Discuter:Français québécois

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Sommaire

[modifier] À lire avant de contribuer!

Les articles Wikipedia ne doivent pas contenir de travaux inédits. Il faut éviter que cet article devienne une collection d'anecdotes linguistiques impossibles à vérifier (du genre "je hais" se dit souvent "j'haïs"). Il faut citer ses sources! Le problème ici est qu'il existe peu d'ouvrages de référence sur le français québécois qui soient connus du grand public. Il existe par contre une littérature scientifique assez bien fournie en linguistique, sociolinguistique, histoire, etc.

Quelques ouvrages utiles à consulter (n'hésitez pas à ajouter des éléments ici):


Contributions de:

Mathieugp 02:45, 2 Sep 2004 (UTC)

87.223.234.36 20 mars 2007 à 16:55 (CET)

[modifier] Origine historique

L'introduction selon moi est erronée ou mal expliquée, car ça ne concorde pas avec le reste de l'histoire. Le français populaire de Paris, au XVII siècle, n'est que du Françoys additionné de plusieurs dialectes ou patois. Il n'existe pas en tant que tel! J'ai lu de bonne source que la langue de cette époque n'était pas du tout homogénisée, plus de 50% des gens ne parlent pas français en France au XVII! Alors qu'est-ce que ce français populaire de paris? De quoi est-il composé?

On ne peut pas dire que la langue québécoise est issue d'un français populaire seulement : d'abord il y avait différents niveaux à paris de l'époque dont un soutenu. Ensuite les québécois ne sont pas issus de paris pour la plupart, mais des régions au nord ouest (normandie, etc). Et ensuite la nouvelle-france est en forte croissance à l'époque, et donc accueille aussi des notaires, médecins, beaucoup de curés (missionaires), de représentants du roi, militaires, etc. Pas que la basse classe populaire. Malgré la guerre et les problèmes, impossible que ces gens n'influenceront pas la langue québécoise.

Ma version de la BASE linguistique du québec serait : Francoys + (picard + normand + poitevin)

[modifier] Français québécois vs. français oral

Kleenex : idem en Français européen ou mouchoir en papier. Jamais entendu "papier mouchoir". Ça : idem en Français Chialer : c'est vraiment différent du sens habituel (pleurer) ? Gâter : ok, la différence c'est que la personne gâtée est vraiment gâtée au sens propre

Ceci dit selon le même modèle, il y a des mots d'argot qui sont utilisés dans certaines régions de France (le midi, le nord...) ou certaines communautés, sans que pour autant ça définisse vraiment une langue. Je ne pense pas que les exemples cités soient les plus convainquants. Sidoine

J'abonde pour 'kleenex', 'ça' et 'chialer'. Pareil d'ailleurs pour Frigidaire, ça se dit couramment en français métropolitain. Et « à cette heure », dans ce sens, est encore fréquemment employé par les paysans de ma Picardie natale. C'est seulement vieilli. Jastrow 1 avr 2004 à 23:48 (CEST)

Asteûr, contraction de "à cette heure", existe en wallon, où il est la simple traduction de "maintenant". Torché Waremme

Kleenex, ça, Frigidaire : c'est la même chose des deux côtés de l'Atlantique. Ceci dit, des mots comme « chialer » ont vraiment un usage différent, par la fréquence, le sens, etc... (Chialer en France reste assez limité au sens de pleurer à chaudes larmes... au Québec, c'est souvent utilisé dans le sens de « se plaindre »)... « Vinyl» prend le même sens en France qu'au Québec (ce qu'on appelait un 33 tours ou un 45 tours, mais aujourd'hui c'est plutôt « vinyl » versus « CD »). Aussi, pour « scotttowel », je traduirais plus par « sopalin » que « essuie-tout »... c'est au moins le même niveau de langage et d'utilisation... En général, je dirais que les différences de vocabulaire dans la discussion courante restent tout de même plus importantes entre le québécois et le français, qu'entre le français « de Paris » et le français « des terroirs » (je simplifie, hein ;) ). Ça reste toujours du français, même si tous les mots sont différents ;) Joal ban Kluane 2 avr 2004 à 00:47 (CEST)
Une précision qui peut être utile : Kleenex et Frigidaire sont des marques (respectivement de mouchoir et de réfrigirateur, vous l'aurez compris). Mais même si c'est un abus de langage, ça n'en fait pas une spécialité de la langue Quebécoise, car je doute que là-bas ces marques soient devenus des mots académiques :) PM 29 jun 2004 à 01:58 (CEST)
  • Ça -> pareil en français de France.
  • Pet -> pareil en français de France.
Je ne voudrais pas jouer sur les mots, mais d'autres mots présentés comme spécifique au français québecois sont largement utilisés avec le même sens de ce côté-ci de l'Atlantique !
Je pense à anorak, brailler, cave, côte, innocent=naif (le wallon a aidé à le maintenir en vie en Belgique??), jardin ou encore parquer. Et le mot wallon asteûr (=maintenant) empêche de le ranger dans la catégorie "québécois".
Si l'usage de tous ces mots est vraiment différent au Québec, faudrait p-t le préciser un peu plus, car à première lecture, si je peux concevoir turluter comme spécifique au français de Québec, il y en a certain où j'ai vraiment du mal. Mais c'est une impression personnelle, bien sûr :-)
Druss, Liège.
L'intérête de donner des mots spécifiques au français québécois, ne tient que si on le compare au français dit « standard », ç-à-d. celui utilisé par une grosse majorité des médias français, ou francophones un peu partout dans le monde. Maintenant si un mot fait partie, à la fois du lexique belge et du lexique québécois, et ce avec le même sens, il reste une particularité québécoise tout autant qu'un particularité belge tant qu'il n'est pas reconnu comme français « standard ». Ou sinon « asteur » est quoi ? Belge, québécois, autre choses ? ---moyogo (discuter) 22 janvier 2006 à 15:30 (CET)
Ce qui est gênant avec cette article c'est qu'il présente l'accent parisien comme étant la norme du français de France... Ce qui est loin d'être le cas! Svartkell 5 mars 2006 à 14:51 (CET)

[modifier] Lexique

Il faudrait fusionner la partie ’’’lexique’’’ avec l´article ’’’Lexique Quebecois’’’ NL 26 jan 2005 à 22:45 (CET)

[modifier] Particule tu

Existe aussi dans des français populaires ou régionaux (picard [1]...). Mais s'écrit plutôt "(t-)y" ou "(t-)il".

C'est-y loin ?
ça va-t-y comme tu veux ?
j'avais-ti pas bon ?

Au québec aussi le Y interrogatif est utilisé dans quelques régions, comme la gaspésie

[modifier] Fusion Wiktionnaire

Du contenu encyclopédique s'est perdu dans le Wiktionnaire : wikt:Catégorie:Français du Québec. Il faudrait fusionner ce qui est fusionnable, et effacer le contenu du Wiktionnaire. --Kipmaster 28 mar 2005 à 12:21 (CEST)

[modifier] API

J'ai modifié la section »Accents régionaux et prononciations« en utilisant les symboles de l'API, mais pas complètement:

  • Il reste ~i et ~u
  • Le [s] intercalé est peut-être un [ʃ]

--Jérôme 24 jun 2005 à 16:24 (CEST)

[modifier] Signe

pour désigner un évier, vient de sink, en anglais.

[modifier] Accents régionaux

Sous la section accents régionaux, voici ce que nous pouvons lire...

(Ndel'A : si quelqu'un peut corriger en ajoutant les symboles de phonétique internationaux?)

Je ne crois pas que ceci approprié dans une page actuel de la wikipédia... ceci conviendrait mieux à la page de discussion.

--Inso 28 octobre 2005 à 06:31 (CEST)

[modifier] Origines

Certains mots sont indiqué comme ayant une origine anglaise; hors cela est parfois une erreur, par exemple patente est du français de l'ancien régime : tlfi. ---moyogo (discuter) 18 janvier 2006 à 11:44 (CET)

[modifier] Français standard québécois vs dialecte

L'article ne fait pas de différence entre le Français standard utilisé au Québec (ce qui inclut les canadianismes de bon aloi) et le dialecte. Voir par exemple l'allemand standard Suisse Andreas 31 janvier 2006 à 20:48 (CET)

"Cela provient directement de l'anglais où le « you », à la fois singulier et pluriel ainsi que familier et formel, a supplanté l'ancien « thou »."

En fait, il est totalement faux de prétendre que l'utilisation fréquente du "tu" provient d'une certaine promiscuité entre les Québécois et les Canadiens-anglais. Le "tu" n'est abondamment utilisé que depuis la génération issue de la Révolution Tranquille. Les Québécois du début du XXe siècle utilisaient fréquemment le "vous" avec des étrangers. Par contre, les changements survenus lors de la Révolution Tranquille ont eut pour effet, entre autre, de briser certains liens "hiérarchiques" qui firent en sorte que maintenant la plupart des jeunes québécois utilisent toujours (ou presque) le "tu". S'il est vrai que plusieurs originalités du français parlé au Québec provient de l'anglais, il ne faudrait pas tout relier à la présence anglophone sinon comment expliquer l'utilisation du "tu" sur la Côte-Nord où les gens qui y vivent ne sont pas, en vaste majorité, bilingue et qu'ils n'ont peut-être jamais rencontré un anglophone en personne de leur vie?

-Martin

_________________________________________________

C'est le "tu" de la complicité et de la sociabilité des immigrants du nouveau monde, à un moment ou à un autre de leur histoire, dans une familiarité facile et rapide, loin de la hiérarchie sociale rigide d'où ils s'enfuyaient. Voir cette familiarité et cette sociabilité en sociologie des Amériques. C'est presque "Les copains d'abord" de tonton Georges, de l'Alaska à la "Tierra de Fuego". En Amérique hispanique, le "Amigo" familier se rencontre plus souvent que le "Caballero" pompeux.

Takima 12 avril 2006 à 21:45 (CEST)

[modifier] Généralisation abusive

Je trouve qu'il y a beaucoup trop de généralisation dans l'article. Tout le long, on y prétend que l'on utilise ce mot-ci plutôt que celui-là alors que, très souvent, ces termes ne sont pas unanimes. En fait, de nombreux québécois parlent un français presque international et l'article semble nous imposer une "vérité" tout autre. Fhennyx

En effet, le danger est de représenter les caractériques distinctes comme étant les seules caractéristiques ou les seules appartenant au Québec. Dans mon remaniement sur la situation sociale par rapport au français québécois, je vais montrer qu'il existe deux pôles, chacun ayant son propre discours par rapport au genre de français. D'une part, un des pôles est le standard ou la norme fabriquée dont le discours tourne autour des mots affectifs tels que « qualité », « correct » et « international ». D'autre part, il existe le pôle opposé qui se focalise sur tout ce qui n'était pas ou n'est pas valorisé, surtout à l'oral, et ce qui est souvent vu comme la langue du peuple; le discours ici inclut les mots « notre », « d'ici », « joual », « identité ».
Et comme vous venez de mentionner, il y a beaucoup de termes et de phénomènes tant standard, écrits, parlés, informels, etc. que l'on trouve PARTOUT dans la Francophonie, par example : i' me l'a dit qui n'est guère québécois! CJ Withers 20 avril 2006 à 04:18 (CEST)

Et on dirait que le parler oral est souvent confondu avec l'écrit. En lisant l'article, je comprends que les québecois écrivent « kekchoz » au lieu de « quelque chose » dans les journaux, les déclarations d'impots, etc. Sinon, je pense que tout l'article est à nettoyer puis recycler. --Meithal 22 mai 2006 à 22:34 (CEST)

Je ne peux qu'agréer. Cf ma modification de ce jour. La plupart des caractéristiques attribuées au québecois se retrouvent dans telle ou telle autre variante du français :
  • prononciation (/oe/ pour /oi/, ...),
  • contractions orales (/chaipa/ < "je ne sais pas", /'mféchi.../ < "elle m'ennuie" :-), ...) (cf l'anglais : cannot vs can't ou le breton 'meus ket vs n'em eus ket, ...)
  • formules uniquement orales et connotées comme de bas registre (zieuter, ...)
A la limite, on pourrait dire que la distance dialectale entre le francais québecois et le francais "parisien" est plus grande qu'entre ce dernier et certains variétés dites régionales (pas beaucoup moins péjoratif que patois mais bon :-( ).
Il faudrait recycler une bonne partie de l'articles dans les différents articles traitant des registres, ... ainsi qu'un nouveau (sur les variétés dialectales du continuum linguistique francais)
ThierryVignaud 22 mai 2006 à 23:16 (CEST)
J'abonde dans vos sens. SVP lisez mon commentaire en bas sous « pareil mais distinct »; la génèse de nouveaux articles serait fort utile. Là aussi, il faudrait un article sur le français parlé, non? CJ Withers 28 mai 2006 à 05:09 (CEST)

[modifier] pareil mais distinct

Maurice Druon, gardien intransigeant d'une langue «pure», le secrétaire perpétuel honoraire de l'Académie française, jugea lui même que les Québécois s'exprimaient dans un «parler pittoresque» forgé à une époque où ni Corneille ni Racine n'avaient fixé les règles du français.

Je me trompe ou bien la section par plus de prononciation, et stipule que la grammaire est identique. Il ne peut donc s'agir que de vocabulaire... mais ne serait-ce pas marrant si on parlait vraiment en Europe comme Corneille et Racine ont écrit ? faut un peu sortir de ses grandes pompes---moyogo ☻☺ 26 mai 2006 à 09:10 (CEST)

J'ai supprimé les commentaires hors-sujet. L'article n'est pas sur le français métropolitain ni sur les dialectes du français en France, que ce soit par diachronie ou synchronie. En outre, le commentaire de Druon est l'exemple canonique de la violation du NPOV de wikipédia, et ce, par le biais d'un argument d'authorité spécieux. D'ailleurs, l'emploi de ce commentaire est gallocentrique d'autant plus que l'article n'a rien avoir avec l'Académie française. Ce serait comme utiliser un descriptif affectif (et passablement dénigrant) d'une authorité de l'Office québécois de la langue française ou de Mme Louise Beaudoin, ancienne ministre responsable de la Charte de la langue française, pour commenter des sentiments envers le français métropolitain, cette dernière étant très loquace là-dessus! :-)
Cependant, il serait fort intéressant de voir la génèse de plusieurs articles sur les différences entre les dialectes (voir l'article de langue anglaise les différences entre l'anglais américain et l'anglais dit britannique en:American and British English differences) et surtout sur les dialectes régionaux en France. Par exemple, il serait édifiant de comprendre les relations entre la région et l'utilisation du "a" ou du "e" devant "r" : marde/merde, Viarge!/vierge, perler/parler, etc. Pour ce qui est du "oé", là il s'agit aussi des classe sociale et du changement de régimes. Tout un autre sujet aussi intéressant qui pourrait mériter son propre article, n'est-ce pas? CJ Withers 28 mai 2006 à 05:06 (CEST)

[modifier] C'est quoi "français métropolitain"?

C'est-tu ou c'est-ti (en sarthouais) le franco-français hexagonal? De quelle métopole s'agit-il?

Au journal télévisé de Fr2 sur TV5, j'ai vu un magasin nommé "Usines Center" en franco'français hexagonal pour désigner un "Factory oulet" par des illéttrés en anglophonie.

Un "Factory outlet" est un point de vente direct, du producteur au consommateur, sans passer par la chaîne du distributeur au grossiste et ensuite aux détaillants.

Takima 11 septembre 2006 à 01:52 (CEST)

français métropolitain est assez ambigü mais veut sans doute dire français de France, voir même juste Paris. Après tout, d'un point de vue linguistique, Paris est sans doute la métropole de la francophonie. N'est-ce pas de là que viennent la majorité des livres, journaux et autres médias publiés en français ?
« Usines Center » est une marque déposée, non ? [2] --moyogo ☻☺ 11 septembre 2006 à 07:31 (CEST)
Celà reste du francocentrisme. Du point de vue linguistique, la majorité des locuteurs n'est après tout pas en France, non :-) ? ThierryVignaud 11 septembre 2006 à 18:48 (CEST)
Métropole veut dire ce que ça veut dire : « le centre d'influence principal d'un domaine particulier ». Il ne semble pas que ce soit du francocentrisme de dire que Paris est la métropole de la francophonie. C'est une réalité, c'est tout. Qu'il y ait plus de locuteurs de français hors Paris ou hors France n'y change rien. Si Paris n'est pas la métropole de la francophonie et de la langue française, quelle ville l'est ? ---moyogo ☻☺ 11 septembre 2006 à 19:11 (CEST)
Le terme métropolitain désigne un territoire différent selon le pays du lecteur. C'est donc un terme impropre dans une encylopédie internationale francophone (par opposition à une encyclopédie française).
Je me permet de citer Wikipédia:Guide d'internationalisation (ex-Guide de défrancocentrage) : « Wikipédia se veut une encyclopédie respectant une neutralité de point de vue. En particulier, il ne faut pas adopter de point de vue national. Il ne faut donc pas écrire les articles comme si le pays que l'on habite était particulier par rapport aux autres pays. Le biais le plus courant, mais pas le seul, est de considérer le cas de son pays (la France, le Canada, la Belgique, la Suisse…) comme le cas général, ou de considérer les autres pays comme « l'étranger » ».
ThierryVignaud 11 septembre 2006 à 21:35 (CEST)
Le problème est que tu ne prends métropole que dans 1 seul et unique sens. Bien sûr que « français de la métropole » te pose un problème. Mais si tu admets que « métropole » veut dire plus que juste ce que tu entends, voir métropole, alors « français métropolitain » est tout à fait acceptable et non francocentré. Comme je l'ai dit auparavant, c'est une réalité que la France ou plutôt Paris est la métropole de la francophonie. Encore une fois je te pose la question : Quelle est la métropole de la francophonie, selon toi ?--moyogo ☻☺ 12 septembre 2006 à 11:26 (CEST)

Deux explications sont acceptables pour le terme « métropolitain » :

Historiquement, parce que la France a été la métropole d'une majeure partie de la francophonie pendant tout une époque, l'adjectif métropolitain est donc utilisable dans ce sens. Culturellement, parce que Paris ou la France est le centre d'influence principal de la francophonie. Pour l'info, je ne suis pas Français et moi aussi j'ai le francocentrisme en horreur, mais il faut savoir quand ce n'est pas du francocentrisme non plus. --moyogo ☻☺ 12 septembre 2006 à 11:32 (CEST)

je ne connais po bien le language québéquoi, que faire?

rien, probablement. VIGNERON * discut. 11 octobre 2006 à 10:12 (CEST)

[modifier] Divers

bizoune -> penis n'est pas du vandalisme... Pour la petite histoire, c'est pour ca que les bisounours s'appellent les calinours au Quebec :p Gonioul 20 janvier 2006 à 02:11 (CET)


Article bin faitt en mozeuss pour secouer le cocotier du parisianisme (Oaris-provinces) et le francocentrisme, assett-heure, en franco-belge et franco-suisse

C'est la même chose entre l'anglais etl'anglo-américain, jusqu'au point où George Gershwin a fait une chanson, "Let's call all the thing off". D'autre part, il est courant qu'un nom propre (comme celui du Préfet de Paris Poubelle) devienne un nom commun et un nom singulier devenir générique. Takima 12 avril 2006 à 21:31 (CEST)

[modifier] Manque de sources

Je vois mal comment on pourrait mettre plus de sources dans cet article car il relève d'un phénomène populaire sur lequel il y a peu d'écrits. Tout se qu'on peut avoir comme sources se sont les personnes qui vivent la langue comme vous et moi et qui approuve ou non certains aspects de l'article Felquiste 13 juillet 2007 à 00:19 (CEST)

Les sources sont innombrables, des centaines de personnes ayant fait leur thèse de maîtrise sur le français québécois depuis les 50 dernières années. L'article de langue anglaise est un peu mieux pour ce qui est des sources. Voici la liste des références de langue française qui sont mentionnées (et citées) dans l'article Quebec French :
  1. Denis Dumas (1987). Nos façons de parler. Sainte-Foy: Presses de l'Université du Québec. ISBN 276050445X.
  2. Pierre Martel, Hélène Cajolet-Laganière (1996). Le français québécois : Usages, standard et aménagement. Quebec: Presses de l'Université Laval. ISBN 978-2892242614.
  3. Michel Plourde, ed. (2000). Le français au Québec : 400 ans d'histoire et de vie. Montreal: Éditions Fides/Publications du Québec. ISBN 2762122813.
  4. Philippe Barbeau (1984). Le Choc des patois en Nouvelle-France : Essai sur l'histoire de la francisation au Canada. Montreal: Presses de l'Université du Québec. ISBN 2-7605-0330-5. : research on the early development of French in New France.
  5. Lionel Meney (1999). Dictionnaire Québécois Français. Montreal: Guérin. ISBN 2-7601-5482-3. : a comprehensive reference dictionary defining Québécois French usage for speakers of European French
  6. Jean-Marcel Léard (1995). Grammaire québécoise d'aujourd'hui: Comprendre les québécismes. Montreal: Guérin Universitaire. ISBN 2-7601-3930-1. : a detailed analysis of some grammatical differences between France and Quebec French.
  7. Raymond Mougeon, Édouard Beniak (1994). Les Origines du français québécois. Québec, Les Presses de l'Université Laval. ISBN 2-7637-7354-0.
  8. Luc Ostiguy, Claude Tousignant (1993). Le français québécois: normes et usages. Montreal: Guérin Universitaire. ISBN 2-7601-3330-3. : Analysis of some particularities of pronunciations in regard to the Quebec and European norms and language registers.
Étant donné que l'article de langue française est en grande partie une traduction de son équivalent de langue anglaise, il devrait être possible d'ajouter plusieurs citations juste en comparant les deux.
Il y a aussi un grand nombre de documents disponibles en ligne via le site du Conseil supérieur de la langue française du Québec :
* http://www.cslf.gouv.qc.ca/cslfpubs.asp?type=e
Le document en ligne qui m'a semblé le plus utile à la description du français québécois est celui-ci :
-- Mathieugp 14 juillet 2007 à 23:02 (CEST)

[modifier] Nombres

Est-ce qu'on utilise les mots septante, huitante (ou octante) et nonante pour 70, 80, et 90 dans le français québécois? Funnyhat 23 juillet 2007 à 05:49 (CEST)

(Anonyme (Québécois)) Réponse : Non.

[modifier] Appellation

J'ai effectué un changement dans la section des filles du roy, remplacé "Canada" par "Nouvelle-France" puisque c'est bien comme ça que la colonie s'appelait à l'époque. Devrait-on faire de même pour la phrase "le Québec était alors peuplé de moins de 70 000 habitants" ? Est-ce que la référence parle du nombre d'habitants sur le territoire actuel du Québec ou bien de la Nouvelle-France au complet (à l'époque plus grande que le seul territoire du Québec) ?

[modifier] Style et conventions typographiques

J'ai ajouté les bandeaux "À vérifier" et de "Rédaction", car le texte ne correspond pas aux style encyclopédique désiré par Wikipédia. Entre autres, il s'agirait de revoir le style du texte en le rendant plus impersonnel, clair et précis. (Voir le guide Wikipédia:Style encyclopédique [3]) De plus, il serait bon d'y revoir la ponctuation, les espaces, les guillemets et les italiques. (Voir le guide Wikipédia:Conventions typographiques [4])

J'ai brièvement corrigé la section Histoire [5]. (Sans vouloir blesser personne, elle me semblait sortie d'une rédaction écrite au sécondaire ou au Cégep) et ajouté un hyperlien vers la BNQ. L'article gagnerait à être revu par quelqu'un qui aurait plus de temps à y consacrer, d'autant plus qu'il s'agit de langue française, qui se doit d'être aussi exacte que possible.

[modifier] Confusions

Bonjour. Je me suis rendu compte que cet article confond plusieurs francophones ne vivant pas au Canada. Je l'ai modifié un peu, surtout pour l'introduction, mais il faut surement encore y travailler. J'ai plusieurs questions et commentaires. Premièrement, d'où viens le nombre de 9 millions de francophones? Je vois bien le lien vers le site de Statistique Canada mais même en additionnant différent chiffres, ça donne pas plus de 7 millions. Deuxièmement, d'où viens l'affirmation que le français québécois est utilisé au Nouveau-Brunswick? Il y a des mots semblables et l'accent du Témiscouata ressemble un peu à celui du Madawaska mais de là à dire que c'est la même langue, c'est un peu fort. Je pourrait aussi bien aller modifier plusieurs articles et dire qu'on parle le français acadien dans l'est de la province de Québec. J'ai essayé de modifier l'introduction pour représenter mieux la réalité, mais comme je dis l'article a besoin de travail. --Red Castle [Vous sonnâtes?] 7 mai 2008 à 20:36 (CEST)