Discuter:Géostratégie de la Russie

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Sommaire

[modifier] Article pas objectif

1 mar 2005 à 14:55 172.210.170.190 a dit :
On ne peut pas dire que cet article soit objectif. La Russie est encore représentée comme un monstre, preuve que la guerre froide n'a pas cessé d’exister dans nos esprits. C'est toujours le coté négatif des choses qui est mis en avant, avec des comparaisons douteuses avec ce qui se fait en Occident (forcement mieux).

  1. 1 - Ce n'est pas parce que la Russie n'est plus l'URSS qu'elle est devenu un agneau dans le jeu diplomatique. Le contexte est défini dès la première phrase.
  2. 2 - Il n'y a aucune attaque ni aucune haine contre la Russie. Je pense qu'elle est un grand pays et je salue son retour dans le "grand jeu" pour contrebalancer l'influence américaine.
  3. 3 - La Russie défend ses intérêts, il n'y a là absolument rien d'anormal. L'article est juste fait pour la compréhension de son action. Et peu à peu j'espère développer la même chose pour les autres pays. Dans le cas de la Russie je voulais juste saluer son grand retour.
  4. 4 - Il n'y a rien de faux dans le texte et toutes les informations sont justes. Ce qui te gène peut-être c'est l' "éclairage froid" donné par la vision "géostratégique". Il est vrai que peu de gens sont sensibilisés à cette façon de voir. -Semnoz 3 mar 2005 à 05:34 (CET)

[modifier] Article peu convaincant

L'éclairage géopolitique offert par l'article est non seulement inconsistant mais insuffisant. Dire que le retour de la Russie sur la scène internationale date du tricentenaire de St-Petersbourg est soit digne d'une incompétence soit un manque très net de compréhension générale de l'évolution historique de la Russie depuis les quinzes dernières années. Il faut essayer, selon les normes wikipédiennes d'éviter les jugements trop faciles et surtout trop occidentaux ! On ne peut comprendre la Russie qu'en se plaçant dans un cadre russe ! J'apporterai quelques modifications d'ici quelques semaines. --YoungPadawan 30 avril 2006 à 06:32 (CEST).

Les informations de l'article sont celles du contexte de fin 2004, il faudrait effectivement les réactualiser. Merci de ta volonté de t'atteler à la tâche. Mais tu devrais prendre un pseudo, cela serait plus convivial. Attention aux termes et aux concepts, car trop souvent "compétence" a rythmé avec "manipulation". -Semnoz 30 avril 2006 à 12:16 (CEST)
J'ai commencé les modifications de l'article. J'espère que celles-ci offriront une information plus adéquate (surtout avec son approche historique) et plus réaliste (c'est-à-dire moins partisane). --YoungPadawan 2 mai 2006 à 18:51 (CEST).
J'y ai aussi mis ma patte. Je vais aussi veiller à ce que l'article ne soit pas partial ou incomplet. Amicalement.--Atilin 3 mai 2006 à 05:00 (CEST)

[modifier] Appel à l'objectivisme

Je mets en garde les contributeurs à cet article contre les affirmations trop stéréotypées, généralisatrices et superlatives en veillant à bien se documenter autrement qu'auprès des journaux gratuits distribués dans le métro. La vie n'est pas faite que des couleurs blanche et noire. Merci.--Atilin 6 mai 2006 à 03:20 (CEST)

Atilin, tu es quand même un peu dur. La compréhension de la Russie et des Russes par les Français est d'abord une bien longue histoire. Les Russes attirent les Français mais la Russie les inquiète. La vision des Français, et même de leur diplomatie, a longtemps été dévoyée par les écrits d'Astolphe de Custine qui a fait de ses voyages un compte-rendu critique plutôt condescendant en même temps que réprobateur et presque à la limite de la calomnie, mais aussi par les livres des Russes — Tchekov, Tolstoï, Dostoïevski, Gogol et quand même plus récemment Soljenitsyne — et de non-Russes — n'oublions pas ce que l'on doit à la comtesse de Ségur, à Kipling, au film "Le Docteur Jivago", mais aussi à Karl Marx et Engels, pères du redoutable "homo sovieticus".

Bref pour beaucoup, la Russie est une Russie imaginaire et fantasmée, avec ses personnages originaux et bizarres, ses samovars, ses datchas sous la neige, son culte de la tristesse, de la mélancolie et de l'éternel vague à l'âme, mais aussi des sentiments exacerbés. Une Russie désordonnée, insouciante et folle, habitée par de riches féodaux, des startsi mystiques et de sympathiques paysans paresseux, ivrognes et soumis, Kipling affirma qu'il n'y avait de bons Russes qu'en blouse et en bottes. Mais lorsque la Russie se rapproche de l'Occident et se comporte comme lui tout en gardant son âme slave, elle devient inquiétante et la méfiance s'installe.

La deuxième frontière est celle de l'orthodoxie, d'un christianisme venu directement de l'Orient sans passer par le normalisme romain. Un christianisme orthodoxe qui a profondément marqué charnellement l'âme Russe. Cette spiritualité est pour nous incompréhensible, obscure, complètement étrangère et même menaçante, car nous sommes nous même — occidentaux — profondément marqués par le catholicisme fonctionnariste romain et par le protestantisme luthérien, qui font que notre relation à Dieu est très différente, et qu'aujourd'hui nous sommes plus attirés par le boudhisme thibétain et même le soufisme que par le christianisme orthodoxe.

Soljenitsine que nous adorions, dissident et dénonciateur de l'URSS stalinienne est aujourd'hui presque oublié, depuis qu'il a commencé à dénoncer nos travers et a préféré partir à la recherche de ses racines spirituelles. Poutine, profondément Russe mais aussi très moderne, réalise un immense travail de recollement et de modernisation de la Russie, mais son regard bleu glacial et son passé trouble fait peur aux occidentaux, surtout lorsqu'il le fait avec une brutalité pourtant coutumière pour un Russe, alors que nous-mêmes oublions bien vite nos anciennes pratiques de pacification coloniale. -Semnoz 8 mai 2006 à 08:56 (CEST)

Bonjour, Semnoz. Merci pour votre excellent commentaire, si bien écrit et tellement vrai. Je suis entièrement d'accord avec vous. Malheureusement, cette incompréhension et la peur irrationnelle de la Russie de la part des Français qui sont pourtant tellement proches mentalement des Russes, bien plus même que les Québecois qui partagent la même langue, empoisonne de plus en plus les relations entre les élites des deux pays. Les Présidents se comprennent, mais c'est surtout la presse française, de gauche ou de droite, qui se délecte en déversant des tonnes d'acides sur la société actuelle russe, à l'aide de dissidents Russes d'aujourd'hui, toujours bons dans des exagérations littéraires et une auto-flagélation philosophique. Et c'est normal - il faut trouver un sujet qui fait peur (et donc fait vendre son article et son journal) de façon plus subtile et imagée que les présidents iranien ou américain (des 'méchants' trop banals), une sorte de compte de fées pour les adultes ou on ne sait pas de quel côté le monstre va surgir... En tout cas, j'espère qu'une bonne analyse géopolitique, sans préjugés infusés au folklore, vodka et références aux poupées russes, va prévaloire dans l'opinion publique française et dans cet article en particulier. Amicalement, --Atilin 9 mai 2006 à 04:18 (CEST)

Evidemment ! On s'en étonne encore, mais il semble bien que les médias aient un sérieux parti pris quand ils tentent d'analyser la situation en Russie. En réalité, le regard porté par les journaux à l'égard de la Russie reste largement marqué par la Guerre Froide, et on semble oublier que depuis l'affermissement du pouvoir impérial à partir du XVIIIème siècle, la France et la Russie ont entretenu des relations globalement positives. Faut-il rappeler qu'en 1914, le gouvernement français comptait beaucoup sur une déferlante russe contre l'Allemagne en cas de conflit ? En réalité, il semblerait que cet article soit positionné de manière "eurocentrique". En effet, le ralliement des pays baltes par exemple à l'UE semble logique pour beaucoup d'européens. Mais en se plaçant dans un point de vue russe, des relations étroites avec ces mêmes pays sont tout aussi logiques, tant quand on regarde le passé que quand on voit les intérêts stratégiques. En réalité, il faudrait développer les deux visions (le thème de la Russie n'empêchant pas, c'est vrai, d'étudier un point de vue occidental) et expliquer clairement que les pays baltes tentent de s'émanciper puisque ils assimilent encore la Russie à la dictature soviétique... Ce que je raconte là se base sur ce que j'ai pu lire sur ce site, mais aussi dans les journaux et divers livres. Je ne prétends pas donner une analyse bien étayée de la situation, mais j'essaie d'en esquisser les grandes lignes pour aider à l'objectivité dans cet article, comme dans beaucoup d'autres. En réalité, en matière de géopolitique, il est assez simple, même si l'on a une conviction propre, de trouver les arguments sur lesquels repose une doctrine, même opposée à la sienne... Popothius 2 août 2006 à 14:41 (CEST)

[modifier] Attention aux débordements

Je dois faire part d'une réflexion à but constructif au sujet de cet article en formation. Par opposition à sa condition et sa structure ultérieures, l'article gagne nettement en clarté. Les nombreuses informations, indications, précisions et données de toutes sortes (mais toujours cohérentes quant au sujet étudié) offrent un éclairage bénéfique pour les lecteurs potentiels en évitant une diabolisation excessive de la Russie malheureusement trop usuelle en occident de nos jours. Cependant, la conséquence la plus manifeste de l'abondance des informations contenues dans cet article est l'allourdissement de celui-ci en raison d'une surcharge informative qui doit etre évitée ou contournée par des liens internes (vers des articles déjà existants dans lesquels on pourrait intégrer certaines informations) ou par des liens externes offrant des études plus précises sur le sujet. Je propose également à tous les contributeurs de l'article de se concerter sur le nombre de lignes limites pour chaque pays ou groupement de pays mentionnés dans les sections consacrées aux relations extérieures russes (12-15 me semble une limite de lignes raisonnable). Même si j'approuve le fait que les images permettent (souvent) d'alléger certains articles, leur utilisation dans celui-ci est, selon moi, d'une nécessité relative. En résumé, les contributeurs de l'article devraient oeuvrer tant à l'amélioration de l'article en terme d'informations qu'en terme de sélection et de tri de ceux-ci afin de "désengorger" l'article. Qu'en pensez-vous ? --YoungPadawan 14 mai 2006 à 04:46 (CEST)

Tel qu'il se présente actuellement, il est très lisible, et tu as bien fait de renvoyer sur Gazprom ce qui le concernait. De façon générale, quand un sujet dans un article dépasse une quarantaine de lignes, je pense qu'il est tout à fait judicieux de créer un nouvel article, en laissant juste quelques lignes de présentation directement liées à l'article originel et incitant le lecteur à cliquer sur le lien pour aller plus loin sur le sujet. -Semnoz 14 mai 2006 à 06:30 (CEST)
Très bonne idée. J'ai restructuré l'article « Gazprom » car les ajouts récents comportaient certains doublons avec le texte existant.--Atilin 14 mai 2006 à 18:40 (CEST)

[modifier] Article complété

J'ai complété cet article mais je tiens à inviter tous les contributeurs potentiels à le modifier au fil du temps (puisque la géostratégie est un champ d'étude en perpétuel changement) ou à rajouter des éléments d'informations (en évitant les longueurs inutiles par des liens internes ou externes). --YoungPadawan 18 mai 2006 à 21:48 (CEST)

Bravo! Mais ce n'était pas tout à fait fini : je me suis permis de paufiner certains passages. Je trouve aussi que la prépondérance de la question gazière à travers tout l'article est certe juste mais un peu exagérée. Par contre, on traîte très peu ici le retour spectaculaire de l'appareil militaire russe. Je vais tenter de documenter cette lacune. --Atilin 20 mai 2006 à 02:42 (CEST)
Salut, vous avez aussi ce point d'entrée que vous pourrez citer ou documenter pour le sujet de la militarisation de la Russie contemporaine.
Ultrogothe cervoise 7 juin 2006 à 14:20 (CEST)

[modifier] Erreur factuelle

Une grosse erreur figure dans la partie sur les relations avec l'Union Européenne: Les frontières communes de cette dernière avec la Russie ne datent pas de 2004, mais bien de 1995, soit l'adhésion de la Finlande à l'Union Européenne. Petersbourg est à quelques centaines de kilomètres de Helsinki. Je trouve que cela relativise également cette impression lointaine que donne la Russie, qui reste un voisin.

[modifier] Fusion abandonnée des articles Géostratégie de la Russie et Empire slave unifié

rien sur 1,2 million d'articles : auteur | terme

Je propose une fusion dans panslavisme, dans le doute.

à la réflexion, Géostratégie de la Russie, en 2006, ma paraît plus propice.

Lilliputien 6 juillet 2006 à 15:05 (CEST)

Je préfère fusionner dans panslavisme avec en fait juste une mention du livre. Géostratégie de la Russie ne me semble pas adapté, d'abord par ce que ça ne concerne pas seulement la Russie, ensuite parce que cela ne correspond pas à la stratégie de la Fédération. (:Julien:) 6 juillet 2006 à 15:34 (CEST)

aucun rapport! Fusionner la pub d'un livre avec un article analytique???--Atilin 6 juillet 2006 à 16:19 (CEST)

Proposée le 6 juillet 2006 par Lilliputien sans entrée ici. (Jerome66 | causer 6 juillet 2006 à 16:15 (CEST))

Pas de bandeau, pas de motif, pas de projet. Pourquoi encombrer cette page ? --Jus d’ 6 juillet 2006 à 23:23 (CEST)
Les bandeaux ont été enlevés unilatéralement entre temps par Atilin. Jerome66 | causer 7 juillet 2006 à 15:15 (CEST)
Désolé pour ma réaction un peu vive, mais peut-être est-il plus prudent de laisser la personne qui a mis le bandeau créer la section dans PàF.
Il ne faut pas supposer que cette personne a pleinement réfléchi avant de placer les bandeaux. Parfois, c'est fait de façon intuitive et la personne s'aperçoit ensuite qu'elle n'arrive pas à trouver un motif valable pour la fusion. Et dans ce cas, une réaction assez courante est de se donner plus de temps pour réfléchir... donc en laissant les bandeaux en place. --Jus d’ 7 juillet 2006 à 18:36 (CEST)

N'importe quoi, le panslavisme est une chose, la géostratégie est une autre chose. Comme le disait Kissinger ou Maranches, l'immense majorité des personnes est complètement ignorante de l'importance de la géostratégie pour la compréhension des peuples, des politiques, des alliances et des guerres, et à l'évidence on est pas près de la comprendre. Sinon, oui pour un Projet:Géostratégie tout à fait justifié, c'était d'ailleurs un peu mon idée au départ, mais il y a tellement de choses à faire. -Semnoz 10 juillet 2006 à 23:50 (CEST)

[modifier] Question "Presse-citron" bistro

Oui, tout ce qu'écrit Utilisateur:Jus d'agrumes doit être considéré comme nul et non avenu puisque produit par un faux-nez de Gemme qui est considérablement contri par son bannissement de Wikipédia. Il s'agit donc d'une conduite vengeresse visant à susciter l'opprobe parmi nous. Peux t'on purger les pages de discussion de ce type de trollerie qui nous encombrent ? Lilliputien 25 septembre 2006 à 11:14 (CEST)

[modifier] Gazprom et géostratégie

Bonjour,

L'article indique :

Avec son contrôle des hydrocarbures, la Russie détient actuellement une position géopolitique inégalée par laquelle elle tente de renforcer sa place d'acteur majeur dans le « Grand Jeu » des superpuissances (Voir : Gazprom).

Peut-on réfléchir à un développement lié à la visite récente de Poutine à l'Élysée auprès des homologues français et allemands, qui entérine le soucis européen par suite à l'épisode du printemps concernant les prix de vente du gaz aux anciennes républiques (je crois que la Biélorussie et l'Ukraine étaient en ligne de mire). En filigrane de la rencontre politique figure l'évincement de Shell d'un site important d'extraction russe, ce qui sous-tend un remerciement des multinationales anglo-saxonnes hors du sol de la Russie et amène la diplomatie russe à s'ouvrir à d'autres partenaires. Donc rien d'européen là dedans (au sens grands ensembles), et plus une perception géopolitique.

Le sujet d'un tel développement ne serait pas politique mais bien géostratégique, à savoir que la Russie prend conscience du potentiel économique de son infrastructure de gazoducs à l'échelle entière de l'Eurasie, seule capable d'alimenter d'un côté l'Europe et de l'autre la Chine, en pleine recherche de moyens d'assumer sa croissance à deux chiffres.

Tout ceci dans le contexte concurrentiel d'un ensemble géographique marqué par la mainmise de l'Amérique sur l'autre zone de production, à savoir l'ensemble "(en) Asie du Sud Ouest", que je me garderai bien de décrire hormis par les deux assertions qui suivent :

  1. un pipeline à travers l'Afghanistan depuis Bakou contrôlé par une des anciennes républiques musulmanes de l'URSS (Azerbaidjan ?)
  2. autres projets de reconfiguration des ports d'acheminement turcs ou jordaniens pour le pétrole de la zone kurde d'Irak.
  3. repositionnement des bases permanentes en Allemagne par le limogeage du staff vieillissant et le fin des bases en Arabie saoudite, et ouverture de bases opérationnelles dans les pays ex-URSS bordant jusque la chaîne hymalaienne la "région des Etats Voyous" (lire USCENTCOM, 5eme secteur militaire créé de toutes pièces et qui protège les puits de pétrole, QG au Qatar et non plus en Arabie saoudite comme lors de la 1ere guerre du Golfe) [ ajout ensuite 25 septembre 2006 à 15:37 (CEST) ]

La Russie déploie donc son argumentaire diplomatique pour mettre en valeur et moderniser l'existant de son infrastructure, afin de contrer un avenir qu'elle perçoit de la reconfiguration de la zone décrite sous l'égide américaine.

C'est du moins un point de vue / analyse personnelle. Partagé par d'autres ? Fait-on un paragraphe de plus dans l'article ?

Lilliputien 25 septembre 2006 à 12:04 (CEST)

[modifier] Gloran

  • Analyse géopolitique intéressante. J'ajouterai qu'il faut prendre en compte les tentatives d'influence des Etats-Unis dans la région. Par exemple pour définir tracé des oléoducs à travers les républiques d'ex-URSS afin de s'affranchir de la Russie, une des causes de la deuxième guerre de Tchétchénie. Il faudra prendre en compte la frénésie américaine à déployer des bases dans ces ex-républiques d'URSS, et à fomenter des révolutions ("orange") comme en Ukraine ou en Géorgie, en s'appuyant sur des ONG (Greenpeace et consorts) qui comme tout le monde devrait le savoir sont noyautées par la CIA et sont le nouveau bras de la politique étrangère US. pardon j'ai quitté le politiquement correct là Tout ça est lié, ce qui rend l'analyse globale difficile. Gloran 25 septembre 2006 à 14:43 (CEST)
  • Bon, comme je vois que "ça mord", je mets un hameçon et laisse les intéressés poursuivre (càd je prends le temps pour que chacun de ceux qui se sont exprimés jusqu'ici sur cette page se positionne ici). Lilliputien 25 septembre 2006 à 15:08 (CEST)
  • Justement, Gloran touche là où ça fait mal : l'article concerne la géostratégie (description des cartes géographiques et des ressurces en jeu sur l'échiquier), donc s'abstenir d'un débat géopolitique à la Alexandre Adler dont les développements dans ses bouquins me font mal à la tête et sont très orientés pour son lectorat. Un article sur la géopolitique énergétique USA / Russie ne manquerait pas de donner un bandeau POV, alors qu'a toute sa place ici un développement la géographie des gisements, ouvrant en perspective (mais après avoir posé les arguments convoités) sur les frictions et la diplomatie constatée dans les journaux (réalignement de Poutine perceptible juste après avoir tacklé Shell du gisement de à retrouver 25 septembre 2006 à 15:12 (CEST)
    Par définition un article géopolitique sera forcément au mieux à l'extrème limite du POV. On ne peut parler de géopolitique sans citer les puissances en jeu, et sans citer leurs actions, et aussi par définition, il peut y avoir une certaine difficulter à "sourcer". La question serait donc de savoir si, dans Wikipédia, on accepte de faire de la géopolitique ou non. Si on accepte, il faut alors savoir appeler un chat un chat : si une grande puissance est très active géopolitiquement parlant, ça va être difficile de trouver systématiquement en face de l'action de l'Etat A une action de l'Etat B pour contrebalancer et se forcer à rester neutre. C'est pas une découverte, il y a une seule superpuissance sur cette planète (pour les autres, des promesses à moyen long terme) donc on sera forcément dans le non neutre. Par ailleurs, quand on dit que la politique US en Irak est un échec, ou quand on parle de l'influence US dans les affaires politiques des anciens satellites de l'URSS, ce sont des faits (qu'on peut bien entendu contester), et à ce titre plutôt neutres. Bref, en ce qui me concerne faire de la géopolitique sur Wikipédia, c'est jouer avec un équilibre précaire neutre / non-neutre sur lequel je ne souhaite pas vraiment me lancer. Un éclaircissement wikipédien sur le sujet me semble le bienvenu. - Gloran 19h40
 Anciens et actuels pays membres de l'OPEP  Légende :   Vert : Pays membres Orange : Ancien pays membres
logo OPEP Anciens et actuels pays membres de l'OPEP
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  • Vert : Pays membres
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D'où l'intérêt d'un article mêlant histoire par références et cartes de géographie (donc géostratégie rétrospective) et se gardant bien de rentrer dans des considérations géopolitiques contemporaines (au sens <20 dernières années), sauf au prix d'avoir retracé la géostratégie des conflits du pétrole de 1940 (le IIIe reich veut abattre l'URSS pour prendre les puits de Bakou) à 1973 (premier choc pétrolier). Bien se garder de faire un article d'Histoire, ils sont déjà là, mais inclure la dimension stratégique de la ressource dingue dans l'esprit des dirigeants et planificateurs (planification stratégique). C'est du passé, c'est sourcé, ce n'est pas POV (moins vain que la prospective : le phrasé de l'ENA d'Alexandre Adler dans ces 3 derniers bouquins, est si vite obsolète puisque les évènements se succèdent à toute vitesse après parution). Lil | discuter 26 septembre 2006 à 12:08 (CEST)
  • Je termine : afin d'éviter le troll, un article de géopolitique qui tiendrait le coup serait une rétrospective ambitieuse des guerres du pétrole, présentée depuis la poussée Barbarossa vers Bakou (objectif pétrole) , [ les 3 autres Léningrad / Moscou / Stalingrad étaient idéologiques, abattre le c. ] et la réelle fonction de l'Afrika Korps, puis l'allié américain qui remplace l'hégémonie régionale de l'Empire britannique avec une déclaration d'un haut dirigeant cité par Noam Chomsky dans De la guerre comme politique étrangère des États-Unis qui identifie l'existence d'une ressource stratégique dingue (groupe de réflexion, 1940), ce qui conduit la pensée stratégique globale des USA en // avec la guerre froide et la courante. Bien sûr on démarre ça par un brouillon planqué entre initiés, ne lâchant un tel article au tout venant dans wikipédia, qu'après avoir obtenu un niveau de qualité de l'article, sinon toute la vie va fondre et rendre si bizarre le résultat de cette idée première (c'est du moins ce que je vois trop souvent) . 26 septembre 2006 à 12:02 (CEST)
    M2 Bradley, char moyen adapté pour les guerres du désert, United Defense, CMI.
    M2 Bradley, char moyen adapté pour les guerres du désert, United Defense, CMI.
    • Je n'ai pas trouvé d'interwiki (approche sans doute trop polémiste), mais il me semble que Desert warfare sur le plan des techniques militaires donne une idée du développement particulier à ces conflits. - 25 septembre 2006 à 18:55 (CEST) ; révisé 26 septembre 2006 à 14:06 (CEST)

[modifier] d'autres

[modifier] je commence

Brouillon dans [[discuter:Géostratégie/<titre à trouver>]]

Recherche du titre. Employons-le en lien :

  • Depuis 1971, les Seabees construisent une base aérienne pour B-52 qui sert d'abord pour la péninsule de l'Indochine. L'île se nomme Diego Garcia et fait partie du Commonwealth, ses populations natives ont été évacuées dans les années 1960. Après le premier choc pétrolier, ce complexe aéro-naval dans l’archipel des Chagos devient hautement stratégique en considérant...
    • les guerres du pétrole
    • la géostratégie des conflits du pétrole
      • + Pour Lil | discuter 26 septembre 2006 à 12:18 (CEST)
    • la géopolitique du pétrole
    • la géostratégie du pétrole

[modifier] Pays baltes

Il est bizarre qu'il n'est fait aucune part mention du problème des minorités russophones, non-citoyens pour beaucoup d'entre eux du moins en Lettonie et Estonie. D'ailleurs ce problème est traité de manière largement étendue dans la version russe de Wikipedia. (L'articile "Lettonie" au paragraphe "Politique intérieure" ne parle du problème des non-citoyens comme si la politique intérieure lettone se résumait à ça. L'instrumentalisation des minorités russophones fait bien partie de la politique étrangère russe vis-à-vis son étranger proche.

[modifier] Quelques précisions

D'une part dans l'article "Ukraine". On parle du "début de cette année" pour ce qui est visiblement 2004. En outre la Lettonie vient de signer un accord frontalier avec la Russie, ce qui va peut-être amérliorer leurs relations.

[modifier] Bravo + une demande

Article très intéressant, merci aux contributeurs. L'un d'entre vous pourrait-il ajouter un paragraphe sur les relations avec la Turquie ? D'avance merci; Aubisse