Jeremy Wariner

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Jeremy Wariner

Jeremy Wariner en 2006
Fiche d'identité
Discipline 200 m, 400 m
Période d'activité Depuis 2001
Nationalité États-Unis États-Unis
Naissance 31 janvier 1984
Lieu de naissance Irving
Taille 1,88 m
Poids 70 kg
Surnom White Little, Pookie
Club(s) Adidas (équipementier)
Entraineur(s) Clyde Hart, Michael Ford
Records
Palmarès
Jeux Olympiques 2 0 0
Championnats du monde 4 0 0

Jeremy Mathew Wariner (né le 31 janvier 1984 à Irving au Texas) est un athlète américain, pratiquant le 400 mètres et plus récemment le 200 mètres. Il est diplômé de la Lamar High School d’Arlington au Texas.

Sommaire

[modifier] Carrière sportive

Surnommé White Little, l’ancien élève de Clyde Hart, ancien entraîneur de Michael Johnson, connu pour porter des lunettes de soleil à toutes ses courses, qu’il y ait du soleil ou pas, se révèle aujourd'hui comme étant l'un des meilleurs coureurs de 400 mètres de l'histoire de la discipline.

[modifier] Les débuts (2001-2003)

Le 9 juin 2001, à seulement 17 ans, Jeremy Wariner finit troisième du Golden West Boy’s à Sacramento, en 46"68 juste derrière Kelly Willie (46"04) et Darold Williamson (46"55)[1]. À cette époque, Wariner concourt sous les couleurs de son lycée. Sa performance est d’autant plus extraordinaire que cette course est ouverte aux plus de 17 ans et que Willie et Williamson en ont respectivement 20 et 19. Wariner laisse donc déjà entrevoir l’énorme potentiel qu’il possède.

L’année suivante, le 27 avril 2002, Wariner retranche plus d’une seconde (1"11) à son record personnel en gagnant le meeting de Lubbock, en 45"57[2]. Il remporte également le 200 m (20"41) et le relais 4x100 m avec son lycée. IL retrouve à nouveau Willie, le 8 juin, lors du Golden West Boy’s. Ce dernier bat Wariner de plus de trois dixièmes (45"52 contre 45"85). En outre, le 22 juin, il termine quatrième des championnats juniors des États-Unis, en 46"10, derrière Darold Williamson (45"54), Jonathan Fortenberry (45"99) et Ashton Collins (46"08).

Début 2003, Wariner termine septième des championnats universitaires en salle (NCAA) en 46"21. Quelques semaines plus tard, le 12 avril, il abaisse son record personnel à 45"13 en remportant le 400 m de Tempe. Le 21 juin, Wariner connaît son premier podium national en finissant deuxième des championnats des États-Unis juniors en 46"41 à Palo Alto, derrière Ashton Collins (45"54, PB). Toujours derrière Collins, il termine à nouveau deuxième en 45"63 des Championnats junior Panaméricains, le 19 juillet à Bridgetown. Les États-Unis remportent également le relais 4x400 m auquel Wariner participe en tant que remplaçant (3’02"88).

C’est cette année-là qu’il est repéré par Michael Ford et qu'il intègre le groupe d'athlétisme de l'université de Baylor, les célèbres Baylor Bears, qui ont compté parmi leurs rangs, l'ancien champion olympique Michael Johnson. Il est alors pris en charge par Clyde Hart, l'ancien entraîneur de Johnson, qui voit alors en lui le nouveau prodige du 400 mètres.

[modifier] La révélation au niveau mondial (2004)

2004, est pour Wariner, l’année de la consécration nationale et mondiale. Il remporte, coup sur coup, le 13 mars, à Fayetteville, les championnats universitaires en salle (NCAA indoor), sur 400 m, avec un temps de 45"39[3] (meilleure performance mondiale de l’année) ainsi que le relais 4x400 m (3’03"96) avec l’université de Baylor. Le 17 avril, il améliore son record personnel sur 400 m en plein air (44"80), au meeting de Waco (deuxième derrière Williamson) en passant pour la première fois sous les 45 secondes. Le travail effectué par Clyde Hart semble porter ses fruits, car il progresse alors régulièrement et de façon fulgurante, remportant tour à tour, la finale régionale des NCAA devant Williamson (pulvérisant au passage son record personnel de trois dixièmes en 44"50), le 29 mai à College Station puis la finale nationale de ces mêmes championnats universitaires le 12 juin suivant en 44"71 à Austin. Il remporte également, le même jour, le relais 4x400 m (avec Darold Williamson) en 3’01"03.

Un mois plus tard, le 15 juillet, à Sacramento, il dispute et remporte les sélections olympiques américaines (U.S. Olympic Trials) en remportant la finale devant Otis Harris (44"37 contre 44"67). Il se retrouve alors qualifié pour les Jeux Olympiques d’été à Athènes, qui se dérouleront le mois suivant. Il y fait office d'épouvantail, possédant de fait, la MPMA.

Le 23 août, il remporte la finale olympique du 400 m (succédant ainsi à son idole, Michael Johnson au palmarès de cette discipline), devançant à nouveau Otis Harris (deuxième en 44"16), et établissant un nouveau record personnel en 44"00[4], barrière mythique et symbolique que seuls 7 coureurs ont franchi jusqu’alors. Il est aussi le premier caucasien à devenir champion olympique depuis Viktor Markin aux Jeux Olympiques de Moscou en 1980. Cette course est par ailleurs la plus rapide depuis celle des Jeux Olympiques de Sydney en 2000.

Il finit l’année, classé numéro un sur 400 mètres par Track & Field News. A seulement 20 ans, il est passé d’un statut d’inconnu, à celui de champion olympique, améliorant son record personnel de plus d’une seconde (1"13 exactement) en un an.

[modifier] La confirmation (2005)

Jeremy Wariner au meeting de Berlin en 2006
Jeremy Wariner au meeting de Berlin en 2006

Wariner entame sa saison 2005 en perdant face à son camarade d'entraînement Darold Williamson au meeting de Waco, le 23 avril (Williamson est premier en 45"06 contre 45"13 à Wariner). Le 7 mai suivant, il s'impose à Modesto en 45"16, puis le 22 mai à Carson en 44"53. Encore inconstant, l'Américain remporte néanmoins, le 25 juin les championnats des États-Unis (qualificatifs pour les Championnats du monde), qui se déroule là encore sur la piste de Carson, dans un temps de 44"20 (MPMA à ce moment-là). Le 5 juillet, il gagne le meeting de Lausanne en 44"96 et montre qu'il n'est pas infaillible en perdant, le 22 juillet, face au britannique Timothy Benjamin à Londres (meeting de Crystal Palace).[5]

Ce n'est donc pas dans une position rassurante qu'il aborde les Championnats du monde d’Helsinki. Néanmoins, il prouve qu'il sait gérer la pression en remportant ses séries sans trop puiser dans ses réserves[6]. Le 12 août, il arrive donc en forme en finale et réussit à remporter son premier titre mondial sur 400 m tout en passant pour la première fois de sa carrière sous les 44 secondes (43"93). Il devient alors le huitième quarter-miler à passer cette barre mythique et le septième performer de tous les temps (derrière Steve Lewis (43"87) et devant Larry James (43"97)). Quelques jours plus tard, le 19, il remporte le meeting de Zurich (Weltklasse Zurich) en 44"67.

Il termine à nouveau l'année, classé numéro 1 sur 400 m par le magazine Track & Field News.

[modifier] La domination (2006-2007)

Jeremy Wariner après sa victoire sur 400 m lors des Mondiaux d’Osaka en 2007.
Jeremy Wariner après sa victoire sur 400 m lors des Mondiaux d’Osaka en 2007.

En 2006, Wariner débute sa saison le 22 avril au meeting de Waco au Texas, organisé en l'honneur de Michael Johnson[7]. Il y établit en temps de 44"12, qui laisse déjà entrevoir un très bon état de forme en ce début de saison où il participera à la Golden League. Le 8 juillet 2006, il améliore une première fois son record personnel en remportant le deuxième meeting de la Golden League à Paris Saint-Denis en 43"91. Le 14 juillet, une semaine plus tard, Jeremy Wariner récidive et devient le 4e meilleur performeur de l’histoire du 400 m en réalisant au Golden Gala un temps de 43"62. Durant cette saison 2006, il remporte également le jackpot de la Golden League en gagnant les 6 courses du parcours ainsi que la Finale Mondiale à Stuttgart le 9 septembre 2006 en 44"02, devant Gary Kikaya (44"10) et LaShawn Merritt (44"14). Suite à cette fantastique saison, il reçoit le Jesse Owens Award, tout comme Sanya Richards, elle aussi entraînée par Clyde Hart. Il est également classé numéro 1 sur 400 m par le magazine Track & Field News.

À 23 ans, le jeune homme se rapproche à grands pas du record du monde de l’ancien maître de la discipline (43"18), devenu son agent en avril 2006, Michael Johnson. Il veut, par ailleurs, faire mieux que ce dernier et devenir le premier homme à passer sous les 43 secondes. Son début de saison 2007 est marqué par le meeting d'Osaka, le 5 mai quelques jours seulement après le traditionnel meeting de Waco, où Wariner, bien que n'étant pas au maximum de ses capacités surclasse ses adversaires en établissant la MPMA en 44"02. Il déclara à la fin de la course que c'est la piste ultrarapide d'Osaka, où auront lieu les prochains Championnats du monde, qui lui a permis d'établir cette performance.

Le 7 août 2007, lors du DN Galan de Stockholm, quelques jours seulement après avoir été malmené par LaShawn Merritt lors du meeting de Crystal Palace à Londres[8], Wariner améliore encore une fois son record personnel, le portant à 43"50 et devient par la même occasion le 3e meilleur performeur mondial de tous les temps à égalité avec l’Américain Quincy Watts (43"50 aux Jeux Olympiques de Barcelone en 1992). À l’issue de ce meeting, il a déclaré : « Si je cours au Japon de la même façon que j’ai couru ici, je vous garantis 43"30, juste à cause de la piste. »

Aux Championnats du monde à Osaka, il bat de nouveau son record personnel (43"45) en devenant une nouvelle fois champion du monde et en se rapprochant à seulement 27 centièmes du record du monde de son manager Michael Johnson. Ce chrono le place, desormais, seul 3e performeur de tous les temps (seuls Michael Johnson et Harry 'Butch' Reynolds sont allés plus vite). Il a effectué cette course au couloir n°6, jugé généralement peu favorable. Il a déclaré à ce sujet : « Un couloir est un couloir, cela ne m’a pas gêné ». Deux jours plus tard, avec le relais américain composé de LaShawn Merritt (médaille d'argent du 400 m), Angelo Taylor (médaille de bronze du 400 m) et Darold Williamson, il remporte l’or du relais 4×400 m en 2'55"56, en courant le deuxième relais le plus rapide de l'histoire en 43"08 (le plus rapide étant détenu par Michael Johnson depuis les Championnats du monde d'athlétisme 1993 à Stuttgart en 42"94).

Après une coupure de quinze jours, Wariner effectue son retour à la compétition le 16 septembre en remportant tout d'abord le dernier meeting de la Golden League à Berlin (l'ISTAF) en 44"05, puis le 19 septembre, le meeting de Varsovie par un froid glacial en 44"43. Enfin, Wariner termine sa saison en gagnant le Grand Prix de Shanghaï en 44"02, là-même où il avait dû abandonner en 2006 sur blessure.

[modifier] La menace LaShawn Merritt (2008-)

Le 30 janvier 2008, Wariner annonce la fin de sa collaboration avec Clyde Hart, son entraineur depuis 6 ans, quinze jours seulement avant son retour à la compétition prévu pour le 16 janvier au Grand Prix de Sydney sur 200 m. Cette séparation serait due à un désaccord financier survenue lors de la renégociation de leur contrat. Quelques jours plus tard, on apprend que Wariner s'entraînera désormais avec Mike Ford, entraîneur à Baylor. Il déclare dans la foulée qu'il est convaincu de conserver son titre olympique sur 400 m à Pékin lors des prochains Jeux Olympiques et de battre le record du monde de son mentor Michael Johnson cette année : « Mon objectif est de revenir à Pékin cet été et de gagner. C'est mon premier voeu, le deuxième est de battre le record du monde aux Jeux ».

Le 16 février, lors de sa première compétition de l'année, Wariner est seulement battu par l'australien Daniel Batman lors du Grand Prix de Sydney. Il termine en effet 2e en 20"93 (avec un vent défavorable de 0,5 m/s) contre 20"81 à Batman alors qu'il avait annoncé vouloir faire un chrono aux alentours de 20"5. Pourtant, Wariner ne fut pas déçu par cette performance et déclara que : « Ce n'était qu'une course de réglages pour voir où j'en suis au niveau de l'entraînement et ce que je dois travailler, a déclaré Wariner. J'ai encore beaucoup de choses à améliorer. Ce n'est que le début de ma saison, nous ne sommes qu'en février et les JO n'arrivent qu'en août », avant d'ajouter : « Je savais que c'était un bon coureur », en parlant de Batman. Quelques jours plus tard, le 21, le Texan s'aligne sur sa distance fétiche, le 400 m et signe un temps de 44"82, encourageant en ce début de saison.

Le 5 avril à Arlington, Wariner s'aligne sur le relais 4x400 m en compagnie de Reggie Witherspoon, Sanjay Ayre et Darold Williamson, équipe, avec laquelle il signe un temps de 3'00"65 qui comprend un dernier relais en 43"4 par le Texan.

Quinze jours plus tard, l'Américain s'aligne au meeting de Waco et signe un temps de 44"56, malgré une douleur dans la jambe : « A la sortie des blocks, j'ai ressenti quelques raideurs dans une cuisse qui me taquine depuis les Texas Relays, il y a deux semaines.[9] »

Le 9 mai pour son troisième 200 m de la saison, à Doha, Wariner déclare forfait arpès s'être blessé pendant son échauffement. Une semaine plus tard, Le Texan rassuré par l'amélioration de son état physique s'aligne sur le 400 m de l'Adidas Track Classic organisé par son équipementier. Il remporte la course en 44"42, temps plus que correct étant donné sa blessure à la jambe.

Qualques jours avant le premier meeting de la Golden League, Wariner accord un chat sur Internet par l'intermédaire de l'IAAF, comme l'avait fait Son manager Michael Johnson quelques semainaes avant lui[10].

Pour sa rentrée européenne, à Berlin, Wariner est surpris et perd pour quatre dixièmes contre LaShawn Merritt. Ce dernier met un terme à la série de neuf victoires consécutives de Wariner depuis son abandon à Sheffield en 2007. Il établit par ailleurs la MPMA en 44'03[11]. Wariner abandonne donc l'ambition de remporter le jackpot de la Golden League. Quelques jours plus tard, au meeting d'Oslo, Wariner remporte la course tout en passant pour la première fois de la saison sous les 44 secondes (43"98). Il avait déclaré peu avant la course se justifaint de sa défaite face à Merritt : « Cela ne m'a pas fait mal du tout. Vous gagnez un jour, vous perdez un autre. La vie continue. Vous passez à la prochaine course. J'ai des objectifs plus importants dans ma saison que cette course. J'ai quand même établi mon meilleur temps cette saison (44"07). Je ne peux pas me plaindre de ça. »[12]

[modifier] Palmarès complet

Au meeting de Crystal Palace 2007
Au meeting de Crystal Palace 2007

[modifier] Jeux Olympiques d'été

Épreuve / Édition Athènes 2004
400 m Or
44"00
4x400 m Or
2'55"91

[modifier] Championnats du monde d'athlétisme

Épreuve / Édition Helsinki 2005 Osaka 2007
400 m Or
43"93
Or
43"45
4x400 m Or
2'56"91
Or
2'55"56

[modifier] Golden League

[modifier] Golden League 2006

Vainqueur des 6 meetings de la Golden League 2006 sur 400 mètres, avec Asafa Powell (sur 100 mètres) et Sanya Richards (sur 400 mètres)

[modifier] Golden League 2007

Le 400 m n'était pas inscrit au programme de la Golden League 2007, il s'agissait donc d'une course ponctuelle.

[modifier] Golden League 2008

[modifier] Sélections olympiques des États-Unis (U.S. Olympic Trials)

[modifier] Championnats des États-Unis

[modifier] Championnats NCAA (Championnats universtaires américains)

[modifier] Big 12 Conference Championships

[modifier] Statistiques

[modifier] Records personnels

(au 2 septembre 2007)

Discipline Perf. Vent (m/s) Lieu Date
200 m 20"19 1,2 Carson, Californie, États-Unis États-Unis 31 mai 2006
300 m 31"72 Ostrava, République tchèque République tchèque 12 juin 2008
400 m 43"45 Osaka, Japon Japon 31 août 2007
400 m en salle 45"39 Fayetteville, Arkansas États-Unis États-Unis 12 mars 2004
4×400 mètres 2’55"56 Osaka, Japon Japon 2 septembre 2007
4×400 mètres en salle 3’01"96[13] Fayetteville, Arkansas États-Unis États-Unis 11 février 2006

[modifier] Progression de son record personnel sur 400 mètres (en plein air)

La progression du record personnel de Jeremy Wariner a été établie à partir des temps donnés par l'IAAF et la fédération d'athlétisme américaine (USATF).

Age Perf. Lieu Date Notes
17 46"68 Sacramento, Californie, États-Unis États-Unis 9 juin 2001 High School 11e grader
18 45"57 Lubbock, Texas, États-Unis États-Unis 27 avril 2002 High School 12e grader
19 45"13 Tempe, Arizona, États-Unis États-Unis 12 avril 2003 commence à travailler avec Clyde Hart
20 44"80 Waco, Texas, États-Unis États-Unis 17 avril 2004
44"50 College Station, Texas, États-Unis États-Unis 29 mai 2004 Finale régionale NCAA
44"37 Sacramento, Californie, États-Unis États-Unis 15 juillet 2004 Sélections Olympiques Américaines
44"00 Athènes, Grèce Grèce 23 août 2004 Finale des Jeux Olympiques
21 43"93 Helsinki, Finlande Finlande 12 août 2005 Finale des Championnats du monde
22 43"91 Paris Saint-Denis, France France 8 juillet 2006 Meeting Gaz de France
43"62 Rome, Italie Italie 14 juillet 2006 Golden Gala
23 43"50 Stockholm, Suède Suède 7 août 2007 DN Galan - Super Grand Prix
43"45 Osaka, Japon Japon 31 août 2007 Finale des Championnats du monde

[modifier] 400 mètres sous 44 secondes

Les performances ont été classées de la haute à la plus basse.

Perf. Pos. Lieu Date Notes
43"45 1 Osaka, Japon Japon 31 août 2007 Championnats du monde
43"50 1r1 Stockholm, Suède Suède 7 août 2007 DN Galan
43"62 1r1 Rome, Italie Italie 14 juillet 2006 Golden Gala
43"91 1 Paris Saint-Denis, France France 8 juillet 2006 Meeting Gaz de France
43"93 1 Helsinki, Finlande Finlande 12 août 2005 Championnats du monde
43"98 1r1 Oslo, Norvège Norvège 6 juin 2008 Bislett Games
43"99 1 Londres, Royaume-Uni Royaume-Uni 28 juillet 2006 Crystal Palace

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens externes

[modifier] Sources

[modifier] Notes et références

  1. (en) Résultats du Golden West Boy’s
  2. (en) Résulats su meeting régional de Lubbock
  3. Il bat en outre le record de l'Université de Baylor en salle, que détenait jusqu'alors Michael Johnson
  4. Il bat par ailleurs le record de l'Université de Baylor en plein air que détenait Michael Johnson depuis 1990 le meeting de Rieti en 44"21
  5. Wariner termine deuxième en 44"86, juste deriière Benjamin, premier en 44"75
  6. Premier en 45"24 de sa série le 9 août et premier en 45"65 de sa demi-finale le 10 août
  7. Track and Field Michael Johnson Classic
  8. Wariner avait remporté la course en 44"05 juste devant Merritt, deuxième en 44"23
  9. (en) Wariner à Waco, le 19 avril 2008
  10. (en) Retranscription du chat de Jeremy Wariner sur iaaf.org
  11. Merritt bat Wariner sur le site du CIO
  12. (en) Interview de Wariner sur le site de l'IAAF
  13. record du monde non homologué car un des 4 athlètes n'a subi pas de contrôle antidopage ; cette performance n'apparaît pas dans les listes de l'IAAF.

[modifier] Pour aller plus loin