Discuter:Immigration

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Sommaire

[modifier]  ?

"L'immigration clandestine concerne les habitants de pays pauvres cherchant un meilleur niveau de vie dans les pays plus riches et grand delta de démographie"

Que veut donc dire l'auteur ? 195.132.57.158 6 sep 2004 à 00:42 (CEST)

Cela aurait d'ailleur du être dit de l'imigration économique, pas illégale, qui peut être pour d'autres raisons. Papillus 6 sep 2004 à 15:08 (CEST)

D'une manière générale, cet article est constellé de fautes de français. Ce n'est pas grave en soi, surtout si le français n'est pas la langue maternelle de l'auteur ou des modificateurs. Mais une petite révision de forme ne nuirait pas à la crédibilité de l'ensemble.

jajajaja

[modifier] Inclusion dans Migration humaine

Le notion d'immigration ou d'émigration dépendant uniquement du point de vue (pays d'origine ou d'arrivée), il me semble que le présent article devrait être fusionné avec Migration humaine, dans un chapitre « migrations post-industrielles » (par opposition aux migrations préhistoriques et aux invasions).

D'autres avis ?

Cdang | m'écrire 11 jan 2005 à 15:26 (CET)


Sans aucun doute, les termes immigration et émigration sont bien ambigus.
Où sont les articles WP sur les migrations européennes (Espagne, Italie, Portugal, France et autres) de la fin du XIXe et début du XXe siècle?
jpm2112 29 mai 2006 à 12:38 (CEST)

Les deux articles ne se recoupent pas exactement. Migration humaine s'intéresse surtout aux flux de migration entre pays tandis qu'Immigration considère les migrations du point de vue du pays qui reçoit les migrants. Donc Immigration est le bon endroit pour décrire les politiques d'immigration menées par chaque pays, tandis que Migration humaine indique les chiffres mondiaux et les théories relatives aux migrations. Je pense que la distinction entre les deux articles se justifie, à condition que les gens qui contribuent à l'un connaissent l'existence de l'autre afin qu'il n'y ait pas trop de redondance. — Thbz (@) 14 août 2006 à 16:25 (CEST)

[modifier] une contribution perdue

aucune idée de si on peut en tirer quelque chose, je n'ai meme pas lu mais c'était placé au mauvais endroit. LeYaYa 27 août 2006 à 16:06 (CEST)

[modifier] Débat sur l'immigration

mouloudi mustapha cite AADL 527 logts Bat.07 apt.02 el achour draria alger algerie

L'mmigration

Dans la majeure partie des cas le mot « immigration » ne véhicule plus son sens et sa définition comme il y a tant d’années. Cette dite explication, a-t-elle évoluée au même titre que l’homme ? Les uns le renvoi au monde des ténèbres et les autres à celui des sous hommes dont furent traités les harkis…Autant les émigrés sont responsables de sa dénaturation autant ceux qui les accueillent se plaisent à se sentir supérieurs aux autres et ainsi usent autant de l’innocence des uns que de la peur des autres… C’est tout un monde qu’il faut revoir et redéfinir… Encore faut-il que nous puissions en notre âme et conscience chacun dans son coin se mettre à la place de l’autre pour redonner à l’humanité ce blason qu’elle est entrain de perdre quotidiennement à savoir celui : Que tous les hommes véhiculent les mêmes espoirs…

Sincérité oblige, ce n’est pas de savoir ce que nous permet de faire telle ou telle loi une fois votée qui compte le plus mais de savoir comment éviter d’aller vers cet espace que les uns et les autres nous réservent et d’où il serait difficile de nous en sortir à savoir : la déculturation de la relation humaine…

Je ne crois sincèrement pas que la culture que vous véhiculez et le soutien ou les explications de votre entourage politique et associatif ainsi que celui des sympathisants et des adhérents à votre parti voir de son programme ne vous inviterait pas à ne pas prendre le risque de tirer un trait sur le moyen qu’offre le mot expulsion avant de prendre le soin d’une plus grande et plus large vision du problème. Je vous invite donc à prendre un net recule (dans le geste) en ce qui concerne ce mot et opter pour une plus grande sagesse laquelle ne pourrait que réunir un peu plus autant les français que les émigrés et redonnerait espoir à la sauvegarde du droit à l’existence pour lequel l’humanité lute…Que nous le voulions ou pas le problème reste bien plus humain qu’économique… Les moyens pour le prendre en charge ne manquent pas si chacun des responsables des pays concernés (accueil et origine) au niveau politique se donne la peine d’y réfléchir avec le souci de répondre par ka ka

une noble décision à savoir « la sauvegarde de la dignité nationale». Nous avons bien ce que nous appelons les relations parlementaires et associatives, alors dites-moi à quoi servent-elles ? Inviter les gouvernements concernés à une meilleure prise en charge de l’utilisation des différentes aides en les investissant dans le monde de la création d’emploi devrait être une obligation à respecter et se doit d’être  contrôlée sur le terrain et non suivant  les discours ou les rapports. Ce n’est pas de l’ingérence dans les affaires d’un état que de demander des comptes sur l’utilisation des aides que nous lui attribuons à des fins humanitaires et que nous devons justifier aux contribuables ? Ce n’est pas de l’ingérence dans les affaires d’un état que de demander des comptes sur l’utilisation des différentes formes d’aides et leurs suivis ? Allez au fond de la vérité reste à l’honneur des uns et des autres et que chacun prennent ses responsabilités autant devant dieu que devant son peuple. Le moment venu et le temps venu, l’aide en général doit être un sujet si important qu’il se doit de faire parti d’un débat même à grande échelle voir l’ONU… 

Un débat (comme le nôtre) ne veut nullement dire arrêter une décision plus qu’il ne dit « prendre conscience du problème voir d’une situation». Dans un débat, nous avons une idée et non conclusion ce n’est qu’après moult réunions que le paysage s’éclaircisse et que la vision devienne plus réaliste voir logique et que la décision à prendre s’avèrera incontournable, respectable et surtout admise pour être honorée. C’est le sens du dialogue qui nous a fait défaut lors de l’établissement de la constitution européenne, du CPE ou qui s’est imposé bien en retard. La société française n’est pas celle des pays sous développés ou en voie de développement tout comme ses associations ne sont pas celles de ces dits pays à savoir chacune à sa tête tel ou tel grand bonnet pour n’exister que pour applaudir et affirmer ce qu’à tel ou tel niveau est décidé… La société a atteint un degré de maturité qui impose aux dirigeants de tout bord une attention particulière devant les problèmes (conjoncturels ou autres)… Autant le pays d’accueil a le droit de choisir qui il veut sur son territoire autant celui qui se dit d’origine à le devoir de s’ouvrir non pas pour l’ouverture mais pour la remise sur rail du train de l’égalité des chances et du respect du citoyen pour son épanouissement afin que ce dernier n’ait pas à aller quémander telle ou telle forme d’esclavage pour sa survie et celle de sa petite famille… Ne pensez-vous pas qu’il n’y a pas de plus grave et de plus dangereux qu’un état sensé défendre ses nationaux tout en nourrissant l’indifférence devant la perte des siens dans ces barques de fortune ou de pardessus tel ou tel paquebot ou encore de soif et de faim en plein sud ? Le respect n’est pas un mot vide de sens lorsqu’il s’agit d’un regard bien intérieur et plein de sens lorsqu’il faut rappeler au monde extérieur que nous existons… Un élu ou un responsable doit respecter ses concitoyens par l’action en direction de l’utilité générale et se faire respecter par ces mêmes citoyens par l’accomplissement des devoirs et non par les différentes formes d’abandon (intérieur) et fausses revendications (extérieures)… C’est un autre monde auquel tous les concitoyens injustement démunis aspirent… Aspiration, sacrée aspiration, mot clé de toute forme de vie et dénominateur commun chez les humains…Alors laissons cet espoir en survie pour l’humanité dont les émigrés… N’est-ce pas là l’objectif de toute révolution que nous voulons populaire ? N’est-ce pas là l’objectif de la liberté, du républicanisme et de la démocratie que nous voulons encore plus révolutionnaires? Seulement : Avons-nous assez de conscients pour prétendre que la relève ne veut nullement dire passage de témoin à tel ou tel partenaire issue de telle ou telle conjoncture? Sommes-nous assez conscients pour reconnaître que si le bien dangereux passé « proche ou lointain» nous a enfanté ce présent avec ces graves situations, l’avenir pourra-t-il rester indifférent devant ce présent qui deviendrait alors tout simplement un passé ? N’y a-t-il pas le risque de surprise ? Pour que la conscience soit réellement de notre côté nous nous devons de revoir notre méthodologie des demandes et des attributions des aides gouvernementales en direction des pays sous développés ou en voie de développement car celle à laquelle les peuples de ces dits pays ont droit est si nulle (par son utilisation) que ces derniers trouvent le salut dans les différentes tentatives pour s’exiler et être ainsi considérés tels des émigrés… (N’ayons pas à avoir honte de demander un accompagnement lorsque notre faible vue ne peut nous permettre de traverser telle ou telle voie sans danger.) N’ayons pas honte de lancer un SOS lorsque la force de suivre nous fait défaut… Parfois ils (les émigrés) arrivent à bon port (filières et comptoirs de la clandestinité veillent) pour finir dans le renouvellement de l’ère de l’esclavage et parfois ils finissent en haute mer (fin qui reste aussi un salut). Parfois, du noir, dans le noir et pour le noir ils survivront pour faire vivre les leurs et souvent dans la clarté du jour de ce pays qu’ils ont servi sont expulsés sans aucune forme de procès même pas le dernier des respects dû à leur farouche volonté de défier la mort pour leur survie et celle des leurs. (Où sont-elles donc ces belles leçons d’humanisme que les uns et les autres nous tirent du fond de leurs tiroirs lorsqu’ils veulent se faire aussi beaux, que telle ou telle lune ?) Parfois et souvent mais laissons ce parfois et ce souvent à chacun de nous pour mieux comprendre ce phénomène et surtout comprendre les raisons de ceux qui s’imposent ce que d’autre imposent sans aucun doute avec tel ou tel pincement au cœur mais ils doivent honorer leur présence et espérer donner plus de chances à celle des autres... Sacré sens de l’amour famille, en plus d’un esclave, que peux-tu faire encore de l’humain ? Si seulement les dirigeants des pays d’origine relevaient le défi en se remettant aux réels devoirs de l’homme responsable. (Encore faut-il qu’ils sachent envers qui ils sont responsables ? Ne le sont-ils pas avant tout devant dieu ?) Mais ces derniers en se faisant bâtir telle ou telle grandeur ont-ils le courage de reprogrammer leur mode de vie et de gestion selon le vœu et les aspirations de leurs peuples ? De cette place si basse que j’occupe j’en doute fort ne serait-ce qu’au vu du train de vie de certains de leurs familles et proches compris)… Encore faut-il que les pays d’accueil prennent le taureau par les cornes et fassent de la médiocrité de la gestion de certains, un problème international voir humanitaire comme il le font dans le monde du nucléaire et de ce qu’ils veulent nous faire croire et qu’ils appellent le terrorisme ? (Comme vous voyez le problème de l’immigration peut nous mener plus loin que certains ne le pensent.) Donc, ne sommes-nous pas en droit de comprendre qu’il y a eu à tel ou tel moment, à tel ou tel niveau, telle ou telle complicité ? Ne pensez-vous pas que ce problème doit être abordé bien loin de toute forme philosophie partisane ou autre et de toute législation nationale ou internationale à savoir aborder dans un cadre bien humain sous une forme bien humaine ? Encore faut-il reconnaître le rôle de l’immigration utile et de cette autre bien inutile laquelle porte bien atteinte à la première.

Ce tour d’horizon nous informe que le problème de l’immigration n’est pas aussi simple que nous pouvions croire… Je ne sous entends nullement une quelconque position sur l’immigration en général mais je dis clairement que le bonheur de l’un est toujours issu du malheur de plusieurs autres… Si aujourd’hui certains pays se veulent ce qu’ils se veulent c’est uniquement parce qu’hier ils ont fait ce qu’ils voulaient, comme ils le voulaient et quand ils le voulaient sur le dos de ceux qu’aujourd’hui, les uns avilissent et les autres persécutent… Ce qui revient à dire que chaque être vivant à un droit sur une autre être vivant ne serait-ce que par cette alliance «l’humanité»… Encore faut-il que ce mot véhicule le même sens chez tous les humains. Encore faut-il que les différents paliers n’aient pas le droit à certains mots d’ordre que nous laissons en sous-entendus… Indirectement comme directement, nous avons énumérés certains points responsables directs de l’immigration. Il y a d’autres qui sont aussi responsables mais indirectement à savoir certaines lois dont celle sur l’asile politique qui n’a pas le même cachet voir sens autant chez les uns et chez les autres que chez le législateur. Celle qui attribue la nationalité par naissance aussi est une forme d’encouragement à l’immigration. Cette autre aussi qui favorise la double nationalité aussi n’est pas pour autant étrangère à ce flux d’étrangers dans votre pays… Ne voyez-vous pas ici une invitation tout comme je vois une certaine complicité avec le maîtres des pays d’origines pour que ces derniers soient allégés de tel ou tel semble-t-il fardeau afin de satisfaire les visées des uns et le sentiment de grandeur des autres sans parler du culte de la personnalité qui refait surface? Donc comme vous voyez tout est à revoir et à redéfinir… Le problème qui semble ne concerner qu’une infime partie de la société peut devenir un problème bien plus important avec des solutions bien plus, soit embarrassantes soit salutaires autant pour le pays d’accueil que pour celui dit d’origine.

a suivre

sisi kiwia

[modifier] 1/3

Bonjour,

"le monde compterait près de 200 millions de migrants. Un tiers environ se sont rendus d'un pays en développement vers un autre et un autre tiers d'un pays en développement vers un pays développé."

Ca fait 2/3. Le dernier est une migration d'un pays en voie de dev vers un autre pays en voie de dév ? Gaelle-et-yuksel

[modifier] Importance de l'article

Je propose que l'importance de l'article soit portée à "maximum" car il me semble qu'il correspond à un "sujet est très important au niveau universel ; il est traité par toutes les encyclopédies imprimées." pour des raisons pratiques, je le passe immédiatement en "maximum", si vous n'êtes pas d'accord vous pouvez (et devez) le replacer dans sa catégorie initiale en argumentant un minimum ci-dessous. Cordialement, Raziel {boudoir} 7 juin 2007 à 23:37 (CEST)

[modifier] Immigration non-européenne

Des estimations diverses circulent sur le nombre de Français qui sont issus de l'immigration non-européenne. L’estimation qui est basée sur des chiffres officiels de l’immigration est la suivante : il y a en France deux tiers d’Européens d'origine et un tiers avec au moins un ançêtre récent d'origine extra-européenne. L’estimation est basée sur le fait qu’à partir des années 1950, la très grosse majorité du flux d’immigration en France est d’origine non-européenne (surtout d’origine africaine : Noirs et nord-africains).

Voici, en résumé, d’après les nombres officiels d’entrée des étrangers, les éléments de cette estimation :

-premier nombre officiel : chaque année 100 000 immigrés clandestins supplémentaires entrent en France. Le nombre d’immigrés clandestins est stable (entre 200 000 et 400 000) puisque ceux qui sont présents obtiennent d’une façon ou d’une autre la régularisation (mariage, naissance d’enfant sur le sol européen, etc.) et ils sont remplacés dans les statistiques par de nouveaux arrivés.

-deuxième nombre officiel : il y a chaque année en moyenne 140 000 immigrés officiels en provenance hors d’Union européenne.

Lien qui confirme 100 000 immigrés clandestins supplémentaires par an : http://www.rfi.fr/actufr/articles/076/article_43041.asp

Citation : « Le ministre de l’Intérieur Nicolas Sarkozy considère qu’entre 200 000 et 400 000 clandestins seraient présents sur le territoire et entre 80 000 et 100 000 supplémentaires y entreraient chaque année. »

Lien qui confirme 160 000 immigrés réguliers hors ressortissants communautaires en 2005 (en moyenne 140 000 par an depuis 10 ans) : http://www.interieur.gouv.fr/misill/sections/a_l_interieur/le_ministre/interventions/06-06-2006-immigration/view

Citation : « Autre résultat encourageant : le flux global de l'immigration régulière est stabilisé, pour la première fois depuis dix ans. Le nombre des premiers titres de séjour délivrés, hors ressortissants communautaires, a même légèrement baissé en 2005, pour atteindre 164 234 titres (- 2%). »

Premier nombre officiel plus deuxième nombre officiel, cela donne 240 000 entrées par an. En 50 ans ça fait 12 000 000.

Donc l’estimation qui donne 10 000 000 d’entrées d’origine non-européenne depuis 50 ans, est proche de la réalité. Si aux 10 000 000 d’entrées d’origine non-européenne depuis 50 ans on rajoute la descendance, cela donne l’estimation d’environ 20 000 000 Français avec au moins un ançêtre récent d’origine non-européenne sur une population totale de 63 000 000.

[modifier] Afrique du sud

A noter à ce sujet un article d'Antoine Bouillon paru en 1998 dans la revue européenne des migrations internationales; tour historique et analyse très intéressants :

« C'est ainsi que l'Afrique du sud ressemble à un pays où tout le monde serait immigré pour tout le monde : les Anglais et les "Bantous" pour les descendants des premiers colons qui se sont approprié le nom d'Africains (Afrikaners), les Afrikaners et les Anglais pour les noirs, les Indiens et les autres pour les blancs et les noirs.  »

Pwet-pwet · (discuter) 30 août 2007 à 11:58 (CEST)

[modifier] Migrations temporaires et définitives

Il me semble qu'il y a un parti pris évident dans la distinction faite à la fin du paragraphe d'introduction : mettre la frontière entre une immigration/changement de lieu et donc temporaire, et une immigration/changement d'histoire et donc à long terme avec volonté d'intégration... c'est certes louable en cours d'éducation civique (juridique et sociale), en France, mais rien n'oblige à considérer que la perspective d'une immigration à très long terme soit forcément concomitante avec une immigration/changement d'histoire.... Que penser de la question des diasporas, par exemple? ou du "modèle d'immigration anglo-saxon"?? On peut s'installer dans un pays sans vouloir en adopter les coutumes et le mode de vie, à mon sens. Cette distinction me semble plus politique (et très francocentrée) que réellement efficiente sur le plan de l'analyse..

Subversion V

Le passage en question ne me semblait pas pertinent, mais vos remarques non plus. J'ai donc tout bonnement supprimé ce passage. Pwet-pwet · (discuter) 27 septembre 2007 à 23:51 (CEST)