Utilisateur:Irønie/travail2

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Det er ingen kunst at forføre en pige, men en lykke at finde én, der er værd at forføre.


Sommaire

[modifier] Shaftesbury

Als führender Kunsttheoretiker der engl. Aufklärung gilt der Graf von Shaftesbury (1671-1713). Er war von der realen Existenz der Welt überzeugt, sprach jedoch der Materie jedes Element der Ordnung und Formbildung ab und erklärte das unmittelbare Sinnenerlebnis für hässlich. Er identifizierte Schönes, Gutes, Wahres und erklärte sie gemeinsam mit Ordnung und Proportionalität als Reflex des Geistes bzw. der Weltseele. Er griff also Gedanken Platos auf, meinte außerdem, dass die menschliche Seele nach Ordnung und Proportionen verlange. Damit und mit der erklärten Einheit von gut, wahr, schön unterstrich er die Rolle des verantwortungsbewussten Menschen im Hinblick auf das Schöne. Er hielt jeden Menschen des Schönen fähig. Deshalb legte er großen Wert auf die erzieherischen Aufgabe (Wirkung) des Ästhetischen, bzw. der Kunst.


[modifier] Søren

da:Søren Kierkegaard en:Søren Kierkegaard en:Philosophy of Søren Kierkegaard

Kierkegaard a été désigné comme philosophe, théologien, père de l'existentialisme, critique littéraire, humoriste, psychologue et poète. Deux de ses idées populaires sont la « subjectivité » et le « saut de la foi ». Ce saut de la foi est sa conception de comment un individu peut croire en Dieu, ou comment une personne peut agir par amour. Il ne s'agit pas d'une décision rationnelle, car elle transcende la rationalité en faveur de quelque chose plus surnaturel : la foi. Il pense ainsi que la foi s'accompagne en même temps du doute. Par exemple, celui qui a véritablement la foi, devrait également douter que Dieu existe ; le doute est la part rationnelle de la pensée d'une personne, sans laquelle la foi n'aurait de consistance réelle. Le doute est un élément essentiel de la foi, un fondement. Exprimé plus simplement, croire en Dieu ou avoir foi en son existence, sans jamais avoir douté de son existence ou de sa qualité de dieu, ne serait pas une foi valable ou méritante. Par exemple, aucune foi n'est exigée pour croire en l'existence d'un crayon ou d'une table, quand on les regarde et les touche. De manière similaire, croire ou avoir foi en Dieu consiste à savoir qu'il n'existe aucune perception ou autre accès à Dieu, et pourtant garder sa foi.

Kierkegaard souligne également l'importance de conscience, et la relation de la conscience au monde comme étant fondés sur la conscience de soi-même et l'introspection. Il soutient dans Post-scriptum définitif et non scientifique aux miettes philosophiques que « la subjectivité est vérité » et que « la vérité est subjectivité. »


Communication indirecte et pseudonymes d'auteur

La moitié des travaux de Kierkegaard a été écrit sous le masque de divers personnages pseudonymes qu'il créa pour représenter différentes manières de penser. C'est là une partie de la « communication indirecte » de Kierkegaard. D'après plusieurs passage de son travail et de ses journaux, tel Point de vue explicatif de mon œuvre d'écrivain, Kierkegaard rédigea de cette façon afin d'empêcher ses travaux d'être traités comme un système philosophique avec une structure systématique. Dans cet ouvrage posthume, il écrit : « Dans les travaux pseudonymes, il n'y a pas un mot simple qui est le mien. Je n'ai aucune opinion au sujet de ces travaux sinon en tant que tierce personne, aucune connaissance de leur signification, excepté comme un lecteur, pas la moindre relation privée ou distanciée avec eux.  »

Kierkegaard a employé la communication indirecte pour empêcher ou gêner ceux qui chercheraient à s'assurer que l'auteur soutient réellement les idées présentées dans ses œuvres. Il a espéré que les lecteurs liraient simplement son travail pour sa valeur informelle, c'est à dire sans chercher à l'attribuer et l'interpréter selon certains aspects de sa vie. Kierkegaard cherchait également à éviter que le lecteur considère son travail comme un système faisant autorité, mais cherche plutôt par eux-mêmes les manières de l'interpréter.

Les premiers commentateurs, tel Theodor W. Adorno, ont négligé les intentions de Kierkegard et soutiennent que l'intégralité de la production écrite de Kierkegaard doit être analysée comme les propres idées personnelles et religieuses de l'auteur.[1] Cette vision mène à beaucoup de confusions et de contradictions, qui rendent Kierkegaard incohérent[2] De nombreux commentateurs ultérieurs de Kierkegaard ont cherché à respecter les intentions de Kierkegaard et ont interprété son travail en attribuant ses textes pseudonymes à leurs auteurs respectifs.

Les pseudonymes les plus importants de Kierkegaard, dans l'ordre chronologique :

  • Victor Eremita, rédacteur de Ou bien ... ou bien
  • A, auteur de nombreux articles dans Ou bien ... ou bien
  • Juge William, auteur des réfutations à A dans Ou bien ... ou bien
  • Johannes de Silentio, auteur de Crainte et tremblement
  • Constantin Constantius, auteur de la première moitié de La répétition
  • Jeune Homme, auteur de la deuxième moitié de La répétition
  • Vigilius Haufniensis, auteur de Du concept d'angoisse
  • Nicolaus Notabene, auteur des Préfaces
  • (Hilarius Relieur), rédacteur des Étapes sur le chemin de la vie
  • Johannes Climacus, auteur des Miettes philosophiques... et de Post-scriptum...
  • Inter et inter, auteur de (La crise et une crise dans la vie d'une actrice)
  • H.H., auteur de (Deux essais éthico-religieux)
  • Anti-Climacus, auteur de (La maladie à la mort) et de (Pratique dans la chrétienté)

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http://antiscolastique.free.fr/html/index_sanschap_txt02.htm

Logocentrisme et la critique des oppositions binaires

Le souci essentiel de la déconstruction est une critique radicale du projet des Lumières et de la métaphysique, incluant en particulier les textes fondateurs de philosophes tels Platon, Rousseau, et Husserl, mais également d'autres sortes de textes, y compris la littérature. La déconstruction identifie dans la tradition philosophique occidentale un « logocentrisme » ou la « métaphysique de la présence » (parfois connue sous le nom de phallogocentrisme) qui soutient que le discours-pensée (logos) est une entité privilégiée, idéale, et omniprésente, de laquelle dérive tous les discours et significations. Ce logocentrisme est la cible primaire de la déconstruction.

Une forme typique de lecture déconstructive est la critique des oppositions binaires, ou la critique de la pensée dichotomique. Un argument déconstructiviste central soutient que, dans toutes les dualités classiques de la pensée occidentale, un terme est toujours privilégié ou « central » par rapport à l'autre. Ce terme privilégié étant celui qui est le plus associé avec le phallus et le logos. Par exemple :

  • la parole sur l'écriture
  • la présence sur l'absence
  • l'identité sur la différence
  • la plénitude sur le vide
  • la signification sur l'absence de signification
  • la maîtrise sur la soumission
  • la vie sur la mort

Derrida soutient dans De la grammatologie que dans chaque cas, le première terme est classiquement conçu comme original, authentique, et supérieur ; alors que le second est considéré comme secondaire, dérivé, voir même « parasite ». Ces oppositions binaires, ou « hiérarchies violentes », et d'autres de leur formes, devraient donc être déconstruites.

Cette déconstruction est effectuée de deux manières : « la Double Séance ». Etant à la base de l'histoire de la philosophie depuis des milliers d'années, ces oppositions binaires ne peuvent selon Derrida être simplement dépassées ; il serait trompeur de croire se placer dans un domaine de pensée au-delà de ces distinctions. Aussi la déconstruction essaye de compenser ce déséquilibre historique de puissance, en s'interrogeant sur les implications philosophiques, issues des multiples complications présentes dans le questionnement et la démonstration, et en tâchant de révéler les oppositions binaires.


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La déconstruction est une méthode, voire une école, de la philosophie contemporaine. Cette méthode d'analyse textuelle est employée pour « décortiquer » de nombreux écrits (philosophie, littérature, journaux), afin de révêler leurs décalages et confusions de sens, par le moyen d'une lecture se focalisant sur les postulats sous-entendus et les omissions dévoilées par le texte lui-même.

Ce concept, participant à la fois de la philosophie et de la littérature, obtint une grande notoriété aux Etats-Unis, où il est assimilé à l'approche divergente de la « philosophie européenne », ou bien à la philosophie postmoderne. Si le terme « déconstruction » fut d'abord utilisé par Heidegger, c'est l'œuvre de Derrida qui en a systématisé l'usage et en a théorisé la pratique.


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Avital Ronell est une critique littéraire, philosophe, professeur, féministe américaine. Elle est actuellement professeur de littérature comparée, d'allemand et d'anglais à l'Université de New York. Elle est surtout connue aux états-unis pour être la représentante américaine de la « French theory » (déconstruction).

Ronell est née à Prague de parents diplomates et fut une artiste de performance avant d'entrer à l'université. Elle étudia avec Jacob Taubes à l'Institut d'Herméneutic de Berlin, obtint son doctorat à l'Université de Princeton en 1979, et continua ensuite ses études avec Jacques Derrida et Hélène Cixous à Paris. Elle rejoignit la faculté de litérature comparée à l'Université Berkeley puis à celle de New York.

L'oeuvre de Ronell est liée à des travaux de philosophes, dont notamment Derrida, Nietzsche, Heidegger, Levinas, Blanchot, Lacoue-Labarthe et Nancy. Dans ses ouvrages, elle s'interroge et étudie le sujet des questions établies, se focalisant sur toutes choses qui « éloigne de promesses immédiates de transparence ou signification », et tranquant ce qu'elle appelle « l'inconscient rhétorique d'un texte »[3]. Les objets, prétexes de son travail de déconstruction, furent notamment la technologie, la Guerre du Golf, le SIDA, l'Opéra, le téléphone d'Heidegger, la dépendance et la stupidité.


[modifier] Anecdotes

  • Elue « femme la plus dangereuse des USA » par Research magazine, mais aussi « une des trois meilleures écrivaines » par Village Voice.
  • Surnommée « the black lady ».