Discuter:Olier Mordrel

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Sommaire

[modifier] Modifications

[modifier] Introduction

Rédaction actuelle :
Olivier Mordrelle, fut un nationaliste breton engagé

Rédaction antérieure, rétablie : Olivier Mordrelle, fut un nationaliste breton engagé dans la collaboration avec l'Allemagne nazie


Il est aussi connu sous les pseudonymes de

Il est aussi connu sous de nombreux pseudonymes, dont ceux de


[modifier] Sur le PNB – Breiz Atao

Dans Breiz Atao (n° 164, 11 décembre 1932) il déclare : Jacobin rime avec Youppin. (...) " Notre Juif " à nous, en Bretagne, c’est donc surtout le théoricien de l’Une et Indivisible, avant que Breiz Atao ne reprenne la croix gammée en janvier 1933.


[modifier] Sur SAGA

Il déclare à ce sujet (Stur, n° 1-2, juin 1942, p 5) : en 1933, (…) nous avons déclenché, dans notre vieux “ Breiz Atao ”, la campagne SAGA, en faveur d’un national-socialisme breton.


[modifier] Stur

Stur (Le Gouvernail),

Stur (Le Gouvernail), qui arbore la croix gammée


des opinions proche de la pensée fasciste en développat un nationalisme celte.

des opinions du domaine de la pensée fasciste en développant un nationalisme celte. Il y publie en 1938 une lettre de Vision d’avenir (Stur n°12, 01-03/1938, p. 25-26) défendant la brutalité nécessaire des peuples maîtres – disons si vous voulez, les Nordiques –, et concluant : Ah ! Ceux d’entre nous qui ont mal au ventre à voir égorger un poulet, feraient bien d’aller s’endurcir un peu les nerfs tous les matins à l’abattoir municipal : conseil d’ami….


[modifier] Sur Peuples et Frontières

où s'exprime les revendications de la Bretagne et des principales minorités nationales européennes.

où sont présentées des revendications au nom de la Bretagne et des principales minorités nationales européennes. Hermann Bickler, chargé de la rubrique sur l’Alsace, est tout autant ouvertement lié au nazisme que Mordrel. Dans le premier numéro de Peuples et Frontières (1er janvier 1937, p. 14-16), dans Une lettre à propos de La Kermesse Héroïque, le Flamand J. Demeerseman attaque l’organe juif Marianne, en déclarant Il ne suffira pas d’alléguer comme excuse que, peut-être en Allemagne, l’industrie du cinéma n’est pas encore totalement libérée de l’emprise juive.


[modifier] Déclaration de la guerre

A la déclaration de la guerre entre la France et l'Allemagne, il choisit l'exil. D'Amsterdam, Mordrel et Debauvais adressent un manifeste aux Bretons, condamnant la guerre entreprise par la France le 25 octobre 1939. Fin 1939, alors que le guerre vient de commencer , de Belgique, puis en Hollande, il se réfugie sur le territoire encore neutre de l'Italie. Il avait décidé de s'y fixer, mais le gouvernement romain soucieux d'éviter des complications internationales l'avait refoulé. Il se retrouve alors en Hongrie, autre pays neutre où il s'établit avant de rejoindre ensuite à Berlin.

Avant la déclaration de la guerre entre la France et l'Allemagne, il part en Allemagne nazie avec sa femme, François Debauvais et Anna Debauvais qui décrit leur voyage (Mémoires du chef breton : Fransez Debauvais, tome 3, p. 29-38). Depuis la Belgique, il rejoint Berlin. Publié depuis Amsterdam, Mordrel et Debauvais adressent un manifeste aux Bretons, condamnant la guerre entreprise par la France le 25 octobre 1939.


[modifier] A Berlin

Leur présence est à l'encontre des décisions officielles, ils peuvent cependant circuler grâce à la complicité des agents du service secret acquis à l'idée de l'indépendance bretonne, qui leur a fait délivrer des passeports de "Statenlos", réservés aux apatrides.

Leur présence correspond à une des politiques possibles en cas d’invasion réussie par le Reich. Ils peuvent circuler grâce aux agents du service secret qui gèrent l’option de l'indépendance bretonne, et leur ont fait délivrer des passeports de "Statenlos", réservés aux apatrides.


[modifier] La tête du parti

mène régulièrement campagne contre le gouvernement de Vichy et ses représentants régionaux

mène régulièrement campagne contre le gouvernement de Vichy et ses représentants régionaux, avec l’accord de l’occupant pour sa politique de pression sur Vichy


Olier Mordrel pressentit confidentiellement en 1940 Henri Le Helloco pour une mission en Angleterre (par les canaux de la Résistance) afin de représenter à Londres une tendance alliée du mouvement breton. Le projet n'aboutira pas en raison du passé de Helloco, et de la réaction du Parti National Breton, allié à l'occupant nazi.

Affirmation improuvée


Sa ligne politique irrite à la fois Vichy et Berlin, et sera à l'origine de "la révolution de palais" du parti de décembre 1940.

Sa ligne politique irrite Vichy et ne correspond pas aux besoins de Berlin qui s’appuie sur Vichy et constate l’isolement du PNB dans la population, et sera à l'origine de "la révolution de palais" du parti de décembre 1940.


Cette "révolution de palais" est provoquée avec la complicité des services allemands par des rivaux du leader breton, désireux de l'écarter du pouvoir. Il est déporté en Allemagne,

Cette "révolution de palais" est organisée avec les services allemands, qui mettent en avant un autre dispositif. Il est assigné à résidence en Allemagne.


après avoir réfusé d'aller en Angleterre, le 22 décembre 1940.

Affirmation improuvée


[modifier] Mis à l'écart

Exil…
Il fut assigné à résidence en Allemagne de la fin décembre 1940 à mai 1941. D'abort à Stuttgart, il rejoint Berlin au milieu de janvier 1941 où il vit difficilement. Yann Bricler est envoyé à la foire de Leipzig en 1941, en voyage par train spécial avec quelque 600 industriels et intellectuels, et apporte des subsides à son cousin. Mordrel refusera le poste de lecteur de celtique à l'Université de Bonn, proposé par le professeur Léo Weissgerber. Ce dernier appuiera aussi une demande de mesure de clémence qui sera accordée par les autorités allemandes, et conduira au retour à Paris de Mordrel le 6 mai 1941 sous les conditions de résidence surveillée, pas d'activités politiques, pas de sortie de Paris. Pour conduite exemplaire, Mordrel obtient des permissions pour voir sa famille, dont l'autorisation de passer trois semaines de vacances avec eux à Quelaines-Saint-Gault en Mayenne. A cette occasion, quelques-uns de ces amis comme Jean Merrien, Raffig Tullou, Jean Trécan et René-Yves Creston lui rendent visite et prennent son avis sur un certain nombre de problèmes culturels et politique. Il revient par la suite à Rennes le 16 septembre 1941, avec l'autorisation des Allemands, après 10 mois d'exil, il est considéré comme "indésirable" par les dirigeants du P.N.B., exécré par Vichy, et suspect pour les autorités allemandes.

Mis à l’écart
Il fut assigné à résidence en Allemagne de la fin décembre 1940 à mai 1941. D'abord à Stuttgart, il rejoint Berlin au milieu de janvier 1941. Le professeur Leo Weisgerber lui propose le poste de lecteur de celtique à l'Université de Bonn. Ce dernier organise le retour à Paris de Mordrel le 6 mai 1941. Mordrel obtient des accords pour séjourner en Mayenne. A cette occasion, quelques-uns de ces amis comme Jean Merrien, Raffig Tullou, Jean Trécan et René-Yves Creston lui rendent visite et prennent son avis sur un certain nombre de problèmes culturels et politique. Il revient par la suite à Rennes le 16 septembre 1941, avec l'autorisation des Allemands, après 10 mois de mise à l’écart, il est présenté comme "indésirable" par les dirigeants du P.N.B., exécré par Vichy, et gardé en réserve par les autorités allemandes.

Affirmations improuvées, tri difficile…


[modifier] Exil ?

Exil

La fuite, le retour


[modifier] Modification mineure, Empereur Maxime

L'empereur romain cité est Maxime (ou maximus) et non Maxence. http://fr.wikipedia.org/wiki/Maxime_(empereur_romain)


[modifier] lien

je le supprime les figures montré n'ayant rien à voir avec une croix gammé. --Jamybzh 21 mai 2007 à 22:34 (CEST)

[modifier] Etat global de la version du 28 janvier 2006 à 18:02

Est-il exagéré, à la lecture de cette version affichée depuis des mois, de voir Olivier Mordrel comme un anglophile persécuté par les nazis, auquel il s'oppose courageusement ?

L'état de l'article dans cette version est conforme à l'ensemble de ce qui est produit sur Wikipédia sur ce qui est qualifié de problème breton.

Les affirmations improuvées sont citées sans sources. Si la source est donnée, reste à établir la véracité de ce qui est écrit.

Les quelques ajouts de preuves écrites de activités de Mordrel sont suffisamment clairs.

--Sammy Moreau 24 février 2006 à 22:40 (CET)