Lacapelle-Marival

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Lacapelle-Marival
Carte de localisation de Lacapelle-Marival
Pays France France
Région Midi-Pyrénées
Département Lot
Arrondissement Arrondissement de Figeac
Canton Canton de Lacapelle-Marival
Code Insee 46143
Code postal 46120
Maire
Mandat en cours
René Delluc
2001-2008
Intercommunalité Communauté de communes Causse Ségala-Limargue
Latitude
Longitude
44° 43′ 47″ Nord
         1° 55′ 36″ Est
/ 44.7297222222, 1.92666666667
Altitude 353 m (mini) – 596 m (maxi)
Superficie 11,61 km²
Population sans
doubles comptes
1 247 hab.
(1999)
Densité 107 hab./km²

Lacapelle-Marival est une commune française, située dans le département du Lot et la région Midi-Pyrénées, dans l'ancienne province du Quercy.

Ses habitants sont appelés les Marivalois, Marivaloises.

L'ancien nom du lieu était Lacapelle-Merlival[1]. Lacapelle était parfois écrit en deux mot La Capelle[2]. On trouve aussi l'ancienne dénomination La Chapelle-Merlival.

La communauté de Saint-Maurice-en-Quercy s'est séparée de Lacapelle-Marival en 1772[1].

Sommaire

[modifier] Géographie

[modifier] Situation

Lacapelle-Marival est un village entouré au Nord-Est de collines boisées des premiers contreforts du Massif central. Le bourg est traversé par un petit ruisseau, le Francès, qui se perd au contact du Causse de Gramat, huit kilomètres plus au Sud-Ouest, à Théminettes. Les eaux forment ensuite l'Ouysse souterraine.

Au Sud, s'élève la colline du Pech des Peyrades, dont le relais de télécommunication est visible des alentours. La source dite du Bois Bordet y a été captée sur son versant Nord.

Lacapelle-Marival se situe dans le Nord-Est du département du Lot, sur la D653 qui relie Cahors à Aurillac et à environ trois kilomètres au Nord-Est de l'axe Brive-Rodez (D840).

[modifier] Géologie

Lacapelle-Marival se situe à la limite du Ségala et du Limargue. On trouve en allant des hauteurs du Ségala (Nord-Est) aux parties basses du Limargues (Sud-Ouest) [3], [4] :

  • Dans la vallée du Francès et de son affluent venant des environs du lieu-dit Causse de Dièze, des alluvions récentes datant du Quaternaire. Les points les plus bas s'y trouvent : 359 mètres.

[modifier] Précipitations

Graphique montrant les précipitations annuelles de 1961 à 2006 d'après les mesures de Charles Sourzac (1961 à 1999) et d'Alain Paupert (à partir de 2000), habitants à Lacapelle-Marival.

Cliquez dessus pour agrandir.

[modifier] Histoire

[modifier] Les temps anciens

Lors de l'occupation romaine, une voie de communication aurait traversé la région de Lacapelle. Elle reliait Lyon à Bordeaux en passant par Clermont, Aurillac et Agen[5].

Le docteur Labat rapporte la légende de la Marie del Val[5]. Ce nom serait celui d'une jeune bergère qui aurait été martyrisée par un groupe de musulmans lors de leur retraite en 732 suite à leur défaite face à Charles Martel à Poitiers. Une petite chapelle aurait été bâtie à cet endroit : la capelle de de la Marie del Val, dont les vestiges auraient été découverts en 1957.

[modifier] Au Moyen Âge, la féodalité

Au Xe siècle, Lacapelle-Marival est mentionnée dans les écrits liés à la vie de Saint Géraud. Cet évêque et comte d'Aurillac possédait en Quercy de grands domaines incluant Saint-Cirgues, Le Bourg et Lacapelle.

Avant la fin de la vie de Saint Géraud, pendant une période trouble, les premiers comtes du Quercy étendirent leurs domaines et établirent la maison de Cardaillac. En 1064, Hugues de Cardaillac, dans son hommage à son seigneur le comte de Toulouse, déclara posséder la contrée autour de Cardaillac : Aynac, Leyme, Molières, Gorses, Prendeignes, Camburat et Lacapelle. Au XIIe siècle, Lacapelle possédait un donjon au milieu de bâtisses en bois dans un réduit fortifié.

Dans son testament en 1266, Bertrand III de Cardaillac , partagea son héritage entre ses trois fils. Son fils aîné Géraud Ier reçut le château de Cardaillac, les terres de Saint-Maurice-en-Quercy, Lacapelle, Rudelle, Camboulit... Il fut le fondateur de la seigneurie de Lacapelle-Marival. Il se fixa à Lacapelle et 1270. Il édifia et améliora les fortifications du château et du bourg qui ne comptait alors qu'une centaine d'habitants[5].

À la mort de Géraud Ier en 1293, son unique fils Géraud II rédigea un acte qui accordait des libertés aux habitants des terres de Lacapelle. Les habitants du bourg de Lacapelle et de Saint-Maurice-en-Quercy n'en bénéficièrent qu'au XIVe siècle [1] . Quatre consuls, deux pour Lacapelle et deux pour Saint-Maurice-en-Quercy représentèrent les habitants. Son fils aîné, Bertrand Ier, lui succéda,

Puis ce fut Bertrand II, fils aîné du précédent, qui se maria en 1313. C'est à cette époque (1348-1349) que l'épidémie de peste noire emporta dans la contrée un habitant sur huit.

Bertrand III, second fils, épousa le 24 janvier 1367 Dauphine d'Arillac. Durant la guerre de Cent Ans, il lutta contre les anglais. Malgré des alliances avec les seigneurs voisins de Castelnau, Thémines et Gramat, la ville tomba en 1388[5] ou 1389[1] entre les mains de routiers anglais.

Guillaume II, fils unique de Bertrand III, lui succéda, il épousa en 1386 Mathée de Cornac. Son fils (ou celui de sa veuve avec Bernard de Castrie ?) Guisbert devint le nouveau seigneur de Cardaillac et Lacapelle. Il rendit hommage au roi le 19 juin 1462. Il organisa la justice à Lacapelle en 1465. La population avait été tellement réduite durant cette période d'agitation que Guisbert de Cardaillac, dut faire venir de nombreux colons d'Auvergne, du Rouergue et du Gévaudan.

[modifier] À la Renaisssance

Fin du XVe siècle, sous les règnes de Charles VIII et Louis XII, le seigneur de Lacapelle, Astorg de Cardaillac, participe aux guerres d'Italie avec Galiot de Genouillac seigneur d'Assier. Il favorise l'implantation d'une verrerie qui acquit une grande réputation. les frères Colomb, originaire de Laguépie, s'enrichir et furent anoblis.

Sous le règne de François Ier, le fils aîné d'Astorg, Jean de Cardaillac, lieutenant d'artillerie, fut tué en 1521. Il n'eut qu'une seule fille Françoise. Gilibert, frère de Jean, s'empara de la succession malgré les actions en justice devant le Parlement de Toulouse des trois tuteurs de Françoise. Gilibert, paisible seigneur, mourut en 1536.

[modifier] Pendant les Guerres de religion

Lors des Guerres de religion, le second fils de Gilibert de Cardaillac, Antoine, devint le seigneur de Lacapelle. Chevalier de l'ordre du Roi, Il fut aussi sénéchal du Quercy et Gentilhomme ordinaire du roi Charles IX. Le 11 avril 1576, il vendit sa charge de Sénéchal et entrepris l'agrandissement du château de Lacapelle et la réfection de l'église après destruction de l'ancienne église romane de XIIe siècle.

Le Quercy fut alors le théâtre de féroces affrontements entre catholiques et protestants. Antoine de Cardaillac soutenait la cause des catholiques alors que ses parents de Cardaillac et de Latronquière s'était convertis à la religion réformée. Les habitants durent rejoindre les villes où leur parti était le plus fort. Antoine de Cardaillac sut préserver ses possessions et , , gouverneur de Figeac il repoussa les protestants en 1569. Il mourut en 1586 et fut inhumé dans l'église de Notre Dame de Lacapelle.

Après l'Édit de Nantes, Lacapelle servit de refuge au catholiques et Cardaillac aux protestants.

Le fils aîné d'Antoine, François reçut la succession. Il épousa le 15 août 1595 Madeleine de Bourbon Malause, fille du chambellan du roi de France. Ils eurent 18 enfants. François repris l'agrandissement du château. Il continua à défendre la royauté et le catholicisme. Blessé lors d'un affrontement avec le clan des protestants à Fons le 10 mars 1622, il décéda le lendemain. Son meurtrier fut tué par son fils Henry-Victor de Cardaillac.

[modifier] L'éloignement des Cardaillac et la vente de la seigneurie

Henry-Victor de Cardillac passa sa vie à la cour de Louis XIII. Il disposait de revenu très important pour l'époque : plus de 15000 livres. Vers 1630, la peste frappa à nouveau la région et emporta de nombreux habitants. La seigneurie de Lacapelle fut érigée en marquisat par Louis XIV, le 15 mai 1645 pour les services rendus par Henry-Victor lors de campagnes militaires. Sa mort vers 1661 semble marqué la fin d'un période plutôt heureuse pour Lacapelle et ses habitants.

Son héritier et troisième fils, le marquis Thomas Jean-Baptiste de Cardaillac, intenta à ses parents de nombreux procès. Les habitants durent subir les différents des deux partis avec par exemple le paiement en double des droits seigneuriaux, le siège du château en 1661. La fortune familiale fut engloutie dans ces querelles. Thomas Jean-Baptiste décéda en 1695 sans descendant, en conflit avec tous les tenanciers de ses terres. Il institua son épouse : Paule de Gondrin, marquise de Lacapelle, légataire pendant la durée de sa vie.

Un de ses neveu, Bertrand de Cardaillac lui succéda, il hérita aussi des procès engagés, qu'il réussit à arrêter par de fortes sommes le 24 août 1723. Il eut alors de gros problèmes financiers. A sa mort, il laissa la seigneurie à son frère Thomas II Jean-Baptiste. Ne pouvant plus faire face aux nombreuses charges, ce dernier vendit les terres et les titres de Lacapelle le 20 juillet 1732 à messire François-Emmanuel de Loupiac, seigneur de la Deveze, maréchal de camp des armées du roi, pour la somme de 120000 livres.

Le maréchal de la Deveze vécut à Paris et mourut en 1732. Son petit fils, messire Joseph de Glandié, seigneur de Vareix, chevalier de Saint-Louis, lieutenant-Colonel d'un régiment d'artillerie royale... se montra intraitable en demandant aux habitants mécontents les services et redevances en vigueur au Moyen Âge. Il mourut le 20 octobre 1757 à 84 ans sans voir l'issue des procès engagés et sans enfant. Il fut inhumé dans la chapelle Saint-Roch de l'église de Lacapelle.

Son frère, l'abbé de Vareix, devint à la fois Marquis et prêtre de Lacapel à l'age de 84 ans. Il poursuivit les actions engagées en justice et gagna les procès. La communauté de Lacapelle dut lui verser plus de 8000 livres. L'abbé mourut 6 avril 1767 à 91 ans.

[modifier] Période de la Révolution

Le neveu par alliance de l'abbé de Vareix, Alfonse-Louis du Montet hérita de la terre et du château de Lacapelle en 1767. Les difficultés ne firent qu'empirer. En 1772, Saint-Maurice-en-Quercy obtint contre l'avis de la communauté de Lacapelle a séparation. Un orphelinat fut créé le 18 juillet 1779.

Jean-Romain du Montet, son 3ème fils lui succéda. Ce fut le dernier seigneur de Lacapelle. Pendant la révolution, il s'enfuit. Le château subit plusieurs pillages pendant la Terreur. Le maire de l'époque, Antoine Bedou, fit inscrire ses propriétés sur la liste des biens nationaux. Le docteur Cadiergues[6] déclara que le citoyen Dumontet-Cardaillac, s'il avait quitté Lacapelle, n'avait jamais émigré. Ses biens furent mis aux enchères le 30 floréal de l'An IV. Sa soeur, Françoise de Gasc, loua le château pour 580 livres par an et acheta les autres articles sous des prête-noms.

Ce ne fut que le 8 floréal de l'an VIII que le citoyen Dumontet-Cardaillac put reprendre possession de ses biens, mais bien vite, il les vendit à des particuliers de Lacapelle.

[modifier] Période moderne

Au XIXe siècle, Lacapelle accueillit de nombreuses foires agricoles où s'échangeaient des céréales et des noix du Limargue, des châtaignes du Ségala, des bovins, des moutons et des volailles. L'industrie resta modeste : les verriers du XVe avaient disparu et seule une tuilerie ainsi que deux moulins subsistaient près du Francès. De nombreuses auberges étaient liées au petit commerce. Des travaux routiers furent entrepris vers 1860 pour la déviation de l'actuelle D940 par Le Bourg.

Le couvent des Bénédictines de Notre-Dame-du-Calvaire s'installa à nouveau au bourg de Lacapelle en 1843 sur l'instigation de l'abbé Pierre Cadiergues. Les religieuses créèrent, au Château du Galaup, une école de jeunes filles qui ferma en 1905. Avec l'aide de la population et de la municipalité, elles firent bâtir le monastère du Moutier Notre-Dame dans lequel elles géraient une ferme. Leur nombre atteignit plus de 110 religieuses à la fin du XIXe siècle.

En 1879, l'orphelinat, créé en 1779, fut dirigé par les Sœurs de Saint Vincent de Paul.

La vie politique fut parfois agitée : le 5 août 1883, le député Louis Rozière fut agressé à coup de pied et reçu un coup d'arme blanche à l'arcade. Il soutenait Emile Laparra à l'élection du conseil général du 12 août 1883 et fut pris à parti par des partisans de Robert Fraysse, à cette époque maire de Lacapelle et candidat[7].

La commune resta rurale durant le XXe siècle. Une tentative d'exploitation des eaux thermales de la source du bois Bordet échoua au début du siècle.

Lors de la seconde Guerre mondiale, le 12 mai 1944, des éléments de la 2e division SS Das Reich regroupèrent tous les hommes, de 16 à 60 ans sur la place du village. Soixante treize-furent arrêtés.

[modifier] Héraldique

Blason de Lacapelle-Marival
Blason de Lacapelle-Marival

Le blasonnement en est : « De gueules à la chapelle d'argent. »

[modifier] Démographie

Évolution démographique
(Source : Cassini[8] et INSEE[9])
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
854 1013 1156 1226 1240 1331 1351 1610 1462
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1450 1452 1342 1527 1475 1548 1551 1468 1307
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1073 1028 1039 872 878 851 925 958 1005
1962 1968 1975 1982 1990 1999 - - -
942 993 1151 1202 1201 1247 - - -
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes
Evolution de la population de Lacapelle-Marival de 1793 à 1999

[modifier] Administration

Liste des maires successifs[5]
Période Identité Parti Qualité
1983 René Delluc
1977 1983 Jean-Gabriel Costes Fils de Gilbert Costes


(Tableau version 11/11/2006)

[modifier] Économie

[modifier] Emplois et ressources

Certaines activités restent liées à l'agriculture :

De nombreuses personnes âgées sont venues dans le Lot et constituent une grande partie de la population de Lacapelle[10]. Des services adaptés se sont développés :

  • l'association d'Aide à Domicile en Milieu Rural (ADMR) pour le portage des repas, 50 emplois à temps partiel en 2007;
  • le Service de Soins Infirmiers à Domicile (SSIAD), 7 emplois;
  • deux maisons de retraite dont une qui occupe l'ancien couvent du Moutiers Notre-Dame : 60 emplois;
  • des structures médicales et médico-sociales dépendant de l'Institut Camille Miret qui emploie 750 personnes à Leyme.

On trouve aussi :

  • des commerces et supermarchés;
  • des services liés à l'automobile;
  • des antennes de services publics : EDF, DDE;
  • un terrain de moto-cross;
  • une station d'embouteillage de l'eau captée non loin de la source du Bois Bordet, commercialisée sous le nom La Marivaloise.

[modifier] Tourisme

Le riche passé historique de la ville est symbolisé par le château érigé par la famille de Cardaillac et par la vieille ville avec ses maisons en pierre de taille.

La commune offre aux visiteurs les services d'un office de tourisme situé à coté de l'Arbol, de nombreux gites ainsi que le camping municipal du Bois de Sophie.

Une des branches des chemins de pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle venant du Puy-en-Velay passe par Lacapelle[11]. Cet itinéraire est aussi un sentier de grande randonnée : le GR6.

Lacapelle est une commune classée parmi les plus beaux villages de France[12].

[modifier] Équipements et services

[modifier] Enseignement

Lacapelle-Marival possède une école maternelle publique, une école primaire publique, le collège Jean Monnet et un lycée professionnel agricole;.

Le site de l'école primaire de Lacapelle Marival: blog

[modifier] Lieux et monuments

  • Le château de Lacapelle-Marival des XIIIe et XVIe siècles (Monument historique[13]) érigé par la famille de Cardaillac, voir la partie Histoire, propriété de la commune de Lacapelle. Les membres de l'association des amis du château organisent des visites en juillet et août.
  • La halle du XVe siècle.
  • L'Arbol : porte de l'ancienne enceinte du château, flanquée d'une tour.
  • L'église construite en 1575 sur l'emplacement de l'ancienne chapelle romane du XIIe siècle, remaniée en 1835. Tableau du XVIIIe représentant l'asomption de la Vierge et tableau du Docteur Cadiergues qui représente des brancardiers pendant la première Guerre mondiale.
  • La place de Laroque d'où fut tirée la pierre qui servit à l'édification du donjon.
  • Le lac et son lavoir.
  • Le Camping Municipal du Bois de Sophie.
  • Le Circuit de moto-cross.
La façade Sud du château.
La façade Sud du château.
Détail de la charpente de la halle.
Détail de la charpente de la halle.
Porte de l'Arbol vers la place du Fort.
Porte de l'Arbol vers la place du Fort.
Porte de l'Arbol vue depuis la place du Fort.
Porte de l'Arbol vue depuis la place du Fort.
L'église du XVe siècle.
L'église du XVe siècle.
La place du fort.
La place du fort.
Le lac.
Le lac.
Le lavoir près du lac.
Le lavoir près du lac.


[modifier] Personnalités liées à la commune

  • Certains membres de la famille de Cardaillac ont joué un rôle d'importance pendant le Moyen Âge et la Renaissance : sénéchal du Quercy, membres de l'entourage des rois de France comme Antoine de Cardaillac gentilhomme de Charles IX, Henry-Victor de Cardillac à la cour de Louis XIII et Louis XIV, plusieurs ont exercé des commandements militaires importants (Voir la partie Histoire). Leur devise : "Toto Noscuntur In Orbe" qui signifie "Ils furent connus dans le monde entier".

[modifier] Sports

Club de rugby à XV le Stade Marivalois évoluant dans le Championnat de France de 3e division fédérale saison 2006-2007

[modifier] Voir aussi

[modifier] Références

  1. abcd Edmond Albe, édité en 2005, Monographies des paroisses autour de Thémines, publications Racines, éditions du Ver Luisant (Transcription : Gérard Peyrot et Paulette Aupoix), p203-213
  2. Armand Viré, 1907, LE LOT, Padirac, Rocamadour, Lacave, Guide du Touriste, du Naturaliste et de l'Archéologue, Réédition de 1999, Les éditions du Bastion.
  3. Hydrogéologie du département du Lot et des Causses du Quercy - Carte au 1/100000e avec fond topographique de l'IGN - Dressée par J.C. Soulé, J. Astruc et R. Vernet - Editions BRGM
  4. Carte IGN 2237 Ouest - Lacapelle-Marival - 1/25000
  5. abcde Lacapelle-Marival, Son château, ses seigneurs (les Cardaillac-Lacapelle), Dr Jacques Labat, juillet 2007
  6. Docteur Georges Cadiergues : La vie à Lacapelle-Marival pendant la Révolution
  7. L'attentat de Lacapelle-Marival - Etienne Baux - Bulletin de la Société des Études littéraires, Sceintifiques et artistiques du Lot, tome CXXV p.137.
  8. http://cassini.ehess.fr/ Population avant le recensement de 1962
  9. INSEE: Population depuis le recensement de 1962
  10. Plus d'un habitant sur cinq avait plus de 75 ans en 1999 http://www.journaldunet.com/management/ville/ville/demographie/19490/lacapelle-marival.shtml
  11. Le chemin de Compostelle sur le site de l'office du tourisme de Lacapelle
  12. Lacapelle plus beau village de France sur le site Tourisme en France
  13. Château : classement monument historique : 24 janvier 1939 [1]

[modifier] Liens externes