L'Or des Césars

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L’Or des Césars (Oro per i Cesari) est un film franco-italien réalisé par André De Toth et Sabatino Ciuffini et sorti en 1963.

Sommaire

[modifier] Synopsis

Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.

Un gouverneur romain met un esclave-architecte à la tête d’une expédition chargée de trouver, dans la vallée du Sil de la Gaule, de l’or pour Rome. La mission va devoir constamment affronter les dangereuses attaques de guerriers celtiques

[modifier] Commentaire

[modifier] Fiche technique

  • Titre : L’Or des Césars
  • Titre original : Oro per i Cesari
  • Réalisation : André De Toth, Sabatino Ciuffini
  • Scénario : Sabatino Ciuffini, Millard Lampell, Arnold Perl d’après le roman de Florence A. Seward De l’or pour les Césars (Gold for the Caesars)
  • Musique : Franco Mannino
  • Directeur de la photographie : Raffaele Masciocchi
  • Assistants-réalisateur : Jerzy Macc, Riccardo Freda
  • Photographe de plateau : Angelo Pennoni
  • Directeur artistique : Ottavio Scotti
  • Ingénieur du son : Giovanni Rossi
  • Costumiers : Mario Giorsi, Arrigo Breschi
  • Maquilleur : Maurizio Giustini
  • Coiffeur : Giancarlo Marin
  • Scripte : Anna Gruber

[modifier] Distribution

  • Jeffrey Hunter : Lacer
  • Mylène Demongeot : Pénélope
  • Massimo Girotti : Le proconsul Caius Cornelius Maximus
  • Ron Randell : Le centurion Rufus
  • Giulio Bosetti : Scipion
  • Ettore Manni : Luna le Celte
  • Georges Lycan : Malendi le Celte
  • Furio Meniconi : Dax le Gaulois

[modifier] Autour du film

  • Mylène Demongeot[1] : « Encore un péplum en Italie.[2] L'Or des Césars.[3] […] Le metteur en scène est André de Toth, un des plus célèbres borgnes de Hollywood qui, semble-t-il, préfère maintenant le golf au cinéma. Il laisse bien volontiers le terrain libre à Riccardo Freda, qui réussit des scènes très spectaculaires. C'est plutôt un bon film dans le genre. »

[modifier] Liens externes

[modifier] Notes

  1. Extrait de son autobiographie, Tiroirs secrets, Éditions Le Pré aux Clercs, 2001, ISBN 2842281314
  2. Son troisième et dernier film du genre après La Bataille de Marathon (1959) et L'Enlèvement des Sabines (1961).
  3. Mylène Demongeot écrit, à la suite du titre : « Je retrouve Jeffrey Hunter, qui jouait avec moi dans Bonjour tristesse. » Son partenaire était en fait Geoffrey Horne. La ressemblance et les prénoms similaires des deux acteurs américains ont provoqué une confusion dans la mémoire de Mylène…