Dubas en 1935 et que Piaf reprend début 1937), qui devient son pygmalion et son amant. Il la prend en main et la « coache » pour en faire une chanteuse professionnelle de music-hall.

[modifier] Vedette de music-hall

En mars 1937, Édith débute sa carrière de music-hall à l'ABC à Paris, où elle devient immédiatement une immense vedette de la chanson française, aimée du public et diffusée à la radio.

Star de la fin des années 1930, Piaf triomphe à Bobino, ainsi qu'au théâtre en 1940, dans Le Bel Indifférent, une pièce spécialement écrite pour elle par Jean Cocteau et qu'elle interprète avec succès en compagnie de son compagnon du moment, l’acteur Paul Meurisse. Toujours avec Paul comme partenaire, elle joue dans le film Montmartre-sur-Seine de Georges Lacombe (1941). C’est lors du tournage de ce long métrage qu’elle fait la connaissance d'Henri Contet, qui deviendra, à l’instar de Marguerite Monnot, l’un de ses auteurs fétiches.

Pendant l’occupation allemande, Édith, qui a définitivement troqué « La Môme Piaf » contre « Édith Piaf », continue de donner des concerts, mais ne cède pas face à l’occupant nazi : elle interprète des chansons à double sens, évoquant la résistance sous les traits d’un amant (Tu es partout) et protège les artistes juifs menacés par la milice et les Allemands.

Au printemps 1944, elle se produit au Moulin Rouge où le tout jeune chanteur de music-hall Yves Montand passe en première partie de son spectacle. C'est le coup de foudre et Édith Piaf, déjà célèbre et adulée, entreprend de l'initier aux ficelles du métier et à la vie d'artiste. Elle va propulser sa carrière en lui présentant des gens importants à cette époque dans le monde du spectacle : Joseph Kosma, Henri Crolla, Loulou Gasté, Jean Guigo, Henri Contet, Louiguy, Marguerite Monnot, Philippe-Gérard, Bob Castella, Francis Lemarque

C'est également cette année-là que le père d'Édith meurt. Elle perdra sa mère l'année suivante.

En 1945, Piaf écrit, sans l’aide de qui que ce soit, l’un de ses premiers titres : La Vie en rose (qu'elle n'enregistrera qu'en 1946), sa chanson la plus célèbre, désormais devenue un classique. Elle joue également à la Comédie-Française.

Yves Montand devient à son tour une vedette du music-hall. Il débute au cinéma aux côtés de Piaf dans Étoile sans lumière, puis obtient son grand premier rôle dans Les Portes de la nuit, de Marcel Carné. Ils partent en tournée jusqu'en 1946, l'année où ils se séparent.

C'est en 1946 que la chanteuse rencontre Les Compagnons de la Chanson, avec lesquels elle interprète le morceau Les Trois cloches, qui connaît un immense succès. Elle part ensuite avec ses protégés donner des concerts aux États-Unis pendant l’année 1947.

[modifier] Carrière internationale

En 1948, alors qu'elle est en tournée triomphale à New York, elle vit la grande histoire d'amour de sa vie avec le boxeur français, vivant au Maroc, Marcel Cerdan, qui devient champion du monde de boxe des poids moyens le 21 septembre 1948, puis meurt dans un accident d'avion le 28 octobre 1949 sur le vol Paris-New York,au dessus des Açorres, alors qu'il venait la rejoindre. Toute sa vie, elle affirmera que c'est elle qui l'a tué car il était prévu qu'il rentre à New York en bateau. Edith lui a téléphoné en disant qu'il fallait qu'il prenne le prochain avion, pour que Marcel Cerdan rejoigne Edith au plus vite. N'ayant plus de place dans cet avion, un couple laisse leurs place avec bon coeur au boxer... Anéantie par la souffrance morale (notamment la culpabilité) et par une polyarthrite aigüe, Édith Piaf devient accro aux fortes doses de morphine. Elle chantera son grand succès, Hymne à l'amour et également Mon Dieu, en sa mémoire.

En 1951, le jeune auteur-compositeur-interprète Charles Aznavour devient son « homme à tout faire » : secrétaire, chauffeur et confident. Il lui écrit certaines de ces plus grandes chansons comme Plus Bleur que Tes Yeux ou encore Jezebel. Le 29 juillet 1952, elle épouse le chanteur français Jacques Pills, avec pour témoin l'actrice Marlène Dietrich (qui choisit sa robe de marié pour elle), puis divorce en 1956.

En 1953, elle entame une cure de désintoxication, puis devient une immense vedette de music-hall dans le monde entier et en particulier aux États-Unis, où elle fait un triomphe en 1956 au Carnegie Hall de New York, dont elle devient une habituée.

Elle connaît une histoire d'amour avec Georges Moustaki, qu'elle lance dans la chanson et avec qui elle a un grave accident de voiture en 1958, ce qui fait empirer son mauvais état de santé et sa dépendance à la morphine. Elle enregistre la chanson Milord (sur une musique de Marguerite Monnot), dont il est l'auteur, l'un de ses plus grands succès.

En 1959, Édith s'effondre sur scène durant une tournée à New York. Elle subit de nombreuses opérations chirurgicales et revient à Paris en piteux état et sans Moustaki, qui l'a quittée en route. Elle est cependant récompensé pour la chanson Milord dans une émissions TV du nom de TV Award où se trouve dans le même studio Georges Moustaki et Edith Piaf en compagnie de Marguerite Monnot, les auteurs de la chanson.

En 1961, à la demande de Bruno Coquatrix, Édith Piaf donne à l'Olympia de Paris, menacé de disparition à cause de problèmes financiers, une série de concerts parmi les plus mémorables et émouvants de sa carrière. C'est dans sa salle de spectacle de prédilection qu'elle interprète Non, je ne regrette rien, une chanson qui lui colle à la peau et que Charles Dumont vient d'écrire pour elle. Édith sauve l'Olympia de la faillite, mais a du mal à se tenir debout et à bouger du fait de sa polyarthrite très invalidante, et ne réussit à chanter que grâce à une importante perfusion de morphine.

Le 9 octobre 1962, âgée de 46 ans, épuisée et malade, elle épouse Théo Sarapo, un jeune et beau chanteur âgé de 26 ans et déclare qu'elle a parfois l'impression qu'il est en fait « un fils qui veille sa vieille mère malade ». Ils chantent en duo À quoi ça sert l'amour ? écrit par Michel Emer, un de ses fidèles compositeur.

Début 1963, elle enregistre sa dernière chanson : L'Homme de Berlin écrite par Francis Lai (un des auteurs de la fin de sa carrière, la moitié du récital de Nimegue en 1962 est composé de ses chansons) et M.Vendôme.

[modifier] Disparition

Édith Piaf meurt le 10 octobre 1963 à 13 h 10 à Plascassier (un quartier excentré de Grasse dans les Alpes-Maritimes) à l'âge de 47 ans d'une hémorragie interne due à une insuffisance hépatique[2], usée par les excès, la morphine et les souffrances de toute une vie. Le transport de sa dépouille vers Paris est organisé clandestinement et dans l'illégalité ; son décès est annoncé officiellement le 11 octobre à Paris, le même jour que celui de son ami Jean Cocteau. Cocteau (avec lequel Édith entretenait une correspondance suivie), apprenant la nouvelle de sa mort, a dit : « C'est le bateau qui achève de couler. C'est ma dernière journée sur cette terre »[3]. Il a ajouté : « Je n'ai jamais connu d'être moins économe de son âme. Elle ne la dépensait pas, elle la prodiguait, elle en jetait l'or par les fenêtres »[4] avant de mourir lui-même.

Les obsèques de Piaf ont lieu au cimetière du Père-Lachaise, (division 97). Malgré sa foi, parce que divorcée, elle est interdite d'obsèques religieuses; L'Osservatore Romano, organe du Vatican écrit qu'elle a vécu « en état de péché public » et qu'elle était une « idole du bonheur préfabriqué ». L'aumônier du théâtre et de la musique, le père Thouvenin de Villaret, peut cependant, au cimetière, lui accorder une dernière bénédiction. Une immense foule de dizaines de milliers d'admirateurs est venue lui rendre un dernier hommage tout au long du parcours du cortège à travers Paris, du boulevard Lannes jusqu'au Père-Lachaise[5].

Son dernier mari, Théo Sarapo, tué dans un accident de voiture en 1970, sera enterré à ses côtés.

[modifier] Influence

Personnalité et voix de la chanson française hors du commun, elle reste l'une des chanteuses françaises les plus célèbres au monde et a lancé avec succès la carrière de nombreux chanteurs, comme Yves Montand, Charles Aznavour ou Georges Moustaki. Son image est associée à son inséparable petite robe noire qui la rendait aisément identifiable.

[modifier] Discographie

  • 1935 : Les Mômes de la Cloche, label Polydor premier 78 tours enregistré par Piaf. Directeur Artistique : Jacques Cannetti.
  • 1954 : De l'accordéoniste à Milord
  • 1961 : Olympia 1961

[modifier] Ses grandes chansons

[modifier] Ses chansons

  • Liste alphabétique non exhaustive des chansons interprétées par Édith Piaf :
  1. À l'enseigne de la fille sans cœur
  2. À quoi ça sert l'amour ?
  3. Adieu mon cœur
  4. Au bal de la chance
  5. Avant l'heure
  6. Avant nous
  7. Avec ce soleil
  8. Bal dans ma rue
  9. Boulevard du crime
  10. Bravo pour le clown
  11. Browning
  12. C'est à Hambourg
  13. C'est d'la faute à tes yeux
  14. C'est l'amour
  15. C'est lui que mon cœur à choisi
  16. C'est merveilleux
  17. C'est peut-être ça
  18. C'est pour ça
  19. C'est toi le plus fort
  20. C'est un gars
  21. C'est un homme terrible
  22. C'est un monsieur très distingué
  23. C'était pas moi
  24. C'était un jour de fête
  25. C'était une histoire d'amour
  26. Ça fait drôle
  27. Carmen's story
  28. Céline
  29. Celui qui ne savait pas pleurer
  30. 'Chand d'habits
  31. Chanson bleue
  32. Chanson de Catherine
  33. Comme moi
  34. Comme un moineau
  35. Corrèque et réguyer
  36. Coup de grisou
  37. Cri du cœur
  38. Dans leur baiser
  39. Dans ma rue
  40. Dans un bouge du vieux port
  41. De l'autre côté de la rue
  42. Demain (il fera jour)
  43. Des histoires
  44. Ding din dong
  45. Du matin jusqu'au soir
  46. Eden blues
  47. Elle a dit
  48. Elle fréquentait la rue Pigalle
  49. Embrasse-moi
  50. Emporte-moi
  51. Enfin le printemps
  52. Entre Saint-Ouen et Clignancourt
  53. Escale
  54. Et ça gueule ça madame
  55. Et moi
  56. Et pourtant
  57. Exodus
  58. Fais comme si
  59. Fais-moi valser...
  60. Fallait-il
  61. Faut pas qu'il se figure
  62. Heureuse
  63. Hymne à l'amour
  64. Il a chanté
  65. Il fait bon t'aimer
  66. Il n'est pas distingué
  67. Il pleut
  68. Il y avait
  69. Inconnu, excepté de Dieu
  70. J'm'en fous pas mal
  71. J'ai dansé avec l'amour
  72. J'ai qu'à l'regarder...
  73. J'en ai tant vu
  74. J'entends la sirène
  75. J'suis mordue
  76. Je m'imagine
  77. Je me souviens d'une chanson
  78. Je n'en connais pas la fin
  79. Je n'veux plus laver la vaisselle
  80. Je sais comment
  81. Je suis à toi
  82. Je t'ai dans la peau
  83. Jean et Martine
  84. Jérusalem
  85. Jézabel
  86. Jimmy c'est lui
  87. Johnny, tu n'es pas un ange
  88. Kiosque à journaux
  89. L'Accordéoniste
  90. L'effet qu' tu m' fais
  91. L'escale
  92. L'étranger
  93. L'homme à la moto
  94. L'homme au piano
  95. L'homme de Berlin
  96. L'homme des bars
  97. L'homme que j'aimerai
  98. L'orgue des amoureux
  99. La belle histoire d'amour
  100. La demoiselle du cinquième
  101. La fête continue
  102. La foule
  103. La goualante du pauvre Jean
  104. La java de Cézigue
  105. La Julie jolie
  106. La p'tite marie
  107. La petite boutique
  108. La rue aux chansons
  109. La sérénade du pavé
  110. La valse de l'amour
  111. La vie en rose
  112. La vie, l'amour
  113. La ville inconnue
  114. Le ballet des cœurs
  115. Le billard électrique
  116. Le bleu de tes yeux
  117. Le bruit des villes
  118. Le brun et le blond
  119. Le chacal
  120. Le chant d'amour
  121. Le chant du pirate
  122. Le chasseur de l'hôtel
  123. Le chemin des forains
  124. Le chevalier de Paris
  125. Le ciel est fermé
  126. Le contrebandier
  127. Le diable de la Bastille
  128. Le disque usé
  129. Le droit d'aimer
  130. Le Fanion de la Légion
  131. Le gitan et la fille
  132. Le grand voyage du pauvre nègre
  133. Le mauvais matelot
  134. Le métro de Paris
  135. Le Noël de la rue
  136. Le petit brouillard
  137. Le petit homme
  138. Le petit monsieur triste
  139. Le prisonnier de la tour
  140. Le rendez-vous
  141. Le roi a fait battre tambour
  142. Le vagabond
  143. Le vieux piano
  144. Légende
  145. Les amants
  146. Les amants d'un jour
  147. Les amants de demain
  148. Les amants de Paris
  149. Les amants de Teruel
  150. Les amants de Venise
  151. Les amants merveilleux
  152. Les bleuets d'azur
  153. Les blouses blanches
  154. Les deux copains
  155. Les deux ménétriers (galop macabre)
  156. Les deux rengaines
  157. Les flon-flons du bal
  158. Les gars qui marchaient
  159. Les gens
  160. Les grognards
  161. Les hiboux
  162. Les marins, ça fait des voyages
  163. Les mômes de la cloche
  164. Les mots d'amour
  165. Les neiges de Finlande
  166. Les prisons du roy
  167. Les trois cloches
  168. Madeleine qui avait du cœur
  169. Margot cœur gros
  170. Mariage
  171. Marie la française
  172. Marie-trottoir
  173. Mea culpa
  174. Milord
  175. Miséricorde
  176. Mon amant de la coloniale
  177. Mon ami m'a donné
  178. Mon apéro
  179. Mon Dieu
  180. Mon homme
  181. Mon légionnaire
  182. Mon manège à moi
  183. Mon vieux Lucien
  184. Monsieur Ernest a réussi
  185. Monsieur et madame
  186. Monsieur Incognito
  187. Monsieur Lenoble
  188. Monsieur Saint-Pierre
  189. Musique à tout va
  190. N'y vas pas, Manuel
  191. Non, je ne regrette rien
  192. Non, la vie n'est pas triste
  193. Notre-Dame de Paris
  194. On cherche un Auguste
  195. On danse sur ma chanson
  196. Opinion publique
  197. Où sont-ils, tous mes copains ?
  198. Ouragan
  199. Padam... Padam...
  200. Paris
  201. Paris-Méditerranée
  202. Pleure pas
  203. Plus bleu que tes yeux
  204. Polichinelle
  205. Pour moi tout' seule
  206. Pour qu'elle soit jolie, ma chanson
  207. Qu'as-tu fait, John ?
  208. Qu'il était triste, cet anglais
  209. Quand même
  210. Quand tu dors
  211. Quatorze juillet
  212. Regarde-moi toujours comme ça
  213. Reste
  214. Retour
  215. Roulez tambours
  216. Rue de Siam
  217. Salle d'attente
  218. Ses mains
  219. Si si si
  220. Si tu partais
  221. Simple comme bonjour
  222. Soeur Anne
  223. Soudain une vallée
  224. Sous le ciel de Paris
  225. Sur une colline
  226. T'es beau, tu sais
  227. T'es l'homme qu'il me faut
  228. Tant qu'il y aura des jours
  229. Tatave
  230. Télégramme
  231. Tiens v'là un marin!
  232. Toi qui sais
  233. Toi, tu l'entends pas
  234. Toujours aimer
  235. Tous les amoureux chantent
  236. Tout fout l'camp
  237. Traqué
  238. Tu es partout
  239. Un coin tout bleu
  240. Un étranger
  241. Un grand amour qui s'achève
  242. Un homme comme les autres
  243. Un jeune homme chantait
  244. Un monsieur me suit dans la rue
  245. Un refrain courait dans la rue
  246. Une chanson à trois temps
  247. Une dame
  248. Une enfant
  249. Une valse
  250. Va danser
  251. Y a pas d'printemps
  252. Y avait du soleil
  253. Y en a un d'trop

[modifier] Citations

[modifier] Hommages

[modifier] Filmographie

[modifier] Au théâtre

[modifier] Au cinéma

[modifier] Bibliographie

[modifier] Autobiographie

  • Édith Piaf, Ma vie.

[modifier] Témoignages

  • Denise Gassion et Robert Morcet, Édith Piaf secrète et publique, Ergo press, Issy-les-Moulineaux, 1988, 127 pages.
  • Bernard Marchois, Édith Piaf, TF1 Éditions, Paris, 1995.
  • Marcel Cerdan jr., Édith Piaf et moi, Éditions Flammarion, Paris, 2000.
  • Édith Piaf et Marcel Cerdan, Moi pour toi - Lettres d'amour, Le Cherche Midi Éditeur, Paris, 2002, 176 pages.
  • Ginou Richer, Mon amie Édith Piaf, Instantané Éditions, Paris, 2004, 280 pages. (en livre audio chez Livrior).
  • Jacqueline Cartier-Hugues Vassal, Edith et Thérèse, la Sainte et la Pécheresse, Ed. Anne Carrière

[modifier] Biographies

  • Pierre Hiégel,‭ ‬Édith Piaf,‭ É‬ditions‭ ‬de l'Heure,‭ ‬Monaco,‭ ‬1962.
  • Simone Berteaut, Piaf,‭ ‬récit,‭ É‬ditions ‬Robert Laffont,‭ Paris, ‬1969 ‭(‬réédition‭ ‬1993‭)‬,‭ ‬462‭ ‬pages.
  • William Laurent,‭ ‬Édith Piaf,‭ ‬‬F.‭ ‬Loucrani,‭ ‬Collection Numéro‭ ‬1,‭ ‬Paris,‭ 1983,‭ ‬114‭ ‬pages.
  • Margaret Crosland,‭ ‬Piaf,‭ ‬‬É‬ditions Hodder and Stoughton,‭ Londres,‭ ‬1985,‭ ‬240‭ ‬pages.
  • David Bret,‭ ‬The Piaf legend‭‬,‭ ‬Robson Books,‭ Londres,‭ ‬‬1988,‭ ‬188‭ ‬pages.
  • Monique Lefèvre,‭ ‬Piaf,‭ ‬Télérama Hors série n°47,‭ Paris,‭ ‬‬1993,‭ ‬98‭ ‬pages.
  • Marc Bonel et Danielle‭ ‬Bonel, ‭‬Édith Piaf,‭ ‬le temps d'une vie,‭ Éditions de Fallois,‭ ‬Paris‭, ‬‬1993,‭ ‬344‭ ‬pages.‭
  • Pierre Duclos et Georges‭ ‬Martin, ‬Piaf,‭ Ed du Seuil, ‬Paris,‭ ‬1993,‭ ‬383‭ ‬pages, (rééd.‭ ‬2003, coll. Points‭).
  • Dominique Grimault et Patrick‭ ‬Mahé,‭ ‬Piaf-Cerdan :‭ ‬un hymne à l'amour,‭ ‬1946-1949,‭ ‬‬Éditions‭ ‬de la Seine,‭ Paris,‭ ‬1993.‭
  • Louis Valentin,‭ ‬Piaf,‭ ‬É‬ditions Plon, Paris,‭ ‬1993.
  • André Larue,‭ ‬Édith Piaf,‭ ‬l'amour toujours,‭ É‬ditions Michel Lafon, ‬Paris,‭ ‬1993,‭ ‬119‭ ‬pages.
  • Jean Noli,‭ ‬Piaf secrète,‭ É‬ditions L'Archipel, ‬Paris,‭ ‬1993,‭ ‬‬218‭ ‬pages (rééd.‭ ‬2003‭)‬.
  • Pierre Duclos et Georges ‬Martin,‭ ‬Piaf,‭ ‬biographie,‭ É‬ditions du Seuil, ‬Paris,‭ ‬1995,‭ ‬544‭ ‬pages
  • Sophie Troubac,‭ ‬Édith Piaf,‭ ‬l'hymne à l'amour,‭ É‬ditions Sauret, ‬Monaco,‭ ‬1995,‭ ‬237‭ ‬pages.
  • Frédéric Perroud, ‬Marcel Cerdan-Édith Piaf‭ ‬:‭ ‬le bel amour,‭ É‬ditions Acropole, ‬Paris,‭ ‬1999,‭ ‬166‭ ‬pages.
  • Stan Cuesta (préface de François Hadji-Lazaro), ‬Édith Piaf,‭ É‬ditions J'ai lu/Librio Musique n° 384, Paris, 2000, ISBN 2290306398
  • François Levy,‭ ‬Passion Édith Piaf la môme de Paris,‭ ‬‬É‬ditions Textuel,‭ Paris,‭ ‬2003,‭ ‬192‭ ‬pages.
  • Jean-Dominique Brierre, ‬Édith Piaf :‭ « Sans amour on n'est rien du tout »‬,‭ Éditions‭ ‬Hors collection, ‬Paris,‭ ‬2003,‭ ‬167‭ ‬pages.
  • David Lelait-Helo, ‬Sur un air de Piaf,‭ Éditions Payot, ‬Paris,‭ ‬2003,‭ ‬331‭ ‬pages.
  • Marcel Cerdan Jr., ‬Piaf et moi,‭ Éditions Flammarion, ‬France,‭ ‬2000,‭ ‬321 ‬pages.

[modifier] Essais

  • Parution en octobre 2007 : Stan Cuesta, L'Homme à la moto, le chef-d'œuvre de Piaf, Éditions Scali, Collection « L'authentique histoire de la chanson » (illustrée), Paris, 2007, ISBN 2350121267

[modifier] Notes et références

  1. Voir P. Duclos - G. Martin, "Piaf" Ed du Seuil, 1993
  2. Voir P. Duclos - G. Martin, "Piaf" Ed du Seuil, 1993
  3. Jean Cocteau et Édith Piaf
  4. Les mariés de la mort
  5. Les obsèques d'Édith Piaf - Vidéo de l'ORTF, 14 octobre 1963, INA

[modifier] Liens externes