Discuter:Gammes et tempéraments

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21 et 22 octobre 2005.

Sommaire

[modifier] Illustrations musicales

Excellent article! Mais ce serait bien d'y ajouter des petites séquences midi pour illustrer un peu tout ça. Ce n'est pas facile de se le représenter mentalement quand on n'est pas spécialiste en musique. Je sais que c'est possible, si quelqu'un pouvait le faire ce serait super bien :-)

.: Guil :. causer 21 sep 2004 à 11:23 (CEST)

J'ai retiré la mention "article de qualité" qui n'aurait pas dû être accordée, au vu de la critique, très réelle, ci-dessus. C'est peut-être utilisable comme support de cours ou dans un bouquin, mais certainement pas de nature à retenir quelqu'un qui tombe sur cette page par hasard. Gérard 28 jan 2005 à 09:12 (CET)


J'ai essayé le midi, le problème, c'est que c'est fait pour écrire de la musique dans notre gamme tempérée, on ne peut pas comparer les gammes, ce qui est le but de l'article. En plus, le résultat dépend de la carte son. En fait, ton idée serait plutôt de rajouter du mp3 avec un bon synthé pour comparer les intervalles dans les différentes gammes. Ceci dit, il faut vraiment être musicien avec une bonne oreille (i.e. être habitué à reconnaître les intervalles) pour se rendre compte de la différence. --Kingmike 19 mai 2005 à 12:42 (CEST)

... ou superposer un bourdon, ce qui permet de différencier sans ambiguïté gamme juste et gamme tempérée. Lanredec 8 février 2006 à 23:05 (CET)

[modifier] Harmoniques

Maintenant que l'article harmonique est créé, je ne laisse dans le § préliminaires, que l'essentiel, renvoyant pour le reste à cet article (de qualité). --LR 28 mar 2005 à 13:12 (CEST)

[modifier] Cycle des quintes

Douze quintes ne correspondent pas exactement à sept octaves. Ceci est présenté comme un défaut de la gamme de Pythagore.

La pauvre gamme n'y peut rien, et aucune ne peut avoir raison contre elle sur ce point : 3 et 2 étant des nombres premiers entre eux (aucun autre diviseur commun que 1), il s'en suit qu'aucune de leurs puissances ne peut jamais être égales ! Pareil pour 3 et 5, et pareil pour 2 et 5. Cette impossibilité de retrouver "exactement" des octaves ou des tierces à partir des quintes est donc radicale, et c'est elle qui explique l'existence de dizaines de tentatives pour trouver des compromis acceptables. La gamme de Pythagore privilégie totalement la quinte au détriment de la tierce, mais il faut dire que c'est en lien avec l'exthétique musicale : la tierce au moyen-âge était un intervalle de passage qui, la plupart du temps, se "résolvait" vers la quinte ou l'unisson et qui, jamais au grand jamais, ne figurait dans l'accord final. Par contre, fin 15è, lorsque la tierce est devenue une sonorité intéressante par elle-même, une autre solution exptrême est apparue : le mésotonique 1/4 ton, qui rend juste la tierce majeure au détriment de la quinte (pire que la quinte tempérée). Donc il n'y a pas d'arbitraire et de logique mathématique isolée du contexte, il y a un lien manifeste entre la musique écrite et le tempérament qui l'exprime !

Alain Naigeon

anaigeon@free.fr http://anaigeon.free.fr (Musique Renaissance)


Je n'ai pas l'impression (euphémisme) qu'il soit écrit autre chose dans toute la série d'articles ... Gérard 6 avr 2005 à 08:27 (CEST)

[modifier] Intervalles simples

Tout votre article est génial, super complet et très bien expliqué. Je n'ai pas trouvé mieux sur le web.

Une remarque sans importance : au paragraphe sur les intervalles les plus simples, vous écrivez qu'au moyen-âge, seuls la quinte et l'octave sonnaient juste aux oreilles des auditeurs. N'est-ce pas parce que ce sont les seuls intervalles amodaux de l'accord parfait ? Pourriez-vous revenir sur ce qui rend un intervalle modal ?

La notion de "justesse" (qui est développée par ailleurs) n'est - à mon sens - fondée de manière indiscutable ni mathématiquement ni physiquement, ni même physiologiquement : ce ne serait qu'une convention culturelle qui laisse la place à beaucoup de flottement et d'imprécision. On est de nos jours habitués au tempérament égal ou aucun intervalle n'est juste (au sens mathématique de rapport algébrique à termes entiers de faible valeur) et manifestement, cela ne gêne plus personne ... aussi, trouver une justification rationnelle du fait signalé apparaît comme une chimère, un peu comme les contorsions intellectuelles auxquelles se livre Rameau pour justifier l'accord parfait mineur selon un raisonnement calqué sur celui de l'accord parfait majeur ! Mais ce n'est que mon interprétation et je ne prétends pas qu'elle est la seule ou même bonne. Gérard 19 mai 2005 à 19:09 (CEST)

[modifier] Pythagore

Je tiens à rectifier une petite erreur dans le paragraphe sur la gamme pythagoricienne :

En fait, Pythagore n'a pas inventé "son" théorème, qu'on attribue d'ailleurs à d'autres mathématiciens selon qu'on parle anglais ou allemand. Le nom de ce théorème a été donné par hommage au grec Pythagore. De plus, les grecs ne parlaient de mathématiques qu'en termes de géométrie : ils ne connaissaient pas notre notation abstraite des nombres. Donc ce fameux théorème ne leur aurait pas vraiment servi...

[modifier] Mode andalou

Concernant le mode andalou, il semblerait que ce soit le mode phrygien. Il est joué sur l'accord de dominante suspendu et bémol 9 qui caractérise la musique flamenco.

[modifier] Lien externe mort

Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, un lien était indisponible. Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 31 janvier 2006 à 03:10 (CET)


La structure du serveur a dû changer (ou bien la page n'est pas accessible directement) : il faut entrer par http://www.educnet.education.fr/musique/index.htm (Dbfls 10 février 2006 à 20:30 (CET))

[modifier] exemples

I've created a Category:Tuning examples on wikicommons (see http://commons.wikimedia.org/wiki/Category:Tuning_examples). Have a look and feel free to use some of it! --84.151.133.24 26 mars 2006 à 01:09 (CET)

[modifier] Musique classique ?

Bonjour,

Pourquoi avoir mis un bandeau {musique_classique} au début de l'article ? Ne s'agit-il pas d'un article traitant de la théorie musicale et qui concernent toutes les musiques ? Après tout, les gammes sont à la base et celles-ci s'adressent aussi bien à l'électronique qu'au rock. Qu'en pensez-vous ? Helsph 10 avril 2006 à 22:58 (CEST)

[modifier] à sons fixes

Les instruments à son fixes sont souvent mentionnés dans cet artcile et ceux traitant des tempéraments. Cependant on n'indique pas de quels instruments il s'agit... où alors il faut chercher. Est-il possible de créer un lien ?--Ruizo 15 avril 2006 à 09:50 (CEST)

[modifier] Terminologie et étymologie

C'est un peu bizarre : le début du paragraphe indique "la gamme dite heptatonique, c'est-à-dire comprenant sept notes dans un intervalle d'octave." Suit la liste des noms des notes, en Français, équivalent Anglo-Saxon et Germanique. Et là, on a ... 8 notes, avec le Sib, du fait de son nom spécique dans l'équivalent Germanique. Or dans les deux autres systèmes, le Sib n'est pas différent d'un Solb il me semble. Je ne connais pas l'histoire précise du Sib / H, sinon j'aurais modifié le tableau en retirant le Sib et en ajoutant l'information que celui-ci est noté H dans le système Germanique. Quelqu'un connait-il le fin mot de l'histoire?

Bozgrul 7 septembre 2006 à 14:52 (CEST)

Il n'est jamais trop tard pour bien faire. J'ai retiré le si bémol qui n'a rien à faire dans le tableau avec un Nota Bene pour dire ce que les allemands désignent par "B". Gérard 16 février 2007 à 17:03 (CET)

[modifier] interval sonore et logarithme

la présentation suivante n'est pas une démonstration "L'oreille identifie des « intervalles », grandeur additive que nous percevons comme une différence de « hauteur », quand la physique identifie des rapports de fréquences.

Soient trois sons A, B, C tels que nous analysons les intervalles relatifs B-A et C-B comme identiques. Notons respectivement hA, hB et hC les « hauteurs » de ces trois sons : nous écrivons donc : hA - hB = hB - hC

Si nous notons fA, fB, fC leurs fréquences relatives, celles-ci satisfont à l'équation

fA / fB = fB / fC"

En l'absence de démonstration il aurait été plus juste de dire. "Il a été constaté que les fréquences des notes d'une gamme sont proportionnelles entre elles et vérifient donc les propriétés logarithmiques entre elles."

Et il aurait été encore plus juste de dire qu'avant la gamme, il y a le son, et que partir de la gamme pour aboutir à des considérations sur le son permettant d'introduire la gamme est une approche qui manque à tout le moins de logique et évoque furieusement le cercle vicieux. Boileau (je crois) dixit : « La critique est aisée, mais l'art est difficile » Gérard 26 novembre 2006 à 11:57 (CET)