Discuter:Yvon Deschamps

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sommaire

[modifier] Biographie

[modifier] Les premiers pas

Je crois que Deschamps n'est pas à Saint-Henri, bien qu'il y ait passé toute son enfance. À bien y penser, ça me permettrait de ramener le lieu de naissance dans la description initiale, et dire qu'il a grandi à St-H dans le texte. Hmm...

[modifier] L'Osstidcho

Y'a un flou autour de la période immédiatement après l'Osstidcho, du moins en ce qui concerne les détails. (Même sur la question de son premier spectacle solo on a deux infos différentes, alors faut pas être surpris...)

  • il a donné 63 spectacles en 21 jours, dont 5 spectacles le samedi. Il a établi un record absolu à la salle Maisonneuve de la Place des Arts et donné plus de 500 représentations.
  • Premier album : «Les unions qu'ossa donne?».
  • Spectacle à la Place des Arts des Nations avec Louise Forestier (février).


[modifier] Départ et retour

J'ai lu une mention de 120 épisodes pour CTYvon, ce qui me semble un peu élevé. (Et était-ce CTYvon ou CTYVON, déjà?)

Les deux dernières mentions ne fittent juste pas avec le reste -- j'aimerais bien terminer avec Comment ça, 2000, et possiblement le coffret DVD. Une section "le reste" est probablement la meilleure solution, mais où la placer pour ne pas qu'elle ait l'air dompée là?

[modifier] Le reste

Animation des galas de l'ADISQ. En quelles années? Ben, ca dépend à qui on demande... L'un dit 80-83 et 93-96, l'autre dit 88 et 94-96.

Animation des galas Juste pour rire. On dit 94-96, mais peut-on s'y fier? :(

Reçoit un Félix Hommage à l'ADISQ en 1987

Achat de l'hotel National à Saint-Jean?

Participation au Bye-Bye 96

Épouse Judi Richards le 6 novembre 1971; ils se séparent en 1972 pendant trois ans et demi. Ils auront trois enfants: Annie (janvier 1978), Karine (1980) et Sara (1986).

Sur [1], Annie signe également pour "Lucas, Rodrigo et Antoine". Qui sont-ils?

Implication dans Le Chaînon

[modifier] Style

La section est beaucoup trop grosse à mon goût -- et dire qu'elle est incomplète en plus! Je pense qu'en créant une section dédiée à des monologues particuliers, on pourrait sortir, en tout ou en partie, Les unions, Nigger Black et L'intolérance, ce qui allégerait le texte.

  • Mort du personnage en 1973

[modifier] Influence

« Il y a Yvon Deschamps et les autres » dira une journaliste du Québec. [2] J'aime bien cette phrase, mais sans attribution, c'est bien trop vague pour être publié... :(

[modifier] Discographie

Date/emplacement de l'enregistrement des albums:

  • Les unions, qu'ossa donne (1968)
  • Le p'tit Jésus / Le foetus (Patriote)
  • Cable TV (idem)
  • On va s'en sortir (Saint-Denis, avril 1972)
  • La sexualité (idem)
  • La libération de la femme (Patriote, juillet 1973)
  • L'histoire sainte (Place des Arts, 1975)
  • Au Théâtre Maisonneuve (PdA, 1977)
  • Au Manoir Rouville-Campbell (Manoir (duh!))
  • Comment ça, 2000... 2001... 2002? (Corona, 2002)


[modifier] Liens externes

  • [3] Un article qui contient certains détails que j'ignorais (et d'autres qui contredisent ce que je savais déjà -- soupir). Semble disparu, mais Google en a encore une copie.

[modifier] Autres

Peut-être une liste des monologues les plus importants? Me viennent en tête:

  • Les unions
  • Nigger Black
  • Pépère
  • L'intolérance
  • Le monologue à répondre
  • La fierté d'être Québécois
  • Dans ma cour
  • L'histoire du Canada


[modifier] L'affaire Provigo

J'aimerais faire mention de cette affaire, mais la seule référence que j'ai trouvée ne brille pas par son impartialité...

En 1998, la compagnie Provigo inclut le CD qui contient ce monologue (Nigger Black) dans un ensemble promotionnel. Un résident de Pierrefonds, un type tout juste arrivé de Toronto qui ne parle pas un traître mot de français, met la main sur une copie du CD (qu'il n'aurait sûrement pas acheté si ce n'était pas de la promotion). Les deux seuls mots qu'il reconnaît sur l'emballage sont « nigger » et « black ». Notre pauvre monsieur torontois, outré, contacte alors le journal montréalais The Gazette et c'est ainsi que part le bal.
Le journal anglophone publie son scandale en première page: « Store selling racist tape » (magasin vend album raciste). La communauté anglophone (pour qui Yvon Deschamps est un parfait inconnu) s'indigne, la Coalition des Noirs du Québec saute sur l'occasion en accusant Provigo des pires machinations. Paniquée, la direction du magasin retire l'album de ses étagères. [4]