Discuter:Voile solaire

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Le calcul lui-même provient de fr.sci.physique où il a été effectué par Gilgamesh à la demande d'un utilisateur. Les phrases sont reformulées, les formules réécrites avec des balises HTML et un commentaires ajouté, mais l'idée d'effectuer le calcul pour 1m² de voile et 1 kg a le mérite de très bien fixer les ordres de grandeur. Il aurait donc sans doute été dommage de le refaire avec des valeurs moins parlantes. Sinon, bien entendu, il n'y a qu'une seule façon de faire le calcul lui-même, pas de miracle... 195.132.56.137 16 nov 2004 à 18:55 (CET)

[modifier] "Vitesse de libération" ???

Compte tenu de la faible propulsion générée, le procédé ne permet pas de quitter la surface d'une planète. Il n'est utilisable que sur un appareil ayant déjà atteint la vitesse de satellisation et même de préférence la vitesse de libération.

??? Quelqu'"un peut-il détailler la question de façon plus précise ? A ma connaissance le concept de vitesse de libération ne concerne que les engins de style balistique où toute l'énergie est fournie dans les premières minutes du départ et où ensuite l'engin poursuit sur sa lancée. Pas d'énergie cinétique suffisante (donc de vitesse suffisante à masse donnée), pas de sortie. Mais dans le cas de la photovoile, nous avons une accélération continue. Qu'est-ce qui peut bien interdire quand on a une accélération constante de quitter ce qu'on veut à la vitesse qu'on veut ? (et, plus précisément, si on fournit de l'énergie et que celle-ci ne se transforme pas en mélange d'énergie potentielle et d'énergie cinétique, en quoi voudriez-vous donc qu'elle se transforme ??? 81.65.27.14 11 septembre 2005 à 03:30 (CEST)

Il faut au moins fournir l'energie suffisante pour contrebalancer l'attraction du corps que l'on veut quitter, pour un cas comme la Terre ça demande une voile d'environ 2 millions de m² par kilogramme de charge (en négligeant le poids de la voile). Pour un astéroïde de 70 km de diamètre et de densité 2 (Amherstia), 27 000 m² par Kg de charge phe 4 décembre 2005 à 13:29 (CET)
Il y aurait donc une énergie minimale à fournir en partant par exemple d'une orbite basse, mais en aucun cas de vitesse minimale à respecter pour ce type d'engin. On peut parfaitement, sous réserve d'un apport d'énergie contant - qui se cumulera jusqu'à ce que l'énergie (et non la vitesse comme pour les projectiles balistiques et fusées !) de libération soient atteinte. Cette énergie se décompose entre énergie potentielle (de plus en plus élevée) et énergie cinétique, qui peut fort bien rester constante si on le désire. Rien n'interdit de quitter la Terre à 30km/h par ce moyen au cas où on en aurait envie, loin donc des 11km/s exigés par les moyens de propulsion où la totalité du carburant et du comburant sont consommés (pour des raisons de rendement : il faut utiliser le carburant à l'altitute la plus basse possible) dans les quelques premières minutes du départ. 81.64.199.233 18 février 2007 à 22:53 (CET)

[modifier] suppression

J'ai supprimé ce paragraphe qui me parait trop douteux, Tsiolkowski est mort en 1935, Oberth à travaillé pour les allemands pendant la guerre puis a émigré en Suisse en 1948, on peut facilement trouvé des sources comme quoi les travaux de Goddard et Oberth sont indépendants, Goddard est mort en 1945, on ne trouve pas de mention de Pelterie ayant travaillé en Russie bien qu'une source indique qu'il soit mort en Russie, la réunion des 3 personnes dans le laboratoire cité me semble douteuse. phe 4 décembre 2005 à 12:38 (CET)