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Les revendications principales du syndicat SUD Étudiant sont :

Sommaire

[modifier] Discrimination

SUD Étudiant s'oppose à toute forme de discriminations : sexisme[1], homophobie[2] , racisme[3], mauvaise prise en charge du handicap...

[modifier] Le salaire social et l'amélioration des bourses

Afin de favoriser l'autonomie financière des étudiants et de lutter contre la précarité[4], SUD Étudiant a développé le projet de salaire social. Selon ce projet, ce salaire serait prélevé sur les cotisations sociales[5], une approche équivalente a été faite par l'économiste Bernard Friot. Cette approche diffère d'autres projets d'autonomie financière des étudiants d'autres organisations étudiantes qui en général reposent sur l'impôt, toutefois le syndicat étudiant québécois ASSÉ avance aussi cette revendication.

Bien que partisan de la mise en place de ce système, SUD Étudiant continue à demander une amélioration du système de bourse qu'il juge insuffisant et basé sur des critères qui doivent être améliorés, que ce soit le nombre et les montants des bourse mais aussi dans le système des paliers qui serait selon cette organisation pertinent de remplacer par un système beaucoup plus progressif ou dans la question des délais de versement[6].

[modifier] Emplois et stages

Sur la question de l'emploi, SUD Étudiant, bien qu'opposé à ce qu'il soit nécessaire d'avoir un travail en parallèle de ses études, demande que les aménagements d'emploi du temps ne soit plus conditionnés comme actuellement à un minimum d'heures travaillées mais soient accordés quel que soit le nombre d'heures travaillées ; dans le même esprit, SUD Étudiant lutte aussi pour que des aménagements d'horaires soient aussi mis en place pour les doubles ou triple cursus pour lesquels il arrive d'avoir plusieurs cours au même moment à des endroits différents.

L'organisation sur la question des étudiants salariés bénéficie de l'expérience de l'Union syndicale Solidaires et a travaillé avec d'autres membres de cette union et avec d'autres structures afin d'informer les étudiants sur leurs droits[7].

En 2006, SUD Étudiant s'est prononcé contre la loi pour l'égalité des chances[8] (qui comprenait entre autres le CPE, l'apprentissage à 14 ans, le travail de nuit à 15 ans et la suppression des allocations familiales pour les parents des enfants absentéistes) et le CNE. L'organisation a participé au mouvement contre leur adoption puis pour leur retrait[9]. Le mouvement fut un succès partiel, il y a eu retrait du CPE mais pas du reste de la loi et du CNE.

Lors de cette mobilisation, l'organisation estima utile de préciser qu'elle n'était en rien pour le statu quo en la matière et qu'elle avait développé des proposition dans le domaine (salaire social, encadrement des stages, créations de postes...). L'organisation apporta son soutien aux nombreux personnes passant devant les tribunaux en raison d'arrestation effectués durant cette mobilisation (l'organisation critiqua le caractère jugé arbitraire de ces arrestations[10] et les chefs d'inculpation avancés jugés fallacieux ainsi que les violences policières[11]). L'organisation a aussi apporté son soutien aux mouvements étudiants qui sont nés à travers le monde suite à la mobilisation étudiante française[12].

L'organisation est assez critique sur le développement du recours « quasi systématique » aux stages dans les enseignements universitaires. Même si l'organisation reconnaît que dans certains cas ils sont pertinents, leur très fort développement est, selon elle, la conséquence d'une approche plus idéologique que pédagogique selon laquelle l'université et l'étudiant doivent calquer leurs enseignements sur les besoins immédiats des entreprises locales. L'organisation demande :

  • une réévaluation globale de cette approche et un renforcement des capacités de contrôle des universités, par exemple vis-à-vis des discriminations lors des stages ou pour que ces stages ne remplacent pas de vrais emplois ou servent de remplacement de personnel.
  • la fixation d'un seuil maximal de stagiaire par entreprise définis en fonction de la masse salariale.
  • une prise en compte plus forte de la question des stages dans le droit du travail afin que les stagiaires aient plus de droits.
  • le recrutement massif d'inspecteurs et de contrôleurs du travail pour faire respecter la législation.

[modifier] Logement

SUD étudiant demande la construction de logements étudiants (l'organisation a demandé en 2006 le quadruplement dans les cinq ans du nombre de chambres en CROUS) ainsi que l'encadrement des loyers et cautions[13].

Sur de nombreux sites où elle est présente, l'organisation vient en aide aux étudiant sans logement et aux « mal-logés » (logement insalubre, squatt...). Le renouvellement du titre de séjour pour les étudiants étrangers étant conditionné par l'obtention d'un logement, les deux problèmes sont souvent traités en parallèle.

[modifier] Étudiants étrangers

L'organisation assiste des étudiants étrangers ayant des difficultés d'inscription ou d'accès à un logement décent (problème d'offre insuffisante de chambres des CROUS, de la mise en place de quotas, de demande de cautions importantes, de garants, d'ouverture d'un compte bancaire...) et défend un accès plus ouvert et pour tous aux connaissances et ce quels que soient l'âge, la nationalité et le revenu. Cela passe pour SUD Étudiant par la suppression des frais d'inscription, une augmentation du parc de logement du CROUS, des simplifications administratives[14] et une allocation pour les étudiants étrangers.

Les syndicats SUD Étudiant se sont impliqués dans le réseau éducation sans frontières et la fédération est un des fondateurs du réseau université sans frontières[15].

[modifier] Pédagogie et professionnalisation

SUD Étudiant s'oppose à la tendance consistant à favoriser les filières ayant des débouchés économiques directs forts aux les filières en ayant moins (lettres, langues, etc.).

L'organisation s'oppose aussi à la démarche visant a orienter de plus en plus les enseignement vers des besoins très précis d'entreprise, via des licences professionnelles[16], privilégiant les compétences plutôt que les savoirs. Selon cette organisation, une telle démarche conduit à un obsolescence très rapide des compétences alors qu'un enseignement plus théorique aurait permis a ces personnes de s'adapter à l'évolution de leur activité. Selon le syndicat cette démarche rend le futur salarié beaucoup plus dépendant de l'employeur puisqu'il est presque le seul qui peut trouver un intérêt à l'employer[17].

L'organisation milite aussi pour une meilleure information des étudiants sur leurs droits en entreprise lors des stages et de l'activité salarié durant l'année scolaire ou la période estivale. Dans certaines universités l'organisation a proposé l'intégration de modules de droit du travail dans les formations (dans des filières non juridiques)[18].

Suite à la publication du rapport hetzel[19], SUD étudiant a rappelé son opposition aux mesures évoquées[20], comme par exemple le financement des filières en fonction de leur "efficacité" (soit leur taux d'insertion professionnelle). Aussi, le syndicat étudiant considère que l'Université n'est pas responsable du chômage des jeunes, ni du chômage en général. Il énonce que ce n'est pas à l'Université[21] d'assurer la formation spécifique aux besoins fluctuants des entreprises, mais que ce serait à l'entreprise elle même (qui forme a ces besoins spécifiques des individus disposant alors d'un champ de connaissances élargi[22]). L'Université, selon le syndicat, devrait en fait être le « pôle central » incluant recherche, enseignement supérieur, bref, un lieu de culture, d'échange, indépendant de toute ingérence du pouvoir économique. Sud étudiant rappelle que, d'une certaine façon, toutes les formations sont déjà et ont toujours été professionnalisantes (elles conduisent toutes indirectement ou directement à un métier) ce qui diffère du conditionnement des étudiants aux besoins immédiats des entreprises, et plus généralement de la professionnalisation sans limites. Ces formations ont souvent un risque d'obsolescence rapide des compétences dispensées, ce qui n'est pas de nature a favoriser l'emploi durable des personnes. Dans cette optique, les formations plus générales sont plus favorables à l'emploi de longue durée.

[modifier] Autonomie, accès des universités et frais d'inscription

Le syndicat s'oppose à l'autonomie des universités et considère que la réforme LMD y mènerait. Il l'estime contraire à une recherche d'égalité d'accès aux connaissances. Il prône une coopération entre universités plutôt que leur concurrence. Il s'oppose au découplage de l'enseignement et de la recherche, selon lui une conséquence prévisible de cette autonomie. Il est également fortement opposé à l'enseignement privé.

Dans le même esprit, SUD étudiant est opposé à la sélection à l'entrée de l'université et au cours des années, cela l'a amené a se prononcer contre la proposition de la Conférence des présidents d'université (CPU) d'instaurer la sélection à l'entrée en M1[23].

L'organisation demande l'intégration des grandes écoles dans le système universitaire afin d'améliorer la cohérence de l'enseignement supérieur français, de lutter contre la sélection et donc de tendre vers l'égalité des étudiants. Cela est également en cohérence aussi son opposition à l'« hyperprofessionalisation » (voir paragraphe consacré à ce sujet).

Le syndicat s'oppose à la hausse des frais d'inscription qu'implique le maintien de la qualité de l'enseignement universitaire en France dans un contexte de désengagement financier de l'état, lui préférant un réengagement financier. Le syndicat s'oppose aussi aux frais d'inscription illégaux[24] et autres frais « cachés »[25]. L'organisation est dans l'absolu favorable à la suppression de tout frais à l'entrée de l'université.

SUD Étudiant est opposé à la réforme LMD, couplée à la réforme ECTS[26],qu'il juge, malgré quelques points positifs, globalement néfaste aux étudiants[27]. En effet, le syndicat juge la semestrialisation des enseignements comme une catastrophe pédagogique, le renforcement des liens entre les universités et les entreprises comme un danger pour le savoir enseigné et souhaiterait plutôt un cadrage européen des diplômes et demande plus de moyens pour la mobilité européenne et internationale.

SUD Étudiant estime que l'augmentation de l'autonomie des universités crée une mise en concurrence des universités et des enseignements qui est, de l'avis du syndicat, un grand problème puisque considéré comme contraire aux objectifs d'égalité d'accès aux connaissances pour les étudiants quel que ce soit leurs revenus ou la zone dans laquelle ils habitent.

L'organisation estime que la mobilité au niveau national a diminuée avec cette réforme.

[modifier] Fonctionnement autogestionnaire de l'université

Ainsi, SUD étudiant s'oppose à toute forme de privatisation, matérialisée par un financement privé des Universités, ou une ingérence des entreprises (ou d'autres personnes externes à la communauté universitaire) dans ses organes décisionnels. Pour SUD étudiant, conformément au principe d'autogestion, les éventuelles personnalités extérieures présentes aux conseils centraux ne doivent pas disposer du droit de vote.

Cela ne l'empêche pas de dénoncer les dysfonctionnement en matière de démocratie au sein des universités tel que la trop grande autonomie des administration vis-à-vis des conseils centraux et le manque de transparence des processus de décision ou la marginalisation des élus représentant les étudiants et les personnels non enseignant.

L'organisation conteste le recours à des entreprises sous-traitantes pour des services précédemment effectués par des personnels de l'université tel que l'entretien des bâtiments ou la sécurité.

[modifier] Indépendance de la recherche

Selon SUD Étudiant, la recherche publique française n'a pas de dotations budgétaire suffisantes pour exercer pleinement sa mission. Ces financements insuffisants contraindraient les chercheurs à orienter leurs recherches vers ce que veulent les financeurs privés (fondations ou entreprises) et donc vers la recherche appliquée au détriment de la recherche fondamentale.

SUD Étudiant estime que la démarche récente visant à financer massivement la recherche privée par de l'argent public alors même que la recherche publique doit faire face à une pénurie chronique n'est pas de nature à développer efficacement la connaissance.

Le financement public de la recherche privée est aussi critiquée par cette organisation en raison de l'usage du secret industriel qui ne permet pas selon elle la libre circulation des connaissances et de la logique de brevetage de l'innovation qui gênerait les recherches ultérieures.

Cette logique de partenariat obligatoire nuirait aussi à l'indépendance et donc à l'objectivité des chercheurs alors même qu'ils doivent parfois évaluer des projets privés tel que sur le dossier des OGM ou sur l'évaluation de la toxicité de certaines molécules .

Le recours massif à des contrats à durée déterminée pour les chercheurs est également contesté.

Dans le domaine de la recherche, SUD Étudiant peut confronter ces analyses avec SUD Recherche EPST.

[modifier] Vie étudiante

En matière de vie étudiante, les principales positions de SUD Étudiant sont :

  • une opposition à la présence d'entreprises privés sur les campus (à l'exception de quelques services jugés utiles tels que la restauration) ;
  • une demande d'interdiction de la publicité commerciale sur les campus (comme le relais de la campagne menée par la FSE[28] contre la société OFUP dont le syndicat dénonce les méthodes commerciales et les conditions de travail des étudiants qui y travaillent)[29] ;
  • la lutte contre les sectes, les mouvements créationnistes ou négationnistes ;
  • la lutte contre le développement du secret dans les administrations des universités (qui, selon le syndicat, est une conséquence de leur mise en concurrence).
  • l'amélioration de l'accueil des étudiants étrangers, handicapés, avec enfant, issus de filières d'enseignement professionnelles ou technologiques, en reprise d'étude.
  • le renforcement de l'encadrement pédagogique des étudiants.
  • l'amélioration de la connaissance des étudiants sur le fonctionnement de l'université et un renforcement de l'implication des étudiants dans le processus de représentation au sein des conseils centraux (même si pour SUD étudiant, il ne faut pas tout attendre de l'action dans les conseils).

[modifier] Santé

L'organisation demande le rattachement du régime de sécurité sociale étudiant à la sécurité sociale (la mise en concurrence des mutuelles étudiantes étant jugée plus couteuse et moins efficace qu'un monopole public)[30].

L'organisation demande aussi l'amélioration des dispositifs de santé présents sur les campus, la création de crèches pour les étudiants ayant des enfants et la gratuité des moyens de contraception[31].

L'organisation estime que la situation financière des étudiants pèse lourdement sur leur accès à une alimentation saine et aux soins de santé[32]. Elle parle de « réponses inadaptées »[33] pour qualifier les propositions formulées dans le rapport Wauquiez de décembre 2006 consacré à la santé des étudiants.

[modifier] Environnement

En matière d'environnement, SUD Étudiant lutte pour différentes mesures telles que par exemple la gratuité des transports en commun, le développement des transports doux sur les campus (vélo, roller...), agit sur l'inclusion de clauses environnementales (en même temps que des clauses sociales) dans les appels d'offres, lutte contre les gaspillages (eau, énergie), pour le tri et le recyclage des déchets ou des choix architecturaux dans l'esprit de la HQE.

[modifier] Informatique

Sud étudiant s'est positionné pour les logiciels libres
Sud étudiant s'est positionné pour les logiciels libres

SUD Étudiant, à l'instar de la plupart des syndicats de l'éducation a pris position en faveur des logiciels libres. SUD Étudiant cherche, dans son activité, à favoriser leur utilisation et leur développement dans les universités. L'organisation cherche à ce que les enseignements nécessitant l'outil informatique se fassent sous logiciels libres à chaque fois que c'est possible, que les salles de libre accès informatique soient sous Linux et que les universités mutualisent leurs efforts de développement de logiciels libres pour répondre aux besoins spécifiques des universités, que ce soit en matière d'enseignement ou en matière de recherche.

L'organisation demande aussi l'utilisation de formats ouverts afin de favoriser l'interopérabilité des systèmes informatiques et l'indépendance envers les producteurs de logiciels.

L'organisation réclame aussi des financement pour un déploiement plus large de l'outil informatique. Elle s'est montrée critique sur l'opération « Micro portable pour un euro par jour »[34].

[modifier] Financement des mesures proposées

L'organisation via ses différentes propositions pense un système d'enseignement supérieur qui suppose un investissement public plus important, financement qui reposerait essentiellement sur l'impôt. Ce qui est considéré comme une nécessité pour cette organisation diverge de la volonté de baisse du cout de l'enseignement supérieur de la majorité des gouvernements qui se sont succédés ces dernières décennies. Au quotidien dans son action dans les conseils centraux l'organisation doit participer aux arbitrages budgétaires, l'essentiel des propositions d'économies faites se font sur des gaspillages (eau, énergie, papier...), propositions qui n'ont en général pour effet que d'adoucir les effet de la pénurie. Du fait des restrictions budgétaires, il est rare que SUD étudiant vote pour un budget.

[modifier] Notes et références

  1. L'organisation s'est impliquée dans la création de crèches sur les campus ou pour le droit à l'IVG et à la contraception : non à la journée européenne réactionnaire contre l'avortement !, sur le site de SUD étudiant Nanterre
  2. un article sur le collectif constitué lors du premier jugement pour incitation à la haine homophobe, dont SUD étudiant est signataire
  3. Immigration choisie, la discrimination raciale continue
  4. Situation sociale des étudiants, sur le site de SUD étudiant
  5. Un article sur le salaire social sur le site de SUD étudiant Lille
  6. Un article de SUD étudiant Lille sur le rapport Wauquiez, un article sur le même thème sur le site fédéral
  7. un tract destiné aux étudiants travaillant au sein de France Télécom, réalisé avec SUD PTT
  8. l'analyse de SUD étudiant sur la loi pour l'égalité des chances
  9. Un appel à la grève pour le retrait de loi pour l'égalité des chances
  10. Déjà 4000 arrestations, non à la justice de classe !
  11. Contre les violences organisées et les régressions sociales, résistance !
  12. Soutien aux luttes étudiantes à travers le monde, article du site fédéral
  13. Les promesses non tenues... sur le site de SUD étudiant Lille
  14. Requête commune du GISTI et de SUD Étudiant auprès du conseil d'état pour obtenir une simplification des démarches administratives pour les étudiants étrangers
  15. Un article sur le RUSF sur le site fédéral, le site du RUSF
  16. les licences professionnelles et les étudiants « vaches à lait»
  17. Un compte-rendu de CEVU sur le site de SUD étudiant Lille parlant des rencontres Université-Emploi et du point de vue de SUD étudiant sur la professionnalisation
  18. Un compte-rendu de CEVU sur le site de SUD étudiant Lille parlant des unités d'enseignement transversal et de sa revendication d'un EC de droit du travail
  19. le rapport Hetzel final de le commission "emploi-université"
  20. La fin de l'université ?
  21. Il est ici question de l'organisation de l'enseignement supérieur en France mais les réflexions avancées ne sont pas conçues dans une approche nationaliste et ont potentiellement une portée universelle.
  22. L'approche est différente pour certaines formations, comme celle de droit ou de médecine
  23. Non à la sélection à l'entrée du master 1 !
  24. Frais illégaux, ce qu'il faut savoir
  25. Exploiter un étudiant, ça peut rapporter gros, Sciences-Po Rennes exploite ses propres étudiants !
  26. La réforme ECTS par SUD étudiant
  27. La réforme LMD/ECTS par SUD Étudiant Angers
  28. Le dossier de la FSE sur le sujet
  29. un article sur l'OFUP sur le site de SUD étudiant lille, un article de Indymédia Nantes sure l'action anti-OFUP de SUD étudiant
  30. Violence et sécurité sociale
  31. Quelques revendications de SUD étudiant sur le site fédéral
  32. Ce que confirme une étude réalisée en 2006 par la LMDE qui indique qu'un étudiant sur quatre a renoncé à des soins pour des raisons financières et que 15% d'entre eux ont eu des pensées suicidaires durant les 12 derniers mois.
  33. http://sud-etudiant.univ-lille1.fr/article.php3?id_article=151 Santé des étudiants, un rapport sans surprise]
  34. L'organisation reprochait à cette opération d'être essentiellement de la communication, de favoriser les logiciels propriétaires et de « faire le jeu des banques », un communiqué de SUD étudiant sur le site HNS-info