Cathédrale Saint-Étienne de Metz

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pour les articles homonymes, voir Cathédrale Saint-Étienne.


Cathédrale
Saint-Étienne
Ville Metz
Pays France France
Région Lorraine Lorraine
Département Moselle
Culte Catholique romain
Type Cathédrale
Rattaché à Diocèse de Metz
Début de la
construction
XIIIe siècle
Fin des travaux XXe siècle
Style(s)
dominant(s)
Gothique
Classé(e) Monument historique (Journal officiel du 16 février 1930)

La cathédrale Saint-Étienne de Metz, dans le département français de la Moselle, est l’église principale du diocèse de Metz. Elle est la cathédrale de France possédant la plus grande surface de vitraux — près de 6 500 mètres carrés — et présente les plus grandes verrières gothiques d’Europe. Avec 41 mètres sous voûte, sa nef est la troisième plus haute de France.

Sommaire

[modifier] Histoire

[modifier] Le sanctuaire de Saint-Étienne (Ve-Xe s.)

Au début du Ve siècle siècle, saint Étienne est à la mode et se voit célébré dans tout l'empire. L’essor du culte du premier martyr Étienne en Occident suivit l’invention des reliques du saint à Jérusalem (415). Plusieurs cathédrales françaises lui sont dédiées — Agde, Auxerre, Bourges, Cahors, Châlons-en-Champagne, Limoges, Meaux, Sens, Toul, Toulouse — et remontent pour la plupart au Ve siècle.

Vieille cité gauloise, Metz devient le siège d’un évêché au IIIe siècle. Comme nous l’apprend un passage de l’Histoire des Francs de Grégoire de Tours (II, 6), un sanctuaire dédié à Étienne (Oratorium beati Stephani) qui se trouvait à l'emplacement actuel de la cathédrale, fut le seul monument épargné par les Huns lors du sac de la cité le samedi saint 7 avril 451. L'oratoire de Saint-Étienne est dans les grâces divines et devient alors fort populaire. On parle de miracle. Il accueille le siège de l'évêque et devient en quelque sorte la premiere cathédrale de Metz, à l'intérieur même de celle-ci. On peut supposer que le sanctuaire de Saint-Étienne était relativement récent lors du sac de Metz par Attila.

Vers 784, Paul Diacre, moine bénédictin de Lombardie qui séjourna à la cour de Charlemagne et à Metz, écrivit une Histoire des évêques de Metz selon laquelle Pépin le Bref aida financièrement l'évêque Chrodegang (742-766) à réaliser des travaux dans le sanctuaire (ciborium, chancel, presbytérium, déambulatoire).

[modifier] La basilique romane (XIe-XIIIe s.)

Entre 965 et 984, l'évêque Thierry Ier entreprit de reconstruire le sanctuaire primitif avec l'aide financière des empereurs Othon Ier et Othon II. La nouvelle basilique fut achevée sous son successeur Thierry II et consacrée en 1040.

La reconstruction de la basilique romane débuta moins de deux siècles après son achèvement.

[modifier] La cathédrale gothique (XIIIe-XVIe)

La cathédrale dans le tissu urbain à la fin de la Renaissance.
La cathédrale dans le tissu urbain à la fin de la Renaissance.

Aux alentours de l'année 1220, selon la volonté de l'évêque Conrad de Scharfeneck l'édification de la cathédrale, dédiée à saint Étienne, est entreprise. La construction s'étalera sur trois siècles pour s'achever vers 1520.

Elle est bénie le 11 avril 1552.


[modifier] Le portail néoclassique de Blondel (1764)

La cathédrale ne subit aucun changement notable jusqu'à la seconde moitié du XVIIIe siècle.

Soucieux de ne pas demeurer en reste par rapport à Nancy qui venait de se doter de la place Stanislas, sans doute aussi parce que l'art « gothique » était déprécié et associé à tort à l'Allemagne toute proche, le maréchal de Belle-Isle, gouverneur des Trois-Evêchés, décida d'établir une place royale. Malgré les protestations du chapitre, il fit dégager les abords de la cathédrale par la destruction du cloître et des églises attenantes (Saint-Pierre-le-Vieux, Saint-Pierre-le-Majeur, la chapelle des Lorrains).

Les édiles de la ville font appel à l'architecte Jacques-François Blondel pour doter la ville d'un centre urbain « à la mode ».

Entrepris en 1762, l'aménagement de la Place d’Armes, de la place de Chambre et de la place du marché dégage le tissu urbain médiéval sur trois côtés autour de la cathédrale. L'édification de la mairie, côté place d'Armes, et du palais des évêques de Metz (aujourd'hui, le marché couvert), côté place du marché et place de Chambre contribue à constituer un ensemble architectural dominé par l'œuvre des maitres-maçons du Moyen Âge. À cette occasion, et dans un souci d'harmonisation de cet ensemble urbain, Blondel construit sur les trois côtés de la cathédrale ainsi dégagée, une enveloppe classicisante et en particulier, un imposant portail principal (côté place du marché).

[modifier] Une refonte néogothique… allemande

Entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle, la Moselle ainsi que l'Alsace étant devenues partie intégrantes de l’Empire allemand avec statut de « territoire d’Empire », il n'est pas interdit de penser que des arrière-pensées politiques ne sont pas non plus absentes de la refonte néogothique des pourtours de la cathédrale. Il est vrai aussi que la mode est alors au médiévisme comme on le voit, à la même époque, au château du Haut-Kœnigsbourg « restauré » si ce n'est reconstruit pour l'Empereur allemand ou à Karlštejn réhabilité pour l'Empereur d'Autriche.

En mai 1877, un feu d'artifice organisé depuis le toit de la cathédrale en l'honneur de Guillaume II provoque un incendie qui détruisit totalement la toiture mais épargna l'intérieur de la cathédrale. L'ancienne charpente de bois et la couverture en ardoise furent remplacées entre 1880 et 1882 par une construction métallique recouverte de plaques de cuivre[1]. La nouvelle toiture, plus haute de 4,5 mètres modifia sensiblement l'aspect extérieur de la cathédrale, réduisant notamment l'effet des deux tours.

Les ajouts de Blondel dont l'apparence nuisait vraisemblablement à l'harmonie de l'ensemble, sont détruits en 1898, et remplacé, sous les ordres des fonctionnaires prussiens, par un porche de néogothique de Paul Tornow. Les sculptures, sur le tympan du portique, représentent le Jugement dernier

[modifier] Architecture

Détails du haut du portail ouest
Détails du haut du portail ouest
La nef de la Cathédrale Saint-Etienne de Metz
La nef de la Cathédrale Saint-Etienne de Metz
Gargouilles du portail ouest
Gargouilles du portail ouest

La cathédrale est bâtie en pierre de Jaumont. Les voûtes ont été élevées par l'architecte Pierre Perrat (?-1400).

[modifier] Deux églises en une

Les trois premières travées de la nef de la cathédrale sont celle de Notre-Dame-la-Ronde dont l'axe est perpendiculaire à celui de Saint-Étienne et le visiteur attentif notera, selon les canons architecturaux gothiques, le portail principal de cette église au nord de la seconde travée, son abside et son maitre-autel au sud de la seconde travée alors que la première et troisième travées servent de bas-côtés à cette curieuse « église dans l'église ».

[modifier] Les tours et clochers

Ce beffroi[2] s'élève à 88 mètres de hauteur.


[modifier] Quelques chiffres

Longueur maximale extérieure : 136 m
Longueur maximale intérieure : 123,2 m
Largeur de la façade ouest : 33,0 m
Hauteur de la nef centrale : 41,41 m
Largeur de la nef centrale : 15,60 m
Hauteur de la nef transversale (transept) : 46,80 m
Largeur de la nef transversale (transept) : 16,34 m
Diamètre de la rosace ouest : 11,25 m
Hauteur de la tour du Chapitre : 69,00 m
Hauteur de la tour de Mutte : 88,00 m
Surface du bâtiment : 3500 m²
Surface des vitraux : 6496 m²

[modifier] Eléments architecturaux extérieurs

[modifier] La tour de Mutte

Jusqu'à la fin du XIVe siècle, à Metz, c'est la cloche de Saint-Eucaire qui servait de cloche municipale. On l'appelait bancloche ou plus communément mutte, puisqu'elle était destinée à ameuter la population en diverses occasions.

En 1412, il fut décidé d'installer une cloche, déjà commandée en 1381, sur une des tours de la cathédrale de Metz, alors en construction. Les Études campanaires mosellanes du chanoine Bour signalent huit refontes, nécessitées par des fêlures successives. Il situe la première en 1418 mais sans certitude. Une autre est attestée le 24 novembre 1428, le travail ayant été confié aux maîtres fondeurs Jean de Galle et Jean de Luxembourg. Une troisième eut lieu en octobre 1442, garantie par un bombardier de la ville, maître Louis de Hamelle. Mais la Mutte se rompit encore, nécessitant l'intervention de maître Anthoine d'Estain, qui effectua une coulée en septembre 1443. La suivante date de 1459; on sait que le chantier était installé dans l'église Saint-Pierre-aux-Images, située près de la cathédrale, sous la direction de deux maîtres fondeurs allemands, Arnould de Coblence et Tillmann de Hachenburg. Une refonte est effectuée en 1479 dans la grange Saint-Symphorien, au haut de Saint-Hilaire-le-Petit, tout près du palais de justice actuel. On avait fait appel au fondeur Jehan Lambert de Deneuvre, près de Baccarat. En 1574, on fit encore appel à Gaspard Sonnoy de Romain-sur-Meuse, près de Bourmont, qui installa son chantier dans une maison de la ruelle de Vazelle, près du marché couvert actuel. Enfin, la dernière refonte a eu lieu en 1605.

[modifier] Vitraux

Vue du choeur et du bras sud du transept
Vue du choeur et du bras sud du transept


[modifier] XIIIe siècle

Dans le transept sud, à gauche du grand orgue, de petits vitraux bleus remontant au XIIIe siècle, les plus anciens de la cathédrale, figurent six scènes de la vie de saint Paul. Ils proviennent vraisemblablement de l'église Saint-Paul qui faisait partie du groupe cathédral et fut démolie au XVIIIe siècle.

Plusieurs roses du XIIIe siècle ornent les dernières travées des bas-côtés sud et nord de la nef. La rose de la troisième travée nord de la nef provient du vitrail central du chœur de Notre-Dame-la-Ronde. Son médaillon central figure le Couronnement, des anges aux mains jointes, portant couronnes ou encensoirs occupent les six médaillons du pourtour.

[modifier] Les vitraux d'Hermann de Münster (XIVe siècle)

Verrière d'Hermann de Münster
Verrière d'Hermann de Münster

Au-dessus du grand portail de la façade se déploie la grande verrière occidentale (350 mètres carrés). Elle comporte une grande rosace de 11 mètres de diamètre et fut créée en 1384 par Hermann de Münster (Münster, Westphalie, ? - Metz, 1392). Le programme iconographique illustre la concordance entre les articles du Symbole des Apôtres et leur préfiguration dans l'Ancien Testament.

Preuve de sa notoriété et de la reconnaissance des chanoines, Hermann de Münster se vit accorder le droit de sépulture dans la cathédrale et fut inhumé au pied de son chef-d’œuvre. Une épitaphe, retrouvée dans la première travée du bas-côté nord, nous apprend qu'il venait de Münster en Westphalie : "CI DEVANT GIST/MAISTRE HARMAN LI VALRIER/DE MÜNSTERE AN WAILTEFALLE/ET FIST LE GRANT OZ DE CEANS/QUI MORUT LE JOR DE LA NOSTRE DAME/EN MARS M.CCC.IIIIXX et XII".

[modifier] Les vitraux de Théobald de Lixheim (XVIe siècle)

Dans le transept nord, la magnifique verrière de Théobald de Lixheim est datée de 1504. La rose du sommet avec le Couronnement de la Vierge surmonte les quatre Evangélistes dans les quadrilobes. Les trois niveaux de lancettes figurent au registre supérieur huit saints, au registre intermédiaire huit saintes et au registre inférieur huit apôtres avec les articles du Credo sous leurs pieds et les scènes de leur martyre. Au bas des lancettes intermédiaires coure une frise à fond bleu portant l'inscription : "HOC OPUS PER THEOBALDUM DE LYXHEIM VITRIARIUM PERFECTUM EST ANNO DOMINI MCCCCCIV" (« Cette œuvre fut achevée par Theobald de Lixheim, verrier, en l'an du seigneur 1504 »).

[modifier] Les vitraux de Valentin Bousch (XVIe siècle)

En face, la grande verrière du bras sud du transept est le chef-d’œuvre de Valentin Bousch (Strasbourg, fin XVe - Metz, 1541), exécuté en 1526-1527. Son activité est attestée à partir de 1514. Il travaille d'abord à la Basilique de Saint-Nicolas-de-Port, siège d'un pèlerinage fréquenté, puis à la cathédrale de Metz dont il devient le verrier attitré de 1520 jusqu'à sa mort en 1541, mais il est employé également pour d'autres édifices de Lorraine. Le style de Valentin Bousch emprunte beaucoup de ses traits à l'art germanique, en particulier à Hans Baldung Grien qu'il connaissait probablement.

[modifier] XXe siècle : Chagall, Villon, Bissière, Gaudin

La cathédrale de Metz a largement bénéficié du renouveau du vitrail français après la Seconde Guerre mondiale. Quelques architectes en chef des Monuments historiques, auxquels incombaient la charge de remplacer par des verrières neuves les œuvres détruites pendant la guerre, comprirent les possibilités offertes par la peinture-vitrail.

Ce fut le cas de Robert Renard qui, aidé par l'inspecteur des Monuments historiques Jacques Dupont, put imposer à la cathédrale de Metz Jacques Villon à la chapelle du Saint-Sacrement, située sur le côté sud de la nef (1956-1957). Par sa puissance expressive, Villon parvint à rehausser une chapelle ordinaire grâce à cinq verrières à thème eucharistique, exécutées par Charles Marcq.

En 1959, Marc Chagall accepta de peindre les cartons de deux baies du déambulatoire nord avec pour sujets des épisodes de l'Ancien Testament. L'univers biblique et onirique de Chagall fut admirablement servi par le savoir-faire de l'atelier Simon-Marq à Reims. L’œuvre, d'une grande liberté, met à contribution toutes les ressources de la gravure et de la peinture sur verre.

En 1960, Roger Bissière crée les maquettes de deux verrières pour les tympans nord et sud[3].

[modifier] Monuments funéraires

La cathédrale de Metz renferme peu de monuments funéraires. Dans les chapelles rayonnantes autour du déambulatoire se trouve notamment les priants du cardinal de Givry, et de monseigneur Dupont des Loges.

Le tombeau du cardinal de Givry représente celui-ci en prière sur son prie-Dieu. Le monument actuel est la restauration datant de 1854 et 1911 du tombeau original détruit au cours de la révolution[4].

Le tombeau de Paul Dupont des Loges est l'œuvre du sculpteur Hanneaux.

Tombe de Paul Georges Marie Dupont des Loges
Tombe de Paul Georges Marie Dupont des Loges

[modifier] Pièces d'intérêt


  • La crypte renferme une effigie du Graoully, le fameux dragon qui terrorisait la ville.
  • Le trésor recèle des pièces remarquables, telles des crosses d'évêques en ivoire des XIIe et XIIIe siècles, l'anneau épiscopal de Saint-Arnould, des pièces d'orfèvrerie du XIIe au XIXe siècle.
  • Une série de sculptures représentant de petits personnages est décrite par Christian Jacq dans son livre le Voyage Initiatique[5] comme révélateur d'un parcours intime d'initiation des bâtisseurs de cathédrale et par extension des francs-maçons actuels.

[modifier] Ancien objet du trésor

La statue équestre, dite de Charlemagne, et conservée au musée du Louvre[6], provient du trésor de la cathédrale. Cette statue en bronze doré, datant en grande partie du IXe siècle, représente probablement le petit-fils de Charlemagne, Charles le Chauve.

[modifier] Grandes heures de la cathédrale

[modifier] La cathédrale dans la littérature

La cathédrale de Metz est évoquée à diverses reprises dans la littérature régionale mais elle est également présente dans l'œuvre de différents autres auteurs.

Paul Verlaine, né à Metz en 1844, l'évoque en ces termes dans ses Confessions[9] :

« Metz possédait et doit encore posséder une très belle promenade appelée « l'Esplanade », donnant en terrasse sur la Moselle, qui s'y étale, large et pure, au pied de collines fertiles en raisins et d'un aspect des plus agréables. Sur la droite de ce paysage, en retrait vers la ville, la cathédrale profile à une bonne distance panoramique son architecture dentelée à l'infini. Vers la nuit tombante, des nuées de corbeaux reviennent en croassant, faut-il dire joyeusement ? reposer devers les innombrables tourelles et tourillons qui se dressent sur le ciel violet. »

La cathédrale est très présente dans le roman de Maurice Barrès, Colette Baudoche.

« Devant eux s’étendait un pays à la mesure humaine, vaste sans immensité, façonné et souple, et, près de sa rivière, Metz, toute plate au ras de la plaine, et que spiritualise le vaisseau de sa haute cathédrale. »

[modifier] La cathédrale dans l'art

Dans sa série Les belles villes gauloises d'entre Rhin et Moselle, Albert Robida a consacré en 1915 une lithographie à la cathédrale de Metz[10].

Lithographie par Albert Robida
Lithographie par Albert Robida

La cathédrale de Metz figure également dans l'œuvre de peintres comme Auguste Migette[11] ou Monsù Desiderio.

[modifier] Philatélie

  • En 1945, la cathédrale de Metz est représentée conjointement avec celle de Strasbourg sur un timbre commémorant la Libération de l'Alsace et de la Lorraine[13].
  • Un timbre représentant un vitrail de la cathédrale de Metz, réalisé par Marc Chagall en 1963 a été émis le 8 juillet 2002[14]. Ce timbre, détail du vitrail Ève et le serpent a été vendu à plus de 8 millions d’exemplaires.

[modifier] Notes

  1. Niels Wilcken, Metz et Guillaume II : l'architecture publique à Metz au temps de l'empire allemand (1871-1918), 2007 [détail des éditions]
  2. Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Beffroi, Eugène Viollet-le-Duc, 1856
  3. Francis Roussel, La route du vitrail, 1994 [détail des éditions]
  4. Jean de Pange, La cathédrale de Metz, 1932 [détail des éditions], p 42
  5. Christian Jacq, Le voyage initiatique ou les trente-trois degrés de la sagesse, 1986 [détail des éditions]
  6. Site officiel du musée du Louvre
  7. François-Yves Le Moigne (dir), Histoire de Metz, 1986 [détail des éditions] p84
  8. François-Yves Le Moigne (dir), Histoire de Metz, 1986 [détail des éditions] p86
  9. Confessions, Paul Verlaine, 1895
  10. Les belles villes gauloises d'entre Rhin et Moselle, Albert Robidat, E. Baudelot, Imp-Éditeur, Paris, 1915
  11. Certains tableaux d'Auguste Migette représentant la cathédrale de Metz sont visibles sur le site de la mairie de Metz
  12. Catalogue Yvert et Tellier, tome 1
  13. Catalogue Yvert et Tellier, tome 1
  14. Annonce sur le site de la mairie de Metz.

[modifier] Bibliographie

[modifier] Ouvrages anciens

[modifier] Ouvrages récents

  • Jean-Louis Jolin, La lanterne du bon dieu - la cathédrale Saint-Étienne de Metz, 2001 [détail des éditions]
  • Jörg Schmitz, Leben und Werk des Architekten Wilhelm Peter Schmitz (1864-1944). Dombaumeister, Denkmalpfleger, Kunstschriftsteller und Lothringischer Konservator. Ein Rheinischer Architekt des Späthistorismus (Aachen, Köln, Trier, Metz)= Dissertation Université Trèves 2003, Tome 1: Biographie und Abbildungsteil, Tönning 2005, 310 S., 744 Abb., ISBN 3899593820; Tome 2: Werkverzeichnis, Tönning 2005, 746 S., 4 Tab., 1 CD-ROM, ISBN 3899593839

[modifier] Voir aussi

commons:Accueil

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur la cathédrale de Metz.

[modifier] Articles connexes

[modifier] Liens externes