Famille de Lantivy

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. 
Armes des Lantivy : D’azur, à 8 billettes d’or, 3, 3, 2, 2 et 1, au canton de gueules chargé d’une épée d’argent.
Armes des Lantivy : D’azur, à 8 billettes d’or, 3, 3, 2, 2 et 1, au canton de gueules chargé d’une épée d’argent.

Famille de Lantivy

Sommaire

[modifier] Origine

Pierre de Lantivy, demeurant à la Lande de Niafles, présenta ses preuves de noblesse en 1667, affirmant qu'il « restoit seul de son nom et armes, avec ses enfants », et qu'il portait : de gueules à l'épée d'argent en pal, la pointe en bas.
Pierre de Lantivy, demeurant à la Lande de Niafles, présenta ses preuves de noblesse en 1667, affirmant qu'il « restoit seul de son nom et armes, avec ses enfants », et qu'il portait : de gueules à l'épée d'argent en pal, la pointe en bas.

C'est une famille de noblesse bretonne dont une branche se fixa au XVIe siècle au Craonnais, d'abord à l'Ile-Tison, puis posséda la Lande de Niafles, la Cour de Livré, l'Éperonniére, la Vieuville, l'Épinay de Bouchamp.

[modifier] Quelques membres

  • Louis-André de Lantivy, fils de Louis-Pierre-Jacques de Lantivy et de Louise Langlois, fit les deux campagnes de Bavière et de Bohême à la tête d'un escadron du régiment de Fouquet-Cavalerie qu'il avait été autorisé à lever.

Il épousa :

Il fut arrêté en 1790 par la garde nationale de Craon au moment où il partait pour Paris avec sa famille et une voiture chargée de ses meubles les plus précieux qu'il désirait soustraire au pillage. Il eut beau protester qu'il se rendait à Paris pour se faire soigner par un spécialiste pour une ophtalmie, on le retint prisonnier pendant six semaines dans une maison particulière

[modifier] Armoiries et devise

Riestap indique le blasonnement suivant D’azur, à 8 billettes d’or, 3, 3, 2, 2 et 1, au canton de gueules chargé d’une épée d’argent. . La devise de la famille est : Qui désire n’a repos.

[modifier] Branche de Coscro


Les statues de Saint Louis et de Sainte Catherine élevées dans la collégiale de Rostrenen passent pour être les portraits de Louis et de Innocente Catherine, enfants de Jean Gilles et de Florimonde de Lantivy, baronne de Rostrenen au XVIIIe siècle.

[modifier] Voir aussi

[modifier] Notes et références


[modifier] Voir aussi

[modifier] Bibliographie

  • Registre paroissial de Craon ;
  • Archives de la Mayenne, 8. 2.276, 2.377, 2.410. 2.471, 2.610, 2.977, 3.001, 3.091 ; C. 180, 197 ;
  • E. Chambois, Recherches de 1666 ;
  • Archives municipales de Château-Gontier, an II ;
  • Cabinet Paul de Farcy.

[modifier] Source

« Famille de Lantivy », dans Alphonse-Victor Angot, Ferdinand Gaugain, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, Goupil, 1900-1910 ([détail édition])