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Depuis 1919, les Témoins de Jéhovah (alors connus sous le nom d'Étudiants de la Bible, jusqu'en 1931) ont enseigné dans leurs publications que la Société des Nations et plus tard l'Organisation des Nations unies ont été mises en places comme contrefaçon du Royaume de Dieu. Le deuxième président du mouvement religieux, Joseph Franklin Rutherford, a sévèrement condamné les hommes politiques, les grands négociants et le clergé à cause de l'appui qui portaient à la Société des Nations. En 1942, Nathan Homer Knorr, le troisième président des Témoins de Jéhovah, avait prévu qu'après la Seconde Guerre mondiale, la Société des Nations ressusciterait. Le point de vue traditionnel de l'organisation est que l'Organisation des Nations unies détruira bientôt toutes autres religions, se tournant ensuite contre les Témoins de Jéhovah.

Sommaire 1 Histoire de l'enseignement des Témoins de Jéhovah 2 Conception des Témoins de Jéhovah sur l'ONU 3 Résolution de 1963 4 Association avec le DPI de l'ONU 5 Voir aussi 5.1 Liens internes 5.2 Liens externes 5.2.1 Liens favorables 5.2.2 Liens défavorables 5.2.3 Articles de journaux 5.3 Références 6 Présentation générale 7 Les origines de cet art martial 8 La philosophie 9 Les techniques de combat 10 Explication des techniques du kata armé de soie 11 Equipement 12 Bibliographie 13 Note et référence de l'article

Histoire de l'enseignement des Témoins de Jéhovah

À l'assemblée des Étudiants de la Bible tenue en septembre 1919, la presse locale a rapporté des commentaires de Rutherford sur la Société des Nations :

« Il a déclaré que la Société des Nations, constituées des forces politiques et économiques, a été créée par un désir d'améliorer l'humanité par l'établissement de la paix et de l'abondance d'un grand bien qu'elle accomplirait, puis a affirmé que le mécontentement du Seigneur est sûr d'être porté sur la Société, parce que le clergé -- catholique et protestant -- ont abandonné son dessein et ont approuvé la Société des Nations, comme étant l'expression politique du royaume du Christ sur terre^[1]. »

Le point de vue de Rutherford a été également soutenu par d'autres pré-millennialistes de cette époque^[2]. Le magazine des Témoins de Jéhovah L'Âge d'or (aujourd'hui baptisé Réveillez-vous !) a pareillement présenté les « politiciens professionnels » et les « puissances financières » ainsi que le « clergé » comme étant une « trinité profane » qui a soutenu la Société des Nations et a prévu sa cessation :

« Puisque ces deux classes [ des politiciens et des financiers ] sont présumées être des hommes de ce monde qui n'ont jamais prétendu avoir fait un engagement avec Dieu, il ne pourrait pas interférer avec eux pendant un certain temps, mais principalement en raison de l'autre membre de la trinité non sacrée - le clergé - Dieu indique qu'il ne laissera pas la Société des Nations et la ligue des églises durer^[3] »

. En 1930, Rutherford a édité Prohibition and the League of Nations - born of God or the Devil, which ? The Bible proof qui a conclu :

« voici le rapport positif et sans réserve de Jéhovah Dieu que ni la Société des Nations ni n'importe quelle autre combinaison des hommes et des gouvernements n'aura quoi que ce soit à faire avec l'établissement de son royaume et l'établissement de la paix et de la droiture. C'est le Royaume de Dieu, pas celui de l'homme ; et pour les hommes, assumer de faire ce que Dieu a déclaré qu'il fera est un péché flagrant et présomptueux. L'organisation d'une nation qui essaye de fonctionner en avant de Dieu et qui essaie présumptueusement d'installer une règle ou une organisation et de l'appeler le Royaume de Dieu souffrira d'une grave punition^[4]. »

Conception des Témoins de Jéhovah sur l'ONU

Les Témoins de Jéhovah enseignent que l'Organisation des Nations unies est l'« image de la bête sauvage » mentionnée en Révélation 13:1-18 et constitue la réalisation de « la chose immonde qui cause la désolation » énoncée par Jésus en Matthieu 24:15^[5]. Les Témoins de Jéhovah croient que Dieu emploiera l'Organisation des Nations unies pour détruire l'ensemble des fausses religions, c'est-à-dire que toutes les religions institutionalisées seront détruites, à l'exception des Témoins de Jéhovah. Ensuite, en se basant sur une prophétie d'Ezéchiel, le mouvement religieux s'attend à ce que l'Organisation des Nations unies se retournent alors contre lui pour le détruire, mais pense que Jéhovah interviendra alors en faveur de son peuple et détruira tous les éléments politiques. Ils croient que cet acte d'intervention divine sera Har-Maguédon, la partie finale de la 'grande tribulation'.

Résolution de 1963

En 1963, les Témoins de Jéhovah ont adopté une résolution établissant le point de vue officiel concernant l'Organisation des Nations Unies. La résolution a été publiée dans La Tour de Garde du 15 novembre 1963. Lors des 24 assemblées qui se sont tenues tout au long de cette année-là, un total de 454 977 participants a adopté la résolution.

Concernant l'Organisation des Nations unies, le paragraphe 5 des statuts de la résolution déclarait : « Les nations en outre ont refusé la reddition de leur souveraineté au royaume du Messie de Dieu en installant... les Nations Unies... cette organisation internationale pour la souveraineté mondiale par les hommes politiques. Pendant des années les hommes n'ayant pas foi dans le Royaume de Dieu ont essayé d'obliger toutes les personnes à adorer cette image internationale de la souveraineté politique humaine comme le meilleur espoir pour la paix et la sécurité terrestres, en fait, le dernier espoir pour l'humanité. Jusqu'ici 111 nations ont donné un culte à cette image politique en devenant membres d'elle. Cependant, nous, comme Témoins du Souverain Dieu Jéhovah, nous continuerons de refuser de nous engager dans un tel culte idolâtrique... »

Association avec le DPI de l'ONU

Comme cela est stipulé dans la charte de l'ONU, les organisations non gouvernementales (ONG), telles que la Société Watchtower, ne peuvent pas devenir membres de l'ONU. Ils peuvent cependant s'associer à l'une de ses sections.

La Société Watchtower est toutefois devenue, avec l'accord des membres du Collège Central (la direction mondiale du mouvement religieux), un membre associé du Département d'information publique de l' Organisation des Nations unies (UN/DPI) en février 1992 et a maintenu cette adhésion jusqu'en octobre 2001. Cette attitude des dirigeants du mouvement religieux envers l'Organisation des Nations unies (ONU) a provoqué un violent débat interne comme externe. L'ONU, qualifiée par leur doctrine de « contrefaçon du Royaume de Dieu » instaurée par Satan pour égarer les humains, a été l'enjeu d'un scandale quand a été découverte cette affiliation de la Société Watchtower Bible and Tract Society, organisation-mère des Témoins de Jéhovah de par le monde, en tant qu'ONG auprès du Bureau DPI de l'ONU à partir de 1989. Cette polémique a été d'autant plus vive que les fidèles de base doivent garder une stricte neutralité politique, qui parfois leur a coûté très cher (comme pour les Témoins de Jéhovah du Malawi qui, sur ordre de la Société Watchtower, ne devaient pas acheter la carte obligatoire d'un parti politique dans les années 70, subissant ainsi de terribles persécutions, voire de la mort). Alors que dans certains écrits des Témoins de Jéhovah, il est déclaré « qu'aucun chrétien ne doit soutenir cette organisation », le bureau mondial a accepté de « soutenir l'ONU et ses actions » et de « mobiliser l'opinion en faveur des Nations Unies » pour pouvoir « obtenir l'accès à la vaste bibliothèque des Nations unies » (selon le porte-parole britannique du mouvement), et pour « distribuer l'aide humanitaire et de défendre les droits de l'homme dans plusieurs pays du monde » (selon le porte-parole portugais du mouvement). De ce fait, certains ont trouvé l'attitude de l'organisation hypocrite, d'autant que cette affiliation était inconnue de la majorité des Témoins de Jéhovah. Des opposants ont démontré que l'accès aux documents de cette librairie pouvait se faire sans s'affilier au bureau DPI de l'ONU. La Société Watchtower a décidé dans la précipitation de démissionner, seulement trois jours après que la presse, notamment le journal britannique The Guardian, ait diffusé le scandale^[6]. De nombreux Témoins de Jéhovah, ne sachant pas s'il s'agissait d'une rumeur ou pas, ont demandé des explications à l'ONU, ce qui a poussé cette dernière à publier sur son site officiel une lettre en date du 4 mars 2004 récapitulant cette affaire^[7].

Voir aussi

Liens internes

• Témoins de Jéhovah
• Organisation des Nations unies
• Société des Nations

Liens externes

Liens favorables

• Compromis secret avec l'ONU ?
• (en)The Watchtower Society as a United Nations NGO - A critical look at the conspiracy theory

Liens défavorables

• Lettre de l'ONU et sa traduction, sur le site Blooklyntower
• "Les preuves définitives de l'association de la Watchtower avec l'ONU", sur le site TJ-Recherches
• "Watchtower et ONU, une collaboration de 10 ans !", sur le site Via Veritas

Articles de journaux

• (en)"Jehovah's Witnesses link to UN quiered", The Guardian, 8 octobre 2001
• (en)"'Hypocrite' Jehovah's Witnesses abandon secret link with UN", The Guardian, 15 octobre 2001
• (en)"Jehovah's Witnesses beat a hasty retreat after UN affiliation exposed", The Guardian, 18 octobre 2001

Références

[[Catégorie:Doctrine des Témoins de Jéhovah]] [[Catégorie:Organisation des Nations unies]] [[Catégorie:Critique des Témoins de Jéhovah]] [[en:Jehovah's Witnesses and the United Nations]]

Le kata armé de soie est un art martial occidental, non répertorié, protégé par l'INPI sous enveloppe Soleau n°41446 depuis le 10/03/2006. Contrairement aux arts martiaux actuels, cet art martial utilise des armes de première catégorie (arme à feu automatique de poing) mais aussi des armes de sixième catégorie (dont le katana japonais). Cet art martial contemporain recherche la puissance et l'efficacité par la vitesse d'exécution et les déplacements (rotation). Les applications sont civile (garde du corps), militaire et paramilitaire: Cet art martial doit être donc réglementé par la défence nationale [1] notamment par la délégation aux Affaires stratégiques (DAS).

Présentation générale

Le kata armé de soie est une succession de mouvements et d'enchaînements de techniques d'immobilisations directs et définitifs des cibles visées, dès le premier assault, armé du prolongement des deux mains, où plus les moyens d'immobilisation sont éloignés et plus les effets sont puissants.

• L'ensemble de mouvements codifiés spécifique à un art martial est le kata.
• L'ensemble de mouvements codifiés avec prolongement des mains (arme à feu catégorie 1, arme blanche catégorie 6) correspond au kata armé.
• Le symbole et métaphore liés à ce nouvel art martial correspond à la soie.

Les poings fermés peuvent alors jouer le rôle de "massus" où les pouces peuvent aussi servir de lames(technique Ju-jitsu, où un maître en ju-jitsu est capable avec la vitesse d'exécution de découper la chair avec une position spécifique du pouce) et leurs enchaînements permettent l'équation:

• Multiple du nombres d'impacts par nombres de cibles sur un rapport au temps plus efficaces.
• Les forces de frappes ou de découpes et leurs volumes de présence par rapport au temps étant bien supérieur par rapport aux frappes unidirectionnelles.

Cette discipline repose sur un mandala spécifique comme la rose des vents et des 8 techniques Yin et Yang qu'elle contient. Le maître du kata armé de soie arrive à unifier ces 8 techniques en utilisant:

• La technique du point zéro qui permet au maître kata armé de soie d'avoir plus de temps que ses adversaires.
• Le secret de la soie qui ne peut être révélé que par soi-même après un renoncement total et absolu de soi et de l'apprentissage de toutes les techniques de combat dans leur ensemble permettant la maitrise du point zéro.
• Son cognitif analogique en le développant à son maximum.

Le kata armé de soie est donc une méthode de combat et de défence permettant au maître du kata armé de soie d'affronter simultanément un minimum de huit adversaires (le nombre d'adversaires pouvant se réduire à un seul) tout en protégeant un diplomate.

Les origines de cet art martial

Actuellement, la fonction première des arts martiaux n'est plus le combat et la guerre (dont l'issu est la mort) mais des disciplines sportives (corrélées à la compétition) et spirituelles. Le kata armé de soie ne se pratique pas en compétition et enlève le dogme pour aller à l'essentiel. L'essentiel ne veut pas dire sans moralité et sans code d'honneur, bien au contraire: L'aspirant du kata armé de soie doit emprunter simultanément plusieurs voie spirituelles dont la voie du Budō. Cet art martial se différencie principalement (par rapport aux autres arts martiaux) par l'utilisation d'armes à feu de poing automatique. L'enseignement de cet art martial requière huit Maîtres ce qui permet d'éviter l'utilisation de cet art martial à des fins autre que celle fixée dans la philosophie du kata armé de soie. De plus Les 8 Maîtres enseignant doivent reprendre "la voie de l'étudiant" afin de se détacher des techniques et philosophies traditionnelles.

La philosophie

• Un maître kata armé de soie ne pourra exercer son métier qu'uniquement dans la protection d'un diplomate. Il peut alors porter et transporter les armes de catégorie 6 et catégorie 1, grâce à la Convention de Vienne (1961 et 1963): L'immunité diplomatique associée à la protection du diplomate. Il n'y aura donc pas de transport et/ou transfert d'armes associées à cet art martial excepté dans le cadre de l'immunité diplomatique [2].

• "Un maître kata armé de soie ne s'entraine pas sur son disque de combat... Il y médite dessus... Un maître kata armé de soie n'a pas de séance d'entrainement ou de séance de méditation... Il est en méditation à chaque instant. Il médite face au soleil afin d'être aveuglé. Il médite sous la pluie en évitant les grosses gouttes d'eau de l'arbre, en calculant à l'instant T(fraction seconde) les probabilités de rythmes, intensité et trajectoires possibles au sol en fonction de l'environnement qui l'entoure (vent, intensité de la pluie). Le maître kata armé de soie a renoncé depuis très longtemps à courir sous la pluie (afin de se donner l'illusion qu'il va moins se mouiller) car il sait que d'un point A à un point B sous la pluie, il le sera, mouillé (...) Le fait de renoncer à rester sec, il prend conscience que lors de tout cheminement, le fait d'accepter l'inévitable, il sera plus concentré sur le probable (...) C'est l'essence même du kata armé de soie (...) Un maître kata armé de soie, prend conscience du monde qui l'entoure en restant éveillé à chaque instant. Il repère instantanément les angles de sniping potentiel lorsqu'il passe à découvert dans la rue. Il considère lorsqu'il est en résonance harmonique sur le disque de combat que l'étude des statistiques des tirs est une variable (et non pas une constante) intégrante de l'équation "arrêt spatio-temporel"( ...) Le maître kata armé de soie ne travaille plus la découpe des 8 bambous placés à 360° autour de lui (...) Il choisira la calligraphie afin d'augmenter la vitesse des changements de direction de son katana (...) Le maître kata armé de soie n'est pas un maître car par définition le maître sait tout (...) Il choisira la voie de l'étudiant, en quête de sagesse à travers le savoir, en quête de découverte et d'émerveillement à travers la contemplation (...) En considérant que rien n'est acquit et qu'il faille tout remettre en question (ou plutôt en questionnement), jusqu'à sa propre croyance, il considère que celà est un petit sacrifice afin de rester éveillé (...) Un maître kata armé de soie n'apprend rien, il désapprend tout ce qu'on lui a enseigné (...) C'est celà la voie du kata armé de soie (...)" (extrait du manuel du kata armé de soie).

Les techniques de combat

Yin et Yang sont des systèmes, principes et philosophies complémentaires respectant la loi de l'équilibre universelle, celle du Tao par exemple, la compréhension de l'équilibre universelle étant le Ying de la loi du Tao. C'est la "YINGUISATION" qui permet d'acquérir la connaissance du secret de la soie (Yin différent de Ying). Le vent est le Yin absolu à l'échelle de l'Homme; celui qui maîtrise ce concept du vent qui est changeant, imprévisible mais tellement anticipateur puisque insaisissable, développe en proportion inversée son Yang, grâce à son étude du Yin absolu, le vent. La Rose des vents est un mandala spécifique contenante des techniques utilisées dans le kata armé de soie et respecte l'équilibre des énergies Yin/Yang. Les techniques et philosophie de combat sont:

• YANG: La technique de la diminution de l'angle alpha, le principe du point zero, la technique de l'introspection personnelle, la voie du sabre.
• YIN: la philosophie du Tai Chi, l'art Zen, le double hippon simultané, double tir efficace.
• Il faut aussi maîtriser le Ju-jitsu, Nin-jutsu, Taekwondo, l'Aïkido, avoir connaissance des points vitaux par l'apprentissage de la médecine chinoise, l'éthologie.
• Pourquoi un seul tranchant pour le katana:

Celà permet la rotation du poignet et de l'avant bras qui augmente la rapidité des allers-retours des slashs en augmentant par la même occasion leurs puissances dont cette fois-ci la courbe hyperbolique représente le point zéro du Maître kata armé de soie en utilisant le katana. Contrairement à l'arme à feu, le katana japonais, par sa courbure et son uni-tranchant (avec une gorge afin de diminuer son poid et donc augmenter encore plus sa rapidité)permet l'arrêt spatio-temporel (point zéro) de ses adversaires au début de la courbe hyperbolique. La courbure de la lame du katana japonais permet d'aborder les techniques de slashs 360, double 360, etc... afin d'immobiliser les 8 cibles autour du point zéro simultanément, ce qui permet d'augmenter la force yang (puissance de découpe) grâce à YIN (augmentation de la vitesse de rotation en jouant sur les forces centrifuges et centripètes). Point zéro au début de la courbe hyperbolique contrairement au point zéro de l'arme à feu qui se trouve à la fin de la courbe asymptotique. D'où la voie du sabre qui est l'art de dégainer pour découper sa cible en 2..."

• Pourquoi un katana japonais pour le katana du maître kata armé de soie:

Le katana japonais est la lame la plus tranchante au monde du fait de sa conception propre (feuilletage du tahamagané, acier frappé et martelé afin d'obtenir une succession de feuilletages), dont le centre de la lame est en acier plus souple que l'extérieur, rendant à la lame un compromi optimisé entre dureté et souplesse. Celà veut dire que lors d'une succession d'assaults avec une lame japonaise: E(énergie totale de la lame)= m(masse).C2(vitesse lumière au carré)+ Ec (énergie cinétique) avec Ec qui ne diminuera que très faiblement lors d'une succession d'assaults avec la lame japonnaise contrairement à une autre lame qui perdra plus de Ec et qui perdra par la même occasion plus d'énergie totale pour la même vitesse d'exécution de la main.

• Pourquoi 2 armes à feu de poing automatiques:

Chaque mouvement de kata avec prolongement des mains à l'automatique revient à se servir des rafales des projectiles comme "lame" dont la portée est cette fois-ci de 10m.Plus la vitesse de rotation est grande et plus les angles entre chaques projectiles seront importantes. Celà laisse énormément de possibilités d'immobilisations simultanées grâce à la technique de la soie.

Explication des techniques du kata armé de soie

Il est établi que les 8 adversaires du maître du kata armé de soie se mettent dans une configuration sphérique autour du point zéro. Les 8 cibles sont donc positionnés à 45° du point zéro. Que celà soit à porté de katana (moins de 2m) ou en tir de riposte ( moins de 10m), la maîtrise du point zéro permet au maître du kata armé de soie d'immobiliser un maximum d'adversaires:

• sur un maximum de volume de combat
• sur un minimum "espace-temps" à et entre chaque assault du maître kata armé de soie. Le point Zéro est la variable maitrisée par le Maître kata afin d'être toujours dans la configuration optimale à et entre chaque assault. C'est donc une variable de l'équation "arrêt spatio-temporel". Le Maître kata ne considère donc plus son corp comme une entité mais comme une résonnance harmonique (au sens premier et second du terme) avec l'environnement qui l'entoure. Son corp entre donc en résonnance avec la rose des vent afin de ne plus visualiser ses cibles mais ressentir ces dernières. Le maître kata armé de soie ne vise pas, il immobilise.

Le Maître Kata armé de soie maîtrise la lévitation horizontale, technique de la répartition des charges en prenant en compte la gravité, la force d'adhérence au sol, les forces centrifuges et centripètes. Imaginons 8 adversaires autour du maître kata armé de soie proportionellement répartis à 45° du centre, point zéro révélé par le secret de la soie. Le kata armé de soie permet lors du premier assault de faire un " hi" suivi d'un "na" permettant en une seule " hi-na" fraction de seconde d'immobiliser 2 adversaires positionnés à l'avant et à l'arrière à 180°. Sachant que l'espace occupé en 3D pendant le premier assault et les déplacements spontannés anticipés par le maître kata armé de soie (diminution de sa surface cible par rapport aux tirs potentionnelement efficaces des adversaires suivants) ne permet aux 6 autres adversaires d'avoir une portée efficace sur le point zéro, il est donc établi que celui qui maîtrise le kata armé de soie n'affronte que 2 adversaires à la fois. Il y aura dans ce cas, 4 assaults directs et définitifs avec comme ordre de choix les paramètres suivants:

• Plus l'adversaires est proche du point zéro et plus il appartient au point zéro. Le maître kata armé de soie maîtrisant ce point zéro, devient ce point zéro et l'adversaire lui appartient.
• Les adversaires juxtaposés aux camarades tombés sont des cibles plus faciles et moins efficaces. Ils passent donc en troisième position.
• Plus le centre devient zéro et plus le quotient du rapport " vitesse de tir efficace du maître kata armé de soie sur " vitesse de tir efficace des adversaires" augmente en asymptote. C'est à dire que plus le maître kata armé de soie immobilise de binômes et plus le point zéro contracte le temps des adversaires tout en dillatant le temps du maître kata jusqu'à l'arrêt "spatio-temporel" des adversaires.
• L'angle alpha sera d'autant plus petit que le temps autour du point zéro sera contracté par le maître kata armé de soie, permettant ainsi une dillatation du temps au point zéro mais une contraction simultannée autour de ce point, avec comme abscisse le temps et comme ordonné le nombre de binôme détruits. En résumé, celui qui maîtrise le kata armé a plus de temps que ses adversaires.

Le maître kata armé de soie utilise la relativité générale:

• La contraction des longueurs (Un observateur en mouvement relatif par rapport à un objet

qui mesure sa longueur dans la direction du mouvement trouvera une valeur inférieure à celle que mesurerait un observateur au repos dans le repère de l'objet).

• La dilatation du temps (l'intervalle de temps entre 2 événements mesuré dans le référentiel où ils ont lieu au même endroit est toujours plus court que l'intervalle correspondant mesuré dans un repère en mouvement par rapport au précédent).
• Le cognitif analogique (qui permet d'anticiper le facteur X dans le spatio-temporel) mais surtout "briser le continium temporel" afin "d'annuler la linéarité du temps" pour ne créer que l'énergie. Pour être plus clair, lorsque le passé, le présent et le futur se mélangent, le temps devient énergie. Il est bien évident que cette notion du cognitif analogique appliquée à cet art martial est plus amplement développée lors de l'enseignement pratique.
• A défaut de ne pouvoir enseigner les techniques de méditations (la méditation ne s'enseigne pas, elle se pratique), nous pouvons arriver à atteindre le même perfectionnement par d'autres voies.

Si on l'applique sur le mandala de combat, il est établit que les 8 combattants sur le cercle de combat ont l'avantage du nombre mais un champs d'application de E réduits d'un angle par rapport au centre de 45° (E correspond au transfert de la force et puissance du combattant à un hippon potentiellement efficace sur le point zéro inversement proportionnel au volume d'application du hippon), contrairement au maitre kata armé de soie dont son champs d'application est 360°. Leurs hippons ne se réduiront que sur le volume du disque de combat dont l'angle au point zéro sera de 45°. Ce volume de combat réduit ne permet pas d'exprimer tout le potentiel E de chacun des combattants sur le simple fait qu'en allant au delà de ce volume de combat individuel, les 8 combattants risqueraient d'immobiliser leurs camarades (juxtaposés et placé à 180°). Le rayon du premier cercle de combat au centre (point zéro)est déterminant pour le maitre kata armé de soie dont le choix du moyen d'immobilisation sera en fonction de ce rayon. L'observateur extérieur du disque de combat aura l'impression que le temps ralentit sur le cercle de combat et que le temps s'accélère au point zéro. L'observateur sur le premier cercle de combat aura une vision du temps sur le point zéro contracté.

Equipement

• Katana japonnais.
• Double Wakizashi.
• Double arme à feu de poing automatique.
• Double poignards de lancer à 180°.
• Rose des vents au sol de rayon: 1m (portée baguette à suchi), 2m (portée katana), 10m (tir de riposte à l'automatique), +10m (intervenant extérieur qui peut anihiler l'équilibre du Inn/Yang et faire effrondrer le point zéro).
• Baguettes à suschi et mannequin.
• Bébé faucon crécerelle à dresser après étude éthologique

Bibliographie

• "Les katas" de Kenji Jokitsu, édition Désiris.
• "Le kalaripayat" de Tiego Bindra, édition Les Belles Lettres.
• "Hagakuré" de Jocho Yamamoto, Guy Trédaniel Editeur.
• "Le Jujitsu Kano" de Katsumahigashi et Irving Hancock, Budo Editions.
• "Nin-Jutsu" de Roland Habersetzer, Watanabe Kondo et Walter Rausch, Editions Amphora S.A.
• "L'essence de l'Aïkido de Moribei Ueshiba, Budo Editions.
• "Jeet Kune Do"de Salem Assli, Chiron Editeur.
• "l'art de la guerre" de Sun Tzu, édition Poche.
• "Le livre des 5 anneaux" de Miyamoto Musashi, édition Belfond.
• "Geidô" de Albert Palma, édition Albin Michel.
• "Budô" de Kenji Tokitsu, éditions Désiris.

Note et référence de l'article

• Site officiel du kata armé de soie
• Site officiel de la DAS
• Explication de l'enveloppe soleau
• Site officiel du ministère de la défence
• Immunité diplomatique