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Entre décembre 1835 et 1848 Garibaldi passe une longue période d'exil en Amérique du Sud, d'abord à Rio de Janeiro, accueilli par la petite communauté d'Italiens adhérant au mouvement jeune Italie[1]. En Amérique du Sud il trouve ce qu'il recherche dans sa lutte pour l'indépendance, bien que cela ne soit pour l'Italie qu'il soutient avec ferveur. Il aide tous ceux qui veulent lutter pour l'indépendance avec la même ardeur que s'il s'était agit de sa patrie. Grâce à son ami Giuseppe Stefano Grondona, il devient président de la cellule de [[Giovine Italia|Jeune Italie] sur le continent américain . Il adhère aussi à la loge maçonnique Asilo di Vertud.

Après plusieurs épisodes incluant une fuite en Uruguay puis à Gualeguay, en Argentine, il prend part à ses premières batailles terrestres. Le 4 mai 1837 il obtient une lettre de marque du gouvernement du Rio Grande do Sul[2], rebelle à l'autorité de l'Empire du Brésil, et il défie un empire avec son bateau de pêche baptisé Mazzini.

Au cours de cette révolution de la République Riograndense menée par Bento Gonçalves da Silva, il repousse, le 11 avril 1838, un bataillon de l'armée impériale brésilienne (bataille de Galpon de Xarqueada) et il prend part au côté du général Davi Canabarro à la prise du port de Laguna, capitale de la province de Santa Caterina, (25 juillet 1839) ce qui facilite la création de la République Catarinense ou République Juliana. .

Le 15 novembre, l'armée l'impériale reconquiert la ville et les républicains reparaissent sur les hauteurs où se déroulent des batailles avec plus ou moins de succès. En particulier Garibaldi est impliqué pour la première fois dans un combat exclusivement terrestre, à proximité de Forquillas : il attaque avec ses marins et oblige ses ennemis à se retirer.

Garibaldi entre dans le corps des révolutionnaires de La joven Europa. Durant cette période, il a pour maîtresses Manuela de Paula Ferreira, nièce de Bento Gonçalves da Silva, et Ana Maria de Jesus Ribeiro.

En 1841 il part en Uruguay où la guerre fait rage entre le président uruguayen Manuel Oribe qui a été renversé mais est soutenu par le gouvernement de Buenos Aires de Juan Manuel de Rosas et le nouveau gouvernement présidé par le général Fructuoso Rivera installé à Montevideo et qui compte sur l'appui du Brésil, des flottes françaises et anglaises et des argentins « unitaires » (Partido Unitario, de tendance libérale). Déclarée en décembre 1838, la guerre nommée Grande dure de 1839 à 1851.

Installé à Montevideo, en plus de son activité révolutionnaire, Garibaldi donne des cours de mathématiques et est membre de la loge maçonnique « Les Amies de la Patrie ».

Montevideo se trouve assiégée par les forces du président Manuel Oribe, appuyées par des troupes de la Confederación Argentina. Au río de la Plata, la flotte de la Confédération, qui opère sous le commandement de l'amiral Guillermo Brown, essaie de bloquer le port de Montevideo qui est défendu la flotte du gouvernement de Montevideo sous le commandement du Commodore Juan Coe. En 1842 le gouvernement de Montevideo désigne Garibaldi comme remplaçant de Coe. Le 16 aôut 1842 une bataille navale a lieu sur le fleuve Paraná près de la localité Costa Brava, Coe dirige la flotte. Les vaisseaux commandés par Garibaldi sont battus par les forces de Brown dont les moyens en navire et en hommes sont supérieurs. Après avoir subi de fortes pertes, Garibaldi incendie ses vaisseaux pour éviter qu'ils ne tombent aux mains de Brown; et en débarquant à terre, il réussit à se mettre à l'abri avec l'équipage survivant.

Il épouse en 1842 Ana Maria de Jesus Ribeiro qu'il a rencontré en 1839 et dont il aura quatre enfants (Rosita, Menotti, Teresita et Ricciotti) dont un meurt lors d'une épidémie de variole.

Garibaldi dirige de nouveau une escadrille , à la tête de laquelle il réussit à empêcher que les vaisseaux de Brown occupent l'Isla de Ratas, dans la baie de Montevideo (que l'on nomme de ce fait Isla Libertad- Île Liberté-), parvenant ainsi à contrecarrer la tentative de la flotte rosista de bloquer Montevideo. De retour à Montevideo, en 1843 alors qu'Oribe fait le siège de Montevideo qui durera jusqu'en 1851, Garibaldi organise et prend la tête de mercenaire appelée la La Legión Italiana (Légion Italienne), qui se met au service du gouvernement de Montevideo dénommé le Gobierno de la Defensa (Gouvernement de la Défense). Parmi les actions militaires auxquelles Garibaldi a participé à la tête de la Légion Italienne, celle du 17 novembre 1843 a marqué le lieu où se sont produit les combat et qui est devenu le Combate de Tres Cruces(bataille des Trois Croisements ? ou Croix ?) dans les environs des murs de Montevideo.

C'est au cours de la défense de Montevideo que la légion italienne qu'il commande endosse la chemise rouge, vêtement à l'origine destiné aux ouvriers des abattoirs argentins. Cette chemise rouge est un élément essentiel du mythe garibaldien, mais il faut aussi mentionner le chapeau de gaúcho et le poncho de la pampa.

En avril 1845, Garibaldi embarque sur une nouvelle flottille d'une vingtaine de vaisseaux et avec environ 900 hommes, il débarque occuper et piller Colonia del Sacramento comptant sur la protection des escadres françaises et anglaises[3]. En septembre il occupe l'île isla Martín García (enclave argentine en Uruguay -río de la Plata), défendue par dix soldats de la Confédération, et la ville de Gualeguaychú qu'il pille [4] et en octobre il occupe la ville de Salto. Le 8 février 1846, sur le territoire de Salto, à proximité de la rivière San Antonio, affluent du Río Uruguay, Garibaldi et sa Légion Italienne livre la bataille de San Antonio contre des forces supérieures de la Confédération, auxquelles ils infligent de nombreuses pertes mais qui parviennent à se retirer après avoir perdu approximativement le tiers de leurs effectifs. [5]

Il rentre en Italie peu après le début de la première guerre d'indépendance italienne.



  1. REDIRECT Émigration et immigration italienne

{{En cours|Pramzan|16 mars 2008}} L'Italie a été concernée par le phénomène de l'émigration surtout au XIXe siècle et au XXe siècle. Le phénomène a concerné d'abord le nord-est de la péninsule et après 1870, s'est propagé au mezzogiorno. On peut séparer l'émigration italienne en deux grandes périodes: celle de la grande émigration entre la fin du XIXe siècle et les années trente du XXe siècle et celle de l'émigration européenne, qui débute à partir des années cinquante.

Sommaire

[modifier] La grande émigration

La grande émigration a eu pour origine la pauvreté qui était répandue dans de vastes zônes de l'Italie. Le départ de cette population a permis à l'État et la société italienne d'alléger fortement la pression démographique. Sa destination fut surtout le continent américain dans sa globalité et se caractérise dès le départ comme une émigration d'une longue durée, privée de projet de retour en Italie. Le période qui intéresse ce phénomène va de 1876 à approximativement 1914.

Une grande partie de l'Italie au moment de l'unification, et plus particulièrement le sud, est rurale, et la gestion agraire ne permet pas aux paysans de vivre de leurs terres. L'unification a brisé le système féodal, les terres, particulièrement dans le sud et depuis le Moyen-Âge, étaient la propriété inaliénable des aristocrates, des organisations religieuses ou du roi. La décomposition du féodalisme et la redistribution des terres ne permet pas aux petits agriculteurs de tirer profit de leur production. Beaucoup sont de plus restés sans terre ou avec de toutes petites parcelles qu'il faut diviser au cours des successions patrimoniales[6].

Dans le centre de l'Italie, le métayage est plus développé qui permet aux familles de travailler une parcelle pour un propriétaire et conserver une part raisonnable des bénéfices. C'est l'une des raisons qui explique qu'il y a moins d'émigrants.

Dans la deuxième phase de l'émigration- 1900 à la première guerre mondiale, la plupart des émigrants sont du sud et originaires de zones rurales, chassés de leurs terres par l'inefficacité des politiques de gestion des terres.

Après les premières années de l'unification italienne, l'émigration n'est pas particulièrement contrôlée par l'État. Les émigrants sont souvent entre les mains d'agents soucieux de leurs intérêts. Les abus conduisent à une première loi votée en 1888 pour placer les agences de l'émigration sous le contrôle de l'État[7].

La loi n.23 du 31 janvier 1901 crée un commissariat à l'émigration qui a pour objectif d'accorder des licences aux transporteurs, des coûts fixes de billets, un ordre aux ports d'embarquement, la surveillance des conditions de santé pour les jeunes, la mise en place d'auberges de jeunesse et d'établissements de soins, et conclu des accords avec les pays d'accueil pour aider à prendre soin de ceux qui arrivent. Cela inclue les discussions sur législation du travail aux États-Unis jugée discriminatoire à l'égard des travailleurs étrangers (1885) et même suspendre, pour un temps, l'émigration vers le Brésil, où de nombreux émigrants sont utilisés dans des conditions inacceptables[7]. Tous ces mesures favorisent l'émigration.

Le commissariat a également contribué à mettre en place un dispositif par lequel les émigrés, par exemple aux États-Unis, peuvent envoyer des fonds vers les "vieux pays" ce qui permet une entrée permanente d'argents représentant 5% du produit national italien [8]. En 1903, Palerme, Naples et Gênes deviennent les principaux ports d'embarquement.

Dans un article du New York Times du 12 mars 1904, A. Rossi, inspecteur de ministère de l'émigration en Italie, se déclare surpris de la perception qu'ont les américains qui considèrent que l'Italie encourage l'émigration. Il affirme malgré les 200 000 arrivées dans le port de New York l'année précédente, que les récentes lois italiennes sont restrictives. L'Italie, dit t'il, essaie de garder ses travailleurs: «S'il est vrai que l'augmentation constante de la population de l'Italie rend l'émigration nécessaire, il est néanmoins un fait que dans certaines provinces de l'Italie, ce grand exode nous pose des problèmes, car, malgré l'augmentation des salaires, la main d'œuvre locale se raréfie». Si le commissariat a réduit les abus dont font l'objet les émigrants, elle n'a guère empêcher l'émigration qui a augmenté régulièrement jusqu'à début de la première guerre mondiale.

Les flux sont ralentis par la première guerre mondiale. Les difficultés économiques extrêmes de l'Italie d'après-guerre et les graves tensions internes au sein de la nation (ce qui a conduit à la montée du fascisme) poussent hors d'Italie, en 1920, 614 000 émigrants , la moitié d'entre eux vers les États-Unis. L'Italie fasciste souhaite restreindre l'émigration et incite au retour au pays[9]. Toutefois, au cours des cinq premières années du fascisme, un million et demi de personnes ont quitté l'Italie[10]. Aux États-Unis des lois destinés à contrôler le nombre d'immigrants telles que la loi d'urgence sur les quotas de 1921 et la loi d'immigration Johnson-Reed 1924 sont promulgués. À la fin des années 1930, 300 000 émigrants quittent encore l'Italie en une seule année, la nature de l'émigration a changé et correspond plus à du regroupement familial.

[modifier] Quelques chiffres

Quelques chiffres sur la population italienne au cours de cette période: l'Italie moderne a pris naissance entre 1860 et 1870, avec l'annexion de la moitié sud de la péninsule (le Royaume des Deux-Siciles), puis l'annexion définitive des États pontificaux. La nouvelle nation constituée de 15 millions d'habitants au nord auquel s'ajoutent 9 millions de sudistes (7 de la péninsule méridionale et 2 de la Sicile). Ainsi, en 1870, l'Italie a approximativement 25 millions d'habitants (contre environ 40 millions en Allemagne et environ 30 millions au Royaume-Uni). [11] Lors de l'unification de l'Italie, Naples - ancienne capitale du royaume des Deux-Siciles - devient la plus grande ville du pays et ce, pour un certain nombre d'années. En 1900, l'Italie a un peu plus de 32 millions d'habitants.

La direction générale de la statistique n'a commencé ses premières études statistiques officielles sur l'émigration qu'à partir de 1876. Les chiffres sur la période de 1870 et la première Guerre mondiale montrent comment l'émigration a augmenté de façon spectaculaire :

Émigrants italiens pour 1 000 habitants [12]:

  • 1870-1879 4,29
  • 1880-1889 6,09
  • 1890-1899 8,65
  • 1900-1913 17,97

Le moment fort de l'émigration italienne a été en 1913, lorsque 872 598 personnes ont quitté l'Italie. [9]

En extrapolant à partir des 25 millions d'habitants de l'Italie à l'époque de l'unification du pays, les naissances et les morts, sans prendre en compte l'émigration, la population aurait due atteindre environ 65 millions en 1970 alors qu'elle n'était, en raison de l'émigration au début du siècle, que de 54 millions [13].

[modifier] L'émigration européenne

L'émigration européenne de la seconde moitié du XXe siècle, a pour destination surtout les états européens en phase de croissance économique comme la France, la Suisse, la Belgique et l'Allemagne et elle est considérée par beaucoup comme une émigration temporaire, parfois pour quelques mois afin de travailler gagner pour construire un meilleur avenir en Italie. Ce phénomène ne se vérifie pas et de nombreux émigrants restent dans le pays hôte. L'état italien à signé en 1955 un pacte d'émigration avec l'Allemagne par lequel est garanti le réciproque engagement en matière de migration ce qui amène presque 3 millions d'Italiens à passer la frontière pour chercher "fortune". Au début du XXIe siècle, 600 000 citoyens italiens de quatrième génération sont présents en Allemagne surtout d'origine sicilienne, calabraise et des Pouilles alors qu'ils sont 500 000 en Suisse auquel s'ajoute des Venitiens et des Émiliens[14]. Beaucoup ont un double passeport et la possibilité de voter dans les deux nations.

En Belgique et en Suisse, la communauté italienne reste la plus importante représentation étrangère bien que beaucoup sont rentrés en Italie lors de la retraite, souvent les enfants et petit enfants sont restés dans le pays de naissance où ils ont désormais leurs racines.

[modifier] Les migrations internes

Les migrations internes devinrent nombreuses dans les années 1950 et 1960, elles sont essentiellement de deux types:

  1. Le déplacement des jeunes des campagnes vers les villes pour des motifs d'études.
  2. Le déplacement vers les villes industrielles de la zône nord-ouest par des jeunes garçons ayant un bas niveau d'étude. Les femmes émigrent dans un second temps suivant le principe du regroupement familial.

Depuis 1995, l'institut SVIMEZ (institut du développement du mezzogiorno) commence à observer la reprise de l'émigration interne. L'origine des flux continue à aller des régions du Mezzogiorno mais la destination se fait vers le nord-est et une partie du centre. Les régions les plus actives sont la Lombardie orientale, la Vénétie, L'Émilie-Romagne, la Toscane et l'Ombrie.

[modifier] Populations d'origine italienne

Au XIXe siècle e XXe siècle, des millions d'Italiens ont laissé l'Italie avec comme destination principale les Amériques, l'Australie, l'Europe occidentale[15]. Actuellement plusieurs millions de personnes d'origine italienne vivent dans ces différents pays; les plus nombreux sont au Brésil, en Argentine et aux États-Unis.

[modifier] Anti-italianisme lié à l'immigration

Le phénomène d'italophobie est surtout présent dans les pays Amérique du Nord et d'Europe septentrionale caractérisés par une ample immigration italienne destinée à couvrir les secteurs économiques considérés pénibles, comme celui des mineurs que les habitants du lieu refusent pour des raisons sanitaires et de convenances sociales.

[modifier] Quelques exemples historiques

  • En 1890 à La Nouvelle-Orléans onze Italiens sont lynchés, tous siciliens, accusés d'avoir tué le chef de la police urbaine[18].
  • En août 1893 Aigues-Mortes est le théâtre d'un conflit entre ouvriers français et italiens employés dans les salins de Peccais, qui se termine par neuf morts et une centaine de blessés parmi les travailleurs italiens. La tension qui en suivi conduit presque les deux pays à la guerre[19].
  • Le "New York Times" publie le Modèle:Ier janvier 1894 « Nous avons dans notre ville à peu près 30 000 Italiens provenant presque tous de la province napolitaine où jusqu'à peu, le brigandage était l'industrie nationale. Il n'y a rien d'étrange à que ces bandits continuent leur activité d'origine » la violence est présentée comme un produit d'importation associé à la culture et à la tradition des immigrants italiens[20].
  • Pendant le procès des anarchistes italiens Sacco et Vanzetti, à Boston en 1927, le sentiment contre les immigrants italiens apparait avec évidence et contribue sans être l'élément décisif à leur condamnation à mort.

[modifier] Termes utilisés pour nommer les Italiens[21]

  • Maccaronì (utilizzato negli anni '50 e '60 in Belgio contro i minatori italiani)
  • Spaghetti
  • Spagettifresser (mangespaghetti, da,s les pays de langues allemandes. Fressen désigne l'animal qui mange)
  • Los Polpettoes
  • Pizzagang
  • Garlics
  • Calzonee
  • Maiser (en Suisse, mangeur de polentapolentone)
  • Mozzarellanigger
  • Greaseball (aux États-Unis, pour la propreté et la mode de la brillantine)
  • Dago (aux États-Unis, utilisé pour les latins, de Diego ou de dagger, couteau)
  • Gino (au féminin: Gina)
  • Guido (au féminin: Guidette)
  • Goombah (dans la zone de New York, de l'italien compare, à travers le dialecte cumpà)
  • Wop (du napolitain guappo)
  • Wog (utilsé contre tous les hommes de peau sombre mais pas noire)
  • Itakas (en Allemagne, jeu de mots entre Italie et Itaca qui renvoie à vagabonds)
  • Rital
  • Carcamano (au Brésil, signifie malin, voleur, action de surcharger la balance avec la main)
  • Tschinggali (en Suisse, fin XIXe siècle, de la transcription du son cinq!, utilisé dans un jeu très pratiqué par les Italiens)
  • Minghiaweisch (en Suisse pour les Italiens de seconde génération)
  • Tony (aux États-Unis avec l'intention de mettre en évidence ce prénom très commun et faire en même temps un jeu de mots, Antonio = Tony = TO NY traduction de A NY = celui qui vient A New York)

[modifier] Notes

  1. Max Gallo, Garibaldi, la force d'un destin, page 82
  2. Max Gallo, Garibaldi, la force d'un destin, page 89
  3. Garibaldi, dans ses « Mémoires », soutient que le pillage est dû à « la difficulté de maintenir une discipline qui empêche les désordres, les soldats anglo-français malgré les ordres rigoureux de leurs supérieurs, n'ont cessé de se délecter de voler dans les maisons et dans les rues. Les nôtres, ont suivi en grande partie le même exemple bien que nos officiers aient fait leur possible pour l'éviter. La répression du désordre occasionné était difficile, sachant que la ville de Colonia était bien fournie en provisions et particulièrement en liquides spiritueux qui augmentaient les appétits des vertueux pilleurs »
  4. « Durant deux jours les légionnaires pillèrent les maisons des familles et surtout celles ayant un commerce» cit. de Saldías, A. Historia de la Confederación Argentina. Buenos Aires: Eudeba, 1968
  5. Terme "Garibaldi" dans Petriella, D. y S. Sosa Matello. Diccionario biográfico ítalo-argentino. Buenos Aires: Asociación Dante Alighieri, 1976.
  6. McDonald, J.S. (October, 1958). "Some Socio-Economic Emigration Differentials in Rural Italy, 1902-1913". Economic Development and Cultural Change 7 (1): 55-72. ISSN 00130079.
  7. ab Cometti, Elizabeth (December, 1958). "Trends in Italian Emigration". The Western Political Quarterly 11 (4): 820-834. ISSN 00434078.
  8. Glazier, Ira (February, 1993). "Review of: The National Integration of Italian Return Migration: 1870-1929, by Dino Cinel, New York Cambridge U. Press, 1991". The American Historical Review 98 (1): 198-199. ISSN 00028762.
  9. ab Monticelli, Giuseppe Lucrezio (Summer, 1967). "Italian Emigration: Basic Characteristic and Trends with Special Reference to the Last Twenty Years.". International Migration Review 1 (3, Special issue, The Italian Experience in Emigration): 10-24. ISSN 01979183.
  10. Cannistraro, Philip V. and Gianfusto Rosoli (Winter, 1979). "Fascist Emigration Policy in the 1930s: an Interpretative Framework". International Migration Review 13 (4): 673-692. ISSN 01979183.
  11. (en)Statistiques de la population italienne
  12. Hatton. Cited from I. Ferenczi and W.F. Wilcox (1929). International Migrations, vol. 1, Statistics. New York: National Bureau of Economic Research.)
  13. Sori, Ercole (1999). Guida all'Italia Contemporanea, vol 4. Comportamenti Sociali e Cultura: "Demografia e Movimenti di Popolazione". Garzanti, 32-38. ISBN.
  14. Beaucoup d'Italiens du nord de la péninsule ont préféré la Suisse à l'Allemagne en raison du souvenir laissé par l'occupation allemande au nord de l'Italie pendant la seconde guerre mondiale
  15. abcd http://www.migranti.torino.it/Documenti%20%20PDF/italianial%20ster05.pdf données de 1996
  16. http://www.italplanet.it/interna.asp?sez=143&info=2344&ln=0
  17. http://factfinder.census.gov/servlet/DTTable?_bm=y&-geo_id=D&-ds_name=D&-_lang=en&-redoLog=false&-mt_name=ACS_2002_EST_G2000_PCT026
  18. (it)Alberto Giovannetti. L'America degli Italiani. Modena, Edizioni Paoline, 1975.
  19. Alessandro Allemano. I fatti di Aigues Mortes (Agosto 1983) e le loro ripercussioni in Monferrato. URL consultato il 16/12/2007.
  20. (it)Site sur l'émigration.
  21. (it)Gian Antonio Stella. Quando gli albanesi eravamo noi.

[modifier] Bibliographie

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens internes

[modifier] Liens externes

[modifier] Sources

  • (it) Cet article est partiellement ou en totalité issu d’une traduction de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Emigrazione italiana ».
  • (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu d’une traduction de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Italian diaspora  ».

Catégorie:Histoire de l'Italie



le 14 mars 2008 débute un nouveau procès à Parme

56 gli imputati, Calisto Tanzi L'EX PATRON DELLA PARMALAT �� L'imputato numero uno: è quello che rischia la condanna più pesante. Gianpiero Fiorani EX AD BANCA POPOLARE DI LODI �� Implicato nel casso Parmatour: versò centinaia di milioni di euro a Tanzi. Fausto Tonna EX DIRETTORE FINANZIARIO DELLA PARMALAT �� Ha ricostruito il crac in estenuanti interrogatori. Di Tanzi dice: «Decideva tutto lui». Luciano Silingardi EX PRESIDENTE CARIPARMA �� Amico da sempre di Tanzi, abbandonò la Parmalat poco prima del crac. Cesare Geronzi PRESIDENTE CONS. SORVEGLIANZA MEDIOBANCA �� Imputato per il caso Ciappazzi: dovrà rispondere anche di usura. Romano Bernardoni EX PRESIDENTE DI PARMATOUR �� Con altri sette è imputato sia per Parmalat che per Parmatour. Giovanni Tanzi VICEPRESIDENTE DELLA PARMALAT �� Il fratello minore dell'ex re del latte: secondo i pm sapeva tutto della truffa. Giovanni Bonici EX PRESIDENTE PARMALAT VENEZUELA �� A capo della «succursale» venezuelana si è sempre professato innocente. Domenico Barili EX DIRETTORE MARKETING �� A lungo vicino a Tanzi, venne poi messo da parte del cavaliere su consiglio di Tonna. Claudio Baratta PRESIDENTE DI HIT �� A capo del turismo, secondo i pm era a conoscenza delle distrazioni.



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