Beychac-et-Caillau

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Beychac-et-Caillau

Pays	France
Région	Aquitaine
Département	Gironde
Arrondissement	Arrondissement de Bordeaux
Canton	Canton de Cenon
Code Insee	33049
Code postal	33750
Maire Mandat en cours	2001-2008
Intercommunalité	Communauté de communes du Secteur de Saint-Loubès
Latitude Longitude	44° 52′ 16″ Nord 0° 22′ 12″ Ouest / 44.8711111111, -0.37
Altitude	10 m (mini) – 84 m (maxi)
Superficie	15,62 km²
Population sans doubles comptes	1 782 hab. (1999)
Densité	114 hab./km²

Beychac-et-Caillau est une commune française, située dans le département de la Gironde et la région Aquitaine.

[modifier] Géographie

Commune située sur la route nationale 89 entre Bordeaux et Libourne

[modifier] Histoire

Les territoires de Beychac et Cailleau ont été habités depuis des temps immémoriaux. Il existe d'anciennes ruines gallo-romaines.

C'est au Moyen Âge que se manifeste Cailhau à travers le Prieuré du Casteret. Crée en l'an 1040 -1050, il dépend des bénédictins de la Sauve-Majeure. Au cours de la Guerre de Cent Ans, les paroisses de Beychac et de Cailleau tombaient sous l'occupation anglaise. Après cet épisode, les cadres politiques se sont stabilisés permettant aux populations de se développer, de cultiver des terres et de créer de nouvelles richesses.

La refonte administrative du territoire français a contribué à modifier les pouvoirs assis sur des modes de fonctionnement de l'ancien régime. Le 18 octobre 1800, la Convention Nationale prend une mesure qui modifie fondamentalement l'administration de Cailleau et Baychac. Les deux communes sont réunies sous le vocable "Beychac et Cailleau".

Beychac et Cailleau est établi sur un sol varié des terres argilo-calcaires, argilo-silicieuses ou argilo-graveleuses toutes assez fertiles. Pendant longtemps la commune vivait de sa propre production. Aujourd'hui, l'agriculture n'assure plus la subsistance de la population ; on a assisté progressivement à l'implantation de la culture quasi exclusive de la vigne. La production viticole représente un des éléments de valorisation incontestable du territoire de la commune. L'implantation de la Maison des Bordeaux et Bordeaux supérieur en 1979 participera également à cette valorisation. ^[1]