Colomiers

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Colomiers
Pays
drapeau de la France
     France
Région Midi-Pyrénées Midi-Pyrénées
Département Haute-Garonne Haute-Garonne
Arrondissement Arrondissement de Toulouse
Canton Canton de Toulouse-13
Code Insee 31149
Code postal 31770
Maire
Mandat en cours
Bernard Sicard
2008-2014
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Toulouse
Coordonnées
géographiques
43° 36′ 50″ Nord
         1° 20′ 12″ Est
/ 43.6138888889, 1.33666666667
Altitudes moyenne : 160 m
minimale : 145 m
maximale : 191 m
Superficie 2 083 ha = 20,83 km²
Population sans
doubles comptes
28 538 hab.
(1999)
Densité 1 370 hab./km²
Carte de localisation de Colomiers

Colomiers est une commune française, située dans le département de la Haute-Garonne et la région Midi-Pyrénées.

Deuxième commune pour le nombre d'habitants du département, et sixième de la région.

Ses habitants sont appelés les Columérins et Columérines.

Sommaire

[modifier] Blason

Blason : Écartelé : au premier d'azur à une tour d'argent, au deuxième d'azur au lion d'argent, au troisième de gueules au taureau furieux d'or, au quatrième de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or.

[modifier] Géographie

La commune de 2 083 ha s'étage sur deux terrasses de la Garonne (la seconde et la troisième, témoin des glaciations) : la partie la plus basse (environ 147 m) est limitrophe de de Toulouse à l'Est. La terrasse la plus élevée (un peu au dessus de 180 m) à l'Ouest, est traversée par la rivière Aussonnelle (qui fait frontière avec Pibrac) et son affluent le Bassac qui s'y encaissent, comme deux autres cours d'eau qui dévalent de la terrasse la plus élevée vers la plus basse : le Rival, (aujourd'hui busée) et, plus au Sud, le ruisseau du Cabirol. Le terrain argileux (de nombreuses tuileries s'y sont développées au cours des siècles, en particulier l'entreprise Gélis) est donc parsemé de galets, en général plat, mais marqué par les rebords de terrasse ou de rivière, parfois assez abrupts (8%).

L'urbanisation, quasi générale, lui permet d'être la deuxième ville de Haute-Garonne : située sur la RN124 et l'A624 dans la banlieue Ouest de Toulouse, accès par le périphérique de Toulouse sortie  sortie 29 .

Altitude : 180 m (calculée sur le parvis de l'Hôtel de ville - en bas des marches).

Ville fleurie : Image:Ville fleurie.svg Image:Ville fleurie.svg Image:Ville fleurie.svg

[modifier] Histoire

[modifier] Antiquité et Moyen Âge

Site occupé au Paléolithique, il est sur l'axe romain vers Auch, exploité par plusieurs villae à l'époque romaine. Celle de Gramont a été fouillée.

Le terroir et sa justice dépendent d'abord du comté de Toulouse. Pendant le départ du comte de Toulouse Raymond IV aux Croisades, le comte de Bordeaux Guillaume IX prend Toulouse et, pour avoir le soutien de l'abbaye de Saint-Sernin, donne en particulier la moitié de la justice à l'abbaye. Le terroir est nommé pour la première fois en 1071. Son nom fait sans doute référence à la présence de pigeonniers. Après des conflits entre l'abbaye et une famille locale qui avait usurpé le terroir, l'abbaye vend sa moitié de seigneurie à un bourgeois toulousain en 1200. La voie de Saint Jacques, (celle des pèlerins du Camino francés) passe toujours par le terroir, escaladant le long d'un ruisseau (le Rival) l'une des terrasses de la Garonne. Un hospice St Jacques semble avoir reçu les pèlerins.

Progressivement, un village se structure sur deux collines de part et d'autre du Rival. L'une, au Sud, porte le cimetière et l'église et l'autre, au Nord, un fort (cité et décrit en 1192) dont la garde est partagée entre les coseigneurs qui tiennent les tours, et les habitants. Ceux-ci reçoivent une charte de coutume en 1274 qui leur donne des représentants (quatre consuls nommés par les seigneurs) et définit une forêt communautaire le « bois de Sauvegarde». En 1313, la seigneurie est partagée entre le roi (successeur du comte de Toulouse) et une douzaine de co-seigneurs, le plus souvent des membres de la noblesse de robe capitulaire. Un juge et un notaire assure l'administration. Le terroir récolte du blé (56% en assolement biennal), et, sur les flancs des terrasses sont plantés en vignoble (10%). L'espace proche de l'Aussonnelle ou du Bassac reste en bois (10%) ou en landes et bruyère (25%). Les coseigneurs (la famille Rabastens et la famille Raspaud principalement) lotissent vers 1489 les rues proches de l'église et quittent les tours du fort pour s'installer dans les métairies qu'ils fortifient pendant les guerres de religion (l'armurier, Garroussal, Gramont, Falcou...). Ainsi, à la fin du Moyen Âge, les domaines titrés de Colomiers avec ses châteaux et ses colombiers acquièrent une vocation résidentielle et économique. Dans ces propriétés rurales proches de Toulouse, les colombiers symbolisent la richesse des divers capitouls de Toulouse qui recherchent le titre de co-seigneur de Colomiers, première marche vers une aristocratie terrienne. La paroisse construit au XIVe siècle un presbytère, un tinal pour les vins de la dîme et une église (dont le cœur conserve la clé de voûte).

[modifier] Période moderne

Entre 1500 et 1789, le village croît le long des rues qui se croisent sur la place publique (une auberge), sous le fort, auquel s'adosse la forge banale et la halle (actuellement place Firmin Pons). L'axe le plus fréquenté monte de Toulouse rue Rival, vers Pibrac et Auch par la rue du Prat (pré communal). L'autre vient du nord par la rue Couderc et va au presbytère et au cimetière par la rue de l'Église et la rue Gilet (croix de Saint-Gilles ?) à la fontaine des Chrestias et vers les Tricheries (place de la Bascule).

Dès 1500, il y a au moins 100 maisons soit, en 1536, 164 feux (foyers). En 1640, il y a plus de 150 maisons dans le village et 60 en dehors, soit 1 000 habitants vers 1650, 1 200 habitants avant la révolution, avec 350 constructions. La division foncière oppose le microparcelaire villageois, au bois de Sauvegarde qui permet quelques revenus communaux, et aux grands domaines des propriétaires ou coseigneurs (Goyrans, Alzon, de Rabastens, Raspaud du Perget...) ; plus de 50% du terroir est tenu par les Toulousains.

Le village est donc dominé par les familles coseigneuriales (en procès pour les préséances ou les droits de forge) et par leurs notaires (Cellery, Sigal). Les consuls sont choisis parmi les familles commerçantes ou paysannes. La vie paroissiale s'organise autour de deux confréries (1528/1546). Après l'effondrement de la vieille église en 1519, un clocher mur rebâti en 1557 s'effondre en 1571. Entre l'Isle-Jourdain (protestante), Pibrac (modéré) et Toulouse (ligueuse), les coseigneurs de Colomiers sont du parti catholique. Traversée par Catherine de Médicis en 1579, elle est ravagée par les protestants en 1591. Après la victoire d'Henri IV, la réorganisation politique et religieuse provoque des conflits : à la recherche de fonds et de fidèles le roi engage sa moitié de la seigneurie de Colomiers à un parlementaire toulousain fidèle (M. de Bousquet), d'où un long procès de préséance avec les Rabastens (1598/1618). Les travaux (oratoire en 1597, église vers 1610) créent des querelles entre l'abbaye, la paroisse et les consuls (1602, 1611). La communauté villageoise cherche à se dégager des obligations médiévales, contestant aussi les coseigneurs (1612/1614), l'engagiste et même le Roi sur les charges fiscales ou les réparations au fort, au clocher et l'usage du bois de Sauvegarde (1619).

Sous Louis XIII, s'effacent les structures médiévales : le fort encore réparé en 1614, est détruit en 1637. Le passage régulier des troupes royales, la peste, la lourdeur des impôts désorganisent le consulat et endettent la commune. Les conflit à propos de la dime ou des biens nobles lors de la rédaction du nouveau Compoix (1637) entraînent la division du bois de Colomiers (1641) entre les consuls et les coseigneurs. La gestion des communaux est rationalisée (limitant les droits d'usage)et finit même par l'aliénation des communaux entre 1664 et 1684, ce qui permet de sortir des dettes. Le village se réorganise alors (boucherie communale sous une halle confiée à un dénommé Collongues, réfection des rues, des ponts...).

Sous Louis XIV, les anciennes familles nobles, qui avaient gardé un certain rôle -pour protéger les habitants du passage des troupes- sont contestés par les consuls. Endettés par les procès, elles fragmentent leur part de seigneurie en les vcendant à de nouvelles familles bourgeoises toulousaines (Franc, Cominihian, Josse Sede, Lespinasse du Perget...) si bien qu'en 1725, il y a 21 coseigneurs (dont même des artisans columérins). En revanche, il n'y a plus de notaire ni de juge. Un de ces nouveau coseigneurs achète la moitié royale de la seigneurie, dans des conditions contestables et il s'ensuit un procès à multiple rebondissement entre de Vignes et les autres coseigneurs de 1715 à 1740. Cette affaire marque les esprits par l'esprit procédurier et arrogant du seigneur local.

Décimée par les hivers 1693 et 1708/1714, la paroisse, sous administrée par des consuls sans moyens, bloqués de 1741 à 1754, se remet très lentement faute de moyens propres, et à cause de l'érosion des terres ravinées depuis leur défrichement: les consuls demandent avec difficulté des réparations à l'église, aux fontaines, à la cure, au porche de la halle bouchère. L'endettement reprend et la crise frumentaire de 1752 replonge le village dans la misère.

Toutefois, une reprise est sensible vers 1755/1778 grâce à la croissance de la vigne (25% des terres), l'arrivée d'équipes d'artisans ou de voituriers dynamiques au consulat (Dupoix) qui, plus cultivés se distinguent de la classe pauvre des brassiers, incultes et à la merci de la misère malgré leur micro lopin.

[modifier] La Révolution

À partir de 1781, le coût des travaux dans le village (nouveau clocher, demande de pavé, d'une maison commune) opposent les coseigneurs toulousains à une équipe de consuls dynamiques (Collongues, par exemple) soutenue par les plus lettrés (Catenac, le notaire ou Bacqué) qui veulent moderniser un village désormais traversé par la route royale. Le poids du remboursement de ces travaux pèserait sur la taille (impôt) que paient les propriétaires (peu de biens nobles en sont exemptés). Cela provoque des querelles de préséance ou de nomination entre les consuls et M. de Vignes fils, d'une part, et entre les villageois et le prêtre qui exige la réfection du presbytère: la tension pré-révolutionnaire est aggravée par la crise qui touche le village (épizootie en 1778, épidémies et surtout mauvaises récoltes en 1788/1789).

Un cahier de doléances, puis l'élection de Dupoix comme premier maire Révolutionnaire montre une commune d'abord unie et favorable à la révolution. Mais très vite, les anciens coseigneurs (De Vignes et un nouveau venu M de Lasplanes, le plus riche propriétaire) s'opposent à une équipe plus révolutionnaire (les deux maires suivants sont Collongues et Nourric artisans proches des jacobins) au sujet des biens d'église, du droit de chasse et surtout du serment du prêtre jureur (Saint Amans). Les contre révolutionnaires s'appuient sur l'opposition (notamment des Columérines) à la politique religieuse et au partage des communaux et sur le détachements des modérés (Dupoix, Baqué, Catenac) qui ne trouvent pas leur compte dans l'emballement politique et se rapprochent des fédéralistes. De nombreuses déprédations (au bois de sauvegarde, à l'église) montrent les tensions que les réformes provoquent. Pendant la Terreur, les nobles sont incarcérés et la commune est suspectée d'être un "foyer d'aristocratie" par le représentant en mission qui la menace de déportation. Très habilement, les fédéralistes en profitent pour faire arrêter le conseil municipal, pourtant favorable aux montagnards, en les accusant d'avoir travaillé le dimanche (ce qui est interdit avec le calendrier révolutionnaire). Dès lors, les soucis du quotidien, des réquisitions de la peur de la guerre l'emportent sur les confusions politiques. Le monarchiste M. de Lasplanes, libéré à la fin de la Terreur, habile politique s'appuyant sur le bureau de bienfaisance parvient à être élu maire, en l'an V. Lors de l'émeute royaliste de l'an VII, Colomiers est prise par les royalistes (dont plusieurs partisans de Lasplanes). Les républicains, enfermés dans l'église, ne sont libérés que par l'intervention du général républicain qui tire au canon sur le clocher.

[modifier] Du XIXe siècle à la ville nouvelle

À l'époque napoléonienne, Lasplanes finit par se rallier au pouvoir, ce qui lui vaut d'être nommé maire d'un village qui entame une modernisation agricole (avec la généralisation de l'assolement triennal). Notable légitimiste, proche de Villèle, il y reçoit sans doute Wellington lors de la bataille de Toulouse en 1814.

L'arrivée des soeurs en 1833, puis la guerre scolaire marquent politiquement la communauté.

Dans les années 1960, le village se mue progressivement en ville. Signe particulier : jusqu'en 2003, les nombreux ronds points de la ville avaient la priorité à droite puisque, disait Alex Raymond, ancien maire, cette ville avait été conçue ainsi et que « ça marchait depuis bien avant la loi instituant la priorité à gauche sur les rond-points ». L'utilisation exclusive des rond-points à Colomiers fait que la ville ne compte pas un seul feu tricolore fixe (utilisé uniquement pendant d'éventuels travaux).

Sous l'impulsion du maire Bernard Sicard, l'harmonisation des ronds points de la ville est entrée dans les faits et pour tout dire Colomiers est une ville agréable avec tous ses rond-points fleuris... Colomiers a obtenu 3 fleurs au « tableau des villes fleuries de France ». Autres spécificités de la ville de Colomiers, les transports en commun y sont gratuits, ainsi que les parkings.

[modifier] Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
mars 2001 2014 Bernard Sicard PS Conseiller général du Canton de Toulouse-13
1966 2001 Alex Raymond PS Député-maire
1944 1966 Eugène Montel SFIO Président du Conseil général et député
1936 1944 Émile Calvet Modéré
1905 1936 Étienne Colongues radical
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Commune faisant partie de la cinquième circonscription de la Haute-Garonne. Elle accueille un conseil municipal des jeunes.

[modifier] Démographie

[modifier] Évolutions

Évolution démographique
1936 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007
1 860 3 195 4 607 10 584 20 126 23 326 26 979 28 538 35 127 38 000 env.
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Au recensement de 1999, les 28 538 habitants (13 760 hommes et 14 778 femmes) se décomposent suivant les tranches d'âges suivantes :

26,6 % de moins de 20 ans
58,7 % de 20 à 59 ans
9,1 % de 60 à 74 ans
5,6 % de 75 ans et plus

[modifier] Quartiers

Seycheron, Gers, En Jacca, La Naspe, le Perget, la Crabe, Le Val d'Aran...

[modifier] Économie

Superficie : 2 083 ha dont 41 % consacrés à l’habitat (35% de logements sociaux), 27 % dédiés aux zones d’activités, 22% réservés aux équipements sportifs et de loisirs, 10% de réserve foncière.

L'économie est principalement liée à l'industrie aéronautique et au secteur tertiaire à travers des zones d'activités : Zone aéronautique au nord-est (EADS-Airbus), ZI En Jacca (stockage, logistique), ZAC du Perget (commerces et services), en pleine expansion à partir de 2005 et ZAC de Ramassiers, zone en développement à partir de 2007.

Colomiers accueille plus de 1 400 entreprises avec près de 20 000 emplois.

[modifier] Lieux et monuments

La mairie de Colomiers
La mairie de Colomiers
  • Église Sainte-Radegonde
  • Villa romaine de Gramont
  • Espace nautique Jean Vauchère
  • Auditorium Jean Cayrou (concerts...)
  • Ferme du Perget et sa façade avec son décor paysager et naturel
  • Château du Cabirol visible derrière les bâtiments de la clinique du même nom, avenue Étienne Collongues
  • Porte du château des Raspaud à proximité de la place Firmin Pons
  • Oratoire allée de Naurouze réalisé par les frères Francino
  • Château des Ramassiers au cœur d'une zone protégée de l'urbanisation
  • Musée des Ailes Anciennes
  • Paradise Park, un parc d'attractions des années 1990, aujourd'hui fermé

[modifier] Personnalités liées à la commune

  • Jean-Luc Sadourny : Rugbyman, arrière de l'US Colomiers, arrière de l'Équipe de France de rugby à XV et resté fidèle à son club de toujours malgré les multiples sollicitations.
  • François Mitterrand : Président de la République, il appréciait l'ancien maire Alex Raymond. Il séjourna à de nombreuses reprises dans la ville et avait ses habitudes à la pension « Journey end » 16 chemin d'En Sigal aujourd'hui devenue maison d'habitation.
  • Jean-Claude Skrela : rugbyman des années 1980, international et aujourd'hui directeur technique national de la Fédération française de rugby. Père de David Skrela, actuel international au sein du XV de France.
  • Dominique Arribagé : Footballeur professionnel formé au TFC. Il est l'héritier d'une grande lignée de footballeurs columérins à la carrière moindre mais aux grandes qualités tels Michel Gutierrez, né le 18 novembre 1963 à Toulouse, sélectionné en équipe de France durant 4 années consécutives (14,15,16 et 17 ans) Puppo, Coumel, Regimbeau formés au club et qui ont fait dans les années 80/90 le bonheur de clubs régionaux plus huppés.

[modifier] Événements

  • Gala de l'USC natation synchronisée fin juin à l'Espace nautique Jean Vauchère
  • Salon de la bande dessinée en octobre : [1]
  • Carnaval de Colomiers chaque année (1er samedi de mars)
  • Battage à l'ancienne + brocante (1er samedi et dimanche de septembre)
  • Boulevards de Colomiers (course pédestre de 10 km) le premier dimanche de septembre

[modifier] Associations

  • Siège national de l'Association Retina France « Vaincre les maladies de la vue », reconnue d'utilité publique, 21 000 membres au 14 février 2007 [2]
  • Centre de ressources sur la non-violence de Midi-Pyrénées (association loi 1901) 11, allée de Guérande (à proximité du Lycée international) 31770 Colomiers Tél. : 05 61 78 66 80
  • Ailes anciennes (collection d'avions anciens) dans la patrie de l'aéronautique [3]

[modifier] Sports

Ville sportive avec des clubs formateurs et recruteurs dans la région (natation synchronisée, rugby, football, basket-ball, ...).

  • La section Natation Synchronisée de l'US Colomiers Omnisports a été créé en 1987 avec 30 licenciées. Elle n'a cessé de grandir et de récolter les succès avec aujourd’hui 210 nageuses. Le club occupe la 9e place au classement national (2007) et la 2e place du Sud-Ouest.
  • L'US Colomiers Basket est le club le plus important de Haute-Garonne avec en particulier une équipe féminine en Nationale féminine 2 (NF2) et une école de basket-ball et de mini-basket.
  • L'école de danse modern jazz.

[modifier] En savoir plus

Le livre Colomiers des origines à 1940 par la Société d'archéologie et d'histoire locale de Colomiers

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens externes