Discuter:Logiciel libre

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.


" Pour illustrer le principe du logiciel libre, face au logiciel non libre, on peut comparer cela à une recette de cuisine :

  • selon le principe du libre : vous avez obtenu cette recette par n'importe quel moyen (revue, bouche à oreille...) et personne n'a rien à redire pour ceci et/ou cela... Vous avez le droit de redistribuer cette recette comme vous l'entendez tout comme vous pouvez la modifier comme il vous plaît...
  • selon le principe du logiciel non libre, elle est un peu plus restrictive : il faut vous acquitter d'une licence d'utilisation de la recette valable dans 'une seule' cuisine. Toute copie ou modification de la recette est interdite ! De plus, il vous faudra souvent faire des travaux dans votre cuisine pour suivre les nouvelles versions, toujours plus indispensables et toujours plus chères !

"

N'y aurai t'il pas une pointe d'ironie qui pourrait remettre en cause la neutralité de l'article ?

Cousin, le 17/08/2003

Oui, peut-être un peu. En fait c'est une reprise (une citation en quelque sorte) d'une des métaphores utilisées par RMS pour expliquer le logiciel libre. -- Looxix 17 aoû 2003 à 18:53 (CEST)

À propos de la discussion ci-haut. Puisque c'est écrit " conformément à l'analogie de Richard Stallman", il est clair que la phrase qui suit en est une des rédacteurs de l'encyclopédie. Par conséquent, je trouve qu'il faudrait retravailler la phrase pour davantage de neutralité. La phrase "D'ailleurs, vous ne pouvez même pas accéder aux détails de la recette, qui sont souvent cachés aux yeux de tous" manque de neutralité à mes yeux. Pfv2 8 août 2005 à 05:18 (CEST)


À propos des formats libres : parler de ogg pour l'audio et ogm pour la video n'est pas très exact. Pour ce que j'en sais, il s'agit du même format (container), mais certaines personnes on jugé utile de transformer ogg en ogm pour signifier que le fichier ne contient pas uniquement un flux audio, mais aussi un flux video (ogm = ogg Media). Soit dit en passant, on n'est quasiment pas limité sur le contenu du container, ainsi on peut éventuellement mettre aussi du texte (sous-titres) ou plusieurs flux audio (doublage).

Aldoo, le 07/01/2004 PS. : Si le but était de citer plusieurs formats, on pourrait par exemple citer aussi mkv (Matroska) ... c'était juste une suggesion ;-)

sympa à mettre dans un article sur le format ogg :) Ashar Voultoiz 7 jan 2004 à 01:15 (CET)

Sommaire

[modifier] Sarcasme

Le texte "De plus, il vous faudra souvent faire des travaux dans votre cuisine pour suivre les nouvelles versions, toujours plus indispensables et toujours plus chères ! " constitue un sarcasme.

C'est un allusion à la société Microsoft qui pousse se utilisateurs à devoir faire des investissements dans leur matériel informatique pour pouvoir suivre l'évolution des logiciels vendu par cette société. S'il est vrai que le géant de Bellvue,WA a cette habitude, on ne peut pas en dire autant de toutes les sociétés qui vendent des logiciels.

À contrario, il est faux de prétendre que les logiciels libres sont eux à l'abri du "viellissement" du matériel. Essayez de faire tourner Linux (la dernière mouture) sur le matériel qui supportait ce système d'exploitation lorsque Linus Torvalds a lancé son projet il y a quelques années et vous m'en donnerez des nouvelles.

Ce commentaire est tendancieux et s'éloigne dangeureusement de la "neutralité" que doivent prendre le contenu d'un article dans Wikipedia.

Yanik Crépeau 5 avr 2004 à 02:49 (CEST)

Bonjour, je suis venu sur l'onglet de discussion justement à cause de la même remarque que les précédents contributeurs... Je suis en train de downgrader un vieux pentium 300 de fedora core à red Hat 7.1 sinon ça rame trop. La remarque sur les travaux dans la cuisine est de trop ! Qu'il suffise de dire que la recette n'appartient pass à son utilisateur, qu'il a juste acheté le droit de l'utiliser et strictement, sans modification : c'est déjà beaucoup, pas la peine d'en rajouter avec des inexactitudes. Utilisateur:pichel

PS : j'ajoute cela à la discussion malgré la lecture du HowTo des choses à ne pas faire, mais le début de l'article ne semble pas modifiable comme ça, alors...

Bah! Je fais tourner une Mandrake 10.0 sur un P2 266 avec 64Mo de RAM ça marche impec. Évidemment je ne m'en sers que comme serveur, pas comme station de travail. Pour faire la même chose je ne suis pas sûr que windows 2003 (comparons des OS de la même époque) aurait voulu s'installer. :) Med 7 sep 2004 à 01:46 (CEST)

[modifier] recette de cuisine

Rien ne vient empêcher un cuisinier d'adapter une recette libre à ses désirs et ses contraintes (moyens matériels et ingrédients à disposition), en particulier pour une petite cuisine désuète. C'est bien là l'idée qui a un peu disparue dans la dernière mouture de l'article.

La seconde partie de la comparaison devrait être plus efficace, par exemple :

  • selon le principe du logiciel non libre : vous êtes contraint par licence de ne cuisiner la recette que dans une seule cuisine et à ne la cuisiner que pour vous. Vous n'avez le droit de diffuser cette recette à personne, y compris à vos proches. En outre, la recette fait appel à des produits et des ustensiles dont le rôle et la réalisation sont tenus secrets, de sorte que vous ne pouvez pas la modifier pour l'adapter à votre cas personnel : petit budget, problèmes d'allergie, etc.

[modifier] Sources

Linus Torvalds a, par exemple, personnellement insisté pour que convergent des produits au départ antagonistes tel que KDE et Gnome Sources de cette révélation fracassante ? Marc Mongenet 7 oct 2004 à 19:27 (CEST)

Tu n'as pas l'Internet, sur ta machine fracassante ? ici, tout simplement. 81.65.26.7 9 décembre 2006 à 01:10 (CET)
Salut FDA, toujours aussi mal embouché ? Dans cet article paru 2 ans après ma remarque... la seule phrase parlant de Linus est : « Voyez la fureur qui a suivi l'annonce par Linus Torvalds qu'il recommandait KDE contre GNOME ». Marc Mongenet 9 décembre 2006 à 05:36 (CET)


Microsoft et Intel La palme du Big Brother électronique revient incontestablement à Microsoft, avec son système Windows et son navigateur Internet Explorer, qui renferment un numéro d'identification de l'utilisateur, le GUID (Globally Unique Identifier). Ce numéro d'identification est ensuite inscrit dans tous les documents créés avec les applications de Microsoft Office. Il peut être consulté à distance par Internet grâce à des commandes spéciales prévues par Microsoft. Le système Windows et Internet Explorer intègrent d'autres commandes spéciales qui permettent de sonder le contenu du disque dur de l'utilisateur, à son insu, durant ses connexions à Internet. Microsoft a reconnu l'existence de ces commandes spéciales et du GUID. Selon un rapport réalisé en 1999 pour le ministère français de la Défense, il existerait des liens entre Microsoft et les services de renseignements américains, et des membres de la NSA travailleraient dans des équipes de Microsoft. Ce rapport parlait aussi de la présence de programmes espions ("back-doors") dans les logiciels de Microsoft.De son coté, Intel a également placé un numéro d'identification consultable à distance dans les puces Pentium III et Xeon.La solution pour protéger votre vie privée et vos données: utilisez un Macintosh (ou le système Linux), et surfez sur le Net avec Netscape au lieu d'Internet Explorer.

[modifier] Format libre

Je ne le trouve pas très explicite (on ne voit pas trop ce que ça peut être), et je virerais volontiers "ASCII" de la liste. Peut-être à revoir après la réécriture de Format ouvert (proposée sur la page des articles non-neutres) Esp2008 5 déc 2004 à 08:12 (CET)

[modifier] Section "Quelques formats de données libres" à virer àmha

Il s'agit de la page des logiciels libres et non des formats de données libres (à créer àmha et à lier avec Format de données).

Un logiciel et un format n'ont rien à voir : les uns lisent, produisent, modifient, copient les autres. Des logiciels non-libres peuvent gérer des formats libres, et inversement des logiciels libres peuvent gérer des formats non-libres.

De plus, la définition du logiciel libre est stricte, claire et consensuelle. La notion de format libre est loin loin d'être consensuelle, voir Formats ouverts.org.

Nÿco 9 fev 2005 à 16:00 (CET)

[modifier] Section Liberté et vigilance

Il y a une imprécision importante relative à la "propriété" de Linux : Seule la "TradeMark" appartient à Linus Torvalds, pas la specification... On ne peut donc mettre sur le meme plan OpenGL, Java et Linux. Je propose tout simplement d'enlever toute référence à Linux dans la phrase sur les logiciels aux spécifications propriétaires... NB : il n'y a pas de specifications en tant que telles pour Linux, à part peut-être l'implémentation presque complète du standard POSIX, et le respect d'a peu pres tous les syscalls System V...

Fred 12/06/05 12:43 CET

[modifier] AdQ ?

Bonjour. Je souhaite savoir ce que vous souhaitez voir ajouter, pour le proposer en article de qualité. Merci. guffman 28 décembre 2005 à 04:46 (CET)

Les limitations et inconvénients des LL. Ne préparez pas le buchet pour autant, je suis un fervent défenseur du libre ^^ Ripounet 27 mai 2006 à 23:11 (CEST)

[modifier] Traduction auto de l'article espagnol sur Linux

es:Linux

[modifier] Le logiciel libre dans l'administration publique

Il y a une série d'administrations publiques qui ont montré leur appui au software libre, ou en migrant totalement ou partiellement ses employés et systèmes de bureau, est en le subventionnant. Comme des exemples est eus à à :

  1. l'Allemagne en payant pour le développement du Kroupware. En outre villes comme Munich, qui migre ses systèmes à SuSE Linux, une distribution allemande spécialement orientée à KDE.
  2. Le Cuba où le gouvernement a établi une indication officielle pour introduire de manière progressive le software libre et en particulier le Linux et dans lequel le réseau de Santé Publique, Infomed, a été pionnier dans son utilisation.
  3. La Chine, avec son accord avec Sun Microsystems pour distribuer millions de Java Desktop (une distribution de linux basée en GNOME et spécialement bien intégrée avec java)
  4. Le Brésil, avec une attitude généralement positive, et, par exemple, avec le développement de de ce qui est telecentros
  5. En Espagne, différents gouvernements régionaux développent leurs distributions propres non seulement pour utilisation administrative mais aussi académicien. Nous avons ainsi LinEx en Estrémadure, GuadaLinex en Andalousie, LliureX dans la Communauté de Valence, Molinux en Castilla-La Mancha et MAX dans la Communauté de Madrid, pour le moment. Toutes ces distributions ont en commun le fait d'être basées en Debian.
  6. Le Vénézuéla où le président Chávez a décrété l'utilisation prioritaire le software libre et de GNU/Linux dans toute l'administration publique, y compris des ministères et des bureaux gouvernementaux et on favorise la recherche et le développement de software libre.
  7. Le Chili, où le Ministère de l'Éducation et l'Université de la Frontière (placée en Temuco) ont créé EduLinux, une distribution qu'aujourd'hui dans plus de 1500 écoles des Chiliens et fonctionne dans plus de 90% des bibliothèques Chiliens. Actuellement les Forces Armées Chiliens planifient la création d'une distribution militaire qui interconnecte aux branches de la défense Chilien. Le gouvernement a récemment dit en effet au software libre dans l'administration publique en annulant un contrat préalable avec Microsoft pour le maintien des réseaux et des équipements dans des écoles et des biblotecas Chiliens.
  8. République dominicaine, favorise l'utilisation et la prolifération du Software libre dans le domaine éducatif et scientifique. Il dispose de deux fondations, une dans la capital de Saint-Domingue et l'autre dans la ville Santiago. Codigolibre.org
  9. l'Argentine où on soutient activement le développement non seulement de Linux, mais du software libre en général, à travers le vestibule SoftwareLibre.gov.ar
  10. Le Mexique le Gouvernement du Secteur Fédéral dans ses politiques et linéaments en matière d'Informatique donne préférence à l'utilisation du Software Libre. La Délégation Tlalpan crée la distribution Gouvernement GDF/Linux.

PAS MAL, NON ??? Michel BUZE 9 janvier 2006 à 22:16 (CET)

[modifier] Stratégie dans le libre

Bonjour, Je m'intéresse plutôt au côté "management", "création d'entreprise" et je regarde le libre en me demandant ce qui justifie qu'une entreprise se monte en utilisant des technologies libres. D'abord au niveau "l'avantage stratégique" de l'entreprise, j'ai cru comprendre qu'une SSLL doit laisser tomber le côté "mon entreprise est viable car j'ai un code source que personne n'a" pour prendre le côté "mon entreprise est viable car:

  1. J'ai une équipe de développeurs qui est leader d'un projet libre : Premier avantage stratégique sur mes concurrents, mais cet avantage peut se retourner contre moi dans deux cas:
    1. Si mon volume de développement passe en dessous de 10% des développeurs (variable selon les cas: parfois c'est la communauté qui grandit, parfois c'est mon équipe qui faiblit)
    2. Si mon équipe de développement fait des choix trop éloignés des besoins des autres (ou dit plus couramment "elle fait de la m..." ;-)
  2. J'ai regroupé dans mon équipe des compétences dans ce domaine.
    1. Mais ces compétences peuvent s'envoler du jour au lendemain.
    2. Mais tout-un-chacun peut développer des compétences dans le même domaine que le mien et devenir, trop facilement, un concurrent.

Moi, j'ai l'impression que ces deux avantages stratégiques sont bien faibles pour être à peu près sûr d'être vivant sur le marché dans deux ans... J'ai bien conscience que je ne suis pas dans le trip, mais ce n'est pas à force de m'être informé... Voilà, moi je sors tout juste de mon diplôme d'ingé en If et aucun de mes potes n'a pu me faire un cours de management dans ce domaine (par management, j'entends: créer un business plan, créer des richesses à partir du libre). C'est pourquoi j'aimerais que l'on présente une page, quelque part dans le portail sur le Logiciel Libre, qui explique le management dans le logiciel libre: quelles sont les contraintes, quels sont les avantages stratégiques et quel peut être mon fond de commerce. En effet, dans le portail sur le logiciel libre, on ne parle que de programmation et pas assez de l'entrepreneuriat, à mon avis.--Papagrieng 26 janvier 2006 à 11:58 (CET)

Le Libre est plutôt agnostique en matière de business, quand Richard Stallman a lancé le mouvement il agissait comme citoyen et pas comme entrepreneur, de même que Linus Torvalds n'a pas cherché à créer un nouveau Microsoft. Cela dit, si quelqu'un veut se lancer dans une section "business et management" correspondant à ta demande, il y aurait des liens utiles à faire vers les sections dédiées de sites d'info spécialisés comme ZDNet ou le Journal du Net (dans ce dernier, voir aussi le sous-dossier Informaticien en SS2L. La semaine prochaine à Paris-La Défense (pub gratuite :) il y a le salon Solutions Linux qui a l'intérêt de présenter les deux faces, associative et entreprises, du Libre. Lechat 26 janvier 2006 à 15:32 (CET)


[modifier] Se lancer dans le libre

Tout est dis. Où trouver un projet auquel collaborer quant on est interressé par la philosophie du logiciel libre ?

Surement sur http://sourceforge.net non ? GôTô ¬¬ 7 février 2006 à 12:35 (CET)
Commence par avoir des envies ;-) Commence par sentir un besoin ! Cherche un truc qui te plaît, par exemple pense à un jeu d'éducation, un logiciel pour mixer du son si tu es musicien... Puis cherches ce qui existe dans le domaine... Mais il faut que tusois programmeur avant... --Papagrieng 7 février 2006 à 18:59 (CET)

[modifier] Open libre et logiciel source

J'ai fait un peut de ménage dans l'introduction qui dévelopait un peut beaucoup et commencais même a être un lieux de débat. J'ai donc déplacé les contenu sans les effacer, et parfois allégé un peut.

J'ai surtout modifié la partie sur l'open source: L'impulsion qui a pousser ces créateur a du concept ne doit pas être confondue avec sa définition. L'open source permet a l'auteur de concerver la possibilité de contrôler légalement l'evolution de son logiciel, et donc d'interdire certaines "dérives" qu'il jugerais par éxemple préjudiciable a son commerce.

On ne doit pou autant confondre l'open source et le logiciel libre sous pretexte que le plus souvent l'auteur choisit d'autoriser la "libre évolution" de son logiciel, qui reste donc bien "son logiciel" et ça change tout ...--;-) 22 mai 2006 à 14:39 (CEST)

[modifier] Méthodes d'évaluation de logiciels libres

Je viens d'écrire une première version d'un rapide comparatif des méthodes existantes pour évaluer des logiciels/projets libres. Est-il possible d'ajouter un lien interne vers cette page Méthode d'évaluation de logiciels libres ?

Rsemeteys, 5 juin 2006

Je pense que oui, n'hésite pas ! --a3_nm 5 juin 2006 à 18:03 (CEST)

[modifier] Lien cassé

J'ai suprimé cette ligne car le site n'est plus fonctionnel, merci de la remettre si celà n'etait que provisoire.--;-) 21 juin 2006 à 16:10 (CEST)

Le lien est de nouveau fonctionnel. Je l'ai remis. JeromeJerome 3 octobre 2007 à 23:51 (CEST)

[modifier] Liens internes

J'ai ajouté trois liens internes : Open Source, SSLL et Edition Libre. Les deux dernier sont placés dans un sous-paragraphe "économie du libre" (candidat pour devenir une catégorie ?) et l'article Edition libre pourrait être le pendant de l'article sur les SSLL dans le monde de l'édition, en attendant d'autres articles sur ce thème. Avis ? Manny 21 juillet 2006 à 17:46 (CEST)

[modifier] Ne pas confondre logiciel libre et licence gpl!

  • Le logiciel libre est un principe qui existe sans loi.
  • La licence GPL et une forme légale de droit d'auteur contraignant à la conservation de ces principe.

Richard stalman (puisqu'il faut toujours passer pas lui pour être entendu) déclare avoir connu le logiciel libre au début de sa carrière (60-70). tout le monde pouvait "naturelement" utiliser, étudier, modifier, et diffuser le code des autres.

Le contexte commerciale et légale ne le permetant plus vers les annés 80, la licence GPL est une utilisation légéle du droit d'auteur, ou l'auteur fait le choix d'imposer ces libertés a ce qu'il a fait, et a ce qui en découle.

C'est a ça que ça sert les intro simple, a éviter les conneries que tout le monde veut mettre devans!--;-) 23 août 2006 à 17:24 (CEST)

Ouais, en refaisant l'article je me suis rendu compte que j'avais tendance à confondre les deux. J'ai fait attention, mais peut-être est-ce encore confondu dans l'article ? Je ne comprends pas bien le sens de ta remarque.
Concernant l'intro, elle indique que la notion a été formalisée dans les années 1980. Elle ne parle pas de la GPL, mais elle parle bien sûr de Stallman et la Free Software Foundation. Marc Mongenet 23 août 2006 à 17:37 (CEST)
C'est pas claire par ce que ma remarque était cencé faire suite aux modif que j'ai faite après.--;-) 23 août 2006 à 17:55 (CEST)
Attention, il est faux d'écrire qu'un logiciel libre peut être redistribué sans restriction. C'est le cas de certains, mais pas ceux sous GPL, dont la redistribution est accompagnée de plusieurs restrictions (notamment conservation de la licence et garantie d'accès aux sources). Dans le second point, « licence qui donne aux auteurs le droit » est insensé : une licence donne des droits aux utilisateurs, pas aux auteurs. Marc Mongenet 23 août 2006 à 19:05 (CEST)
Non, pas si on parle du principe de logiciel libre. Les trolls ancestaux dans ce genre concerne les licences et devrais ainsi pouvoir être évité.
Deuxième point: Une licence est un choix de l'auteur (sur son bien?) qu'il impose aux utilisateurs (a sens unique comme tu l'a expliqué). les termes légaux sont effectivement très restrictif et ma formulation mal approprié. C'est là qu'il faudrais en trouver une qui évite le débat sur les réstriction tu crois pas?--;-) 23 août 2006 à 22:24 (CEST)
J'ai repris l'intro sans les erreurs :-) et j'ai ôté le blabla sur les restrictions : simplement les 4 libertés (utiliser, étudier, modifier, redistribuer) et c'est tout. (La perfection est atteinte non quand il ne reste rien à ajouter, mais quand il ne reste rien à enlever.) Qu'en dis-tu ?
Je pense qu'il est mieux que l'intro n'ait pas des listes à boulettes et autres formatages élaborés. Ainsi l'intro est plus réutilisable dans des contextes variés, comme dans les pages de résultats des moteurs de recherche, dans des popups, etc.
J'ai enlevé le fait que Linux soit sous GPLv2, une intro n'est pas du tout le lieu approprié pour de tels détails.
L'auteur « donne » ou « vend » une licence plutôt qu'il ne l'« impose ». Ce qui est imposé, c'est la loi (sur le droit d'auteur).
Il me semble que l'intro cite tous les thèmes importants pour situer le logiciel libre (les 4 libertés, Richard Stallman, projet GNU, Free Software Foundation, Linux, logiciel propriétaire, succès dans les années 1990). En vois-tu qui manque ? Ou des trucs à supprimer ? Marc Mongenet 23 août 2006 à 23:27 (CEST)
Pourquoi refuser d'accepter qu'un logiciel peut être libre sans licence? Hors d'un article spécifiquement sur le droit la définition est tronqué donc fausse. Oui c'est celle qu'on trouve le plus souvent mais dans des contextes "orienté".
Ensuite ce qui m'a choqué et pousser à intervenir c'est la définition en fonction des aquéreurs. C'est non seulement une précision inutile qui rejoint le problème précedant, mais c'est complètement inaproprié, ou alors il faut rajouter ou utilisateurs, ou contributeurs, ou distrubuteurs ou n'importe qui, mais là on risque d'être d'accord sur l'absurdité de la chose. :D
Pour le reste fait comme tu le sent, si je voulais imposer une forme je serais intervenu des tes première modifications sur la forme d'intro que j'avais laissé avant que tu n'arrives.--;-) 24 août 2006 à 00:46 (CEST)
OK, là je comprends bien ce que tu veux dire. C'est vrai que l'existence d'une licence n'est pas nécessaire. Je vais reformuler. Comme la licence est en général un concept central du logiciel libre, je pense qu'il est tout de même bon de la citer dans l'intro.
Pour « aquéreur », on peut remplacer par « utilisateur », puisque c'est le mot utilisé dans http://www.gnu.org/philosophy/free-sw.fr.html. Le problème est que le mot « utilisateur » me semble aussi faux qu'acquéreur (par exemple en utilisant Google on utilise des logiciels libres et l'on a pourtant pas de droit dessus). Le problème est que sans la moindre précision, on peut aussi bien comprendre la notion de logiciel libre comme une revendication de faire ce qu'on veut avec n'importe quel logiciel, une espèce de « droit au piratage ». Or ce n'est pas ça, l'idée est que l'auteur donne les droits à l'acquéreur, et pas que l'acquéreur les prenne (j'utilise « acquéreur » dans un sens très général, sans obligation d'une transaction commerciale, il me faudrait un meilleur mot). Marc Mongenet 24 août 2006 à 09:07 (CEST)
Effectivement utilisateur c'est pas mieux, mais la difficulté (je pense) est dans le point de vue avant d'être dans les mot (utilisateur/aquereur, droit/possibilité, ...)
Le principe reste toujours vrais, mais la possibilité réel avec un protagoniste est toujours très restrainte par des contraintes technique, légale, ou même les limites du possible. Définir en situation (a travers un individu que l'on place en situation, par exemple un acquéreur) me semble tout simplement impossible.
Pour on peut pousser ton exemple en imaginant que google utilise des logiciels libres pour filtrer et censurer wikipédia en chine ... pour moi ça prouve simplement le fossé entre le principe et la mise en application.--;-) 24 août 2006 à 14:58 (CEST)
Je ne vois pas très concrêtement à quoi tu fais référence. Un texte « philosophique » comme http://www.gnu.org/philosophy/free-sw.fr.html utilise le mot « utilisateur ». Aurais-tu des sources en français ou anglais qui ont le point de vue que tu évoques ? Marc Mongenet 24 août 2006 à 15:51 (CEST)
Ce texte technique stipule justement les conditions a remplir pour qu'un logiciel soit considéré comme libre. Ca devrais être suffisement explicite, mais il précise que cette définition est maintenu pour definir clairement, (donc très concrètement).
Pour les sources c'est très simple, toutes les intervention de stallman commencent par essayer d'expliquer le principe (avec des recettes de cuisine souvent mais pas seulement).
De toute façon: on a déjà fait plusieurs fois le tour, et je ne voudrais pas risquer de cencurer de ce que je ne comprend pas. A bon entendeur ... salut.--;-) 24 août 2006 à 20:24 (CEST)

[modifier] Francisation rendant l'article moins clair

Cette francisation http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Logiciel_libre&diff=11614871&oldid=11508235 rend l'article moins informatif, en privant le lecteur du vocabulaire le plus courant. La traduction de Open Source en code source libre est même problématique (contresens). Marc Mongenet 10 novembre 2006 à 17:32 (CET)

On pourait le remplacer par « code source ouvert » non ? (me semble que ca se dit) sinon ya que la traduction de fork qui me choque. bayo 9 décembre 2006 à 01:17 (CET)
Mouais. Il ne faut pas perdre de vue qu'à la base, la dénomination Open Source a été conçue pour être utilisée comme une marque, donc intraduisible. Le dépôt de marque a été rejeté, mais l'idée reste liée à l'OSI plus qu'au sens littéral. Aujourd'hui encore, LWN.net considère dans l'article What is open source? que Open Source fait référence à la définition de l'OSI, qui est pratiquement identique à celle de Logiciel Libre. Bien sûr, en même temps, de très nombreuses personnes moins informées (ne connaissant probablement pas l'origine et les buts de cette dénomination), peut-être une majorité, prenne Open Source littéralement et estiment que du moment qu'on peut voir les sources, du moment que l'accès aux sources est ouvert, alors c'est Open Source (ou open source). Marc Mongenet 9 décembre 2006 à 05:27 (CET)
J'ai toujours pris open source au sens littéral, l'article (Open Source) pourtant l'explique. Mais du coup je suis très embrouillé : est ce que cet article logiciel libre est à prendre au sens de Free Software ? Dans ce cas, on peut tomber sur cette phrase ou le wikilien n'aurait pas vraiment de sens « on met plus l'accent sur les aspects du [[logiciel libre|logiciel libre Open Source]] relevant uniquement des domaines techniques ». Si tu peux jeter un coup d'œil. bayo 11 décembre 2006 à 15:05 (CET)
Je rencontre aussi beaucoup de monde qui prend open source au sens littéral et j'ai été un peu étonné de voir comme c'était peu le cas anglais. Peut-être la perception des francophones est-elle différente de celle des anglophones ? Je peux imaginer quelques causes possibles à cette différence. Concernant cet article, oui, logiciel libre = free software sans ambiguïté. Concernant l'article Open Source, euh, je l'ai modifié... :) C'est mieux ? Marc Mongenet 11 décembre 2006 à 15:43 (CET)
Merci, c'est mieux, en particulier le passage business friendly pour revenir au sujet de cette section :) bayo 12 décembre 2006 à 01:27 (CET)

[modifier] Licence et contrainte

J'ai remis « des licences qui offrent la plus grande liberté » au lieu de « des licences les moins contraignantes » [1]. En effet, c'est le droit d'auteur qui contraint, tandis que la licence lève un certain nombre de ces contraintes. Marc Mongenet 6 mars 2007 à 17:17 (CET)

C'était pour éviter le lutes façon c'est ma licence la plus libre, et la tourner dans le même sans que la phrase sur le copyleft. Peut être qu'il faut là aussi deux phrases du langage courant. BSD: qui autorise a réutiliser le plus librement GPL : Qui ne peut être réutilisé sans conserver son statut libre ou quelque chose dans l'idèe. ;-) 6 mars 2007 à 20:23 (CET)
Mais tout le monde s'accorde sur le fait que les licences BSD offrent plus de droits que les licences GPL. C'est d'ailleurs activement utilisé pour intégrer du code sous licence BSD dans les projets GPL. Marc Mongenet 7 mars 2007 à 03:10 (CET)
Oui, pour ceux qui réutilisent des bout de code sous licence BSD, elle sont moins contraignantes ... Une autre idée est que c'est une grande liberté de savoir que les évolutions de ce sur quoi on bosse seront toujours accessibles, et réutilisable, etc ... On a compris mon point de vue, on a compris le tiens, maintenant, le tout est d'en libérer l'article. ;-) 10 mars 2007 à 15:12 (CET)
Je ne me souviens pas avoir déjà rencontré le point de vue comme quoi « la GPL est plus libre que la BSD ». As-tu des sources qui le partage ? Marc Mongenet 10 mars 2007 à 15:32 (CET)
« savoir que les évolutions de ce sur quoi on bosse seront toujours accessibles » n'est pas une liberté. C'est une certitude, qui peut donner de la tranquillité à certains, et de la déception à d'autres, mais ce n'est en aucun cas une liberté pour qui que ce soit. Marc Mongenet 10 mars 2007 à 15:37 (CET)
Non je ne vais pas aller te chercher des sources pour nourrir le troll. Je me disait que c'est curieux tout ce qu'on arrive a lui faire dire a cette pauvre notion de liberté, tout et son contraire. Et comme la liberté c'est ce dont on a envie, si on peut faire ou dire sa connerie, c'est forcément une liberté. Et trêve de plaisanterie, tout les auteurs le savent, c'est le copyright qui offre la plus grande liberté. ;-) 10 mars 2007 à 22:39 (CET)

[modifier] Carractéristiques des logiciels libres

J'ai enlevé la répartition qualité / inconvénient pour ne laisser que les caractéristique (avec une intervention au bistro sur cette formulation a bannir à mon avis). Une meilleurs répartition de cette partie s'impose, en fonction de critère plus neutre que bien ou mal. ;-) 6 mars 2007 à 20:23 (CET)

[modifier] Licences et logiciels

J'ai l'impression que l'article mélange les licences libres et les logiciels libres, alors que ce sont deux concepts différents : Un logiciel est considéré libre si et seulement si sa licence est libre ; à l'inverse, une licence libre ne s'applique pas forcément qu'à un logiciel (textes, créations artistiques, etc.). Toute la partie sur les licences ne serait-elle pas plus à sa place dans licence libre ? Je signale également que pour la partie économique, il y a beaucoup plus de choses à dire sur le libre dans les administrations. En plus d'open office, les administrations françaises construisent de plus en plus d'applis fondées sur des technos libres (java, produits de publication comme lutèce, le moteur de publication de la ville de Paris, etc.) Pas mal de choses à dire donc sur cette partie, mais je n'ai pas le temps de m'y pencher en ce moment. Je peux toujours aider ceux qui seraient motivés pour écrire là-dessus, mais à petites doses pour l'instant. فاب | so‘hbət | 8 mars 2007 à 15:20 (CET)

Je suis complètement d'accord, et je me fend a essayer de séparer les notions de droit et les notions éthique ou philosophique (avec beaucoup de maladresse j'en conviens) depuis longtemps, notamment avec feu l'article les quartes libertés des logiciels libres. Malheureusement il y a comme vous pouvez le constater sur cette page quelques problèmes de communication entre moi et Marc Montgenet qui tendent a couper court a de mes interventions dans ce sens. Je suis donc bien sur près a aider ... mais je m'abstiendrais d'intervenir directement pour l'instant. ;-) 10 avril 2007 à 15:05 (CEST)
Libre n'est pas gratuit donc l'exemple Linux prête à confusion. Bonjour, Je vous invite à trouver un autre exmeple que Linux pour illustrer ce qu'est un logiciel libre. Voilà mes motivations. Je ne uis pas un expert en informatique. En revanche, je travaille à la commercialisation de logiciels propriétaires et payants basés sur des normes fixées par l'industrie du Web et l'industrie des Télécoms. La notion de Libre est souvent associée par mes clients non-informaticiens à Gratuit car l'utilisateur d'un logiciel libre ne paie pratiquement jamais de droit d'usage du logiciel. Par exemple, de nombreuses personnes savent que Linux est une alternative à Windows, que Windows est payant et que Linux est gratuit. Je pense qu'ils savent que la propriété de Windows est détenue par Microsoft mais je ne suis en revanche pas certain qu'ils savent qui détient la propriété de Linux, autrement dit que Linux est un logiciel libre ... comme ils ignorent que certraines éditions de Linux sont payantes. Donc, si vous souhaitez que l'article lève toute confusion entre libre et gratuit, je vous invite à éviter de donner Linux en exemple de logiciel libre. Ceci n'est que mon humble avis de lecteur. Cordialement. --brunodesacacias 10 avril 2007 à 15:48 (CEST)

[modifier] Références à exploiter

Je laisse un lien qui me semble contenir une mine de références à exploiter : Why Open Source Software / Free Software (OSS/FS, FLOSS, or FOSS)? Look at the Numbers! Marc Mongenet 14 avril 2007 à 19:03 (CEST)

[modifier] Sécurité des données ?

"Les logiciels libres peuvent offrir des garanties de sécurité supérieures à celles des logiciels propriétaires." Cette phrase me paraît très contestable, car on ne parle que des aspects traitements et pas des données. Les bases de données des logiciels libres atteignent des EAL qui ne sont jamais ceux des bases propriétaires (DB2, Oracle, SQLServer). Le niveau maximal atteint par des logiciels libres est de 5 au Ministère de la Défense en France, sur une échelle de 7. Les communautés de développement du logiciel libre n'ont généralement pas les moyens financiers de s'engager à faire les suivis demandés par les organismes de certification. Pautard 30 avril 2007 à 11:40 (CEST)

Bonjour. D'aucun affirme que je connais peu de choses en informatique, en particluier sur les logiciels libres. Mais fort de mon expérience, je me permets d'appuyer ta remarque : cet article est à modifier pour le rendre neutre et sourcé. Cordialement. --brunodesacacias 30 avril 2007 à 12:03 (CEST)

[modifier] Sécurité

"Donc, sur un projet de petite ou moyenne envergure où peu de développeurs bénévoles relisent scrupuleusement l'ensemble du code, la sécurité pour l'utilisateur peut s'en trouver amoindrie." L'information donnée par cette phrase est pour le moins curieuse : la phrase semble bien pourtant parler de la sécurité des « petits projets » de logiciels libres. En quoi, la sécurité d'un tel projet se trouverait-elle amoindrie par rapport à celle d'un projet non libre de même taille ? Dans les deux cas, les ressources étant limitées (et supposées comparables), la sécurité pourrait (en tout cas initialement) souffrir du manque de relectures scrupuleuses du code. Par contre, le logiciel libre, du fait de la publication de ses sources, aura à terme un avantage statistiquement supérieur quant au nombre de personnes susceptibles de repérer des vulnérabilités dans son code. C'est d'ailleurs exactement ce que dit la phrase d'avant « La découverte de failles de sécurité est facilitée par la publication du code source ». Si le but de la phrase était de dire que le manque de personnes compétentes pour relire du code peut influer sur la sécurité de celui-ci, cela n'est pas correct de dire cela à propos d'un des modes de développement (libre ou non libre) dans un paragraphe qui est sensé comparer les deux, alors que le problème s'applique aussi bien aux deux. Si le but de la phrase était de dire que les projets libres ont des équipes de contributeurs plus petites que les projets non libres (en moyenne ?), c'est alors une affirmation gratuite et sans fondement. Je supprime donc la phrase et la remplace par celle-ci : En effet, l'ouverture du code permet statistiquement à un plus grand nombre de personnes d'avoir la possibilité de repérer et de corriger des vulnérabilités. St Doane 27 octobre 2007 à 09:05 (CEST)

[modifier] Amnésie d'une souris

Bonjour,

savez-vous s'il existe un petit utilitaire (sous Fenêtres) permettant au cerveau de la souris de garder en mémoire plusieurs objets copiés, pour les coller par la suite dans l'ordre qu'on veut ? Merci Bourrichon 3 novembre 2007 à 17:31 (CET)

[modifier] Rajout de lien

Bonsoir,

J'ai rajouté un lien vers la définition officielle du GNU du logiciel libre.

Merci.

[modifier] Droits sur l'utilisation du nom d'un logiciel libre ?

Désolé pour le titre un peu long... Je me demandais si certains d'entre vous avaient quelques informations sur l'utilisation du nom d'un logiciel libre en droit français. En effet, on voit de plus en plus de sociétés sortir des logiciel libres (sous double licence) et qui ont les droits sur la marque au moins aux US. Est-il possible en France de parler de Open-Xchange, Asterisk, SugarCRM sans risque d'avoir des soucis avec la société qui édite le-dit logiciel. Peut être faut il préciser qu'on parle de la version libre... Bref, un logiciel libre l'est-il complètement ou le nom peut il être propriétaire ? Les SSLL sont spécialisées sur des logiciels dont ils font la promotion, mais ils ne peuvent pas faire autrement que d'utiliser le terme populaire désignant le logiciel dans sa version libre. Dilemme... La GPL prend elle en compte cette problématique ? Tout ça pour dire : ça serait bien d'aborder ce point dans l'article. Merci aux gens qui ont les compétences juridiques d'éclairer ma lanterne. Scandale - 23 janvier 2007 à 18:06 (CET)

Le nom d'un logiciel libre peut être une marque déposée. C'est par exemple le cas de Linux (déposé par Linus, voir http://www.linuxmark.org/), Firefox (déposé par la Mozilla Foundation, voir http://www.mozilla.org/foundation/trademarks/), Apache (déposé par The Apache Software Foundation, voir http://www.apache.org/foundation/licence-FAQ.html#Marks). A ma connaissance, les licences libres ne s'occupent pas des questions de marques. Il est tout à fait possible de parler d'une marque sans risquer de problèmes (heureusement, comment ferait les associations de consommateurs sans cela ?). Les problèmes apparaissent quand on essaie de copier, s'approprier ou dénigrer une marque. Marc Mongenet (d) 24 janvier 2008 à 00:11 (CET)
Merci pour ta réponse, je comprend bien que ce sont des marques déposées, mais comme pour le droit d'auteur, l'auteur ne renonce t-il pas à une partie de ses droits sur la marque en libérant le logiciel ? Ca voudrait dire qu'une société peut créer un logiciel, le nommer avec une marque qu'elle a déposée, libérer le code, puis attaquer les sociétés spécialisées sur ce même logiciel parcequ'elles se disent spécialiste du soft sur leur site web. Scandale - 24 janvier 2007 à 09:36 (CET)

[modifier] Un article sur l'éconnomie du logiciel libre?

Le ministère de la défense française annonce sa préférence pour le logiciel libre, et le passage de la gendarmerie a ubuntu. Voilà des informations intéressantes qui a mon avis ont leur place dans wikipédia, mais pas forcément dans l'article généraliste sur le logiciel libre.

Tout ça pour dire que j'ai de plus en plus l'impression que le besoin commence a se faire sentir de passer à un article traitant de la face économique du logiciel libre. (la seule catégorie dans les lien qui ne soit pas elle même un lien)

Le sujet est très sensibles, le nom économie du logiciel libre ne me semble pas géniale, la forme a donner dès le début peut vite tourner en croisade anti-tout-le-reste-du-monde, donc je préfère dans un premier temps poser l'idée ici, histoire de commencer plutôt par en discuter. ;-) 3 février 2008 à 10:53 (CET)

[modifier] A propos de la sous-section Autres Licenses

Bonjour à tous, Je pense que le fait de placer une section traitant des licences propriétaires, des sharewares, des freewares et de tous ces autres licences n'est pas logique tout simplement parce qu'il s'agit d'un article sur le logiciel libre qui est à peu près tout le contraire de ce type de licence.

Il me semble que ce ne soit pas le but d'un tel article de décrire (ou même de passer en revue) la globalité des licences non libres existantes, la description de ce genre de licences devrait être fait à part, dans des articles séparées et de manière facultative vous pouvez peut-être en faire une vague description (comme ce qui est fait ici) sur l'article concernant les licences de logiciel.

Je propose donc de supprimer la sous-section Autres Licences et de renommer la section licences en Les différentes licences libres.

Qu'en pensez-vous?

boss_78 (d) 9 mars 2008 à 21:46