CNT Supérieur-Recherche
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 Logo de Confédération nationale du travail Supérieur-Recherche |
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| Contexte général | |
| Zone d'influence | enseignement supérieur / Recherche |
|---|---|
| Fiche d’identité | |
| Structure | structure autogestionaire |
| Président(e) | Sans (Autogestion) |
| Site internet | www.cnt-f.org/fte |
La CNT Supérieur-Recherche (ex Formation Action Université) désigne les sections syndicales de la Confédération Nationale du Travail au sein des universités. Dans une démarche anti-corporatiste et contrairement aux autres syndicats, elles regroupent en leurs seins tous les acteurs de la communauté universitaire : étudiants, chercheurs, enseignants et personnels non-enseignants. Ces sections sont rattachées aux syndicats de la Fédération des Travailleurs de l'Éducation.
[modifier] Principes
La CNT est un syndicat autogestionnaire qui se réclame du syndicalisme révolutionnaire et de l'anarcho-syndicalisme[1]. C'est une organisation indépendante de tout parti politique qui refuse la délégation de pouvoir. La CNT-SR refuse le corporatisme et favorise la convergence des luttes. Elle syndique tous les acteurs de la communauté universitaire, sans distinction de corporation ni de classe sociale. Elle est opposée à toutes formes de dominations et d'exploitations (racisme, fascisme, sexisme, ...).
[modifier] Luttes
Les militants de la CNT dans les universités prennent part aux luttes contre les réformes libérales touchant l'Université. Ils furent très actifs (entre autre à l'université Paris 1 Tolbiac) dans les luttes contre la réforme ECTS-LMD[2], en 2006 contre la loi pour l'égalité des chances (contrat première embauche, contrat nouvelles embauches)[3] ou en 2007 contre la loi relative aux libertés et responsabilités des universités[4].
La CNT-SR lutte également pour la régularisation de tous les étudiants étrangers en situation irrégulière (notamment au sein de RUSF)[5], contre la pénurie de logements étudiants, contre la flambée sécuritaire au sein des universités et contre la présence de groupuscules racistes et fascistes sur les campus[6]
