Union nationale des étudiants de France

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Contexte général
Champs d'action défense des intérêts matériels et moraux des étudiants
Zone d'influence enseignement supérieur
Fiche d’identité
Fondation 4 mai 1907 à Lille
Siège central 112, boulevard de la Villette
75019 Paris
Président(e) Jean-Baptiste Prévost
Méthode information publique, actions d'élus...
Financement adhérents et subventions publiques ou d'Université.
Membres 30 000 revendiqués[1]
Site internet www.unef.fr

L'Union nationale des étudiants de France (UNEF) est une organisation étudiante représentative fondée en 1907 (cf. Histoire de l'Union nationale des étudiants de France). Son but est de permettre aux étudiants d'exprimer leur opinion sur la gestion des infrastructures universitaires, que ce soit la recherche, la restauration universitaire, les logements étudiants, ou encore les problèmes de discrimination.

Elle est présente sur la majorité des universités de France. Après une scission durant les années 1960, durant laquelle plusieurs organisations portent le nom UNEF, l'UNEF est refondée en 2001 en réunissant une partie des deux organisations revendiquant ce nom. Hormis les trois décennies suivant la scission de 1971, l'UNEF est depuis près d'un siècle presque incontournable pour les questions étudiantes. Elle est reconnue comme représentative.

Son actuel président est Jean-Baptiste Prévost, étudiant à Sciences Po et à Paris I et membre de la Tendance majorité nationale.

Sommaire

[modifier] Historique depuis la réunification

  • octobre-novembre 2006 : L'UNEF lance une campagne contre les frais illégaux d'inscription. Certaines universités, comme celles de Grenoble II, Pierre Mendès-France, de Paris-II Panthéon-Assas, sont forcées de les rembourser.
  • Mars 2007 : Congrès des 100 ans à Lille. La TTE fusionne avec des militants dissidents de la majorité pour fonder la TUUD.

[modifier] Organisation

[modifier] Structure

[modifier] Les Associations générales des étudiants (AGE)

Une Association générale d’étudiants (AGE) est une section locale de l'UNEF. En région parisienne il y a une AGE par université (AGE de Paris 1, AGE de Versailles-Saint-Quentin, etc.) alors que dans le reste de la France il y a une AGE par ville universitaire (AGE de Lyon, AGE de Caen, etc.), à quelques exceptions près (AGE d'Aix-Marseille, AGE de Lorient-Vannes).

Une AGE peut regrouper différents Comités d'action syndicale (CAS), en général un par site universitaire.

Les AGE sont dirigées chacune par un bureau composé d'un président, d'un secrétaire général et d'un trésorier élus tous les deux ans par le Congrès local, au cours duquel les adhérents de l'AGE choisissent l'orientation de l'UNEF en votant sur les différents textes proposés par les tendances.

L'UNEF est composée de 58 AGE, souvent représentatives d'une ville (sauf sur Paris). Chaque AGE appartient à une tendance, qui est déterminée par un vote sur des motions lors des congrès locaux d'AGE.

[modifier] Fonctionnement interne

[modifier] Le Congrès

Conclusion de Bruno Julliard au congrès national de Lille.
Conclusion de Bruno Julliard au congrès national de Lille.

L'organe souverain de l'UNEF est le Congrès national qui se réunit tous les deux ans (le dernier a eu lieu à Lille en mars 2007). Les délégués qui composent le Congrès sont élus par les congrès locaux, qui ont lieu dans chaque AGE avant le Congrès national, à la proportionnelle des scores réalisés par les textes d'orientation proposés par les tendances.

Le Congrès national élit à son tour une Commission administrative à la proportionnelle des différentes tendances. C'est cette Commission administrative qui élit le Bureau national.

[modifier] Le Collectif National

Entre deux Congrès nationaux, c'est le Collectif national (composé de la Commission administrative et des présidents d'AGE) qui fait office de "parlement" du syndicat en appliquant l'orientation adoptée en Congrès.

[modifier] Le Bureau national

Le Bureau national est l'organe exécutif de l'UNEF. Il applique les décisions du Congrès et du Collectif national et assure le lien entre les AGE.

Le Bureau national est composé d'une trentaine de membres issus des différentes tendances. C'est en son sein que siègent le président, le vice-président, le secrétaire général et le trésorier national.

[modifier] La Commission de contrôle

La Commission de contrôle est élue par le Congrès. Elle veille à la bonne application des statuts et du règlement intérieur de l'UNEF.

[modifier] Les tendances

L'UNEF reconnaît la possibilité pour ses adhérents de se regrouper en « tendance ». Le but d’une tendance, est de proposer une orientation syndicale qu’elle pourra défendre à l’intérieur de l’UNEF. Pour avoir une existence officielle, une tendance doit être soutenue par au moins trois présidents d’AGE dans deux académies différentes. Lors des congrès, chaque tendance présente un texte d’orientation sur lequel les adhérents de l’UNEF doivent se prononcer. Le résultat de ce vote détermine l’orientation du syndicat que chacun devra respecter en externe quelles que soient ses opinions et permet la répartition à la proportionnelle des postes dans les instances nationales et locales.

[modifier] Responsables

[modifier] Les présidents de l'UNEF

Icône de détail Article détaillé : Liste des présidents de l'UNEF.

Son actuel président est Jean-Baptiste Prévost, membre de la Tendance majorité nationale. Il a succédé à Bruno Julliard le 8 décembre 2007.

[modifier] Les anciens de l'UNEF

Icône de détail Article détaillé : Liste des anciens de l'UNEF.

Les anciens de l'UNEF sont regroupés dans une association qui regroupe les anciens de l'UNEF d'avant la scission, elle envisage de s'ouvrir aux anciens des deux UNEF (US puis ID, et Renouveau puis SE), et éventuellement de l'UNEF réunifiée.

Depuis un siècle d'histoire, l'UNEF a vu passer de nombreuses personnalités.

[modifier] Fonctionnement externe

[modifier] Liens entre l'UNEF et les partis politiques

Au cours de son histoire, l'UNEF a connu de nombreuses évolutions dans ses rapports aux partis politiques. Entre 1946 (Charte de Grenoble) et les années 50, l’association se transforme en un véritable syndicat étudiant. Dès lors, divers partis vont, selon les périodes, être tentés de peser sur cette organisation étudiante du fait de son importance.

Après 1968, l'UNEF, très affaiblie, est clairement divisée en trois tendances, chacune dirigée par un groupe politique. Le Bureau national est formé de membres du PSU. Les deux minorités Renouveau et Unité syndicale sont dirigées l'une par des communistes, l'autre par des trotskistes lambertistes. En 1971, la direction PSU renonce au syndicalisme étudiant et se retire, laissant face à face les deux tendances oppositionnelles. Chacune convoque alors un congrès: il y a désormais deux UNEF, chacune se prétendant la vraie. On prend l'habitude de les distinguer par les noms des anciennes tendances: l'UNEF Renouveau (ou UNEF-Re) et l'UNEF Unité syndicale (ou UNEF-US)

L’UNEF dite Renouveau puis SE (Solidarité étudiante), a constamment eu des dirigeants membres du Parti communiste alors que l’UNEF-ID (Indépendante et démocratique), issue de l'union de l'UNEF-US et de divers organisations étudiantes est d'abord dirigée par des étudiants lambertistes qui suivent Jean-Christophe Cambadélis au Parti socialiste en 1986. La crise de 1993 (une partie des dirigeants jusque-là cambadélistes de la majorité reprochant au président, P. Campinchi, d'avoir mis l'UNEF-ID au service du ministère Jospin) conduit à un partage de la direction puis à l'élection au congrès de 1994 d'une direction proche de la Gauche socialiste de Julien Dray.

Selon la direction actuelle de l'UNEF, en 2001, la réunification entre l'UNEF-ID et une petite partie de l'UNEF dite SE a élargi l'audience du syndicat, lui permettant de distendre ses liens avec les partis politiques. L'explosion de la Gauche Socialiste en 2002 a consacré la rupture définitive entre la direction de l'UNEF et Julien Dray.

L'ancien président de l'UNEF, Bruno Julliard, a été responsable du mouvement des jeunes socialistes en Haute-Loire jusqu'en 2003. Plusieurs membres du Bureau national ont signé le texte NPS présenté au congrès du Mans par Vincent Peillon, Arnaud Montebourg, Benoit Hamon et Henri Emmanuelli. Dans une interview publiée sur le site du CME (Conservatoire des mémoires étudiantes), Pascal Cherki, ancien de l'UNEF-ID et de SOS-Racisme, actuel adjoint au maire de Paris et dirigeant du NPS, revendique son rôle dans la rupture de l'UNEF avec Julien Dray et la mise en place d'une nouvelle direction.

Par ailleurs, des membres des Jeunesses communistes révolutionnaires (organisation de jeunesse de la LCR) militent également à l'UNEF, où, comme au sein de l'UNEF-ID, ils se retrouvent pour la plupart dans une tendance minoritaire (actuellement la TUUD). Depuis 2001, des militants du parti communiste français se retrouvent également au sein de l'UNEF, en très petit nombre, et sans être organisés en tendance ou sensibilité, ainsi, mais plus rarement, que des Verts, lesquels se dirigent plus facilement vers Fac verte.

La question de l'influence de l'appartenance politique de ses membres sur le syndicat reste posée. Les adversaires de l'UNEF ont toujours dénoncé sa sujétion à des organisations politiques. Entre 1971 et 2001, chacune des deux UNEF dénonçait l'autre comme au service d'un groupe politique.

Globalement, les militants de l’UNEF ne se réclament pas de l’apolitisme, qui leur semble être la porte ouverte au corporatisme, mais de l’indépendance politique. Ce choix leur permet d'affirmer que les décisions de l'UNEF se prennent en son sein, et non pas sous l'influence d'une organisation politique. Ils peuvent ainsi élargir leur horizon de réflexion, s’ouvrir à l’ensemble de la société et par conséquent de ne pas s’enfermer dans le cadre du monde universitaire. L’UNEF se veut donc indépendante des partis politiques afin de pouvoir conserver son aptitude à fournir des réponses à toutes les problématiques étudiantes et sociales, sans qu'un positionnement politique partisan ne vienne limiter le débat et ses moyens d'action.

[modifier] Structures associées à l'UNEF

Au cours de son histoire, les différentes UNEF ont participé à la création de nombreuses structures de la vie étudiante, parmi lesquelles notamment la FSEF, la MNEF, la LMDE, l'ESIB, la FERUF, l'UCEF,...

De plus, l'UNEF actuelle est aussi membre des structures suivantes:

  • EPSE (Expertise et prévention pour la santé des étudiants) [2], cette association a été créée en 2003 à l'initiative de la LMDE, et avec l'aide de l'UNEF, afin de mener des enquêtes pour mieux connaître la situation sanitaire et sociale des étudiants ;
  • Le CIDJ, Centre d'Information et de Documentation Jeunesse ;
  • L'OVE, Observatoire National de la vie étudiante ;
  • L'OTU (Office du tourisme universitaire) [3], créé en 1929 ;
  • La FFSU, Fédération Française du sport universitaire ;
  • La FUAJ, Fédération Unie des auberges de jeunesse ;
  • Le Conseil National de la Jeunesse (CNJ)  ;
  • La Commission Armée Jeunesse (CAJ) ;
  • L'ISIC, (International Student Identity card).

[modifier] Représentativité

L'UNEF a un rôle de représentation des étudiants dans les instances locales et nationales.

[modifier] Représentativité au CNESER

L'UNEF est en 2006 la première organisation étudiante au CNESER avec 5 élus sur 11, devant la FAGE, PDE, l'UNI la et les autres organisations sans élu national (FSE, SUD Étudiant, EMF…).

Année 2002 2004 2006
Voix 669 717 805
% 39,63% 37,99% 41,8%
Elus 5 5 5

[modifier] Représentativité au CNOUS

Au CNOUS, elle est la première organisation étudiante au CNOUS avec 4 élus sur 8.

Année 2002 2004 2006 2008
Voix 74 87 42 82
% 42,53% 49,74% 23,08% 47,95%
Elus 4 5 2 4

En 2006, on note une forte régression de l'UNEF dans les Conseils d'Administration des CROUS et du CNOUS. En effet, en raison du blocage des universités consécutif à la mobilisation contre le CPE auquel elle participait, l'UNEF a annoncé le boycott de ces élections (tout en maintenant ses listes de candidats, leur retrait n'étant plus possible). On note par ailleurs que des dizaines d'incidents ont été répertoriée en cette journée d'élections avec plus de 60 universités sur 84 perturbées voire occupées par des étudiants grévistes. Les résultats du CNOUS ont été confirmés par le rejet d'un recours de l'UNEF demandant l'invalidation de cette élection. En revanche, les élections des CROUS des académies de Versailles, Poitiers, Paris, Dijon, Nancy, Toulouse, Lyon, Aix-Marseille, Clermont-Ferrand et Montpellier ont été annulées (paradoxalement, cela n'a pas remis en cause la composition du CNOUS). L'UNEF obtient donc 2 élus sur 8 au CNOUS, derrière la FAGE (4 élus) et devant PDE et l'UNI (1 élu chacun). En décembre 2006, le résultat des 4 académies (dont celle de Paris) dont le scrutin est refait est favorable à l'UNEF, qui arrive en tête dans chacune d'entre elles. On arrive alors à une situation paradoxale : majoritaire dans les CROUS (54 sièges contre 49 pour la FAGE), l'UNEF reste 2nde force au CNOUS, dont le résultat a été maintenu. En 2008, l'UNEF, en tête, obtient au CROUS 81 sièges sur 196 http://www.cnous.fr/docx/doc_actualite_26.php

[modifier] Représentativité locale

Dans les instances locales (Conseils centraux d'Université, Conseils d'UFR, et Conseils d'Administration des CROUS), l'UNEF a aussi un grand nombre d'élus, ce qui lui permet -entre autres- d'obtenir de nombreux locaux dans les Universités. Elle est l'organisation la mieux représentée dans ces conseils, comme en témoignent les résultats des dernières élections au CNESER de 2006 (voir plus haut).

L'UNEF disposerait, selon le journal Le Bretzel[2], d'une forte notoriété nationale basée en grande partie sur la discipline de ces militants qui se répartissent les sites universitaires le jour des élections et diffusent massivement des milliers de tracts, quel que soit la réalité de l'implantation locale de l'UNEF[3], méthode qui a été reprise par la Confédération étudiante avec le soutien de la CFDT.

[modifier] Positionnement

[modifier] Plan social étudiant

L'UNEF demande la mise en place d'un nouveau plan social étudiant, qui succèderait à celui qui s'est clos en 1997, c’est-à-dire une série de mesures sociales destinées aux étudiants, pour remédier à la situation difficile à laquelle beaucoup d'entre eux sont confrontés (problème de logement, obligation de se salarier pour financer ses études,…).

Ce plan social comprendrait l'accélération de la construction et de la rénovation des cités U, l'accès des étudiants étrangers au système français d'aides sociales, l'augmentation immédiate du nombre et du montant des bourses, en attendant une refonte du système actuel et la mise en place de l'allocation d'autonomie.

[modifier] Allocation d'autonomie

Revendication majeure de l'UNEF depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'allocation d'autonomie, telle qu'elle est conçue aujourd'hui par la majorité de l'UNEF, devrait être universelle (accordée à toute personne en contrepartie d'un projet de formation, éventuellement avec une limite d'âge à condition de prévoir les cas de reprise d'études) et individualisée (elle ne tiendrait compte que de la situation propre de l'étudiant, et non plus celle de ses parents comme pour le système actuel) : ses revenus, s'il habite encore chez ses parents, etc. Chaque étudiant serait alors tenu de faire une déclaration individuelle de ses revenus.

[modifier] Démocratisation de l'enseignement supérieur

Cette revendication part du constat qu'aujourd'hui l'enseignement supérieur s'est plus massifié (il y a plus de 2,2 millions d'étudiants) que réellement démocratisé : l'échec reste très fort en premier cycle. Les Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles ("CPGE") peuvent être considérées comme des voies de contournement des premiers cycles de l'Université, de même que des filières courtes réputées sélectives comme les IUT, où l'encadrement est plus important qu'en premier cycle universitaire "classique" et les taux de réussite bien plus élevés. Les étudiants issus d'un milieu modeste ont beaucoup moins de chance que les autres d'obtenir un diplôme de l'enseignement supérieur, mais il faut toutefois noter que l'influence du milieu d'origine s'exerce bien avant l'entrée dans l'enseignement supérieur.

L'UNEF avance plusieurs propositions pour permettre cette démocratisation de l'enseignement supérieur: la fin de la division entre Grandes Ecoles et Universités, la multiplication des cours en petits groupes et des TD face aux cours magistraux, une plus grande interdisciplinarité des cursus permettant des changements de filière pour limiter les erreurs d'orientation,…

L'UNEF a participé aux négociations sur la loi Pécresse et, après avoir obtenu (avec les autres organisations étudiantes) l'absence de la sélection à l'entrée en master 1 et le contrôle national des frais d'inscriptions, l'association a jugé le texte « équilibré »[4]. Toutefois, l'UNEF a jugé a la rentré que Valérie Pécresse n'avait pas tenu ses promesses budgétaires, dénonce "un budget en trompe l'oeil" qui pousserait les universités à se tourner vers le privé, et appelé à prendre part au mouvement contre la loi. Selon certains journalistes, elle ne souhaite pas se laisser déborder par des organisations plus radicales[5].

[modifier] Modalité du contrôle de connaissances

L'UNEF prône l'adoption d'une charte des examens garantissant un certain nombre de droits aux étudiants. Elle permettrait notamment de garantir l'anonymat des copies et la session de rattrapage, de supprimer toute note éliminatoire, ou encore d'autoriser l'étudiant à faire appel de la décision des jurys d'examen.

[modifier] Égalité réelle des droits

La notion d'égalité des droits se distingue de celle d'égalité des chances. L'égalité des chances suppose que chacun a les mêmes chances de réussir au départ alors que l'égalité des droits doit permettre de donner à tous la possibilité de le faire, et donc de corriger en permanence les inégalités. L'UNEF s'oppose notamment aux frais d'inscriptions progressifs qui modulent les frais d’inscription en fonction du revenu des étudiants (un procès contre Sciences-Po, l'Institut d'Etudes Politiques, fut intenté sur ce point) car ils brisent cette égalité entre les étudiants[réf. nécessaire].

[modifier] Aide aux étudiants

L'UNEF développe des guides à l'intention des étudiants en général, ou pour des catégories d'étudiants comme les salariés ou les étrangers dont les problématiques peuvent être particulières :

[modifier] Notes et références

  1. Dans un entretien réalisé le 25 novembre 2006 à Paris, Caroline de Haas, secrétaire générale de l’UNEF, donne cette précision : « Nous avons 30 000 membres, 1000 personnes qui s'engagent sur le terrain, 500 militants qui consacrent plus de 10 heures par semaine à l'UNEF ». (Source : [1])
  2. journal étudiant alternatif et indépendant créé en janvier 2002
  3. juin 2004 page 14, le thème de ce numéro est le paysage syndical français
  4. Réforme des universités : les étudiants remontent au créneau, L'Expansion, 8 novembre 2007
  5. Après avoir négocié la " loi Pécresse ", le président de l'UNEF est en position difficile, Le Monde, 9 novembre 2007.

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens internes

[modifier] Articles connexes

[modifier] Tendances internes

[modifier] Bibliographie

  • Yassir Fichtali, Qu'est-ce que l'UNEF ?, L'Archipel, 2003
  • Didier Fischer, L'Histoire des étudiants en France, Flammarion, 2000
  • Jean-Philippe Legois, Alain Monchablon, Robi Morder, Cent ans de mouvements étudiants, Éditions Syllepse, 2007
  • Alain Monchablon, Histoire de l'UNEF, de 1956 à 1968, PUF, 1983
  • Robi Morder (coord.), Grenoble 1946. Naissance d'un syndicalisme étudiant, Éditions Syllepse, 2006
  • Robi Morder, « 1971, la scission de l'UNEF », La Revue de l'Université, 1997.

[modifier] Liens externes

Organisations étudiantes représentatives de France

Confédération étudiante
Fédération des associations générales étudiantes
Promotion et défense des étudiants
Union nationale des étudiants de France
Union nationale inter-universitaire


Autres langues