Utilisateur:Irønie/test

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L'œuvre de Nietzsche se rattache principalement à la métaphysique matérialiste. Ses écrits incluent des critiques de la religion, de la moralité, de la culture contemporaine, de la philosophie et des sciences, dans un style distinctif trouvant ses fondements dans l'aphorisme ou la poésie. L'influence de nietzsche est substantielle dans la philosophie et au-delà, notamment dans l'existentialisme et le post-modernisme. Ignoré de son vivant, il est aujourd'hui considéré comme l'un des génies ayant modelé la pensée du XXe siècle.

Nietzsche débuta sa carrière universitaire comme philologue avant de se tourner vers la philosophie. A l'âge de 24 ans il devint professeur de philologie à l'Université de Bâle, mais démissionna en 1878 en raison de problèmes de santé, qui l'affecteront toute sa vie durant. En 1889 il montre les premiers symptômes de maladie mentale, l'obligeant à passer sa dernière année de vie en compagnie de sa mère et sa sœur. L'interprétation de son œuvre sera ainsi ultérieurement défigurée par l'image de la folie, et par la propagande nazie.


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Metafysisk er Nietzsche ikke Modèle:Særlig klar, og hans [http://www.indsats.com består] hovedsagelig


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[[image:Nietzsche187a.jpg|130px|right|thumb|[[Friedrich Nietzsche]], vers 1875.]]

Friedrich Nietzsche, vers 1875.
Friedrich Nietzsche, vers 1875.


Latin moderne [1] Candidature admin hihi

TEST :

ironie ·)) 6 novembre 2006 à 10:35 (CET)

--ironie + 21 novembre 2006 à 20:19 (CET)


[modifier] Simulacres et simulation

Le développement du travail de Baudrillard tout au long des années 80 l'a vu se dégager des théories axées sur l'économie au profit de considérations sur la médiation et la communication des masses. Bien qu'il ait maintenu un intérêt pour la sémiotique de Saussure et sa logique d'échange symbolique (sous l'influence de l'anthropologue Marcel Mauss) Baudrillard a de plus en plus tourner son attention vers les théories de Marshall McLuhan, développant des idées au sujet de la façon dont la nature des relations sociales est déterminée par les formes de communication qu'une société utilise. De cette manière Baudrillard s'est déplacé réellement au delà de la sémiologie formelle de Saussure et de Roland Barthes pour considérer les implications historiquement comprises, et ainsi informelle, d'une version de sémiologie structurale.

De manière notoire, il soutient — dans le livre L'échange symbolique et la mort — que les sociétés occidentales ont subi une « précession de simulacre » (le simulacre étant cette « vérité qui cache le fait il n'y en a aucune » — un terme approximatif comparable au mot idole dans la bible[1]. La précession, selon Baudrillard, a pris la forme d'arrangement de simulacres, depuis l'ère de l'original, jusqu'à la contrefaçon, à la copie produite et mécanique, et à travers « le troisième ordre de simulacre » par lequel la copie remplace l'original. Se référant à une fable de Borges — qui lui-même écrivait sous le nom de Suarez Miranda - Baudrillard a argué du fait que pour la société actuelle comme la copie simulée a remplacé l'original, ainsi la carte en vient à précéder le territoire. Ainsi en fut-il, par exemple, avec la première guerre du Golfe : l'image de la guerre est venue pour précéder le conflit véritable.

En utilisant cette ligne du raisonnement, Baudrillard en vient à caractériser l'époque actuelle - à l'instar de Ludwig Feuerbach et Guy Debord - en tant que « hyper-réalité » où le vrai en vient à être effacer ou remplacer par les signes de son existence. Une telle affirmation — celle pour laquelle Baudrillard a le plus contribué et a été le plus lourdement critiqué — est typique de la « stratégie fatale » de Baudrillard d'essayer de pousser ses théories sur la société, au delà d'elles-mêmes, à travers le langage. Plutôt que de dire, par exemple, « notre hystérie autour de la pédophilie est telle que nous ne comprenons plus vraiment ce qu'est l'enfance », Baudrillard a soutenu [2] que « l'enfant n'existe plus ». De même plutôt que d'argumenter — d'une façon semblable à Susan Sontag dans son livre On Photography — que la notion de la réalité a été compliquée/embrouillée par la profusion d'images, Baudrillard en est venu à affirmer que : « le réel n'existe plus ». Ce faisant Baudrillard caractérisa, dans le livre Le crime parfait, son défi philosophique comme n'étant plus la question de Leibniz « Pourquoi y a il quelque chose plutôt que rien ?», mais plutôt : « Pourquoi y a il rien plutôt que quelque chose ?»

[modifier] L'antisémitisme

L'hypothèse selon laquelle Nietzsche était antisémite a fait l'objet de nombreuses polémiques, et fut finalement réfutée, notamment par Sarah Kofman, dans Le mépris des Juifs, où elle recense tous les textes de Nietzsche parlant de ce sujet (voir également Yirmiyahu Yovel, Les Juifs selon Hegel et Nietzsche, qui parvient aux mêmes conclusions). Voir également l'avis d'un rabin sur cette question : Entretien avec Reb Weisfish. Sur ce point, selon Yirmiyahu Yovel, on peut résumer ainsi la position de Nietzsche, en affirmant que Nietzsche n'est pas seulement anti-antisémite, mais qu'il possède une vision nuancée et complexe de l'histoire du peuple juif :

- Nietzsche éprouve une grande admiration pour la période biblique qui exprime selon lui la conception de la morale la plus sublime, bien supérieure à toute autre culture ;
- Nietzsche critique sévèrement les prêtres de la période du second temple ; selon lui, les prêtres juifs ont contribué à renverser la hiérarchie naturelle des valeurs, et, en cela, ils se sont montrés vindicatifs et dangereux. Les critiques contre les prêtres juifs de cette période sont très violentes, et ce sont ces critiques qui sont utilisées pour dénoncer leur caractère jugé antisémite.
- En ce qui concerne la diaspora, les Juifs sont pour Nietzsche bien plus qualifiés pour les grands problèmes de la philosophie que tout autre peuple, i.e. ils ont, en Europe, la supériorité intellectuelle. Nietzsche reconnaît l'importance décisive des penseurs juifs du Moyen Âge pour la civilisation occidentale. Il se réjouissait également de voir que l'on trouvait des juifs parmi ses premiers lecteurs, alors qu'il voyait avec un certain dégoût comment ses œuvres étaient interprétées par des Allemands. Après sa mort, bien des intellectuels juifs s'intéressèrent à ses œuvres.

Voici quelques textes sur cette question :

« Et c’est pourquoi nous autres, les artistes, entre les spectateurs et les philosophes, nous avons pour les juifs — de la reconnaissance. »
« Ils [les Juifs] n'ont jamais cessé eux-mêmes de se croire appelés aux plus grandes choses et les vertus de tous ceux qui souffrent n'ont pas cessé de les parer. La façon dont ils honorent leurs pères et leurs enfants, la raison qui préside à leurs mariages et à leurs mœurs conjugales les distinguent parmi tous les Européens. »[3]

Les antisémites sont pour lui l'incarnation du ressentiment le plus laid :

« Depuis que Wagner était en Allemagne il s’abaissait peu à peu à tout ce que je méprise – et même à l’antisémitisme. »
« je ne puis les souffrir non plus, ces nouveaux spéculateurs en idéalisme, ces antisémites qui aujourd'hui se font l'œil chrétien, aryen et bonhomme et par un abus exasperant du truc d'agitateur le plus banal, je veux dire la pose morale, cherchent à soulever l'élément "bête à cornes" d'un peuple. »
« L'antisémitisme est l'une « des aberrations les plus maladives de l’auto-contemplation hébétée et fort peu justifiée du Reich allemand. »
« Il y a quelque temps, un certain Theodor Fritsch de Leipzig m’a écrit. En Allemagne, il n’existe pas d’engeance plus impudente et crétine que ces antisémites. »

Dans quelques cas, Nietzsche a utilisé la rhétorique antisémite de son temps, en en inversant toutefois la portée : par exemple, prenant au pied de la lettre le slogan antisémite qu'il y avait trop de Juifs en Allemagne, Nietzsche estime que la solution consisterait peut-être à expulser les antisémites (et non les Juifs donc), afin qu'un tel sentiment d'hostilité disparaisse, et que la culture juive puisse profiter à la culture allemande et à l'Europe. Il reste que Nietzsche utilise parfois des lieux communs antisémites (l'image du Juif riche par exemple, mais dans un sens positif, au contraire du sens péjoratif donné par les antisémites ; néanmoins, cela reste un cliché, même utilisé positivement[4]), mais il n'a jamais appelé à une quelconque haine envers les Juifs, étant donné l'idée qu'il se faisait de leur importance décisive pour l'avenir de l'Occident.

Il faut enfin souligner que les antisémites ont tenté de récupérer Nietzsche de son vivant ; il écrivit à sa sœur ces propos que l'on peut juger prémonitoires :

« Personne ne me connaît assez ; et mon histoire de ces quinze dernières années est une énigme pour tout le monde. Nul de mes "amis" ne sait comment on me fait du bien ni comment on me fait du mal. (...) C'est toi, mon pauvre lama, qui as fait une des plus grandes bêtises, et pour toi, et pour moi. Ton mariage avec un chef antisémite exprime pour toute ma façon d'être un éloignement qui m'emplit toujours de rancoeur et de mélancolie.(...) Car, vois tu, mon bon lama, c'est pour moi une question d'honneur que d'observer envers l'antisémitisme une attitude absolument nette et sans équivoque, savoir : celle de l'opposition, comme je le fait dans mes écrits. On m'a accablé dans les derniers temps de lettres et de feuilles antisémites ; ma répulsion pour ce parti (qui n'aimerait que trop se prévaloir de mon nom !) est aussi prononcé que possible, mais ma parenté avec Förster et le contre coup de l'antisémitisme de mon ancien éditeur ne cessent de faire croire aux adeptes de ce désagréable parti que je dois être l'un des leurs. Combien cela me nuit et m'a nui, tu ne peux pas t'en faire une idée. La presse allemande étouffe mes écrits sous le silence.(...) Mon abstention éveille la méfiance de tous à l'endroit de mon caractère comme si je reniais en public une chose que je favorise en secret et je ne peux rien faire pour empêcher que les feuilles antisémites utilisent le nom de "Zarathoustra" : cette impuissance m'a déjà presque rendu malade plusieurs fois. »

Dans les milliers de pages de ses deux ouvrages intitulés Nietzsche (1961), le philosophe Heidegger ne fait pas une seule mention de l'état d'esprit de Nietzsche sur la question de l'antisémitisme. Pourtant Georges Bataille dès 1937 dans la revue Acéphale rappelle une maxime de Nietzsche (écrite en capitales) : « Ne fréquenter personne qui soit impliqué dans cette fumisterie effrontée des races. »[5]

Selon Jean-Pierre Faye [6], il suffit de s'écarter des rumeurs et des à-peu-près pour être renseigner sur l'opinion véritable de Nietzsche. Alors, en fouillant dans le texte apparaît un autre portrait, celui d'un homme visionnaire, qui vocifère dès 1885 contre la « folie du Reich » (Reichs-Narrheit), et le « balourd bavardage aryen[7] »

« Au diable leur coassement ! »[8], « Le bruit le plus détestable vient de quelques antisémites. » [9]

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