Armand François d'Allonville

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Armand François d'Allonville
Naissance : 16 décembre 1764
château de La Roche
Décès : 1832 68 ans)
Metz
Origine : Française
Allégeance : Armée royale française
Armée Condé
Arme : commissaire des guerres
Grade : Maréchal de camp
Service : 1778 - 1813
Conflits : Campagne de Russie (1812)
Distinctions : ordre royal et militaire de Saint-Louis
Autres fonctions : comte, historien
Famille : Famille d'Allonville (branche d'Oysonville-Arnancourt)
Photo: Blason d'Allonville

Armand François d'Allonville, est né le 16 décembre 1764 au château de La Roche à Verdelot, dans la Brie et mort en 1832 à Metz.

Le comte d'Allonville est maréchal de camp. On lui attribue la paternité du plan de Barclay de Tolly qui organise la retraite des troupes russes dans la campagne de 1812. Mais il est aussi un historien, membre de la 1re classe de l'Institut historique[1].

Sommaire

[modifier] Sa famille

Blason des Bartillat.
Blason des Bartillat.

Armand François d'Allonville est l'un des fils du comte Armand Jean d'Allonville, dit le balafré (13 juillet 1732, à Dommartin-le-Saint-Père, en Champagne-24 janvier 1811, à Londres), maréchal des Camps et des armées du Roi, commandant en émigration les gentilshommes de la province de Champagne, puis de Bretagne[2]. Sa mère, Marie-Françoise Jehannot de Bartillat (8 août 1744-1817), est la fille du marquis Louis Joachim Jehannot de Bartillat (1711-1748), colonel d'un régiment de son nom et Jeanne Pouyvet de Lablinière (1721-1783). Les Bartillat portent : D'azur, au chevron d'or; au chef de même, chargé d'un lion léopardé de gueules. La baronie d'Huriel est élevée aux titre et dignité de marquisat par lettre patentes du roi Louis XV, homologuées par arrêt du Parlement de Paris en mai 1744.

Armand François d'Allonville est le neveu d'Antoine Charles Augustin d'Allonville et le frère d'Alexandre Louis d’Allonville (1774-1852), préfet, Conseiller d'État.

 Charles d'Allonville (1400-1479)
 x Bertrande de Richebourg d’Oysonville (1440-1528)
 |
 |  --> Symon d'Allonville d'Oysonville (1458-1533)
        x Étiennette d’Autry   (1460-1493)       
        |       
        | --> François d'Allonville d'Oysonville (1486-1536)
              x Louise de Buz (1510-)
              |
              | -->  Antoine d'Allonville du Plessis-Saint-Benoist (1538-1598)
              |       x Jacqueline de L’Isle
              |       |
              |       | --> Sous-branche des d'Allonville du Plessis-Saint-Benoist.
              |   
              | --> François II d'Allonville d'Oysonville (1529-1615)    
                     x Jehanne du Monceau (1540-1560) 
                     x Jeanne de Billy (1544-1605)
                     |       
                     | -->  Jacques d'Allonville d'Oysonville (1568-1630)
                           x Anne David
                           |       
                           | --> Edmé d'Allonville d'Arnancourt (1592-1664)
                                   x Antoinette de Hérisson du Vigneux 
                                    |
                                    | --> François III d'Allonville d'Arnancourt (1653-1694)
                                           x Madeleine de Masseron d’Amboise 
                                           |
                                           | --> Edmé II d'Allonville (1694-1783)
                                                 x Antoinette Sauvage du Chatelier (1713- 1793)


Edmé II d'Allonville (1694-1783)
x Antoinette Sauvage du Chatelier (1713- 1793)
|
| --> Armand Jean d'Allonville (1732-1811)
|      x Marie Françoise Jehannot de Bartillat (1744-1817) 
|     |       
|     | --> Armand François d'Allonville (1764-1832)
|     |      x 1) Charlotte Le Vavasseur (1769-1799) 
|     |      | 
|     |      | --> Marie-Louise d’Allonville] (1794-1877)
|     |      |     x Alexandre Louis d’Allonville (1774-1852)
|     |      |                                                                            
|     |      x 2) Céleste Octavie de Munnich (1785-1851)
|     |      | 
|     |      | --> Pierre d’Allonville (1821-1877)
|     |           x  Valérie de Lauzières-Thémines
|     |           |
|     |           | --> Emmanuel Armand d'Allonville (15 mai 1841-1912)
|     |                                  
|     | --> Alexandre Louis d’Allonville (1774-1852)
|     |
|     | --> Antoine Jean Baptiste d'Allonville (1765-1811)
|     |     x Céleste Octavie de La Bourdonnaie-Liré (1790-1851)
|     |     |    
|     |     | --> Armand-Octave-Marie d’Allonville (1809-1867)
|     |      
|     |   --> Louis d'Allonville (1771-1814)
|     
|--> Antoine Charles Augustin d'Allonville (1735-1792)
|        
|--> Jean Nicolas d'Allonville (1735-1792)

[modifier] Biographie

[modifier] Avant la Révolution française

Monter dans les carrosses du roi est en 1788 un immense honneur.
Monter dans les carrosses du roi est en 1788 un immense honneur.

C'est son oncle, Antoine Charles Augustin d'Allonville, Sous-gouverneur du premier Dauphin, qui l'élève[3]. Armand François d'Allonville est nommé en 1778, second sous-lieutenant au régiment du Roi infanterie, puis en 1785, lieutenant.

Major en second du régiment d'Auxerrois, en 1788, il est présenté à la Cour le 21 janvier 1788, avec le vicomte Antoine Jean-Baptiste d'Allonville, son frère puîné. Il monte dans les carrosses du roi Louis XVI de France, le 2 janvier 1788. A cette époque il vit au milieu des membres de la famille royale : Louis XVI, Madame Élisabeth. Il est un proche de Madame de Marsan, des ducs de La Vauguyon, de Choiseul, de Turgot, de Malesherbes...[4].

Avant la révolution, il est fait chevalier de Malte et colonel d'infanterie[5].

Armand François d'Allonville fait éditer en 1788, à Nancy, une brochure, De la constitution française et les moyens de la raffermir. Il y annonce des troubles importants enfantant une foule de crimes qu'un pouvoir absolu ferait cesser.

Porté à la députation par le bailliage de Château-Thierry, il ne peut être nommé du fait de son âge. Il rédige néanmoins les cahiers de doléances de la noblesse du bailliage.

[modifier] Pendant la Révolution française

Pierre-Victor Malouet est un monarchien, alors que d'Allonville est royaliste.
Pierre-Victor Malouet est un monarchien, alors que d'Allonville est royaliste.

Réformé par les révolutionnaires en 1791, il émigre, puis fin 1791, rentre en France.

Début 1792, il émigre à nouveau. C'est lui qui est l'auteur de La lettre d'un royaliste à M. Malouet du mardi 22 mai 1792. Il y presse vivement son adversaire et après avoir détruit tous les sophismes, il lui annonce une crise effrayante en préparation, qu'il est pressant de devenir exclusivement royaliste ou républicain et qu'il ne sera plus possible d'échapper à son sort sous aucun subterfuge. Il annonce au début de cette année 1792 la proclamation de la république avant les autre écrivains.

Armand François sert dans l'armée du Prince de Condé en 1792.

Fin 1792, il revient en France pour le procès de Louis XVI. Il essaie de sauver le Roi et s'entretient plusieurs fois avec l'abbé Henri Edgeworth de Firmont.

Et de nouveau en 1794, émigre, avec son épouse Chartotte Levavasseur. Il doit être capitaine d'une compagnie dans les cadres de Lorge qui ne se forme pas, mais est nommé colonel au service du roi de France, en 1795 et il fait chevalier de l'Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis[6].

D'Allonville décide de retourner en France en 1795. On le retrouve commissaire des guerres adjoint, employé à l'armée d'Italie (1797/98). Il fournit des articles politiques et littéraires à des journaux : Le thé, de Jean-Marie-Bernard Clément, dit Clément de Dijon, L'historien et le journal d'opposition littéraire de Colnet.

En juillet 1799, son épouse, Chartotte Levavasseur décède et il demande sans succès, mais en vain, à servir dans la Légion italique en 1800/1801.

[modifier] En Russie

Bataille de Smolensk (1812) : la Grande Armée s'épuise à poursuivre et combattre les Russes.
Bataille de Smolensk (1812) : la Grande Armée s'épuise à poursuivre et combattre les Russes.

Vu ce refus de l'administration impériale, en 1804, Armand se rend en Russie et retrouve le prince de Condé et ses officiers. Il y passe une dizaine d'années. La Russie est déjà un immense empire dont Armand François d'Allonville est un des rares Français à deviner la force invincible.

On lui attribue la paternité du plan de Barclay de Tolly qui organise la retraite des troupes russes dans la Campagne de Russie (1812). Armand François d'Allonville est le secrétaire du duc de Serra-Capriolo, ambassadeur du royaume des Deux-Siciles près la cour de Saint-Pétersbourg.

Du fait de son mariage avec une Munnich, il récupère les mémoires du célèbre maréchal Burckhardt de Munnich[7]. C'est chez les Rostopchine qu'il fait la connaissance de cette demoiselle, qui est déjà assez âgée et qui habite la maison[8]. Et c'est l'abbé Henri Edgeworth de Firmont qui bénit son union à Mittau, où il est exilé et Catherine de Munnich a de la famille. Les Rostopchine sont les parents de la comtesse de Ségur.

[modifier] La Restauration

Sa seconde femme est la cousine germaine de Barbara Juliane von Krüdener qu'il rencontre régulièrement au début de la Restauration.
Sa seconde femme est la cousine germaine de Barbara Juliane von Krüdener qu'il rencontre régulièrement au début de la Restauration.

Nommé maréchal de camp en 1814, il revient à Paris, en 1815 et assiste Alphonse de Beauchamp dans la rédaction d'un Précis biographique sur Louis XVIII.

Armand François d'Allonville publie entre autres, Les mémoires secrets de 1770 à 1830, que cite abondamment François Bluche dans La noblesse française au XVIIIe siècle[9]) et succède à Alphonse de Beauchamp, dans la rédaction des Mémoires tirés des papiers d'un homme d'État, sur les causes secrètes qui ont déterminé la politique des cabinets dans la guerre de la révolution, depuis 1792 jusqu'en 1815[10].

A cette époque, Armand François d'Allonville rencontre très souvent la cousine germaine de sa femme, la célèbre baronne Barbara Juliane von Krüdener logée dans l'hôtel tout délabré du comte de Montchenu, jouxtant le palais de l'Élysée où vit son ami l'empereur de Russie.

Armand François d'Allonville est choisi pour être rédacteur du Journal de l'Armée et dans la Revue de la Société des études historiques[11].

Armand François d'Allonville arrache avec son frère, Alexandre Louis d’Allonville, qui est préfet à Rennes, le général Jean-Pierre Travot à la mort, malgré le fait qu'il ne partage pas ses opinions.

[modifier] Sa descendance[12]

Catherine d’Allonville, une de ses  filles se marie à 16 ans avec Petr Nikolaevich Kapnist (1796–1865) un jeune colonel de la Garde impériale (Russie).
Catherine d’Allonville, une de ses filles se marie à 16 ans avec Petr Nikolaevich Kapnist (1796–1865) un jeune colonel de la Garde impériale (Russie).

Armand François d'Allonville se marie avec (1) Charlotte Le Vavasseur (23 août 1769-juillet 1799) en 1793, la veuve de M. le baron de Béthune-Hesdigueuil[13].

Il a une fille avec sa première femme :

  • Marie-Louise d’Allonville (1794-1877) x Alexandre Louis d’Allonville (1774-1852), préfet, Conseiller d'État, d'où une fille Armande Marie Antoinette qui se marie avec le comte Frédéric des Mazis.

Armand a également épousé (2) la comtesse Catherine de Munnich (1785-1851), en 1804 en Russie. Elle est la fille d'un général, la petite-fille du comte Ernst de Munnich, l'arrière-petite-fille du célèbre maréchal Burckhardt de Munnich et aussi la cousine germaine de Barbara Juliane von Krüdener.

Officiers de la Garde impériale (Russie) 1851.
Officiers de la Garde impériale (Russie) 1851.

Il a 3 enfants avec sa seconde femme :

  • Raphaël d’Allonville
  • Pierre d’Allonville (1821-1877), marié en 1840 à Valérie de Lauzières-Thémines, sa cousine (°1821), fille de Jean-Baptiste-Alphonse, comte de Thémines (+ 1877) et d’Adélaïde-Élisabeth-Armandine de Mertrus de Saint-Ouen (+ 1822).
    • Leur fils, Emmanuel Armand d'Allonville d'Oysonville (15 mai 1841-1912) écrit à Henri Dunant (fondateur de la croix-rouge) du Cap Martin en 1903, au nom du Prince impérial et de l'impératrice Eugénie de Montijo. Cette longue fidélité de Henri Dunant au monde du Second empire est fascinante et mérite assurément de faire l'objet d'une étude séparée.
  • Catherine d’Allonville se marie à 16 ans avec Petr Nikolaevich Kapnist (17961865), un très riche aristocrate ukrainien, jeune colonel de la Garde impériale (Russie). Indifférente aux somptueux cadeaux de son mari, ils divorcent et elle se remarie avec un jeune russe du nom de Bobarykin.

La famille d'Allonville s'est éteinte avec ce dernier descendant, après avoir été cité pendant neuf siècles.

Anton Günther von Münnich (1645-1721)
 |
 |--> Burckhardt de Munnich (1683-1767)
 |     x Christiane Lucretia de Witzleben
 |       |
 |       |--> Ernst de Munnich (1707-1788)
 |       |       x Anne-Dorothée de Mengden
 |       |         | 
 |       |         |--> Antoine de Munnich
 |       |         |      |
 |       |         |      |--> Serge de Munnich
 |       |         |      |
 |       |         |      |--> Céleste Octavie de Munnich (1785-1851)
 |       |         |            x Armand François d'Allonville (1764-1832)
 |       |         |
 |       |         |--> Johan Gottlieb de Munnich (1735-1813)
 |       |         |
 |       |         |--> Ernst Gustave de Munnich(1740-1812)
 |       |         |
 |       |         |--> Anna Ulrika de Munnich (1741-1811)
 |       |               x Otto Hermann de Vietinghoff (1722-1792)
 |       |                  |
 |       |                  |--> Barbara Juliane von Krüdener (1764-1824)
 |       |
 |       |--> Sophie de Munnich
 |       |
 |       |--> Louise Dorothée de Munnich
 |
 |--> Johann Rudolf von Münnich (1678-1730) 
 |        
 |--> Christian Wilhelm von Münnich (1686-1768)

[modifier] Citations

D'Allonville prétend que Danton aurait fait enlever des joyaux (en maquillant le fait par un vol de truands. Une des causes de la Révolution, selon Armand François d'Allonville :

Soixante dix pour cent des revenus du ministre Choiseul viennent du Roi, la place de colonel général des Suisses et Grisons, un grand gouvernement, le grand bailliage d'Haguenau, la surintendance des postes ; ce qui lui donnait 700 000 livres de rente outre les 300 000 que la duchesse lui avait apportées. Cependant cette fortune ne l'empêcha pas de faire des dettes que le Roi daigna payer.

Trois familles seules, quoiqu'elles ne pussent servir, ni services ni talents, recevaient environ trois millions en bienfaits annuels : c'étaient les Polignac, les Noailles et les Talleyrand. Si la faveur des Polignac est récente, celle des Noailles, paraît à d'Allonville, le couronnement de deux siècles de courtisanerie. Cette famille réunissait au commencement de la Révolution, outre des traitements pécuniaires immenses, deux duchés, deux bâtons de maréchal, deux des quatre compagnies des gardes du corps, deux cordons du Saint-Esprit… une grandesse, un régiment propriétaire, des gouvernements, ambassades et places de cour. Le mémorialiste est indigné mais dissimule à peine une involontaire indignation envers ces Noailles, sans cesse partagés entre deux partis de cour afin de s'y montrer au premier rang. A ce stade il est vrai, l'état de courtisan se confond avec la plus haute virtuosité. Bref, tout ce que les d'Allonville ne sont pas ou ne seront jamais, mais voudrait peut-être être...

Antoine de Rivarol parle souvent du bon vieux temps, primo della Rivoluccione, voilà ce qu'en dit d'Allonville, il est en garnison à Caen de 1778 à 1783 : Tous les genres de plaisirs faits pour d'honnêtes gens se trouvaient réunis autour du château d'Harcourt : la promenade dans les jardins délicieux, la chasse dans des forêts très giboyeuses, la conversation avec des hommes aussi instruits que spirituels, avec des femmes aussi séduisantes par leur esprit que par leur figure ; la danse, la musique et par dessus tous les charmes de l'antique simplicité unis à ceux de l'élégance moderne.

La cour était insatiable d'honneurs, de dignités et d'argent écrit Armand-François d'Allonville[14]. Les d'Allonville ne se reconnaissent pas dans ce monde de courtisans, de robins et de financiers. Leur destin se joue sur les champs de bataille au service de la France.

Il existe, écrit le comte d'Allonville, les bienséances de l'âge, les bienséances de position, les bienséances de position… les bienséances forçaient les gens bien nés à ce genre de politesse qui semble s'oublier pour les autres, qui voile d'égard sa supériorité personnelle de naissance, de fortune ou d'état qui cache à son amour propre ou ses prétentions, qui prescrit de ne pas s'abaisser trop devant les grands et ne pas s'élever trop devant ses inférieurs.

L'honneur et le point d'honneur : Mystère moral et politique insoluble ! tu vis de souvenirs et d'espérances ; tu te repais en tes chimères, et n'en es pas moins réel et puissant ! tu ne nuis à aucune vertu et peux y conduire, suppléer à toutes, tandis qu'il n'en est point qui sache te remplacer ! On est quelquefois coupable sous ton nom, mais jamais méprisable. Cette devinette pour l'éducation du Dauphin cache la définition de l'honneur par le comte d'Allonville, en 1788. L'auteur voie en chaque société un principe moteur, le patriotisme chez les Romains, la religion en Espagne, le mercantilisme en Angleterre. Celui de la France est noble et plus éclairé : c'est le principe de l'honneur, espèce de religion nationale… patriotisme des monarchies. Il participe de la virtus latine et des vertus chrétiennes, prescrit impérieusement la loyauté, la foi, la délicatesse, la soumission à tous les devoirs… , et fait produire à la vanité même presque tous les fruits de la vertu[15].

[modifier] Notes et références de l'article

  1. JOURNAL DE L'INSTITUT HISTORIQUE, Par l'Institut historique, p.265
  2. Dictionnaire historique et biographique des généraux français, depuis le onzième siècle jusqu'en ... Par Jean Baptiste Pierre Jullien Courcelles, p.79
  3. Dictionnaire des ouvrages anonymes, Par Antoine Alexandre. Barbier, Joseph-Marie Quérard, p.262.
  4. Société des études historiques (France). Revue des..., 1841, p.372
  5. La littérature française contemporaine. XIXe siècle Le tout accompagné de notes biographiques et ..., par Joseph Marie Quérard, Félix Bourquelot, Louis Ferdinand Alfred Maury, p. 25. Toutefois une note sur la même page précise qu'il ne peut être colonel à 24 ans avant 1789.
  6. Arnault, Antoine Vincent (1766-1834). Biographie... p.125
  7. Galerie historique des contemporaines, par Pierre Louis Pascal de Jullian, p. 77.
  8. Dictionnaire des ouvrages anonymes, par Antoine Alexandre. Barbier, Joseph-Marie Quérard, p.262
  9. Publié à Paris par Werset, 1838-45, en 6 volumes
  10. Paris, 1828-1838, 13 volumes.
  11. 29e livraison. - Chronique de Nestor sur la Russie, traduction de M. L. Paris, par M. le comte d'Allonville
  12. Arhiv grafov Mordvinovyh, vol. VII, p. 333 et suiv.; Chaix-d’Est-Ange, Dictionnaire des familles anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 1 ; Jougla de Morénas, Grand armorial de France, n° 596 ; Saint-Allais, tome 2, p. 136 et suiv. ; Woëlmont de Brumagne, Notices généalogiques, tome 7.
  13. Mariée en premières noces par contrat du 7 février 1786 au baron André-Maximilien-Ghyslain de Béthune-Hesdigneul (°Arras 9.4.1759 - + Paris 4.4.1789)
  14. Mémoires secrets de 1770 à 1830, cité par François Bluche, dans La noblesse française au XVIIIe siècle
  15. Armand-François d'Allonville. Mémoires secrets de 1770 à 1830, cité par François Bluche dans La noblesse française au XVIIIe siècle.

[modifier] Son œuvre

[modifier] Articles connexes

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[modifier] Liens et documents externes