Fénay

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Fénay

Fénay en aquarelle

Carte de localisation de Fénay
Pays France France
Région Bourgogne
Département Côte-d'Or
Arrondissement Dijon
Canton Gevrey-Chambertin
Code Insee 21263
Code postal 21600
Maire
Mandat en cours
Marie-Françoise Petel
2001-2008
Intercommunalité Communauté d'agglomération dijonnaise
Latitude
Longitude
47° 14′ 37″ Nord
         5° 03′ 36″ Est
/ 47.2436111111, 5.06
Altitude 210 m (mini) – 243 m (maxi)
Superficie 10,46 km²
Population sans
doubles comptes
1 281 hab.
(2006)
Densité 122 hab./km²

Fénay est une commune française, située à 10 km au sud de Dijon dans le département de la Côte-d'Or de la région Bourgogne. Elle comprend les hameaux de Fénay, Domois et Chevigny.

Sommaire

[modifier] Géographie

Fénay est située à 10 km en limite sud du "Grand Dijon", à l'intersection des autoroutes A6 et A39, juste après Longvic et sur les importants axes routiers de la RD 996 (axe nord-sud Dijon-Seurre) et de la RD 108 (axe est-ouest).

Les coordonnées géodésique de la mairie sont : 47°14'54 de latitude Nord et 5°03'54 de longitude Est. Le point culminant de la commune (251 mètres) est situé au fort de Beauregard.

Sur une superficie de 1 045 hectares, on compte 700 ha de terres agricoles et 103 ha de forêts (65 ha à Fénay, 36,5 ha à Chevigny et 1,65 ha à Domois). Le territoire de la commune est traversé par trois cours d'eau : la Sansfond, ou Cent-Fonts, la Varaude et le fossé de Chevigny[1].

Fénay est doté de deux zones artisanales : une zone située en bordure de la RD 996 à Fénay, une autre à Chevigny. Elles comptent une quarantaine de petites entreprises. Le Conservatoire des Sites Naturels de Bourgogne[2] est localisé à Fénay. La commune abrite ainsi 690 emplois.

[modifier] Histoire

[modifier] Préhistoire

Lors de fouilles, des outils datant du Moustérien ont été découverts[3].

[modifier] Antiquité

Le territoire de Fénay est situé dans une région à la jonction de trois Etats celtes : l'Eduie, territoire dominé par les Eduens (Bibracte), la Lingonie, domaine des Lingons (Langres) et la Séquanie, dominée par les Séquanes (Vesontio, ou Besançon). C'est une plaine sans frontière où on se dispute les terrains de chasse et les passages de communication des périphéries (vallées de la Saône et de l'Ouche, axe nord-sud de la "côte"). Durant la période gallo-romaine, une voie romaine, d'axe nord-sud et reliant Lyon (Lugdunum) à Langres puis Trèves, est construite. Appelée "Levée d'Agrippa", elle est connue à Fénay sous le nom de "Chemin des Romains".

[modifier] Moyen-Âge

Durant le Haut Moyen-Âge[3], quelques documents, des donations, citent pour la première fois la commune (en 679 et en 783). Au IXe siècle, la rivière Cent-Fonts est mentionnée avec son orthographe originelle. Elle évoque une fontaine, une source ("fonts")[4]. Domois apparait dès la fin du VIIe siècle. Au Xe siècle, des actes prouvent la culture de la vigne à la "Villa Duemensis".

Au début du XIIe siècle, les religieux de Saint-Bénigne et ceux de Cîteaux étendent leurs possessions sur le territoire fédinois (moulins, étangs,...). Ainsi, le Moulin des Étangs aurait une origine cistercienne. En 1177, on parle de l'église de Fénay. Le monticule avoisinant la fontaine de Chevigny pourrait représenter l'emplacement du château des seigneurs de Chaudenay, arrivés en 1311 à Fénay. En 1378, une recherche de feux dénombre 19 foyers à Fénay et 4 à Chevigny comme à Domois. _Sources[3]_

A la fin du Moyen-Âge, il semble que Fénay comme Chevigny, comptés alors parmi les "trois" villages d'Ouges, appartiennent à la châtellenie de Rouvres[5]. En tout cas, ils sont parfois considérés comme des villages "retrayants" de cette seigneurie, c'est-à-dire qu'en échange de contributions, ils peuvent bénéficier du droit de "retrait" au sein du château afin de profiter de sa protection potentiellement utile en cette période troublée des XIVe siècle et XVe siècle. En 1365 et 1369, Fénay participe ainsi au financement du renforcement des murs de la basse-cour de la forteresse ducale de Rouvres. Ces contributions sont renouvelées plusieurs fois, notamment pour entretenir les "empierrements" du "chastel" roburien : 1373, 1374, 1375, 1378 et 1380. Les dangers des années du duc Jean Sans Peur nécessitent de nouveaux appels de fonds (1411). Parfois, la participation est "manuelle" : en 1419, le prévôt de Rouvres mande la population pour le nettoyage des fossés du château[6].

[modifier] Temps Modernes

Les premières mentions d'une commune à Fénay datent de la fin du XVIe siècle (entre 1590 et 1593).

En octobre 1636, en route vers Saint-Jean-de-Losne qu'il part assiéger, le général des Impériaux Matthias Gallas (1584-1647) laisse de nombreuses ruines et désolations sur son passage dans les plaines de l'Ouche et de la Saône. Fénay connait son lot de destructions.

La seigneurie de Domois passe à la famille Gagne en 1650. En 1666, on dénombre 16 feux à Fénay et 6 à Domois. Leurs habitants semblent tous très pauvres. La seigneurie de Domois repasse au jeune marquis Anne-Charles de Clermont-Tonnerre en 1783.

Quant à la châtellenie de Rouvres qui s'étendait jusqu'à Fénay, Chevigny et Ouges, elle est supprimée en 1782[6].

[modifier] Époque contemporaine

Pendant la Révolution,en 1790, les hameaux de Fénay ("Feney" à l'époque[7]), Chevigny et Domois sont rassemblés pour constituer une seule commune. De 1793 à 1801, Fénay appartient au canton de Rouvres, puis, à partir du Consulat, au canton de Gevrey. L'esprit révolutionnaire sera à nouveau présent chez les Fédinois par la constitution d'une compagnie de Gardes Nationaux en 1830 (sabres et fusils seront d'ailleurs utilisés plus tard par les pompiers). Le hameau de Domois abritait au siècle précédent la chapelle de la Vierge. Celle-ci sera détruite en 1800. La statue, réputée miraculeuse, sera alors transférée à l'église de Fénay (avant d'être transmise au clos de Domois en 1879).


Tout au long du XIXe siècle, la commune se développe. De nouvelles constructions sont entreprises : lavoir de Chevigny (de 1807 à 1840), lavoir de Domois (1836) qui ne sera cependant pas utilisé par manque d'eau, Fontaine Saint-Martin à Fénay (1843),... En 1856, les 410 habitants de la commune se répartissent ainsi : 123 à Fénay, 241 à Chevigny et 46 à Domois. Au milieu du siècle, des tuileries[8] à Fénay produisent de 700000 à 800000 tuiles par an. On propage aussi la culture de la vigne sur le finage avec un cépage "gamay" d'Arcenant réputé plus résistant. Pendant la guerre de 1870-1871, on note le passge de soldats prussiens. Entre 1877 et 1881, le fort de Beauregard est édifié au point culminant de la commune afin de contribuer à la ceinture défensive de Dijon (Système Séré de Rivières). Un orphelinat est également construit au clos de Domois en 1880. L'école-mairie de Chevigny, elle, ouvre ses portes en 1885[9]. _Sources[3]_

Le XXe siècle s'ouvre par le premier conflit mondial de 1914-1918 qui emporte dix-neuf hommes de la commune. Durant la seconde guerre mondiale (1939-1945), deux Fédinois sont morts pour la France. Sous l'Occupation, une batterie de la Flak, la DCA allemande, est installée près du fort de Beauregard afin de participer au système de défense de la base aérienne militaire voisine de Longvic[10]. Le 27 août 1944, un avion allié P-47 Thunderbolt, de retour de mission de bombardement sur Besançon, est abattu par la flak. Le pilote sautera en parachute. Récupéré par un habitant du village, il est caché puis exfiltré par des maquis[11].

Après guerre, la commune poursuit son développement. Elle s'agrandit et se modernise : adduction d'eau (1950), remembrement rural (1954). Un premier lotissement s'implante à Domois en 1960. Il y est suivi d'une nouvelle école élémentaire couplée à un système de ramassage scolaire entre les trois hameaux de la commune (1972)[12]. La même année, le ramassage des ordures ménagères est organisé et le SIVOM de Saulon-la-Chapelle crée. Installations sportives (vestiaires, terrains aménagés, salle omnisport) et zones artisanales (Fénay, Domois) sortent de terre. En un demi-siècle, la population communale a quadruplé !_Sources[3]_

[modifier] Administration

Constituée en 1790, la commune de Fénay[7] est en fait un regroupement de trois hameaux : l'un porte son nom, Fénay, et les deux autres se nomment Domois et Chevigny. Une particularité : la mairie se situe sur le territoire du hameau de Chevigny, l'église sur celui de Fénay, et l'école sur Domois. Depuis le 1er janvier 2007, Fénay appartient au "Grand Dijon", la communauté de l'agglomération dijonnaise[13].



Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
- - -
- 1971 Gustave Lombard
1971 1995 Jean-Pierre Halm
1995 2001 M. Mercey-Bon
2001 en cours Marie-Françoise Pétel aucun
Toutes les données ne sont pas encore connues.

[modifier] Démographie

Les habitants de Fénay se nomment les Fédinois et les Fédinoises.


Évolution démographique
(Source : INSEE[19])
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
245 250 232 228 312 388 405 422 415
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
410 396 379 419 444 569 581 569 548
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
498 453 484 419 458 482 543 397 463
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 - -
362[20] 414[20] 1068[20] 1226 1346 1340 1281 - -
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes
Sources[21],[20]

[modifier] Lieux et monuments

[modifier] Église Saint-Martin

Eglise de Fenay
Eglise de Fenay

L'église Saint Martin de Fénay date du XIIIe siècle. Elle est l'église paroissiale des communes de Fénay (et donc aussi des hameaux de Domois et Chevigny) et de Saulon-la-Rue. Elle est inscrite aux Monuments historiques (Arrêté du 23 juin 1947)[22].

Elle comprend un choeur du début du XIIIe siècle composé de trois absidioles en cul-de-four correspondant chacune à une nef primitive. Le transept date de la fin du XIIIe siècle. La nef, aussi du XIIIe siècle, fut remaniée au XIVe siècle avec la suppression des piliers qui la séparaient des bas-côtés. Elle conserve cependant sa porte latérale sud ainsi que la corniche à modillons biseautés. Les fenêtres de cette nef sont bien postérieures : elles datent d'une restauration au XVIIe siècle.

On remarque dans cette église une dalle funéraire du début du XVIe siècle (classée en 1923), celle d'"Antoinette de Dinteville, veuve d'Étard de Saulx, seigneur d'Orain, morte en 1516".

D'autres objets ou éléments de cette église sont également classés ou intéressants[23],[24] :

  • L'Adoration des Mages, tableau du XVIIe siècle (classé)
  • Un saint chartreux en méditation, toile du XVIIe siècle (classé)
  • L'Éducation de la Vierge, statue polychrome du XVIIIe siècle
  • Saint évêque, statue en pierre du XVe siècle
  • La pierre tombale de "Messieurs Parisot", Dijonnais installés et inhumés à Fénay après avoir fui la peste de la grande ville (XVIIIe siècle)
  • Maître-autel (ou tabernacle), autel, gradins d'autel : bois sculpté et doré du XVIIe siècle (classés)
  • Chaire à prêcher, en bois sculpté du XVIIe siècle.

Le jardin du presbytère est également classé.

[modifier] Fort de Beauregard

Également appelé "Fort Fauconnet", cet édifice militaire bâti à la fin du XIXe siècle, de 1877 à 1881, appartient au système Séré de Rivières. Il devait participer à la défense de l'agglomération dijonnaise. Aujourd'hui désaffecté, il a été restauré et est ouvert au public lors des Journées du Patrimoine.

Icône de détail Article détaillé : Fort de Beauregard.

[modifier] Clos de Domois

L'orphelinat de Domois[25] est créé en 1880 par l'abbé Jean-François Chanlon, à la demande de Monseigneur Rivet, évêque de Dijon. Il est bâti sur l'emplacement de l'ancien sanctuaire Notre-Dame de Domois. Le bâtiment principal date de 1935. Après plusieurs évolutions au cours du XXe siècle, le clos de Domois, propriété privée, reste un lieu consacré au service des enfants.

A l'origine, l'abbé Chanlon souhaitait préparer les orphelins à la vie en leur donnant un métier. Il encourage la création de différents ateliers : imprimerie (1892), menuiserie, forge, cordonnerie. Une ferme permet aussi l'apprentissage du travail de la terre. En 1971, l'orphelinat devient laïc. Il prend le nom de "Foyer de Domois" : les ateliers disparaissent, des enfants relevant de soins médico-éducatifs sont accueillis. En 1993, le foyer devient l'"Institut Éducatif et Thérapeuthique". Un centre d'insertion par le travail, notamment spécialisé dans le recyclage de matériel informatique, s'est établi dans une partie des lieux[26].

Récemment une communauté religieuse, la "Fraternité Sitio", à construit sur le site son prieuré indépendamment du Clos.

[modifier] Arboretum

L’arboretum a été implanté sur le hameau de Domois en 1995. 28 essences différentes constituent cet arboretum, dont 16 feuillues et 12 résineuses, pour un total d’environ 120 plants.

[modifier] Personnalités liées à la commune

Fénay compte quelques natifs titulaires de la Légion d'honneur :

  • Calude Costet[27], né le 19/01/1783 à Domois
  • Camille Étienne Fromentin[28], né le 17/06/1865 à Fénay

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens internes

[modifier] Liens externes

[modifier] Notes, sources et références

  1. Le fossé de Chevigny (U1411080) sur le site Le Sandre
  2. Conservatoire des Sites Naturels de Bourgogne
  3. abcdef Commune de FENAY - Domaine gratuit par IFT.CX
  4. L'orthographe actuelle "Sans-Fond" est par conséquent sans doute erronée.
  5. D'ailleurs, signe de cette "dépendance", et comme presque tous les villages de cette châtellenie seulement supprimée en 1782, Fénay appartiendra logiquement au canton de Rouvres onze ans plus tard, de 1793 à 1801, avant d'être rattaché à celui de Gevrey.
  6. ab FRIGNET (Georges), ROUVRES : la châtellenie et le château au temps des deux premiers ducs Valois de Bourgogne ( vers 1360 – vers 1420 ), Paris, 2005. Lien : http://www.theses.paris4.sorbonne.fr/frignet/paris4/2005/frignet/html/index-frames.html
  7. ab En 1793, on trouve le nom "Feney". Puis, après 1801, la commune s'appelle "Fenay", puis "Fénay". Voir : http://cassini.ehess.fr/cassini/fr/html/fiche.php?select_resultat=13669#.
  8. On signalera la tuilerie des étangs ainsi que la petite et la grande tuilerie sur la route de Saulon-la-Chapelle.
  9. En 1985, toutes les classes de la commune seront regroupées à Domois. Le bâtiment de Chevigny est alors entièrement occupé par la maire.
  10. http://www.histavia21.net/LIEUX-HISTOIRE/BA-102/croquis4402.jpg
  11. Sources : HENNEQUIN (Gilles), Résistance en Côte d'Or, (tome 3, qui corrige une première version erronée du tome 1). & http://www.histavia21.net/HISTAV2/COTDOR.htm _ Détails --> Date : 27 août 1944, vers 13h45. Avion : US P47D-27-RE THUNDERBOLT Sérial 42-27351 Code: 8N-lettre. Pilote : FL-Leader William Albert Mac CORMICK Junior Mat O-441850 Photographie du pilote. Circonstances : départ de la base de Beuzeville _ALG A6_ (Manche) ; mission de bombardement de voies vers Besançon ; abattu par la DCA au retour de sa mission. Conséquences : après saut en parachute, le pilote est récupéré près de la ferme de la Sansfond par M. René Junot, hébergé par M. Édouard Ménétrier, transmis au maquis Dubois, puis à un autre maquis près de Saint-Claude (Jura). La carcasse de l'avion a chuté près du cimetière de Fénay.
  12. De 1972 à 1985, les élèves de la commune seront répartis sur deux sites : celui de Domois et l'ancien, à la mairie-école de Chevigny, avant tout réservé aux maternelles. En 1985, école maternelle et primaire sont regroupées en un même site, celui de Domois. Le 11 novembre 1999, le groupe scolaire est baptisé "Groupe Jean-Pierre HALM" au cours d’une cérémonie organisée par monsieur Mercey-Bon, maire de Fénay, qui saluait la mémoire de l’ancien maire de Fénay (de 1971 à 1995) décédé quelques mois auparavant.
  13. Site de la communauté de l'agglomération dijonnaise : www.grand-dijon.fr
  14. L'orthographe du VIIe siècle, Fidenniacum, est la plus ancienne connue. On peut en tirer une étymologie en faisant remonter Fénay jusqu'à l'époque des Romains. On a dans Fidenniacum, Fides Enniaci, foi d'Enniacus, c'est à dire gens qui ont donné leur foi à Enniacus, en d'autres termes : "Fief d'Enniacus".
  15. Chevigny semblerait tenir son nom d'un de ses seigneurs ou de la maison de ce seigneur.
  16. La racine paraît être Dumetum, buisson, ce qui ferait de l'ancien Domois, la grange ou la ferme "des buissons".
  17. Il pourrait s'agir de Chevigny (?).
  18. Cava, en latin, signifie "trou" ou "vieux colombier".
  19. Fénay sur le site de l'Insee
  20. abcd Source INSEE depuis 1962. Avec prise en compte des doubles comptes, les chiffres seraient : 437 (au lieu de 362) en 1962, 479 (au lieu de 414) en 1968 et 1127 (au lieu de 1068) en 1975.
  21. Population par commune avant 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales) disponible sur ce site : http://cassini.ehess.fr/cassini/fr/html/6_index.htm _ Résultats pour Fénay : http://cassini.ehess.fr/cassini/fr/html/fiche.php?select_resultat=13669
  22. Descriptif (Base Mérimée du Ministère de la Culture)
  23. Sources : Petite histoire de Fénay & Petit journal de Fénay
  24. Éléments (Base Palissy du Ministère de la Culture)
  25. Texte inspiré d'un écrit de Mme M.-F. P. Voir la page spécialisée sur le site officiel de Fénay : Histoire de la commune/Clos de Domois
  26. "Transfert"
  27. de Costerousse à Coudy
  28. de Fritsch à Fumey