Florentine Rost van Tonningen
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Florentine Sophie (Florrie) Rost van Tonningen (née Heubel, le 14 novembre 1914, Amsterdam - 24 mars 2007, Waasmunster) était l'épouse de Meinoud Rost van Tonningen, 2e leader du Mouvement national-socialiste aux Pays-Bas (NSB) et président de la Banque nationale De Nederlansche Bank pendant l'occupation allemande (1941-1945). Parce qu'elle continue à soutenir et à propager les idéaux du national-socialisme après la Seconde Guerre mondiale et la mort de son mari, elle est devenue connue dans les Pays-Bas comme La Veuve Noire.
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[modifier] Jeunesse
Florentine Heubel était la plus jeune fille de Gustav Adolph Heubel, banquier à la firme Jan Kol & Co et de l'aristocrate Cornelie van Haren Noman. Il y a eu trois autres enfants dans la famille, la fille d'Annie (née en 1906) et les fils Dolf (1904) et Wim (1910). Florrie Heubel a grandi à Hilversum, où la famille était en haute estime. Lorsque la jeune princesse Juliana a une visite à Hilversum, Wim et Florrie ont été invités à jouer un match de tennis contre la princesse. Dans les années trente Florrie et Wim Heubel étaient actives dans le Nationale Jeugdstorm, l'organisation de jeunesse de la NSB conçu après la Hitlerjugend. Elle a étudié la biologie à l'Université d'Utrecht, en montrant un intérêt particulier à l'éthologie.
Au cours de l'été 1936 Heubel restait dans le cadre de son étude un certain temps à Berlin. Elle a été impressionnée par Adolf Hitler et de la «camaraderie, la discipline et l'engagement" du mouvement nazi. Un an plus tard, elle fait un voyage avec Wim aux Indes néerlandaises, où son frère aîné Dolf travaillait comme ingénieur agronome. Quand elle retourait aux Pays-Bas, elle a quitté la NSB parce qu'elle pensait que la partie n'a pas respecté les idéaux de l'eugénisme, et que le chef de parti Anton Mussert ne partageaient pas suffisamment ses préoccupations. En 1939, son frère lui fait Meinoud Rost van Tonningen, qui à l'époque était déjà un élément important et influent homme de la NSB. Lors de l'invasion allemande des Pays-Bas le 10 mai 1940, Heubel était à Berlin. [ edit ] Marriage [Modifier]
[modifier] Mariage
Le 21 décembre 1940, le jour du solstice d'hiver, Heubel mariés Meinoud Rost van Tonningen. Sur demande, Heinrich Himmler, le Reichsführer-SS allemand, a approuvé la généalogie, aveclequel le mariage est devenu le premier SS-mariage aux Pays Bas. Le famille de Rost van Tonningen recevrait trois fils avec les noms Grimbert (1941), Ebbe (1943), et Herre (1945). Ses enfants seraient ouvertement leurs distances par rapport à leur mère, leurs opinions politiques dans les années 1980 [1]. Le plus jeune fils est né le 28 avril 1945, sur Terschelling, le jour de son frère Wim Heubel tombé aux combats avec les forces de la SS, près Elst. Elle a rapidement pris la fuite à travers Cuxhaven vers [(Goslar]] en Allemagne, où ses parents ont également la propriété immobilière. Son mari Meinoud fut capturé et emprisonné le 8 mai, la libération par les forces canadiennes.
Immédiatement après la guerre de Meinoud Rost Tonningen mourut dans la prison de Scheveningen, dans l'attente de son procès. Il a vraisemblablement sauté par dessus la balustrade d'un escalier. Mme Rost van Tonningen-Heubel toujours contesté le fait que son mari s'est suicidé, affirmant qu'il avait été assassiné et que les différents témoignages de ses camarades prisonniers l'appui de sa vision. La motife aurait été que son mari, en tant que président de la Nederlandsche Bank savait trop de choses sur l'argent noir des transactions illégales d'éminentes personnes. L'ancien employé AJ van der Leeuw de RIOD (Institut National de Documentation Guerre) préconisé sa vision au cours de l'émission télévisée Het zwarte schaap (Le Mouton noir), et a proposé que son mari a peut-être été poussés à commettre le suicide en prison.
[modifier] Archive
Dans son livre biographique In Search Of My Weddingring (À la recheche à mon alliance) Mme Rost van Tonningen-Heubel a accusé le Prince Bernhard de porter la responsabilité principale de la mort de son mari, comme il l'avait été en charge des Forces de Résistance, affirmant que son archives privées contenues preuve. Ces archives sont accessibles uniquement par le biais de son représentant et archiviste F.J.A.M. van der Helm, qui a assisté à partir de 1980 par son stockage et la gestion de l'archive. En 1997, il explore la généalogie de Rost van Tonningen et l'ont placée parmi les Patriciate néerlandais. Peu de temps avant sa mort, Van der Helm également reçu sa solide alliance en or, qui a été embrassée par Adolf Hitler à Berlin lors de son mariage en 1940 et qu'elle a considérés ensuite comme sacrés.
[modifier] Après-guerre, période
Après la mort de son mari Rost de Tonningen-Heubel resait actif au sein de plusieurs mouvements d'extrême droite. Au départ, elle était placée sous curatelle comme de nombreux anciens nationaux socialistes. Son conservateur était Leo Anton Block, greffier du Sénat, qui placé les trois fils de Rost van Tonningen-Heubel sous la tutelle vigilante de son beau-frère Nico, qui était au service de la reine Juliana. Son fils Grimbert allait quitter sa mère et aller dans le famille Fentener van Vlissingen
En 1952, elle a déménagé de La Haye de villa "Ben Trovato" à Velp. Elle a examiné le nom de la villa, un signe "d'en haut", comme "rovato" correspondraient à ROst VAn TOnningen. En ce temps, elle avait une entreprise privée dans le matériel de chauffage. En 1968, elle est apparue dans le documentaire portrait d'Anton Adriaan Mussert du réalisateur Paul Verhoeven, la première fois qu'elle a fait une apparition publique nationale. Plusieurs fois, elle a été reconnu coupable de distribution de nazilecture et de l'organisation de réunions nationales socialisante. Le domicile de la veuve du a été à plusieurs reprises recherchées par la police, mais sans résultat, et a été de plusieurs fois la cible d'incendiaires. Maison des fouilles, fenêtres brisées, souvent, les incendies criminels ont eu lieu, a-t-elle écrit dans son livre Op zoek naar mijn huwelijksring (À la rechercha à mon alliance)
[modifier] Personnalités
Elle a maintenu des contacts avec la vie de nombreux éminents ex-nazi et des sympathisants nazis, comme le professeur français Robert Faurisson, David Irving, Gudrun Burwitz (fille de Heinrich Himmler), Miguel Serrano, Ilse Pröhl (veuve de Rudolf Hess), Erich Priebke, Matt Koehl of The New Order, Thies Christophersen , Léon Degrelle, Ernst Zündel, le général Otto Ernst Remer, Udo Walendy, Horst Mahler, les membres du Vlaams Blok et de nombreux autres. A partir de 1990, elle avait de nombreux contacts avec le journaliste Willem Oltmans.
[modifier] Pension
Jusqu'à sa mort en 2007, elle a reçu une modeste pension de veuve de l'Etat néerlandais parce que son mari avait été un député. Après cela s'est fait connaître en 1986 a causé beaucoup de commotion. Malgré une audition à la Chambre basse, elle a conservé cette retraite. En 2000, la Veuve Noire VARA paru dans le show télévisé Het Zwarte Schaap (Le Mouton Noir). Dans cette émission, la veuve de 85 ans elle-même ssw dèfend farouchement que le radiodiffuseur pensée de sauter l'émission. Elle a prévu de passer de sa villa à un appartement à Arnhem, mais les protestations morales empêchée de le faire. Peu après, elle déménage à la Belgique, qui prétend être "en exil", car sa vie a été rendue impossible aux Pays-Bas. Jusqu'à sa mort, elle a défendu les idées du national-socialisme.
[modifier] Décès
Van Tonningen-Heube est mort de vieillesse le 24 mars 2007 à son domicile à Waasmunster, 92 ans. Une semaine plus tard, elle fut enterrée dans un Rheden. Dès 1996, elle avait acheté une gravité et d'une tombe avec son nom, sa date de naissance et l'inscription «La vérité rend libre». Le lieu est controversée et les résidents locaux craignent que la tombe pourrait être une attraction pour les extrémistes de droite.
