Navarrenx

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Navarrenx
Carte de localisation de Navarrenx
Pays France France
Région Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Arrondissement d'Oloron-Sainte-Marie
Canton Canton de Navarrenx
(chef-lieu)
Code Insee 64416
Code postal 64190
Maire
Mandat en cours
Jean Baucou
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes du canton de Navarrenx
Latitude
Longitude
43° 19′ 22″ Nord
         0° 45′ 29″ Ouest
/ 43.3227777778, -0.758055555556
Altitude 118 m (mini) – 269 m (maxi)
Superficie 6,21 km²
Population sans
doubles comptes
1 133 hab.
(1999)
Densité 182,45 hab./km²
Image:City locator 2.svg
Navarrenx
Localisation sur la carte départementale

Navarrenx est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques (Béarn) et la région Aquitaine.

Son nom est Nabarrencs en béarnais, Nabarrenkoze en basque.

Les habitants s'appellent Navarrais et Navarraises.

Sommaire

[modifier] Géographie

[modifier] Hydrographie

Les terres de la commune sont arrosées[1] par le gave d'Oloron, et ses affluents, le Saleys, les ruisseaux le Laus (10,5 km), l'Arroder et le Lucq.

[modifier] Lieux-dits et hameaux

  • avant le pont, quartier Mousseroles.
  • à l'intérieur des remparts, le Bourg.
  • à l'extérieur des remparts, après l'Esplanade, le Faubourg.
  • en direction de Jasses : le quartier Bérérenx
  • en direction de Mourenx : le Bois, ancien quartier des cagots (Vesiat).

[modifier] Communes limitrophes

[modifier] Toponymie

Le nom de Navarrenx / nabarēŋs / vient de Sponda Navarrensis qui signifie 'limite Navarraise'[2]. Le suffixe -enx provient d'une confusion entre le suffixe -enc et le latin -ens lequel évolue normalement en -és /-ais[3],[4]. Le toponyme est documenté[5] sous les formes Sponda Navarrensis (XIe siècle)[6], Navarrencxs (1235)[7], Navarencae (1286)[8], Navarrencs (1290)[9], lo molii de Navarrencx, Sent-Germer de Navarrencx et l'espitau de Sent-Antoni de Navarrencx (respectivement 1385, 1387 et 1391)[10], Nabarrencxs (1477)[11] et Navarrenx-Bérérenx à la suite de la réunion des deux communes en 1828.

Le toponyme Bérérenx est mentionné[5] au XIe siècle[6]) et apparaît sous les formes Berarensis (vers 1100)[12], Berarengn (XIIe siècle)[12], Bererencx (1385)[10], Bererenxs et Berrerenxs (respectivement 1538 et 1546)[7]) et Sent Joan de Bererens (1612)[13].

Bererenx vient de l'anthroponyme gascon Berard avec le suffixe -enh, modifié ultérieurement[14].

[modifier] Histoire

La première mention écrite du nom de la ville se trouve dans une charte de 1078[réf. nécessaire]. Navarrenx (Navarrensis) y est citée cinq fois. Il s'agit d'un accord perpétuel entre Centulle V de Béarn dit le jeune, vicomte de Béarn et d'Oloron et son vassal Raimond Guillaume vicomte de Soule. Celui-ci se présentera à Navarrenx pour réparer les torts faits aux Béarnais par les Souletins. Il pourra en faire raison et justice soit par serment, soit en payant une amende, soit par duel. Dans ce cas le texte dit que le duel se fera, non pas sur la rive du gave du côté de la Soule, mais en la rive du côté de Navarrenx (Quod bellun fiet non in ripa Soulensi, sed in sponda Navarrensi).

Ce fut, dès l'origine, une ville frontière. En 1188 un pont en bois est construit et un marché instauré. La grande arche du pont sur le gave d'Oloron remonte au XIIIe siècle mais a perdu sa tour de défense, comme on peut encore en voir aux ponts d'Orthez ou à celui de Sauveterre-de-Béarn, un octroi y était perçu.

Le vicomte tenait un château imprenable sur la hauteur à l'ouest, au confluent du gave et du Larroder, «la Casterasse» ("forteresse"). En 1316 ayant obtenu le for de Morlaàs elle fut flanquée d'une bastide, dont la place centrale et les rues à angle droit de Navarrenx gardent le souvenir.

Le bailliage de Navarrenx englobait[5] en 1343 les communes d'Araujuzon, Audaux, Dognen, Gurs, Méritein, Sus, Laàs, Ossenx et le hameau de Geup (Castetbon).

En 1385, Navarrenx comptait 85 feux et Bérérenx 10. Il y avait à Bérérenx une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.

En 1388 Gaston Fébus comte de Foix, vicomte de Béarn fait emprisonner les jurats de Navarrenx jusqu'à ce que les habitants acceptent de contribuer aux réparations de son moulin sur le gave.

Entre 1412 et 1415 de nouvelles réparations furent effectuées par les cagots de l' "arribère".

Le 24 juillet 1507 la ville prête foi et hommage à Catherine Ire de Navarre pour le moulin "fondat en lo fluby deu gabe".

Par privilège ce fort beau moulin appartiendra plus tard à la communauté de Navarrenx dont les archives mettent en évidence le nombre important de réparations effectuées. Lors de la suppression des droits féodaux l'État le séquestra pour le revendre en 1813 par adjudication publique.[réf. nécessaire]

En 1523 les castillans conduits par Philibert de Chalon, Prince d'Orange, s'emparent de la ville et détruisent ses défenses.

Elles furent complètement remodelées de 1542 à 1549 : Henri d'Albret et Marguerite d'Angoulême, rois de Navarre (et vicomtes de Béarn), font moderniser les fortifications par l'architecte italien Fabricio Siciliano, qui y ajouta quatre bastions sur le modèle de la citadelle de Lucques en Toscane : redans, demi-lunes, redoutes, galeries souterraines, murs calfeutrés de terre[15].

En 1569, elle devait prouver son efficacité en permettant aux huguenots béarnais de résister aux troupes françaises de Terride (Antoine de Lomagne), de mars à juillet, jusqu'à l'arrivée des secours de Gabriel de Montgomery. Les églises béarnaises qui se trouvérent sur le passage du régicide involontaire du roi Henri II subirent un vandalisme irréparable.

L'année 1620 voit la visite de Louis XIII venu imposer l'union du Béarn et de la Navarre à la France. La ville ne résiste pas aux troupes royales, « Il n'en coûta pas au roi la mèche d'un canon ». Le souverain rétablit le culte catholique à Navarrenx en assistant à une messe dans l'église même où sa grand mère Jeanne d'Albret, reine de Navarre et souveraine de Béarn, avait publiquement fait profession d'attachement au calvinisme le jour de Pâques 1563. Pour conserver la mémoire de cet évènement il fit placer au-dessus du portail de l'église une couronne de lauriers avec l'écusson de France. Le jeune roi profita de son passage dans la cité pour s'emparer de ce qui restait du trésor des rois de Navarre.

À la Révolution française Navarrenx fut choisie comme chef-lieu du département (4 mars 1790), avant que la ville de Pau ne lui succède, le 14 octobre 1790.

En 1814, sous le commandement du colonel Regnault, la garnison (460 hommes) résista au blocus de la division du général Morillo malgré ses appels à la reddition : "Ouvrez les yeux, soldats de la garnison de Navarrenx. Laissez cette malheureuse place à ceux qui repoussent le bonheur. Venez à nous nous vous recevrons.." La division de Pablo Morillo faisait partie des troupes hispano-anglaises de Wellington auxquelles le Maréchal Soult donnait du fil à retordre dans une retraite remarquable de Bayonne à Toulouse en passant par Orthez.

À la demande unanime des habitants la place est déclassée définitivement en 1871 et perd sa garnison. Navarrenx sera restée place de guerre de 1546 jusqu'à la fin du XIXe siècle.

[modifier] Héraldique

Les armes de Navarrenx se blasonnent ainsi : D’azur à la fleur de lis d’or surmonté d’un lambel à trois pendant de gueules.
Il existe un autre blason plus ancien: D'argent à la vache de gueules allaitant un veau de même, bordure engrèlée de sinople.

La devise de la ville est: "Se jo t'i vau" (Si moi j'y vais). C'était le nom du plus gros canon de la cité fortifiée. "Si moi j'y vais" est un défi lancé par ce canon envers les ennemis.

[modifier] Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
1995 2001 Joseph Sarrat
2001 2008 Jean Baucou Divers droite
2008 2014 Jean Baucou Divers droite
Toutes les données ne sont pas encore connues.

[modifier] Intercommunalité

La commune fait partie de huit structures intercommunales :

  • communauté de communes du canton de Navarrenx
  • agence publique de gestion locale
  • SIVOM du canton de Navarrenx
  • syndicat intercommunal des Gaves et du Saleys
  • syndicat mixte forestier des chênaies des vallées basques et béarnaises
  • syndicat de la perception de Navarrenx
  • syndicat d'assainissement de Navarrenx
  • syndicat départemental d'électrification.

[modifier] Démographie

Évolution démographique
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 445 1 186 1 261 1 385 1 533 1 574 1 814 1 922 1 770
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 551 1 636 1 553 1 348 1 300 1 395 1 430 1 383 1 271
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 288 1 325 1 302 1 094 1 088 1 021 1 057 1 096 1 061
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 - -
1 070 1 064 1 146 1 160 1 036 1 133 1 138 - -
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes
*2005 : population provisoire de l'Insee.[16]

[modifier] Économie

Depuis presque deux siècles le port fluvial ne voit plus passer les 300 radeaux composés de fûts de sapins provenant de la vallée d'Aspe. Au printemps les radeleurs les conduisaient jusqu'à Bayonne où la marine royale en faisait des mâts pour ses navires.

Aujourd'hui, l'activité repose sur: l'agriculture (élevage, pâturages, maïs, polyculture), le tourisme, l'artisanat et le commerce bien représenté, même si foires et marchés n'ont plus l'importance d'autrefois.

Après la disparition d'une très importante fafrique de meuble(Lansalot) l' activité industrielle se réduit à la présence d'une micro centrale hydraulique et à celle d'une fabrique de cigares élaborés dans une ancienne garnison de la ville jadis commandée par le mousquetaire Porthos[réf. nécessaire] .

Le Navarre est produit à 100 000 exemplaires. Ce cigare prestigieux se place parmi les 3 meilleurs robustos au monde et a obtenu une note de 17/20 selon Vins & Cigares en 2006.

[modifier] Culture et patrimoine

[modifier] Patrimoine civil

Navarrenx est ceinturée de remparts sur presque tous ses côtés bien que dénaturés depuis qu' à la fin du XIXe siècle une décision municipale permit la démolition de « la Porte de France » ou « des Mousquetaires » ainsi qu'un percement de la courtine « Saint Antoine » dans le prolongement de la rue « Saint Germain ».
Ceinte de murs dès[17] le XIVe siècle, la ville garde de beaux vestiges comme la porte Saint-Antoine, refaite en 1645, la tour de la Poudrière, la place des Casernes, la fontaine militaire, ainsi que des maisons gothiques et, sur la place de la mairie, un arsenal du XVIIe siècle.
La maison, dite maison Paillé, date[18] du XVIe siècle.

[modifier] Patrimoine religieux

Le pèlerinage de Compostelle

Sur la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
On vient de Sauvelade, la prochaine commune est Charre, et le Château de Mongaston.

Navarrenx, le pont sur le gave d'Oloron
Navarrenx, le pont sur le gave d'Oloron

Un pont du XIIIe siècle, permet aujourd'hui de franchir le gave d’Oloron, que les jacquets traversèrent longtemps à leurs risques et périls, en barque ou, lorsque le niveau de l'eau le leur permettait, par le gué de Mongaston. En 1188, le Chemin est cité dans la charte du pont de Navarrenx.
Il y eut longtemps près de la porte sud une commanderie, un hôpital et une chapelle Saint-Antoine, ces établissements prévoyaient l'accueil des pèlerins et des voyageurs.

L’église Saint-Germain d'Auxerre

date[19] du XVIe siècle, mais les bas-côtés de la nef ne furent édifiés qu’en 1862. Entre les retombées des arcs du bas-côté, les masques humains encastrés et peints, eux, sont anciens. Il n’est pas interdit d’y reconnaître de grands personnages, contemporains d’Henri II d’Albret. Une porte, située sur le côté, serait celle réservée aux cagots. L'église fut restaurée par Charles-Henri Besnard.

[modifier] Patrimoine environnemental

Navarrenx est un centre de pêche au saumon et une base de randonnées. La ville possède le label Station Verte de vacances.

[modifier] Sport

[modifier] Événements sportifs

La commune se situe sur le trajet de la 16e étape du Tour de France 2007 qui aura lieu le 25 juillet. Le parcours de 218 kilomètres reliera Orthez à Gourette - Col d'Aubisque.

[modifier] Clubs et équipements sportifs

Le Stade navarrais rugby (couleurs : vert et blanc) évolue en 3e division fédérale.

  • 1973/1974 : champion de France 1e série ;
  • 1975/1976 : champion de France 2e série ;
  • 1999/2000 : champion de France juniors Philiponeau ;
  • 2005/2006 : champion Sud-Ouest cadets, challenge Jean Teulière (Béarn, Côte Basque - Landes, Côte d'Argent, Limousin, Périgord - Agenais).

[modifier] Équipements

La commune dispose de deux écoles primaires (publique et privée), d'un collège public (collège des Remparts) et d'un collège privé (collège Saint-Joseph).

[modifier] Personnalités liées à la commune

  • Baron Bernard d’Arros, lieutenant général de Jeanne d'Albret, fut l'homme de la résistance béarnaise à l'invasion de l'armée française, organisateur de la défense lors du siège de 1569. Il perdit un de ses deux fils au cours des combats.
  • Catherine de Bourbon (1559 - 1604) calviniste intransigeante, régente du Béarn, envoya à son frère Henri III de Navarre en quête du royaume de France pendant les deux ans et demi qu'elle était à l'abri dans la cité : munitions, canons et subsides.
  • Pierre de Vitau (1640 - 1713) notaire, premier jurat de Navarrenx. Il fut député des États de Béarn à Paris pour recevoir le serment du roi de respecter les fors du pays. Son blason, d'azur à un lion d'or, couronné, lampassé et armé de gueules, est toujours visible sur la façade d'une maison de la rue Saint-Germain.
  • Bertrand Dufresne (1736 - 1801) cagot lui même, membre du Conseil d'État, s'éleva aux plus hautes charges des finances de l'État (Directeur général de la Trésorerie) faisant l'admiration de Bonaparte.
  • Pierre Hourcastremé (1742 - 1832) philosophe et savant de renommée universelle. Il reçut des éloges de la part de Voltaire. Œuvre principale : les aventures de Messire Anselme chevalier des Loix.
  • Prosper Darralde (1804 - 1860) maire et bienfaiteur de Navarrenx. Il fut élève de René Laennec et médecin de l'impératrice Eugénie dont l'époux Napoléon III offrit plusieurs tableaux situés dans l'église Saint-Germain, copies de Murillo, Van Dick et L. Carrache.
  • Francis Jammes (1868 - 1938) aimait revenir à Navarrenx où ses parents s'étaient mariés et dont sa mère était native. Il parle souvent de la petite cité et de la campagne environnante dans De l'angélus de l'aube à l'angélus du soir.
  • Renée Massip née Castaing (1907 - 2002) écrivain membre du jury Fémina, lauréate du prix Interallié, décrit dans la Régente le présent et le passé de ses parents instituteurs avec qui elle vécut villa "Allen" à Navarrenx, dont son père fut maire.
  • Henri Lefebvre (1901 - 1991) "père" de mai 68, trop communiste pour être philosophe, trop philosophe pour être communiste. La liste de ceux qui lui ont rendu visite dans sa maison navarraise (héritée de ses tantes Darracq) reste à établir mais est impressionnante (Malraux, Perec, Cohn-Bendit[réf. nécessaire])
  • Raymond Grant onzième baron de Longueuil (1921 - 2004). Cousin de la reine Elisabeth II du Royaume-Uni, ses œuvres picturales sortent de l'anonymat depuis une dizaine d'années.
  • Père Sébastien Ihidoy curé Doyen de Navarrenx à partir de 1981 où il officia pendant plus de vingt ans. Pour tous les pèlerins de Saint Jacques, il est une légende pour son accueil et son humanisme qui se résume dans sa devise basque Jendia, jende (Tout homme est homme). Il fréquenta de façon assidue le philosophe H. Lefebvre dont la demeure se trouvait à cent mètres de son presbytère.
  • Mady Mesplé : Depuis plusieurs années, elle dirige une master-class à Navarrenx, et est la présidente d'honneur de l'association des Pierres Lyriques, dirigée par François Ithurbide, dont la vocation est de promouvoir l'art lyrique en Béarn.
  • Georgie Brouchet - Durosoir née à Navarrenx. Musicologue de réputation mondiale, spécialiste de la musique française et italienne des XVIe et XVIIe siècles. Professeure émérite à la Sorbonne, chercheuse associée au Centre de Musique Baroque de Versailles.

Sous la porte fortifiée, une plaque rappelle le passage, en 1828, d'amoureux illustres : le pianiste Franz Liszt et son élève paloise Caroline de Saint-Cricq qu'il dut quitter car le comte de Saint-Cricq, financier du royaume, avait pour sa fille d'autres ambitions.

Les visites longues ou courtes effectuées par les vicomtes de Béarn, les rois et reines de Navarre, les rois de France, écrivains, musiciens, philosophes connus mériteraient elles aussi d'être mentionnées.

[modifier] Notes

  1. Notice du Sandre sur Navarrenx
  2. Sponda qui signifiait 'bois de lit' en latin classique s'est spécialisé dans le sens de 'berge' en latin médiéval.
  3. Bénédicte et Jean-Jacques Fénie, Toponymie gasconne, Sud-Ouest Université, 1992.
  4. Jacques Allières, La formation de la langue française, Que sais-je ?, 1982.
  5. abc Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  6. ab D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
  7. ab Réformation de BéarnManuscrit du XVIe au XVIIIe siècles - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  8. Extrait des registres de Bordeaux, publiés dans l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
  9. Titres de la vicomté de Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  10. ab Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  11. Contrats retenus par Ohix, notaire de Soule - Manuscrit du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  12. ab Cartulaire de Lucq-de-Béarn
  13. Insinuations du diocèse d'Oloron. Manuscrits du XVIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  14. Michel Grosclaude, Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, edicions reclams Escola Gaston Febus, 2006 p.237
  15. Gérard Folio. La citadelle et la place de Saint-Jean-Pied-de-Port, de la Renaissance à l’Époque Contemporaine, in Cahier du Centre d’études d’histoire de la défense n° 25 Histoire de la fortification, 2005 ISBN 2-11-094732-2, En ligne [1], consulté le 3 mars 2007 p 55
  16. Chiffres provisoires insee 2005
  17. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'enceinte bastionnée
  18. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur la maison Paillé
  19. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Germain d'Auxerre

[modifier] Pour approfondir

[modifier] Articles connexes

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[modifier] Liens externes


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Sauvelade
Pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle

Via Podiensis
Étape suivante
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