Bas-Caraquet

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47° 52′ 20″ N 64° 48′ 20″ W / 47.872144, -64.805603

Bas-Caraquet

Bas-Caraquet, photo prise du Parc des fondateurs. La marina est visible à gauche.
Bas-Caraquet, photo prise du Parc des fondateurs. La marina est visible à gauche.

   
Administration
Pays
Province
Canada Canada
Nouveau-Brunswick Nouveau-Brunswick
Région Péninsule Acadienne
Comté ou équivalent Comté de Gloucester
Statut municipal Village
Arrondissements
Fondateur
Date de fondation

Constitution 9 novembre 1966
Maire
Mandat en cours
Agnès Doiron
2008-2012
Site officiel de Bas-Caraquet
Démographie
Population 1 471 hab. (2006)
Densité 47,5 hab./km2
Gentilé
Langue(s) officielle(s) Français (acadien)
Géographie
Altitudes minimale : 0 m.
maximale : 30 m.
Superficie 31,00 km2
Fuseau horaire UTC-4
Indicatif +1-506
Code géographique 13 15027
Latitude
Longitude
47° 52′ 20″ Nord
         64° 48′ 20″ Ouest
/ 47.872144, -64.805603
Localisation de Bas-Caraquet
Lieux d’intérêts

Bas-Caraquet est un village portuaire canadien du comté de Gloucester, au nord-est du Nouveau-Brunswick. Bas-Caraquet est en quelque sorte une banlieue de sa voisine Caraquet, mais possède sa propre économie et une histoire aussi ancienne.

Sommaire

[modifier] Géographie

Sauf indication contraire, les informations mentionnées dans cette partie proviennent de la source suivante [1]

[modifier] Situation

Le village de Bas-Caraquet est situé sur des basses terres bordées au nord par la baie des Chaleurs et au sud par la baie Saint-Simon. Il est limitrophe de Caraquet à l'ouest et de Pokesudie à l'est. Il fait face à l'île de Caraquet. La péninsule gaspésienne, située à une trentaine de kilomètres au nord, est visible du village et on peut distinguer les montagnes et même les maisons.

[modifier] Topographie

Le village de Bas-Caraquet est situé dans les basse-terres des Maritimes. Le terrain est généralement plat et légèrement incliné vers l'est, sauf à l'ouest où le terrain est plus ondulé. Un plateau d'une altitude de trente mètres se trouve au sud-est du village et ayant une pente de 9% à 16%. Dans le village, les pentes varient entre 3% et 8%. L'altitude varie entre 0 et 8 mètres, sauf dans la partie ouest où elle varie de 8 à 15 mètres. Il y a de petites falaises à l'ouest, soit entre les deux ports. Entre le village et Pokesudie se trouve l'Islet, ou Petite-île. Celle-ci a une superficie de 18 acres et est entourée de marécage.

[modifier] Hydrographie

Icône de détail Articles détaillés : baie des Chaleurs et baie Saint-Simon.

En raison de sa situation sur une petite péninsule, le village ne possède pas de bassin hydrographique important. Dans le sens horaire, à partir du nord-ouest, on retrouve le ruisseau Isabelle, le ruisseau à Osias et son affluent le ruisseau à Sivret, le ruisseau de la Chaloupe, le ruisseau à Canard, le ruisseau creux et le ruisseau à Chenard, à ne pas confondre avec un autre du même nom coulant à Caraquet. Les trois premiers se déversent dans la baie des Chaleurs, tandis que les autres le font dans la baie Saint-Simon. Il y a aussi quelques autres ruisseau de faible importance. Il y a quelques étangs dans les terres.

Le village est séparé de Pokesudie par la Petite Passe. Dans ce détroit se trouve une autre île plus petite appartenant au village, la Petite Île.

Bas-Caraquet compte également plusieurs grandes tourbières, qui sont elles aussi à l'extérieur des quartiers habités. Il y a finalement plusieurs marais côtiers, dont les principal sont près du centre du village, au ruisseau à Osias et l'autre est dans la Petite Passe.

[modifier] Géologie

L'origine du sous-sol de Caraquet date de l'ère Pennsylvanien-Triassique. les dépôts de surface sont probablement d'origine marine. La roche mère consiste en grande partie de roches sédimentaires, soit du grès, du schiste et des conglomérats qui sont souvent très fracturés. Une grande partie de l'eau souterraine provient de ces failles à l'intérieur du socle rocheux. Le sol est aussi recouvert d'une couverture de plaine: dépôt de charbon, sable, silt et gravier remanié au dessus d'une couche de tilt d'ablation de texture argileuse ou de dépôt marin, et ce , sur une assise rocheuse composée de grès fissuré d'une épaisseur de 0,5 à 3 mètres.

[modifier] Climat

Le village de Bas-Caraquet est situé à la limite du climat maritime, dû à la présence de la baie des Chaleurs et du Golfe du Saint-Laurent. Les hivers sont plus doux que dans le reste du pays et les étés y sont plus frais. La température moyenne pour le mois de janvier est de -10,9 °C et de 17 °C pour le mois d'août. Le taux d'humidité relatif est de 76 % pour le mois de janvier et de 72 % pour le mois d'août. La moyenne annuelle des précipitations est d'environ 960 mm, un peu sous la moyenne provinciale. Les chutes de neige sont d'environ 300 cm par hiver. Le littoral est exposé à de forts vents, qui endommagent les arbres situés près de la côte.

Données météorologiques de Bas-Caraquet, de 1994 à 2006 [2].
Mois Jan Fév Mar Avr Mai Jui Jui Aoû Sep Oct Nov Déc Année
Températures minimales (°C) -12,6 -12,7 -7,2 -1,3 4,6 10,7 15,0 14,3 10,6 4,7 -0,6 -6,5 1,6
Températures maximales (°C) -5,2 -3,9 0,6 5,8 13,0 19,4 22,0 21,5 17,5 10,7 4,7 -0,6 8,8
Températures moyennes (°C) -8,9 -8,6 -3,3 2,5 9,3 15,8 19,4 18,8 14,7 8,3 2,3 -3,6 5,6
Pluviométrie[3] (mm) 31,4 49,3 64,6 63,2 85,5 61,3 71,8 66,8 73,2 95,6 93,9 74,6 900,5

[modifier] Faune et flore

Bas-Caraquet est couvert à 50% de forêt.

[modifier] Quartiers

Au nord-ouest se trouve un des deux principaux quartiers. Il est la continuation du quartier LeBouthillier de Caraquet, quartier aussi appelé Middle Caraquet. On y retrouve les deux ports et le parc industriel. Quelques centaines de mètres plus loin à l'est et séparé par un marécage se trouve le bourg de Bas-Caraquet, un quartier centré sur l'église. On y trouve les institutions et quelques commerces. Environ trois kilomètres au sud se trouve le hameau de Morais.

[modifier] Histoire

Le village est nommé d'après la baie de Caraquet. Deux théories tentent d'expliquer l'origine de son nom. Ce serait un mot en langue micmaque qui signifie « la rencontre de deux rivières », en référence à la rivière du Nord et la rivière Caraquet. Selon la deuxième, le nom ferait référence à un type de bateau, la caraque[4]. Les Micmacs appellent la ville Calaket. Le gouverneur Nicolas Denys est le premier à faire mention du nom Caraquet, en 1672, dans son livre Description géographique et historique des costes de l'Amérique septentrionale. Il y faisait une courte description des Îles de Tousquet, qui sont les îles de Caraquet et Pokesudie. Ce nom est une erreur parce qu'elles figuraient sur sa carte comme Îles de Caraquet. Les différentes orthographes utilisées au fil des années incluent Karaquet, Quaraqu, Carraquet et Caraquette[5].

Les Vikings seraient les premiers européens à avoir visité la région, à partir du XIe siècle[6]. En effet, des coquilles de noyer ont été découvertes à L'Anse aux Meadows. Il n'y a pas de noyer à Terre-Neuve, et l'endroit le plus près où cet arbre pousse est sur la côte est du Canada, incluant le Nouveau-Brunswick.

La région commença à être visitée par des pêcheurs Basques, Normands et Bretons dès la fin du XIIIe siècle[7].

Jacques Cartier jeta l'ancre dans la région de Miscou en juillet 1534 et explora la région pendant quelques jours[8].

En 1619, l'Association des marchands de Bordeaux fonda un poste de pêche à Miscou. Des jésuites vinrent ensuite pour évangéliser les amérindiens de la région. Nicolas Denys faisait du commerce sur la côte de la baie des Chaleurs et du golfe du Saint-Laurent, incluant à Caraquet. L'association fut ensuite dissoute, les jésuites rappelés en France et Nicolas Denys forcé de quitter l'île pour Nipisiguit[9].

Vers 1724, le Français Gabriel Giraud dit St-Jean est probablement le premier colon à s'établir en permanence dans la région. Il serait en fait arrivé vers les années 1710 et on sait qu'il vivait à Miramichi en 1727. Il serait né en Bretagne. Il vivait sur la rive est du ruisseau Saint-Jean (aujourd'hui Isabelle), à trois quarts de lieues de la route, à la limite entre Caraquet et Bas-Caraquet. Il se maria avec une Micmac et ils eurent au moins deux enfants, Angélique et Jean-Baptiste, ce dernier se mariant lui aussi à une Micmac. Leur nom a disparu mais ils ont quelques descendants, principalement en Gaspésie[5].

Les premières années de l'histoire de Caraquet sont intimement liées à la Guerre de Sept Ans. Pour échapper à la déportation, des centaines d'Acadiens se réfugièrent à partir de l'été 1756 au Camp d'Espérance à l'Île Boishébert, dans le fleuve Miramichi. Ils y passèrent un hiver terrible et environ 2000 personnes moururent de la faim et de maladies . Au printemps 1757, une partie de la population décida de s'établir sur le littoral sud de la baie des Chaleurs, entre Népisiguit et Néguac. Deux villages furent fondés sur l'actuel territoire de Bas-Caraquet. L'un étant l'un des trois hameaux de Caraquet, près de chez Gabriel Giraud et l'autre village, qui s'appelait Chipagan, à ne pas confondre avec Shippagan, près de l'actuel hameau de Morais.

Suite à la bataille de la Ristigouche, le capitaine Saint-Simon se vit confier le commandement d'un bateau corsaire avec 47 hommes d'équipage Normands. En octobre, ils prirent en chasse un bateau anglais, qu'ils capturèrent. Ensuite, une frégate anglaise les poursuivit. Ils se réfugièrent dans la baie de Saint-Simon pour échaper à la capture. Ils sabordèrent leur bateau au lieu-dit de La Chaloupe, près du hameau de Morais[10]. Ne pouvant retourner à Restigouche, ils passèrent l'hiver dans la région. Au printemps 1761, Saint-Simon retourna en France, tandis qu'une partie de son équipage s'établit à Caraquet et Bas-caraquet. Certains fondèrent plus tard le village de Saint-Simon[5].

En juillet et août 1761, Pierre Du Calvet effectua un recensement de la région pour le compte du gouverneur Murray. D'après le recensement, 26 personnes et 5 familles vivaient à Chipagan. À la suite de ce recensement et en représailles de la bataille, le capitaine Roderick MacKenzie captura la plupart des Acadiens de la région, entre Nipisiguit (Bathurst) et Chipagan[5]. Sur les 43 habitants et 11 familles qui vivaient à Chipagan lors du raid, seuelemnt six familles furent laissées sur place. Les autres seront emprisonnés à Halifax (sur l'île George) et au Fort Cumberland. Ceux qui échappèrent à ces attaques s'établirent en d'autres endroits de la baie des Chaleurs, comme à Bonaventure ou à Miscou, au ruisseau des Landry[5]. N'étant pas acadiens, Gabriel Giraud et sa famille n'ont probablement pas été déportés. Cela ferait de Caraquet et Bas-Caraquet un des établissement permanent les plus anciens du Nouveau-Brunswick et de l'est du Canada[5].

Le marchand Anglais Gamaliel Smethurst relatera plus tard ces évènements. Il fut témoin de la déportation de Nipisiguit et ensuite abandonné par son capitaine. Il se rendit à Caraquet avec l'aide de trois Français s'étant cachés dans le bois, probablement des membres de l'équipage de Saint-Simon. Après avoir marchandé, Gabriel Giraud lui donna un canot et l'aide des Micmacs pour qu'il puisse se rendre au Fort Cumberland[5].

Le presbytère fut construit en 1887 et la chapelle, qui n'existe plus, fut construite en 1890. Le premier curé, Joseph Trudel, fit construire un deuxième presbytère en 1898. L'église Saint-Paul fut construite entre 1904 et 1908, l'église Saint-Pierre-aux-Liens étant trop petite pour accueillir la population grandissante de la paroisse. La coopérative de Bas-Caraquet ouvra en 1945 mais ferma ses portes en 1954. Depuis 1953, la Congrégation des Filles de Marie-de-l'Assomption ont un couvent au village. Le parc industriel fut inauguré dans les années 1960. En 1966, le village de Bas-Caraquet fut incorporé en unissant les hameaux et quartiers de Middle-Caraquet, Bas-Caraquet et Morais. En 1978, un entrepôt frigorifique fut construit dans le parc industriel, malgré la protestation des Caraquetois. Il brûla mystérieusement peu après son ouverture et fut reconstruit dans le port de Caraquet. En 1982: ouverture de la marina.

[modifier] Démographie

Évolution démographique
1760 1761 1986 1991 1996 2001 2006
26 43 1913 1849 1775 1689 1471

[modifier] Administration

Le conseil municipal est formé d'une mairesse est Agnès Doiron, de deux conseillers généraux et de 5 conseilelrs de quartiers. La mairesse à été élue lors des élections 2008 face au maire sortant. Tous les conseillers ont été élus par acclamation, sauf dans le quartier #3 ou des élections complémentaires seront nécessaire, René friolet et Jean-Marie Gionet ayant obtenu chacun 123 voix[11].

mandat fonctions nom(s)
2008 - 2012 mairesse Agnès Doiron
conseillers généraux Roger R. Chiasson, Marcellin Marcel Thériault
conseillers de quartier Cyrénius Doiron (#1), Sylvio Lanteigne (#2), Daniel Gionet (#4) et Michel R. Gionet (#4)


Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
2008 Agnès Doiron
2001 2008 Jean Lanteigne
1995 2001 Gaston Moore
1995 Philip Boucher

[modifier] Économie

L'économie de Bas-Caraquet est centrée sur la pêche et la construction navale. Le village possède en effet un chantier naval et plusieurs industries reliées. Comme dans le reste de la Péninsule acadienne, plusieurs habitants sont pêcheurs.

Dans le parc industriel se trouve, entre autres, l'usine Ovatek. Cette entreprise construit une capsule de sauvetage pour bateaux.

[modifier] Infrastructures et services

L'école locale, L'Escale des jeunes, accueille les élèves de la maternelle à la 8e année. Les autres élèves doivent poursuivre leurs études à la Polyvalente Louis-Mailloux de Caraquet. Bas-Caraquet possède une bibliothèque publique et un bureau de poste.

Le village possède également deux ports. L'un est une marina et l'autre comporte un chantier naval.

La principale route du village est la route 145. Un nouveau chemin de fer, l'Acadian Railway, sera probablement construit dans la région et les travaux commenceront au début 2008[12]. Cela est encore à l'état de rumeurs, mais il y aurait une extension de construite vers le port, où des barges se rendrait vers Lamèque. Il y en fait une importante piste qui suit le tracé de l'ancien chemin de fer et qui parcourt toute la région[13].

Les gens de Bas-Caraquet se déplacaient autrefois en calèche ou en bateau. Ensuite vint le le train, peu à peu remplacé par l'autobus. Ces moyens de transports ayant disparu, le seul moyen de se déplacer sur de longues distances est l'automobile, rendant Bas-Caraquet relativement difficile d'accès. La gare routière et la gare de Bathurst sont situés 80 km à l'ouest. L'aéroport régional de Bathurst est situé quant à lui à 85 km et l'aéroport international du Grand Moncton est à 270 km au sud. Les gens ont souvent à se rendre à Montréal (900km) pour prendre l'avion.

On parle aussi depuis des décénnies de construire un pont entre Morais et Shippagan, ce qui faciliterait le transport vers cette ville, Lamèque et Miscou.

[modifier] Culture

Le patrimoine architectural de Bas-Caraquet a en grande partie été démoli, mais il reste toujours l'église Saint-Paul.

C'est un édifice de style néogothique mesurant 53 mètres de long par 18 mètres de large. Elle fut construite entre 1902 et 1908 par James Howell de Bathurst, selon les plans de Nazaire Dugas. Les paroissiens n'ayant pas beaucoup d'argent, ils allèrent chercher la pierre eux-même en bateau ou en traîneau, à Caraquet et dans les Caps. L'extérieur est fait en pierres taillées, et sciées aux coins. La construction de l'église diffère des autres de la région, et elle etait en fait une des deux seules au pays fait de cette façon à l'époque. La fondation est en pierres au lien d'en ciment. Les murs sont fait d'une charpente de bois, suivi des murs extérieurs de pierres, renforcis par de s pillastres de pierre. Le vide est rempli de gravier et de ciment. Des travaux majeurs ont été effectués en 1988 pour solidifier la structure. L'église mesure 46 mètres de haut. Au dessus de la porte d'entrée se trouve une rosace. En haut se trouve un clocher octogonal argenté. Les vitraux furent installés entre 1912 et 1916. Au nombre de 27, ils furent fabriqué par Henri Perdriau, de Montréal. Sur les vitraux figurent Saint Michel, Sainte Anne, Saint Joachim, Saint Jean Eudes, Saint Louis de France, Saint Dominique, Sainte Rose de Lima, Saint Martin, Saint François Xavier, Saint André, Saint Luc, Saint Jean Baptiste et Saint Jean l'évangéliste. L'orgue de l'église fut acheté en 1996 de l'abbaye Saint-Benoit-du-Lac, au Québec. Il fut construit en 1962.

[modifier] Municipalités environnantes

île de Caraquet
baie de Caraquet
île de Caraquet
baie des Chaleurs
baie des Chaleurs, Pokesudie
Caraquet N Pokesudie
baie Saint-Simon, Pointe-Brûlée, Shippagan
O    Bas-Caraquet    E
S
Caraquet, Paroisse de Caraquet baie Saint-Simon
Sait-Simon, Île Munro
baie Saint-Simon
Haut-Shippagan
Enclave:

[modifier] Notes et références de l'article

  1. (fr) Étude de Bas-Caraquet par la CAPA [pdf]
  2. (fr) Relevés météorologiques de Bas-Caraquet, Nouveau-Brunswick, de 1994 à 2006 ([1])
  3. Pluie et équivalent en eau de la neige.
  4. (en) "Caraquet." Encyclopædia Britannica. 2007. Encyclopædia Britannica Online. 3 août 2007 <http://www.britannica.com/eb/article-9020221>.
  5. abcdefg (en) William Francis Ganong, The history of Caraquet and Pokemouche, New Brunswick Museum, Saint-Jean, 1948.
  6. (en)(no) Mentionné sur l'article Vinland de la Wikipédia anglophone. Cette information semble provenir du livre The Norse Atlantic Sagas, par Gwyn Jones (À vérifier). D'après un article du magazine Popular Science (mai 2001), l'anthropologiste norvégien Thor Heyerdahl aurait écrit en 2000 un livre sur une recherche, basée sur les sagas Viking et les archives du Vatican, qui prouverait que la population Viking en Amérique du Nord aurait atteint jusqu'à 25 000 personnes et qu'ils y seraient restés pendant au moins un siècle. Ce livre, Ingen Grenser, semble ne pas avoir été traduit du norvégien.
  7. (fr) Donat Robichaud, Le Grand Shippagan, 1976. p.33-37
  8. (fr) Lacoursière, Jacques, Jean Provencher et Denois Vaugeois (2000). Canada-Québec 1534-2000 Québec : Septentrion. (ISBN 2-89448-156-X) pp. 24-25
  9. (fr) Corinne Albert-Blanchard, Caraquet, Quelques bribes de son histoire, 1967.
  10. (fr) J. Antonin Friolet, Caraquet, Village au Soleil, chez l'auteur, Fredericton, 1978. pp. 17-29
  11. (fr) ?lections NB - Résultats non-officiels des élections municipales
  12. (en) TRAINS Magazine - New freight railroad proposed for New Brunswick's Acadian Peninsula - 14 septembre 2007 Consulté le 25 septembre 2007
  13. (fr) Conseil sentier Nouveau-Brunswick Inc. Consulté le 10 septembre 2007.

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens externes