Discuter:Aristodème (sibylle)

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Je pense qu'il y a une confusion : je n'ai pas supprimé la réponse mais je l'ai déplacé dans Discuter:Aristodème [1]. En effet, j'ai cru qu'il s'agissait d'une source pour Aristodème (sybille), qui n'a donc rien à faire sur cette page de discussion. Donc :
1° c'est une source pour quel passage ?
2° je renouvelle la réponse que j'avais faite : impossible de trouver des Oracles de Tarquin sur le web. Il y a une édition de référence ? Bibi Saint-Pol (sprechen) 19 mai 2006 à 13:20 (CEST)

Il s'agit d'un des recueils de rouleaux manuscrits sur parchemins et papyrus non datés ni signés appartenant à la famille des reines Montebello de Naples. De nombreux passages de ces derniers sont publiés régulièrement dans le journal familial afin d'en préserver le contenu dans les mémoires, au cas où les derniers témoins disparaîtraient. Leur contenue n'est pas public, mais le principal héritage de la descendances de Aristodemos Il Malasio.

daniela 20 mai 2006 à 02:19 (CEST)

Hum, il semble qu'on soit à la limite du travail inédit ici. Quoi qu'il en soit la source devrait être mentionnée explicitement dans l'article. Bibi Saint-Pol (sprechen) 22 mai 2006 à 12:39 (CEST)

Quand une source est de notoriété public, du moins au sein de la plupart des Napolitaines de souche, et en particulier constitue la principale culture parmis les Femminielli, est-il toujours nécéssaire de préciser l'origine de chaque paragraphe?

daniela 23 mai 2006 à 14:55 (CEST)

Non effectivement, pas si c'est un fait de notoriété publique. Cependant la quasi-absence d'occurrences sur le web et la non-mention sur les autres Wikipédia (j'ai regardé en: et it:) montre qu'on n'est pas dans ce cas de figure. Donc autant indiquer la source, ça évitera tout problème ultérieur. Bibi Saint-Pol (sprechen) 23 mai 2006 à 15:13 (CEST)

La quasi absence d'occurrences n'indique rien sinon que personne n'a pris la peine de s'étaler sur un sujet qui visiblement n'intéresse pas grand monde. Si tout ce qui mérite que l'on s'y intéresse était déjà référencé sur le net comme ailleurs, Wikipedia et les initiatives similaires n'auraient aucune raison d'exister. "Et toc!" ;-)

daniela 23 mai 2006 à 21:12 (CEST)

Voilà qui témoigne d'une mauvaise compréhension de ce qu'est Wikipédia. Je cite les deux premières phrases de Wikipédia:Travaux inédits (un des principes fondateurs de WP) :

« L'un des critères d'admissibilité des articles de Wikipédia est qu'elle n'est pas destinée à servir de lieu de publication pour les travaux inédits. Les travaux inédits correspondent à des recherches qui n'ont jamais été publiées en dehors de Wikipédia, ou que l'on ne peut associer qu'à des sources jugées confidentielles et/ou peu fiables. »

Donc peu importe de savoir si le sujet intéresse ou pas du monde, ce qui compte c'est qu'il reste situé dans un cadre [déjà] publié en dehors de Wikipédia, ou que l'on peut associer à des sources jugées [non] confidentielles et/ou fiables. Il est parfaitement clair que Wikipédia n'a pas pour but de s'intéresser aux sujets qui n'ont intéressé personne avant elle, car Wikipédia n'est pas un lieu de recherche et c'est cela même sa raison d'exister : toute information non triviale doit y être sourçable (idéalement, sourcée). Bibi Saint-Pol (sprechen) 24 mai 2006 à 16:23 (CEST)

[modifier] Il Malasio

On ne peux pas mettre en doute l'existence de la "Légende" de la Sibylle Aritodemos Il Malasio, fondatrice de Naples en -478. Par contre est-ce le tyran Aristodème de Cumes, vainqueur à la bataille d'Aricia en -506 et qui participe à la bataille de Cumes ?. Il faudrait dans l'article séparer ce qui reléve de la légende fondatrice de ce qui est "historique" (ou relève de l'histoire "officielle"). --Mandeville 11 mars 2007 à 09:47 (CET)


  • L'histoire "officiel" est celle écrite par les vainqueurs et là en l'occurrence, le vainqueur se trouve être le clergé catholique romain qui par ses siècles d'obscurantisme sexiste et mortificateur, parvint presque à purger la transmission de notre passé de tout les faits historiques en l'accommodant à sa sauce personnelle, pour n'en laissé que ce qui l'arrange et la conforte dans sa position dominante.

Il est possible que Aristodemos ne soit qu'une légende, à l'instar de Gilgamesh, d'Heracles, d'Hatshepsout de Spartacus, de Jason, d'Homère, d'Ulysse, de Moïse ou de Jésus le Nazaréen et de tout ses saints, tout comme il est possible que les exploits qui lui sont attribués aient put être réalisés par d'autres, sous d'autres noms ou portant tout simplement le même patronyme bien que non liés par d'autres liens.

Il demeure le fait que, tout comme dans les histoires de Toto, ce qui caractérise la figure du héros, n'est pas tant l'exactitude des faits rapportés, mais l'identification de celui ci comme de la figure humaine universelle à laquelle toute créature emplie de volonté se doit de s'incarner pour en perpétuer les exploits, comme s'il s'agissait dans l'oeuvre collective des "hommes" de n'en reconnaitre qu'un (ou "une" selon les cultures) en la personne à l'initiative de leur élan.

Tout comme le "fils", fût-il spirituel, attribue l'oeuvre qu'il vient de finaliser au "père" qui en a établi les fondations ou tracé les plants.

Ainsi dans le mythe, Aristodemos parfois appelée aussi Démophilé, est l'une des 50 fille et fils de Priam de Troie mais l'amour d'Apollon fut sa malédiction. Celui ci en lui offrant de vivre bien plus longtemps que tout autres mortelles, omis de lui conserver la beauté de sa jeunesse. Réfugiée aux portes de l'enfer, au pied du Vésuve, on lui attribue la fondation des cités de Cumes, Dikaiarkheia puis Neapolis, le rôle de stratège dans la guerre contre les étrusques et la transmission de ses oracles à Lucius Tarquinius Superbus.

Certains trouvent même dans les tablettes cimmériennes comme dans les paroles rapportées d'Homère, une filiation directe entre la guerre des Achéens contre les Troyens et celles des grecques contre les Atlantes. Aussi rien ne nous empêche de croire que s'il est aussi facile pour le rapporteur d'un récit conté d'amalgamer une suite d'exploits comme si ses derniers avaient été réalisé par un même auteur, l'inverse est tout aussi aisé, faisant par exemple, du long périple d'une seule et même sibylle dont la fonction même est d'être itinérante, 12 personnes bien distinctes...

Deux esprits 26 juillet 2007 à 06:02 (CEST)

[modifier] On s'y perd...

...avec les passages rapides entre "il" et "elle". Le sujet mériterait peut-être d'être un peu développé, pour clarifier la chose. NicoRay 9 octobre 2007 à 23:19 (CEST)

[modifier] On s'y perd...

...avec les passages rapides entre "il" et "elle". Le sujet mériterait peut-être d'être un peu développé, pour clarifier la chose. NicoRay 9 octobre 2007 à 23:19 (CEST)