Hérouville-Saint-Clair

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Hérouville-Saint-Clair
Carte de localisation de Hérouville-Saint-Clair
Pays France France
Région Basse-Normandie
Département Calvados
Arrondissement Arrondissement de Caen
Canton chef-lieu du canton d'Hérouville-Saint-Clair (Caen-5)
+ Canton de Caen-6
Code Insee 14327
Code postal 14200
Maire
Mandat en cours
Rodolphe Thomas
2008-2014
Intercommunalité Communauté d'agglomération Caen la Mer
Latitude
Longitude
49° 12′ 16″ Nord
         0° 19′ 31″ Ouest
/ 49.2044444444, -0.325278
Altitude 1 m (mini) – 70 m (maxi)
Superficie 10,64 km²
Population sans
doubles comptes
24 025 hab.
(1999)
Densité 2 258 hab./km²

Hérouville-Saint-Clair est une commune française, située dans le département du Calvados et la région Basse-Normandie.

C'est une ville du nord-ouest de la France, dans la banlieue de Caen.

Jusqu'en 1957, elle s'appelait simplement Hérouville.

Ses habitants sont appelés les Hérouvillais.

Sommaire

[modifier] Démographie

Évolution démographique
(Source : INSEE[1])
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005
1784 9041 23 712 24 298 24 795 24 025 25 929
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

[modifier] Héraldique

Propriétaires successifs de la seigneurie

  • Laurent Le Forestier : D'azur à 3 gerbes d'or
  • Gabriel Morel : D'argent au cheval gay(sans harnachement) de sable à un chef d'azur, chargé d'un croissant d'or au milieu de deux molettes d'or
  • Seigneurs d'Hérouville : De gueules à deux jumelles d'argent
  • Colbert : D'or à une couleuvre ondoyante, en pal d'azur
  • Montmorency : D'or à la croix de gueules cantonnée de 16 alérions de sable
  • Montmorency Luxembourg : D'argent au lion de gueules couronné d'or, la queue nouée et fourchée passée en sautoir.


[modifier] Histoire

Les deux Hérouville sur la carte de Cassini (milieu du XVIIIe)
Les deux Hérouville sur la carte de Cassini (milieu du XVIIIe)

[modifier] Étymologie

Le nom de la commune proviendrait du mélange de la racine latine villa et d'un nom d'origine germanique, Herulf, vraisemblablement d'origine saxonne[2]. L'étymologie dénoterait une occupation du site à partir du haut Moyen-âge.

Au fil des textes, Hérouville est orthographié différemment : Herulfivilla, Hetrutfivilla, Herolfivilla, Herolvilla ou Herovilla[3].

[modifier] Histoire

[modifier] De l'antiquité au Moyen-âge

Il faut souligner la pauvreté de la recherche archéologique sur le site de la commune à l'époque de son expansion, qui a entraîné l'absence quasi-totale de recherches archéologiques sur deux sites d'occupation romaine qui auraient pu s'avérer prometteurs :

  • villa de La Grande Delle : Lors des travaux de construction des bâtiments d'habitation en 1965 a été dégagée une villa. Les travaux étaient bien avancés lors de la mise en place de fouilles de sauvetage, et c'est dans une zone à demi-bâtie qu'ont pu être dégagés un certain nombre de vestiges. Cinq dépotoirs gallo-romains furent retrouvés, avec des éléments de céramiques ordinaires ou sigillées, débris alimentaires divers et monnaies permettant une datation large du site de Domitien à Constantin. Fut découvert à proximité un sarcophage romain, vidé avant l'arrivée des archéologues[5].

L'histoire de l'occupation du site d'Hérouville est donc très mal connue.

Il faut signaler en outre les découvertes de deux haches de pierre polie, de l'époque néolithique mais étudiées hors contexte archéologique et donc difficilement exploitables[6].

Le bourg naît au haut moyen-âge sur les ruines romaines. Des sépultures mérovingiennes furent fouillées en 1963 autour de l'ancienne église.

[modifier] Époque moderne et contemporaine

[modifier] Époque moderne

L'époque moderne voient les malheurs frapper : Les temps de la Réforme voient le site dévasté, en particulier les édifices religieux. De même au XVIIe siècle ce sont les épidémies qui frappent Lébisey[7]. La seigneurie passe d'un dénommé Pierre marquis d'Hérouville et de la Rivière (décédé en 1670) à Jean-Baptiste Colbert.

La seigneurie passe de la famille de Colbert à celle très ancienne des Montmorency par mariage.

[modifier] De la Révolution française à la fin du XIXe siècle

La commune est née en 1793 de la fusion de trois paroisses[3] :

  • Saint-Clair-d'Érouville
  • Saint-Pierre-d'Érouville
  • Saint-Ursin d'Éperon.

À cette date, on recensait à Hérouville 553 habitants. Tout au long du XIXe siècle, ce chiffre reste relativement stable ; la croissance démographique reste comprise dans une fourchette allant de 465 habitants au minimum en 1800 à 662 au maximum en 1862[8].

[modifier] Du début du XXe siècle à la Reconstruction

[modifier] Histoire récente

[modifier] Démographie et indicateurs sociaux

La population augmente très légèrement à partir des années 1920-1930. Mais c'est à partir des années 1960 que la population explose véritablement : 1 784 habitants en 1962, 9 041 en 1968 et 23 712 en 1975[8]. Ce chiffre a peu varié depuis 1975.

Simple village au début des années 1960, la commune est devenue la plus importante banlieue de Caen et la deuxième commune la plus peuplée du Calvados. Cette croissance est en particulier due à l'arrivée de nombreuses familles immigrées d'Afrique du Nord, d'Afrique noire ou d'Europe du sud. Ce caractère pluriculturel forge l'identité de la ville, renforcée par un tissu associatif important et dynamique.

Économiquement, la commune possède des indicateurs sociaux qui peuvent inquiéter, avec en particulier un très fort taux de chômage des jeunes, et de même dans la population adulte, ayant pris de front les désastres économiques successifs de l'agglomération caennaise (SMN, Moulinex).

[modifier] Histoire politique récente
Entrée de ville et la résidence universitaire Jean Grémillon, décembre 2007
Entrée de ville et la résidence universitaire Jean Grémillon, décembre 2007
théâtre d'Hérouville-St-Clair
théâtre d'Hérouville-St-Clair

De 1971 à 2001, François Geindre fut le premier magistrat de la commune. Il tentera de faire perdre à la ville son image de "ville dortoir" en la dotant d'équipements culturels (cinéma, théatre...) et en déployant tous les efforts pour attirer des commerces. Son objectif durant cette période est de

« Faire d'Hérouville une vraie ville, c'est, à partir d'une ZUP des années 60, introduire la complexité dans ses fonctions, introduire la diversité dans ses activités, retrouver le beau, l'art, la rencontre, la tendresse. C'est savoir où se donner rendez-vous dans la ville. C'est pour les Hérouvillais, non seulement aimer leur ville, mais en être fiers[9]. »

En 1987 est inaugurée la "Citadelle Douce", le centre ville, dans lequel il installe la mairie et quelques commerces.

Si durant les cinq mandats de François Geindre certains ont pu l'accuser d'une certaine propension à la mégalomanie (en particulier le projet démesuré de construire une tour de cent mètres au coeur de la ville, abandonné suite à l'hostilité des administrés), on pourra surtout mettre l'accent sur l'énorme travail d'intégration des nombreuses ethnies de la ville.

Le dernier mandat fut néanmoins assombri par des problèmes en particulier avec la chambre régionale des comptes, dans l'affaire de la distribution trop large de subventions aux nombreuses associations de la ville, et aussi dans l'affaire de "la ligne" : une ligne de carrés de verre qui traverse la ville, idée basée sur un trait d'union, dans lequel chaque habitant devait déposer un objet caractéristique de son époque. Cela a été un échec, les habitants n'adhérant pas au projet, nombre de carrés étant pré-remplis de façon artificielle par des petits objets stéréotypés se multipliant à l'infini...Pire, la procédure de marchés publics n'a pas été respectée,et cela fut pointé par la chambre régionale des comptes. Dans la durée, cet élément architectural a fait l'objet de dégradations sévères, tout d'abord réparées soigneusement (mais à coût prohibitif) mais depuis les carrés dégradés sont remplis uniquement de simple béton dégrossi...

En 2001, suite à la décision de François Geindre de ne pas solliciter le suffrage des électeurs, la liste PS menée par Jangui Le Carpentier, qui fut longtemps son premier adjoint, dut faire face au second tour à une triangulaire avec une liste MRC menée par Serge Lézement et une liste "apolitique" menée par Rodolphe Thomas. Dans cette configuration, ce fut à Rodolphe Thomas de présider aux destinées de la ville.

En mars 2008, le maire est réélu dès le premier tour avec plus de 53% des suffrages, sur sa liste "Fiers d'être Hérouvillais", mettant en avant son programme de rénovation urbaine, et des éléments programmatiques populaires (gratuité des cantines scolaires pour les familles nécessiteuses), la défaite étant sévère pour la liste P.S. menée par Emmanuel Renard, conseiller général du canton de Caen-5.

[modifier] Architecture

Citadelle douce, place F Mitterrand et arbre de la liberté
Citadelle douce, place F Mitterrand et arbre de la liberté

Hérouville-Saint-Clair est restée un village de la plaine de Caen sans particularité quelconque jusqu'en 1963. Au début des années 1960, devant la nécessité d'agrandir l'agglomération caennaise, Hérouville est retenue pour accueillir les nouveaux logements de la zone de par sa supeficie (1063 hectares)[10].

[modifier] La ville nouvelle : de la ZUP à la ville

La plus grande partie de la ville bâtie est actuellement le fait de la ville nouvelle, fondée en 1963. La première pierre de la ville nouvelle est posée en 1963, lançant la constuction du premier quartier moderne , les Belles Portes. Le Grand Parc et La Haute Folie voient le jour dans la continuité. La construction de la ville nouvelle durera jusqu'en 1978 avec les nouveaux quartiers du Val puis du Bois. Le dernier quartier qui se développe est situé à Lébisey et reste une zone résidentielle assez distante du reste de la commune.

L'ancien village, resté tel quel, devient un quartier nommé le Bourg. La mairie y restera jusqu'en 1987 avant de déménager dans les locaux de la Citadelle Douce, centre-ville nouvellement construit : D'un aspect architectural avec un parti-pris résolument contemporain, même s'il s'inspire de la conception médiévale d'un centre urbain avec la mairie comme chateau, l'église, également des lieux culturels tels la bibliothèque, le cinéma "café des images" et le théâtre. L'audace de cet ensemble avait comme but "dans le coeur de [la] ville, [d'oser] le pari de fonder l'identité d'Hérouville, de fonder une part importante de cette identité sur le rapport de la culture et de la démocratie[11]. En dépit de ces efforts, le centre ville restera une grande place grise et déserte, la galerie commerciale toute proche restant le véritable lieu d'échange et de rencontre des hérouvillais (et de bien d'autres).

Les architectes qui avaient conçu les plans de la ville sont connus pour avoir été des novateurs dans l'histoire de l'architecture contemporaine française. Il s'agit notamment de grandes signatures contemporaines telles que Jean Nouvel, Massimiliano Fuksas (résidence universitaire Flora Tristan), Alain Provost, Roland Castro, Christian de Portzamparc. L'urbanisme auquel leur créativité avait donné libre cours alliait des espaces verts et des espaces piétonniers interdits à la circulation routière ou permettait dans un même quartier une mixité architecturale avec notamment le côtoiement d'immeubles et de pavillons et la présence en leurs centres de centres commerciaux de proximité.

[modifier] Le défit du Grand Projet de Ville

Les soubresauts économiques de la région frappent davantage Hérouville que d'autres communes. L'importance du parc d'habitat social en fait une lieu d'habitat important pour nombre de familles modestes. Face à la problématique de la diversification sociale de la ville, Rodolphe Thomas prend le parti du renouvellement urbain à base de démolition-reconstruction, avec l'objectif d'introduire davantage de développement économique au coeur de la cité. Démolition de logements sociaux, reconstruction d'équipements collectifs et d'une portion importante de logements à destination d'accédants à la propriété. Parallèlement, l'objectif est d'ouvrir les quartiers sur la ville par une nouvelle voirie.

  • Convention avec l'ANRU signée le 14 octobre 2005
  • Eléments du projet :
    • Démolitions
    • Constructions :
      • Le Grand Parc
      • Le Val : 37 logements sociaux
      • Les Belles Portes : 36 logements sociaux
      • La Grande Delle : 46 logements sociaux et 10 maisons de ville en accession sociale à la propriété
      • nouveau quartier mixte social-accession à la propriété autour du stade Prestavoine
    • Aménagements :
      • La place de la fontaine, aménagement de l'entrée ouest de la ville.
      • Square Agnam
      • La place de l'Europe, avec construction d'un vaste immeuble de bureaux et de parkings souterrains.

Ce choix politique fort semble approuvé par la population. De manière tout à fait objective, à l'issue du processus, le visage de la ville -du moins dans le bâti- aura changé. Signe de ce changement, pour l'opération immobilière "château d'eau", construction d'une cinquantaine de logements sociaux (appartements et maisons de ville), la pierre de Caen est utilisée en guise d'habillage afin de rompre avec le béton qui a longtemps caractérisé la ville.

[modifier] Administration

Liste des maires successifs[12]
Période Identité Parti
1790 David de Magneville
1793 Laurent Dupuis
an III Jacques Guillaume Cuminal
1806 H. D. de Magneville
1826 Jacques Le Barillier
1834 Marie-André Soye-Suriray
1852 J. B. Ledain
1860 Pierre Lavarde
1867 Théodose du Moncel
1884 Guyon Léonce de Guercheville
1888 Alexandre Bernard
1902 Marcel Roublot
1919 Eugène Quesnel
1945 Emile Forestier
1947 Joseph Cougoulic
1960 André Vermeulen
mars 1971 François Geindre PS
mars 2001 Rodolphe Thomas UDF
mars 2008 Rodolphe Thomas MODEM
Les données antérieures ne sont pas encore connues.

En 1793, la commune d'Hérouville fut incorporée au canton de Mondeville. En 1801, elle fut integrée au canton de Caen-Nord, puis à celui de Caen-Est en 1815. Depuis 1982, le territoire communal est partagé entre deux cantons :

[modifier] Enseignement et vie étudiante

Collège Pierre Daniel-Huet
Collège Pierre Daniel-Huet

Hérouville-Saint-Clair est connu pour son Collège Lycée Expérimental, couramment appelé le Clé, établissement scolaire créé en 1982 pour mettre en place des méthodes pédagogiques originales. Les écoles primaires sont aussi à la pointe de la pédagogie, avec des écoles ouvertes et surtout une école Freinet qui éduque par l'autonomie. Par ailleurs, Hérouville comprend aussi un lycée général, le lycée Salvador Allende. De plus, il y a le lycée Rabelais qui déménagera sur la commune d'Ifs vers 2010, de par l'exiguité de ses locaux rendant impossible le maintien sur le site même, et de négociations n'ayant pas abouti avec la municipalité pour un transfert vers d'anciens terrains de sport de l'ASPTT.
On compte aussi 3 collèges publics (sans compter le Collège lycée expérimental d'Hérouville-Saint-Clair), Pierre Daniel Huet, Pierre Varignon et François de Boisrobert ainsi qu'un collège privé Saint Michel. Du fait des sous-effectifs, le Conseil général du Calvados par l'intermédiaire de sa présidente Anne d'Ornano a fait connaître sa volonté de fermer à l'horizon 2010 un des trois collèges publics hérouvillais, vraisemblablement le collège Boisrobert, outre le collège caennais du Chemin-Vert[14].

Hérouville-St-Clair comporte également en son sein trois résidences universitaires du CROUS, situées à l'entrée de la ville, à proximité du château d'eau, et dont les 1008 logements peuvent accueillir plus de 1200 étudiants :

[modifier] Transports

La ville d'Hérouville contient un réseau de bus et de tramway qui permet de se déplacer pour rejoindre la ville de Caen ainsi que d'autres villes aux alentours. La ligne de tramway en présence est la ligne B qui rejoint le coeur d'Hérouville au quartier de la Grace de Dieu de l'autre côté de Caen.

La ville est aussi desservie par le boulevard périphérique de Caen qui permet de se déplacer n'importe où dans l'agglomération caennaise en un minimum de temps. Elle peut accéder rapidement à l'autoroute A13 par l'intermédiaire du viaduc de Calix, vaste pont construit au début des années 1970 enjambant une portion de l'espace portuaire de Caen.

A l'est commence la D 515, 4 voies, qui permet de rejoindre la ville portuaire de Ouistreham en une dizaine de minutes.

[modifier] Lieux et monuments

[modifier] Bâtiments civils

  • Vestiges de la grande ferme d'Hérouville
  • La ferme de la Roque ou des Roquettes
  • vestiges de la porte du clos de la delle du Mont, vers Colombelles
  • Le parc et le château de Beauregard
  • La "citadelle douce" (1983-1987) : Eugène Leseney[15]
  • Hôtel de ville

[modifier] Bâtiments religieux

[modifier] Équipements culturels

  • Cinéma Café des Images, labellisé art et essai.
  • Théâtre.
  • Bibliothèque municipale, désormais équipement de la communauté d'agglomération Caen-la-Mer.

[modifier] Équipements sportifs

  • Stade Prestavoine

[modifier] Infrastructures

[modifier] Autres

  • Centre commercial et galerie marchande Saint-Clair, quartier du Val

[modifier] Événements

Carnaval 2008
Carnaval 2008
  • Carnaval.
  • Fête des communautés : rassemblement dans le parc de Beauregard. La trentième édition en 2008 a mis en évidence l'essoufflement de la formule actuelle, et la nécessité de repenser ce rassemblement.

[modifier] Personnalités liées à la commune

[modifier] Jumelages

[modifier] Médias

Cityzen TV

Radio 666

TSF 98


[modifier] Sports

Le sport a bénéficié longtemps de lourds investissements, les nombreux équipements en témoignent : terrains de sport, piscine...

L'avenir des terrains de l'ASPPT (terrains de sport, équipements de tennis) est sombre, le terrain étant promis aux promoteurs.

  • L'équipe de waterpolo du club des Marsouins d'Hérouville évolue en N3 depuis plusieurs années. La formation des jeunes reste une priorité pour cette équipe phare de la ville avec, notamment, la présence en équipe de France de Quentin Chipotel, ancien pensionnaire du club qui évolue désormais à Sète.

[modifier] Voir aussi

[modifier] Notes et références

  1. Hérouville-Saint-Clair sur le site de l'Insee
  2. Lucien Geindre, Il était une fois Hérouville, p. 19
  3. ab Cf.Arcisse de Caumont, Statistique Monumentale du Calvados, Caen, Hardel, 1846 [(fr) texte intégral (page consultée le 10 juin 2008)]
  4. Lucien Geindre, op. cité, pp. 18-19
  5. Lucien Geindre, op. cité, p. 33
  6. Lucien Geindre, op. cité, p. 26
  7. Lucien Geindre, op. cité, pp. 51-52
  8. ab Source : Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale - Hérouville-Saint-Clair », École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS)
  9. Discours du maire lors de l'inauguration de la Citadelle Douce, le 22 juin 1987, cité par Lucien Geindre, op. cité, pp. 196-197
  10. Lucien Geindre, op. cité, p. 17
  11. François Geindre, discours du maire lors de la visite présidentielle du 22 juin 1987, cité par Lucien Geindre, op. cité, p. 197
  12. Lucien Geindre, op. cité, p. 373
  13. Source: EHESS.
  14. Ouest-France, édition du 26 mai 2008
  15. Architecture/urbanisme, Caen et son agglomération XXe siècle à nos jours, JCE Caen, 2007
  16. Lucien Geindre, op. cité, pp. 314-315
  17. Lucien Geindre, op. cité, pp. 315-316
  18. Lucien Geindre, op. cité, pp. 311-314

[modifier] Liens externes

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