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Représentation de l'épisode du Sermon sur la Montagne dans lequel selon l'Evangile selon Mathieu, Jésus de Nazareth pronoce le texte sur lequel se base la prière du Notre Père. Oeuvre de Carl Heinrich Bloch, au Nationalhistoriske Museum på Frederiksborg Slot, Chateau de Frederiksborg, Danemark
Représentation de l'épisode du Sermon sur la Montagne dans lequel selon l'Evangile selon Mathieu, Jésus de Nazareth pronoce le texte sur lequel se base la prière du Notre Père. Oeuvre de Carl Heinrich Bloch, au Nationalhistoriske Museum på Frederiksborg Slot, Chateau de Frederiksborg, Danemark
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Le Notre Père (du latin, Pater Noster) est le nom d'une prière chrétienne enseignée par Jésus de Nazareth selon le récit des évangiles de Matthieu (

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) et de Luc (

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). Aunque ambos autores difieren en la descripción de las circunstancias y en el estilo del texto de la oración, del que derivan las diferentes versiones existentes para cada confesión cristiana, el Padrenuestro es considerado [1] la oración cristiana común por excelencia.

Sommaire

[modifier] Avant le Notre Père

Dans la théorie qui soutient qu'un important ensemble de la croyance chrétienne provient directement de la culture de l'Égypte antique, le théologien et égyptologue catalan Llogari Pujol a signalé un précurseur concret du Notre Père dans un texte égyptien datant de -1000 avant JC, connu sous le nom de Oraison de l'aveugle[2].

[modifier] Manière de prier des gentils

Statue de Zeus réalisée par le sculpteur grec Phidias vers -435, d'après une gravure de Maarten van Heemskerck datant du XVIe siècle.
Statue de Zeus réalisée par le sculpteur grec Phidias vers -435, d'après une gravure de Maarten van Heemskerck datant du XVIe siècle.

Dès les débuts des temps historiques, apparaissent des religions organisées, des temples où les prêtres rendent un culte aux forces de la natrure représentées la plupart des fois par des figures de dieux anthropomorphes. Les religions primitives sont généralement dépourvues du concept de Dieu universel, qui serit le même pour tous les hommes. C'est pourquoi on adore des divinités locales, qui sont considérées comme ne pouvant aider que leur propre peuple. Ainsi, les dieux des autres cités ou pays sont considérés comme "véritables". Pour donner un exemple, un égyptien pouvait considérer qu'Athéna aidait les grecs mais pourtant il s'en remettra aux dieux égyptiens comme Horus pour demander de l'aide.

Chaque nation avait une manière de communiquer avec ses dieux. L'un de ces moyens de contact est d'utiliser des paroles, plus ou moins rituelles, comme si les divinités étaient des personnes écoutant les hommes et leur répondant. C'est ce que l'on appelle faire oraison. Si l'on considère le cas de la religion romaine, il existait des différences notables entre les oraisons destinées aux grandes divinités et celles effectuées pour les divinités familiales. Pour les grandes divinités comme Jupiter ou Saturne l'oraison était très complexe, avec un rituel élaboré plein de pompes et de cérémonies. On considérait que les dieux étaient loins et qu'il n'était pas utile de tenter d'établir un dialogue avec eux. De plus ils étaient si grands qu'ils n'écoutaient vraisemblablement pas. Cependant, il était nécessaire d'écarter leur colère, d'où ces cérémonies. D'autre part, les dieux domestiques, les divinités de la famille, les ancêtres, recevaient des prières différentes. On leur demandait conseil et protection, comme à des personnes proche et à travers une véritable conversation.

Dans le christianisme, la plupart des croyants sont originairement des gentils (non juifs). Il faut également considéré que le Nouveau Testament a été écrit dans une langue païenne : le grec. L'héritage des gentils porte ses marques sur le christianisme.

[modifier] Oración en el judaísmo

Icône de détail Articles détaillés : Judaïsme et Avinou Malkenou.
Juif yéménite en train de prier, portant la kippa et le talit.
Juif yéménite en train de prier, portant la kippa et le talit.

Le judaïsme se caractéristique par une grande nouveauté dans le contexte religieux de l'antiquité : l'existence d'un Dieu unique (le monothéisme). Comme pour les autres peuples de l'époque, la croyance juive soutenait que leur divinité ne favorisait qu'eux seuls, c'est à dire que c'est toujours un Dieu propre à un seul peuple. La différence fondamentale réside dans le fait que pour les juifs, toutes les autres divinités sont fausses, que seul leur Dieu exite réellement. Pour les juifs, leur Dieu a créé tous les hommes, mais il les a choisi aux seuls pour être son peuple.

Israël se comunica con su Dios a través de sus profetas y el más grande de todosModèle:Sinreferencias es Moisés. Así, Yahvé habría hablado cara a cara con él en reiteradas ocasiones. Se podría decir que no hubo persona que tuviera una relación más perfecta pero a la vez más humilde que Moisés. Según los relatos bíblicos, este hijo de Israel fue el único en comunicarse con Dios directamente (los demás que lo hicieron, lo lograron a través de la mediación de ángeles). Entendiendo la oración como el diálogo con Dios, Moisés tuvo la oración más sorprendente e ideal.

Israel es un pueblo donde la oración es uno de los puntos más importantes de su identidadModèle:Sinreferencias. Incluso los judíos ateos conocen algunas oraciones. Su contacto con Yahvé se ha caracterizado en gran medida por sus oraciones. El judaísmo legó al cristianismo una gran parte de sus creencias. De hecho el cristianismo asegura que en la figura del Cristo se da el cumplimiento total de sus escrituras. Jesús mismo creció dentro del contexto espiritual judío y esa identidad se ve claramente reflejada en la oración del Padre nuestroModèle:Sinreferencias.

Ejemplos de oraciones judías

  • Schemone Esre: llamada también la oración de las Dieciocho peticiones, es una antigua oración del judaísmo que aún se conserva. Las Dieciocho bendiciones son doce veces más largas que la oración dominical en su versión más amplia. En esta oración El Eterno (Yahvé) se revela como alguien próximo a quien se eleva esta oración, es un Dios único, salvador, justo y misericordioso con su pueblo elegido.
  • Chémâ Israël: el corazón de esta oración está contenido en el capítulo 6 del libro de Deuteronomio, empieza con la frase Shema Israel (Escucha Israel). Esta oración la deben rezar diariamente y su mensaje podría ser: a un Dios único corresponde un amor único, sin divisiones ni fisuras. Por lo mismo se reclama a un israelita un servicio exclusivo al Señor. Jesús la cita en Marcos.
  • Abbinou Malkenou: littéralement, Notre Père, notre Roi, cette prière contient les paroles du Notre Père en hébreu. On demande au Divin de permettre aux bénédictions de venir sur les vies des hommes.

[modifier] Espiritualidad judía vertida en el Padre nuestro

Différentes sources affirment que le Notre Père présente un héritage évident de la spiritualité juive.

Par exemple, dans le livre Rabbinic Literature and Gospel Teaching (Londres, 1930) on affirmequ'il y a des ressemblances entre la prière du Notre Père et les prières juives traditionnelles. Ces démonstrations prétendent démontrer la présence de traces de philosophie juive dans la prière.


En la Liturgia para la mañana del Shabat de acuerdo al uso romano se afirma: Modèle:Cita Este texto revela que los judíos ven al Señor como su Padre, el padre de su pueblo, mensaje que viene contenido en la oración de Jesús.

Un kadish dice lo siguiente: Modèle:Cita Aquí los judíos engrandecen el nombre de su Dios y le piden que los hombres lo reconozcan y glorifiquen. Este mensaje viene contenido en la primera petición de la oración.

Otro kadish dice: Modèle:Cita El Reino de Dios es una idea que los cristianos tomaron del judaísmo y este kadish lo demostraría.

El rabí Eleazar Magno dijo también: Modèle:Cita El texto griego del Padre nuestro en su traducción más fiel diría danos hoy nuestro pan del mañana, lo cual concuerda con lo dicho por Eleazar el Grande.

La Amidá dice por su parte: Modèle:Cita La Amida demuestra el dolor o al menos el temor que el pueblo de Israel siente por sus pecados.

Samuel el Pequeño dijo: Modèle:Cita El mensaje habla del amor a los enemigos. Perdonar a los que nos ofenden sería parte de ese amor.

La oración de Mar bar Rabna, datada en el siglo V y usada en la liturgia vespertina dice: Modèle:Cita Se le pide al Dios de los judíos en esta oración que sea una protección, al igual que Jesús le pide al padre que nos libre del mal.

El presbítero italiano Marco Adinolfi considera que el Padre nuestro pudo haber sido una oración propia del judaísmo, puesto que a lo largo de ella se sintetiza la espiritualidad judía, de forma que Jesús en el Padre nuestro dejó el mensaje más judío de toda la BibliaModèle:Sinreferencias.

[modifier] El Padre nuestro en la Iglesia primitiva

[[Imagen:Good shepherd 02b close.jpg|thumb|left|150px|Representación paleocristiana de Cristo como el Buen pastor en las catacumbas de San Calixto, Roma.]] Debe hacerse notar que Jesús vivió en el contexto de la espiritualidad judía, que en los evangelios se cita frecuentemente a los textos sagrados del judaísmo y que Jesús, como judío, estaba sometido a la Torá. Seguramente rezó las Dieciocho bendiciones, el Shema, el Avinu Malkenu (Padre nuestro, Rey nuestro), los Salmos o Tehilim (alabanzas en español), entre otros muchos rezos que existían dentro del corpus religioso del judaísmo.

Se puede asegurar que si el judaísmo introdujo una gran novedad en el contexto religioso de su época, el cristianismo trajo al mundo de su tiempo una nueva visión de la Divinidad. Para el cristianismo existía una deidad, la de los judíos. Solo había un Dios verdadero, pero no era para un solo pueblo. El Señor pasó de ser un dios local del pueblo judío a ser un Dios universal. El de los cristianos se mostraba a todos los hombres que quisieran seguirlo sin distinción de su origen. Según el cristianismo, el Señor tenía un nuevo pueblo al que cualquier hombre de buena voluntad podía pertenecer y ese nuevo pueblo era la Iglesia. Esa es la razón por la cual diferentes denominaciones cristianas se nombran a sí mismas el Nuevo Israel.

En un principio los primeros cristianos se consideraban a sí mismos parte del pueblo judío, oraban en las sinagogas y respetaban toda la Torá. En el primer Concilio de Jerusalén, narrado en el capítulo 15 del libro Hechos de los Apóstoles, se dice que los gentiles que abrazaban a Cristo no estaban obligados a cumplir la Torá dada al pueblo de Israel. Por ejemplo los cristianos de origen gentil no estaban obligados a circuncidarse o guardar el Shabat. A partir de este momento el cristianismo empieza a separarse gradualmente del judaísmo.

El Padre nuestro fue fundamental en este punto. Al separarse del judaísmo el cristianismo tuvo que ir adquiriendo una identidad propia y el principal rasgo de la espiritualidad judía era la oración. El cristianismo tenía que buscarse su propia oración, sus propios rasgos, para no ser considerada una secta del judaísmo. El Padre nuestro pasaría a ser el rasgo principal que diferenciaría al pueblo «nuevo» del «viejo» en este punto de la historia. La diferencia aún no estaba muy clara, entre los judíos y los primeros seguidores del cristianismo.

Los primeros cristianos tenían un gran respeto por la Oración dominical. La Oración dominical no se enseñaba a cualquiera. Su rezo constituía un privilegio que solo se otorgaba a los que ya habían recibido el bautismo. Era lo último que se enseñaba a los catecúmenos y solo hasta la víspera de su bautismo. Era la máxima y más preciada joya de la fe.

Los antiguos cristianos de las Iglesias de África tomaron su profesión de la fe (quid credendum) de esta oración. Una profesión de fe es una declaración de sus creencias, un ejemplo de esto es la oración del Credo o símbolo niceno del catolicismo latino y oriental. Los que pretendían obtener el bautismo debían tener un profundo conocimiento de la oración (quid orandum). Los catecúmenos debían de seguir detenidamente la explicación del Credo y posteriormente debían recitarlo públicamente de memoria. La transición entre estos dos pasos era el Padre nuestro. La profesión de fe en el cristianismo es una parte fundamental, pues mediante ella se declaran cuales son sus creencias fundamentales y básicas. El hecho de que las Iglesias primitivas de África lo tomaran como base para su profesión de fe, demuestra que desde los albores del cristianismo estas palabras de Jesús fueron consideradas las más santas palabras.

En la Iglesia primitiva el rezo del Padre nuestro estaba reservado para el momento más alto de la celebración que a la postre el catolicismo llamaría misa. La hacían preceder de fórmulas que señalaban su respeto. Estas fórmulas han sido heredadas por Iglesias en sus liturgias actuales: en la liturgia de la Iglesia oriental se dice como introducción: «Dígnate, oh Señor, concedernos que gozosos y sin temeridad, nos atrevamos a invocarle a ti, Dios celestial, como a Padre, y que digamos: Padre nuestro...». En la primitiva liturgia romana el sacerdote precedía la oración con la frase: «nos atrevemos a decir», reconociendo la enorme audacia que hay en repetir palabras consideradas tan santas por el cristianismo.

[modifier] El Padre nuestro en la Biblia

s:Accueil

Voir sur Wikisource : la Biblia.

[modifier] El relato en los evangelios

En los dos evangelios, es Jesús quien enseña el Padrenuestro a sus discípulos para enseñarles el modo correcto de orar. El relato evangélico parece indicar que sus seguidores tuvieron una completa confianza en sus enseñanzas. Se debe recordar que la religiosidad judía era muy rígida y tenía ritos y oraciones muy precisos. La relación con el Ser Eterno, que según sus creencias regía todo lo que existe, era algo muy delicado y por eso le piden a Jesús que les enseñe el modo correcto de dirigirse a Él; pues de acuerdo a ellos, sólo una persona muy cercana a Dios podría conocer la manera correcta de hablarle, siendo Jesús esa persona para ellos.

Con la oración que les enseña, Jesús trata de romper con las actitudes que alejaban al hombre de Dios, y busca una sencillez que facilite el diálogo con ese Absoluto que Jesús llamó Padre.

Relato de Mateo. [[Imagen:Meister der Ada-Gruppe 002.jpg|thumb|right|100px|Representación del evangelio de Mateo (ángel). Véase tetramorfos.]] La oración aparece en el contexto del Sermón de la montaña. Jesús había comenzado ya su vida pública, y debido a que ya era un conocido predicador congregó a mucha gente que quería recibir sus enseñanzas. Decidió subir a un monte para que todos pudieran escucharle, y una parte importante de las enseñanzas cristianas se basa en este pasaje evangélico: las bienaventuranzas (Mt), la comparación de los discípulos con la luz del mundo (Mt), la actitud de Jesús con respecto a la Ley de Moisés (Mt), y sus comentarios sobre los mandamientos (Mt), entre otras enseñanzas fundamentales para los cristianos.

El contexto en el que Jesús expone el Padrenuestro es el del reproche hacia aquellos, tanto judíos como gentiles, que han convertido la oración, como la limosna, en un hábito meramente externo (Mt). Jesús recomienda orar en secreto y con sencillez, y les ofrece el Padrenuestro como ejemplo de oración sencilla para dirigirse al Padre.

Relato de Lucas. [[Imagen:Meister der Ada-Gruppe 001.jpg|thumb|left|100px|Representación del evangelio de Lucas (toro). Véase tetramorfos.]] En el evangelio de Lucas el Padre nuestro aparece en la sección que es denominada el viaje a Jerusalén: es precedido por la exposición de la parábola del buen samaritano (Lc) y por el episodio de la disputa entre Marta y María (Mt). El relato parece sugerir que Jesús estaba orando solo y muy concentrado en lo que el evangelio llama «cierto lugar», por lo que nadie se atrevía a interrumpirlo, y sólo cuando terminó su diálogo con el Eterno uno de sus discípulos le pidió que les enseñara a orar, como también Juan enseñaba a sus discípulos. A continuación, Jesús les explica el Padrenuestro, en una versión más corta que la de Mateo y que contiene sólo cinco peticiones. El texto de Lucas según la traducción católica de la Biblia de América dice:

«Padre, santificado sea tu nombre; venga tu reino; danos cada día el pan que necesitamos; perdónanos nuestros pecados, porque también nosotros perdonamos a todo el que nos ofende; y no nos dejes caer en la tentación.» (Lc).

Comparación de los relatos. Lucas narra que uno de los discípulos le pidió a Cristo que les enseñase a orar después de que Jesús mismo hubo terminado su oración en solitario. En Mateo no aparece la petición del discípulo, fue iniciativa del propio Jesús enseñarles a orar con el Padre nuestro.

Las diferencias entre las dos versiones son las siguientes:

  • La invocación: Lucas invoca a Dios sólo como Padre y Mateo como Padre nuestro que estás en el Cielo;
  • En Lucas no aparece la petición de Jesús de que se realice la voluntad de Dios así en la tierra como en el cielo;
  • En Lucas no se menciona la petición «líbranos del mal».

El fondo de los dos relatos es el mismo: Jesús enseña a su gente cuál es la forma correcta de dirigirse a Dios. Sin embargo, Mateo la desarrolla de manera más extensa y profunda. El relato de Mateo sobre el Padre nuestro resulta más apasionado, puesto que en él Jesús está sobre una montaña rodeado de una muchedumbre ansiosa por escuchar sus palabras; en el relato de Lucas, en cambio, un Jesús más espiritual, orando en solitario, causa la admiración de un discípulo, quien espera pacientemente a que termine su oración para pedirle que le enseñe a orar.

Hipótesis sobre las diferencias entre Mateo y Lucas.

Hay tres hipótesis acerca de las diferencias entre los relatos del Padre nuestro entre los dos evangelios. Aceptando que Jesús pronunció solo una vez el Padre nuestro se plantean la siguiente cuestión; puede ser que las diferencias entre las versiones de Lucas y Mateo deban a la transmisión oral de la tradición, pero se plantea el problema de cual de los dos textos es el primitivo, y a partir de aquí surgen dos hipótesis:

  • El texto de Lucas contiene el relato original. Si el texto de Lucas fuera el primitivo los cristianos a la hora de transmitirlo de unos a otros tuvieron que haber añadido leves perífrasis.
  • El texto de Mateo contiene el relato original. Si el original fue Mateo entonces los cristianos recortaron la oración por olvido en la tradición recogida por Lucas.

En la tercera hipótesis se vierte la siguiente idea:

  • Jesús la pronunció en reiteradas ocasiones y los dos relatos son correctos. La oración era algo muy fundamental para Jesús, parte importantísima en el aprendizaje de sus discípulos. Surge entonces la hipótesis de que tal vez Jesús repitió varias veces esta oración para que sus apóstoles la aprendieran bien, y que Mateo y Lucas la sitúan en dos de estos distintos momentos. Esta teoría responde a la diferencia del relato de la entrega del Padre nuestro entre Mateo y Lucas.

Solo hay dos hechos que no dejan lugar a dudas: las diferencias entre las dos versiones del padre nuestro son marginales, y en la práctica la Iglesia primitiva optó por el texto de Mateo, probablemente por ser más rotundo y adornado. Por medio del método científico es difícil llegar más allá en estas averiguaciones.

[modifier] La prière en grec, langue des évangiles.

L'Ikhthys (poisson), acronyme en grec de: Jésus Christ Fils de Dieu, Sauveur a été le symbole des premiers chrétiens.
L'Ikhthys (poisson), acronyme en grec de: Jésus Christ Fils de Dieu, Sauveur a été le symbole des premiers chrétiens.[3]

Les évangiles ont été écrits dans une forme dialectale de grec, le koinè, également appelé grec alexandrin, hélénistique, commun ou du Nouveau Testament. Le koinè était la lingua franca, ou langue internationale de la Méditerranée orientaledepuis la période hellénistique.Tous les textes du Nouveau Testament ont été écrits en koinè, qui a également été la langue de diffusion du christianisme.

Le mot grec est souvent utilisé pour faire référence aux gentils dans le Nouveau Testament. Ce terme s'applique à toutes les personnes n'appartenant pas au peuple juif, même si elles ne sont pas originaires de Grèce. Cela nous renseigne sur la grande influence de la culture et de la langue grecque sur le monde méditerranéen à l'époque des premiers chrétiens.

Voici la lecture en grec du texte du Notre Père:
Original griego Transliteración Traducción
Πάτερ ἡμῶν ὁ ἐν τοῖς οὐρανοῖς Páter imón, o en dis uranís Notre père qui est au Ciel.
ἁγιασθήτω τὸ ὄνομά σου• ayasthito to ónomá su; Que ton Nom soit sanctifié.
ἐλθέτω ἡ βασιλεία σου• eltheto i baslía su; Que ton reigne vienne.
γενηθήτω τὸ θέλημά σου, yenithito to thélimá su Que ta volonté soit faite
ὡς ἐν οὐρανῷ καὶ ἐπὶ τῆς γῆς• os en uranó, ke epí tis yis; Sur la Terre comme au Ciel.
τὸν ἄρτον ἡμῶν τὸν ἐπιούσιον δὸς ἡμῖν σήμερον• ton arton imón ton epiusion dos imín símeron; Donne nous aujourd'hui notre pain de ce jour
καὶ ἄφες ἡμῖν τὰ ὀφελήματα ἡμῶν, ke afes imín ta ofelímata imón, Et pardonne nous nos offenses
ὡς καὶ ἡμεῖς ἀφίεμεν τοῖς ὀφειλέταις ἡμῶν• os ke imís afíemen tis ofiletis imón; comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés,
καὶ μὴ εἰσενέγκῃς ἡμᾶς εἰς πειρασμόν, ke mi isenengis imás is pirasmón, Et ne nous soumets pas à la tentation
ἀλλὰ ῥῦσαι ἡμᾶς ἀπὸ τοῦ πονηροῦ. alá rise imás apó tu ponirú. mais délivre nous du mal.
[Ὅτι σοῦ ἐστιν ἡ βασιλεία καὶ ἡ δύναμις καὶ ἡ δόξα εἰς τοὺς αἰῶνας•] [Oti su estin i basilía, ke i dínamis, ke i doxa is tus eonas;] Car c'est à toi qu'appartiennent le Règne, la Puissance et la Gloire, pour les siècles de siècles.
ἀμήν. amín. Amen

[modifier] La incorporación de la doxología final

La última frase de la oración (Tuyo es el reino, el poder y la gloria por siempre Señor. Amén) recibe el nombre de doxología final.

Esta parte de la oración se reza al final en algunas ocasiones específicas. En esta partícula se manifiesta el total reconocimiento por parte del orante de que Dios es un ser absoluto y supremo que no tiene principio ni fin. Algunos creen que es auténtica, basándose en una alabanza del Antiguo Testamento, mientras que otros afirman que se trata de un añadido posterior.

Según [4], la doxología final surgió entre los siglos II y III de la era cristiana. Según Joachim Jeremias, era inaceptable que la oración terminara con la palabra tentación, por lo cual la Iglesia primitiva añadió para el uso litúrgico esta doxología, basándose probablemente en el texto de 1 Crónicas:29:11-13.

Algunos copistas del Nuevo Testamento fueron influidos por la liturgia (donde se incluía la doxología) y añadían, sobre todo en el texto proveniente de Mateo, la doxología final. La versión Reina-Valera es uno de los ejemplos más conocidos de traducciones bíblicas en español donde se incluye esta frase al final del Padre nuestro de Mateo.

[modifier] Interpretación del catolicismo

[modifier] El texto en latín y versión católica en español

Modèle:Wikisource obra La versión católica del Padre nuestro en español se basa en la versión en latín, idioma oficial de la Santa Sede, que era también la lengua utilizada durante la Edad Media para recitar el Pater Noster, incluso por las gentes menos instruídas [5], aunque éstas utilizaban cotidianamente la variante llamada latín vulgar. Para una mejor difusión y comprensión de las Sagradas Escrituras, se encargó a San Jerónimo, religioso que dominaba las lenguas hebrea, aramea y griega, la adaptación de la Biblia latina que hasta entonces estaba disponible por las traducciones realizadas por varios autores, presentando diversos estilos en cada libro individual, dando origen a la versión llamada Vetus Latina o Vulgata.

[[Imagen:Pater Noster in Cantus Planus.png|right|200px|thumb|

Transcripción de la oración del Padre nuestro al Canto gregoriano]]
El texto en español es el usado por el Catecismo de la Iglesia Católica. La versión en latín es la que fue usada en la liturgia latina, antes del Concilio Vaticano II, comparada con el texto de la Vulgata:
Español Latín
Padre nuestro, que estás en el cielo, Pater noster, qui es in caelis,
santificado sea tu Nombre; sanctificetur nomen tuum.
venga a nosotros tu reino;
Adveniat regnum tuum.
(Vulgata: Veniat regnum tuum Modèle:Fn)
hágase tu voluntad en la tierra como en el cielo. Fiat voluntas tua, sicut in caelo, et in terra.
Danos hoy nuestro pan de cada día; Panem nostrum quotidianum da nobis hodie,
(Vulgata: Panem nostrum supersubstantialem da nobis hodie Modèle:Fn)
perdona nuestras ofensas
et dimitte nobis debita nostra
como también nosotros perdonamos a los que nos ofenden; sicut et nos dimittimus debitoribus nostris.
(Vulgata: sicut et nos dimisimus debitoribus nostris[6]
no nos dejes caer en la tentación, y líbranos del mal. Et ne nos inducas in tentationem, sed libera nos a malo.
Tuyo es el reino, el poder y la gloria por siempre Señor. Amen Quia tuum est regnum, et potéstas, et glória in sæcula (sæculorum). Amen

[modifier] Relevancia de la oración dominical

Para la Iglesia católica, el Padre nuestro es la oración por excelencia. Recibe también el nombre de oración dominical, del latín Dominicus ("Señor"), dado que Jesús de Nazaret es llamado Señor con frecuencia en los escritos cristianos y fue él quien transmitió a los apóstoles esta forma de orar.

Según el Catecismo de la Iglesia Católica el Padre nuestro es el resumen de todo el Evangelio. San Agustín de Hipona escribió: «Recorran todas las oraciones que hay en las Escrituras, y no creo que puedan encontrar algo que no esté incluido en la oración del Señor.»[7] Modèle:Wikisource obra Santo Tomás de Aquino dice en su Summa Theologica lo siguiente: «Que la oración dominical es perfectísima [...] en la oración dominical no sólo se piden las cosas lícitamente deseables, sino que se suceden en ella las peticiones según el orden en que debemos desearlas, de suerte que la oración dominical no sólo regula, según esto, nuestras peticiones, sino que sirve de norma a todos nuestros afectos.»[8]

De acuerdo con el Catecismo de la Iglesia Católica[9], Jesús no desea que la oración sea repetida de modo mecánico, sino que por medio de ella se establezca un diálogo con el Padre. Jesús dicta cómo debe ser la relación con Él: los hombres deben reconocer que es su Creador y, por tanto, su Padre, y rendirle la honra que merece; deben pedirle lo que necesiten, pues el Padre concede a quien le hace peticiones de manera adecuada; y deben también pedir perdón por sus pecados.

Algunas comunidades del catolicismo de rito oriental o iglesias uniatas utilizan la versión del griego koiné. Los católicos de rito latino usan la versión en su lengua nativa desde el Concilio Vaticano II, aunque antes se utilizaba la versión en latín.

La oración en la vida sacramental.

El Padre nuestro es parte fundamental en los tres sacramentos de la iniciación cristiana (bautismo, confirmación y eucaristía). En el bautismo y confirmación significa un nuevo nacimiento a la vida divina; es hablar a Dios con su misma Palabra. En la liturgia de la eucaristía es la oración de toda la Iglesia, allí se utiliza en su pleno sentido, se sitúa entre la anáfora (oración eucarística) y la liturgia de la comunión.

[modifier] Estructura de la oración

En el catecismo de la Iglesia católica se estructura la oración en tres partes principales: la invocación, las siete peticiones y la doxología final. En esta oración los católicos ven la total coherencia de Jesús con sus enseñanzas, y para demostrarlo en cada parte de la oración se da una cita bíblica relatando como fue que Jesús cumplió con cada una de las cosas que habla en el Padre nuestro. Se dan también citas del Antiguo Testamento, puesto que Jesús vivía bajo la Ley de Moisés o Torá.

[modifier] Invocación

  • Padre nuestro que estás en los Cielos.

Se puede invocar a Dios como Padre según la propia revelación bíblica en el Salmo 103(102):13: «Como el padre se compadece de los hijos, así se compadece el Eterno de los que le temen» porque, según los católicos, lo ha revelado su propio Hijo hecho hombre. Esta oración nos pone en comunión con el Padre y con el Hijo. Al decirle nuestro, los católicos invocan a la nueva Alianza en Jesús, la comunión con la Santísima Trinidad y la caridad divina extendida por la Iglesia en todo el mundo. Que estás en el Cielo designa la majestad de Dios y su presencia en el corazón de los justos. Según los católicos el mismo Dios lo revela en Salmo 103(102):19 «El Eterno estableció en los cielos Su trono».

[modifier] Siete peticiones

  • Primera petición: Santificado sea tu nombre.

Según los cristianos que abrazan el catolicismo al pedir que sea santificado sea tu nombre los hombres entran en el plan de Dios: la santificación de su Nombre, que fue revelado a Moisés (YHVH) y después revelado en Jesús. Todas las naciones y los hombres deben reconocer a Dios según los cristianos por el texto de Salmo 103(102):1 «Bendiga todo mi ser Su santo Nombre». Jesús mismo bendice al Padre en Mt: «Bendito seas, Padre, Señor de cielo y tierra».

  • Segunda petición: Venga a nosotros tu Reino.

La Iglesia tiene presente el regreso de Cristo y la venida definitiva del Reino de Dios. También se ora por el engrandecimiento del Reino de Dios en cada persona en su vida cotidiana, es decir, con los actos comunes y corrientes los hombres deben engrandecer el Reino de Dios. Esto ya estaba visto por Jesús en el Tanaj: Salmos 103(102):19 «Su reino domina sobre todo».

Cristo es un proclamador del Reino de Dios, que es la realidad última que todo abarca, en la que Jesús se implica totalmente. Tanto en Mc, como en Mt afirma claramente que su misión es proclamar el Reino de Dios y la proximidad de los Últimos Tiempos. Los Últimos Tiempos no equivalen al fin del mundo, sino que en el catolicismo comienzan cuando Jesús desciende a los infiernos y libera a los justos del Antiguo Testamento. Con su sacrificio, Jesús permite que los hombres vayan a la presencia de Dios y no se queden simplemente en el mundo de los muertos, esto es, que el Reino de Dios venga en los Últimos Tiempos.

  • Tercera petición: Hágase tu voluntad en la Tierra como en el Cielo.

En esta tercera petición los cristianos católicos ruegan al Padre que una la voluntad de los hombres a la voluntad de su Hijo para llevar a cabo el plan de Salvación en la vida del mundo. Cristo era muy consciente de esto cuando hizo la voluntad de su Padre, como demuestran sus palabras en su oración en el huerto de Getsemaní.

«Y adelantándose un poco, cayó sobre su rostro, orando y diciendo: Padre mío, si es posible, que pase de mí esta copa; pero no sea como yo quiero, sino como tú quieras.» Mt

Otros versículos que mencionan el mismo episodio son Mc y Lc. Los cristianos creen que Jesús, desde el momento en que dio la oración en el sermón de la montaña, sabía que estaría sometido a grandes sufrimientos. La Voluntad del Padre implicaba mucho dolor para Cristo, sin embargo, Él sabía que cumplir ese mandato era más importante que todo, y espera que los hombres imiten su ejemplo al cumplir la misión que les encomendó el Padre a pesar de cualquier obstáculo.

  • Cuarta petición: Danos hoy nuestro pan de cada día

Según el cristianismo católico, hay tres interpretaciones acerca de lo que es el pan de cada dia: el sustento material, la palabra de Dios y el Cuerpo de Cristo en el Sacramento de la Eucaristía:

Sustento Material: Se expresa la confianza que tienen los hijos a su Padre del Cielo. La expresión «nuestro pan» se refiere a los elementos terrenales para la subsistencia como dice en las siguientes citas de la Biblia:

Él «...sacia de bienes tu existencia. y te rejuveneces como un águila». Salmo 103(102), 5.
«Al verla, los hijos de Israel se dijeron unos a otros: ¿Qué es esto?, porque no sabían lo que era. Y Moisés les dijo: Es el pan que el Señor os da para comer.» Éxodo 16, 1.

En la primera cita habla de cómo Dios llena las necesidades personales de cada individuo, que el Padre puede proveer de bienes materiales y sustento a quien se comprometa con sus mandatos, de manera consciente o inconsciente. En la seguna cita se habla de cómo Dios alimenta a Israel con maná en el desierto. El Señor no desampara a su pueblo en el aspecto material, la Iglesia se considera el Nuevo Israel, el nuevo pueblo de Dios y si no desamparó a su pueblo, Israel, en tiempos de Egipto, tampoco lo hará con su nuevo pueblo, la Iglesia de Cristo.

Palabra de Dios: El catolicismo y todo el cristianismo en general considera la Palabra de Dios como pan de Vida, esta enseñanza viene vertida en el llamado Antiguo Testamento de acuerdo a la interpretación cristiana, como se puede ver en la siguientes citas:

«Y te humilló, y te dejó tener hambre, y te alimentó con el maná que no conocías, ni tus padres habían conocido, para hacerte entender que el hombre no sólo vive de pan, sino que vive de todo lo que procede de la boca del Señor.» Dt 8,3
«Pero Él respondiendo dijo: Escrito está: "No sólo de pan vivirá el hombre, sino de toda palabra que sale de la boca de Dios."» Mt 4,4

En la primera cita se da a entender que el hombre no solo es un cuerpo que necesita sustento material, para el cristianismo católico el hombre es una unidad cuerpo-alma: así como la comida alimenta al cuerpo, así el alma necesita lo propio, y esto se da con la Palabra de Dios. En esta petición los cristianos consideran que se pide alimento para el hombre integral, es decir, para el cuerpo y alma que son inseparables. No se puede alimentar al cuerpo sin alimentar al espíritu. En la segunda cita Jesús cita al Tanaj, precisamente en el pasaje del Deuteronomio donde es tentado en el desierto por el demonio, quien le dice que debe saciar el hambre de su cuerpo; Jesús le responde que no sólo su cuerpo necesita alimento, más bien su espíritu, demostrando una vez más la coherencia de su mensaje con la de su actuar en el relato de los evangelios.

Sacramento de la Eucaristía: Para el cristianismo católico este misterio está en el Sacramento de la Eucaristía y fundamentado en la Biblia, Jesús mismo es la comida y la bebida verdadera como dice en este texto del evangelio de Juan:

«Entonces Jesús les dijo: En verdad, en verdad os digo: si no coméis la carne del Hijo del Hombre y bebéis su sangre, no tenéis vida en vosotros. El que come mi carne y bebe mi sangre, tiene vida eterna, y yo lo resucitaré en el día final. Porque mi carne es verdadera comida, y mi sangre es verdadera bebida. El que come mi carne y bebe mi sangre, permanece en mí y yo en él. Como el Padre que vive me envió, y yo vivo por el Padre, asimismo el que me come, él también vivirá por mí. Éste es el pan que descendió del cielo; no como el maná que vuestros padres comieron, y murieron; el que come este pan vivirá para siempre.» Juan 6:53-58.

Para el catolicismo la eucaristía viene contenida dentro de esta cuarta petición, para los católicos el mismo Jesús instituyó a sus apóstoles en la Última Cena para que la transmitieran a los hombres de todos los tiempos y de generación en generación.

«Y mientras comían, tomó pan, y habiéndolo bendecido lo partió, se lo dio a ellos, y dijo: Tomad, esto es mi cuerpo.». Mc 14:22

Mateo 26:26 y Lucas 22:31-34 tocan el mismo punto, en la primera carta a los Corintios 11:23-25 también se habla de la institución del Sacramento Eucarístico.


  • Quinta petición: Perdona nuestras ofensas como también nosotros perdonamos a los que nos ofenden.

Esta petición implora a la misericordia divina, la cual no se puede recibir si no se perdona a los enemigos propios como Jesús lo hizo en la Cruz Lc 23:34 «Jesús decía: 'Padre perdónalos, porque no saben lo que hacen'».. Jesús sabe que el Padre perdona con amor porque lo dice en el Salmo 103(102):3 «Él perdona todas tus iniquidades». En el mismo salmo en el versículo 10 dice: «No ha hecho con nosotros conforme a nuestras iniquidades, ni nos ha pagado conforme a nuestros pecados.» Por eso es que se pide a Dios que perdone las culpas de los hombres en la medida que sepan perdonar, desde el punto de vista católico.

  • Sexta petición: No nos dejes caer en tentación

Los católicos piden aquí a Dios que los aleje de los caminos que los puedan conducir al pecado. Se implora al Espíritu Santo que dé discernimiento y fuerza, como Jesús las tuvo al ser tentado en el desierto Modèle:Biblia américas y con esto los católicos intentan demostrar que Jesús fue coherente son sus enseñanzas.

En el siguiente versículo se narra cómo Jesús «no cayó en tentación»:

«...y le dijo: Si eres Hijo de Dios, lánzate abajo, pues escrito está: "A sus ángeles te encomendará", y: "En las manos te llevarán, no sea que tu pie tropiece en piedra." Jesús le dijo: También está escrito: "No tentarás al Señor tu Dios."» Mateo 4:6-7
  • Séptima petición: Y líbranos del mal

En el texto de (Salmos 116:4) se lee: «¡Libra, oh Eterno, mi vida!». Aquí se pide a Dios que quite las dificultades del camino del creyente, esta petición coincide con la que Jesús hace en el Padre nuestro. En esta última el cristiano pide al Señor que con el apoyo de su Iglesia Católica, Jesús manifieste su victoria sobre Satán y sus planes en contra de la Salvación de los hombres. Los católicos consideran su Iglesia la Iglesia de Dios Mt 16:18: «...y las fuerzas de la muerte no prevalecerán sobre Ella (se refiere a la Iglesia de Cristo).» Para el catolicismo la muerte es consecuencia del pecado, pero la Iglesia no será vencida por el pecado o la muerte por el texto antes mencionado.

[modifier] Doxología final

En el apartado 2855 del Catecismo de la Iglesia Católica se lee que el cuerpo de la doxología agregagada al final del padre nuestro es: «Tuyo es el reino, el poder y la gloria por siempre, Señor, Amén»

El principal objetivo de esta doxología final de acuerdo al catolicismo es la adoración al Padre, rendirle el culto de adoración que se merece como Dios, que después de tratarlo como una persona cercana se le da su lugar como ser absoluto y eterno. También es una acción de gracias al Padre al restituirle los tres títulos que posee:

Reino; Dios es soberano de este mundo y del Cielo, no hay nada que pueda superar su autoridad.

Poder; Dios tiene poder de hacer cualquier cosa puesto que es la causa original de todas las cosas, incluso de la materia.

Gloria; A Dios le rinden tributo los seres celestiales y su pueblo en este mundo. Estos tres títulos Cristo se los restituyó a su Padre para que Dios sea todo en todos.

La partícula Por Siempre Señor quiere decir que Dios es eterno, es el Eterno. Daniel (6:27) dice: «Él es el Dios vivo, y eternamente subsiste». En el Salmo 101/102:26-28 dice: «Tú, en cambio, eres siempre el mismo, tus años no se acabarán». El mismo nombre divino (YHWH), que significa «yo soy el que es» y es una forma del verbo hava, existir, denota el carácter eterno de Dios.

Del uso de la palabra Amén, para concluir la oración, san Cirilo de Jerusalén dijo en su Catecismo Místico: «Después de terminada la oración, dices: Amén, refrendando por medio de este Amén, que significa "Así sea" Lc, lo que contiene la oración que Dios nos enseñó».

  • Textos en la Biblia similares a la doxología.

Se cree que Jesús de Nazaret al concluir la oración pudo haber incluido esta frase para adorar a Dios, para rendirle homenaje tal como hacían los judíos del Antiguo Testamento. Se usaban este tipo de frases para enseñar al pueblo de Israel que debían completa obediencia a su Dios y que era el Soberano absoluto de este mundo y de lo que ellos llaman Olam Haba o Mundo Venidero. Las siguientes frases del Antiguo Testamento rinden adoración a Dios y se cree que Jesús o los evangelistas pudieron inspirarse en ellas debido a la estructura que tienen donde reconocen a Dios como dueño de los siguientes distintivos: rey, poderoso, glorioso y eterno.

«El Señor es rey; está vestido de esplendor, el Señor, está vestido y rodeado de poder; firme e inconmovible está la Tierra. Tu trono está firme desde siempre, tú existes desde la eternidad». Salmo 93
«Tuya oh Yavé, es la grandeza, la magnificencia, la duración y la gloria; pues tuyo es cuanto hay en el cielo y en la tierra. Tuya, oh Yavé es la realeza; tú estás por encima de todo, en tu mano están el poder y la fortaleza y es tu mano la que todo lo engrandece y a todo da consistencia. Pues bien, Oh Dios nuestro, te celebramos y alabamos tu nombre magnífico.» 1 Crónicas 29,11-13 (Biblia Latinoamericana)

[modifier] Interpretación de la Iglesia ortodoxa

thumb|right|Cruz ortodoxa Éstas son dos versiones ortodoxas del Padre nuestro en español:

Iglesia Ortodoxa Rusa[11] Iglesia Ortodoxa de Antioquía[12]
Padre nuestro que estás en los cielos, santificado sea tu Nombre, venga a nosotros tu reino, hágase tu voluntad así como es en el cielo, en la tierra. El pan nuestro sustancial de cada día dánosle hoy. Perdónanos nuestras deudas, así como nosotros perdonamos a nuestros deudores. No nos dejes caer en la tentación, mas líbranos del maligno.

Glorificación: Pues tuyo es el Reino, el Poder y la Gloria, ahora y siempre y por los siglos de los siglos. Amén.
Padre nuestro, que estás en los Cielos, santificado sea tu nombre, venga tu Reino, hágase tu voluntad así en la tierra como en el cielo. El pan nuestro de cada día dánosle hoy, y perdónanos nuestras deudas así como nosotros perdonamos a nuestros deudores, y no nos dejes caer en la tentación, mas líbranos del mal.

Glorificación: Pues tuyos son el Reino, el poder y la gloria (por los siglos de los siglos). Amén

Pour les chrétiens orthodoxes, le Notre Père est le modèle de la prière chrétienne. Pour eux, la prière se divise en une invocation, sept exhortations et une glorification. Ils considèrent la prière à la fois en fonction du contenu extérieur et du contenu intérieur.

[modifier] Contenu extérieur

Pour l'aspect extérieur, ils divisent la prière en trois parties : une invocation, sept exhortations et une glorification.

Primera parte: Invocación Padre nuestro, que estás en los Cielos,
Segunda parte: Peticiones santificado sea tu nombre, venga tu Reino, hágase tu voluntad así en la tierra como en el cielo. El pan nuestro de cada día dánosle hoy, y perdónanos nuestras deudas así como nosotros perdonamos a nuestros deudores, y no nos dejes caer en la tentación, más líbranos del mal.
Glorificación Pues tuyos son el Reino, el poder y la gloria (por los siglos de los siglos). Amén

[modifier] Contenido interior

Esta división sirve para explicar el Padre nuestro de una manera más espiritual.

Primera parte o principal: Invocación y peticiones para engrandecer y alabar a Dios Padre nuestro, que estás en los Cielos, santificado sea tu nombre, venga tu Reino, hágase tu voluntad así en la tierra como en el cielo.
Segunda parte: Necesidades corporales El pan nuestro de cada día dánosle hoy,
Tercera parte: Pecados personales y perdónanos nuestras deudas así como nosotros perdonamos a nuestros deudores, y no nos dejes caer en la tentación, más líbranos del mal.

Primera parte: Amor a Dios

  • Invocación: Un cristiano ortodoxo testifica que su verdadera patria no está en la tierra, sino en el cielo, al invocar al Padre de los Cielos.
  • Santificado sea tu nombre: Deben orar para que el nombre de Dios sea santificado, tanto en la vida personal de cada uno de los seres humanos, como en la historia humana; pero sobre todo con el testimonio de vida personal.
  • Venga tu Reino. Los ortodoxos piensan que la vida es una lucha constante entre dos principios: la luz y la oscuridad, la verdad y la falsedad, lo bueno y lo malo; se debe orar para que se produzca una victoria de la luz sobre las tinieblas y triunfe el Reino de Dios.
  • Tercera petición: Según la ortodoxia, la sabiduría real y la verdad de nuestra vida es someterse a la voluntad de Dios.

Segunda parte: Sustento material

  • Abarca sólo una petición: El pan nuestro de cada día dánosle hoy. Es la única que trata de las necesidades corporales.

Tercera parte: Peticiones sobre los pecados personales

  • Quinta petición: Jesús manifiesta que Dios perdona los pecados de los hombres. La condición indispensable para que Dios perdone las faltas de sus hijos es que ellos perdonen las deudas que su prójimo tiene con ellos.
  • Sexta y séptima petición: Hablan de las causas del pecado. En la primera petición se ruega que se libere de incitaciones y tentaciones a los cristianos. En la última petición se pide que seamos liberados del influjo del maligno, de Satán.

[modifier] Interpretación del cristianismo protestante

[[Imagen:Lutherbibel.jpg|thumb|left|250px|Biblia de Lutero, traducción al alemán de la Biblia publicada en el siglo XVI.]]

Para el cristianismo protestante es muy importante el siguiente mandato de Jesús:

Y al orar, no hablen sólo por hablar como hacen los gentiles, porque ellos se imaginan que serán escuchados por sus muchas palabras. No sean como ellos, porque su Padre sabe lo que ustedes necesitan antes de que se lo pidan. (Mateo 6:7-8) (Biblia, Nueva Versión Internacional).

Esto quiere decir que al orar el cristiano debe hacerlo bajo una profunda reflexión y no como una simple repetición mecánica de palabras. Los protestantes más que orar el Padre Nuestro repitiéndolo palabra por palabra, lo utilizan como un esquema para su oración personal al Padre:

'Padre nuestro [13] como esquema temático de la oración cristiana.

  • Padre nuestro que estás en el cielo, santificado sea tu nombre: Es decir, al orar, se debiera comenzar santificando y alabando el nombre del Padre.

De acuerdo con el texto evangélico denominado «Padre nuestro: La oración de Jesús», el nombre es algo muy importante puesto que en él los padres solían expresar lo que los padres querían para los hijos, el pequeño documento evangélico que el nombre de Jesús representa la misión que tuvo en la tierra, Yeshua o Yehoshua significa «Jehová salva», el mismo documento evangélico cita que el cardenal católico Albino Luciani eligió el nombre Juan Pablo I pues deseaba imitar las virtudes de Juan XXIII y Pablo VI solo para destacar la importancia del nombre en todos los ámbitos y no solo el protestante.

Entonces hay santificar el nombre de Dios pues el dice «Yo soy el que es» y toma ese nombre para sí (YHWH), Dando a entender que al reconocer el nombre de Dios aceptamos que es la causa primaria de todas las cosas y por tanto nuestro creador.

  • venga tu reino, hágase tu voluntad en la tierra como en el cielo: Para luego aceptar de corazón que se haga su propia voluntad y no la de la persona que está en oración.

De acuerdo con el texto «Padre nuestro: La oración de Jesús» esta frase (Venga tu Reino) afirma que Jesús está reconociéndose a sí mismo como el Mesías, pues está pidiendo que llegue el reino de Dios que será el reino mesiánico y que él encabezará a raíz de su segunda venida.

Con esto Jesús afirma que se cumplirán todas y cada una de las profecías, puesto que para que exista su reinado mesiánido se deben llevar a cabo todas y cada una de las profecías de la Biblia.

  • Danos hoy nuestro pan cotidiano: Se puede pedir al Padre que se concedan ciertas peticiones, sean personales o no, y es así como se pide "el pan de cada día".
  • Perdónanos nuestras deudas, como también nosotros hemos perdonado a nuestros deudores: Luego se pide perdón por los propios pecados y uno debe también perdonar los pecados de los demás.
  • Y no nos dejes caer en tentación, sino líbranos del maligno: Finalmente se le pide a Dios protección frente al maligno (Satanás).

Dentro del cristianismo protestante no se utiliza la fórmula del Padre nuestro palabra por palabra de manera frecuente. Los momentos de oración se efectúan de manera libre y personal, de acuerdo al sentimiento de cada persona, según lo que los evangélicos y pentecostales llaman el sentir del Espíritu Santo. Esto ocurre incluso durante reuniones masivas como la adoración dominical.

[modifier] La controversia sobre las deudas y el texto latino

Según consideran varios autores [14] la traducción literal "así como nosotros perdonamos a nuestros deudores" de la versión tradicional latina sicut et nos dimittimus debitoribus nostris es una referencia directa a la Ley de la Torá que fue instituída en tiempos de Jesús para el perdón de las deudas monetarias y materiales, tanto en los años sabáticos (cada siete años Deuteronomio), como también durante el jubileo (cada cincuenta años Levítico).

Como Wittermayer ha indicado, en la época de Jesús se debatía intensamente sobre la aplicación de esta norma de la Ley[15] a la que se oponían los ricos, y en especial, los banqueros [16] argumentando que su aplicación causaba la parálisis del crédito y por ende del conjunto de la economía[17]. Los acreedores se acogieron a una solución denominada "prosbul", del griego pros boulé o "acción formalizada ante el tribunal", mediante la cual se transfería la acreencia a una corte de justicia antes del año sabático y luego la corte la reintegraba al acreedor después del año sabático. Según el tratado Grittin de la Mishná, el rabino fariseo Hillel autorizó a los acreedores a practicar este procedimiento para evitar el perdón de las deudas.

Diferentes círculos judíos rechazaron la burla al perdón de las deudas mediante el "prosbul". Es el caso de los esenios; en los Manuscritos del Mar Muerto se condenan repetidamente los "buscadores de interpretaciones fáciles" [18], "celosos de la riqueza [19]. Un siglo después, durante la rebelión contra el Imperio Romano los zelotes pasaron a las vías de hecho, "prendieron fuego a todas las escrituras de los deudores y acreedores"[20].

El debate sobre el perdón de las deudas que los deudores no podían pagar, era un tema público de primer orden. El teólogo André Trocmé considera que Jesús claramente relacionó el perdón de los pecados por gracia de Dios, con la decisión de las personas de perdonar a los demás las ofensas, incluidas las monetarias o materiales, es decir las deudas. Así lo expone Mateo, en la "parabola del siervo desalmado". En el Evangelio de Mateo, todos los manuscritos griegos usan la forma correspondiente a las palabras "deuda" ὀφείλημα opheilema y "deudor" ὀφειλέτης opheiletes (ὀφείλεταις "a los deudores") y además el verbo "perdonar" ἀφίημι aphiemi, generalmente usado para la condonación de deudas monetarias o materiales y cuyo sustantivo ἄφεσις aphesis, es repetidamente usado por la Biblia griega o Septuaginta como traducción de יוֹבֵל "Jubileo" o "liberación" (v.g. Levítico)[21]. y por Lucas para referirse a la "libertad" de los cautivos y "liberación" de los oprimidos, cuando Jesús proclama el "año de gracia del Señor", también en alusión a los Años Sabáticos y el Jubileo, pero sin que s refiera a su celebración legal cada 7 o 50 años, sino cmo realización de la promesa mesiánica a partir de "hoy" (Lucas)[22].

Las diferentes versiones de la Vulgata, tradujeron en el Padre nuestro en latín, debita (deuda) y debitoribus (deudores). Aunque en Mateo Jesús habla de "ofensas" (παράπτωμα parapyoma), resultaModèle:Sinreferencias extraño que después de dos mil años varias iglesias resolvieran modificar al orar el versículo Mateo y tratar de eliminar así la referencia explícita de Jesús al perdón de las deudas monetarias. De hecho la versión de Lucas solicita el perdón de los pecados (αμαρτιας amartias), "porque también nosotros perdonamos a todo el que nos debe (οφειλοντι ofeilonti)". Ya Lucas ha declarado que no es meritorio prestar a aquellos de quienes se espera recibir y ha reclamado la necesidad de "prestar sin esperar nada a cambio". El Padre nuestro entonces, como el Año sabático y el Jubileo, une la voluntad de Dios y el perdón de los pecados, al perdón de las deudas monetarias o materiales y a la ayuda desinteresada al necesitado.

[modifier] Paralelismo del Padre Nuestro en el Judaismo e Islam modernos

Al igual que el cristianismo, el judaísmo y el Islam son consideradas religiones monoteístas, que creen en un sólo Dios, y abrahámicas pues consideran que Abraham fue el primer monoteísta. Estas tres religiones dicen adorar al Dios de Abraham, Isaac y Jacob.

[modifier] Judaísmo y la oración Abinu Malkenu

Abinu, Malkenu o literalmente en hebreo, Padre nuestro, Rey nuestro son las primeras palabras y el nombre de una parte solemne de la liturgia judía tradicional que se recita especialmente durante los días penitenciales que van del año nuevo judío al día de la expiación o Yom Kippur. Estas palabras proceden de pasajes bíblicos (Isa. lxiii. 16, lxiv. 8: "¡Nuestro Padre!" y también en la versión Itala de Tobit, xiii. 4, e Isa. xxxiii. 22: "Nuestro Rey"), ya se encontraban en la liturgia antigua en diversos contextos [23]

En su forma breve instituida por Rabbi Akiva (religioso judío del siglo I y siglo II) en el Talmud (tratado de Taanit), se recita tras la oración principal o Amidah, antes del servicio de lectura de la Torah [24]. Una traducción de su transcripción fonética en español se expone en la siguiente tabla[25]:

Transliteración Hebreo Español
Avinu malkenu Padre nuestro, Rey nuestro
chane-nu va-ane-nu agrácianos y respóndenos.
avinu malkenu Padre nuestro, Rey nuestro
chane-nu va-ane-nu agrácianos y respóndenos
ki eyn banu maa-sim porque no tenemos acciones (para pedir a cambio de ellas)
ase i manu haz con nosotros
asei i manu haz con nosotros
asei i manu tsdaka va chesed haz con nosotros caridad y bondad
v`ho shieee-nu y sálvanos
ki eyn banu maa-sim porque no tenemos acciones (para pedir a cambio de ellas)
ase i manu haz con nosotros
asei i manu haz con nosotros
asei i manu tsdaka va chesed haz con nosotros caridad y bondad
v`ho shieee-nu y sálvanos

Para el rabino David ben Israel de la asociación Esh HaTorá está oración se relaciona con el Padrenuestro cristiano[26].

Este punto de vista también es compartido por Yehuda Ribco, un polémico[27] profesor de Secundaria de la Escuela Integral Hebreo Uruguaya, que se refiere al «idolátrico padre nuestro» [28]. Ribco indica que la oración básica y primordial es el Shema Israel (Escucha Israel), que la más completa en su estructura es la Amidá, y que la oración que se refiere a Dios como Padre nuestro reiterativamente es el Avinu malkenu.

Sin embargo, para otros investigadores menos controvertidos el Abinu Malkeinu es sencillamente un reflejo de la tradicional figura metafórica de Dios como padre [29]

El judaísmo tradicional, una de las diferentes corrientes contemporáneas, como explica Esh HaTorá, no acepta la condición mesiánica de Jesús de Nazaret, interpretando que no cumplió ni con las profecías mesiánicas ni con los requisitos de Mesías. También consideran que los versículos bíblicos referentes a Jesús son traducciones incorrectas y que se contradice la teología judía, cuya creencia está basada en una revelación nacional y no en la demostración de milagros [30] .

No obstante, en base a que el Padre Nuestro cristiano no manifiesta literalmente la creencia cristiana en la personificación de la figura del Mesias judío en Jesús de Nazaret, es una plegaria considerada por fuente judías de referencia más bien como una oración de bella fomulación comparable con el rito completo del Addish [31]

[modifier] Islam

El Islam es una de las grandes religiones del mundo. La figura de Isa (Jesús) es muy importante, ya que es considerado el Mesías por el Corán y el profeta más cercano a Alá, sólo por debajo de Mahoma. Ellos consideran verdaderas sus enseñanzas, pero distorsionadas por los seguidores de Pablo de Tarso. La oración del Padre nuestro la tienen como una gran frase dicha por un gran profeta.

[modifier] El Padre nuestro en credos crísticos no-nicenos

El término niceno se refiere a los grupos religiosos que se apegan a las conclusiones que llegó el Concilio de Nicea I y que están resumidas en el símbolo niceno, lo que en el catecismo romano se conoce como la oración del Credo. La posición de las Iglesias tradicionales (católica, ortodoxa, protestantes históricas) es que quien no se apega a las doctrinas que derivaron del histórico Concilio no es cristiano, por otro lado hay organizaciones religiosas que se proclaman como cristianas y en algunos casos afirman que cualquier otra religión fuera de la suya no tiene carácter cristiano. La realidad es que la opinión más difundida es la de las Iglesias tradicionales, aunque dichas organizaciones han llegado a plantear argumentos interesantes para defender su carácter de cristianas.

  • Testigos de Jehová: uno de los grupos más numerosos dentro de estas organizaciones es el de los Testigos de Jehová, con unos seis millones de creyentes en todo el mundo. Comparten la visión protestante del esquema temático y se oponen a que la oración sea rezada de manera automática, detectándose dos diferencias con los credos protestantes: la primera diferencia con la visión protestante es que hacen énfasis en que Jesús se refiere a que el nombre de Dios bajo su forma de Jehová debe ser difundido cuando pide que se santifique el nombre del Padre; la segunda es que en la petición «hágase tu voluntad en la tierra como en el cielo» ellos la interpretan como la obligación de los creyentes de seguir lo que ellos llaman la adoración verdadera, es decir, su forma de adorar a Dios y difundirla tanto como les sea posible. La interpretación del resto de la oración tiene bastantes puntos de coincidencia con el catolicismo y con el protestantismo.
  • Judíos Mesiánicos: es una corriente muy diversa, encontrándose también grupos protestantes de judíos mesiánicos. Su interpretación del Padre nuestro se ajustaría al protestantismo o al catolicismo en cada caso. Por otro lado, hay grupos dentro dentro de esta corriente que rompen con lo estipulado en Nicea, como los autodenominados natzratim, que niegan la divinidad del «meshiaj» y hacen énfasis en traducir la oración al hebreo o al arameo, puesto que Yeshúa de Natzrat era yehudí (judío) y conocía las lenguas aramea y hebrea.

[modifier] El Padre nuestro como referencia de la lengua.

[[Imagen:Swahili-pn.jpg|thumb|150px|Padre nuestro en Swahili]] Véase también: Padre Nuestro en International Wikisource. Para leer el texto de la oración en diversos idiomas.

La mayoría de las lenguas vierten el nombre de esta oración con las palabras equivalentes a Padre nuestro, aunque también en muchas lenguas se le nombra con el equivalente a oración del Señor como es el caso del inglés.

[modifier] Comparación de lenguas a partir del Padre nuestro

Un ejemplo de la importancia de la oración de Jesús de Nazaret es que desde la publicación de las Mitrídates, título común para libros que contuvieran muestras de textos en varios lenguajes, diferentes traducciones de la oración dominical fueron utilizadas para comparar idiomas de manera sencilla y rápida.

A continuación se presenta una tabla esquemática que compara los nombres de la oración en algunos idiomas agrupándolos por familias lingüísticas.

  • Familia de lenguas afroasiáticas
Lenguas semíticas
Castellano Arameo Hebreo Árabe Siriaco
Padre nuestro Abwoon Avinu (אבינו) Aba-na ( أبانا) Abwoon (ܐܒܘ)
Jesús de Nazaret vivió en un mundo semita, por tanto él mismo hablaba una o varias de estas lenguas; debe notarse que en estas lenguas la palabra padre tiene un origen común que es Ab y se añade al final de esta palabra la partícula para indicar pertenencia.
  • Familia de lenguas indoeuropeas
Lenguas germánicas
Castellano Alemán Inglés Neerlandés Afrikaans
Padre nuestro Vaterunser Our Father (Lord's Prayer) Onze Vader Ons Vader
En el caso de las lenguas germanas debe notarse que la palabra padre se pronuncia más o menos igual en todas como "fader", que comparte la misma raíz indoeuropea que el griego o las lenguas romances.
Lenguas romances
Castellano Italiano Francés Catalán Gallego Portugués
Padre nuestro Padre Nostro Notre Père Pare Nostre Noso Pai Pai Nosso
El origen del nombre de la oración es el latín Pater noster. La palabra latina pater tiene la misma raíz indoeuropea que el griego (Pater hemon) y las lenguas germánicas, pero a su vez el latín dio origen a idiomas completamente nuevos que formaron la familia de las lenguas romances.

[modifier] Rasgos particulares de la oración en español.

Una de las principales y más notorias diferencias de la oración en castellano y otras traducciones es en la partícula Venga a nosotros tu Reino. Las palabras a nosotros fueron añadidas a la oración en español sin justificación aparente; compárese con el original griego elthetō hē basileia sou que se traduce como llegue tu reinado, o con la versión en latín adveniat regnum tuum que se lee en nuestra lengua venga tu reino. En lenguas modernas compárese con el inglés Thy kingdom come que quiere decir venga tu reino. La mayoría de las traducciones modernas de la Biblia al español han retirado la partícula a nosotros de este texto.

En la quinta petición: perdona nuestras ofensas como nosotros perdonamos a los que nos ofenden, la versión española cambia el término deudas (opheilēmata en el original griego griego, debita en latín, debiti en la oración italiana, debts en inglés), por el término ofensas (ofensas en las versiones en portugués y gallego, offenses en francés, etc.).

[modifier] Diferencias con el texto griego compartidas por otras traducciones.

En lo referente a la llamada cuarta petición; danos hoy nuestro pan de cada día, el término griego epiousion fue traducido por Jerónimo en la Vulgata como supersustancial para el Padre nuestro de Mateo. Este mismo término fue traducido como cotidiano para el texto que corresponde al Padre nuestro en el evangelio de Lucas. [[Imagen:Abana, paternoster.gif|thumb|left|150px|Caligrafía árabe del Padre nuestro o أبانا (Abana)]]

La oración dominical está basada en el texto de Mateo que aparece en la Vulgata, sólo que la liturgia latina cambió la palabra supersustancial por el término cotidiano. Jerónimo conocía el llamado evangalio de los Hebreos (escrito en arameo) y dice que la palabra epiousion (que significa algo así como mañanero, del mañana) corresponde a la palabra mahah (mañana en arameo). Por tanto esta petición debería traducirse como nuestro pan del mañana dánoslo hoy.

Danos hoy nuestro pan cotidiano. Traducen de acuerdo a la Vulgata, danos hoy nuestro pan cotidiano, varias versiones como: la francesa, notre pain quotidien; la italiana, nostro pane quotidiano; la inglesa, Give us this day our daily bread; la española, nuestro pan de cada día, etc.


Nuestro pan del mañana dánoslo hoy. El idioma copto es actualmente una lengua muerta que se utiliza solamente en la liturgia de la Iglesia copta (de Egipto). Esta Iglesia cuenta con traducciones del evangelio que fueron hechas en tiempos cercanos a los del cristianismo primitivo. Los coptos traducen en la cuarta petición del padre nuestro: «nuestro pan del mañana dánoslo hoy». Los egipcios cristianos hacen su rezo cotidiano en árabe y en esta petición dicen «hubzaná kafáfaná a 'iná l-yawmá»; esta frase es una traducción del copto al árabe donde se refiere al pan del mañana. La traducción del Padre nuestro al árabe por lo tanto es de las más fieles al griego en que fueron escritos los evangelios.

[modifier] Usos no religiosos del Padre Nuestro

[modifier] Sátira política

Durante la segunda mitad del siglo XVIII, la creciente contestación a la dominación española en América se manifestó frecuentemente mediante la sátira política especialmente dirigida contra la institución católica del Tribunal del Santo Oficio o Inquisición. La consecutiva represión que incrementó el descontento y el ejemplo de los revolucionarios franceses, provocaron una escalada en el empleo de la sátira que se extendió hacia el ámbito de la liturgia religiosa dando origen al uso de la ‘’oración pervertida’’. En este contexto, en 1799 se desarrolló en Nueva España el llamado proceso del ‘’Padre Nuestro de los Gachupines’’ conducido por el tribunal. Para la investigadora María Agueda Méndez, del Colegio de México, este uso del Padrenuestro es un ejemplo inversión de ritual en el que lo que ha sido vehículo de culto divino se ha vuelto un discurso que se emplea para atacar o halagar a los mortales y para trastornar ordenamientos políticos y sociales[32].

[modifier] Cultura popular

Modèle:Enobras

La expresión Padre nuestro está contenida en numerosas obras literarias de autores creyentes y no creyentes. Poemas de Gloria Fuertes o Pablo Neruda[33]entre otros, recurren al nombre o a la estructura de la oración como inspiración para sus composiciones.

En 1985 la película Padre nuestro dirigida por Francisco Regueiro y con un argumento sobre el mundo eclesiastico, fue premiada con el Grand Prix des Amériques por el festival de cine de Montreal.

[modifier] Véase también

  • Jesús de Nazaret
  • Cristianismo
  • Sermón del Monte
  • Oración
  • Catolicismo
    • Paráfrasis del padre nuestro
    • Rosario
    • Ave María
  • Protestantismo
  • Kadish

[modifier] Notas y Referencias

  1. Según opina el padre Kondothra M. Georges, profesor del Seminario Teológico de Kottayam, Kerala (India) y sacerdote ordenado de la Iglesia Ortodoxa Siria de Malankara de Kottoyam. Consejo Mundial de Iglesias,¿Cómo oraremos en el futuro?, disponible en wcc-coe.org
  2. Interview dans La Vanguardia, 25 décembre 2001, Jesús nació 3.000 años antes de Cristo, disponible sur fortunecity.es
  3. Acronymfinder.com, Signification de l'acronyme Ichtus' : http://www.acronymfinder.com/af-query.asp?Acronym=ichthus&Find=find&string=exact
  4. La doxología final, en http://www.bibletexts.com/versecom/mat06v09.htm
  5. The Lord's Payer en The Catholic Encyclopedia, Volume IX. Ed. 1910. Nueva York, disponible en newadvent.org
  6. Lo que aparece entre paréntesis es el texto que se vierte en la Vulgata de San Jerónimo y es diferente del Paternoster del rito tridentino sólo en estas partes.
  7. S. Agustín, Epístola 130, c.12: PL 33, 502., Citando fuente el Catecismo de de la Iglesia Católica 2762
  8. Tomás de Aquino,Summa Theologica 2-2,83,9
  9. Catecismo de la Iglesia Católica, apartado 2766 del CIC en http://www.labibliaonline.com.ar/WebSites/LaBiblia/CATIC.nsf/0/12F0F44837C64D2883256959006DD163?OpenDocument donde se explica que Jesús no desea la repetición automática de las oraciones.
  10. En la Iglesia Ortodoxa se explica lo siguiente: La línea superior que atraviesa esta cruz se dice que representa el sitio donde Jesús posó su cabeza y la línea que cruza la parte de abajo representa los pies perforados de Jesús y su intensa agonía.
  11. La oración en español fue tomada del sitio del Padre Alexander, sacerdote ortodoxo de la diócesis de la Iglesia Rusa Ortodoxa con sede en la ciudad de Los Ángeles, California
  12. Esta versión se vierte a través de los sacerdotes que sirven a la Arquidiócesis Ortodoxa Antioquena de México, Venezuela, Centroamérica y el Caribe con sede en la Ciudad de México
  13. No hay una versión «oficial» en castellano dentro del protestantismo, ésta es tomada del texto de Mateo 6:9-13 de una traducción protestante evangélica de la biblia, la Nueva Versión Internacional
  14. Saulnier, Christiane y bernard Roland (1994) Palestina en tiempos de Jesús. Estella (Navarra): Editorial Verbo Divino, p. 21.
  15. Baron, Salo Wittemayer (1952) A Social and Religious History of Jews New York: Columbia U.P. 2 ed. p.p. 262 s.s.
  16. Baron, S.W. loc.ci.
  17. Yoder, John H. (1972) Jesús y la realidad política. Downers Grover, Illinois USA: Ediciones Certeza, 1985, p.p. 53
  18. 4Q169
  19. 1QS
  20. Flavio Josefo Guerra de los Judíos II, xvii
  21. Yoder, John H. (1972) Op.cit. p.p. 50-51
  22. Una exposición de la visión de Jesucristo sobre el Jubileo puede encontrarse en el capítulo 3 (p.p. 43 s.s.) del libro de André Trocmé Jésus-Christ et la révolution non-violente; Genève: Labor et Fides.
  23. Kaufmann Kohler, Abinu Malkenu, artículo de The Jewish Encyclopedia, edición 1901-1906. Disponible el 13/11/2006 en http://www.jewishencyclopedia.com/view_page.jsp?artid=323&letter=A&pid=0
  24. MyJewishLearning.com, Liturgical Texts, Gleanings Avinu Malkenu. Artículo electrónico 13/11/2006 en http://www.myjewishlearning.com/texts/liturgical_texts/Overview_High_Holiday_Machzor/Machzor_Contents/AvinuMalkenu_Gleanings3592.htm
  25. David ben Israel, Shalom: Brujim Havaim Preguntas y respuestas: Padre nuestro en hebreo, artículo electrónico 13/11/2006 http://www.aish.com/espanol/rabino/respuestas/543_avinu_malkeinu.asp
  26. David ben Israel,Shalom: Brujim Havaim, Preguntas y respuestas: Así como los cristianos tienen el Padre Nuestro; ¿cuentan los judíos con alguna oración que consideren la más importante? artículo electrónico del 13/11/2006 en web aish.com: Modèle:Cita
  27. Lisardo Cano, UN RELIGIOSO INSULTA A JESUCRISTO POR INTERNET, artículo electrónico 13/11/2006 en http://www.rtvamistad.tv/noticias/rtvamistad/021c6896270088404.html
  28. Yehuda Ribco, cual es el Padre Nuestro Judio?, artículo electrónico en su web web serjudio.com: Modèle:Cita
  29. Carl M. Perkins, Avinu Malkeinu The language of merciful Father can still speak to us on the Day of Judgment., artículo electrónico 13/11/2006 disponible en web myjewishlearning.com
  30. Red EshTorá, Para Reflexionar Por qué los Judíos no creen en Jesús. Artículo electrónico, 13/11/2006 http://www.aish.com/espanol/para_reflexionar/por_que_los_judios.asp
  31. Kaufmann Kohler,The Lord's Prayer. Artíuclo de The Jewish Encyclopedia, edición 1901-1906. Disponible en ed. digital: Modèle:Cita
  32. Maria Agueda Méndez, “La oración pervertida en la inquisición novohispana”,Anales de literatura hispanoamericana, nº 20. Ed. Universidad Complutense, Madrid 1991
  33. Un Canto para Bolivar, disponible en [1]

[modifier] Bibliografía

  • Catecismo de la Iglesia Católica, Segunda edición, México D.F., Ediciones paulinas, 1997. ISBN 968-6056-74-2
  • Biblia de Jerusalén, Bilbao, España, Desclee de Brower, 1976. ISBN 84-330-0283-X
  • La Santa Biblia, Versión Reina-Valera 1909, Miami, Fl., 1977.
  • Biblia de América edición popular, Madrid, 1997 ISBN 8428813345
  • Catecismo ortodoxo, Los Ángeles, EUA., St George of Russia, 2000.

Fuentes electrónicas de la investigación.

[modifier] Enlaces externos

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