Catastrophe de l'usine AZF de Toulouse

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La cheminée de l'usine vue du centre ville via les jumelles touristiques installées sur le Pont Neuf, d'une distance d'environ 4-5 km
La cheminée de l'usine vue du centre ville via les jumelles touristiques installées sur le Pont Neuf, d'une distance d'environ 4-5 km
La tour AZF
La tour AZF

La catastrophe de l'usine AZF de Toulouse réfère à l'explosion, le 21 septembre 2001, d'un stock de nitrate d'ammonium ayant entraîné la mort de 30 personnes et de lourds dégâts matériels.

Sommaire

[modifier] L'événement

[modifier] L'usine

L'usine chimique AZF (AZote Fertilisants), aujourd'hui rasée, appartenait jusqu'en 2005 à la société Grande Paroisse. Cette société, alors filiale d'Atofina, regroupait depuis la fusion de Total et d'Elf-Aquitaine toutes les activités chimiques du groupe Total. Cette usine était située à 5 km du centre de Toulouse, au sud, entre la Rocade, l'autoroute menant vers Tarbes, et la Garonne. Initialement construite à l'écart de la ville en 1920, elle a été progressivement englobée par l'agglomération. Elle employait 470 personnes sur un terrain de 70 hectares[1]. Elle stockait les produits de sa production et des produits dangereux comme le nitrate d'ammonium.

[modifier] La catastrophe

Le 21 septembre 2001, à 10h17, un stock d'environ 300 - 400 tonnes de nitrate d'ammonium déclassé destiné à la production d'engrais y a explosé au bâtiment 221 222[2], creusant un cratère de près de 30 mètres de diamètre et d'une dizaine de mètres de profondeur.

[modifier] Conséquences

[modifier] Bilan humain

Le lycée Gallieni détruit
Le lycée Gallieni détruit

Le bilan officiel fait état de 30 morts, dont 22 employés sur le site parmi lesquels 10 salariés de Grande Paroisse et 8 extérieurs, et environ 2500 blessés dont une trentaine dans un état grave. [3].

La majorité des victimes a subi les effets directs du souffle de l'explosion, ou ses effets indirects, en étant touchés par des objets portés par ce souffle (éclats de verre notamment). Selon l'Institut de veille sanitaire, de nombreuses personnes souffrent de désordres psychiques (dépressions, angoisses, insomnies, mais aussi de problèmes auditifs. Dix-huit mois après l'explosion, quelque 14 000 personnes étaient toujours sous traitement pour pouvoir dormir, calmer leurs angoisses ou soigner une dépression.

[modifier] Bilan matériel

Hangars et la Tour AZF
Hangars et la Tour AZF

L'explosion a causé des destructions importantes dans la partie sud-ouest de la ville car elle correspondait à un séisme de magnitude 3,4 [4]. Le site AZF lui-même est soufflé. Seul le poste de garde est encore debout mais il sera détruit le lendemain pour raison de sécurité[5]. La tour AZF résiste tout de même au souffle. À proximité, les zones commerciales de Darty et Brossette sont totalement détruites. Le stock de 150 bus de la SEMVAT, la société de transport public toulousain, est également détruit[6].

De très nombreux logements, plusieurs entreprises et quelques équipements (piscines, gymnases, salles de concert, lycée Déodat de Séverac) ont été touchés. Les dégâts (murs lézardés, portes et fenêtres enfoncées, toitures et panneaux soufflés ou envolés, vitres brisées...) ont été visibles jusqu'au centre-ville. Parmi les équipements publics touchés, on peut citer le petit palais des sports (entièrement démoli et reconstruit suite à ces dommages), le Bikini (salle de spectacle), l'École nationale supérieure des ingénieurs en arts chimiques et technologiques, le lycée Gallieni et le centre hospitalier Gérard Marchant[7].

On estime les dégâts matériels globalement à 2 milliards d'euros [8], dont 33 millions d'euros pour des bâtiments publics[9].

[modifier] Autres conséquences

Locaux détruit suite a la catastrophe
Locaux détruit suite a la catastrophe

Contrairement au souhait des salariés de l'usine, qui demandaient le redémarrage des installations épargnées après renforcement des mesures de sécurité, le site de l'usine et ses alentours, dévastés, ont entièrement été rasés et sont en cours de dépollution. Plusieurs projets ont été présentés, dont une zone verte et un centre international de recherche sur le cancer, proposé par le maire de Toulouse Philippe Douste-Blazy juste avant sa nomination comme ministre de la santé. En dépit des actions de recours effectuées par certaines associations déclarant représenter les riverains, la réalisation de ce projet est en cours[10].

La tour la plus haute de l'usine, qui avait survécu à l'explosion, a finalement été mise à terre (bien qu'elle fût un point de repère apprécié des pilotes d'avions en approche vers l'aéroport de Blagnac)[11].

Autre réminiscence du traumatisme subi par la population, la combinaison de lettres AZF n'a pas été utilisée, à la demande du député de la zone concernée, sur les plaques d'immatriculation des véhicules du département : on est passé directement de la combinaison 999 AZE 31 à la combinaison 11 AZG 31[12].

[modifier] Enquête judiciaire et scientifique

Trois jours après la catastrophe le procureur de la République, M. Bréard déclarait qu'il s'agissait « à 99% » d'un accident.

Cette hypothèse de l'accident reste toujours privilégiée par les autorités, mais l'explication proposée par le procureur semble infirmée. En effet cette thèse postulait que la catastrophe fût la conséquence d'une erreur de manipulation qui aurait conduit un employé d'AZF à déverser, un quart d'heure avant l'explosion, 500 kg de produit chloré pour piscines (DCCNa ou Dichloroisocyanurate de sodium), produit dans une autre partie de l'usine sur le tas d'ammonitrate stocké en vrac, le contact des produits suffisant à déclencher la réaction. Or, d'une part, la reconstitution réalisée sur place en octobre 2002 a démontré l'impossibilité de confondre les deux produits, ce qui rend ladite erreur très improbable, et, d'autre part, des expertises internationales n'ont pas pu démontrer la possibilité d'une telle réaction dans les conditions réelles rencontrées ce jour-là.

La thèse d'un attentat a aussi été évoquée par certains médias, la catastrophe s'étant produite dix jours seulement après les attentats de New York et Washington. Cependant, les autorités ont toujours mis cette hypothèse de côté, aucune revendication sérieuse n'ayant été formulée et aucun acte de malveillance visant à faciliter la catastrophe ou en aggraver les conséquences n'ayant été officiellement constaté.

En novembre 2004, le juge d'instruction Perriquet a signé un non-lieu en faveur des neuf personnes (cadres et employés de l'usine AZF) qui avaient été mises en examen pour non-observation des règles de sécurité et autres manquements. Visiblement les thèmes de l'usine « mal tenue » ou « d'erreur » ne sont plus retenus tandis que sont démentis certains rapports d'« experts » dont la compétence est contestée par les meilleurs chimistes français.

En décembre 2005, le chef d'atelier qui avait été impliqué dans le scénario jusque là pris en compte était également et définitivement mis hors de cause.

Quatre ans après et alors que seul le directeur de l'usine reste mis en examen, les responsabilités n'ont donc toujours pas pu être établies et aucune explication convaincante n'a encore été apportée. Explication qui serait d'autant plus nécessaire que la société Grande-Paroisse exploite d'autres sites similaires à celui de Toulouse en France, dont trois directement : les usines AZF du Grand-Quevilly (Seine-Maritime), Mazingarbe (Pas-de-Calais) et Grandpuits (Seine-et-Marne) ; et une autre en partenariat avec BASF : l'usine PEC-Rhin d'Ottmarsheim (Haut-Rhin).

Le 31 mai 2006, la société Grande Paroisse a été mise en examen en tant que personne morale. Le 13 juillet 2006, un non-lieu est prononcé en faveur du manutentionnaire Gilles Fauré qui était soupçonné d'avoir réalisé un mélange malencontreux d'un produit chloré avec le nitrate d'ammonium[13]. Il ne reste donc que la société Grande Paroisse et le directeur de l'usine Serge Biechlin à avoir été mis en examen pour « homicide et blessures involontaires » dans cette affaire. Le 20 septembre 2006, peu après la remise d'un rapport final par les experts, le Juge Perriquet clôt l'enquête.

Le 3 mai 2007, la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Toulouse a rejeté toutes les nouvelles demandes d'investigations, aussi bien des parties civiles que de la défense et mettait aussi un point final aux expertises du Civil qui étaient pourtant toujours en cours.

C'est à cette époque que deux membres de l'ancien CHSCT de l'usine Grande Paroisse, prenaient l'initiative personnelle et sans consulter les autres membres, de diffuser une note donnant globalement raison aux conclusions du collège d'experts désignés au pénal. Bien qu'il admette l'explosion du filtre JF 302 N situé en haut de la tour de prilling des nitrates, il considère que « l'hypothèse qui ne peut pas être écartée est celle de l'accident interne » pour conclure notamment que « le stockage en vrac de nitrate industriel doit être supprimé ».

Enfin, le 9 juillet 2007, peu avant sa nomination à la Cour d'Appel de Monaco, le magistrat instructeur Thierry Perriquet, ordonnait le renvoi devant le tribunal correctionnel de la société Grande Paroisse et du directeur de l'usine Serge Biechlin. Plusieurs fois reporté le procès devrait s'ouvrir fin février 2009 et durer 4 mois.

[modifier] Doutes sur l'enquête

Ces décisions sont mal reçues, voire contestées, par la défense et les parties civiles. D'autant que trois jours après la catastrophe, le lundi 24 septembre 2001, Michel Bréard, le procureur de la République avait annoncé être sûr que les causes de la catastrophes étaient accidentelles à 99%. À l'époque de nombreuses personnalités dont le Maire de Toulouse, Douste-Blazy, s'étaient émues d'une enquête dont les conclusions sont données avant même son début. Des associations de victimes contestent les méthodes et conclusions des enquêteurs et les décisions des juges d'instruction. Des enquêtes privées sont menées et soulèvent des pistes inexplorées.

Les principales sont :

  • la malveillance (thèse privilégiée par la défense)
  • un accident dans une usine voisine ayant entraîné l'explosion d'AZF (méthanol, hydrazine...)
  • la piste d'une expérimentation qui a mal tourné (EMP, drone…)

[modifier] L'hypothèse de l'UVCE

En juillet 2006, une nouvelle piste en partie soutenue par un ancien ingénieur d'EDF est proposée par l'hebdomadaire Valeurs Actuelles[14]: cette hypothèse analyse la viabilité d'une explosion de nappes de vapeurs dérivées de l'hydrazine. De telles substances, comme la MMH (Monométhyle-hydrazine) l'UDMH (diméthyle-hydrazine asymétrique) ou la FDMH (formaldéhyde diméthylhydrazone) sont fabriquées à la SNPE jouxtant l'usine AZF. Elles sont en particulier indispensables à la production de carburants pour fusées et missiles, des propergols. En ce qui concerne l'UDMH, le site de fabrication de ce produit était en arrêt pour maintenance le jour de l'explosion mais environ 17 tonnes d'UDMH étaient stockées sur place.

Ces produits ont une forte odeur d'ammoniac et de poisson pourri, une odeur caractéristique, inhabituelle et particulièrement forte qui a incommodé de nombreux témoins situés sous le vent de la SNPE le matin de la catastrophe[15]. Mêlées à l'air, ces vapeurs forment un mélange asphyxiant, et explosif quand il est saturé d'oxygène ou mis au contact de métaux oxydés. Aucun obstacle n'aurait pu entraver la progression des vapeurs, poussées en ligne droite par le vent d'autan qui soufflait ce jour-là à 30 km/h environ de la SNPE vers AZF. Sur son chemin, se trouvait la tour verte de prilling des nitrates et le hangar 221 de l'usine AZF. Au niveau de la tour de prilling, le mélange gazeux aurait pu être aspiré et remonter dans la tour : normalement cette circulation d’air sert à refroidir le nitrate fondu pour en faire des granulés. De là l’air chaud est évacué à l’extérieur via deux grands ventilateurs. Le mélange air chaud - UDMH évacué ce 21 septembre 2001, en s’enflammant, a très bien pu prendre l’aspect d’un éclair frappant la tour, tandis que l’explosion de ce mélange à l’intérieur aurait suffit pour faire décoller la partie supérieure du bâtiment[16].

L’UDMH aurait aussi pu se répandre jusqu’au hangar 221 contenant un grand tas de nitrate d’ammonium, et dont le sas était à ce moment ouvert face au vent.

L'explication proposée pour la mise à feu des nappes de mélange air-UDMH serait :

  • soit l'hypothèse d'un contact entre les nitrates, l'UDMH ou un autre dérivé de l'hydrazine et du chrome hexavalent Cr(VI) utilisé pour des tests de routine. L'anhydride chromique est un puissant oxydant susceptible d'entraîner des réactions violentes au contact d'un grand nombre de produits, dont les nitrates ou l'hydrazine. Selon Anne-Marie Casteret (l'Express du 16 janvier 2003) et Marc Menessier (le Figaro du même jour), 21 kg de Cr(VI) en paillettes avaient disparus du laboratoire de l'usine début août 2001, tandis que Valeurs Actuelles révélait le 28 juillet 2006 que des traces de chrome ont été relevées par les expertises du laboratoire de la police scientifique, sur les chaussures (3,8 mg) et les vêtements de deux victimes de la catastrophe qui se trouvaient au plus près du hangar 221. Le laboratoire ne précise cependant pas la nature du chrome analysé mais souligne qu'il peut se trouver à l'état naturel dans les sols.
  • soit un incident électrique à la SNPE.
  • soit la conjonction des deux faits.

L'hypothèse de l'explosion de nappe de gaz (UVCE - Unconfined Vapour Cloud Explosion) avait été abordée par les enquêtes pénales et civiles, mais seul le méthane, gaz inodore et plus léger que l'air, avait été étudié par les experts. De plus, d'autres produits comme par exemple le méthanol (alcool à brûler), présents en grande quantité sur les sites AZF et SNPE sont à l'instar de l'UDMH, d'excellents candidats pour provoquer des UVCE.

[modifier] L'hypothèse de l'impulsion électromagnétique

L'hypothèse de l'impulsion électromagnétique a été initiée à la suite de témoignages sur des « faisceaux lumineux géants » aperçus quelques secondes avant l'explosion du hangar 221 ainsi que sur des phénomènes locaux comme des coups de foudre, des tétanisations pendant plusieurs secondes et autres perturbations électromagnétiques étranges.

En Juin 2002, les sociétés Géoid et Fugro sont chargées par la justice de réaliser les relevés électromagnétiques et magnétiques[17]. Cette expertise fut réduite au simple site d'AZF et à la SEMVAT (bus). Le survol de la SNPE est interdit par le préfet alors que l'hypothèse de l'arc électrique est encore soutenue par la société Grande Paroisse, mais rejeté par les experts et l'enquête judiciaire.

L'association AZF Mémoire et Solidarité, partie civile dans le dossier, a insisté auprès de la justice pour que les phénomènes précurseurs d'origine électromagnétique et magnétique mentionnés soient étudiés et pris en compte. Ces témoignages sont restés définitivement inexpliqués depuis la fermeture du dossier avant procès. Jean-Pierre Petit évoque rapidement sur son site les liens qu'il établit entre l'explosion et l'effet qu'il attribue à une impulsion électromagnétique, plus connue sous l'acronyme anglais EMP[18]. Jean-Paul Serbera, dans son premier ouvrage AZF Toulouse : un mensonge d'État prétend que l'explosion a produit de nombreuses IEM. Mais dans son second ouvrage Attentat à la SNPE ? : la face cachée de l'affaire AZF il avance qu'une bombe EMP utilisée sur Toulouse aurait pu provoquer la catastrophe. En 2006, dans son livre AZF-Toulouse : Quelle vérité ? Daniel Dissy évoque l'existence de bombes EMP américaines et franco-allemandes ainsi que l'hypothèse qu'une telle bombe aurait été utilisée ou testée à Toulouse en aérien ou en souterrain.

[modifier] AZF dans les media

Quelques journalistes d'investigation qui ont enquêté :

Quelques livres traitent de la catastrophe d’AZF :

  • Toulouse, chronique d’un désastre annoncé, Henry Farreny et Christian Moretto, Cépaduès : Le premier livre publié est l’œuvre d’un Toulousain. Henry Farreny est ancien maire de Ramonville et élu écologiste. Il fut d’ailleurs poursuivi en diffamation par la SNPE, qui finalement retire sa plainte.
  • Toulouse : an I après AZF. De la catastrophe au complot d’État, André Dispeil, Cephes : Le second livre est celui d'André Dispeil, Président du Cephes. Il développe lsa théorie dite de "l'arc électrique".
  • AZF Toulouse : un mensonge d'État ?, Jean-Pascal Serbera, DPF, 2002
  • Attentat à la SNPE? : la face cachée de l'affaire AZF, Jean-Pascal Serbera, Lectures et civilisation, 2003 : Jean-Pascal Serbera, élu d'extrême droite, est le premier à accuser la SNPE et reprend la thèse de Jean-Pierre Petit d'une bombe EMP.
  • AZF-Toulouse : Quelle vérité ?, Daniel Dissy, Éditions des Traboules, 2006 : Cinq ans après la catastrophe d'AZF paraît le livre à "grand tirage" : AZF-Toulouse : Quelle vérité ? de Daniel Dissy. Daniel Dissy est ingénieur chimiste à Toulouse. C'est le seul livre à aborder le contexte politique de la catastrophe. Il émet l'hypothèse d’une action de la CIA préparatoire à l’intervention américaine en Irak[19]. Le livre a été sélectionné pour participer au Ier Salon du Livre d'Investigation qui s'est tenu à Paris au Palais Brogniard (Bourse).

Plusieurs documentaires ont été consacrés au sujet, parmi lesquels

Le Prix du risque réalisé par Elio Suhamy pour la Chaîne Parlementaire et le Conseil Economique et Social (2004), inspiré du rapport de Charles Fiterman.

[modifier] Voir aussi

[modifier] Articles connexes

Accidents industriels impliquant du nitrate d'ammonium | Catastrophes industrielles | Toulouse

[modifier] Liens externes

[modifier] Bibliographie - Sources

  • En janvier 2007, sous les signatures de Thierry Deransart, Franck Heriot et Jean-Christian Tirat, l'hebdomadaire Valeurs Actuelles avait consacré une trentaine d'articles à la catastrophe de Toulouse.
  • Numéro 100 de la revue « Fusion »
  • Numéro 68 de la revue Canal N7, journal de l'association des ingénieurs de l'INP-ENSEEIHT
  • Henry Farreny : Toulouse, chronique d’un désastre annoncé, Cepadues.
  • Daniel Depris : Toulouse, an I après AZF
  • Jean-Pascal Serbera : AZF Toulouse : un mensonge d'État , DPF, 2002
  • Jean-Pascal Serbera : Attentat à la SNPE? : la face cachée de l'affaire AZF, J Lectures et civilisation, 2003.
  • Daniel Dissy : « AZF-Toulouse, Quelle vérité ? », Editions des Traboules, 2006, ISBN 2-915681-30-9, Library of Congress (Washington DC) Control No : 2007370387.

[modifier] Notes et références

  1. Rapport sur l'explosion de l'usine AZF par le ministère de l'écologie, page 10, [pdf], consulter
  2. Rapport sur l'explosion de l'usine AZF par le ministère de l'écologie, page 13, [pdf], consulter
  3. Rapport sur l'explosion de l'usine AZF par le ministère de l'écologie, page 14, [pdf], consulter
  4. Rapport de l'institut de veille sanitaire, du 9 juillet 2002, page 6, [pdf], consulter
  5. Document de l'edumed, page 4 [pdf] consulter
  6. Document de l'edumed, page 5 [pdf] consulter
  7. Document de l'edumed, page 12 [pdf] consulter
  8. d'après l'hebdomadaire Valeurs Actuelles du 27/1/2006
  9. [pdf] RAPPORT D'ORIENTATION BUDGETAIRE 2003 de Toulouse page 1
  10. Cancéropôle : du projet à la réalisation, Site officiel de la ville de Toulouse. Consulté le 31/05/2007
  11. La dernière cheminée d'AZF foudroyée, le moniteur-expert.com. Consulté le 31/05/2007
  12. Transport routier - Conduite, Quid.fr. Consulté le 31/05/2007
  13. Le Monde du 21 juillet 2006
  14. DOSSIER : La catastrophe de Toulouse, Valeurs actuelles. Consulté le 01/06/2007
  15. d'après l'hebdomadaire Valeurs Actuelles
  16. AZF : L’enquête relancée, CREFMPM. Consulté le 01/06/2007
  17. Un curieux oiseau scrute le sous-sol, La dépêche du Midi. Consulté le 1/06/2007
  18. Article de Jean-Pierre Petit : « Les Armes à Impulsion Electromagnétique »
  19. AZF-TOULOUSE. Quelle Vérité ?, Daniel Dissy. Consulté le 01/06/2007