Discuter:Union nationale des étudiants de France

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Les débats datant de 2005 ont été "archivés" afin d'alléger cette page. Si vous voulez reprendre une ancienne discussion, déplacez-là sur cette page.

Sommaire

[modifier] Tendances

Il faudra mettre à jour cette partie, la TTE n'existant plus et devenant la TUUD, depuis que des membres de la majo nationale s'y sont joint. Damien

La partie sur les tendances reste quelque peu simpliste. Les tendances, même si elles sont c'est vrai issue en partie des courants politique que vous citez (NG, NM, LCR,...) on ne peut uniquement les définir selon cette grille. En effet, les tendances ne sont pas les "branches syndicales" de ces courants, puisqu'elles fédèrent également des gens dont les idées politiques sont autres (PCF, autres courants du PC, personnes n'ayant leur carte nul part,...). Il serait plus intéressant de donné leur différences au niveau syndical, afin de présenter une grille de lecture plus basé sur les opinions syndicale que sur les appartenances à des courants de l'UNEF.

Tu as l'air de bien connaître ces tendances, alors lance-toi pour refondre ce paragraphe ! Tout le monde peut modifier un article. Mathounette 4 jul 2005 à 12:05 (CEST)

Oui, si tu connais tout ça, tu pourrais détailler les positions de chaque tendance sur l'université. Ce serait effectivement plus construcif que des approximations d'affinités FP 6 jul 2005 à 10:38 (CEST)

Les villes sont liées à une tendance, majoritaire ou minoritaire. Cette tendance est souvent effectivement proche d'un parti politique, bien que cette proximité n'implique une adhésion de la totalité de ses membres à ce parti. Depuis la fin des années 90, les postes à responsabilité UNEF-ID puis UNEF (lors de la réunification) étaient souvent tenus par des responsables MJS grâce à un mécanisme de parrainage. Il était ainsi couramment demandé aux membres de l'UNEF militants au MJS de favoriser l'ascension d'autres militants MJS dans la hiérarchie de l'UNEF. Encore actuellement, cette proximité entre tendances au sein de l'UNEF et partis politiques permet à l'UNEF de remonter rapidement des AGE (ou sections locales). Une nouvelle AGE suit alors la tendance du parti qui l'a créée. Par exemple, à Nice en fin 2005-début 2006, une section UNEF est remontée par la section locale des MJS. Lupin 22 fev 2006 à 02:48 (CEST)

Les tendances ne sont que les émanations de groupes politiques, avec le départ des "cdtistes" de la Cé. Il faut bien saisir ce principe, sans quoi on ne peut expliquer les jeux d'appareil, la fixation des scores de congrès et même la composition de la majorité nationale, fluctuante en fonction des relations entre les groupes politiques. Cette structuration en tendances de l'UNEF légitime son fonctionnement "démocratique" ainsi que sa majorité, entourée d'une tendance "réformiste" (comprendre proche de DSK) et d'une tendance "pseudo-révolutionnaire" (comprendre issue de la Ligue et des JCR). Le marais majoritaire rassemble ainsi aujourd'hui les jeunes de NPS (NG, ex-NM) et quelques "fabiusiens" si l'on peut dire ça de Demos. Cette organisation bien rodée des tendances, les effets de tribune permettant les "clivages" supposés, ne masquent pas cependant l'absence de démocratie interne: la commission de contrôle est réduite à une chambre d'enregistrement, la création d'une tendance supposée concurrente est interdite (confer les camarades de Nancy par exemple)... [(http://fr.wikipedia.org/wiki/Utilisateur:Kadare)]


[modifier] 2 pages ?

Ne pourrait-on pas faire une page spécifique sur l'histoire de l'UNEF, qui occupe actuellement la majo de l'article. Et développer plus le prèsent : la pensée, les analyses, les actions ?

Tout le monde serait d'accord ? FP 11 juillet 2005 à 21:02 (CEST)

J'ai hate de lire la page 3, l'historique des tendances. Papillus 11 juillet 2005 à 22:32 (CEST)

Pourquoi ne pas garder un seul article ? Il suffit de bien l'organiser ... Mathounette 11 juillet 2005 à 23:17 (CEST)

Voilà, j'ai tenté une réorganisation plutôt que 3 articles. Qu'en pensez-vous ? J'ai juste un problème entre la fin de la partie "histoire" et la partie introductive et "actions" qui font doublon. Si quelqu'un a une idée... FP 21 juillet 2005 à 19:29 (CEST)

Et on pourrait arrêter l'histoire de l'UNEF à 1970, pour avoir une page sur la grande unef qui pointerait sur les pages de l'unef actuelle (des unef) et des autres orgas qui en descendent depuis la sission. Je suis pour. :)--- Lupin 4 juin 2006 à 19:11 (CEST)

Plus simplement, il suffit de descendre à chaque rentrée dans la partie histoire tout ce qui concerne l'année précédente... FP 4 juin 2006 à 19:23 (CEST)

Non ce n'est pas pareil, nous parlons d'un véritable virage politique. Comme je l'ai déjà dit, même de l'intérieur (bureau de l'unef), les anciens reconnaissent la différence entre l'unef d'avant 1960 et après, le virage ayant eu lieu visiblement dans les années 60.
À cause de cela, je pense que l'on pourrait soit créer une page grande unef, soit déplacer ce qui concerne avant les années 70 sur la page histoire du mouvement étudiant, car la grande unef en a posé les fondations. --- Lupin 15 juin 2006 à 12:40 (CEST)

[modifier] Présidents de l'UNEF

La liste est bien entendue incomplète, n'hésitez pas à la compléter (date et nom), en particulier pour ceux de l'UNEF-Renouvau et ceux de l'UNEF SE, ainsi que les présidents entre 1907 et 1936. Pour les présidents durant la guerre la situation est un peu confuse, j'ai repris les infos données dans les derniers Cahiers du GERME.--Fredtoc 21 septembre 2005 à 15:10 (CEST)

Bonjour ! Fredtoc a modifié, le 21 juin 2006, la liste des présidents de l'Unef SE en supprimant le nom d'Olivier Meïer (président après Xavier Aknine). C'est une erreur. Je le rajoute. 22 juin 2006 à 11:20 Hoiby

OK; je m'excuse, mais je croyais qu'il s'agissait d'une confusion avec Olivier Meyer, dslé Fredtoc 22 juin 2006 à 13:58 (CEST)

[modifier] Est il temps de réorganiser ?

Avis aux contributeurs, cette page me semble de plus en plus illisible et même si elle est remplie d'infos intéressantes il est à mon avis difficile pour un novice de vraiment comprendre de qu'est l'unef et son role dans le syndicalisme étudiante francais. Ainsi je propose une réorganisation concertée de la page en suivant une trame logique. Par exemple commencer pas syntétiser le chapeau introductif, enchainer sur la création de l'unef ancienne, les évolutions, indiquer clairement à quand remonte l'unef sous sa forme actuelle, exposer son organisation (Bn, tendances, lien politiques ou syndicaux pro), ses revendications et finir par les illustres anciens. c'est qu'une piste j'attend vos avis (mais je crois qu'il faut faire quelque chose là). Jrmy 12 février 2006 à 01:16 (CET)

[modifier] Détails un peu NPOV ?

Les détails rajoutés par le dernier utilisateur, (non enregistré d'ailleurs) font un peu propagande et ne répondent pas à mon sens aux exigences de l'encyclopédie. Warriorfloyd Speak 17 février 2006 à 13:32 (CET)

Ce sont les revendications portées par une organisation syndicale, si nous ne les mettons pas comment expliquer l'existence de cette organisation ? Sans ses revendications, ses analyses propres, etc... une organisation n'est qu'une coquille vide. En ce qui concerne l'aspect NPOV, comme indiqué dans le titre de la partie, ce sont des revendications d'une organisation précise et donc forcément subjective. Cela est cependant annoncé et le lecteur sait donc à quoi s'en tenir. Ta remarque ne s'appliquerait que si le titre n'indiquait pas cela et laissait entendre que ce point de vue est général. Bonne continuation. 194.199.63.86 17 février 2006 à 14:20 (CET)

[modifier] L'ESIB créée par l'UNEF ???

Où est la preuve de cela ? Attribuer l'ESIB à la seule UNEF est réducteur... Partenaire à la fondation, peut-être (encore que), mais l'UNEF n'est certainement pas la seule à l'initiative de l'ESIB. La mettre dans une liste comme celle ci est je pense erroné. A moins qu'une preuve intengible ne soit apportée... Warriorfloyd Speak 18 février 2006 à 12:54 (CET)

Je confirme qu'a priori, l'ESIB est une association européenne qui n'a pas été créé particulièrement par l'UNEF.Lupin 22 février 2006 à 02:28 (CET)

C'est un grand n'importe quoi cette liste ! L'ONISEP indiqué comme organe créé par l'UNEF, puis comme partenaire... Ça laisse perplexe. De même, le CROUS (rien que ça) créé aussi par l'UNEF. Et enfin, la sécurité sociale étudiante créée par l'UNEF !!! Ou bien c'est le titre de la liste qui n'est pas bon, ce que je ne crois pas puisque le reste des structures y correspond bien, ou bien les rédacteurs de cette partie ont un peu déformé la vérité... Warriorfloyd Speak 22 février 2006 à 11:52 (CET)
L'ONISEP est un héritier du Bureau universitaire de statistiques, créé dans les années 20 par Alfred Rosier, ancien président de l'AGE de Lyon. Les Crous sont en fait le résultat d'une étatisation progressive des oeuvres à destination des étudiants créées par l'UNEF à partir des années 20. Enfin, c'est l'UNEF qui par son travail de lobby parlementaire pousse à la création du régime de sécurité sociale étudiants, faisant ainsi des étudiants des travailleurs comme les autres ayant leur propre système de sécu. On peut noter en particulier l'oeuvre de Charles Lebert, VP santé de l'UNEF en 1948, qui se fait engagé comme rédacteur à l'Assemblée pour surveiller l'avancement de la procédure parlementaire. Par ailleurs, à la création, les sections de la MNEF, les sections locales du RSSE et les AGE de l'UNEF se confondent, sauf en Lorraine ou l'AGE crée la MGEL.Fredtoc 22 février 2006 à 16:59 (CET)

Je comprend ton étonnement, mais il faut se souvenir que la grande UNEF est à différencier de l'UNEF actuelle: la sission de l'UNEF a créé d'un côté les fédérations étudiantes, ou corpos, devenues FAGE et PDE, et de l'autre l'UNEF syndicale, avec l'UNEF, Sud étudiant, et la Cé. Toutefois, cela montre qu'il faut être plus clair, je pense qu'il faudrait au moins reprendre cette liste d'organismes créés par l'UNEF. La solution idéale serait de préciser la date de création. Toutefois, pour plus de lisibilité, il serait nécessaire:

  • de séparer une liste des organismes créés par ou à l'initiative de la grande UNEF, et une liste pour l'UNEF syndicale (actuelle);
  • de séparer l'histoire de la grande UNEF de l'histoire de l'UNEF syndicale. Dans ce cas, il ne faudrait laisser ici que ce qui débute avec la sission des années 70 et mettre un lien vers l'Histoire du mouvement étudiant français au début des pages des organismes étudiants issus de près ou de loin de la sission de la grande UNEF: UNEF, FAGE, PDE, Sud étudiant, Cé, etc. Afin d'éviter une récupération partisane, il faudrait alors préciser que tous ces organismes héritent de la grande UNEF au même titre (un jugement des années 70 précise que le nom UNEF n'appartient plus à personne).
En ce moment, je suis à l'étranger, et je n'ai donc pas accès à ma documentation, mais il faut savoir qu'il ne s'agit pas d'un jugement mais d'un simple rapport d'expert auprès du tribunal, et qu'il ne s'agissait pas d'une affaire concernant la scission, mais d'une plainte de l'ACES sur des changments de statut intervenu avant 1968, or comme le constate l'expert en droit cette Unef d'avant 68 n'existe plus, puisqu'il y a eu le changement de statut au congrès de Marseille, ni en fait car à ce moment il y a conflit entre les tendances US et Renouveau pour savoir qui est majo et qui est la vraie Unef. C'est pour cela qu'en appeler à ce soit-disant jugement pour dire qu'il y a rupture entre ce qui est appelé la grande UNEF et l'Unef actuelle, et il y a une forme de malhonneté intellectuelle de la FAGE et de PDE à ce revendiquer de cette grande UNEF, car ceux qui représentaient leurs idée l'avaient quittée parfois avant la scission, je pense qu'il n'y a pas de raison de distinguer entre des créations de l'UNEF d'avant 1971, et de l'UNEF d'après. Et dans le cas de certains partenariats, c'est bien parce que l'UNEF actuelle est l'héritière directe de la grande UNEF qu'elle siège au CA ou au BN de ces organismes.Fredtoc 24 février 2006 à 14:50 (CET)
La sission a eu lieu car la majo, constituée des AGE contre l'intervention en Algérie, étaient les AGE de grosses villes, à ma connaissance. Donc la FAGE et PDE contenant des assos dites fédés de ville, l'équivalent des AGE de grosses ville, elles peuvent légitimement revendiquer un héritage de la grande UNEF. Des esprits cherchant la petite bête pourraient même dire que la majo de l'époque étant plus représentative de l'UNEF, ce seraient plutôt les héritiers des AGE de villes qui seraient fondées à revendiquer l'héritage de la grande UNEF. Ne tombons pas dans ce piège alors que le but d'une encyclopédie est d'être impartial. C'est pourquoi je pense qu'il est difficile de commencer à calculer qui est plus représentatif que l'autre. On retomberait sur les mêmes problèmes de quel parti est l'héritier légitime de De Gaulle, qui a longtemps entretenu les partis.--- Lupin 3 mars 2006 à 18:39 (CET)

Concernant la liste des organismes créés, voici quelques précisions:

[modifier] Services et structures créées ou partenaires

[modifier] Organismes créés par la grande UNEF (avant 1971)

  • FSEF (Fondation santé des étudiants de France) créée en même temps que le Sanatorium des étudiants de France, en 1923;

[modifier] Organismes créés à l'initiative ou avec le soutien de la grande UNEF (avant 1971)

  • CIE (Confédération internationale des étudiants), fondée en 1919, branche étudiante de la SDN (Société des nations).

[modifier] Santé
  • Régime de sécurité sociale étudiante, en 1948;
  • Médecine préventive universitaire: le premier centre de MPU est créé à Strasbourg en 1929;
  • MNEF créée en 1948 avant d'être approuvée par le gouvernement;

[modifier] Social
  • Œuvres Universitaires, devenu le CROUS (Centres régionaux des œuvres universitaires et scolaires), créé en 1955 à la suite d'initiatives de l'UNEF;

[modifier] Études
  • BUS (Bureau universitaire de statistiques), ancêtre de l'ONISEP, créé en 1933;

[modifier] Organismes créés à l'initiative ou avec le soutien de l'UNEF (actuelle):

  • LMDE (La mutuelle des étudiants): suite à la dissolution de la MNEF en 2000 à cause de dérives de gestion, la LMDE est créée la même année [1],soutenue par la FAGE et l'UNEF;


[modifier] Organismes dont l'UNEF (actuelle) est membre ou partenaire

  • EPSE (Expertise et prévention pour la santé des étudiants) [2], cette association a été créée à l'initiative de la LMDE en 2003;
  • ESIB, European Students International Board, créé le 17 octobre 1982. L'UNEF en est membre avec la FAGE comme représentants français;
On peut préciser que l'UNEF-ID en est membre quasi depuis la création, alors que la FAGE n'y entre que beaucoup plus tard.
C'est exact. Le alors que étant parti-pris, je penche pour L'UNEF-ID y est rejointe par la FAGE comme réprésentant français. Cela va t-il à tous ?--- Lupin 27 février 2006 à 14:50 (CET)
  • OTU (Office du tourisme universitaire) [3], créé en 1929;
  • ONISEP, Office National d'Information sur les Enseignements et les Professions;
  • FFSU, Fédération Française du sport universitaire;
  • FUAJ, Fédération Unie des auberges de jeunesse;
  • AFIJ, Association pour Favoriser l'Insertion professionelle des Jeunes diplomés;
  • CIDJ, Centre d'Information et de Documentation Jeunesse;
  • OVE, Observatoire National de la vie étudiante;
  • Conseil National de la Jeunesse (CNJ);
il manque aussi la CAJ, Commission Armée-Jeunesse.Fredtoc 24 février 2006 à 14:50 (CET)
Exact.--- Lupin 27 février 2006 à 14:50 (CET)

[modifier] Organismes sans lien visible avec l'UNEF:

[modifier] Internationales
  • ISIC (International Student Identity card) [4] (site français) [5], créée en 1968 par l'OTU (entre autres);
l'UNEF est au CA de l'OTU et a poussé à la création de cette carte, les docs de l'époque que j'ai consulté le prouveFredtoc 24 février 2006 à 14:52 (CET)
Donc à moins d'une déclaration officielle de l'UNEF avant la création (et encore), c'est le CA de l'OTU qui a créé cette association. Si l'on commence à annoncer toutes les influences qu'a pu avoir l'UNEF sur la vie étudiante, on n'a pas fini. C'est pourquoi il vaut mieux se limiter à la partie émergée par simplicité (ce sont les actes faciles à vérifier) et qui ne prètent pas (moins ?) à polémique.--- Lupin 27 février 2006 à 14:25 (CET)
On peut préciser qu'à l'époque l'UNEF était la seule assoc étudiante à siéger au CA de l'OTU, et de fait les administrateurs UNEF avait le plus souvent les décisions "politiques" à prendreFredtoc 4 mars 2006 à 14:55 (CET)
Si la première partie de ta phrase est vraie (ce que j'ai tendance à croire), il n'y a pas le lien logique avec la seconde.--- Lupin 4 mars 2006 à 17:39 (CET)
  • Association internationale des étudiants: aucune trace d'une telle association;
Cette asso est créé en 1946 ou 47 avec l'ensemble des associations étudiantes du monde (à l'époque ça ne comprend pas les pays colonisés), mais comme la FSM, ell passe rapidement sous le contrôle du bloc soviétique, et des le début des années 50, les américains se retirent. L'UNEF en reste cependant membre observateur, tout en ayant aussi des liens avec l'assoc. crée par le monde libre sous la protection des USA. Après la scision de 1971, la tendance Renouveau se rapproche à nouveau de l'AIE et participe à l'ensemble de ces congrès. Le siège de l'AIE est tjrs à Prague, mais il est vrai que comme la FSM elle n'a plus de réelle activité depuis la chute du communisme.Fredtoc 24 février 2006 à 14:52 (CET)
En réalité, il y a confusion. C'est l'Union internationale des étudiants (UIE) qui est créée en 1945 à Prague, le choix d'une nouvelle internationale a été privilégiée à la reconstitution de l'ancienne CIE (qui ne comprenait ni les américains du nord, ni les soviétiques. En 1951, se forme une conférence internationale des étudiants (CIE) qui n'est pas une organisation à proprement parler. Ainsi, certaines unions membres de l'UIE peuvent siéger dans les conférences de la CIE. Elle disparaît en 1967 quand le journal "remparts" révèle le financement par la CIA.
Voir les "Cahiers du GERME" spécial N° 2, 1997. Bientôt numérisé et en ligne sur le site du GERME. Robi Morder.
Tout à fait exact, j'ai confondu, UIE et l'AIE, qui elle fut une tentavie relativement éphémère entre l'UNEF-ID et le NSA américain. JC Cambadélis raconte dans son livre : Le chuchotement de la vérité les contacts qu'il a eu pour convaincre les américains de se joindre à lui. Par ailleurs, sur l'UIE, il y a aussi le livre de Joël Kotek, La jeune garde consacré à la cration de l'UIE et de la FMJD. Fredtoc 16 octobre 2006 à 17:39 (CEST)
À moins qu'une page ne soit créée pour cette association (tu peux t'en charger ?), il n'est donc pas nécessaire de l'inclure ici: sans explication, cette info n'est pas exploitable, et les infos n'ont pas leur place ici.--- Lupin 27 février 2006 à 14:25 (CET)
Je ne suis pas sûr d'avoir compris la contribution de Robi Morder en la relisant. L'UIE existe de 1945 à aujourd'hui tandis que la seconde CIE existe de 1951 à 1967, c'est bien ça ?--- Lupin 22 février 2007 à 14:03 (CET)

[modifier] Sports et loisirs
  • Office du sport scolaire et universitaire (O.S.S.U.) né (selon les versions en 1938 ou 1945) de l'O.S.U. créé (selon les versions en 1931, 1934 ou 1941);
  • Paris université Club, créé en 1906 (avant l'UNEF);
le PUC est créé par l'AGEP avant que celle-ci n'intègre l'UNEF en 1909, mais c'est parce que le PUC est membre de l'UNEF que le meeting au Stade Charléty a pu se tenir en 1968 (c'est le stade du PUC).Fredtoc 24 février 2006 à 14:50 (CET)
J'ai des doutes quant à l'adhésion du PUC à l'UNEF, mais cela n'a pas de rapport ici. On ne peut revendiquer pour l'UNEF les actes des associations qui en sont membres, d'autant moins quand elle ont agi avant la création de l'UNEF, tout comme on ne peut revendiquer pour l'ONU les actes des pays qui la composent (heureusement ;)).--- Lupin 27 février 2006 à 14:30 (CET)
L'adhésion du PUC à l'UNEF est parfaitement avérée, au moins jusqu'à la scission.Fredtoc 28 février 2006 à 17:25 (CET)

[modifier] Social
  • UCEF (Union des Coopératives Etudiantes de France), ancien ONME (Office national des maisons de l'étudiant), aucune trace de ces organismes autres que dans des soutiens électoraux, ils semblent morts si ils ont existé;
elles existent dans certaines AGE comme Nanterre, mais toutes les coopératives contrôlées par des AGE n'en sont pas forcément adhérentesFredtoc 24 février 2006 à 14:50 (CET)
Dans ce cas, il serait bon de créer une catégorie organismes internes à l'UNEF pour ce genre de structure.--- Lupin 27 février 2006 à 14:35 (CET)
  • FERUF (Fédération des étudiants en résidence universitaire de France): aucune trace de cet organisme autre que dans des soutiens électoraux, il semble mort s'il a existé;
la FERUF est l'héritière de la FRUF qui se crée de façon indépendante de l'UNEF dans les années 60 autour des mobilisations de résidents à Nanterre et à Anthony, Marie-Georges Buffet fut président de la FRUFFredtoc 24 février 2006 à 14:50 (CET)
Alors peut-être préciser son ascendance et sa date de mort ou sa période d'activité ? Quelqu'un a ça ?--- Lupin 27 février 2006 à 14:35 (CET)
La FERUF existe belle et bien dans certaines AGE de l'unef (Nanterre, Lyon etc...). Elle est la structure sous laquelle l'UNEF apparait en cité-u lors des elections en residence universitaire. Dans certaines AGE, il existe un bureau deposé en prefecture avec un president, un tresorier et un secretaire générale, des membres ( qui ne sont pads toujours à l'UNEF). De plus, il existe un president de la FERUF nationalement qui s'appelle Jérome Calmel (Membre du bureau national de l'UNEF). Daequin le 10/05/06 à 20h27

[modifier] Études
  • Offices centraux d'études: aucune trace de cet organisme;
Je ne vois pas trop ce que recouvre ce terme, si ce n'est les centres technique qui au sein du BN fournissaient au étudiants d'une fillière du matériel pédagogique (polys) et réfléchissait sur cette filière, Georges Vedel fut président de l'Office de Droit dans les années 30.
Cela rejoindrait donc organismes internes à l'UNEF avec une explication du rôle. Je ne suis pas sûr de l'intérêt de décrire le fonctionnement interne de l'UNEF, son site le fait mieux que nous a priori. De plus, on risque de tomber sur des débats pro/anti ce qui n'aurait pour but que de donner à cette page le statut de partiale.--- Lupin 27 février 2006 à 14:58 (CET)

Les offices sont à l'époque ce que l'on pourrait qualifier aujourd'hui de "commissions" spécialisées dans une filière et n'ont qu'une faible autonomie dans l'UNEF avant guerre. Dans les années 1960, il y a plus grande autonomie, et les offices du droit, de médecine par exemple se transforment en fédérations. La FNEF en 1961 est constituée par des fédérations qui ont quitté l'UNEF. Ensuite, les histoires des ces fédés - monodisciplinaires dirait-on - restent à faire. Voir article sur les aspects juridiques dans Cahiers du Germe N° 3 et dans Matériaux "l'UNEF, un exemple d'investissements syndical de la forme associative"(revue de la BDIC, en ligne). R.M.

[modifier] Divers
  • ONISEP (Office national d'information sur les enseignements et les professions), créée en 1970
  • Maisons de l'informatique
  • Maisons des étudiants, ces maisons n'ont comme les précédentes aucun lien avec l'UNEF;
  • Association pour la formation des élus étudiants, aucune trace de cet organisme autre que dans des soutiens électoraux, elle semble morte si elle a existé;
Cet organisme est en fait l'association qui reçoit les subventions officielles destinés à la formation des Élus étudiants, elle publie régulièrement (tous les deux mois environ, hors grande vacances) la Lettre des Élus étudiants, et organisent depuis 8 ans une rencontre biannuelle des élus étudiants.Fredtoc 24 février 2006 à 14:50 (CET)
Donc => organismes internes à l'UNEF, même si officielement, cela n'est pas limité pour les participants,
Chaque année il y a des élus qui viennent sans avoir été élus sur une liste UNEF (et sans être membre de l'UNEF), même si c'est effectivement une minorité, et la Lettre des Élus est envoyée à tous les élus étudiants aux CA des Crous, et aux CA, CS et CEVU des universités, ainsi qu'aux élus étudiants dans certaines grandes écoles, dont l'AFPEE à put obtenir l'adresse auprès des administrations ou auprès de l'UNEF, sans discrimination d'appartenance syndicale.Fredtoc 28 février 2006 à 17:30 (CET)
  • Comités étudiants contre le FN, aucune trace neutre de ces organismes autre que dans des soutiens électoraux, il semble mort s'il a existé;
Il ont surtout existé au moment des grandes mobilisations contre les présidents de régions élus avec des voix FN en 98.Fredtoc 24 février 2006 à 14:50 (CET)
Alors je ne pense pas que de manière si localisée dans le temps, cela doive être mentionné ici. Ce sont plutôt des actions soutenues par l'UNEF à un moment donné.--- Lupin 27 février 2006 à 14:57 (CET)
  • Comités étudiants l'éducation n'est pas une marchandise, aucune trace neutre de ces organismes autre que dans des soutiens électoraux, il semble mort s'il a existé;

Je corrige la page avec ces données vérifiées. --- Lupin 23 février 2006 à 02:07 (CET)

Je trouve que la distinction entre l'UNEF d'avant 1971 et l'UNEF actuelle n'est pas pertinente, car c'est vraiment uniquement en raison du fait qu'il s'agit de la même organisation que l'UNEF siège à nouveau dans des organismes où sa participation a été "gelée" durant trente ans "au vu de la division actuellement constatée au sein de l'Union nationale" selon l'expression consacrée, parmi ces organismes, on peut citer la CAJ, la FSEF, l'UCPA, etc. Par ailleurs ne pas mentionnée les organismes internationaux CIE, AIE, mais aussi les Olympiades étudiantes et d'autre encore, alors que l'UNEF a souvent joué un rôle moteur dans ces organismes et bien souvent aussi essayer de limiter les divisions dues à la Guerre Froide est dommage.
Mais la difficulté de toutes les recherches sur l'UNEF, comme sur les mouvements étudiant en général, c'est qu'il n'y a pas beaucoup de sources sur le net,et que les grandes études synthétiques sont rares (2 à ce jour), et donc beaucoup de choses ne sont en fait connus que par les anciens et les chercheurs. Fredtoc 28 février 2006 à 17:45 (CET)
Cette doc m'intéresse si tu as moyen de la mettre en ligne. :) Sinon, ce n'est pas parce qu'une structure a gardé le même nom qu'elle n'a pas changé ou ne s'est pas divisée. C'est pourquoi les assos qui ont fait sission me semblent avoir le même droit de revendiquer l'héritage de la grande UNEF, un peu comme un enfant qui a déménagé et n'habite plus chez ses parents a le droit de revnediquer un héritage paternel.--- Lupin 3 mars 2006 à 18:44 (CET)
C'est sur que l'UNEF a changé depuis 1907, mais pas plus que la CGT, et je dirais même que dans le cas des scissionnaire associatif de l'UNEF, la situation n'est pas comparable à la CGT-Force Ouvrière, car ce ne sont pas des associations nationales, qui n'existaient pas à cette époque qui ont quitté l'YNEF, mais des corpos locales qui ont quitté des AGE. Au niveau nationale, les seules structures ayant quitté l'UNEF sont les AGE ayant formé la FNEF (aujourd'hui disparue) et celles constituant les tendances Renouveau et Unité syndicale qui depuis se sont réunifiées au sein d'une nouvelle Unef, seule héritière de celle de 1907 et 1946. La distinction entre l'UNEF avant 70 et l'UNEF actuelle est donc peu pertinente en ce qui concerne le travail de l'UNEF avec un certain nombre de partenaire, si on veut préciser que l'organisme a été créé par l'UNEF d'avant 1970, on peut préciser la date de création, c'est amplement suffisant.
N'indiquer que la date de création masque le changement majeur de la sission. C'est ce changement qui est précisé en parlant de la grande UNEF ou pas. C'est à partir de ce moment là que l'UNEF a complètement assumé des prises de position très politique telles que sur la guerre d'Algérie, c'est donc un tournant nouveau qui a radicalement changé cet structure, d'où la différence faite. D'ailleurs, le fait que toi même parle de grande UNEF me semble bien l'acceptation d'un grand changement, non ? On peut donc penser que ce changement politique a eu une influence dans ses activités et son implication, par exemple dans ces organismes.--- Lupin 4 mars 2006 à 17:45 (CET)
Je ne revient pas sur le fait que la scission n'est pas un changement majeur, contrairement à mon sens au changement de majo de 62, mais dans la mesure ou l'UNEF restait seule à siéger après dans un certain nombre d'organisme, il n'est pas pertinent de faire une distinction entre l'UNEF d'anvant 70 et l'actuelle. Peut-être qu'il y a eu des changements dans l'investissement de l'UNEF, mais encore faut il être sur de ce que tu avances.
Si je parle de la grande UNEF, ce n'est pas une UNEF 1907-1962, mais une UNEF 1907-1970, puis il y a deux UNEF, puis à partir de 2001 à nouveau une grande UNEF. Fredtoc 4 mars 2006 à 20:57 (CET)
Comme dit sur ma page de discution, il est vrai que le changement a duré sur une quinzaine d'années (57-71). Le tout étant que la politisation (dans le sens prises de position sur des sujets de société) a changé bien de choses (lors de la guerre d'indochine, par exemple, l'UNEF ne s'est pas prononcée. C'est pourquoi le cumul du départ progressif de nombreuses associations et le changement de politique de l'UNEF me semble suffisament importants pour légitimer une différenciation entre l'orgnaisme grande UNEF et les organismes, UNEF ou pas, lui ayant succédé. C'est d'ailleurs une demande qui a été effectuée par plusieurs contributeurs (voir Histoire du mouvement étudiant).--- Lupin 7 mars 2006 à 00:34 (CET)


Pour la mise en ligne de la doc, il suffit de donner les millions nécessaire à la BDIC au CME et aux archives nationales, et ils pourront faire quelques choses.Fredtoc 4 mars 2006 à 14:53 (CET)

[modifier] Revendication

Je ne suis pas sûr qu'il faille détailler les revendications pour 2 raisons:

  1. d'abord parce qu'elles changent et évoluent au cours du temps
  2. ensuite parce que même à l'intérieur de l'UNEF, les tendances ne s'accordent pas dessus, donc une revendication serait (?) le choix de la majo, ou ce qui ressort des CdP.

Des plus, les chiffres présentés ne sont pas donnés avec leur année alors qu'ils varient. Enfin, le sujet étant polémique, des sources seraient les bienvenues pour les chiffres avancés. Dans les deux cas de figure, des revendications ne sont pas exactes. Par exemple, actuellement, l'allocation d'autonomie ne tiend pas compte des revenus des parents puisqu'au contraire elle considère l'étudiant comme indépendant. La partie sur légalité des chances et des droits n'est pas assez claire. Encore une fois, une simple liste avec les 4 points et des pointeurs me semblerait plus correcte.--- Lupin 27 février 2006 à 15:22 (CET)

[modifier] Liens externes

Le site de l'unef étant la vitrine nationale, il n'est pas nécessaire de mettre en ligne les liens des AGE sauf à vouloir promouvoir des AGE locales. Il faut donc soit toutes les mettre et rendre la liste illisible (car trop de liens), soit les ôter.

Idem pour le lien spécial AGEL-UNEF. --- Lupin 27 février 2006 à 15:22 (CET)

Puis-je avoir des avis sur cela svp: le lien vers l'UNEF Lyon a été rajouté, et il s'agit en plus d'une page en construction, ça ressemble beaucoup à de la pub pour un nouveau site. J'enlève vu qu'y a aucune réaction depuis une semaine, sinon, on peut évidemment en discuter. Or il a été discuté déjà qu'il valait mieux ne pas ajouter les AGE constitutives d'une orga nationale sous peine de transformer wikipedia en vitrine publicitiaire. Voir la page de discussion PDE http://fr.wikipedia.org/wiki/Discuter:Promotion_et_d%C3%A9fense_des_%C3%A9tudiants#Titre_2_:_histoire --- Lupin 7 mars 2006 à 00:08 (CET)

Rebelote. L'anonyme 147.94.219.32 qui remet l'AGEL-Lyon est prié de bien vouloir débattre ici. J'ai laissé une semaine me semble t-il avant d'ôter ce lien, et je n'ai pas eu un commentaire. Ce n'est pas une tentative d'éviter le débat, je le rappelle. En cas d'avis contraire, lance le débat ici.--- Lupin 11 mars 2006 à 21:47 (CET)

Rebelote. Les anonymes 82.238.152.215 86.205.241.18 et 193.49.172.146 qui giclent des liens sont priés de bien vouloir en débattre ici.--- Lupin 7 avril 2006 à 12:19 (CEST)

Doit-on maintenir des paragraphes sur les AGE locales ? Le cas de l'AGE de Lille me semble différent de l'AGE de Montpellier (quoique), car plus représentatif des débats internes. Le paragraphe de l'AGE de Montpellier n'est à mon sens qu'une pub sans intérêt.--- Lupin 6 mai 2006 à 21:47 (CEST)


Plus qu'un seul lien externe ? Ou sont passés les autres liens ? Sebgob 27 septembre 2006 à 01:38 (CEST)

J'ai remis les liens externes en bloc d'après l'historique, car je suis partisan du pluralisme dans les références (encyclopédie...). Après, si tel ou tel lien pose problème, merci d'en discuter AVANT d'agir... Spacky 27 septembre 2006 à 09:45 (CEST)

Je suis de votre avis. Sebgob 27 septembre 2006 à 15:14 (CEST)

Le pluralisme, c'est bien, mais trop d'info tue l'info, et il faut savoir faire une choix, il est déjà discuté plus bas du fractionnement nécessaire de l'article pour manque de lisibilité et manque de sens historique.
Par ailleurs après plusieurs semaines/mois, sans réaction, il semble correct de penser que les modif proposées sont acceptées.--- Lupin 20 février 2007 à 17:58 (CET)

[modifier] Organisation des débats

Il serait bon d'ajouter les débats au fur et à mesure pour ne pas en changer la numérotation à chaque nouveau sujet.--- Lupin 27 février 2006 à 15:22 (CET)

[modifier] Sur les anciens

Quelqu'un a rajouté Julie Coudry parmi les anciens, pourquoi pas, mais il faut comme je l'ai fait indiqué la fonction qu'elle pouvait avoir au sein de l'UNEF, plutôt que celle qu'elle occuppe actuellement, comme pour l'ensemble des autres anciens.Fredtoc 4 mars 2006 à 21:40 (CET)

[modifier] Sur les liens entre Julliard et le PS

Phrase revertée : "Son actuel président est Bruno Julliard qui est étudiant à Lyon et appartient à la Tendance majorité nationale. D'après les journaux Le Monde et le Figaro du 7 février 2006, le mouvement est réputé très proche du parti socialiste, dont le président actuel était membre jusqu'en juillet 2005 (proche d'Henri Emmanuelli). Sa mère, Arlette Arnaud-Landau, est d'ailleurs maire socialiste du Puy-en-Velay."

Il me semble quand même très pertinent de signaler qu'un mouvement qui se dit "indépendant des parti politique" a son leader issu du parti socialiste. Surtout que le mouvement affirme que les années "Dray" sont terminées.

C'est quand même extraordinaire de ne pouvoir préciser dans cet article (source à l'appui) quelque chose qui est de notoriété publique, à savoir que l'UNEF est proche du PS. Entrisme ?

www.nouvelobs.com/articles/p2158/a297609.html

--Powermonger·(kongossa) 9 mars 2006 à 14:29 (CET)

Premièrement il ne faut pas confondre proche et avoir une personnalité à sa tête qui est par ailleurs membre d'une autre organisation. Est ce que le fait que Jean-Francois Matei devienne président de la croix-rouge fais de la croix-rouge une association proche de l'UMP. Si oui alors ok le fait que Bruno Julliard ai été membre du Parti Socialiste fait de l'UNEF une association socialiste mais j'aimerais rappeller que l'unef est majoritairement composé de personnes non affilié à des parti politiques même si de sensibilité de gauche, que l'UNEF réuni parmi ses membres aussi membres de parti des membres de tout les parti de gauche et d'extreme gauche allant du PS à la LCR, ca fais quand même un bon nombre d'oganisation politique. Et durant les années dray le problème n'etait pas que le président de l'UNEF-ID était proche du PS mais qu'il prenait ses ordres aupres de Julien Dray. Il ne me semble avoir lu nulle part que Bruno Julliard passait un coup de fil tout les soir a Francois Hollande ou je ne sais quel autre pour lui demander ce qu'il devait faire. Treab 9 mars 2006 à 15:01 (CET)
La croix-rouge n'est pas (plus) une organisation politique comme l'est l'UNEF. Les liens entre l'UNEF, son leader et le PS (ou les MJS) méritent tout de même d'être mentionnés. C'est très pertinent. Il n'est écrit nulle part que Bruno Julliard téléphone chaque soir à Hollande, mais de là à cacher qu'il est socialiste, il y a un pas ! D'autant qu'il a était très impliqué au PS (chef des MJS Haute-Loire). Tiens, sinon, j'ai une proposition du même acabis : supprimer toute référence à l'UMP dans l'article UNI. --Powermonger·(kongossa) 9 mars 2006 à 15:11 (CET)
Je ne dis pas qu'il faut le cacher loin de la, mais simplement, je ne suis pas sur qu'il soit besoin de le rappeller sur toute les pages et dés l'introduction il y a une différence. Dans l'intro je ne crois pas que cela est sa place. Ailleurs pourquoi pas... Pour ce qui est du MJS Haute-Loire il en à été fondateur d'après le monde mais il n'est a ma connaissance plus rien au MJS Haute-Loire. Pour ce qui est de l'UNI il me semble que nulle part elle prone l'indépendance syndicale, que nulle part elle ne cache sa proximité avec l'UMP et encore une fois il ne s'agit pas de supprimer toute réference à cette proximité, il s'agit simplement de dire qu'elle n'a pas sa place dans l'introduction. Treab 9 mars 2006 à 15:18 (CET)
Alors dans ce cas, il faut supprimer également la phrase sur l'indépendance... D'autant que l'on en a jamais vu un échantillon. --Powermonger·(kongossa) 9 mars 2006 à 15:29 (CET)

Pour ma part, je serais partisans d'appliquer la même régle à toutes les organisations étudiantes. Donc si on met Le Monde sur l'article UNEF, on met de même que PDE et la FAGE sont de droite en citant des articles l'indiquant ( voir discussion sur la page PDE : [[6]]. Alors on applique l'équité ? FP 9 mars 2006 à 16:29 (CET)

Mais bien sur ! Il faut positionner tout le monde. Je ne le voyais pas autrement. Par contre, je suis assez surpris que l'on dise la FAGE de droite. Quoi que pour certains tout ce qui est à droite de la LCR est à droite et plus à droite que le PCF, à l'extreme droite !--Powermonger·(kongossa) 9 mars 2006 à 16:59 (CET)
Stop bêtises s'il vous plaît... Que PDE (et PDE seulement) soit de droite selon le Nouvel Obs ou Libé n'est pas la vérité absolue pour moi. PDE est d'ailleurs à l'heure actuelle une ruine dont les quelques associations membres sont noyautées par l'UDF, certes, mais pas totalement contrôlée par elle. Quant à la FAGE, elle n'est pas suspecte, elle est réellement pluraliste : à l'époque de Jean-Baptise Mougel elle comprenait même une concentration douteuse de radicaux de gauche dans ses instances dirigeantes. Par contre, que l'UNEF soit de gauche, vu le discours que tiennent certains militants en campagne, vu ce qui s'est passé au Congrès de la LMDE à Montpellier (George Frèche : "oui camarades de l'UNEF, en 2007, il ne restera qu'un seul syndicat étudiante et une seule mutuelle étudiante!"), vu la recomposition de la majorité de l'UNEF pour acter la fusion de NPS/Nouvelle Gauche avec les emmanuellistes... Bref je m'étends longuement, mais vouloir (en échange de la précision utile dans l'article UNEF) préciser dans l'article PDE ou FAGE des interpretations douteuses et sans justification de deux canards, c'est complètement zapper le principe de l'encyclopédie. Guerre d'édition en vue... --Bahlsen 9 mars 2006 à 17:55 (CET)
Ne doutons pas que FD ait une source très sérieuse et non partisane pour affirmer que la FAGE est à droite ! :-)
Tiens, au fait : être de droite ou de gauche n'est pas une tare comme un pied-bot ou une déficience mentale. Il y a des gens très bien dans les deux camps. Dire "L'Unef est proche du parti socialiste", ce n'est pas dire "L'Unef, ce sont de vilains démagogues rêveurs, bouh".
--Powermonger·(kongossa) 9 mars 2006 à 18:04 (CET)
Bien sur, on pourrait mettre des exemples nominatifs aussi sur la page de la FAGE. Le fondateur d'Intercampus, Cédric Chevalier qui est adjoint au maire de Reims et président de la MGEL par exemple. J'ai aussi un exemple à Troyes, je dois pouvoir en retrouver un à Lyon... FP 10 mars 2006 à 09:30 (CET)
Evidemment, le pluralisme à l'UNEF, ça veut dire "que des gens de gauche". euh, "vraiment à gauche". "Genre, NPS". Mais qu'UN ancien de la FAGE, dont tu connais le nom parce qu'il est médiatisé, soit UMP, et hop, la structure est partisane et filliale de l'UMP. Les anciens de la FAGE qui malgré le blocus des staliniens de l'UNEF réussissent à s'engager à gauche? sous silence! Tous les gagnants ont joué, certes, mais il faut arrêter de prendre les gens pour des buses.--Bahlsen 10 mars 2006 à 17:55 (CET)
Tout à fait d'accord avec toi. Dire que l'UNEF est à l'heure actuelle proche du PS est intéressant, dans la mesure où l'article relate son passé : SFIO puis PS n'ont pas trop interféré dans l'UNEF jusque dans les années 93-94. C'est encyclopédique : même si dans la vie j'affronte l'UNEF, jamais pour moi l'appartenance au PS de certains militants n'est un argument contre la structure ou son programme.--Bahlsen 9 mars 2006 à 18:31 (CET)

La position politique de l'Unef est déjà précisée dans le paragraphe précédent, et développé tout au long de l'article. La mère de Bruno Julliard n'a rien n'a faire, sur l'article Bruno Julliard déjà c'est discutable, mais sur l'article Unef, qui est avant tout un historique de l'organisation, c'est trés clair. Oxo | °°° | 9 mars 2006 à 20:43 (CET)

C'est impressionant les efforts déployés pour ne pas dire que l'UNEF n'est pas proche du parti socialiste et cacher que son président est un ancien dirigeant local des MJS ! Je vois que le mot "entrisme" a fait mouche au lieu d'être tout simplement ignoré. Edifiant. --Powermonger·(kongossa) 10 mars 2006 à 08:16 (CET)
Pourquoi réitérer ces attaques personnelles infondées ? Pourquoi ne pas reconnaitre que l'article et les articles connexes établissent déjà clairement la proximité de la Majorité de l'Unef avec certains courant du PS ? Pour ma part je ne pense pas poursuivre plus avant cette discussion si elle doit rester stérile. Oxo | °°° | 10 mars 2006 à 09:15 (CET)
Parce que en lisant l'article, on ne le reconnait pas. Ca commence dès l'intro par "indépendante des partis politiques", ce qui est aussi vrai que l'indépendance (statutaire) du PCF vis-à-vis de l'URSS dans les années 70 ! Ce qui va sans dire va toujours mieux en le disant. Le lecteur n'a pas à faire des recherches ou des déductions pour comprendre que l'UNEF est une quasi annexe du PS, celà doit être clairement dit (avec sources) dans l'article. La stérilité, c'est de vouloir supprimer à tout prix une information centrale de cet article. --Powermonger·(kongossa) 10 mars 2006 à 09:19 (CET)
Sauf preuve du contraire ce n'est pas la direction du PS qui dirige l'Unef ! Les affinités idéologiques de certains membres de l'Unef (dans le cadre des tendances par exemple) avec des organisations ou des courants d'organisations politiques de gauche (de la LCR au PS) me semble explicite. Par ailleurs, l'Unef peut elle être une "quasi annexe" du PS et compter dans ces rangs une tendance dite trotskiste ? La LCR serait-elle aussi une quasi annexe du PS ? Et dernière question, pour quelle organisation est-ce que je fais de l'entrisme dans la wikipédia, et quelles sont tes sources à ce sujet qui je n'en doute pas est documenté, comme il se doit dans la wikipédia ? Oxo | °°° | 10 mars 2006 à 09:40 (CET)
Bien sur que tout est sourcé. D'ailleurs, tu le sais puisque c'est toi qui a fait le revers. [7] et [8].
C'est évidemment une pure coincidence que Julliard fut un chef MJS...
Je viens d'en trouver un autre [9]. Ils ont même fait motion commune avec le NPS au congrès du Mans ! --Powermonger·(kongossa) 10 mars 2006 à 09:52 (CET)
Le truc du monde est périmé de 2 jours, voici la copie : [10]. --Powermonger·(kongossa) 10 mars 2006 à 10:02 (CET)

De manière générale, la différence n'est pas une inféodation à un parti. Personne je crois n'a nié les années Dray et les liens alors avec le PS. D'abord, je pense qu'il s'agit d'une généralisation, il s'agirait plutôt des MJS. Si cela est accepté, cela peut être noté, sinon, il faut développer les liens avec les MJS àl'époque (SOS Racisme, unef, MJS, mnef). D'autre part, ce n'est pas parce qu'il n'y a pas inféodation à un mouvement que l'organisation n'est pas fortement ancrée à gauche. Cela ne sous-entend aucunement une dépendance à un parti spécifique, mais juste une ligne générale que l'on retrouve dans les déclarations (internationales: http://unef.asso.fr/delia-CMS/international/index/topic_id-150/questions-internationales.html , LMD lorsqu'il a été proposé par la droite, etc.). Je suis de manière générale pour déplacer la proximité UNEF-PS et éventuellement la proximité de Julliard dans une autre partie, à côté de l'indépendance officielle par exemple. Il serait à mon avis moins partial de dire Les adhérents actuels de l'UNEF se retrouvent plutôt dans les partis de gauche.. Enfin, je confirme que je suis choqué de voir quelqu'un avoir essayé de placer une référence sur la mère de Julliard, cela n'a rien à faire ici (dans la bio de Julliard pour montrer une inspiration, pourquoi pas, mais ici...). Enfin, concernant le lien sur la technique de tenue d'une AG pour les miliants unef, ce lien se trouve ici aussi (bien qu'on n'en ait qu'un aperçu): http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-741508@51-734527,0.html, le lien http://www.paris.indymedia.org/article.php3?id_article=52458 est bien la copie de l'article complet.

Plusieurs fois j'ai fait remarqué que cet article était tendancieux... Les liens de Julliard avec le PS sont clairs et établis. Ne pas les mettre en intro est subtil car cela fait passer ses amitiés politiques en arrière plan alors qu'elles ont une importance capitale dans le mode de fonctionnement et dans la communication de l'association, puisque l'UNEF n'est pas un syndicat mais une association loi 1901. D'ailleurs, on pourrait se demander dans quelle mesure Julliard est capable de penser par lui même, tant son mode de pensée est limité. Mais j'entre dans des attaques personnelles (bouh...).

Par ailleurs, quoi faire de Nadjet Boubekeur, responsable de la communication de l'organisation, qui, si je ne m'abuse est la fille du grand recteur de la mosquée de Paris. De même que le bureau executif de PDE (enfin, les ruines de PDE) a été formaté par la SMERRA, on peut s'interroger sur le copinage et le clientélisme dont est issu le bureau de l'UNEF.

Tu es mal renseigné, mais il n'y aucun lien de parenté entre Nadjet Boubeker et Dalil Boubaker, et par ailleurs, même si sa position institutionnelle le retient de s'exprimer sur ce sujet, il est plutôt considéré comme un partisan de Jacques Chirac.Fredtoc 15 mars 2006 à 21:57 (CET)

Enfin, pourquoi le nombre des adhérents revendiqués a t-il brusquement augmenté ? Quelle est la source ??? Warriorfloyd Speak 14 mars 2006 à 08:55 (CET)

C'est le nombre que revendique l'organisation. Il est très simple à retrouver :
nombre d'étudiants en France (hors BTS) x résultats des élections au CROUS pour l'UNEF x participation
Et oui, à l'UNEF, voter c'est comme adhérer. Et puis, Julliard, en bon responsable MJS, sait faire de la gonflette.
Mais c'est vrai que l'on peut s'interroger. Mais on ne peut pas l'écrire : la police de la pensée veille... --Powermonger·(kongossa) 14 mars 2006 à 09:31 (CET)

Police de la pensée ou militants acharnés ? Est ce la peine de dire aussi que Julliard ne siège plus au CNESER depuis mi 2004, les débats actuels ne présentant pas d'intérêt à ses yeux ? Faut-il dire que ce jeune homme imberbe passe plus de temps en inter syndicale et à la télé que dans sa fac, remettant ainsi un peu en question son statut réel d'étudiant ? Pour les 29000 adhérents, ils ont comptés les fausses cartes ??? Même sur Wikipédia, l'UNEF ne joue pas la carte de l'honnêteté... Warriorfloyd Speak 14 mars 2006 à 11:28 (CET)

Ne t'en fais pas. On trouvera toujours des profs pour lui filer son diplôme et remonter ses partiels. En général ce n'est pas un problème (le PS est un peu chez lui à la fac). La seule interrogation, c'est de savoir si le PS le présentera à un conseil général ou à un conseil régional, et dans quelle région ? Doit-on dire "Monsieur le futur député" ? --Powermonger·(kongossa) 14 mars 2006 à 12:13 (CET)
Arrêtes !!! On va dire qu'on est de mauvaise foi ou de piteux militants fascistes anti anarcho-syndicaliste de base... Pour le futur député, s'il a autant de carisme pour ses prochaines campagnes qu'il n'en a actuellement, il est pas près d'être élu. Sa seule qualité pour le moment : l'ancienneté de l'UNEF, qui lui donne une assise politique... Est ce qu'il est le mieux placé pour le bien des étudiants ? Je ne le pense pas, ne serais-ce que quand on voit ce que propose les partis de gauche en général contre le CPE par exemple, on se rend compte qu'il n'y en a aucun qui vaille mieux que la droite... Ca laisse perplexe, et ça serait presque inquiétant si l'UNEF avait une capacité quelconque de motiver les étudiants sur le long terme. LA question que je me pose, c'est :ca quand les "A bas de Gaulle" dans les manifs vu qu'on est en train de nous faire un remake de mai 68 ??? Warriorfloyd Speak 14 mars 2006 à 13:33 (CET)

http://www.nouvelobs.com/articles/p2158/a297609.html Nouvel observateur Semaine du jeudi 16 mars 2006 - n°2158 - France

Bruno Julliard, le rejeton de la gauche

Au fond, c'était bête de quitter le PS... L'été dernier, Bruno Julliard, élu président de l'Unef, a écrit au secrétaire de sa section socialiste du Puy-en-Velay pour l'informer qu'il ne reprendrait pas sa carte. « C'était un passage obligé pour affirmer que le PS ne désignait plus les dirigeants étudiants. En fait, j'aurais dû assumer. »Dans ses premières prestations médiatiques, Julliard, porte-parole des anti-CPE, ergotait sur son militantisme pour ne pas offrir d'argument à la droite. Il a renoncé à ce jeu de cache-cache. « Carte ou pas, je suis le même. » Un jeune homme de gauche, radical sans lyrisme, produit d'une génération politique enfin libérée des grand frères - Cambadélis, Dray, terribles quinquagénaires qui perpétuaient leur histoire au travers des gamins - pour se tailler son territoire. Julliard et ses amis campent au Nouveau Parti socialiste. Il y a quelques semaines, Bruno participait encore à la direction du courant. Il entretient avec Henri Emmanuelli une relation transgénérationelle inédite. Le vétéran, paternel, ignorant des bisbilles estudiantines, remonteur de pendules parfois -« c'est très bien que l'Unef sorte de son nombrilisme universitaire » -, en rugit d'aise. « C'est embêtant, mais les jeunes gens sont copains avec l'archaïque ! Bruno ne surfe pas sur l'air du temps. On ne l'endort pas avec des discours sur la complexité des choses ou la difficulté d'agir. Il cherche les causes. Qui perd, qui gagne, qui souffre ? »

Questions simples pour une gauche sociale. Julliard : « La vraie gauche du non, en mai dernier, c'était la gauche du peuple, la gauche des pauvres. » Et l'Unef n'est pas l'association des petits-bourgeois engagés, mais la première ligne de défense des démunis. Etudiants salariés, boursiers, pauvres lettrés ou lettrés pauvres, chair à smic-jeunes sous Balladur, promis au CPE aujourd'hui.Julliard a tiré l'Unef, historiquement proche de FO, en direction de la CGT. « Quand on a fait notre congrès en décembre, j'ai insisté pour que Bernard Thibault vienne, et pas seulement Jean-Claude Mailly... Qu'il voie ce que nous étions. »

La nouvelle gauche ressemble donc à l'ancienne. Julliard a grandi là-dedans. Maman Arlette Arnaud-Landau, militante syndicale féministe et socialiste, devenue maire du Puy en 2001. Beau-papa, qui l'a adopté, Jacques Landau, communiste de toujours et encore aujourd'hui, fils d'une grande résistante « qui a eu du mal à se débarrasser du mythe de l'URSS ». Toute la gauche, en un foyer réuni... Bruno milite depuis ses 18 ans. Le CPE le transforme, pris par une cause qui transcende toutes les habiletés passées. « Au début, c'était dur, on luttait un peu dans l'indifférence. On doit gagner pour une génération qui n'a pas eu de victoire. » Ensuite, il reprendra ses études de droit, complétera son doctorat et passera des concours administratifs. Il aura un métier, jure-t-il, la politique ne le nourrira pas. Il pense reprendre sa carte au PS, pour se sentir en règle.

Claude Askolovitch http://www.nouvelobs.com/articles/p2158/a297609.html

[modifier] Territoire ?

Il y a visiblement un problème avec Utilisateur:FP qui considère cet article comme son territoire et empêche toute mention des liens de l'UNEF avec le PS. Son attitude de "policier de la pensée" commence à devenir pénible. Je trouve toutes les sources, je vérifie tout et le voilà qui reverte sans expliquer. Presque du vandalisme. --Powermonger·(kongossa) 13 mars 2006 à 14:28 (CET)

Rien d'étonnant à ce genre de pratiques. C'est le cas habituel pour les articles sur une boutique politique, syndicale ou religieuse. Les prosélytes les considérent comme des supports de pub dont ils souhaitent la maîtrise exclusive pour qu'ils soient lissés de toutes aspérités pouvant apparaître dérangeantes par rapport à leur objectif de vente, de recrutement et de défense et développement de leur part de marché ;-)) --Pgreenfinch 13 mars 2006 à 14:53 (CET)

Les infos que tu as mise sont déjà présentent dans l'intro, je les ai même précisé. on ne va pas les mettre en double dans l'article, il est assez long comme cela. Arrête d'être caricatural et de faussement t'offusquer ! FP 13 mars 2006 à 15:33 (CET)

Choisis où tu veux le mettre mais on ne peux le laisser en double... FP 13 mars 2006 à 15:35 (CET)

Si, on peut car c'est central pour l'article. Comme la soit-disant représentativité qui est rappelé toutes les 5 lignes. Vraiment, c'est une caricature du militant-propriétaire d'article ! --Powermonger·(kongossa) 13 mars 2006 à 15:42 (CET)
Alors on va retirer les rappels de représentativité qui sont, c'est vrai, un peu lourds, plutôt que de faire des répétitions de choses déjà indiquées par ailleurs dans l'article. Le but est d'avoir un article lisible. Des rappels toutes les 20 secondes relèvent autant du matraquage que ce que tu dénonces pour la représentativité. FB, d'accord ?--- Lupin 13 mars 2006 à 21:28 (CET)
Je ne crois pas qu'FP considère cet article comme son territoire ou alors moi aussi et peut être lupin parcequ'on s'oppose à l'apparition dans l'intro des liens de bruno julliard avec le PS et de sa paranté. Cela est tjr présent dans le corps de l'article. Pour la représentativité, alors soit tu déni toute représentativité aux élus (maire, député, président) ou alors tu accepte la représentativité de l'UNEF qui contrairement au syndicat d'employé fait face à des elections tout les ans et dans la plus part d'entre elle fait des scores aux alentour de 40%. Treab 13 mars 2006 à 22:36 (CET)
Avec moins de 10% de votants (8% en 2004, 5,53% en 2002), soit de 2 à 4% des étudiants. Grosso modo, leur nombre d'adhérents... Je me marre. Par comparaison, une élection de BDE dans une ESC, c'est plus de 80% de votants. --Powermonger·(kongossa) 14 mars 2006 à 09:22 (CET)

[modifier] Les tendances de l’UNEF-ID dans les années 1992-1994

J’ai du mal à suivre l’évolution des tendances de l’UNEF-ID dans les années 1992-1994. Il semble que se soit particulièrement compliqué. On se divise, on se réunit et se dans un lapse de temps limité. L’observateur qui n’a pas vécu ses moments est un peu perdu, en tout cas moi je le suis. J’ai copié ici, un extrait de la Wikipédia sur cette période et un article de l’Humanité sur l’élection de Pouria Amirshahi à la tête de l’UNEF-ID et j’ai essayé d’en faire la synthèse. Merci de me donner votre avis sur la question. Voici les copies :


  • Wikipédia

« Lors du Congrès de 1994, on assiste à un renversement de majorité (défaite de la tendance pour une « Confération de la Jeunesse Scolarisée » proches de Jean-Christophe Cambadélis). Les amis de Jean-Christophe Cambadélis ont scissionné en deux groupes. Celui mené par David Rousset, trésorier de l'UNEF s'allie avec les amis de Julien Dray rassemblés dans la "Tendance Sursaut ou Déclin". Ils s'allient aussi avec le petit groupe des étudiants proches de Laurent Fabius rassemblés dans la sensibilité Demos. Avec le soutien des « rocardiens » de la tendance Reconstruire et des trotskistes, les proches de la Gauche Socialiste prennent alors la direction de l'UNEF; le représentant de l'aile gauche Pouria Amirshahi est élu président. »

  • L’Humanité

« L’UNEF-ID a un nouveau président ; Article paru dans l'édition du 19 décembre 1994.

http://www.humanite.presse.fr/journal/1994-12-19/1994-12-19-714440

Cette élection marque un changement de majorité à l’intérieur du syndicat étudiant. Samedi, les congrès locaux préparatoires ont donné 51% des mandats à la tendance Avenir syndical, dont Pouria Amizshani est issu. Proche de la Gauche socialiste du mitterrandiste Julien Dray, elle regroupe divers courants du PS, les sympathisants de S.O.S.-Racisme et les militants de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR). La liste du président sortant, Confédération de la jeunesse scolarisée, a recueilli 33% des voix, tandis que Reconstruire (proche de Michel Rocard) a obtenu 15% des mandats, les deux petites listes trotskistes se partageant le 1% restant. »

Si j’ai bien compris, avant le congrès de Paris, c’est créée une tendance appelée Avenir syndical, regroupant David Rousset et ses proches (Tendance Indépendance et Action ?), la tendance Sursaut ou Déclin, Démos, la tendance Reconstruire et des trotskistes de la LCR. Chacun de ses courant formant plus ou moins une sensibilité. Dans les années qui vont suivrent, Sursaut ou Déclin et les proches de David Rousset, vont fusionnés dans la « majo majo », Reconstruite va donner la Sensibilité pour l’égalité et la TPAS, les trotskistes vont fonder la Tendance Unité Démocratie (TUD) et Démos va décliner. Que sont les « deux petites listes trotskistes » ? Des membres du PCI, une autre tendance de la LCR ? Que vont-ils devenir ? Merci de me répondre pour m’aider à comprendre l’histoire des tendances de l’UNEF-ID pour que je puisse compléter les articles concernés.

Chamole 17 mars 2006 à 11:41 (CET)

Démos existe encore, ils sont présents sur 2 AGE et avec un membre au Bn, et un à la Commission de contrôle.
Je pense qu'il y a confusion dans l'article entre ce qui devait être le titre de la motion "Avenir syndical" et le nom de la tendance qui s'appelle I & A jusqu'à ce qu'elle devienne la Majo. Les deux autres listes trotskistes sont à mon avis le reste des lambertistes du PCI, et ceux qui avaient scissionnés avec Stéphane Just.Fredtoc 17 mars 2006 à 15:08 (CET)
Emmanuel Lyasse 6 septembre 2006 à 16:44 (CEST)Emmanuel Lyasse Emmanuel Lyasse 6 septembre 2006 à 16:44 (CEST)

Ces années 1992/94 furent celles du grand tournant pour l'UNEF-ID.

Il n'est pas étonnant que ces faits paraissent obscurs. La très large majorité de ceux qui y ont participé ont intérêt à cette obscurité. Exceptions: ceux qui se sont trouvés alors sur le bord de la route, qui n'ont pas de raisons de se taire, et dont les témoignanges recoupés permettent d'établir les faits.

Exemple, Olivier Rey, sur son site personnel http://www.reyo.net/rubrique.php3?id_rubrique=3, donne un très long récit de ces événements, où il fut impliqué en tant que principal inspirateur de Philippe Campinchi. C'est à lire pour admirer sa mauvaise foi d'abord, mais aussi pour retrouver, sous cette mauvaise foi magnifique, des faits qui sont assez souvent cachés.

Quant à moi, ma source principale sur cette période est Pierre Bréau, alors président de l'AGE de Versailles Saint Quentin (tout en étant étudiant à Paris VI), qui était l'un des opposants et qui, contrairement aux autre, n'a pas fini à la GS mais a changé d'UNEF.

Résumé rapide.

Après le congrès de 1991, et l'adoption du texte "Muter", l'UNEF-ID est officiellement divisée entre une majorité dirigée par des cambadélistes et des rocardiens et des oppositions, drayiste (TSOD) et LCR, plus quelques "sensibilités" existant fort peu (chevènementistes, fabiusiens…).

En fait, tout est tenu par "la majorité de la majorité", c'est à dire les cambadélistes (P. Campinchi, président, Emmanuelle Paradis, secrétaire général, David Rousset trésorier). Les rocardiens servent d'appoint, les opposants de caution.

La crise vient d'une scision à l'intérieur de "la majorité de la majorité". A l'automne 1992, des membres de la direction, dont E. Paradis et D. Rousset, entreprennent clandestinement d'organiser ceux qui sont mécontents de la ligne "Muter", du soutien à la Guerre du Golfe et à la réforme Jospin. Ceux-là rédigent ensemble un texte intitulé "Indépendance et action", plus souvent appelé "texte rouge" en raison de a couleur de sa couverture. Sa publication est prévue pour le CN de janvier 1993.

Averti quelques jours avant, P. Campinchi décide l'annulation de ce CN. Mais tous ses opposants se retrouvent au lieu prévu. Tout le monde convient ensuite de régler les comptes lors d'un congrès anticipé à Clermont, au printemps.

Pour ce congrès, deux camps s'affrontent. D'un côté, derrière P. Campinchi, les cambadélistes maintenus et les rocardiens. De l'autre, derrière E. Paradis, la tendance Indépendance et Démocratie, formée d'I et A et de tous les anciens opposants. Pour la première fois dans l'histoire de l'U-ID, le résultat est incertain et ce pour une raison simple: ceux qui jusque là verrouillaient l'apparaiel pour le compte de Cambadélis sont répartis entre les deux camps. Le vote dans les AGE est marqué par de nombreux incidents, chacun des deux camps accusant l'autre (à raison !) d'avoir produit des fausses cartes en quantité industrielle.

A l'arrivée à Clermont, personne ne sait qui va l'emporter. A la fin du congrès, personne ne sait qui l'a emporté. En effet, la commission des mandats ne se réunit pas, et aucun résultat n'est publié (les 52% pour la majorité sortante donnés par l'article sont tout à fait fantaisistes). Il n'y pas de vote. Sans décompte des voix, on proclame un BN où Campinchi est majoritaire, mais de peu, ou E. Paradis est vice-présidente, et une Commission de Contrôle exactement paritaire. (selon Olivier Rey, "après accord avec la minorité, Philippe Campinchi lit une liste de la nouvelle commission administrative et du bureau national, sans vote. La majorité est majoritaire, et emporte la présidence et le secrétariat général, mais la minorité garde la trésorerie nationale, flanquée d’un trésorier adjoint de la majorité. Traduction : les rapports de force sont gelés jusqu’au prochain Congrès. Un coup pour rien"). Certains prétendent que cette liste n'a pas été composée à Clermont, mais à Solférino, par les mentors des différentes "sensibilités, soucieux d'arrêter les dégâts.

Par la suite, deux changements. Les cadres d'I et A rejoignent presque tous la Gauche socialiste de Julien Dray. Les rocardiens rompent avec Campinchi pour s'entendre avec la GS. Dans ces conditions, le congrès suivant ne peut être qu'un désastre pour les camabadélistes. Seule surprise: ce n'est pas Emmanuelle Paradis, mais Pouria Amirshahi (signataire d'Iet A, mais jusque là assez discret) qui récupère la présidence. Selon certains, la MNEF aurait mis son veto à l'élection de Paradis, trop marquée à gauche.

Pour la première fois depuis 1980, l'UNEF-ID change d'obédience, et rompt avec son fondateur. Mais il n'y a pas vraiment de changement de ligne: les positions prises par la suite (freinage du mouvement de 1995, soutien à la réforme Bayrou puis à Claude Allègre, maintien de la subordiantion à la MNEF et revendication comme une victoire de la "majorité sociale à 18 ans") évoquent beaucoup plus la ligne "Muter" que le texte "Indépendance et Action".

Ce congrès paraît cependant comme la revanche de Julien Dray sur celui de 1980 où il avait été battu par Cambadélis, et tous les suivants. Mais cette revanche a été obtenue par le retournement en deux temps de cadres cambadélistes. Elle ne dure pas: à l'automne 2002, quand la GS explose, Jean-Luc Mélechon s'alliant à henri Emmanueli, Julien Dray allant progressivement vers la majorité du PS, les cadres de la désormais UNEF, derrière Yassir Fichtali et Tania Assouline, choisissent Mélenchon. Ceux qui restent fidèles à Julien Dray et à l'ancienne présidente Carine Seiler sont rapidement marginalisés.

Signalons pour conclure que, lorsque Mélenchon choisit Fabius après le référendum de mai 2005, l'équipe dirigeante de l'UNEF, avec Bruno Julliard, successeur de Y. Fichtali, reste avec Emmanuelli et le suit vers le NPS de Montebourg, Hamon, et Peillon, ce qui change tout: l'ancienne majorité, désormais emmanuelliste, fusionne avec l'ancienne minorité, anciens rocardiens passés avec Hamon au NPS, pour donner une nouvelle majorité tout à fait inédite.

On peut penser légitimement que la désignation du candidat du PS, qui est en train de faire exploser le NPS, provoquera de nouvelles secousses telluriques à l'intérieur de l'UNEF, dont il est aujourd'hui difficile de prévoir le résultat.

Que les apôtres ici de l'indépendance de l'UNEF-ID puis exID m'excusent. Ce ne sont là que des faits, aisément vérifiables.

EL

[modifier] derniers résultats

On ne sait pas encore si les élections CROUS seront validées ou refaites, quelque soit la légitimité de refaire ces élections, donc inutile de modifier pour l'instant, on est pas à 10 jours près. De plus, je rappelle que le nombre d'élus CROUS est certes supérieur aux UNEF, mais il faudrait préciser ces chiffres dans ce cas, idem pour les centraux. Enfin, lorsque l'on parle du nombre d'élus, on parle d'élus locaux et pas nationaux, donc les élections CNOUS n'ont rien à faire là-dedans.--- Lupin 1 avril 2006 à 19:00 (CEST)

Il va cependant être difficile de comptabiliser l'ensemble des élus des centraux de chaque Universités, écoles... De plus, ce sont les élus nationaux du CNOUS et du CNESER qui ont toujours mesuré la représentativité des organisations étudiantes. Attendons les résultats CNOUS et CNESER, ce sera pour bientôt. FP 2 avril 2006 à 11:33 (CEST)

PS : Le CNOUS vient de demander l'annulation des différentes élections aux CROUS.

-> Nous vivons dans une démocracie avec une justice et des lois. Il en existe une qui s'appelle la séparation des pouvoirs. C'est aux tribunals administratifs de juger par au CNOUS. Un peu comme si les députés de l'Assemblée Nationnale, après avoir perdu une éléction legislative, demandaient l'annulation des scrutin. Enfin, jdis ça, jdis rien... - Le Cid

Les resultats ont été publiés avant hier sur le site du CNOUS. http://www.cnous.fr/docx/doc_sousdossier_80.php Sebgob 2 juin 2006 à 01:37 (CEST)

Est-ce qu'on sait quand la décision du recours arrivera ? Mathounette discuter 2 juin 2006 à 08:39 (CEST)
Je crois qu'il y a un recours par région, ensuite la vitesse de la justice... FP 2 juin 2006 à 14:23 (CEST)

Donc on laisse le mot sur les recours, mais on met les chiffres à jour pour rester logique. Le recours n'est pas suspensif.--- Lupin 4 juin 2006 à 19:08 (CEST)

Commentaire des résultats CNESER : s'il est illogique de comparer le nombre d'élus de chaque orgas au niveau national pour en inférer une position relative (en l'occurrence égalité Fage/Unef), il n'est pas plus logique d'affirmer que l'Unef est la première organisation représentative étudiante, au vu des seuls résultats CNESER. D'ailleurs, à considérer la Loi Jospin, le critère de représentativité est d'avoir un élu au moins, mais il n'y a pas de hierarchie, si ce n'est dans l'interprétation des gens. Or interprétation <> encyclopédie. D'où ma retouche. Spacky 18 juillet 2006 à 15:03 (CEST)

De quelle retouche parles-tu ? FP 18 juillet 2006 à 15:55 (CEST)
Celle que je viens de faire. Au temps pour moi, j'oublie souvent de sauvegarder. "En 2006, suite aux élections au CNESER, l'UNEF augmente son nombre de voix et reste la première organisation étudiante représentative." par "En 2006, suite aux élections au CNESER, l'UNEF augmente son nombre de voix et conserve sa majorité au sein du collège étudiant du CNESER". Spacky 18 juillet 2006 à 16:06 (CEST)
Je ne pense pas que l'on puisse parler d'égalité entre les deux premières organisations représentatives. Tu as d'un côté une élection qui s'est déroulé dans un contexte particulier et dont les résultats sont contestés par plusieurs structures. Même le président de la FAGE déclarait "Nous sommes réalistes sur ce qui s'est passé lors des élections aux CROUS et nous prenons les résultats avec humilité". D'un autre côtés, tu as d'autres élections nationales qui se sont déroulés et dont personne ne contestent les résultats. Ce sont donc bien ces élections au CNESER qui peuvent servir sans ambiguité et sans contestation à mesurer le poids des organisations étudiantes. FP 18 juillet 2006 à 16:22 (CEST)
Le caractère "récent" du CNESER est une illusion d'optique, qui dans la bouche de quelqu'un d'aussi renseigné que toi confère au sophisme : le CNESER est élu par les élus en centraux dont le renouvellement s'étend sur les deux années du mandat sortant, il ne reflète donc pas, comme je l'ai expliqué, la dernière tendance, mais une moyenne sur deux ans. Les conséquences des évennements de 2006 sont donc encore moins lisibles au CNESER qu'au CNOUS où, en dépit du caractère exceptionnel des circonstances, on peut noter que seule la Fage a "profité" de l'effet CPE, dépassant ainsi l'explication d'une faiblesse organisationelle et spécifique de l'Unef, ou des incidents de vote, alors que Uni et Pde étaient favorable à ce scrutin. Spacky 18 juillet 2006 à 16:30 (CEST)
Si tu préféres, j'enlève le "plus récent", ce n'est pas un point important. Ce qui compte, c'est la reconnaissance que l'on peut donner à ces élections. Selon les points dont je parle ci-dessus, tu ne considères donc pas les résultats du CNESER comme plus représentatif que ceux des CROUS ? FP 18 juillet 2006 à 16:50 (CEST)
Cela mérite en effet éclaircissement. Le problème du CROUS 2006 est loin d'être simple, et il y a plusieurs axes de lecture, plus ou moins contradictoires. Par contre, indépendemment du camp qu'ils privilégient, ces axes de lectures se fondent pour certain beaucoup sur l'interprétation, d'autres très peu. Le scrutin n'a pas été victime d'une fraude monolithique et clairement identifiée. Il a été victime de plusieurs choses :
  1. 1 La persistance du pouvoir à faire se dérouler un scrutin chroniquement délaissé dans un contexte encore plus hermétique que d'habitude.
  2. 2 L'appel de l'Unef au boycott et son effet démobilisant.
  3. 3 Les appels et les organisations d'actes plus ou moins violents, tous condamnables.

La première victime en est la représentation étudiante, de par le taux de participation. Mais ne rêvons pas, quand il est de 10%, c'est tout autant scandaleux. Les coupables sont les vandales qui ont térrorisé le processus dans le but affiché de faire annuler le scrutin. Or il s'agissait d'une ânerie. Croire un instant que le pouvoir tel qu'il est aujourd'hui allait concéder une annulation, alors que les violences l'ont servi (discrédit sur le mouvement), c'est être un bisounours de la politique. Quid de la représentativité? Les résultats sont représentatifs des gens qui sont allés voter, et ils ne sont guerre plus scandaleux à environ 5% de participation qu'à 10%, sauf à alléguer que l'ensemble des voix FAGE sont issues de militants encartés, ce qui suposerait d'autres conséquences sur la représentativité... Car une grosse difficulté de ce scrutin c'est le "boycott" de l'UNEF. Elle apelle au boycott, mais vote quand même. C'est un suicide politique, une acrobatie dont on se demande encore aujourd'hui la signification. A ma connaissance, aucune procédure légale n'est en cours. Ni les recours revendiqués par l'UNEF (aucune nouvelle à ce sujet), ni les dépots de plaintes des victimes d'agression. Juridiquement, pour l'instant, il ne s'est rien passé. Reste les faits. De fait, comme en droit, c'est une majorité (large) d'élus Fage qui siègeront dans les CROUS et le CNOUS jusqu'en 2008. Politiquement, donc, la Fage tient le premier rôle sur ce terrain. Sauf à voir surgir un jugement contredisant celà, la Fage dispose donc, dans les instances nationales, d'un poids très proche à celui de l'UNEF, supérieur au CNOUS, inférieur au CNESER. Illustration : penses-tu que les compétences du CNOUS seront transférées au CNESER au motif de la représentativité? Spacky 18 juillet 2006 à 17:34 (CEST)

Que de contorsions pour ne pas répondre ! Pour te répondre je ne conteste pas les résultats du CROUS. Ils ont juste été obtenu avec la moitié de participation que d'habitude (déjà faible malheureusement), et une organisation appellait à ne pas y participer. Après les résultats sont publiés, donc acte, les recours seront de toute façon très long. Je renouvelle ma question : lequel de ces deux scrutins de 2006 te semble pouvoir représenter le mieux la représentativité des organisations étudiantes ? Quelqu'un conteste-t-il les résultats du CNESER ? FP 18 juillet 2006 à 20:41 (CEST)
Ok, je fais plus simple et plus court. CNESER et CNOUS sont élus par des élus, c'est du suffrage indirect. L'un et l'autre sont pareillement représentatifs de leur électorat direct, et des forces en présence au niveau local. Si certains ont pris l'habitude de s'appuyer sur les chiffres CNOUS et CNESER pour revendiquer une position, il faut poursuivre le raisonnement en 2006, et en tirer les conséquences. Certes, l'Unef conteste le CNOUS, de même qu'il conteste le CROUS. Mais à défaut de nouvelles des recours (je ne parle pas de jugement, mais en fait, on ne sait même pas où des recours ont été déposés effectivement, en fait, tout ce qu'on sait des recours, c'est l'annonce qu'en a fait l'Unef), il faudra considerer que la seule contestation provient de l'orga qui a perdu (le plus) dans ces scrutins. Et par pitié, ne parlons pas de la motion CNOUS à majorité Unef d'après les scrutins CROUS, certains ont déjà répondu. Spacky 19 juillet 2006 à 11:31 (CEST)
Décidément, tu n'aimes pas répondre aux questions !!! Allons-nous tourner en rond longtemps comme cela ? Allez, je suis sympa je te les remet une troisième fois : lequel de ces deux scrutins de 2006 te semble pouvoir représenter le mieux la représentativité des organisations étudiantes ? Quelqu'un conteste-t-il les résultats du CNESER ? FP 19 juillet 2006 à 14:11 (CEST)
C'est officiel, tu es un sophiste. J'ai dit, et redit donc, "L'un et l'autre sont pareillement représentatifs". Quant aux contestations : personne ne conteste le CNESER, pas même ceux qui ont perdu des sièges. Ta persistance à considérer la constestation d'un camp comme un critère objectif de contestabilité est très curieuse. Le CNOUS, c'est pas Intervilles. Spacky 19 juillet 2006 à 14:23 (CEST)
Enfin, on avance un peu ! Je te demanderais par contre de rester courtois dans cette série d'échanges qui ne fait que commencer. Sur les organisations qui prennent en compte le caractère spécifique de ces résultats, l'UNEF est loin d'être seul, tu peux y ajouter les 12 organisations de l'intersyndicale contre le CPE, ainsi que des déclarations de Yannick Vallée (de la Conférence des Présidents d'Univesité). Donc toi, tu considéres qu'aucun contexte particulier n'a eu lieu pendant les élections au CROUS et amoindrirait la représentativité de ces élections : ni la participation à 4%, ni les campus bloqués (moi je n'ai pas pu voter !). Pourtant même le président de la FAGE reconnait à demi mot la faiblesse d'interprétation qu'ont ces résultats : "Nous sommes réalistes sur ce qui s'est passé lors des élections aux CROUS et nous prenons les résultats avec humilité" (communiqué AEF). Et de l'autre côté, tu as des élections qui se sont déroulées normalement et que personne ne conteste mais tu les classe au même niveau !!! Alors qui a des critéres curieux ? FP 19 juillet 2006 à 15:01 (CEST)
Je note que pour toi le "vrai débat" consiste à ne pas lire ce que j'écrit. J'ai reconnu, et même mieux, j'ai détaillé, ici et ailleurs, en quoi le scrutin de mars 2006 était anormal. J'ai aussi expliqué en quoi cet anormal reste relatif en termes de représentativité.
Bien sur que j'ai vu ce que tu avais écrit mais tu n'en tires aucune conclusion ! Le constat est une premièe étape ensuite la maturation des idées doit permettre d'en tirer une conclusion. FP 19 juillet 2006 à 16:13 (CEST)
Taux de participation : je ne situe pas le seuil critique de représentativité entre 4% (borne inférieure de mars 2006, faut pas abuser non plus) et 10%. Le taux de participation est anti-représentatif aussi bien en 2006 qu'en 2004, 2002..., ou qu'aux prud'hommales... D'où : pas de conclusion différenciée en 2006 sur cette base.
Campus bloqué : certains campi ont été entièrement bloqués, ce qui laissait au moins les points de votes croussiens, ou ceux dans d'autres campi. Je suis de Strasbourg, je peux témoigner de ce que les cadres locaux unef ont voté et fait voté. Si c'est possible pour eux, ça l'est pour tout le monde. C'est d'ailleurs ce qui est mis en débat (si les recours existent) aux TA. Il n'existe pas de témoignage de ville où le processus électoral ait été totalement interrompu.
L'humilité de la Fage au CROUS et CNOUS s'adresse aux étudiants, dans un contexte où le choix de ceux qui sont allé voté peut largement s'expliquer par des motivations contextuelles plus que partisanes. (Refus des blocages conjointement au refus du CPE, la Fage étant la seule orga Cnoussienne avec ce positionnement précis).
Normalité du CNESER : on évitera de canoniser un scrutin où certains cultivent l'invalidation de votes et où "normalité" signifie davantage "absence de recours administratif" que paix et harmonie.
Donc tu contestes bien aussi les résultats du CNESER ? Que des organisations présentant des listes opposées ne soient pas proches, cela ne me choque pas. Sur la normalité, il s'agit aussi de contestation verbale des résultats, pour le moment je n'en ai point vu. FP 19 juillet 2006 à 16:13 (CEST)
Non, je conteste pas, je m'amuse à relativiser ton propos. Histoire de dire que tout le monde ne fait pas un foin de ses défaites, malgré le climat qui règne en salle de dépouillement. Mais ce n'est pas là l'essentiel de mon propos. Spacky 19 juillet 2006 à 16:53 (CEST)
Je le dit, à fortes différences contextuelles, très faibles différences de représentativité des forces en présence. Quant à la représentativité des étudiants elle-même, considérer le CNESER meilleur que le CNOUS, revient à comparer la longueur des cure-dents pour choisir celui qui remplace le mieux la poutre maitresse. Spacky 19 juillet 2006 à 15:40 (CEST)
Tu peux expliquer de façon plus approfondie ? C'est la question centrale de notre petite discussion. FP 19 juillet 2006 à 16:13 (CEST)
D'une, la différence de représentativité entre les scrutins 2006 et antérieurs est non significative (voir plus haut, c'est assez détaillé). De deux, politiquement, les deux instances nationales sont pareillement représentatives des élus locaux en présence, et donc des capacités politiques des orgas concernées (faut vraiment démontrer l'évidence?). De trois, élues au suffrage indirect par des élus ne bénéficiant, chroniquement, que d'une faible représentativité, et dans l'indiférence des étudiants, ni CNOUS ni CNESER n'ont de représentativité étudiante suffisante pour que la comparaison de l'un à l'autre, sur ce thème, soit autre chose que de l'enculage de mouche.

En une phrase : CNOUS et CNESER 2006, comme antérieurs, sont semblablement représentatifs des forces politiques et non représentatifs des étudiants. Spacky 19 juillet 2006 à 16:53 (CEST)

Les problèmes de participation des étudiants aux élections est effectivement problèmatique. Mais je ne te suis pas sur la suite, notamment lorsque tu amalgames un taux de participation faible (élections autres que 2006) et l'ensemble des événements qui ont eu lieu cette année (déjà listés plus haut). Nous ne sommes en aucun cas dans le même registre, et ceci doit amené à considérer avec "humilité" ces résultats dont la signification est très faible (il y avait d'ailleur souvent qu'une orga qui faisait campagne). Au contraire, nous avons des élections au CNESER qui se sont déroulés normalement et qui peuvent servir de référence à l'analyse. FP 20 juillet 2006 à 16:45 (CEST)
Les problèmes de participation des étudiants aux élections est effectivement problèmatique et te suis pas sur la suite,tu fatigues? ;-) Les conditions du scrutin ont eu un impact sur la participation et le résultat. Mais je nie qu'il soit prouvé que ce fusse un empêchement de voter qui soit à l'origine du score de la Fage. Celà aurait pu être prouvé,mais ce n'est pas le cas. Au rang des hypothèses, avec celle-ci, on trouve également l'idée que pour certains votants, le vote Fage (anti-cpe ET anti-blocage) a été une "résistance" au blocage, non seulement des facs, mais aussi des processus démocratiques (crous et référendums dans certaines villes). Je peux citer l'exemple d'amphis entiers qui se sont vidés en plein cours à l'anonce de la fermeture de certains bureaux de vote, leurs étudiants étant allé voter par résistance. On ne saura jamais si les participants potentiels perdus auraient voté unef ou fage. Ce que je sais, c'est que les bureaux attaqués à Strasbourg étaient des points de vote historiquement très favorables à la fage, et que dans 100% des points de vote du Collège de Strasbourg, l'Afges (Fage) a sensiblement amélioré ses résultats, parfois en nombre de voix, lors de ce scrutin. Ensuite, moitié moins de participant, celà a donné 5% d'abstention en plus. Donc oui, les dérives de certains épiphénomènes anti-cpe ont fortement affecté le taux de participation, mais non, celà n'a que faiblement agravé la représentativité du scrutin, pour ce qu'il en restait au départ. En fait, je fait le distingo entre représentativité et légitimité. La représentativité, j'ai dis ce que j'en pense, qu'elle n'est pertinente qu'en matière de forces en présences (l'une part rapport à l'autre). La légitimité est l'affaire des TA, et de la conscience de chacun. "L'analyse" serait incomplète en négligeant le rôle des élus crous de la fage pour les deux années à venir. Ces élus existent et votent, c'est un fait. Je ne te suis pas sur l'idée que souvent une seule orga aurait fait campagne. A Strasbourg, la FEDER a également "défendu" des bureaux de vote et fait campagne. Spacky 20 juillet 2006 à 17:36 (CEST)
L'hypothèse la plus simple est souvent la meilleure : ont obtenu de bons résultats, les organisations ayant fait campagne. Dans de nombreuses universités où peu d'orgas étudiantes sont présentes, la FAGE a fait campagne toute seule (donc heureusement que son score s'est amélioré, sinon il y aurait effectivement un gros problème !). Dans quelques autres univerités plus importantes, il y avait d'autres petites listes mais rien de très construit (sauf quelques rares execeptions locales). Tu dois savoir que la détermination par un étudiant de son vote est souvent fait à la dernière minute... cette élection n'a donc que peu de portée et ne peut réellement servir de classement à la représentativité. FP 21 juillet 2006 à 10:02 (CEST)
Ben tu vois, je suis content aujourd'hui. Donc d'après toi, le scrutin n'est pas représentatif parce que, en fait, l'Unef n'a pas fait campagne? Et si la détermination par un étudiant de son vote est souvent fait à la dernière minute, je vois pas en quoi le Crous 2006 est moins représentatif. D'ailleurs, toujours selon ton raisonnement, qui s'appuie sur des théories marketting, saches qu'avec la notoriété habituelle dont elle jouit, et la surmédiatisation qu'elle a connu (genre Bruno Julliard à Canal+ :-D) à cette époque, l'Unef n'avait vraiment pas de quoi se plaindre. Spacky 21 juillet 2006 à 10:50 (CEST)
N'ayant jamais fait de marketing, je serais curieux que tu m'indiques quelle thèorie je suis censé utiliser (même si je doute qu'il existe des théories en marketing...). Sinon je ne pense pas que le lien au média soit important, la présence de terrain est beaucoup plus importante. Et effectivement, le fait qu'un ministre fasse du chantage sur l'organisation d'une élection, puis qu'une organisation importante appelle au boycott de ces élections (en plus de tous les autres éléments déjà cités ci-dessus, facs fermées et autres...), amène à relativiser le sens des résultats et à les prendre avec humilité. Ce que tu ne sembles pas prêt à faire, puisque si l'on t'écoute tout a été pour le mieux dans le meilleur des mondes puisque la Fage a gagné. FP 21 juillet 2006 à 16:28 (CEST)
Ton envie d'en découdre avec moi t'amènes à ramener notre discussion à une confrontation manichéenne alors que je passe mon temps à détailler les subtiles différences qu'il y a entre le comportement très stupide d'un ministre, les ciconstances d'un déroulement de scrutin et les résultats. Je vois pas ce qu'il y a de pénible à comprendre que rien de prouve que la défaite de l'Unef et/ou la victoire de la fage soit le résultat d'une injustice. Rien ne te permet d'affirmer qu'un taux de participation meilleur aurait eu un effet positif pour l'unef. Rien ne te permet d'affirmer que le surcroit d'abstention soit uniquement dû à l'empêchement d'aller voter qu'eut à subir une partie non déterminée de l'électorat. Les résultats sont à relativiser au regard des circonstances exceptionelles, et, je me répète, l'humilité de la Fage est tournée en ce sens à l'attention des électeurs, et certainement pas envers l'unef, qui doit assumer ses choix, et, qu'elle le veuille ou non, ne dispose que de 42 élus crous pour ce mandat en France, point barre. Tu parlais de courtoisie, la première serait de ne pas mettre de propos caricaturaux dans ma bouche alors que moi au moins j'essaie d'élaborer et de nuancer mon propos. Spacky 21 juillet 2006 à 17:11 (CEST)
Allez, ne monte pas sur tes grands chevaux pour contourner le débat. Sur le constat nous avons déjà dit que nous étions globalement d'accord, par contre tu n'en tires toujours pas d'enseignements. Avant de tourner l'humilité vers les étudiants, il faut se l'appliquer à soi-même. Il n'est à ce titre pas sérieux de revendiquer un classement suite à ces élections, contrairement à celles du CNESER pour lesquelles, et nous sommes aussi d'accord sur ce point, il n'y a pas eu de problèmes. FP 22 juillet 2006 à 12:45 (CEST)
Je me passerai volontier de ta condescendance. D'ailleurs, c'est toi qui contourne la question : "En quoi le doute que tu soulèves (et qui n'est qu'un doute) sur la représentativité étudiante du scrutin CNOUS 2006 le rend moins significatif de la distributions des mandats locaux 2006 (Crous) que ne l'est le CNESER vis-à-vis des élus centraux?" Bonne chance. Spacky 23 juillet 2006 à 17:14 (CEST)
Je pensais que nous étions d'accord sur les faits (et non les doutes) qui ont perturbés ces élections CROUS. Et que nous étions aussi d'accord sur le fait que les élections au CNESER s'étaient bien déroulés. Libre à toi bien sur de changer d'avis mais il faut à ce moment là que tu expliques ce revirement... FP 24 juillet 2006 à 15:16 (CEST)
Décidemment!!! Les faits sont les faits. Etre d'accord sur les faits, celà n'a jamais signifié agréer les conséquences que tu en infères. Tu ne reponds pas à la question. Re-bonne chance. Spacky 24 juillet 2006 à 16:11 (CEST)
Tout simplement l'ensemble des faits, sur lequel nous sommes d'accord (?), et la contestation d'organisations (participantes ou non à ces élections). Les médias ne s'y sont d'ailleurs pas trompés dans leurs analyses des résultats. Et au contraire, tu as une autre élection s'étant déroulée normalement. Bref, ce que je te dis depuis ma première intervention dans cette discussion. Tu devrais relire un peu tout cela... FP 25 juillet 2006 à 10:08 (CEST)
Rappelons qu'à la fin des années impaires (deonc systématiqeuement 6 mois avant les élections CNESER et CNOUS), il y a un mouvement étudiant lancé ou rejoint par l'unef. Doit-on pour autant en conclure que les élections devraient se dérouler un an plus tard, afin d'échapper à cette malédiction ? Doit-on considérer que les chiffres de 2004 sont faussés par des manifestations contre le LMD (basés sur des accusations qui étaient démenties par les textes mêmes du LMD) ? --- Lupin 19 juillet 2006 à 15:45 (CEST)

[modifier] Auto promo

En regardant par hazard cet article, j'ai vu qu'un paragraphe est consacré à Montpellier. Je me suis d'abord demandé pourquoi cette ville a un traitement de faveur (j'étudie à Montpellier 3). Ensuite, j'ai lu que certaines personnes que je connais sont dans cette section. Mes activités associatives font que j'assiste régulièrement à des réunions en particulier au sein de la commission de la vie étudiante. Dans l'historique, je me suis rendu compte que la personne qui a créé cette section est un certain Nicodebeziers. Dans l'article, il écrit au CROUS de Montpellier (dont le vice-président étudiant, Nicolas ANOTO, est issu de l'Unef. Le problème est que Nicodebeziers et Nicolas Anoto ne sont qu'une seule et même personne (désolé M. Anoto, vous êtes démasqué). Le connaissant peronnellement, je peux affirmer et confirmer mes propos. Donc, jécris ce message non pas pour reverter ses modifs, mes juste pour dire que je trouve assez dommageable que cette personne ait écrit sur elle-même. La prochaine fois que le verrais, je lui parlerais de mon message, en lui demandant si le combat personnel ne prend pas le pas sur l'aspect politique... Jeanfi 10 avril 2006 à 19:19 (CEST)

  • Réponse: Le fait que Nicolas Anoto soit Nicodebeziers n'est pas très dur à trouver c'est dans ma présentation personnelle, où tous mes engagements sont aussi détaillés! Il me semble que tes propos ont plus à voir avec une rivalité personnelle (ton assoss qui coule par exemple) qu'avec un zèle wikipedien. Donc corrige ce que tu crois devoir corriger, nous sommes tous deux historiens, soucieux de précision et d'exactitude. De manière plus objective, il est vrai que l'écriture d'articles par des personnes engagées a ses avantages (une connaissance pointue) et ses travers (subjectivité et mise en avant). Enfin, un militant de l'UMP qui juge l'Unef et ses militants n'a pas de remarques à me faire en matière de subjectivité. Nicodebéziers
Cela n'apporte rien à la compréhension du fonctionnement de l'unef, et ressemble beaucoup à de la pub. À gicler selon moi, où à compléter pour apporter une réelle plus-value motivant son intégration dans cet article.--- Lupin 15 juin 2006 à 12:51 (CEST)

[modifier] Representative ou pas

Le fait qu'elle n'est pas forcement representative de l'ensemble des étudiants n'a pas de loin avec sa reconnaissance comme representative par le ministère. La seule chose qu'indui le fait d'etre reconu representatif par le ministère c'est de devenir un interlocuteur lors de négociation. Treab 16 avril 2006 à 20:39 (CEST)

Une orga est dite représentative dès lors qu'elle a un élu. Cela n'est donc pas significatif de la représentativité des étudiants mais de la représentativité des 5% des étudiants qui votent.--- Lupin 4 juin 2006 à 19:07 (CEST)

[modifier] utilité publique

il serait peut être bon d'apporter des précisions sur l'époque ou a été donné cette reconnaissance et ce qu'était l'UNEF en 1929, car comme cela dans l'introduction sans le contexte, c'est pas terrible. Papillus 9 mai 2006 à 19:29 (CEST)

On peut faire les deux. Indiquer d'une part dans l'intro que l'UNEF a ce titre (il ne lui a pas été enlevé) et d'autre part si tu veux bien ajouté les explications sur l'obtention dans la partie historique, ce serait très intéressant. FP 10 mai 2006 à 22:20 (CEST)
J'ai pas vraiment plus d'info que ce qui est marqué dans la partie histoire, juste que je trouve que dans l'intro c'est un peu déplacé puisque ce n'est pas l'UNEF tel qu'elle est maintenant qui a reçu cette reconnaissance mais l'UNEF de 1929 qui était très très différente de l'UNEF actuelle. C'est a mon sens a la limite de la malhonnèteté intellectuelle. Mais bon je vais pas embeter plus longtemps le monde sur ce détail.

P.S : As tu des exemple d'associations a qui on a retiré cette distinction ? Papillus 11 mai 2006 à 19:53 (CEST)

En fait, je l'ai ajouté après l'avoir vu sur un document à entete (il y avait un autre titre mais je ne me souviens plus...). Le titre me semble donc toujours utilisé et a priori les critéres pour l'attribution sont toujours respecté : [[11]]. Je n'ai par contre pas d'exemples de retrait, c'est à fouiller. FP 12 mai 2006 à 19:05 (CEST)

[modifier] Logo

Il me semble que le logo appelé "Un ancien logo de l'UNEF" est plus précisément un ancien logo de l'UNEF dite Solidarité Etudiante. Ce syndicat, se voulait l'héritier de l'UNEF par opposition à l'UNEF-ID qui était considérée, par eux, comme scissionniste. En conséquence de quoi, ils utilisaient un logo estampillé "UNEF" et non pas "UNEF-SE". A noter que l'UNEF-ID faisait l'analyse exactement inverse de la situation et, se considérait comme la véritable héritière de la « grande UNEF ». Toutefois, en externe, l’UNEF-ID a préféré se présenter sous son nom complet. A ce sujet, les deux UNEF se sont affrontées plusieurs fois devant les tribunaux pour savoir qui avait le droit d’utiliser la dénomination « UNEF ». Par convention, et pour éviter toutes confusions, on a l’habitude de distinguer les deux UNEF en les appelant, UNEF-ID et UNEF-SE (UNEF-Renouveau avant 1982). Si je ne me trompe pas, je pense qu'il serait préférable que la légende soit modifiée et devienne « Un ancien logo de l'UNEF-SE » ou « Un ancien logo de l'UNEF dite Solidarité Etudiante » ce qui permettrait de respecter l’esprit du logo.

Chamole 16 mai 2006 à 14:08 (CEST)

Tout à fait d'accord sur le fond: ce logo est bien celui (le dernier, sauf erreur de ma part) d'une des deux UNEF qui ont coexisté entre 1971 et 2001, celle du congrès de Paris, dite parfois Renouveau puis Solidarité étudiante.

Une précision cependant. Il n'y a pas de symétrie entre celle là et l'UNEF-ID sur la question du nom, comme tu sembles le penser. Jusqu'en 1980, il y avait, comme l'a constaté sans trancher la justice, deux organisations qui prétendaient être l'UNEF, ayant les statuts de 1969 de l'UNEF, appelées le plus souvent l'une US, l'autre Renouveau, des noms des tendances de l'ancienne UNEF qui les avaient créées.

En 1980, en fondant avec d'autres l'UNEF-ID, l'UNEF dite US rompt avec son attitude précédente. Si elle continue à revendiquer la continuité historique, comme tu le dis, elle renonce au nom, et aux statuts. De nouveaux statuts sont déposés, de l'UNEF ID.

En revanche, il n'y a jamais eu de statuts déposés par une UNEF-SE. Il n'a jamais existé officiellement d'organisation de ce nom-là. Il ne s'agit même pas d'une "convention" comme tu le dis, mais d'une position unilatérale de l'UNEF-ID d'alors, pour nier le droit de l'autre UNEF au nom et à la continuité historique. Cette position a été, bien sûr, reprise par la seule UNEF, dite réunifiée, existant depuis 2001. Elle l'est aussi, c'est plus amusant, par la FSE, née de la scission de l'UNEF Caen, qui n'en est pas à une erreur historique près. Elle n'en est pas moins fausse.

C'est pourquoi la meilleure formule, la plus neutre, me semble UNEF dite parfois Solidarité étudiante (quand je suis d'humeur polémique, ailleurs qu'ici, il m'arrive de parler de l'UNEF, la vraie, celle qui n'a jamais été ni indépendante ni démocratique)

Emmanuel Lyasse 6 septembre 2006 à 17:21 (CEST)

[modifier] Liens

Après l'aparition des liens des AGE, on eut celle des liens critiques, puis leur disparition, puis de nouveau de liens critiques. Parmi les liens actuels, certains ne me paraissent pas des sources très fiables et d'autres pas directement liés à l'UNEF. Je propose qu'on s'en tienne au site web officiel de l'UNEF, comme c'est le cas pour les articles des autres organisations étudiantes représentatives, c'est plus clair comme choix et ça permettra d'éviter toute controverse.

Uniquement des informations de propagande, ça me paraît bien ... Mathounette discuter 16 mai 2006 à 19:15 (CEST)

Un nouveau lien est apparu :

Ce lien ne me parait guère pertinent. Il s'agit d'un petit site d'une AGE de l'UNEF-SE (ou d'une partie de celle-ci) ayant refusé la réunification. En outre, je n'ai pas trouvé grand chose de critique sur la dite réunification (au passage le terme "liquidation" dans le lien ne me parait pas vraiment neutre). Il n'y a guère plus que ce petit paragraphe : "Nous appelons à la résistance syndicale. Ce site est celui de l'UNEF qui résiste à la liquidation du syndicalisme étudiant en France, qui refuse la prétendue réunification décrétée par l'UNEF-ID et la direction illégitime de l'UNEF en juin 2001.". Je supprime donc le lien. Chamole 18 mai 2006 à 10:55 (CEST)

1/ Le terme "réunification" est autant subjectif que celui de "liquidation". Rappelons qu'en juin 2001, au Congrès de l'UNEF, seules deux AGE y étaient présentes ; les autres ne se sont pas déplacées car le Congrès n'avait pas été réuni statutairement. Rappelons que moins d'un an auparavant, le Congrès d'Orsay avait refusé une réunion d'appareil, inutile aux étudiants.
2/ L'AGE d'Evry a été membre de l'UNEF à partir de sa recréation en 1995 et jusqu'à juin 2001. La présence de son site dans ces liens est dès lors légitime.
3/ Après 2001, les syndiqués de l'UNEF-Evry, avec l'AGEL-UNEF et l'UNEF P1 ont créé le réseau UNEF-Résistance Syndicale, pour participer aux rassemblement des AGE dispersées depuis la liquidation. Ces éléments ont aussi leur intérêt sur une note consacrée à l'histoire de l'UNEF.
4/ Les élèments sur la liquidation se trouvent dans la rubrique "Qui sommes nous ?"
1/ Ce site n'est pas et n'a jamais été celui de l'UNEF Evry (qui était http://evry.unef.org), mais un site dont l'UNEF Evry était propriétaire, qui a été le site commun de plusieurs AGE de l'UNEF (dite parfois Solidarité étudiante), en dernier lieu celui du réseau UNEF Résistance syndicale, auparavant celui des AGE opposées à l'unification avec l'UNEF-ID
2/ Il est vrai qu'il est, dans son état actuel, très en désordre et peu clair. Sa dernière mise à jour correspond à la dernière tentative de faire vivre le réseau UNEF Résistance, qui fut un échec rapide.
3/ On y trouve cependant, aux rubriques "Qui sommes-nous ?" et "Forum", des documents précieux sur ce que fut ce que certains appellent la réunification de l'UNEF.
4/ Aucun doute: le terme "liquidation" est polémique. Mais parler de "réunification" est, beaucoup plus simplement, totalement faux. Il y avait depuis la crise de 1971 deux UNEF, dont l'une avait pris le nom d'UNEF-ID en 1980. Le fait est qu'il y a eu, sinon liquidation, disparition de celle qui n'était pas ID durant l'année 2001. Quelques-uns de ses adhérents, dont sa dernières présidente, Karine Delpas, ont adhéré à l'autre qui a alors repris le nom d'UNEF. Vu leur petit nombre, et vu la faible part qu'ils représentaient dans la nouvelle UNEF (un vice-président, puis plus rien), il n'est pas sérieux de parler d'unification ou de réunification.
5/ Pour conclure sur le lien, il me semble beaucoup plus à sa place dans l'article sur l'UNEF dite parfois SE
Emmanuel Lyasse 6 septembre 2006 à 17:52 (CEST)


[modifier] Proposition d'article de qualité refusée le 29 mai 2006

Cet article a été proposé comme article de qualité mais a été rejeté car ne satisfaisait pas les critères de sélection dans sa version du 29 mai 2006 (historique).
Si vous désirez reprendre l'article pour l'améliorer, vous trouverez les remarques que firent les wikipédiens dans la page de vote.

[modifier] Mouvement de la recherche

Vu que SLR a lui-même estimé que les 3000 emplois donnés par le gouvernement sont un mensonge (renouvellements d'emploi et, je crois, emplois déjà promis entre autres), j'ôte la seconde partie de la phrase qui concerne cela.--- Lupin 4 juin 2006 à 19:13 (CEST)

[modifier] CPE

Vu que l'unef s'est vue accusée de vouloir noyauter la coordination nationale, je ne suis pas sûr que préciser que des militants unef étaient à cette coord, d'autant plus qu'ils y étaient en tant que représentant de leur université et non en tant qu'unef.

Les élections CROUS ayant lieu avant tout dans les locaux du CROUS, le bloquage des universités empêchait moins les élections que ne l'ont fait les tentatives de fausser les élections (vols et bourrage d'urnes, etc.). Avancer que ces bourrages ont eu lieu dans des universités où l'unef faisait de bons résultats sous-entend que ce sont des militants anti-unef qui ont fait cela et que c'est cela qui a engendré la baisse de l'unef dans toutes les universités où elle a perdu des voix. Or

  1. le mouvement avait engendré des mécontents, il est probable qu'ils aient voté contre l'unef qui s'affichait comme organisatrice de ce mouvement ;
  2. dans la plupart des cas parvenus à mes oreilles, des militants unef étaient impliqués ;
  3. c'était l'unef qui avait revendiqué et en partie organisé la mobilisation, ses militants étaient donc présents sur place (dans les universités où ils faisaient des élus les années précédentes). Cela rend étonnant que ces militants présents aient laissé faire des manoeuvre visant à fausser les élections.

Bref, cette partie n'est pas très crédible. Alors plutôt que de laisser une guerre de on-dit prendre place sur une page d'information, je propose d'enlever ces sous-entendus.--- Lupin 4 juin 2006 à 19:33 (CEST)


L'unef avait appellé au boycott de ces elections , tout en presentant ses candidats aux elections. Ca c'est verifiable sur le site officiel. De plus, dans ma faculté, parmi les gens presents au Comité de mobilisation anti CPE il y avait des gens de l'unef, et aux AG ils se presentaient en temps que membre de l'unef. Apres ailleurs je sais pas. Voilà ce que je sais de mon coté. J'espere que ça pourra aider Sebgob 5 juin 2006 à 06:49 (CEST)

Dans les faits, c'est ce qu'ils annoncaient certes, mais c'était en dépassant le cadre de leur mandat car ils étaient élus en tant que représentants de leur fac et non en tant que représentants unef.--- Lupin 15 juin 2006 à 10:58 (CEST)

[modifier] Adhérents au PS

Bakou, « même si la grande majorité des adhérents font ou feront partie du Partie Socialiste » n’est pas une phrase acceptable :

  • « font » à la rigueur, si tu as une source crédible, publiée et objective.
  • « feront » n'est pas encyclopédique.

Keriluamox 5 juin 2006 à 10:46 (CEST)

J'abonde dans le sens Keriluamox, on ne vient pas lire une encyclopédie pour trouver des on-dit.--- Lupin 15 juin 2006 à 11:01 (CEST)
Faut avoir des preuves écrites pour savoir que les adhérents de l'UNI sont à l'UMP (ou au FN..)?
C'est de notoriété publique que l'immense majorité des militants de l'UNEF sont aux MJS ou au PS, il faudrait vraiment être malhonnête pour le nier. Pourquoi ne pas vouloir refléter la réalité de la vie syndicale étudiante?
Oui : la « notoriété publique » ne permet pas d’établir un fait dans une encyclopédie, surtout pour une affirmation aussi tranchée. Désolé, mais la charge de la preuve incombe à celui qui avance quelque chose. Keriluamox 5 juin 2006 à 11:11 (CEST)
Nombre d'adhérents revendiqués par l'Unef : 25 000, nombre d'adfhérents revendiqués du MJS : 5 000 (pas tous étudiants), même en sachant que ces chiffres sont faux, la proportion est la même sur les vrais chiffres.Fredtoc 5 juin 2006 à 16:03 (CEST)


Argumentaire stupide: premièrement tu cites des chiffres en sachant de ton propre avoeu qu'ils sont faux, pourquoi els citer? ; deuxièmement si tu sais que la proportion est la même avec les vrais chiffres, c'est que forcément tu connais ces chiffres, alors pourquoi ne pas les communiquer? De quoi être très très sceptique..

Bakou.

Je prends les chiffres officiels, car à moins d'autres sources se sont les seuls que l'on peut considérer. Par ailleurs, les chiffres "vrais" qui circulent donnent une même proportion entre les deux orga, mais il est impossible de citer une source consultable en dehors de témoignages ou d'estimations personnelles, donc recours aux chiffres officiels, qui montrent clairement qu'il y a 5 fois plus d'adhérents à l'Unef qu'au MJS. et donc que la majorité des adhérents de l'Unef ne sont pas membres du MJS. Fredtoc 10 juin 2006 à 03:52 (CEST)

Tu prends comme hypothèse que toutes ces orga trafiquent leurs chiffres en ajoutant un même pourcentage fictif de membres au nombre de membres réel, ce qui est loin d'être évident...--- Lupin 15 juin 2006 à 11:01 (CEST)
Je ne prends pas ça comme hypothèse pour toute les orgas, seulement, il se trouve que je connais un peu les deux orgas, à la fois de l'intérieur et aussi dans le cadre de mes recherches, et en écoutant les uns et les autres j'en ai déduit que c'est le même facteur multiplicateur qui est appliqué dans les deux. Fredtoc 15 juin 2006 à 14:32 (CEST)
La polémique serait beaucoup plus intéressante si on avait une estimation du nombre de militants ACTIFS à l'UNEF, c'est-à-dire pas les encartés dont beaucoup ne mettent jamais les pieds aux AG etc de l'UNEF. Que l'ensemble des encartés UNEF ne puisse pas rentrer dans le MJS - une orga qui comporte lycéens, chômeurs/salariés en plus des étudiants - c'est une évidence...--Bahlsen 23 juillet 2006 à 18:30 (CEST)
L'UNEF se voulant une organisation de masse, et non une organisation d'activistes, il n'y a pas de distinction officielle entre adhérents et militants, alors je serais curieux de savoir comment compté les militants "actifs" ?? Pour l'instant, la seule solution est de s'appuyer sur les chiffres donnés par l'organisation (qui varient d'ailleurs au fil des divers entretiens donnés dans la presse) en le corrigeant par les résultats électoraux que l'on peut releverFredtoc 23 juillet 2006 à 20:21 (CEST)
Il y a une technique simple pour compter le nombre de militants actifs: prendre la liste électorale soutenus par l'unef présentée à la LMDE. Voici le lien: Liste LMDE. On compte à peu près 400 militants actifs. Après ça, il faudrait recoupé avec liste des adhérents du mjs ou de la JCR (pour les membres de la TTE) pour savoir la proportion d'encarté dans les deux organisations. Ben21 29 août 2006 à 15:06 (CEST)
Je suis pas certain de ta technique, par exemple tous les membres du BN ne sont pas sur la liste, il y a auss des gens qui ne sont plus à l'Unef dessus, ça peut donner une vague approximation mais pas de certitude.Fredtoc 29 août 2006 à 20:16 (CEST)

La phrase " la grande majorité des adhérents font ou feront partie du Parti Socialiste" est tout simplement fausse. La majorité des adhérents ne sont pas et ne seront jamais au PS. En revanche, le fait est que tous les dirigeants nationaux de l'UNEF-ID puis de l'actuelle UNEF depuis 1986 appartiennent soit (pour la majorité) à certains courants ou sensibilités du PS (en général minoritaires) soit (pour une des minorités) à la LCR. C'est vrai aussi pour la quasi totalité des présidents d'AGE.

Il est aussi absurde de répéter UNEF=PS que de parler d'indépendance politique.

Aujourd'hui, la direction du MJS et celle de l'UNEF relèvent du même courant du PS (le NPS). Mais

1) C'est la première fois dans l'histoire de ces deux organisations

2) Il s'agit d'une minorité du PS

3) Ça ne veut pas dire qu'il s'agisse des mêmes personnes. La direction du MJS vient des rocardiens de Nouvelle gauche, celle de l'UNEF des anciens de chez Dray passés via Mélenchon à Emmanuelli.

4) Ça ne devrait pas durer, NPS étant en train d'exploser.

--Emmanuel Lyasse 10 septembre 2006 à 16:06 (CEST)



Le mélange des genres est certain, leur manifestation pérenne. Prenons un exemple : l'ancienne responsable de la Région parisienne au sein de l'UNEF est aujourd'hui administratrice de la LMDE et secrétaire nationale... du MJS ! Certes tous les adhérents (loin s'en faut !) ne sont pas encartés mais:


1. tous les cadres le sont (au PS); ces cadres sont ceux qu'on retrouve par exemple sur les listes LMDE (camarades présumés sûrs, représentant une sensibilité de NPS (AS ou rocardiens) )


2. (qui modère un peu le 1.) certains "cadres" (3 ou 4 nationalement) émargent à la Ligue, mais c'est vraiment anecdotique (payés par l'UNEF, ils sont la caution d'une orga socialiste... comme le dit le proverbe, on ne mord pas la main qui nous donne à manger)


3. l'UNEF n'existe que par ses cadres ! sans eux, rodés aux discours militants tant syndicaux que politiques, elle n'existe pas ! les adhérents n'ont de valeur pour cette organisation d'avant-garde (et non de masse malgré ce qu'on essaie de faire avaler aux plux crédules) que s'ils deviennent les cadres de demain


4. Sauf à croire qu'ils souffrent tous d'un dédoublement de personnalité, il est évident que les cadres UNEF, tous ou presque (confer la caution en 2.) militants PS, ne sont absolument pas indépendants de leurs courants du PS ; si on est loin des présidents de l'UNEF qui tenaient des AG avec Julien Dray au bout du fil (Pouria, Carine, et même s'il s'en défend quelquefois Yassir dans les 1ers temps), il faut être sacrément myope pour croire que Bruno Julliard n'a pas de temps à autre le vieux Riton au bout du fil (pour parler de météo bien sûr !)


5. Le Yalta des jeunes de gauche entre les groupes NG et AS (pour les mal réveillés, ex-NM, ex-GS) a l'air de tenir, n'en déplaise à Emmanuel Lyasse. Est-ce une entente raisonnée, l'équilibre de la terreur ( capacité de nuisance au moins médiatique des 2 ) dans chaque orga tenue ? En tout cas le leadership partagé dans la LMDE, la direction NG au MJS, AS à l'UNEF, et donc la répartition des postes alimentaires ( un permanent ici, un salarié là...) qui en découlent sont toujours d'actualité.


Kadare http://fr.wikipedia.org/wiki/Utilisateur:Kadare; kadare@ifrance.com

C'est un véritable réquisitoire de Kadare !

En gros l’UNEF est une organisation socialiste (dans le sens liée au PS) qui fait semblant de ne pas l’être. Selon Kadare donc, un petit groupe de cadre PS tirent les ficelles dans l’ombre, avec la bénédictions de quelques leaders nationaux : Dray par le passé, « Riton » actuellement et j’imagine qu’on pourrait en ajouter quelques autres comme B. Hamon… Pour masquer leur complot, car dans ce cas il s’agit bien d’un complot, nos « cadres socialiste »s ont trouvés deux parades :

1)Mettre en avant un nombre important d’adhérents ou militants « pas sur » non encartés politiquement donc réputé neutre mais ne disposant pas du pouvoir réel

2)Acheter quelques militants de la LCR (« payés par l'UNEF, ils sont la caution d'une orga socialiste ») pour donner une impression d’ouverture

Personnellement, il me semble que si les liens entre l’UNEF et le monde politique sont avérés et ce, depuis fort longtemps, il ne faut pas en exagérer la portée. D’autre part limiter l’UNEF au NPS me paraît faire peu de choses de l’unité syndicale qu’entend représenter l’UNEF. En outre, il existe à l’UNEF des minorités issus d’autres courants : DEMOS, Tendance tous ensemble et Tendance refondation syndicale.

D’autre part, Kadare nous dit que « l'UNEF n'existe que par ses cadres ». Il me semble que ce n’est pas le cas. Ce sont les militants qui font vivre l’UNEF. Ce sont eux qui collent les affiches, distribuent les tract, font signer les pétitions, siègent dans les conseils, tiennent les coopératives (maison de l’étudiant). Bref ce sont eux qui par leur action quotidienne créent le rapport de force, rendent l’UNEF populaire (ou impopulaire) parmi les étudiants, pèsent sur les conseils (UFR, CEVU, CA, CS ( ?), résidence, CROUS). Or ces militants sont rarement encartés politiquement ou alors, pas là ou on l’attendrait. Il n’est pas rare de trouver des étudiants d’extrême gauche dans les AGE de la majorité pourtant sensées être socialiste. Ce sont ces militants là qui font la différence. Or les « cadres socialistes » ne peuvent que donner une direction, un contenu idéologique à ce militantisme quotidien. Ils ne peuvent guère faire plus. Et si le BN (un nid de « cadre socialiste ») décide de lancer une campagne qui déplait aux militants. Ils ne la feront pas ou mal. Si le BN insiste, il prend le risque de décourager ses militants voir de les perdre. Dans tous les cas, il prend le risque de perdre de l’influence localement et par ricochet nationalement.

Je n’entends pas nier l’existence et le pouvoir d’influence des « cadres socialiste », je n’entends pas non plus affirmer que le pouvoir revient à la base (même si statutairement l’UNEF est une organisation démocratique). Je pense simplement que les choses sont plus complexes que ça. L’UNEF n’est pas une marionnette du PS ou du NPS ou de J. Dray dans le passé (il faut absolument que j’écrive un article sur la rupture de 93 et la tendance Indépendance et action de P. Amirshahi). L’UNEF est à mon sens un syndicat étudiant pas une machine à complot. L’UNEF se consacre avant tous aux problèmes étudiants et c’est je crois, la raison de son succès. Les cadres de ce syndicat ont presque tous fait le choix d’élargir leur champ de réflexion en rejoignant tel ou tel courrant politique. L’école de pensé a laquelle ils appartiennent leur donne une structuration idéologique qui se retrouve tout naturellement dans leur action militante. Mais cela ne veut pas dire que ça les rend nécessairement dépendant de tel ou tel parti. A mon avis, les limites de l’indépendance de l’UNEF peuvent se voir quand le PS est au pouvoir. Dans ce cas, l’UNEF prend-t-elle le risque de critiquer le gouvernement, de faire signer des pétitions, de mener des grèves ?

Pour finir Kadare c’est « petit groupe de personnes "de gauche" ». Qui exactement ? Des comploteurs aussi ? Des lambertistes masqués ? Des CFDTiste/Cé agissant dans l’ombre ? Peu importe. Je ne crois pas à la théorie du complot. Mais je me méfis toujours des luttes d’appareils dans la Wikipédia. Chamole 29 septembre 2006 à 12:37 (CEST)


Bon, alors évitons toute discussion sur les pages prévues à cet effet... et tenons-nous dès lors en à la version de l'histoire dite "racontée aux enfants" !

Je comprends bien les réticences de Chamole, eu égard à l'énorme travail d'affirmation de l'indépendance de l'organisation mené par I et A (bien loin de la tutelle socialiste pesant sur nos amis les Cambas, alors majoritaires), et à la vérité nous n'avons pas une position aussi éloignée qu'elle pourrait paraître.

Cela étant dit, je réaffirme mon propos sur la situation d'autonomie relative de l'UNEF vis-à-vis du grand frère socialiste, ou plus exactement de certains de ses courants ou sensibilités. Alors certes j'ai oublié certaines minorités (d'ailleurs socialistes à l'exception d'une seule !) de manière volontaire, mais leur existence et leur poids n'influent en rien sur la réalité des rapports de force de l'organisation.

Quand aux élections aux conseils, je ne souhaiterais pas revenir sur des jugements administratifs récents, qui ont évoqué le caractère "exotique" des constitutions de listes par l'UNEF... et les ont invalidées. ( je n'en suis absolument pas choqué, mais de là à vanter l'activité militante dans les conseils !)

Enfin, si cela te rassure, je n'émarge à aucun des groupes de "comploteurs" cités plus haut ( la théorie du complot, pareille à la mauvaise herbe, s'attache par dessus tout à pousser là où on ne l'attend pas) !


Kadare http://fr.wikipedia.org/wiki/Utilisateur:Kadare; kadare@ifrance.com

Je suis bien contant de constater que finalement on a pas une vision si différente des choses, d’autant que d’une part je ne nie pas l’existence de liens avec le monde politique (PS, LCR (au fait PC non ? Que sont devenus les héritiers de l’UNEF-SE ????)) et que d’autre part, je ne cherche pas à surestimer l’activité militante dans les conseils. Je suis conscient qu’elle est fort variable et, si la justice le dit, « exotique » à l’occasion. Mais bon, elle existe tout de même !

Enfin oublions les complots et écrivons ensemble de bon article sur l’UNEF. Chamole 3 octobre 2006 à 17:15 (CEST)

C'est curieux: une censure brutale semble soudain s'abattre sur tout ce qui évoque dans l'article les appartenances politiques des dirigeants des UNEF. Je me demande qui peut penser avoir intérêt à nier quelque chose d'évident: tous les présidents de l'UNEF-ID puis exID ont été soit à l'OCI, soit au PS (et dans des courants bien précis), tous ceux de feue l'UNEF dite parfois SE ont été au PCF. Comme le dit le paragraphe qui n'arrête pas de sauter, cela laisse ouverte la question de l'indépéndance politique. Mais prétendre le cacher est absurde.

Je réponds au passage à Chamole: les héritiers de l'UNEF dite parfois SE dans l'unique UNEF d'aujourd'hui, il n'y en pas. IL y a quelques communistes qui traînent et sont incapables de s'organiser de quelque façon que ce soit.

UNe question aussi sur "la tendance I et A de Pouria Amirshahi". Ne serait-il pas plus juste de parler de la tendance d'Emmanuelle Paradis et David Rousset ? Il me semble que Pouria y était venu tard, et dans un rôle secondaire. --Emmanuel Lyasse 19 octobre 2006 à 11:52 (CEST)

Je suis d'accord avec Emmanuel Lyasse sur l'absurdité de nier l'existence de relations entre les UNEF (UNEF dite Renouveau puis SE, US, ID et réunifiée) même si j'aime nuancer cet aspect des choses notamment dans le militantisme quotidien (cf. plus haut). Merci aussi à lui pour ces précision sur les ex-SE dans l'UNEF actuelle (je ne suis pas vraiment surpris de la réponse). Un dernier mot sur I & A, oui bien sur, il s'agit plus de la tendance d'Emmanuelle Paradis et David Rousset mais disons que Pouria Amirshahi est une personnalité plus connue du fait des ses responsabilités la suite. Chamole 19 octobre 2006 à 12:24 (CEST)

[modifier] Tendance dans l'introduction

(copié collé d'une discussion dans ma page, cela intéressera tout le monde je pense)

Pour ma part, je pense que tu as raison. Une organisation qui ne fonctionne pas en tendance ne signifie en rien que les gens qu'elles rassemblent ont tous la même opinion (ex:FO, CFDT, MEDEF, UMP, SUD étudiant...) Le problème qui est en fait posé est que il n'est indiqué nulle part que l'unef fonctionne par un système de tendance. Or, pour bien comprendre le fonctionnement interne de l'unef, on ne peut pas passer à côté du système de tendance (Répartition des postes BN, Président, Trésorier et SG,des AGE en fonction du poids de la tendance...). Il faut donc trouver une formulation plus neutre: "L'unef est la seule organisation étudiante qui reconnaît le droit de tendance. Cela consiste en le droit de se regrouper sur la base d'une orientation syndicale ouvertement défendue au sein du syndicat." Qu'en penses tu? Ben21 27 août 2006 à 15:12 (CEST)

Les tendances ont été brièvement décrites au paragraphe http://fr.wikipedia.org/wiki/Unef#Les_tendances

Il est possible de développer cette partie, mais il faudrait en parler en page discussion avant amha. La phrase telle que tu la tournes ne signifie rien d'autre que l'unef est la seule orga démocratique si tu ne définit pas droit de tendance, or je ne suis pas sûr que ce soit le bon endroit. Peut-être peux-tu développer une explication plus claire ? --- Lupin 27 août 2006 à 15:20 (CEST)

Le droit de tendance tel qu'il est conçu à l'unef n'est pas forcément démocratique. Il est vrai qu'on peut s'exprimer librement à l'intérieur du syndicat. Mais à quoi bon puisqu'il est stipulé à l'article 15 du Titre 6 du réglement intérieur de l'unef: "aucune tendance ne peut publiquement se servir de l'unef pour défendre publiquement ses positions. Dans ce sens, aucune tendance ne peut, par -dessus le syndicat, s'adresser publiquement aux étudiants en engageant la totalité de l'organisation." Drôle de conception de la démocratie... La tendance majoritaire pèse plus de 80% de l'organisation... Autant dire que les autres tendances n'ont pas grand chose à faire à par défendre ouvertement leur orientation syndicale (ce que j'appelle pisser dans un violon). Ben21 28 août 2006 à 20:41 (CEST)

Heureusement, non ? Il existe des orga où une tendance peut s'approprier une orga dans son ensemble !? Cela voudrait dire que les autres tendances seraient écrasées... Sur la tendance majoriataire à 80%, je crois que c'est récent et plutôt rare dans l'histoire de l'UNEF. Je crois qu'il existe aussi un niveau inférieur au sein des tendances (j'ai oublié le nom). FP 29 août 2006 à 10:39 (CEST)

Juste un petit mot pour réponde à FP. L'écrasante domination de la majorité (70 à 90% des voix) n'est pas si rare même si elle n'est pas la norme. On peut citer comme exemple les congrès de l'UNEF-ID de 1984 (91%), 1997 (79%), etc. Le score de la majorité dépend bien sûr de la bonne santé du syndicat mais aussi des alliances qu'elle arrive à susciter. Autrement dit sa capacité à fédérer plusieurs sensibilités (le "niveau inférieur" de FP)

Il me semble aussi intéressant dans l’article fonctionnement de l’UNEF, de dire un mot sur les tendances. Il faut aussi dire comment il fut faire pour créer une tendance, je crois qu’il faut l’appui de trois AGE (si ça n’a pas changé !). Il faut aussi dire ce qu’implique le droit de tendance : répartition des place au BN mais aussi dire que seule la ligne votée par les adhérents lors du congrès peut s’exprimer publiquement. Je verrais donc bien une phrase du type : « L’UNEF, reconnaît la possibilité pour ses adhérents de se regrouper en « tendance » sur la base d'une orientation syndicale ouvertement défendue au sein de l’association. Pour qu’une tendance soit reconnue, elle doit avoir le soutient d’au moins trois président d’AGE. Lors des congrès, chaque tendance présente un texte d’orientation sur lequel, les adhérents de l’UNEF doivent se prononcer. Le résultat de ce vote détermine d’une part l’orientation du syndicat que chacun devra respecter en externe quelque soit ses opinions, il permet d’autre part de faire la répartition des postes au Bureau national. » Voilà, une base de réflexion à améliorer.Chamole 29 août 2006 à 13:06 (CEST)

Le niveau inférieur est appelé "sensibilité". Les sensibilités de tendance sont totalement absentes des statuts de l'unef, elles ont été crées ex nihilo pour une raison qui m'est inconnue. En effet, défendre ouvertement une orientation syndicale au sein du syndicat semble être quelque chose de légitime, en tout cas pour les militants de l'unef. Mais défendre ouvertement une orientation syndicale au sein d'une tendance qui défend ouvertement une orientation syndicale au sein d'un syndicat qui défend une orientation syndicale semble tout à fait absurde. Ben21 29 août 2006 à 14:56 (CEST)

Les sensibilités, n'ont pas d'existences officielles. Elles sont en faite des tendances qui se sont alliers entre elles pour former une tendance plus grande et plus forte. Cet alliage est généralement issu d'un compromis entre des courants d'idées différents. Se structurer en sensibilité permet à chacun des courants de conserver son influence propre (s'assurer du respect des engagements du compromis, s’adapter aux évolutions de l'enseignement supérieur, s’assurer une bonne répartition des postes...). Une sensibilité peut quitter l'alliance et redevenir une tendance. On trouve des sensibilités pratiquement que dans la majorité nationale, même si historiquement des exceptions ont existés. Exemple, de tendance comprenant des sensibilités voir Tendance majorité nationaleChamole 29 août 2006 à 16:12 (CEST)Chamole 29 août 2006 à 16:12 (CEST)
Merci pour tes explications! Ben21 29 août 2006 à 18:37 (CEST)

Je propose d’insérer l’introduction suivante, d’une part dans le chapitre « Les tendances » de l’article sur l’UNEF et d’autre part sur la page « Catégorie:Tendance et sensibilité de l'UNEF ». Voici donc ma proposition :

« L’UNEF, reconnaît la possibilité pour ses adhérents de se regrouper en « tendance ». Le but d’une tendance, est de proposer une orientation syndicale qu’elle pourra défendre ouvertement à l’intérieur de l’UNEF. Pour avoir une existence officielle, une tendance doit être soutenue par au moins trois présidents d’AGE (section locale). Lors des congrès, chaque tendance présente un texte d’orientation sur lequel les adhérents de l’UNEF doivent se prononcer. Le résultat de ce vote détermine d’une part l’orientation du syndicat que chacun devra respecter en externe quelque soit ses opinions et permet, d’autre part, de faire la répartition des postes dans les instances nationales et locales. »

Qu’en pensez vous ? Chamole 8 septembre 2006 à 10:13 (CEST)

Cela me semble très bien. Juste à la fin je préciserais "de faire la répartition à la proportionnelle des postes...". FP 8 septembre 2006 à 11:44 (CEST)

[modifier] Services et structures créées ou partenaires

L'organisation de ce paragraphe vient d'être profondément modifiée. Dans la précédente organisation, j'avais tenté de donner du sens aux créations de structure, par ex : la FSEF marque le début d'intérêt de l'UNEF dans la santé, la création du régime suit, puis la mutuelle pour le gérer, puis une autre mutuelle quand la première disparaît... L'organisation actuelle n'en fait plus qu'une liste que peu de monde va lire. Classer par date est de plus redondant puisque la date de création de chaque structure est déjà indiqué. FP 28 août 2006 à 10:12 (CEST)

Pas d'objection à revenir au classement précédent alors. FP 30 août 2006 à 11:14 (CEST)

[modifier] Projet utopique

Bonjour, y aurait-il possibilité, à terme, de simplifier cet article gigantesque? Par exemple, on peut largement créée un article annexe avec la liste des anciens présidents et des membres célèbres...--Bahlsen 28 août 2006 à 17:21 (CEST)

Déjà en évitant les parties + sous-parties dans "Services et structures créées ou partenaires", cf ci-dessus. FP 28 août 2006 à 17:57 (CEST)

[modifier] Nombre d'adhérents

Au dernier collectif national de l'unef, le texte d'orientation précise dans le §1 intitulé "Pour un syndicalisme de masse" du II: "Pour que l'unef soit un outil syndical pleinement renforcé dans le contexte d'après CPE, il nous faut enfin réussir le pari de la ré-adhésion. Il s'agit d'un objectif fixé chaque année, mais avec peu d'effet au final. Réussir la ré-adhésion est pourtant nécessaire non seulement pour passer le cap des 20 000 adhérents, mais également pour en finir avec la sociologie de syndicat des 1ères années qui nous caractèrise parfois". Il y a donc bien 20.000 adhérents revendiqués et non 29.000.Ben21 29 août 2006 à 14:48 (CEST)

C'est pire que ça Ben21. Le texte que tu cites dit "passer le cap". L'estimation de 20.000 adhérents est donc une borne supérieure, pas inférieure.--Bahlsen 29 août 2006 à 16:24 (CEST)
J'y ai pensé aussi mais je me suis dit que l'expression "moins de 20 000 revendiqués" serait un peu provocatrice... Par contre, il est intéressant de constater l'élasticité du nombre d'adhérent revendiqués!

Plus haut, tu te demandais quelle était la proportion réelle de militant actifs comparé au nombre d'encartés. J'ai trouvé une technique simple et efficace: compter le nombre de militants inscrits sur la liste LMDE soutenus par l'unef: Liste LMDE. On compte à peu près 400 militants. Ben21 29 août 2006 à 18:24 (CEST)

Ta méthode donne une estimation a minima, vraiment a minima, car les élus à l'AG de la LMDE ne sont pas réunis si souvent, et leur présence importe peu une fois les administrateurs élus pour 3 ans.--Bahlsen 29 août 2006 à 20:42 (CEST)

Je pense que ca correspond à la réalité. Le dernier congrès de l'unef a rassemblé 700 délégués. Si on fais une moyenne entre les deux chiffres, on obtient 550. Voici la source: Congrès unef Ben21 30 août 2006 à 11:16 (CEST)

Pourquoi serait-il pertinent de faire la moyenne entre délégué de l'AG LMDE et du congrès de l'UNEF pour obtenir le nombre de militants actifs ? Quelque chose doit m'échapper... Pour info, il y avait 50 personnes au congrès de la FAGE, ça fait 50 militants actifs ?

Le chiffre de 600 colle a peu près, je pense, avec le nombre de militants qui se déplace pendant les CROUS. Par ailleurs, le CN de l'unef de juillet 2005 à rassembler 120 personnes. Je pense pas qu'il y a 10 000 militants de l'unef... Ben21 30 août 2006 à 11:16 (CEST).

D'où tires-tu ce chiffre de 120 participants au CN de juillet 2005 ?? Fredtoc 30 août 2006 à 13:29 (CEST)

J'ai pu avoir accès à un document confidentiel qui faisait le décompte du nombre des participants mais tu n'es pas obligé de me croire ;). Ben21 31 août 2006 à 1:16 (CEST).

Je veux bien te croire, cependant, ce chiffre me parait relativement faible, et je me demande si le document que tu as vu n'est pas la liste d'émargement du CN, c'est à dire la liste des présidents d'AGE et de la Commission administrative qui constituent le CN, mais l'Unef fonctionne avec des CN ouverts, c'est à dire qu'au delà des membres du CN, n'importe quel adhérents peut venir assister et participer aux débats, seul le droit de vote est réservé aux membres du CN.

Fredtoc 31 août 2006 à 14:10 (CEST)

Le nombre d'adhérents de l'UNEF ayant beaucoups augmenté depuis les dernières chaines d'inscriptions, le nombre de 29.000 adhérents peut être retenu, d'autzant que c'est celui qui est revendiqué officiellement.--Martin C. 11 novembre 2006 à 14:43 (CET)

Si vous voulez tout savoir, d'après une source orale qui n'engage que ma bonne foi, j'ai appris le véritable nombre d'adhérents de l'UNEF. Et oui, les couloirs du Bureau national sont parfois instructif, et certains de ses menbres peu prudents. Ainsi, derrière les chiffres gonflés de 20000 adhérents se cachent un total moins flatteur, évalué à environ 9900 et des bananes. Merci pour cette honnêteté la grande UNEF.
Spoutnik.

J'ai modifié le nombre d'adhérents revendiqués de 20 000 à 30 000. C'est ce qu'ils revendiquent depuis quelque temps, soit que leur sens de l'humour progresse, soit que leurs capacités artihmétiques soient en baisse. A noter une interview de Caroline de Haas par l'UGICT (http://www.generationmilitante.fr/archive/2007/03/05/entretien-n°2-caroline-de-hass-unef.html) où elle explique calmement qu'il n'y a en fait que mille militants actif. A mon avis, c'est encore bien au-dessus de la réalité. N'empêche: c'est la première fois que je vois le secrétaire d'une orga revendiquer 96% de fausses cartes. Ça leur est devenu tellement naturel qu'ils ne pensent même plus qu'il faudrait le cacher.--Emmanuel Lyasse 5 avril 2007 à 18:21 (CEST)

Je ne vois pas le rapport entre le nombre de militants et le nombre de fausses cartes. D'après toi, tous les adhérents non militants sont des fausses cartes. C'est dénigré complètement les adhérents à l'UNEF qui adhérent au idées mais ne sont pas prêts à "sacrifier" leurs études pour les défendre. À mon avis il n'y a aucun lien entre les deux. Pamputt 8 mai 2007 à 19:42 (CEST)


L'expérience m'a appris qu'en matière de chiffres des adhérents de l'UNEF, comme de beaucoup d'organisation, ceux qui savent ne parlent pas, et ceux qui parlent ne savent pas, et pour moi, les chiffres revendiqués sont moins loin qu'on ne le croit de la vérité, et beaucoup plus proches qu'à certaines autres périodes de l'histoire de l'UNEF, et qu'en attendant l'ouverture des archives, la seule source sur laquelle s'appuyer sont les déclarations des dirigeants identifiés, pas sur des déclarations anonymes attribuées à tel ou tel membre des instances. Par ailleurs, ce n'est un secret pour personne que l'UNEF compte beaucoup plus d'adhérents que de militants, comme c'est le cas dans beaucoup d'organisations Fredtoc 11 juillet 2007 à 17:35 (CEST)

[modifier] Tensions entre la TTE et la direction de l’UNEF

Dans Le Monde du 28 juillet, et dans cet article, il est question de fortes tensions entre la TTE et la direction de l’UNEF. Ces tensions déjà anciennes semble s’être renforcées suite à une différence de vue dans la gestion de la crise du CPE. Elles sont, semble-t-il, à l’origine d’agression physique entre militants de l’UNEF. Ces graves incidents, plus les problèmes spécifiques de Paris VII, ont conduit la direction à suspendre puis exclure des militants de la TTE. J’ajoute que dans l'aticle sur la Tendance tous ensemble, le chapitre « Suspension de membres de la TTE de l'UNEF en 2006 » a été supprimé au motif que je cite « Rv ces membres sont suspendus car ils sont membres de la JCR ». Est-ce à dire que l’appartenance à un mouvement politique de jeunesse est incompatible avec l’adhésion à l’UNEF. Curieux ! Dans ce cas, quid du MJS ?

Q’en est-il vraiment des tensions entre la TTE et la direction de l’UNEF (je veux dire sur le fond) ? Quelle est la stratégie des JCR et de la LCR dans la TTE et plus généralement dans l’UNEF ? Quelles sont les conséquences de ses exclusions (38 militants ce n’est pas rien !). J’avoue ne pas bien comprendre ce qui se passe. Toutefois, cela me semble suffisamment important pour justifier quelques lignes dans l'article sur la Tendance tous ensemble. Merci de m'éclairer, de préférence, sur la page Discuter:Tendance tous ensemble.

1 : Michel, Delberghe.-La direction de l'UNEF veut exclure des militants de la Jeunesse communiste révolutionnaire -Le Monde, 27 juillet 2006, p.9


Chamole 31 août 2006 à 12:19 (CEST)

Je pense que les personnes qui ont manifestement à coeur de défendre les personnes de TTE subissant une procédure d'exclusion le fassent ailleurs que dans un article à vocation encyclopédique, d'autant que si on suit la presse et que l'on connait les status de l'UNEF, il y a encore une possibilité d'appel. Fredtoc 10 septembre 2006 à 21:08 (CEST)
Tu écris que certains "ont manifestement à coeur de défendre les personnes de TTE subissant une procédure d'exclusion". J'imagine que tu ne me classes pas dans cette catégorie de personne. En tout cas, s'il y a une ambiguïté, sache, que mon intervention, visait simplement à connaître les cause des tentions entre BN et TTE sur le fond. Les agressions physique entre "camarde" sont rare dans les syndicats, elle arrivent toujours (ou presque), dans un contexte de forte tensions (différence de vue idéologique, tactique...) et précédent parfois une scission. C'est pourquoi, j'ai lancé cet appel pour en savoir plus. Tu m'as l'air de bien connaître l'UNEF, peut-être es tu toi même militant, peut-être peux-tu nous en dire plus sur les tensions entre BN et TTE. Je pense que c'est très important pour l'article consacré à cette tendance. Merci pour ton aide.

Chamole 11 septembre 2006 à 12:02 (CEST)

En fait, je constatai juste que dans l'article, certains reprenait les argumentaires donné par les personnes exclues, sans donné de source vérifiable. Je constate que celà a été enlevé et c'est une bonne chose, je pense que Wikipedia ne doit pas devenir un tribune libre des moindres groupuscules animant le monde étudiant, ou un journal quotidien de moindres guerres de courant. Fredtoc 11 septembre 2006 à 17:42 (CEST)

[modifier] Il y a urgence à fractionner cet article

Beaucoup de contributeurs semblent trouver cet article illisible.

La cause principale me semble être (illustrée par tous les débats sur la création de la sécu, les tendances…) que son sujet n'en est pas un: il n'y a pas de continuité autre que le nom (et encore !) de l'UNEF depuis 1907.

Il serait donc nécessaire de couper cela en

1) Un article sur l'UNEF (en fait d'abord UNAGEF) fondée à Lille en 1907, refondée sur des bases très différentes à Grenoble en 1946, disparue en 1971

2) et 3) Deux articles sur les deux UNEF qui sont nées en 1971 en prétendant l'une et l'autre être issues de la précédente (le terme de scission n'est même pas adéquat), - l'UNEF dite Unité syndicale ou parfois Soufflot qui dure jusqu'en 1980 (article existant, mais très succinct) - l'UNEF dite renouveau puis parfois solidarité étudiante, qui disparaît en 2001 (article existant)

4) Un article sur l'UNEF-ID, créee en 1980 par la fusion de l'UNEF-US et de mouvements ne revendiquant pas de continuité avec l'ancienne UNEF (curieusement appelée "réunification partielle" par ses auteurs Il est tout à fait épatant qu'il n'y ait pas, à ce jour, d'article UNEF-ID.

5) Un article sur l'unique UNEF qui subsiste depuis 2001 (UNEF réunifiée selon la version officielle, UNEFexID selon certains de ceux qui ont vécu cette période)

L'article tel qu'il est se fonde sur l'histoire officielle de l'actuelle UNEF (qui est fausse*). Les corrections apportées le rendent illisible. (* aussi fausse qu'était la version officielle de l'UNEF dite parfois SE avant 2001, qui prétendait exister de façon continue depuis 1907) Je ne veux pas prendre la responsabilité d'un tel remaniement. C'est pourquoi je me contente de tenter de lancer la discussion sur ce point.

Emmanuel Lyasse


Tout à fait d'accord. Le travail est cependant énorme. Je crains, de plus, qu'il ne soit pas facile. Spacky 8 septembre 2006 à 15:10 (CEST)

Ce serait complétement illisible et on perdrait beaucoup en cohérence. FP 8 septembre 2006 à 18:53 (CEST)

On perdrait beaucoup en cohérence, dis-tu. Certes, il est beaucoup plus cohérent de présenter une UNEF existant de façon continue, ce que font les textes de l'actuelle UNEF. Seul problème : c'est totalement faux. Il n'y a rien de commun entre l'UNEF que certains appellent "grande", des années 1950, qui comptait Jean-Marie Le Pen parmi ses présidents d'AGE, et l'UNEF actuelle.

Dès qu'on sort des banalités pour évoquer des faits sérieux, l'article devient, précisément, illisible. Je prendrais un seul exemple, la question du droit de tendance. La présentation qui a été adoptée après débat correspond à l'UNEF d'aujourd'hui, et à l'UNEF-ID jusqu'en 2001 (dont l'UNEF d'aujourd'hui a, à quelques détails près, repirs les statuts).. En revanche, il n'y avait pas de tendances reconnues dans l'UNEF d'avant 1971, Il n'y en a jamais eu dans l'UNEF dite parfois Solidarité étudiante.

--Emmanuel Lyasse 10 septembre 2006 à 18:29 (CEST)

Bien sur et c'est ce que l'on appelle l'histoire. Aucune organisation n'est monolithique et heureusement d'ailleurs. Regarde l'article France par exemple. On y parle aussi bien de la Gaulle que de la France actuelle, le nom était alors même différent et le système de direction (l'équivalent du droit de tendance pour ce qui nous concerne) n'ont rien à voir non plus. On peut aussi prendre l'exemple de l'article CGT qui traîte aussi bien du syndicat unique de ses débuts et de la confédération actuelle. N'ayont pas peur de l'histoire mais sachons l'expliquer avec pédagogie... FP 11 septembre 2006 à 19:00 (CEST)

Pour employer de tels arguments, il faut vraiment que tu en aies fort peu

Si tu as lu l'article France, tu as constaté comme moi qu'il ne prétendait pas poser une continuité avec la Gaule (un seul L, merci, à moins que tu considères qu'il ne faille faire qu'un seul article pour "Gaule" et "de Gaulle" aprce que c'est presqua le même nom) mais observait seulement que le territoire de la France actuelle correspondait en partie à celui de l'ancienne Gaule. Quant à la CGT, la continuité historique est indéniable.

Ce n'est pas le cas de l'UNEF. Dans celui-ci, cela ne s'appelle pas l'histoire, comme tu le dis pompeusement, mais la manipulation historique. Manipulation commune aux gens de l'OCI et aux communistes qui ont prétendu les uns et les autres continuer l'ancienne UNEF en 1971 quand ils en ont en fait chacun créé une nouvelle sur ses ruines. Manipulation de ceux qui en fusionnant en 2001 l'UNEF-ID et une infime partie de l'UNEF dite parfois SE ont prétendu rétablir l'ancienne UNEF.

Le seul point commun entre tout ça est le nom. Encore faudrait-il, d'ailleurs, selon ta conception, retrouver la date exacte à partir de laquelle l'UNAGEF, fondée en 1907 à Lille, a commencé à s'appeler UNEF (Je n'ai pas d'idée claire à ce sujet. 1929 ?) , pour couper l'article en un article UNAGEF et un article UNEF.

Cela dit, je n'ai après tout aucune objection à ce que tout ce qui s'est jamais appelé UNAGEF ou UNEF soit regroupé en un seul article, sinon qu'il risque d'être fort long. Mais il est alors nécessaire de distinguer clairement et totalement cinq parties parfaitement autonomes (sauf, éventuellement, pour ce qui est des statuts, la partie UNEF-ID et la partie UNEF d'après 2001, puisque ce sont les mêmes).

--Emmanuel Lyasse 15 septembre 2006 à 15:26 (CEST)

Décidemment, que de complots pour cacher la vérité ! L'UNEF-SE et l'UNEF réunifiée font donc la paire ! As-tu au moins quelques textes d'universitaires pour étayer ta thèse ? Tous les documents du GERME, du HEME et du CAARME (et aussi les membres de l'AAUNEF) considère une continuité...

Sinon la continuité de la CGT se débat aussi. La CGT-FO (Force Ouvrière) la revendique aussi depuis sa création. FP 15 septembre 2006 à 18:09 (CEST)

Textes d'universitaires ?

Alain Monchablon, Histoire de l'UNEF, qui explique pourquoi il arrête son ouvrage en 1971. Cela reste le seul travail d'ensemble consacré à l'UNEF.

Mais ce que tu dis du GERME m'étonne un peu. Il me semble que l'article que Robi Morder a consacré aux événements de 1971 n'allait pas dans le sens de la continuité.

Quant à FO, je ne crois pas qu'ils aient jamais prétendu avoir été majoritaires lors de leur scission de 1947. --Emmanuel Lyasse 16 septembre 2006 à 16:38 (CEST)

Peux-tu préciser quel est cet article de Robi, il en fait beaucoup... Sur la CGT-FO, regarde sur leur site, il se considère avoir été créé en 1895 (ce que la CGT "actuelle" revendique aussi) puis avoir changer de nom (CGT-> CGT-FO) en 1948. FP 17 septembre 2006 à 11:02 (CEST)

On discute du fractionnement de l'article depuis plus d'un an, et il me semble clair que c'est nécessaire de façon à éviter l'amalgame. On a disserté ici et plus haut de toutes les différences entre l'unef aujourd'hui, les unef il y a 20 ans et la grande unef.
Un fractionnement logique semblerait être:
* la grande unef (création -> années 60);
* le morcellement: création d'une page par unef, avec un lien vers la page de la grande unef, et un bref rappel de l'historique. Du côté de la page grande unef, un lien vers chacune des orgas qui se revendique de la grande unef (on n'a aps à juger ici lesquelles ont le droit de le revendiquer);
* une page unef, le syndicat étudiant (depuis la <<réunification>> qui n'en est pas une): de la même manière que ci-dessus, un lien vers les orgas qui se sont réunies au moins en partie. Du côté des dites orgas, un lien vers l'unef, le syndicat étudiant.
Cela permettrait de ne pas perdre d'info et de maintenir la continuité historique lorsqu'elle est revendiquée (avérée/vérifiée, ça me semble difficile de demander des preuves, on va devoir se contenter de la forte présomption). --- Lupin 20 février 2007 à 18:05 (CET)
On en discute depuis un an... et l'article a été fractionné. Tu as maintenant l'article principal, un autre sur l'histoire, un sur les AGE, un sur les présidents, un sur les anciens et enfin un sur les structures. L'article qui était effectivement très long il y a un an me semble maintenant relativement court et en tout cas lisible. Sur l'histoire, il y a un nouveau site pour le centenaire : http://www.unef100ans.fr FP 21 février 2007 à 10:39 (CET)
Ici, la distinction n'est toujours pas faite entre les différentes unef. Si la lisibilité a été améliorée, l'exactitude, l'objectivité et la cohérence ne l'ont toujours pas été. Je vais le dire plus clairement: seule la distinction réelle des pages est gage de tout cela, sinon, l'amalgame est garanti.--- Lupin 22 février 2007 à 13:49 (CET)
Pour ma part, je ne vois pas de problème de cohérence. Les organisations évoluent toutes et on ne fait pas une page pour chaque période (cf débat CGT et CGT-FO pour comparer à une autre situation proche et dans le même secteur d'activité). FP 23 février 2007 à 17:13 (CET)
Ne le prend pas mal mais tu es visiblement le seul à ne pas voir de problème de cohérence. Cela fait 20 fois que l'on explique que l'unef actuelle n'a pas plus succédé à l'unef du début du XXème siècle que la droite de De Gaulle n'a succédé à la droite d'avant-guerre. Il n'y a pas de continuité autre que le nom, il faut donc plusieurs pages. La question est plutôt où sépare t-on ? J'ai tendance à penser qu'afin de ne pas perdre d'info, il faudrait couper à la fin des années 60 et recommencer au début des années 60 pour chaque page des organisation qui en sont sorties. Pour la page Unef, le syndicat étudiant, pas de problème de début je pense.--- Lupin 7 mars 2007 à 16:45 (CET)
Rebelote, l'unef existante n'a rien à voir avec celle d'il y a 100 ans, puisque ce n'est que l'union de deux orga même pas vraiment issues de l'unef d'il ya 50 ans, et parmi un grand nombre d'autres orgas qui en sont les héritières directes ou indirectes. Un article unique est donc trompeur. Puisque la quasi unanimité des contributeurs semblent d'accord, je proposerais quelque chose d'ici peu pour corriger ce problème de cohérence. --- Lupin 10 mai 2007 à 15:52 (CEST)
L'UNEF existante est sans aucun doute la continuité juridique de celle d'il y a 100 ans. Après sur le fond sans aucun doute non plus elle a beaucoup changé. L'article sur l'UNEF, pas plus que celui sur la CGT ne doivent être à mon sens fractionner. Si on le fait cela induirait les lecteurs dans l'erreur. On sous entendrait que l'UNEF a disparue et qu'elle a été recréée. En fait, elle a simplement évolué. En 1971, il y a eu scission car la direction est partie sans convoquer de congrès et les deux tendances minoritaires qui se sont retrouvées face à face n’étaient pas enclines à discuter entre elles pour convoquer un congrès unique. A ce moment là, il y a deux UNEF tout aussi légitime/illégitime. D’ailleurs dans la Wikipédia il y a des articles séparés pour l'UNEF Renouveau/-SE et l'UNEF-US puis -ID. En 2001, il y a officiellement réunification, avec toutes les réserves que l’ont a déjà évoqués. Pour toutes ses raisons, je pense qu'il ne faut pas fractioner cet article.

Chamole 10 mai 2007 à 16:47 (CEST)

Relis ce qui est dit plus bas afin de bien saisir l'historique. L'UNEF n'a pas été séparée en deux puis réunifiée, elle a éclaté dans les années 50-60 ce qui a mené dans les années 70 un juge a décider au cours d'un procès que le nom UNEF n'appartenait plus à personne. Juridiquement donc, l'UNEF avait déjà à cette époque arrêté d'être la continuité de la grande UNEF. C'est pourquoi la quasi-totalité des contributeurs plaide pour cet article pour une refondation qui séparerait la grande UNEF (UNEF historique) jusqu'aux années 60, puis un article par syndicat, et donc un article pour la nouvelle UNEF. Évidemment, des liens de ces articles permettraient de remonter aux racines commune.--- Lupin 22 mai 2007 à 16:02 (CEST)

Le fractionnement n'est pas si évident. prenons par l'exemple l'article sur le PS, comme il existe des article UNEF Renouveau puis SE et UNEF-US puis -ID, il existe un article SFIO et un PS plus général incluant la période SFIO. Pas encore convaincu? voici l'article Histoire du Parti socialiste (France) encore une fois, on ne se base pas sur le dernière fondation d'un parti socialiste (PS en 1969) mais bien sur lensemble du courant socialiste, des racines à aujourd'hui. Pour l'UNEF c'est, je crois, ce modèle qui doit primer. Chamole 23 mai 2007 à 08:42 (CEST)

Après le travail effectué par les auteurs de l'histoire de l'unef, j'ai complété avec ce qui manquait afin de ne pas perdre d'informations et ôté la partir qui ne concerne pas l'unef actuelle.
Je laisse toutefois la date de création de 1907 pour l'instant bien que la date de 2001 me semble plus cohérente puisqu'il a été précisé lors de procès dans les années 70 que le nom unef n'appartenait plus à personne. De plus, cela correspond à une refondation à partir d'une part de l'unef-se et de l'unef-id, comme on en a déjà discuté, il ne s'agit pas de l'unef originelle. À débattre plus amplement donc je pense.
Pour répondre à Chamole, tout dépend si l'on parle de courant socialiste ou du PS, auquel cas on parle de sa dernière fondation ou refondation (dans le cas où l'on n'usurpe pas un nom déjà utilisé par ailleurs évidemment). Ici, l'unef n'est plus la même depuis le virage de la politisation (non au sens négatif du terme)pris dans les années 50, de source historique ou juridique.--- Lupin 17 octobre 2007 à 20:41 (CEST)
Après avoir jeté un oeil au JO, j'ai obtenu confirmation qu'il n'y a pas eu fusion au sens légal (càd absorption par l'une des structures) mais recréation de l'unef, en 2001. J'ai placé le lien officiel vers le JO avec les références (surtout la date) afin de justifier. Du coup, je me suis demandé ce qu'il en était de la reconnaissance d'utilité publiqe. Pour l'heure, je n'ai aucune trace officielle (du ministère) qui confirme ou infirme, toutefois, le site de l'unef de semble pas revendiquer cet reconnaissance. À suivre donc...--- Lupin (d) 29 novembre 2007 à 19:39 (CET)
On trouve sur le site du ministère la liste des associations reconnues d'utilité publique, or l'unef n'y est déclarée qu'en 1929, c'est-à-dire qu'il s'aagit de l'ancienne unef et non l'unef actuelle, fondée en 2001. J'ôte donc la reconnaissance d'utilité publique pour la placer dans l'historique de l'unef.--- Lupin (d) 29 novembre 2007 à 19:57 (CET)

[modifier] AGE de l'UNEF (dite parfois, à tort, SE) et "réunification de 2001"

Je constate que les précisions que j'avais apportées dans l'historique sur les évènements de 2000/01 ont été corrigées par FP sur trois points.

1) Il a supprimé la mention que le nom UNEF avait été conservé par une des deux organisations créées en 1971, celle du congrès de Paris, dite parfois Renouveau ou SE. C'est pourtant un fait facile à vérifier. Le logo illustrant l'article le montre: cette organisation est toujours apparue aux étudiants sous le nom UNEF. On peut aussi le vérifier sur les anciens sites web de trois AGE http://paris4.unef.org/indexarchives.htm, http://evry.unef.org, http://lyon.unef.org,

2) Il a ajouté un membre de phrase affirmant que l'UNEF d'après 2001 avait par la suite retrouvé des résultats électoraux correspondant au total des deux anciennes UNEF. J'ai du mal à comprendre sur quelle source il s'appuie. Je constate en tout cas que le total des deux UNEF au CNESER dans les années 1990 a toujours été au moins six sièges (soit la majorité sur onze), qu'en 2000 la liste dite commune n'en a eu que 5 et que depuis la nouvelle UNEF n'a jamais retrouvé le sixème.

3) Surtout, il a corrigé ma phrase "La majorité des AGE de l'UNEF dite parfois SE ont refusé de participer à ce processus" en "Certaines des AGE de l'UNEF dite parfois SE ont cependant refusé de participer à ce processus." Cela me surprend beaucoup.

A ma connaissance, seules les AGE de Paris VIII et Clermont-Ferrand ont rejoint l'UNEF constituée en juin 2001. Nantes, Jussieu et Nanterre avaient auparavant rejoint l'UNEF-ID, lors de son congrès d'avril 2001.

En plus de celles-là, avaient une existence incontestable en tant qu'AGE de l'UNEF juste avant le CNESER 2000: Paris I, Paris IV, Paris XII, Orsay, Evry, Lille, Arras, Rouen, Caen, Rennes, Orléans, Bordeaux, Montpellier, Nice, Lyon, Dijon.

J'aimerais donc bien savoir aussi quelles sources permettent à FP de soutenir que cela ne faisait pas une majorité.

Je préfère rechercher le dialogue et la confrontation des sources que lancer une guéguerre en remettant la version antérieure.

--Emmanuel Lyasse 16 septembre 2006 à 16:29 (CEST)

Je n'ai pas spécialement voulu retoucher tes modifications. J'ai en fait effectuer une relecture globale de la partie historique et essayé de l'améliorer, il est alors possible que certaines parties soit de toi. Il reste toujours beaucoup à faire pour fluidifier la partie historique de l'article afin qu'elle ne soit pas qu'une juxtaposition d'événements sans lien.

Sur ta première remarque, il s'agit du point le plus controversé. Effectivement l'UNEF-SE revendiquait le nom UNEF. L'autre l'UNEF l'avait aussi revendiqué puis n'en a plus fait un élément central. Cependant cela ne veut pas non plus dire qu'elle considérait l'appellation UNEF de l'UNEF-SE comme légitime. Il faudrait donc à la fois ne pas affirmer simplement que UNEF-SE = UNEF et à la fois réussir à expliquer ce débat en quelques mots. La formulation actuelle manque effectivement d'explication sur ce point.

Sur le deuxième point, je n'ai pas indiqué que les résultats antérieur avaient été ré-atteind, j'ai précisé que les premières élections avaient constitué un recul et qu'il avait fallu attendre les élections suivantes pour revoir une progression du résultat. Je suis ouvert à toutes reformulations sur ce point. Il faudrait aussi indiquer l'historique des résultats dans l'article Représentation étudiante au CNESER (si tu as cela sous la main), ceux du CNOUS ceux eux disponibles et montrent cette remontée.

Sur le troisième point, il s'agit plutôt d'un type de retouche automatique que j'effectue. Indiquer "une majorité" me semble devoir reposer sur des sources, "certaines" permet de ne pas prendre partie. Si tu as des sources sur le nombre d'AGE, cela ne me gène pas de remettre "une majorité". FP 17 septembre 2006 à 11:02 (CEST)

Merci pour ces précisions. Je réponds sur chaque point:

1) Je crois qu'il n'y a pas de controverse si on s'en tient aux faits établis.

En 1971, l'UNEF, moribonde depuis plusieurs années, explose dans un grand bruit quand sa dernière direction décide de renoncer au syndicalisme étudiant.

Chacune des deux minorités d'alors, US dominée par les lambertistes, Renouveau par les communistes organise son congrès, l'un à Dijon, l'autre à Paris. Chaque congrès élit une direction, qui prétend être celle de l'UNEF, dans la continuité avec les précédentes.

Après des années de procédure, la justice bourgeoise se déclare incompétente, constate que deux organisations distinctes existent sous le nom UNEF, régies l'une et l'autre par les statuts de 1969 de l'UNEF, et reconnaît implicitement au moins aux deux le droit à porter le nom UNEF. Les deux UNEF renoncent à poursuivre le débat sur le plan judiciaire.

En 1980, l'UNEF dite US fusionne avec le MAS er quelques autres pour former, avec de nouveaux statuts l'UNEF Indépendante et Démocratique. Elle renonce donc unilatéralement à l'appellation UNEF et aux statuts de 1969. On peut supposer deux causes à ce choix: d'abord, vu le rapport des forces à l'époque, largement favorable à l'UNEF dite Renouveau, elle considère que la confusion entre les deux lui nuit et qu'elle a intérêt à s'affirmer par un nom clairement distinct; ensuite, dans un contexte politique de polémique anticommuniste, le choix de l'appendice I et D veut nettement signifier "non communiste" et ratisser ainsi sur la droite.

A partir de ce moment-là, il ne reste plus qu'une seule organisation se désignant comme UNEF, celle du congrès de Paris, dite jusqu'alors Renouveau. L'appendice "SE" ne lui a jamais été ajouté que par ses adversaires, en particulier bien sûr de l'U-ID. Elle s'est toujours présentée aux étudiants sous le nom UNEF, et a été reconnue comme telle par le ministère, et par les Universités où elle avait des élus.

Evidemment, il est de beaucoup préférable, pour ceux qui croient à la "réunification" de 2001, de la présenter comme l'addition d'une UNEF-ID et d'une UNEF-SE pour rétablir l'UNEF. Mais c'est faux. Comme je l'ai déjà écrit plus tôt, il n'y a jamais eu de status déposés d'une UNEF-SE.

La controverse n'a pas lieu d'être. Il ne s'agit pas de prétendre que l'UNEF dite Rernouveau avait plus de légitimité à se prétendre UNEF que l'UNEF dite US (ce qui serait formellement faux). Il s'agit simplement de constater qu'il y a eu de 1980 à 2001 deux organisations présentes sur les facs, l'UNEF et l'UNEF-ID, connues comme telles les étudiants et reconnues comme telles par les pouvoirs publics. Qu'on ait eu tendance, à l'intérieur de l'UNEF-ID, à parler d'UNEF-SE plutôt que d'UNEF et, réciproquement, à l'intérieur de l'UNEF à parler d'U-ID plutôt que d'UNEF-ID est assez anecdotique et doit devrait être cité que comme tel.

Dernier point, la liste pour le CNESER 2000, dite unitaire, a été présentée officiellement comme soutenue par l'UNEF-ID et l'UNEF, sans qu'il fût question de SE. Le tract "unitaire" édité à l'automne 2000 était signé UNEF et UNEF-ID (scan de la première page avec les deux logos ici: http://unef.org/historique/mensonges.jpg)


2) Sur les résultats électoraux, il faudrait effectivement pouvoir les préciser. Je n'ai pas sous la main de données précises, étant loin de mes archives. Mais, dès que je repasserai par Paris, je devrais avoir les résultats du CNESER de 1994 à 2000.

3) Je rétablis donc "majorité". Je ne crois pas qu'aucun des participants à la mascarade de 2000/2001 puisse contester sans rire que c'est la majorité des AGE de l'UNEF qui a refusé le processus. Spontanément, j'aurais d'ailleurs écrit plutôt "quasi-totalité". Mais je m'en tiens à majorité ici dans la mesure où il y a quelques détails contestés (des AGE comme Rennes et Paris XIII, par exemple, disparues après avoir annoncé leur hostilité, dont il s'est trouvé un délégué (un seul) pour finalement dire qu'elles étaient pour).

Côté sources, beaucoup de choses en désordre sur le forum du site unef.org

Le plus significatif sans doute, le décompte des votes du CN décisif du 13 mai 2001, donné par le président de séance (qui n'a été contesté par personne, sauf sur un point particulier, un des votes d'un des délégués d'Evry) http://unef.org/forumunef/forum14.htm?body=55&forum=archive14-discussion (en tenant compte du fait que l'AGE de Clermont, après avoir voté contre, a finalement participé à la fusion).

Les réactions sont consultables http://unef.org/forumunef/forum13 .htm et http://unef.org/forumunef/forum14.htm

Je signale en particulier la mienne sur le décompte http://unef.org/forumunef/forum14.htm?body=85&forum=archive14-discussion (que je ne reprendrais pas telle quelle aujourd'hui)

--Emmanuel Lyasse 17 septembre 2006 à 16:21 (CEST)

Voici un forum de discussion passionnant! A la lecture de quelques messages (j'ai pas tous lu, il y en a trop!), on se rend vite compte de l'ambiance à l'intérieur de l'UNEF (dite SE) avant la réunification. Cela tend à confirmer les propos d'Emmanuel sur la fronde des AGE. Tout ceci doit être pris en compte, la Wikipédia ne doit pas donner une "vérité officielle" mais dire la réalité des choses. Chamole 18 septembre 2006 à 10:57 (CEST)

Sur « La controverse n'a pas lieu d'être. Il ne s'agit pas de prétendre que l'UNEF dite Rernouveau avait plus de légitimité à se prétendre UNEF que l'UNEF dite US (ce qui serait formellement faux). Il s'agit simplement de constater qu'il y a eu de 1980 à 2001 deux organisations présentes sur les facs, l'UNEF et l'UNEF-ID, connues comme telles les étudiants et reconnues comme telles par les pouvoirs publics. Qu'on ait eu tendance, à l'intérieur de l'UNEF-ID, à parler d'UNEF-SE plutôt que d'UNEF et, réciproquement, à l'intérieur de l'UNEF à parler d'U-ID plutôt que d'UNEF-ID est assez anecdotique et doit devrait être cité que comme tel. » On est quasiment d'accord, après il faut trouver la bonne formulation... Pour toutes les sources, il y a effectivement de quoi lire ! Je vais regarder tout cela. FP 19 septembre 2006 à 18:05 (CEST)

Juste un mot sur l'expression "UNEF-SE". Je travaille actuellement sur les Etats généraux de l'enseignement supérieur de 1987. J'ai pu constater à cette occasion, que le journaliste du Monde chargé de suivre l'évènement employait systématiquement l'expression "UNEF-SE". Il le fait, semble-t-il pour éviter toutes confusions avec l'UNEF-ID et la "grande UNEF" dont certains rêvaient à ce moment là. Sans chercher à donner plus d'importance à un journal, d'autant que d'autres comme l'Humanité ne suivent pas son exemple, cela montre au moins que le terme "UNEF-SE" n'est pas simplement un terme interne à l'UNEF-ID mais une manière d'éviter de confondre "UNEF-ID", "UNEF dite SE" et l’UNEF d’avant la scission et d’après la réunification. Personnellement je pense que sur la Wikipédia, on doit continuer à garder la distinction en employant le terme "UNEF dite SE" voir "UNEF-SE". L’expression « UNEF dite SE » est certes plus longue mais, correspond bien à la réalité puisqu’elle intègre l’idée que cette UNEF là se faisait appeler « UNEF ».Chamole 11 octobre 2006 à 10:03 (CEST)

[modifier] Problème de classement

Comment ce fait-il que cette page soit classée dans la catégorie "Tendances et sensibilités de l'UNEF" ? Quelqu'un pourrait-il y remédier ? --Martin C. 2 novembre 2006 à 14:20 (CET)

C'est réglé. Quelqu'un avait glissé le lien interne vers cette catégorie dans une discussion. Mathounette discuter 2 novembre 2006 à 15:40 (CET)

[modifier] logo

Pourquoi le logo a été changé pour mettre un logo différent de celui qu'utilise l'organisation ? Papillus 10 décembre 2006 à 18:09 (CET)

C'est le nouveau logo de l'UNEF sorti à l'occasion du centenaire, il est utilisé depuis un mois sur les tracts de la nouvelle campagne nationale Fredtoc 10 décembre 2006 à 20:40 (CET)

Faudrait qu'ils actualisent leur site alors. Je trouve l'ancien plus joli. Papillus 10 décembre 2006 à 20:46 (CET)

[modifier] Liens externes (2)

J'avais supprimé le blog "unef-veritas" qui ne me semblait pas correspondre aux règles et à la politique de wikipédia. J'aimerai d'autres avis que le mien et celui de Lupin (qui a revoqué ma modification).

  1. Aide:Liens externes "On évitera le plus possible de lier des blogs" / "Si des sites présentant un point de vue « équilibré » sont généralement préférables, il est de toute façon important d'indiquer clairement le point de vue du site lié."
  2. Wikipédia:Ce que Wikipédia n'est pas "Wikipédia n'est pas: Une tribune de propagande ou de promotion / Un moyen commode de faire de la publicité gratuitement / Une collection de liens externes: Pour remédier à cela, utilisez Dmoz, gardez le site officiel s'il s'agit d'une institution, par exemple, et supprimez les blogs, forums, sites persos, sites promotionnels... qui seraient trop nombreux."
  3. voir aussi: Wikipédia:Vérifiabilité#Qu'est-ce qu'une source de qualité?
  4. Je signale que c'est le seul lien non-officiel non-institutionnel sans source. (vous aurez remarqué que j'avais laissé les sites critiques sourcées: cé / SEUL / UNEF Evry)

Il Palazzo-sama 20 mars 2007 à 23:38 (CET)

Des sources que tu citent, seules celles de la Cé et d'Olivier Rey sont effectivement signées. Les autres sont peut-être revendiquées respectivement par l'unef d'Évry et le SEUL de Montpellier, mais je n'ai rien trouvé dans les sites pointés par ces liens qui le confirme. Ce site que tu souhaites ôter est critique, comme les précédents. Or je trouverais dommage de se priver des sites sus-cités car ils contiennent une information difficile à trouver (et l'unef actuelle démentira probablement) ainsi que des points de vue (au sens présentation différentes de l'unef) et des informations que l'on ne trouve pas dans cette page ou par d'autre liens. Tenter de rester objectif (et non neutre, ce qui empêcherait l'article d'être informatif --voire la page NPOV) me semble important, mais ne présenter dans cet article qu'un seul point de vue me semble tout autant parti-pris que de dessiner de l'unef un portait noir.--- Lupin 21 mars 2007 à 12:59 (CET)

J'ai fait un petit tour des articles des organisations étudiantes concurrentes de l'unef (Confédération étudiante, Fédération des associations générales étudiantes, Fédération syndicale étudiante, Promotion et défense des étudiants, SUD Étudiant, Union nationale inter-universitaire) et on n'y trouve aucun lien de ce genre. C'est vrai pour d'autres articles politiques, même aussi sensibles que François Bayrou, Ségolène Royal ou Nicolas Sarkozy... (et là vous m'objecterez qu'il y a des liens critiques sur Jean-Marie Le Pen, mais il s'agit là d'un mouvement connu (ras l'front) et d'articles de journaux). Il Palazzo-sama 21 mars 2007 à 14:04 (CET)

Peut-être est-ce un manque, ou peut-être que naturellement, les critiques sont souvent faites vers l'organisation la plus importante. Tu noteras d'ailleurs que des remarques pouvant être considérées comme critiques existent sur les pages de la FAGE ou PDE, orgas étudiantes concurrentes. :Néanmoins, il existe une différence entre critiquer une personne --ce qui arrive rapidement à l'attaque personnelle, le monde politique le montre quotidiennement-- et critiquer une organisation, ses méthodes ou ses idées.--- Lupin 21 mars 2007 à 14:46 (CET)

C’est vrai qu’il y a beaucoup de liens critiques. A mon avis, tous n’ont pas leur place. D’abord les sites officiels UNEF et centenaire ont bien sur leur place, même chose pour les sites du GERME et du CME. Voici mon opinion pour la suite :

  • La chronique personnel d’Oliver Rey est intéressante car les documents de ce type sont rare (voir par exemple mouvement de 1986). Il peut-être critique (renversement de la majorité) et manque parfois d’objectivité, voir de bonne fois. Mais ce défaut est pardonnable par la qualité de l’ensemble. En outre, il ne faut pas oublier qu’il s’agit d’une chronique personnelle, donc par nature subjective.
  • Analyse critique de la Cé. Les choses sont dites clairement, pas d’ambiguïté. En outre, la Cé étant une scission de l’UNEF, cela ne peut qu’aider à comprendre les raisons du divorce.
  • UNEF.org et SEUL : ils parlent de la même chose : la réunification qu’ils critiquent. Personnellement je suis pour le maintient d’une critique car le processus d réunification a posé beaucoup de problèmes à l’UNEF-SE. Mais deux liens, je pense que ça fait un de trop. Quitte à choisir, je préfère UNEF.org car il est signé et par des acteurs majeurs de l’opposition à la réunification à l’intérieur de l’UNEF-SE : Emmanuel Lyasse, Jihad Wachill… D’autre part, il est plus complet et ce veut un répertoire de document sur l’UNEF-SE et la lutte contre la réunification.
  • Le blog. C’est un blog or, sur la page Aide:Liens externes on lit "On évitera le plus possible de lier des blogs". Ce blog est clairement anti-UNEF, d’où ma question, pourquoi pas un ou des voir des dizaines de blogs pro UNEF. Je crois que la critique est déjà très présente, ce blog et, me semble-t-il d’un intérêt limité. Ajoutons que son auteur reprend globalement le point de vu d’UNEF.org, c’est ainsi par exemple qu’il écrit : Moi, je suis issu de l'UNEF (la vrai). L’UNEF-ID est donc la fausse et c’est ainsi que par nature, l’actuelle UNEF est une escroquerie. De là, on peut tout critiquer : le nombre d’adhérents, des « magouilles » électorales, des fausses victoires, des « manipulations »… et rien, ou presque, valoriser.

Chamole 22 mars 2007 à 14:31 (CET)

Je suis assez surpris de la façon dont on considère ici le site unef.org tel qu'il réexiste depuis une semaine.

Ce n'est pas un site critique sur l'UNEF actuelle, dont il ne se préoccupe pas.

C'est un site historique sur une des deux UNEF qui ont existé entre 1971 et 2001, celle qui n'existe plus.

Il n'est pas non plus anti réunification. Il publie aussi des documents de ceux qui étaient pour, et il y a de nombreuses interventions d'eux dans les archives du forum. Si nous disons qu'il n'y a pas eu de réunification, c'est parce que c'est un fait, pas parce que nous étions contre.

Si c'est sur cette période que nous aovns le plus de documents, il n'y est pas exclusivement consacré: on y trouve le livre de René Maurice de 1976, un dossier sur Paris IV à partir de 1998, Evry à partir de 1995, Caen de 1994 à 97.

Il me semble qu'il a toute sa place dans un article qui traite de l'UNEF de 1907 à nos jours, c'est à dire de toutes les organisations différentes qui ont utilisé ce nom.

Pour ce qui est des autres liens

1) Olivier Rey est très précieux sur la période 1986-94, y compris par son amusante mauvaise foi. Si on ne veut citer que des sources "objectives", à supposer que ça existe, il est urgent de virer le site UNEF 100 ans qui est à pleurer de rire pour toute personne un peu informée. (En revanche, le site unef.org n'a rien à craindre)

Enfin, je suis surpris de voir ranger dans la catégorie "critique" les mémoires d'un type qui a été un des principaux bureaucrates de l'U-ID pendant huit ans. Même question que pour unef.org: s'agit-il d'un article sur toute l'histoire de l'UNEF, ou de la propriété de l'UNEF actuelle ?

2) C'est moi qui ai précisé que le texte "une seule UNEF celle du MEDEF" venait du SEUL. Il a été publié dans un des derniers numéros de La Canonnière écrits en français correct, avant disparition de la Cano, puis du SEUL. Ce n'est pas moi qui l'avait mis. C'est un texte polémique sans grand intérêt, en tout cas sur le sujet de l'article (il est très intéressant en revanche pour comprendre quelles étaient les méthodes du SEUL avec ceux à qui il avait garanti son allaince, mais c'est une autre histoire). RIEN à voir en tout cas avec unef.org, merci.

3) Le texte Coudry-Couderc qui fut à l'origine de la Cé est une critique de l'ensemble de la pratique de l'UNEF-ID puis exID, et pas seulement de la prétendue réunification. Il me paraît à ce titre intéressant. L'analyse est utile, quoi qu'on pense de conclusions, même pour ceux qui rigolent en voyant ce qu'ils reprochaient à l'UNEFexID et ce qu'est la Cé depuis.

4) Le blog dit UNEF Veritas est un truc méprisable fait par un anonyme qui prétend être un repenti de l'UNEFexID, qui prétend une fois (ce qui paraît contradictoire) avoir été de l'UNEF dite parfois à tort SE, mais qui a l'air plutôt au service soit des corpos, soit de la Cé. Il pioche un peu partout, y compris dans unef.org (mais aussi à doite: voir le texte sur les grèves anti CPE, que nous n'avons certes pas inspiré). Il faut reconnaître qu'il est très bien informé. Pas sûr qu'il soit intéressant de le maintenir ici.

--Emmanuel Lyasse 23 mars 2007 à 02:00 (CET)

Quelques petites précisions : primo j'ai distingué deux catégories de sites, les institutionnels, par nature incontestables (cf. Aide:Liens externes où l'on peut lire : "Il est souhaitable de lier, dans la mesure du possible, vers des sites : [...] « officiels » du sujet traité dans l'article."), et les autres sites. Bien sur je ne considère pas le site d'Olivier Rey comme critique même si j'ai employé l'expression "Il peut-être critique". Secondo, sur UNEF.org il me semble bien que se site critique la "réunification" dont il conteste même le terme : "L'actuelle UNEF prétend être issue de la réunification de l'UNEF-ID et de l'UNEF (qu'elle appelle faussement UNEF-SE) en juin 2001. C'est faux. La réunification (terme d'ailleurs très contestable) a été un projet d'une partie de la direction de l'UNEF. Elle a été rejetée par une très large majorité des militants et presque toutes les AGE (structures locales) du syndicat.", peut-on lire sur la page d'accueil. Je pense donc qu'on peut dire qu'il s'agit d'un site critique sur la question. Ce qui ne l'empêche pas d'être intéressant et d'apporter d’autres éléments tout aussi intéressants et même rares (livre de René Maurice par exemple). Je trouve donc que ce site, qui s’enrichit de jours en jours, est utile et donc nécessaire à inscrire dans les liens externes. Chamole 23 mars 2007 à 09:34 (CET)

Ta distinction entre liens institutionnels et autres renvoie à la question que je posais sur le sujet de l'article. Si c'est l'UNEF actuelle, effectivement, seul leur site unef.fr est "institutionel". Si c'est tout ce qui s'est appelé UNEF dans le siècle, Olivier Rey est au moins aussi institutionnel, tout comme unef.org Sur la supposée réunification. Nous avons à l'époque considéré le terme même comme très contestable pour une raison simple: il posait l'existence d'une unité préalable qu'il s'agissait de rétablir. Or cette unité n'a jamais existé: les deux UNEF de 1971 ne sont pas issues d'une scision de la mythique "grande UNEF". Elles ont été chacune créée par une tendance, c'est à dire en fait par les militants de deux organisations, l'UEC et l'AJS-OCI, qui n'avaient jamais été partie prenante de la supposée "grande UNEF", mais s'était jetés dessus quand elle avait commencé à se désagrégéer. Ces deux tendances n'ont jamais travaillé ensemble, et n'ont même jamais envisagé de le faire. Voilà pourquoi la fusion des deux UNEF qui en étaient issues ne pouvait décemment être appelée réunification, seulement unification. Mais cette unification n'a pas eu lieu. En juin 2001, c'est juste une partie de la direction de l'UNEF dite parfois à tort SE qui est allée faire allégeance à l'UNEF qui a cessé alors d'être ID. Derrière elle, elle n'avait que l'AGE de Paris VIII (réduite à quia). Des AGE qui s'était opposées à l'unification, seule Clermont a finalement rejoint la nouvelle UNEF. Les militants de la LCR, qui contrôlaient Jussieu et Paris X, et auxquels s'étaient ralliés les Nantais, avaient officialisé en avril leur passage à l'UNEF encore ID, effectif depuis beaucoup plus longtemps (ce qui ne les a pas empêchés de venir voter la dissolution de l'UNEF au dernier CN du 13 mai). La direction de la nouvelle UNEF de jiun 2001 était exactement la deirection précédente de l'UNEF-ID, à un poste près, celui de vice-président, qui n'a pas été pourvu lors de l'assemblée constitutive. Il a fallu en effet plusieurs jours pour convaincre Stéphane Paturey (dernier trésorier de l'UNEF dite SE, coopté en février) de l'accepter. Karine Delpas et tous les autres qui avaient voulu l'unification ont cessé toute activité syndicale. Au renouvellement suivant du BN, il ne restait plus rien de l'ancienne UNEF dans l'UNEF dite réunifiée. Les militants de l'UEC qui y ont adhéré depuis n'ont jamais eu aucun poids, étant en nombre très faible, et incapables de s'organiser. Enfin, les dernier évènements ont à peu près éradiqué tout ce qui pouvait rester de l'ancienne UNEF. Les JCR exclus étaient de Jussieu et de Nanterre: ce n'est pas par hasard. Même ceux-là avaient des habitudes d'autonomie des AGE incompatibles avec le fonctionnement de l'UNEF actuelle, le même que l'UNEF-ID avant. Clermont a fait scission au début de l'hiver. Enfin, l'ex UNEF Paris IV, qui avait rejoint (à mon grand regret) l'actuelle UNEF à l'automne 2002 après un passage par la FSE, vient de rompre avec elle spectaculairement. --Emmanuel Lyasse 23 mars 2007 à 13:57 (CET)

Ca serait bien que les utilisateurs non-enregistrés arrêtent de prendre part à la guerre d'édition en cours... Je propose qu'à partir de maintenant on révoque toute modification d'utilisateur non-enregistré qui enlève ou remet les liens dont on parle ici. PS: c'est pour calmer le jeu, parce que c'est ça ou appeller un admin à la rescousse...Il Palazzo-sama 29 mars 2007 à 11:57 (CEST)

Je crois que la "guerre d'édition" n'est pas si grave. Nous sommes tous à peu près d'accord sur la liste des liens. Je résume, si j'interprète mal, corrigez moi. Site admissible selon les critères de la Wikipédia dont nous discutons ici :

Sites contestés que l'on peu retirer :

  • enluttes.over-blog.com (site du SEUL) on peu peut-être voir si il faut le mettre ailleurs (page SEUL par exemple), reste à savoir quel article du blog il faut mettre en valeur.
  • unef-veritas.blogspirit.com Il n'est d'ailleurs plus dans la liste.
  • leclanunef.com ajouté par un anonyme et vite supprimé. Il s'agit d'une violente charge contre l'UNEF et son président. Ce site ne nous apprend pas grand chose, il brasse des rumeurs ou des banalité sans rien démontrer. J'ajoute que l'existance de liens entre l'UNEF des partis politique est connue et décrit dans la Wikipédia (avec toute la prudence nécessaire pour ce genre de chose, mais j'ai déjà donné mon avis sur la question cf. plus haut).

Sommes nous d’accord sur les 7 liens à conserver ?

Chamole 29 mars 2007 à 13:21 (CEST)

Pour moi, c'est oui. PS: en haut, je réagissait à la suppression et la remise en lien des deux blogs par deux anonymes en 48h... Il Palazzo-sama 29 mars 2007 à 14:37 (CEST)

Ça me va, cela laisse la place à des sites critiques qui semblent crédible.--- Lupin 3 avril 2007 à 14:36 (CEST)

Concernant leclanunef, je vois mal l'intérêt d'une telle débauche de prouesses techniques pour dire seulement ce que tout le monde sait: qu'il y a depuis deux ou trois ans une étanchéité totale entre les directions de l'actuelle UNEF, du MJS et de la Mutuelle. Il n'y a aucune raison de le mettre ici.

D'accord aussi pour virer "UNEF Veritas", dans la mesure où il y a manifestement imposture quand son auteur se présente comme un militant de l'actuelle UNEF. --Emmanuel Lyasse 5 avril 2007 à 15:10 (CEST)

Je ressors alors l'histoire des associations vue par la FAGE et l'histoire des associations vue par l'UNEF.--- Lupin 22 mai 2007 à 16:12 (CEST)

C'est normal que ces deux liens mènent vers "erreur 404"? Il Palazzo-sama 20 juillet 2007 à 15:45 (CEST)
Voici les liens corrects: l'histoire des associations , l'histoire des associations vue par la FAGE et l'histoire des associations vue par l'UNEF --- Lupin (d) 29 novembre 2007 à 15:38 (CET)

Ne pourrait-on pas déplacer les liens historiques vers l'article sur l'histoire de l'UNEF ? Ou au moins classer les liens ? FP (d) 18 décembre 2007 à 17:43 (CET)

Effectivement, vu qu'on a déjà mis un article sur l'historique de l'unef, c'est redondant de mettre en ligne des articles qui concernent une période non traitée dans l'article. PArmi ceux que j'ai remis suite à vandalisme, on peut laisser: le site officiel de l'UNEF:
  • le site du GERME;
  • le site du CME;
  • fusion de l'UNEF-SE et UNEF-ID par le SEUL.
Les autres ont vocation à passer dans l'historique de l'UNEF et les autres pages concernées (unef-se ou unef-id la plupart) à part le site de l'unef.--- Lupin (d) 19 décembre 2007 à 17:42 (CET)

[modifier] Allocation d'autonomie

Bonjour, j'ai commencé à écrire une ébauche sur l'Allocation d'autonomie. Mais je n'ai pas assez de connaissances pour tout mettre dans l'article. J'ai pense avoir mis le principal. Donc si quelqu'un se sent plus compétent que moi, n'hésitez pas. Pamputt 8 mai 2007 à 19:45 (CEST)

Je ne vois pas l'intérêt d'un tel article, d'abord parce que c'est une revendication parmi d'autres qui ne peut être mieux défendu que par l'unef, ensuite parce qu'il n'apprend pas grand chose et que les militants eux-mêmes ne sont pas tous d'accord avec ce que cache ce terme. Si qlq veut des détails, il les auras sur le site de l'unef, une encyclopédie n'a pas à les y mettre, ce serait comme détailler le programme d'un candidat à l'élection présidentielle... --- Lupin 10 mai 2007 à 15:43 (CEST)

Il ne s'agit pas de détaillé d'une revendication de l'UNEF quelconque. Cette idée à été reprise par nombres de candidats à l'élection présidentielle de 2007. C'est donc un point important. Je considère cet article sur l'allocation d'autonomie comme celui sur la VIe république qui est une idée faisant partie de certains programmes électoraux mais qui a un article dans wikipédia. Pamputt 11 mai 2007 à 18:40 (CEST)
Certes, mais la candidate qui défendait cette proposition n'est pas passée, l'intérêt n'est donc pas très clair, d'autant que tant au sein de l'unef que de ségosphere, la proposition ne semble pas claire. Enfin, cette proposition reste issue de l'unef, avec retoilettage PS. Pour résumer, de toute façon, une page n'est pas nécessaire pour expliquer cela.--- Lupin 19 mai 2007 à 12:33 (CEST)

[modifier] Réorganisation de la structure de l'article

Ca faisait un bout de temps que je désespère du tournant que prend cet article, il s'étoffe de partout mais la ligne "éditoriale" semble être passée au second plan, du coup ca donne une impression de fouilli. Vu l'importance de 'unef et la difficulté de trouver des infos un peu neutre sur le net à propos des organisations de jeunesse sur le net, il est vraiment important d'améliorer cet article et rêvons! de tendre vers un article de qualité. Il serait super de faire de même pour toutes les orgas représentatives (tiens c'est une idée, quelqu'un prend la balle au bond ?). Donc dans cet esprit, j'ai fait des modifs de taille sur la forme dans l'espoir que cet réorganisation amène à reflechir à ce qui est vraiment utile dans cet article. J'assume le fait que les modifications sont assez radicales, et potentiellement contestable, mais pourquoi ne pas réfléchir à un canevas pour toutes les orga étudiantes, vu que les même rubriques revienne toujours historique, structure, représentativité, doctrine/positionnement.. De même je crois qu'un bonne architecture permet aux lecteurs de passage de s'y retrouver rapidement pour chercher une infos précise ou se faire un avis en quelques minutes. En espérant que vous partagez mon point de vue ;) Jrmy 25 mai 2007 à 01:34 (CEST)

Globalement ça me semble bien. Juste un point, le premier paragraphe s'appelle Genèse alors qu'il parle de l'UNEF de la fondation à nos jours, un meilleurs titre serait donc historique. Je le change donc. Chamole 25 mai 2007 à 13:15 (CEST)

Je suis d'accord avec toi, concernant la version actuelle le terme historique correspond mieux. Cependant pourquoi ne pas remplacer cette liste de date par une explication sur l'origine de l'UNEF, ses évolutions succésives et pourquoi pas poser la question de la continuité qui a été posée sur cette page. Dans ce cas là, ce serait plutot l'esprit d'une "génese". Mais n'ayant pas les connaissance pour un tel passage, je laisse le soin à des personnes éventuellement interessé de la rédiger. Jrmy 25 mai 2007 à 13:24 (CEST)

La partie entre l'UNEF et les partis politiques considère des événements d'avant 2001, qui ont été séparés du corps de l'article, à replacer dans les bonnes pages donc...--- Lupin (d) 22 mai 2008 à 10:14 (CEST)

[modifier] Article partial

C'est article est devenu trop partial et beaucoup de critiques et controverses en ont été enlevées. Il serait bien de surveiller cette page, afin d'éviter que ca devienne une vitrine plus qu'une page d'encyclopédie. Le retrait de [12] me parait injustifié.

C'est vrai, je suis d'accord. Vous auriez pu le rétablir tout seul, cela dit.Thémistocle (d) 20 mai 2008 à 23:16 (CEST)

Déjà discuté ici, il est donc retiré à mons d'un nouveau débat (mais je pense qu'il y a mieux à faire que de rester là-dessus).--- Lupin (d) 22 mai 2008 à 10:09 (CEST)