Discuter:Léon Degrelle

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Sommaire

[modifier] Commentaire

Voila une présentation du chef de Rex pour la moins réductrice et qui laisse beaucoup de zones d'ombre (notamment sur le rôle et les actions des Waffen SS sur le front de l'est). Quant aux considérations sur le rôle d'Hitler dans la construction européenne, elles sont pour le moins risibles (si on peut se permettre de rire sur cette partie de l'histoire). Drôle de façon de construire l'Europe en cherchant d'abord à l'asservir (le STO c'est de l'échange de mains d'oeuvre, je ne parle même pas du pillage des ressources des autres pays européens). Je n'aurais pas voulu vivre sous le joug de l'URSS communiste, mais pas non plus sous celui de l'Allemagne nazie.

[modifier] Sur ma faim...

L'article me laisse sur ma faim. « Arrêté le 10 mai 1940 comme suspect...» Arrêté par qui? Pourquoi suspect? Les lecteurs ne sont pas tous experts en matière de la petite (et moyenne) histoire des années 40. AxelHarvey (d) 22 novembre 2007 à 18:59 (CET)

[modifier] L'article est à vérifier complètement....éléments douteux récemment rajoutés...

ex ressemblance avec le petit reporter tintin, l'extermination de la famille du fasciste belge....je demande une révision complète de cet article....--mario SCOLAS 3 mars 2006 à 21:22 (CET)

Je propose que l'on face des recherches plus approfondies sur ce sujet(et sur Degrelle en général). Dans le livre de Martin Conway,il est écrit que la femme de Degrelle est resté en Belgique et je pense a fait de la prison pendant que Léon Degrelle s'installait en Espagne.Bref,cela concerne la famille et prouve que la Belgique n'a pas été tendre avec la famille Degrelle(à tord ou à raison,nous devons rester neutre de toutes façons). ....--Théo 27 mars 2006 à 23:00(CET)


La famille de Léon Degrelle est morte des persécutions subies en prison. Il ne s'agit pas d'un cas isolé. Des femmes ont été violées dans les prisons belges après la guerre.

[modifier] assertion douteuse - demande de vérification -

Il est incinéré le lendemain et ses cendres seront dispersée au-dessus de la Belgique, son corps ayant été interdit de retour sur ordre du Roi..

Dans ce sens que le Roi des Belges n'a pas, à mon sens ce pouvoir d'injonction d'interdire un inhumation sur le territoire. Je demande un avis...pour cette insertion. De plus cet article présente pratiquement une martyrologie du fasciste belge. --mario SCOLAS 11 mars 2006 à 09:36 (CET)

Il y a eu un arrêté royal ou ministériel interdisant le retour des cendres en Belgique. Un arr^té royal n'est pas signé par le roi mais par un ministre.

[modifier] On préfère reverter que de sourcer

...en lui disant : « Si j'avais un fils, j'aimerais qu'il vous ressemble...ce passage n'est pas sourcé...--mario SCOLAS 28 mars 2006 à 18:37 (CEST)

C'est un évênement véridique,où est le problème?Amicalement. ...--Théo 28 mars 2006 à 18:47 (CEST)

Le problème entre vérité et sa vantardise...légendaire...ne doit pas apparaître comme légendaire...il faut dire X dira de Degrelle, Degrelle se confia à tel journaliste en disant...il faut une référence ou une source--mario SCOLAS 28 mars 2006 à 18:53 (CEST)

Hitler tient la main de Léon Degrelle entre ses deux mains. Degrelle est le seul personnage dans ce cas.

[modifier] Le beau Léon

Voici des compléments d'information relatifs à Léon Degrelle

Il s'agit d'un extrait de mon livre, non encore publié, La petite histoire du duché de Bouillon et des personnages qui l'ond rendu célèbre.

" Durant cette période difficile (1940 - 1945) , un des citoyens de Bouillon s'est tristement fait remarquer, Léon Degrelle pousse son extrémisme jusqu'à combattre auprès des nazis à Stalingrad. Léon Degrelle est ce fasciste belge, fortement marqué par les théories de l’Action Française, fondateur du mouvement d’extrême droite REX. Dès l’invasion allemande il s’enrôle dans la légion wallonne et y devient un éminent collabo aux ordres d’Hitler et de l’idéal nationaliste. Il combat à Stalingrad et en 1944 il se retrouve en Estonie. Depuis le débarquement allié le 6 juin 1944, tous les mouvements de résistance amplifient leur action : sabotage des voies de communication, attentats contre les Allemands et les collaborateurs. C’est ainsi que le frère de Léon Degrelle, le pharmacien Edouard Degrelle est abattu dans son officine par des résistants de la dernière heure le 8 juillet 1944. Les représailles ne se font pas attendre, cinquante otages doivent être rassemblés. Le pharmacien Charles Henri est assassiné par les nazis. C’est du fin fond du front estonien que le beau Léon, apprend la mort de son frère. Il décide de régler lui-même cette sombre affaire et revient vers la Belgique. Il fait compléter la liste des otages par les noms de ses adversaires Bouillonnais anti-fascistes de longue date, l’industriel René Pierlot, Henri Bodard, secrétaire communal et son frère Louis. Les trois patriotes sont arrêtés et enfermés le 11 juillet. Un simulacre de tentative d’évasion est organisé dans les bois de Bouillon le 21 juillet 1944, René Pierlot et les frères Bodard sont abattus par la Gestapo d’une rafale de mitraillette et achevés d’une balle dans la nuque au lieu-dit La Gernelle. Les Bouillonnais reconnaissants leur ont érigé une stèle. A la libération Degrelle s’enfuit en Espagne où il vivra jusqu’à sa mort en 1994. Le régime franquiste l’a naturalisé espagnol."

Les élément décrits ci-dessus sont des faits vérifiés et autentiques.

Au vu des débilités que contient votre texte, il vaut mieux que vous ne publiez jamais votre livre sur le duché de Bouillon. Prétendre que la Légion Wallonie a combattu à Stalingrad est ridicule. La Gestapo n'a jamais mis un pied en dehors d'Allemagne de toute la guerre. Quant à Léon Degrelle, il a été blanchi de tous crimes.

Tout ce que tu dis est d'autant plus vérifiable puisqu'il est dans le livre de Martin Conway:--Théo 28 avril 2006 .

Veuillez toutefois noter que la Légion Wallonie, et partant L. Degrelle, n'a jamais été engagée à Stalingrad. De même, Léon Degrelle ne rejoindra l'Estonie que tout à la fin du mois de juillet 1944. Eddy De Bruyne

[modifier] Il faut prendre des mesures radicales contre cet article

Par exemple, je me demande quelle est la source qui permettrait de dire que les parents de Degrelle ont été torturés à mort en prison. C'est formidable que Degrelle qui était un homme qui a eu la paole chez nous (notamment dans De Nieuwe Orde de M. De Wilde à la BRT), n'ait jamais - à ce que je sache - évoqué ces faits qui s'ils étaient avérés condamneraient la démocratie de 1944 retrouvée.

Je demande que cet article soit suspendu et je pense que je supprimerai le passage où l'on parle de sparents de Degrelle "torturés à mort". Car si l'on dit "en prison", cela veut dire que notre Etat de droit n'en est plus un.

En plus, Degrelle a ordonné des massacres bien réels comme celui de Charleroi dans lequel périt le prêtre doyen Pierre Harmignies (20 otages furent massacrés par des rexistes en représailles à l'aube du 18 août 1944).

Je crois que je n'aurai jamais une indignantion aussi grande que contre un tel article fasciste

Utilisateur: José Fontaine

Réponse:Certe il y a des erreurs dans cette article,mais je trouve que c'est de la démagogie de dire que cette article fait l'apologie de Degrelle. Et pourquoi ne parles tu pas de ce massacre alors?Mais dans ce cas il faut parler de l'assassinat de son frère...il vaut mieux être résistant que collaborateur,mais tout n'est pas blanc.

Amicalement. Utilisateur: Théo

Les deux parents de Léon Degrelle ont été emprisonnés après la guerre et sont tous les deux morts en prison. Ils étaient surtout très vieux. Rien ne dit, parmi tous les ouvrages que j'ai lu sur le Rexisme ou sur Degrelle, qu'ils aient subi des tortures. Il est toutefois probable qu'ils n'ont pas été traités de façon tendre, puisqu'ils y sont morts.emen

Par ailleurs, aucun jugement n'a établi que Degrelle ait ordonné des tueries commises par les rexistes. Degrelle a été condamné à mort par contumace pour avoir collaboré avec les Allemands et avoir porté les armes contre "les alliés de la Belgique" (cf. l'Union Soviétique ; c'est le juge Mélot, ancien résistant, qui l'affirme en 1976 dans le reportage de Jean-Michel Charlier consacré à Léon Degrelle)

Utilisateur: Etienne64

[modifier] Ce que je vais faire

Comme les assertions à prpos des nombreuses rencontres entre Hitler ety Degrelle ne sont fondées sur rien, de même que le massacre de sa famille, de même que le fait qu'Itler aurait dit qu'il aurait voulu l'avoir pour fils, je me propose :

1) de dire que Degrelle a "prétendu" avoir recontré Hitler mais que seul son témoignagne permet de le dire 2) de même pour le massacre de sa famille

Utilisateur: José Fontaine 22h30 le 3/8/6.


Degrelle a rencontré trois fois Hitler : en 1936, et deux fois en 1944 (février 1944 quand Hitler lui remet la Ritterkreuz après la bataille de Tcherkassy ; septembre 1944 quand Hitler lui remet les Feuilles de Chène après la bataille d'Estonie).

Utilisateur: Etienne64

Il existe des photos officielles de rencontres entre les deux hommes. Alors, prétendre qu'ils ne se sont jamais rencontrés est ridicule. Peut-être doit on écrire qu'on prétend que Léon Degrelle aurait existé.

[modifier] décoration et discours

D'après le numéro 58 de la série "les grands évenements du 20 ème siècle et les journaux de l'époque" Degrelle a recontré Hitler qui lui a dit : "Si j'avais un fils, je voudrais qu'il soit comme vous"

selon cette source hitler lui a remis l'insigne en or des combats rapprochés et non les feuilles de chêne Ma source ne parle pas de ces assassinats Quant à la phrase "dont l'une avec son bébé" ne contribue t'elle pas à accentuer la pitié du lecteur pour cette famille dont il faut le rappeler, le fils est un immonde nazi ??? je serais pour une suppression de cette phrase.

Utilisateur: loulou3945

[modifier] document de l'ina

Voici une preuve de la rencontre en HItler et Degrelle http://www.ina.fr/voir_revoir/guerre/france/44-12.light.fr.html#13

Il est maintenant sûr qu'il l'a rencontré Utilisateur: loulou394521 août 2006 à 09:22 (CEST)

Les contributeurs de cet article ne sauraient désormais raisonnablement contester la rencontre Degrelle - Hitler. La Palice 31 août 2006 à 22:27 (CEST)

Quant à la phrase "dont l'une avec son bébé" ne contribue t'elle pas à accentuer la pitié du lecteur pour cette famille dont il faut le rappeler, le fils est un immonde nazi ??? je serais pour une suppression de cette phrase. Ce n'est pas parceque le fils est un nazi que cela légitime le massacre de sa famille. Faut pas éxagérer non plus. Belle mentalité ...

Ce n'est pas à une encyclopédie de qualifier d'immonde quelqu'un, fût-il un nazi. Il ne s'agit pas de jouer avec la sensibilité des lecteurs: les faits sont rapportés tels qu'ils ont existés. Les taire serait par contre significatifs d'une vlonté d'incliner l'article dans un sens partisant, ce qui serait contraire aux principes encyclopédiques. - La Palice 7 novembre 2006 à 18:28 (CET)

"Les faits sont rapportés tels qu'ils ont existé" en réalité ou dans l'imagination de Léon Degrelle. Je vois que la source qui appuie cette affirmation est Degrelle lui-même (Tintin mon copain). Or, le "beau Léon" était connu pour être un menteur. Que son frère ait été assassiné est un fait historique. Que sa famille ait pu être inquiétée à l libération est possible voire probable. Qu'on ait pu maintenir ses parents en détention jusqu'à leur décès me paraît en revanche hautement improbable. Pour quel motif ou sous quel chef d'accusation? Jamais je n'ai lu cette information ailleurs qu'ici. Et sa source me paraît pour le moins sujette à caution. --Lebob 12 janvier 2007 à 18:36 (CET)

Je prends note que tu as supprimé le passage sur la détention des parents de Degrelle. J'aurais aimé quand même que cette suppression se soit appuyée sur une preuve tangible mettant à jour que Degrelle a menti à ce sujet. D'affirmer que « Degrelle a toujours été un menteur » est un jugement de valeur, une opinion personnelle qui, si je la respecte, ne peut être le ciment d'aucune contribution encyclopédique. N'hésite donc pas à sourcer ce démenti, j'en ferai de même et vais m'attacher à connaître le sort des parents Degrelle. La Palice 13 mars 2007 à 09:58 (CET)

Moi je n'ai rien supprimé de ce passage. Je me suis borné à poser la question ci-dessus sur la page de discussion. En l'absence de sources fiables, je me suis abstenu de toucher à cette partie du texte. En fait, la modification a été faite le 18 janvier dernier par EDB qui, semble-t-il, n'est autre Eddy De Bruyne, par ailleurs auteur d'ouvrages sur Degrelle cités en référence de cet article.[1] Selon ce que j'en sais, les parents de Degrelle ont bien été emprisonnés, mais libérés avant leur décès. --Lebob 13 mars 2007 à 15:18 (CET)

De nombreux rexistes ont été assassinés dans les geoles du pays et des femmes rexistes emprisonées ont été violées.

[modifier] L'avion fantôme

Dans "L'exile en Espagne", on peut noter que Terboven "leur propose un Heinkel He 111 (celui du ministre allemand Speer)". Ce qui est d'autant plus curieux que Speer était censé être, à cette période, à Flensburg dans le Schleswig-Holstein, comme membre du gouvernement Dönitz.


[modifier] Cendres

Léon Degrelle s'éteint à l'âge de 87 ans dans la soirée du jeudi 31 mars 1994 à la clinique de Parque de San Antonio où il avait été admis le 10 mars en raison d'insuffisance cardiaque. Il est incinéré le lendemain et ses cendres sont dispersées au-dessus de la Belgique par un ancien capitaine de la SS Wallonie. Sources, svp ?????

Les cendres de Léon n'ont pas été dispersées le lendemain au dessus de la Belgique.

[modifier] Modifications du 15 janvier 2007

Quelques explications à certains des changements ou suppressions effectés aujourd'hui. Ceux qui ne sont pas repris ici s'expliquent d'eux-même me semble-t-il.

  • croisade contre le Bolchevisme ==> guerre contre l’URSS (plus neutre et conforme au fait, croisade contre le bolchevisme relevant de la propagande d’une des deux nations engagées dans cette guerre
  • Sa dernière promotion au grade de SS-Brigadeführer (général de brigade) lui accordée par Himmler le 2 mai 1945 est nulle et non avenue puisque, à cette date, [Hitler]avait déjà destitué le chef de la SS. Pas de sources, plus quel intérêt si nomination nulle et non avenue.

Sources :

- Eddy De Bruyne : Les Wallons meurent à l'Est - Degrelle et les légionnaires wallons au front russe 1941-1945. Didier Hatier. Bruxelles. 1992. p. 171. ISBN 2-87088-740-X

- Eddy De Bruyne : For Rex and Belgium : Léon Degrelle and Walloon Political & Military Collaboration 1940-1945. Helion. 2004. pp.197-198.ISBN 1 874622 32 9

  • L'intérêt consiste dans le fait que l'on persiste envers et contre tout, dans certains milieux,pour sa gloriole, à propager l'idée que Degrelle a été colonel voire général, ce qui est contraire à la vérité historique. Eddy De Bruyne.

Himmler destitué par Hitler restait le chef de l'Ordre S.S. Par conséquent, la nomination de Léon Degrelle à un grade de général de brigade restait valable au sein de la Waffen-S.S. C'est comme les Riterkreuz décernées après la mort du Fuhrer, elles restent valables.

  • pas plus que les tentatives d'enlèvements, la duchesse de Valence allant jusqu'à menacer Franco de mort si Degrelle devait être extradé : supprimé car pas de sources ni sur les tentatives d’enlèvement (organisées par qui?) ni sur les menaces de la duchesse de Valence.
  • Casterman, imprimeur de Degrelle, contacte alors Hergé pour la création d’un album de Tintin. Ce sera Tintin au pays des Soviets. : Supprimé, car erreurs de dates. Tintin est créé en janvier 1929 et l’album publié par Casterman en 1930, c'est-à-dire avant la publication de "histoire de la Guerre scolaire" --Lebob 15 janvier 2007 à 13:08 (CET)

[modifier] Degrelle, militant wallon ?

J'aimerais connaître les sources qui permettent de catégoriser Degrelle comme militant wallon, étant donné la notoriété belgicaine du personnage. Faute de sources valables et sérieuses, cette catégorisation sera supprimée. Stephane.dohet 4 juillet 2007 à 19:19 (CEST)

Degrelle n'a jamais revendiqué l'autonomie de la Wallonie et encore moins sa réunion à la France, mais certes son intégration dans le Reich d'Hitler. Ce n'est donc pas la définition de la catégorie et il faut donc en enlever Degrelle qui est certes un Wallon... José Fontaine 4 juillet 2007 à 21:23 (CEST)
Maarten Van Ginderachter, Le Chant du Coq., Cahiers Jan Dhondt 3, Acamedia Press, Gand, 2005 (ISBN 9038208308)
Léon Degrelle a fait partie au moins pendant un an d'une organisation du mouvement wallon répertoriée dans l'EMW. Speculoos 5 juillet 2007 à 08:27 (CEST)
Les notes qui fonderaient l'acquisition par Degrelle du statut de Volksführer de Wallonie (après que celle-ci ait été pratiquement entièrement libérée: en outre une date ne signifie rien), de même que sa mention comme militant wallon me semblent suffire pour apposer cette non-pertinence. Léon Degrelle n'a jamais été en quoi que ce soit un partisan de l'autonomie de la Wallonie. Sa participation à une publication ouverte aux thèses du mouvement wallon (mais n'en faisant pas partie), coïncide très précisément et très exactement avec le retour aux thèses de l'unité belge pour ce journal estudiantin. La mention de Degrelle comme militant wallon ne me gêne pas en fonction du passé de cet homme mais parce que cela ne correspond pas à la définition de la catégorie ni du mouvement wallon. José Fontaine 8 juillet 2007 à 16:50 (CEST)
Pour la source en ce qui concerne, monsieur sera servi. Monsieur De Bruyne est pour ainsi dire spécialiste de la Légion Wallonie. Sourire Quant au militantisme de Degrelle dans le Mouvement wallon, il n'en fait aucun doute : «Enfin, même si les critères de Delforge, définis dans l'article sur la collaboration, sont appliqués, nous pouvons conclure que Degrelle et Rex devraient avoir leur place dans l'Encyclopédie [du Mouvement wallon]. En 1927-1928, Degrelle est secrétaire de rédaction de la revue estudiantine francophone de Louvain "L'Avant-Garde". Or l'Encyclopédie consacre deux pages à cette dernière. Soit la revue n'appartient pas au MV et ne peut être reprise, soit elle est wallingante et Degrelle mérite un article puisqu'il a travaillé dans le MW pendant un an au moins.» dans le long article de Maarten Van Ginderachter édité au Cahier Jan Dhondt. Speculoos 8 juillet 2007 à 21:06 (CEST)
Effectivement, la place consacrée à cette publication est grande dans l'EMW mais elle se conclut par la rupture de l'Avant-Garde avec le mouvement wallon justement quand Degrelle commence à y écrire. De toute façon, pour que Degrelle soit considéré comme un militant wallon, il faudrait citer certaines de ses déclarations explicites et non le fait qu'il ait collaboré avec un périodique autrefois ouvert au mouvement wallon et qui rompit avec cette orientation du jour où il y publia des articles. Je rappelle aussi D.Descamps à la règle que le bandeau de pertinence doit être enlevé de commun accord. La plupart des articles de l'EMW consacré à des personnes commencent par le rappel de leurs positions sur la Wallonie. Quelle position sur la Wallonie va rappeler D.Descamps? L'appartenance des Wallons à la race germanique? Proclamée à Liège en janvier 1941 et combattue par des centaines de manifestants dont certains moururent dans les camps de la mort? Voilà des questions. José Fontaine 8 juillet 2007 à 22:40 (CEST)
Si Degrelle qui a été impliqué dans le MW en 1927 affirme quelque chose en 1941 qui ne correspond plus à la francolâtrie du mouvement wallon suffit à l'enlever de l'EMW, je propose que l'on fasse de même de Jules Destrée. C'est toujours amusant de voir les militants wallons cacher leur passé peu reluisant sous le tapis par quelques tours de passe-passe quand ça les arrange. Sourire Speculoos 9 juillet 2007 à 09:36 (CEST)
Ce n'est pas cela qui est dit, cher Monsieur. Je vous demande de me citer une seule phrase de Degrelle lui-même qui plaiderait en faveur de son inscription comme militant wallon (moi-même j'ai dit pourquoi sa participation à l'Avant-garde n'en faisait pas un militant wallon et c'est dans la page sur Degrelle). Quant au passé des militants wallons il est sans doute moralement parlé l'équivalent de personnes d'autres engagements (la vie est ce qu'elle est), et, en excluant Degrelle des militants wallons, on cherche à faire preuve de bon sens, non à se débarrasser d'un souvenir gênant (la preuve: je n'ai rien contre le fait que Degrelle soit un Personnalité wallonne). Je ne suis pas à proprement parler gêné que Degrelle soit considéré comme militant wallon (on se demandera quelle y a été son influence, quel historien l'a mise en avant comme influente ou caractéristique mais en vain, évidemment...). En revanche, que WP fasse de Degrelle un militant wallonest mauvais pour cette Encyclopédie. José Fontaine 9 juillet 2007 à 17:23 (CEST)
Des scientifiques trouvent qu'il fait partie du mouvement wallon, surtout que des députés rexistes en font également partie et sont, si je me rappelle bien, répertoriés dans l'Encyclopédie. Je ne fais qu'intégrer leur point de vue dans WP. Il est clair que l'absence de Degrelle dans l'EWM est politique : elle nuirait à l'image du mouvement wallon actuel qui veut se donner le beau rôle en Belgique et qui fait bien de cacher ses aspects ethnicistes par rapport à l'aspect citoyen qui est privilégié aujourd'hui. L'EWM a été écrite principalement par des militants pour des militants, son écriture mêle le scientifisme et le militantisme. Speculoos 10 juillet 2007 à 09:44 (CEST)
Ce n'est certainement pas un type comme Degrelle qui peut changer quelque chose à l'affaire. En revanche, on a avantage à pourchasser les erreurs d'une manière radicale et celle-ci en est une. Je salue en passant l'intérêt inattendu de D.Descamps pour le mouvement wallon... José Fontaine 10 juillet 2007 à 17:03 (CEST)

Un mythe belgicain s'effrondre, un mythe wallon naît. Voilà que mon ami José sera ravi d'apprendre que le hérault (héros?) de la cause wallonne, Léon Degrelle, a signé des deux mains en faveur d'une Belgique fédérale et de la Wallonie en 1937. Accord que les militants wallons ont suivi en 1980, à l'instar de celui de 1917 qu'ils suivirent durant l'entre-deux-guerres. Sourire Agents de la France et agents de l'Allemagne, même combat. Speculoos 10 juillet 2007 à 20:25 (CEST)

[modifier] Degrelle n'est pas un militant wallon

Il n'y a absolument rien qui s'effondre: cet accord est bien connu et je le connaissais aussi, sans y accorder d'importance, je vais dire pourquoi. Cet accord relève du caractère hautement farfelu de Degrelle, prêt à signer vraiment n'importe quoi pour arriver au pouvoir et notamment de dire que les Wallons et les Français du nord étaient des Germains pour plaire à Hitler. Je le répète: que Degrelle soit en compagnie de nombreux militants wallons dont la moitié ont combattu dans la Résistance (cela aussi doit apparaître dans la catégorie Militant wallon), me gêne peu. Cela me gêne un peu plus que parmi ceux-ci, il y ait quand même les victimes des camps de la mort, du massacre de Charleroi etc. La seule chose qui me gêne vraiment, c'est de dire que Degrelle est un militant wallon alors que tout indique le contraire, notamment ses sentiments nationalistes belges. Ce qui me gêne le plus, c'est le ridicule dont on couvre aussi Wikipédia. Car les considérations que David Descamps fait ci-dessus font penser aussi à ... ce que tout le monde dit de Degrelle. Si David Descamps n'a pas peur du ridicule pour lui-même, qu'il en épargne cette encyclopédie. C'est déjà très malheureux que Jo Gérard y soit cité... à l'appui d'une thèse qui ne tient pas la route et qu'il a répétée en faisant rire l'ensemble des historiens belges. Je me souvens entre autres choses d'un débat à la BRT en septmebre 1984 où du groupe des historiens flamands présents avait jailli le mot Zot. Cependant à quelque chose malheur est bon et c'est pourquoi j'ai pris plaisir à enrichir cet article sur Degrelle: toute action politique en Belgique se heurte inévitablement à la dualité profonde du pays, quels que soient les sentiments belges qu'on puisse nourrir par ailleurs. Tous ceux qui ont nié l'existence de deux peuples en Belgique s'y sont cassé les dents. José Fontaine 10 juillet 2007 à 21:27 (CEST)

Je n'ai en effet pas peur du ridicule, je prends par contre un soin particulier à me relire, plusieurs fois même, car il vaut mieux avoir la politesse d'essayer d'écrire avec une belle orthographe quand bien même ce soit pour des choses ridicules. C'est un effort pour respecter l'autre intervenant, un peu comme la franchise, même si la mienne peut être extrême. Quant à nos moutons (noirs), si Degrelle est militant wallon par calcul politique, il n'est pas le seul car de nombreux socialistes l'ont été comme l'a rappelé récemment Charles-Ferdinand Nothomb (Peut-être une anecdote où un adversaire politique le traite de Fou ou peut-être n'est-il pas un politicien?) : «Les socialistes ont toujours voulu unifier la Wallonie parce qu'ils tenaient ses deux provinces les plus peuplées. Mais c'est fini.» Il serait peut-être bon de retirer les parvenus rouges (Renard au vu de ses discours) de cette catégorie à l'instar de ce que vous faites pour le farfelu. Farfelu que vous pouvez garder pour vous. Je n'aime pas le personnage ni toutes ses idées politiques, mais j'ai plus de respect pour un salaud ayant combattu en uniforme d'été sur le front de l'Est en hiver que pour des planqués socialistes (et militants wallons?) appellant à la collaboration totale depuis Bordeaux.
Quant à la gêne que je vous occasionne, sachez que j'en ressens une quand vous osez traiter de wallons mes aïeux qui sont morts en mai 40 ou moi-même. Speculoos 10 juillet 2007 à 22:51 (CEST)
Vous n'avez pas peur non plus de donner des leçons de français criblées de fautes énormes qui devraient vous amener (relisez-vous!) à vous abstenir d'en donner encore. De toute façon, de telles pratiques sont un peu étrangères à une vraie discussion. Quant au respect de son interlocuteur, là! vraiment, David Descamps... José Fontaine 11 juillet 2007 à 00:29 (CEST)
Je suis toujours enclin à apprendre cher José Sourire n'hésitez pas à faire le professeur - votre profession si je ne m'abuse - et me montrez mes fautes. Speculoos 11 juillet 2007 à 09:05 (CEST)

Il y a aussi en Belgique des germanophones (Eupen, Sankt-Vith) et ex-germanophones (Arlon, Martelange, Beho, Henri-Chapelle, Welkenraredt, Baelen,...). Les Wallons sont des Germains. Sinon, que sont-ils? et ils sont plus germains que les Allemands qui sont à moitié slaves. Hitler était contre les Slaves alors que les Allemands sont à moitié slaves.

On trouve en effet pas mal d'assertions considérant les Belges comme germains en effet… déjà les Belgae sont souvent considérés comme à moitié Germains. Dès l'arrivée des Francs sur les Pays-Bas Belgiques, on voit que même les régions considérées comme non-bilingues (cad trop grosse majorité romane) (Selon Gysseling, tout le bassin de la Sambre jusqu'à Maubeuge est bilingue au VIIIe siècle!) tout le mobilier funéraire est germanique comme par exemple à Tournai… Sans parler des migrations flamandes et limbourgeoises en Hainaut et à Liège avec les révolutions industrielles. Parler de "gaulois" comme les militants wallons le font est dès lors spécieux. De plus le mot proto-germanique "walh" d'où vient le mot "wallon" n'a aucune portée ethnique mais purement linguistique. Parler d'ethnicité avec "Walh" est une grossière erreur que des gens comme Albert Henry font. Enfin, ça n'est toujours qu'un militant wallon. Clin d'œil Speculoos 20 août 2007 à 13:46 (CEST)

[modifier] Désaccord de pertinence

Il semble qu'un utilisateur utilise cette page pour exprimer des vues sur les problèmes communautaires en Belgique peu connues des historiens (et qu'aucun ne partagent), avec aussi l'effet de comparer les démarches d'hommes politiques démocrates et d'hommes politiques fascistes, ce qui discrédite les premiers. Les problèmes communautaires sont largement traités dans les pages sur la Belgique, l'histoire de Belgique et l'histoire de la Wallonie. L'investissement de cette page par David Descamps est quand même très surprenante et très étrange. Il faudrait que le texte tienne compte aussi du fait que si les Wallons en défendant l'unilinguisme en Wallonie cherchent à garder une réserve, les Flamands en imposant l'unilinguisme flamand en Flandre s'adjugent une position dominante bien plus intéressante encore, que d'ailleurs la loi citée (Cooremans) ne le leur a pas donnée. En outre le contrat belge de départ est tout de même de se parler en français. La rupture du contrat est venue en 1921 avec le vote de l'unilinguisme en Flandre (par la majorité des députés belges - qui était flamande - contre l'ensemble des députés wallons qui étaient minoritaires: aucun compromis n'a été réalisé à ce stade, comme il n'y en aura pas en 1938 sur la division des régiments). Par ailleurs, si les Wallons voulaient l'unilinguisme chez eux, il en allait de même des Flamands et évidemment c'est le cas de la signature d'un accord électoral entre le nationaliste flamand cité et le nationaliste belge Degrelle qui n'a donc pas ce que l'on peut appeler une tactique wallingante. D'ailleurs par ce mot de "wallingant" on vise un courant parmi d'autres en Wallonie. Or l'opposition wallonne à la loi de 1921 (par exemple) fut unanime. A moins évidemment de considérer tous les Wallons comme wallingants... Tout ce passage doit être réécrit car les phrases à mettre en cause ne sont pas dignes d'une encyclopédie et on les chercherait en vain sur la WP en néerlandais. Il semble qu'on soit devant un cas particulier de la loi de Goodwin, propre à la Belgique... Il faut que l'on cesse de perdre son temps à de telles polémiques. Ne serait-ce que par respect des consensus obtenus sur les pages Belgique (etc.), à l'égard desquelles la page sur Degrelle entre en contradiction, du moins dans sa dernière version. Avec d'ailleurs des contributeurs flamands. Quand il y a conflit entre deux personnes, les deux sont "en tort" si l'on veut, mais j'ai quand même le sentiment que David Descamps cherche sans cesse à me contredire, ce qui peut être réellement usant à la longue. José Fontaine 11 juillet 2007 à 13:01 (CEST)

Le mouvement flamand à l'origine revendique l'accession du néerlandais au même statut de langue officielle que le français, pas l'unilinguisme dans les provinces du Nord. Le mouvement wallon qui naît vers 1880 s'inscrit en effet dans le contrat belge de départ institué par une bourgeoisie francophile (voire d'origine française quelques fois) qui impose le français comme seule langue officielle, pour des raisons évidentes idéologiques et politiques vis-à-vis des Pays-Bas. Dès lors que la loi d'Égalité de 1898 reconnait le néerlandais, le mouvement wallon jusqu'alors belgiciste unilingue devient petit à petit réellement wallingant c'est-à-dire affirmant une Wallonie politique (aux dépends des intérêts francophones en Flandre et à Bruxelles). On voit cette période de transition (1898-1905) avec la Ligue nationale wallonne montante et la Société de Propagande wallonne descendante, période d'affirmation graduelle d'une Wallonie qui mène au Congrès de Liège de 1905 où émergent déjà les prémisses de la volonté de séparation administrative. Volonté qui apparaîtra au congrès wallon de 1912 et la célèbre lettre de Destrée qui demande l'unilinguisme en Wallonie et le bilinguisme en Flandre. Et l'on peut penser que ce sont ces revendications déséquilibrées qui radicaliseront le mouvement flamand.
Concernant la loi linguistique de 1921, contrairement à ce que vous dites, elle affaiblit au contraire la position dominante que commençaient à avoir les néerlandophones en Belgique, ce qu'a toujours voulu le MW comme l'a déclaré Lode Wils. Un bilinguisme administratif à l'échelle de la Belgique était pour eux une abbération de l'«impéralisme flamand» et la véritable raison de la peur wallingante en 1921 tout comme les fameux «îlots flamands» qu'il a fallu éliminer en bougeant les frontières des provinces entre autres en 1932 pour répondre aux plaintes des députés wallingants (Destrée, Mathieu, Jennissen, ...). Et c'est en 1932 que la rupture du contrat arrive, pas avec la loi de 1921 qui permettait que le français soit encore utilisé en Flandre et le grignotage territorial. La loi de 1921 a été perçue par les flamands comme une arnaque et à cause de laquelle ils se radicaliseront encore plus. C'est à ce moment que Destrée & co. demandent l'unilinguisme au nord et le retrait de tous les droits linguistiques des francophones de là-bas, pour éviter cette fameuse «machination belgo-flamande» du bilinguisme en Wallonie, leur chère invention. Un exemple avec Jules Mathieu qui déclare à la Chambre le 20/01/1932 : «Je considérais que les minorités linguistiques de Flandre étaient une réalité que nous privions de ses droits les plus sacrés. J'ai changé d'avis. Je reconnais que je me suis trompé, car ces minorités sont une anomalie, elles n'ont pas de réalité sociale. Elles ne devraient pas exister». Les francophones de la périphérie apprécieraient certainement qu'on leur rappelle la fraternité française que leur réservent les militants wallons. Speculoos 11 juillet 2007 à 14:43 (CEST)
Vous n'y êtes pas! C'est quand Camille Huysmans pardonna à Jules Destrée d'être l'amant de sa femme que fut votée (Wallons, Bruxellois et Flamands contre les Gaumais et les Tournaisiens), en 1927, la loi condamnant les îlots belgicistes unilingues en territoire luxembourgophone à rejoindre la Mer du Nord, abbérations qui provoquèrent le ralliement des nationalistes flamands au Wallingant Léon Degrelle en 1937, la capitulation du 28 mai 1940 et la francisation de l'enseignement au Congo belge par les Scheutistes flamands excités à la haine de leur peuple par le renardisme naissant. [1]
  1. Daniel Descampette La logique anticatholique romaine du mouvement wallo-flamand de 1302 à nos jours, Nouvelles éditions tournaisiennes, Tournai, 1883, tome XXIX, p.1793.
Très comique. Sourire Speculoos 11 juillet 2007 à 15:35 (CEST)

[modifier] Amusant

Amusant de voir comment David Descamps tient à ce que le portail Wallonie soit présent sur cet article (personnellement ça ne me gène pas, Degrelle était un mauvais Wallon, mais il fait partie de notre histoire), alors qu'il s'amuse à le retirer sur d'autres pages qui ne lui plaisent pas (alors que le portail est incontournable pour ces sujets)... Stephane.dohet 18 novembre 2007 à 13:13 (CET)

[modifier] DEGRELLE ET TINTIN : approximations dangereuses !!!

Il serait bon de préciser que, entre Hergé et Degrelle, les relations furent plus qu'houleuses !!

La parenté idéologique entre Hergé et Degrelle est évidente même si elle n'implique évidemment pas les mêmes responsabilités morales ou politiques.

Cet extrait me semble particulièrement sujet à caution : jamais Hergé ne fut proche du Rexisme, bien au contraire et il s'est toujours méfié de la personnalité de Degrelle. Etre catholique, plutôt de droite n'impliquait aucune allégeance au rexisme, ni d'ailleurs au fascisme ni au nazisme, et Hergé s'est toujours moqué de ces mouvements : cf. Le Sceptre d'Ottokar, critique de l'Anschluss, et de nombreux gags de Quick et Flupke, qui tournent Hitler et Mussolini en dérision, ainsi que Rex.

Quant aux illustrations qu'Hergé a pu fournir à Degrelle, il serait également bon de préciser que, notamment pour le logo (tête de mort avec masque à gaz), Degrelle s'est servi sans vergogne d'un dessin, non crédité, et que le désaccord fut tel entre les deux hommes qu'il manqua de se terminer en justice. On trouve un large extrait de la correspondance entre Hergé et Degrelle dans la récente biographie "Hergé Lignes de vie", et le moins qu'on puisse dire est qu'il n'existait aucune parenté, fût-elle idéologique, entre les deux hommes !

Par ailleurs, les assertions de Degrelle concernant sa soi-disant contribution au personnage de Tintin n'engagent que lui, et sont complètement dénuées de fondement, mais caractérisent le côté mythomane du bonhomme. Texte gras

[modifier] Comté de Bourgogne

Si l'ouvrage de Marc Hillel est particulièrement précieux pour l'étude du Lebensborn, l'auteur est loin d'être un spécialiste de Degrelle, qu' Heinrich Himmler a toujours méprisé. La théorie de la renaisance du comté de Bourgogne relève de la seule mythomanie de Degrelle (voir à ce propos l'ouvrage de Conway). Couthon (d) 11 mai 2008 à 17:14 (CEST)

[modifier] Pause

Une intervention récente sur l'article consacré au massacre d'Oradour-sur-Glane concernant la responsabilité de la 2e panzerdivision SS Das Reich dans le massacre de Tulle m'amène à changer mes priorités. Je reviendrai au présent article après avoir étoffé celui consacré à Tulle. Cordialement. Couthon (d) 11 juin 2008 à 19:02 (CEST)