Loire

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Loire
La Loire à Orléans
Longueur 1 012 km
Débit moyen 903 m3.s-1
mesurés à Nantes
Surface du bassin 117 000 km2
Se jette dans l’océan Atlantique
Bassin collecteur Loire
Pays France
Cours d’eau - Hydrologie

La Loire est un fleuve long de 1 020 kilomètres, ce qui en fait le plus long ayant son cours en France.[1] Il prend sa source en Ardèche, au Mont Gerbier de Jonc.

Son embouchure se trouve dans la région des Pays de la Loire au sud de la Bretagne et à l'ouest de l'Anjou. La partie de son cours située en aval du confluent de la Vienne (à la hauteur de la commune de Montsoreau dans le Maine-et-Loire) et jusqu'à Saint-Nazaire s'appelle la Basse-Loire[2]. Elle se jette dans l’océan Atlantique en Loire-Atlantique à travers un estuaire.

Son bassin de 117 000 km² occupe plus d’un cinquième du territoire français.

Sommaire

[modifier] Étymologie

L'origine de son nom vient du latin Liger, provenant lui-même du terme celte liga signifiant : "lie", "boue", "limon".

[modifier] Histoire

Des scientifiques émettent l'hypothèse que, dans un passé éloigné, la Loire continuait vers le nord et finissait par rencontrer le cours de la Seine, tandis qu'existait une autre Loire prenant sa source dans la région de Gien et se dirigeant vers l'ouest. Un incident géologique, vraisemblablement le plissement alpin, aurait favorisé une capture de la Loire séquanaise par la Loire atlantique et aurait détourné ainsi le fleuve vers l'ouest, donnant la Loire actuelle. Le lit de l'ancienne Loire séquanaise est occupé aujourd'hui par le Loing.

[modifier] La navigation

Autrefois important axe de navigation et de transport de marchandises jusqu'au milieu du XIXe siècle, la Loire n’est aujourd’hui plus navigable pour les plus gros bateaux que dans son estuaire, jusqu’à Nantes environ. Elle reste classée voie navigable intérieure (et gérée par Voies Navigables de France) à partir de Bouchemaine jusqu'à Nantes, et aussi sur deux kilomètres entre Decize et Saint-Léger-des-Vignes pour assurer la connexion entre les canaux Latéral à la Loire et du Nivernais. On notera aussi la présence d'une écluse à petit gabarit sur le barrage de la centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire. C'est la seule écluse sur le cours de la Loire.

Les bateaux anciens étaient traditionnellement à fond plat (comme tout bateau fluvial), avec un grand mât et une voile carrée pour prendre le vent dominant d'ouest de Nantes à Orléans, abattable pour passer sous les ponts. Selon leur taille, ces bateaux se nommaient chaland, gabare, gabarot, toue, mahon, fûtreau...

Avec ces bateaux pérennes ont coexisté des bateaux conçus pour une unique descente, vendus au bout du voyage comme bois de charpente ou de chauffage, ou réutilisés localement. Ces bateaux, construits en sapin dans la région du Forez, emmenaient le charbon stéphanois et les produits foréziens tels que vins et céramiques jusqu'à Paris ou Nantes. Leur trafic a duré de 1704 à 1860. Ils se nommaient, selon leur lieux de construction, saint-rambertes (ou ramberte ou encore salambarde) s'ils étaient construits à Saint-Rambert-sur-Loire, ou roannaises s'ils étaient construits à Roanne.

[modifier] La batellerie à vapeur

Le premier bateau de ce type sur le fleuve est lancé en juin 1822. Il s'appelle La Loire et est destiné à faire la navette entre Nantes et Angers. A partir de 1825, d'autres bateaux remontent ainsi jusqu'à Orléans. Destinés au transport des personnes et des marchandises, ils font fortement concurrence à la marine traditionnelle. Il s'agit essentiellement de bateaux à aube, à fond plat, avec une cheminée inclinable (pour passer sous les ponts). De nombreux accidents ont émaillé l'histoire fluviale, dont plusieurs explosions de chaudière.

En 1837, la conception des chaudières est modifiée , donnant naissance aux bateaux appelés Inexplosibles, dont une première compagnie se fixe à Orléans[3]. Ils sont long d'une quarantaine de mètres avec un tirant d'eau inférieur à 20 cm. La chaudière, centrale, permet de mouvoir deux roues à aubes latérales. Le trajet Orléans-Nantes dure deux jours et la remontée trois. En amont, le bateau pouvait rejoindre Nevers en deux jours supplémentaires.

Le débit irrégulier du fleuve limitait fortement la circulation, en particulier la remontée de celui-ci, qui pouvait être cependant aidée par le halage des bateaux.

En mai 1843 s'ouvre la ligne de chemin de fer Paris-Orléans. Les inexplosibles servent alors à rejoindre les autres villes ligériennes. La fin des années 1840 voit l'arrivée du train à Tours, Angers, puis Nantes, mettant fin au transport fluvial des passagers. Le transport des marchandises va survivre quelque temps, l'un des derniers bateaux en service étant le Fram qui a navigué jusqu'en 1918.

Une reconstitution d'un Inexplosible est visible sur les quais d'Orléans depuis l'été 2007.

[modifier] Le XXe siècle

Jusqu’en 1991, des pétroliers remontaient encore de Nantes à Bouchemaine, à l’embouchure de la Maine, près d’Angers. Aujourd’hui, ce trafic commercial a totalement cessé. La Loire n'est plus naviguable actuellement par les hauturiers que dans son estuaire.

[modifier] La renaissance de la navigation ligérienne

Depuis le début des années 1990, un puissant mouvement de regain d'intérêt pour ce patrimoine a conduit de nombreuses associations, aidées par des archéologues nauticiens comme François Beaudouin, à reconstruire aussi fidèlement que possible ces anciens bateaux. Parmi les festivités sur le thème de la Loire, a lieu, tous les deux ans, à Orléans un grand rassemblement de ces « vieux gréments » de Loire, en septembre[4].

[modifier] Le fleuve royal

Icône de détail Article détaillé : Val de Loire.

La vallée de la Loire située entre Sully-sur-Loire et Chalonnes-sur-Loire a été classée en 2000 par l’UNESCO Patrimoine Mondial de l’humanité. La Loire est parfois surnommée fleuve royal étant donné la grande présence de châteaux souvent royaux la bordant. De nombreux châteaux sont à citer tels que le magnifique château de Chaumont dominant la Loire sur la rive gauche ou encore le splendide château d'Amboise édifiée au confluent de la Loire et de l'Amasse, ou alors le château d'Azay-le-Rideau et le château de Chinon etc... .

[modifier] Dernier « fleuve sauvage » ?

Malgré plusieurs barrages et d'importantes protections latérales contre les crues (des turcies ou levées), la Loire est souvent présentée comme le « seul grand fleuve sauvage » survivant en France : elle est aussi un « royaume » de paysages somptueux et de milieux naturels très riches. Mais cette appellation, selon les archéologues nauticiens et autres historiens, est très abusive : la Loire est une rivière « civilisée » depuis l'Antiquité, de par sa position privilégiée, avec le Rhône, dans l'isthme français entre les mondes méditerranéen et atlantique. Très tôt elle a connu des aménagements pour favoriser la navigation et protéger les populations riveraines de ses crues légendaires. La Loire a engendré une civilisation ligérienne qui lui est propre, avec ses traditions, ses savoir-faire, ses coutumes, son parler, même si aujourd'hui, avec la disparition de sa navigation, cette identité est perçue de manière moins évidente. Parler de la Loire comme d'un « fleuve d'aspect sauvage » serait plus approprié.

L'intégralité du fleuve a été inscrit comme Site d’importance communautaire du réseau européen Natura 2000 au titre des deux directives européennes « Oiseaux » et « Habitats », en vue de la protection de sa faune et de sa flore sauvage, de sa biodiversité, de ses écosystèmes ainsi que des lieux de passage des espèces migratoires.

[modifier] Hydrographie

Le cours de la Loire
Le cours de la Loire

[modifier] Entre la source et Orléans

La Loire prend sa source dans l’est du Massif central, au pied sud du mont Gerbier de Jonc, dans la commune ardèchoise de Sainte-Eulalie, à 1 408 m d’altitude. Elle n’est à l’origine qu’un simple filet d’eau, et il serait plus juste de parler des sources de la Loire car le fleuve n'est au départ qu'une multitude de petits ruisseaux qui se rejoignent progressivement.

Très rapidement, elle rencontre son premier affluent, l'Aigue Nègre. Le fleuve coule ensuite vers l’ouest, puis rapidement vers le nord en traversant le Massif central à travers plusieurs gorges. Parvenue à Saint-Victor-sur-Loire, elle débouche dans la plaine du Forez où elle peut faire une première pause avant de s'attaquer au seuil de Neulise, essentiellement de porphyre. Après la traversée des gorges de Villerest, elle arrive à Roanne et ne rencontrera dès lors plus aucun obstacle minéral. Son cours s'assagit et ralentit, et elle creuse son lit dans les sables et argiles. Son confluent avec l’Allier à Nevers double sa taille (L'Allier pourrait même être le cours principal, et la Loire son affluent, selon les fluctuations de leurs débits respectifs). Elle s’oriente ensuite vers le nord-ouest pour bifurquer finalement vers le sud-ouest après Orléans. À Pouilly-sur-Loire, le pont qui permet de relier Pouilly au département du Cher se situe à mi-distance entre la source et l'embouchure.

[modifier] Vers Orléans

Dans cette zone traversée par la Loire, le débit d'étiage est essentiellement souterrain (le Loiret n'étant en fait qu'une résurgence du fleuve). Cette configuration est responsable de certains effondrements dans le lit lui-même (« sables mouvants » responsables de beaucoup de noyades) ou au niveau de ses berges (bîmes). Le cours est divisé à certains niveaux en lit majeur ou grande Loire (côté nord) et lit mineur ou petite Loire (côté sud). Cette division est maintenue artificiellement par des digues submersibles parallèles à l'écoulement : les duits (ou les dhuis).

[modifier] Le Val de Loire

Château d'Azay-le-Rideau
Château d'Azay-le-Rideau

Le Val de Loire, tel qu'il a été inscrit en 2000 sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, désigne la partie de la vallée de la Loire située entre Sully-sur-Loire (dans le Loiret) et Saint-Florent-le-Vieil (en Maine-et-Loire). Il constitue un site exceptionnel pour sa diversité biologique ainsi que pour sa richesse historique et culturelle (parcs, châteaux et villes).

Entre Orléans et Angers, la vallée est souvent bordée de petites falaises de tuffeau et de calcaire. De nombreux îlots et bancs de sable ou de gravier parsèment le cours du fleuve, dont la profondeur et la largeur varient considérablement d’une saison à l’autre et d’une année à l’autre. Les crues de la Loire ont généralement lieu en hiver et, grâce à la présence de digues (levées) sur la plus grande partie de son cours, sont le plus souvent sans conséquences graves.


[modifier] L’embouchure

Le Pont de Saint-Nazaire vu depuis Saint-Brévin-les-Pins
Le Pont de Saint-Nazaire vu depuis Saint-Brévin-les-Pins

La Loire se jette dans l’Océan Atlantique par un estuaire situé au niveau de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique). Dans cet estuaire, la présence d'un îlot émergé, le « Banc du Billot » situé en face du port de Montoir-de-Bretagne rend la remontée des navires en Loire maritime (section Saint-NazaireNantes) très délicate. Un chenal, d'une profondeur de 13 m, est entretenu en permanence.

L'estuaire abrite les chantiers de l'Atlantique réputés notamment pour la construction de paquebots transatlantiques (Normandie, France, etc...) ou de croisière (Sovereign of the Seas, Queen Mary 2, etc...). Un pont à haubans multicâble en éventail dénommé pont de Saint-Nazaire enjambe l'estuaire de la Loire.

[modifier] Principaux affluents

Source de la Loire au Mont Gerbier de Jonc
Source de la Loire au Mont Gerbier de Jonc
Vue de la Loire à sa confluence avec l'Aigue Nègre (à gauche sur la photo), le mont Gerbier de Jonc est au fond à droite)
Vue de la Loire à sa confluence avec l'Aigue Nègre (à gauche sur la photo), le mont Gerbier de Jonc est au fond à droite)
Vue sur la Loire aux environs de Chaumont-sur-Loire
Vue sur la Loire aux environs de Chaumont-sur-Loire
Vue sur la Loire en amont d'Angers
Vue sur la Loire en amont d'Angers

Les principaux affluents de la Loire sont, à partir de sa source (note : D = affluent en rive droite, G = affluent en rive gauche), avec leurs longueurs repectives :

  • La Vrille (D)
  • La Cheuille (D)
  • L'Ousson (D)
  • L'Éthelin (G)
  • Le Trézée (D)
  • L'Ocre (G)
  • La Notreure (G)
  • L’Aquiaulne (G)
  • La Sange (G)
  • Le Bec d'Able (G)
  • La Bonnée (D)
  • L’Oussance (D)
  • La Bionne (D)
  • Le Loiret (G) - 12 km
  • La Mauves de Saint-Ay (D)
  • Le Mauves (D)
  • Le Lien (D)
  • L'Ardoux (G)
  • La Tronne (D)
  • Le Beuvron (G) - 115 km
  • L'Amasse (G)
  • La Cisse (D) - 81 km
  • La Bédoire (D)
  • La Choisille (D)
  • La Bresme (D)
  • Le Cher (G) - 365 km
  • La Roumer (D)
  • L’Indre (G) - 276 km
  • La Vienne (G) - 359 km
  • Le Thouet (G) - 140 km
  • L’Authion (D) - 85 km
  • La Maine (D) - 12 km
  • L’Aubance (G)
  • Le Louet (G)
  • Le Layon (G) - 90 km
  • La Boire de Champtocé (D)
  • La Thau (G)
  • L’Èvre (G) - 89 km
  • La Boire Torse (D)
  • Le Hâvre (D)
  • La Divatte (G) - 28 km
  • L’Erdre (D) - 92 km
  • La Sèvre nantaise (G) - 125 km
  • La Chézine (D) - 21 km
  • L’Acheneau (G) - 25 km
  • Le Brivet (D) - ? km

[modifier] Hydrologie

Le débit moyen de la Loire est très irrégulier. Il est, sur une année, de 350 m³/s à Orléans et de 900 m³/s à l’embouchure. Cependant, il peut parfois brutalement dépasser les 2 000 m³/s pour la haute Loire et 7 000 m³/s en basse Loire en période de crue. En été, un débit moyen de 10 m³/s à Orléans n’est pas rare. Cette irrégularité du débit fait que la majeure partie du fleuve n'est pas navigable.

Le débit est partiellement régulé par trois barrages :

Ils permettent la retenue des eaux pour écrêter les crues et le relargage pour maintenir un débit suffisant, en particulier afin de permettre le refroidissement des quatre centrales nucléaires situées sur le fleuve (Belleville-sur-Loire, Dampierre-en-Burly, Saint-Laurent-Nouan et Chinon).

[modifier] Les crues de la Loire

Elles peuvent être de type cévenole par averses brutales en amont ou de type océanique.

Elles sont relativement fréquentes (on parle de « crues décennales ») et connues de longue date, motivant la construction de digues dès le XIIe siècle, étendues par Louis XI à l’Orléanais et à la Touraine.

Les plus grandes crues, dans la région d’Orléans, ont eu lieu en juin 1856 (niveau maximal à Orléans à 7,1 m avec débit à 6 000 m3 au bec d'Allier), en 1866 (niveau 6,92 m), en 1846 (niveau 6,78 m). La crue la plus importante au XXe siècle est celle de 1907 (niveau 5,25 m). Auparavant, celles de 1707 et de 1790, du même ordre d'importance, étaient les crues de référence.

La crue de 1856 demeure encore de nos jours la crue record et de référence pour l’aménagement du territoire. Elle a recouvert près de 100 000 hectares, détruit près de 23 km de digues et provoquant la mort d'une trentaine de personnes uniquement dans le département de Maine-et-Loire. De nombreuses villes furent partiellement submergées : Blois, Tours, Trélazé, etc... Dans cette dernière commune, la carrière des Ardoisières fut engloutie provoquant l’arrêt de la production durant plusieurs mois. L’empereur Napoléon III fit alors une visite sur les lieux de la catastrophe. Cette visite auprès des sinistrés, avait aussi des arrière-pensées politiques (cf. émeutes de la Marianne dans cette commune un an plus tôt). Notons cependant qu’à l'amont du confluent de l’Allier, cette crue de 1856 est nettement en-dessous de celles de 1846 et 1866, soit d’un niveau équivalent à celle de 1907, ce qui n'est déjà pas mal.

De nombreuses maisons anciennes comportent des marques de crue sur leurs murs. Une campagne pour se souvenir de la catastrophe fut alors entreprise déposant de nombreuses plaques commémoratives sur les zones inondées en 1856.

Le 4 janvier 1994, Michel Barnier, ministre de l'Environnement du gouvernement Balladur, annonce le Plan Loire Grandeur Nature, un plan global d’aménagement de la Loire visant à concilier la sécurité des personnes, la protection de l’environnement et le développement économique.

[modifier] Toponymie et gentilés

L’adjectif signifiant « relatif à la Loire » est ligérien, d’après le nom du fleuve en latin, Liger, lequel a donné le nom français Loire, en patois ligérien Loère et les noms occitans Léger et Leire.

La Loire a donné son nom  :

[modifier] Principales villes traversées

La Loire à Roanne.
La Loire à Roanne.
La Loire à Nevers.
La Loire à Nevers.
La Loire à Orléans.
La Loire à Orléans.
La Loire à Tours.
La Loire à Tours.
La Loire à Saumur.
La Loire à Saumur.
La Loire à Nantes.
La Loire à Nantes.

La Loire arrose un grand nombre de villes, dont, entre autres, les suivantes[5].

[modifier] La Loire à vélo

La Loire à vélo est un projet d'itinéraire de 800 km, le long du fleuve royal, pour randonneurs en bicyclettes, à la découverte de ses paysages et de ses cités ligériennes :
Sancerre, Gien, Orléans, Blois, Amboise, Tours, Langeais, Montsoreau, Saumur, Angers, St-Florent-le-Vieil et Nantes.

Le nom déposé "Loire à vélo" correspond uniquement à l'itinéraire en région Centre et Pays-de-la-Loire.

(A gauche : La Levée de la Loire en Anjou) (A droite : St-Florent-le-Vieil)

[modifier] Voir aussi

commons:Accueil

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur la Loire.

[modifier] Liens externes

[modifier] Articles connexes

[modifier] Notes et références

  1. Le Rhin est plus long mais son cours est partagé entre plusieurs pays et coule partiellement en France, principalement en tant que frontière avec l’Allemagne)
  2. Association Patrimoine Culturel Loire
  3. Senotier A., A bord d'un Inexplosible, Corsaire éditions
  4. Site du festival de la Loire à Orléans
  5. Cette liste mentionne certaines des villes les plus importantes (préfectures et sous-préfectures en gras), où des mesures de débit sont réalisées et enregistrées, notées pour leurs sites remarquables ou pour la taille de leur population.