Utilisateur:Basilou

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Voici un de mes dessins, aquarellé. Si je peux vous dessiner quelque chose, gratuitement et bénévolement, bien sûr, faites-le moi savoir !
Voici un de mes dessins, aquarellé. Si je peux vous dessiner quelque chose, gratuitement et bénévolement, bien sûr, faites-le moi savoir !
Rafael Esteve : schéma technique pour construire un géant.
Rafael Esteve : schéma technique pour construire un géant.[1]

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Soyez les bienvenu(e)s sur la page personnelle de Basilou, artiste peintre, poète et carnavaleux parisien.

Vous pouvez me retrouver, également, sur mon site personnel de poésies.

N'hésitez pas à m'écrire : basileparis (ici, vous ajoutez @, à la place de tout ce qui est écrit dans cette parenthèse) free.fr

Avec toutes mes amitiés.

Basile Pachkoff, dit : Basilou

Sommaire

[modifier] Venez au Carnaval de Paris 2009 !

Je vous invite, ainsi que vos proches et ami(e)s, au prochain Carnaval de Paris, le dimanche 22 février 2009. Pour la 12e année consécutive, nous défilerons dans Paris, sur un très beau parcours, vache en tête, avec le Géant-Bœuf, premier géant du renouveau du Carnaval de Paris. Ce sera la Promenade du Bœuf Gras au Carnaval de Paris. Il s'agit d'une très ancienne et importante tradition parisienne, peu connue, aujourd'hui, par beaucoup de Parisiens et ami(e)s de Paris. Le thème de la fête, est, en 2009 : « Le Carnaval cosmique, astronautes et extra-terrestres ». Ce thème, comme tous les ans, peut être suivi, ou non, par les participants. Tout est libre.

Je m'efforce de faire connaitre, à tous, les traditions festives parisiennes, notamment en contribuant à Wikipédia. Savez-vous que le serpentin a été inventé à Paris ? Savez-vous ce qu'est un rat imprimé avec du blanc d'espagne ? Connaissez-vous Philippe Musard ? Avez-vous entendu parler de la Mi-Carême au Carnaval de Paris, la fête des blanchisseuses, qui est la fête des femmes de Paris ?

Toutes ces choses sont connues de scientifiques, spécialistes écrivant dans de belles revues, très spécialisées, à faible tirage, ou rédigeant des ouvrages très pointus. Ou encore, elles apparaissent dans les colonnes de journaux vieux de soixante-dix ans et plus, ou dans de beaux livres rares et épuisés depuis longtemps, comme « Le Grand Pan » de Georges Clemenceau, paru en 1895, le « Journal de dix ans », de Louis Blanc, ou des ouvrages rarissîmes anciens, que vous pourrez lire... à condition de les trouver, dans un endroit accessible et connaître les références exactes pour les trouver. Diffuser sur Wikipédia les informations que j'ai accumulé, depuis quinze ans, est une très bonne chose. Partager le savoir de façon désintéressée, faire profiter les autres d'informations intéressantes, joyeuses et peu connues, est pour moi une très grande joie. Les expliquer aux autres me permet, aussi, de mieux les comprendre. Comme quelqu'un a dit un jour : « la meilleure façon d'apprendre, c'est d'enseigner ».

Quand on connait quelque chose qui intéresse, potentiellement, un tas de gens, conserver égoïstement ses connaissances, me parait une conduite déplacée. Ce que je sais, que j'ai appris, ne m'appartient pas. Je suis au service du savoir et non l'inverse. Mon devoir est de le transmettre, pour que tous puissent en profiter. Qu'est-ce que je gagne à voir mon nom attaché à telle ou telle recherche ? S'il faut, pour m'en assurer, entraver la libre diffusion des connaissances ? Savoir quelque chose et le garder pour soi, au lieu d'en faire profiter autour de soi, c'est comme garder du pain qu'on ne mange pas, alors qu'autour de soi, d'autres ont faim.

Et si on me « vole » le fruit de mes recherches ? Si d'autres s'en approprient ? D'abord, ce ne sont pas des travaux originaux, mais l'accumulation de centaines d'heures de récupération d'informations dispersées dans un tas de publications différentes, bibliothèques et fonds d'archives (comme les remarquables dossiers « Actualités-Carnaval », de la Bibliothèque historique de la ville de Paris, qui sont, essentiellement, une collection de centaines de coupures de presse ancienne). Ensuite, pensons à Antoine Parmentier, qui fit garder son champ de cartoufles, c'est à dire, de pommes de terre, par des soldats, avec ordre de laisser les paysans les voler. L'essentiel était que la culture de la pomme de terre soit diffusée. Avec le savoir, c'est pareil.

Je connais Philippe Musard. Philippe Musard a existé avant moi. Son souvenir, ses partitions, existeront après moi. Je sais qui il est. Beaucoup d'autres l'ignorent. Philippe Musard, sa musique, ne m'appartiennent pas. Que d'autres apprennent qui il est, découvrent sa musique. Voilà qui est bien et à quoi, avec mes modestes moyens, je peux contribuer.

En agissant ainsi, je suis également heureux et conscient de me placer en dehors d'une société qui idolâtre l'argent, le met au dessus de tout et empêche la vie-même de s'épanouir. Avec cette croyance imbécile, qu'un simple outil, l'argent, est un but, un idéal. Ramasser le plus d'argent possible, être « le plus riche du cimetière », non, je ne crois pas que c'est ça la vie. On n'a jamais vu un coffre-fort suivre un enterrement. En se faisant enterrer avec leurs richesses, les pharaons n'ont fait qu'enrichir les pilleurs de tombes. Donner, aider les autres, est la meilleure façon de s'enrichir, s'aider soi-même. S'enrichir avec de la vraie richesse, pas des morceaux de papier imprimé, assez moche et des rondelles de métal quelconques.

Quand des policiers enquêtent, des espions espionnent, ils obtiennent des conclusions intéressantes, des informations sensibles, rien qu'en rassemblant un ensemble de faits plus ou moins connus, plus ou moins anodins. Dans la recherche historique, c'est la même chose. Mettez ensemble les œuvres de Jean-Joseph Vadé, qui parlent des écosseuses, et les poèmes de Charles Monselet, qui parlent des blanchisseuses, et voilà qu'apparaît un lien entre les deux. Lien que, bien sûr, des professeurs érudits connaissent, et dont ils ont déjà parlé, dans des ouvrages qui sont connus d'une poignée de spécialistes, pas forcément de vous. Je n'ai pas fait l'école des Chartes, je me suis formé sur le tas.

Lisez les pages que j'ai écris sur la fête et le Carnaval. Elles vous amuseront, vous apprendront aussi des choses. Et, surtout, venez faire la fête, le 22 février 2009 ! Plus on est de fous, plus on rit !

Si vous aimez la musique, si vous êtes musicien, je vous invite à découvrir Philippe Musard, la musique festive de danses de Paris au XIXème siècle, les compositeurs de musique festive de danses de Paris au XIXème siècle. Si vous en avez envie, je vous envoie 12 partitions de cette époque, par mail. Au nombre de celles-ci : six partitions de Philippe Musard, dont une polka russe pour orchestre, et, de Jean-Baptiste Joseph Tolbecque, le « galop des tambours », immense succès des Carnavals de Paris 1839 et 1840. Trois pages pour pianoforte ; il était joué, à l'origine, par un orchestre comptant 40 tambours. Vous y reconnaîtrez l'air du tradéridéra.

La renaissance de la musique festive de danses de Paris au XIXème siècle sera un évènement festif et artistique de tout premier plan. Vous pouvez, facilement, vous y inscrire, en vous amusant et amusant les autres. Cette musique, qui rappelle celle de Jacques Offenbach, est très belle et drôle.

En fait, ce n'est pas cette musique qui rappelle Offenbach, mais l'inverse : Offenbach nous rappelle la musique festive de danses de Paris au XIXème siècle. Offenbach est la partie visible de l'iceberg. Il appartient à un ensemble de dizaines d'autres compositeurs, qui ont écrit, eux aussi, de la musique festive de danses de Paris au XIXème siècle. Le plus fameux d'entre eux est Musard. C'est pourquoi, j'ai proposé, en avril 2008, d'appeler cette musique, qui n'a pas de nom, la « musique musardienne ». « Musique festive de danses de Paris au XIXème siècle », c'est trop long comme nom à utiliser.

Jacques Offenbach fait partie des compositeurs musardiens.

[modifier] Qui suis-je

Contribuer largement à la culture festive et, notamment, à faire renaitre la musique festive de danses de Paris au XIXème siècle. Tel est le but de mes contributions à l'encyclopédie libre Wikipédia.

Mon état-civil :

  • Mon père, Georges, est né en 1909, à Saint-Petersbourg. Enfant, durant la guerre civile, il suit, avec sa famille, son beau-père, le comte de Bennigsen, lieutenant-colonel dans l'armée du général Dénikine, dite « armée du sud ». Celle-ci est la dernière armée blanche à être battue par l'armée rouge, en 1920, à la bataille de l'isthme de Perekop. Georges se retrouve, avec sa famille et les débris de l'armée du sud, à Constantinople, ville alors occupée par les alliés, vainqueurs de l'Empire ottoman. Il passe ensuite en Estonie, alors indépendante, où il vit trois ans, et arrive à Paris en 1924. Il est chimiste, puis artiste peintre, puis traducteur scientifique. Il fini sa vie en 1994.
  • Ma mère, Hélène, née à Moscou, en 1907, fuit avec sa famille, la famine et la guerre civile, en passant par Riga et la frontière militaire allemande. Par la Suisse, elle arrive à Paris, en 1919. Elle est, brièvement, artiste peintre, élève de Gontcharova, puis, sculpteur, élève de Gronska, et mère au foyer. « Chasseuses de têtes », elle fait le portrait de la boulangère, la poissonnière, du dentiste, etc. Elle fini sa vie en 1988.
  • Essentiellement autodidacte, je n'ai commencé à aller à l'école qu'à l'âge de dix-neuf ans. Ancien élève des Beaux-Arts (diplômé en 1984), je suis artiste peintre, dessinateur, poète, historien, spécialiste du Carnaval de Paris.

Jusqu'à l'âge de dix-neuf ans, je n'ai eu aucun ami et ignorais ce qu'était l'amitié. Je vivais, à Paris, dans une sorte de vase clos familial, russe et aristocratique, ruiné par la Révolution de 1917. J'ai réalisé, très tardivement, que beaucoup de problèmes me sont venus des origines aristocratiques. Comme le fait de ne pas avoir été, enfant, « sociabilisé » à l'école. Avant, je me disais, seulement, retrospectivement, qu'il y avait des trucs qui ne collaient pas, dans mon enfance, ma jeunesse, et que cela avait eu beaucoup des conséquences sur la suite de ma vie. Ce vécu « hors du monde », que j'ai connu, a des avantages et, aussi, d'énormes inconvénients. Parmi les avantages : j'écris depuis l'âge de 8 ans et demi et dessine depuis l'âge de deux ou trois ans. Si j'étais né dans un milieu plus simple, j'aurais, peut-être, eu une vie plus classique. De toutes façons, il faut être heureux d'être vivant et assumer ses origines. Tout en sachant faire le tri de ce qui est bon, humain, respectueux de soi-même et des autres, et savoir jeter impitoyablement ce qui ne paraît pas bon.

Il y a des personnes qui se croient supérieures aux autres. Je n'en fais pas partie. Tous les hommes sont frères, vive l'Humanité !

Ma peinture a un caractère onirique, est très colorée. J'ai, entre autres, réalisé la plupart des affiches du Carnaval de Paris, depuis le début de sa renaissance. [3]

J'ai écris des histoires, un roman, de la correspondance, et, enfin, de la poésie, cela depuis fin 1981. Sur Internet, vous pouvez lire mon premier recueil de poèmes « Vers à lire, à boire ou à fûmer ». [4]

En 1993, j'ai pris l'initiative de la renaissance du Carnaval de Paris. Depuis 1998, défile à nouveau le cortège traditionnel de la Promenade du Bœuf Gras, auquel participe la Compagnie Carnavalesque Parisienne "Les Fumantes de Pantruche", [5] que j'ai créé la même année. Je préside également l'association Droit à la Culture, responsable et organisatrice officielle du Carnaval de Paris.

Au Carnaval de Paris, toutes les participations sont libres, bénévoles, gratuites et bienvenues. Le monde entier est invité. Nous n'avons pas d'argent. Chacun se débrouille, pour organiser sa participation.

Depuis 2006, à l'appel de l'association FDFA, [6] participent, de façon organisée, des personnes handicapées. Elles ont créé, sous mon parrainage et sur le modèle des Fumantes de Pantruche, leur groupe festif : la Compagnie Carnavalesque des Sacrés Zèbres.

J'ai proposé, en avril 2008, la renaissance de la Fête des femmes de Paris : le cortège carnavalesque de la Reine des blanchisseuses.

J'aime bien le café associatif Le Moulin à Café, à Paris, dans le XIVe arrondissement et vous recommande ce lieu sympathique. Venez y manger, boire un verre, assister à un spectacle, participer à un débat, danser... et aussi, rejoignez la confrérie de bénévoles qui assure, au côté des quatre salariés, le fonctionnement de cet endroit magnifique. [7]

J'aime beaucoup l'Italie et parle italien. L'ayant appris "sur le tas", ma connaissance de cette langue n'est pas optimale. Je comprends plus ou moins le russe, que mes parents parlaient devant moi, quand j'étais petit.

Je suis très curieux de tout. En particulier d'arriver à une approche non conformiste et, à mes yeux, plus "humaniste" et "réaliste" de l'Histoire.

Celle-ci est bien trop souvent rédigée dans une optique rétroactive, manichéiste et élitiste. Entre autres défauts, ce qui est considéré par le rédacteur comme peu important est carrément ignoré et traité comme n'ayant simplement pas existé. C'est le cas, entre autres, de la festivité. Il existe de gros livres d'histoire, richement illustrés, sur Paris, qui ne disent pas un mot de son Carnaval. En revanche, s'il s'agit d'évènements tragiques, où le sang coule, les livres d'« histoire » se complaisent à en rapporter les détails, plus ou moins objectifs, même pour des évènements très anciens.

Beaucoup de faits passionnants et instructifs de l'Histoire sont, très souvent, ignorés par les livres.

Par exemple : dans le domaine de la chanson : aujourd'hui, la plupart des Français connaissent, au moins, un peu, Edith Piaf. Combien connaissent Thérésa, [8] la première chanteuse populaire parisienne, célèbre en son temps et aujourd'hui oubliée ?

On n'est pas obligé de connaitre ses chansons les plus fameuses. Mais, il serait bien de se souvenir, au moins, de son nom.

J'ai eu l'occasion de feuilleter plus d'un ouvrage de vulgarisation sur l'Histoire de la chanson française. Je ne me souviens pas avoir rencontré une seule fois le nom de Thérésa. Certes, ses chansons ne sont plus à la mode. Mais ce n'est pas une raison pour "modifier le passé" !

J'ai visité, en mai 2008, une exposition d'estampes de Daumier, à la Bibliothèque nationale, à Paris. Sur 4000 œuvres, les 160 choisies et exposées, parlent surtout de politique, ou caricaturent certains aspects de la vie des gens. Une seule estampe figurant dans cette belle exposition, « L'amour et Psyché, Départ pour le bal », illustre le Carnaval de Paris. Elle a été choisie pour montrer un aspect technique du travail de l'artiste. Peut-être cet aspect technique n'apparaissait que dans cette œuvre, parmi celles à la disposition des organisateurs de l'exposition. Il y a certainement un tas d'estampes de Daumier qui montrent le Carnaval de Paris. Elles ne sont pas dans l'exposition. Ceux qui la visitent, ne risquent pas d'apprendre que Paris est une très grande ville de Carnaval.

Pour finir, ici, mon autoportrait esquissé, j'aime ce qui est beau. Et surtout, j'aime mon prochain et reste résolument optimiste dans la vie.

J'espère pouvoir contribuer à communiquer, au moins une part de cet optimisme, à tous, autour de moi. Le monde est beau, la vie est belle. Contribuons à cette beauté. Le généreux et remarquable projet Wikipédia en fait partie.

[modifier] Qu'est-ce que « la culture festive » ?

Pour réussir la fête, il faut la préparer. C'est, notamment, le rôle festif fondamental de la société festive et carnavalesque.

Je vois, présentement, une partie des personnes, autour de moi, auxquelles je propose de préparer et réussir une fête, me répondre :

« Je n'ai pas le temps de m'en occuper, je travaille »... etc.

Il est arrivé que la plupart des festifs parisiens soient illettrés. Travaillent, dès l'âge de douze ou treize ans, six jours sur sept, quatorze heures par jour, sans retraite, congés payés, congés maladies. Le travail étant, le plus souvent, malsain et très pénible. Mourant pour un rien. Une infection dentaire, un coup de froid conduisant à une pneumonie, les suites courantes d'un accouchement. Privés de tout un tas de choses auxquelles nous sommes habitués, et dont la présence nous apparaît, aujourd'hui, vitale.[2] Et, pourtant, alors, les fêtes populaires étaient prospères et magnifiques.

Y compris en des temps où les jours de congés avaient fondu comme neige au soleil. Juste avant 1789, les Parisiens avaient deux jours de repos par semaine, le dimanche et le lundi. Ils disposaient, en tout, de 130 jours de repos par an. Ce chiffre est tombé à 41, en octobre 1793. Il a fallu attendre juin 1936, pour retrouver deux jours de repos consécutifs, par semaine, et encore, pas toujours. Les infirmières des lycées, par exemple, ont attendues juin 1968, pour avoir droit au repos hebdomadaire de deux jours consécutifs.

Pourquoi certains Parisiens refusent, aujourd'hui, de « préparer, réussir la fête » ? Ce n'est pas de la mauvaise volonté, ni à cause du chômage ou de la télévision. Les habitants de Mayence, Cologne, Dunkerque, où le carnaval est très grand, connaissent aussi le chômage et la télévision.

Si ces Parisiens refusent de préparer et réussir la fête, ne savent pas, n'ont pas le courage de la faire, ce n'est pas parce qu'ils n'ont pas le temps, ou parce qu'ils n'en ont pas envie. C'est parce qu'ils n'ont pas « la culture festive », que possèdaient leurs aïeux.

Demander à quelqu'un, qui n'a pas la « culture festive », de préparer, réussir une fête vivante, c'est comme donner un texte en dictée, à une personne illettrée.

À Paris, dans d'autres lieux également, le fil de la tradition festive a été rompu. Il faut le renouer, nous réapproprier la « culture festive » de nos aïeux, et voisins, là où la fête vit toujours.

Et commencer par rejeter la fausse « culture festive » : culte de l'effort, l'efficacité, la bureaucratie festive avec un « chef », l'argent et la politique, pour réussir la fête.

La seule vraie base de la fête, c'est le cœur, l'amour de ce qu'on fait, le partage, le temps, plaisammant utilisé, et l'organisation festive, qui est très différente du système de la « double assemblée ».[3] Le Carnaval vivant, est structuré de façon monarchique, avec, à sa tête, un prince en carton. C'est un prince très libéral, qui souhaite qu'on s'amuse, et qui, à la fin de la fête et de l'amusement, traditionnellement, est brûlé, pour revivre au Carnaval suivant. La fête vivante ne menace personne, mais inquiète ceux qui ont peur des cartonnages de carnaval. La fête est l'activité humaine qui épouse le mieux la nature humaine, dans ce qu'elle a de plus pacifique, inoffensif et sympathique.

En nous réappropriant, et en enrichissant, la « culture festive » de nos aïeux, nous referons de Paris le temple de la fête et du Carnaval. Trinch.[4]

 Vue de la Maison Pachkoff, palais de mes ancêtres, à . Il a été récemment restauré. [1]

Vue de la Maison Pachkoff,
palais de mes ancêtres, à Moscou.
Il a été récemment restauré. [1]

[modifier] Dates du Carnaval

Année Dimanche Gras Mardi Gras
2009 22 février 24 février
2010 14 février 16 février
2011 6 mars 8 mars
2012 19 février 21 février
2013 10 février 12 février
2014 2 mars 4 mars
2015 15 février 17 février

[modifier] Principales contributions à Wikipédia et Commons

[modifier] Création sur Wikipédia de la Catégorie:Carnaval de Paris

Pour cette création, je dois tout à TigHervé, sa gentillesse, sa disponibilité, son humour et ses conseils avisés.

[modifier] Création sur Commons de la Catégorie:Carnaval de Paris

Pour cette création, j'ai repris les conseils de TigHervé. Merci encore à TigHervé !

[modifier] Création d'articles

EN 2009, COMMÉMORONS LE 150e ANNIVERSAIRE DE PHILIPPE MUSARD, AVEC CONCERTS, EXPOSITIONS, CONFÉRENCES...
EN 2009, COMMÉMORONS LE 150e ANNIVERSAIRE DE PHILIPPE MUSARD, AVEC CONCERTS, EXPOSITIONS, CONFÉRENCES...
Chars des étudiants parisiens à la Mi-Carême 1897.
Chars des étudiants parisiens à la Mi-Carême 1897.
  • Carnaval de Paris

Bals du Carnaval de Paris - Carnaval de Paris - Carnaval de Paris sous Louis XVI - Confetti[5] - Cortèges du Carnaval de Paris - La Courtille - Descente de la Courtille - Engins volants du Carnaval de Paris - Filmographie du Carnaval de Paris - Géant-Bœuf du Carnaval de Paris - Humour carnavalesque - Mi-Carême - Période 1891-1914 des confetti et serpentins - Période 1790-1798 du Carnaval de Paris - Personnages typiques du Carnaval de Paris - Plaidoiries de causes grasses au Carnaval de Paris - Promenade du Bœuf Gras - Reine des biffins au Carnaval de Paris 1905 - Reines du Carnaval de Paris - Serpentin

  • Chansons du Carnaval de Paris

Hymne à Saint-Martin - La Marseillaise de la Courtille

  • La fête carnavalesque étudiante

Balade du Rougevin - Concours National des Fanfares des Beaux-Arts - Fanfare des Beaux-Arts

  • Chansons de la fête carnavalesque étudiante

Marche des 4'zarts - Le Pompier, Hymne des Beaux-Arts

  • Informations générales sur le Carnaval de Paris

Glossaire du Carnaval de Paris

  • Législation

Législation de la fête parisienne

  • Musique festive de danses de Paris au XIXème siècle

Compositeurs de musique festive de danses de Paris au XIXème siècle - Musique festive de danses de Paris au XIXème siècle - Philippe Musard

  • Organisation festive

Société festive et carnavalesque

[modifier] Contributions à des articles

Char de Cologne.
Char de Cologne.

Paul GavarniAlain Riou

  • La fête carnavalesque étudiante

Bal des Quat'z'Arts

  • Tableaux

Bal masqué à l'opéraCarnaval boulevard des Capucines

[modifier] Proposition de création du portail de la fête

Quand je suis arrivé sur Wikipédia, comme contributeur, j'ai constaté l'absence d'un portail thématique consacré à la fête. La renaissance du Carnaval de Paris est passée, notamment et beaucoup, par l'information. J'ai souhaité doter Wikipédia d'un outil général d'information sur la fête et le carnaval et me suis lancé dans la création d'un portail de la fête. J'ai créé cinq pages :

N'ayant que de faibles connaissances en informatique, ce projet est mal parti, et n'a pas réussi à amener la création de quelque chose de conforme aux portails wikipédiens. Ce qui a amené la suppression de mon portail, par Ludo29, le 9 mai 2008. Sur le coup, ça m'a contrarié, car mes efforts étaient ainsi réduits à zéro (des données effacées ne sont pas, à priori, récupérables). Cela m'a également effrayé. Je me demandais ce qui m'arrivait (je suis un « jeune » wikipédien). Ensuite, en y réfléchissant j'ai conclu que c'était la seule chose raisonnable, et qu'en agissant ainsi, Ludo29 avait bien fait. Un portail de la fête reste le bienvenu, sur Wikipédia. Je lance un appel à tous les wikipédiens. Voulez-vous que nous réalisions ensemble ce portail ? Merci beaucoup de me faire part de vos idées, impressions et propositions de collaboration pour réaliser, ensemble, ce projet.

Basilou, les bouchers et le Géant-Bœuf du Carnaval de Paris.
Basilou, les bouchers et le Géant-Bœuf du Carnaval de Paris.

[modifier] Notes

Le char du bœuf gras au Carnaval de la Nouvelle-Orléans.
Le char du bœuf gras au Carnaval de la Nouvelle-Orléans.
  1. Le schéma technique pour construire un géant, réalisé en juillet 1995, par Rafael Esteve, est également disponible sur Commons, en format pdf téléchargeable : [2].
  2. Comme l'anesthésie dentaire, la contraception, le droit de grève, ou la possibilité d'avoir un réfrigerateur.
  3. Il consiste en ce qu'un petit nombre, « la petite assemblée », décide pour le grand nombre, « la grande assemblée », et au nom de celle-ci.
  4. Message de la dive bouteille.
  5. Cet article comptait trois lignes et une photo, j'ai écris tout le reste.

[modifier] Liens externes