Discuter:Union démocratique du centre

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Sommaire

[modifier] Les raisons du succès de l'UDC

"Ses succès s’expliquent aussi par l’absence de politique alternative crédible à gauche et par l’immobilisme du système gouvernemental, qui, depuis 1959, comporte invariablement cinq ministres de droite et deux de gauche."

Je me suis permis de reformuler un peu ce passage, tout en m'efforçant de rester aussi "neutre" que possible.

Une des raisons est également le fait de jouer sur la peur et la xénophobie des milieux ouvriers. Avec les campagnes de propagande dignes des Etas Unis !

[modifier] Attention à la neutralité.

"au moment où s'est instaurée la dictature molle du compromis". La "dictature molle" est, je trouve, mal trouvé, ce terme donne un avis et l'article perd de sa neutralité. Je pense qu'il n'y a pas seulement ça à faire attention. Mais autrement, bon article.

---- Curare 26 sep 2004 à 23:35 (CEST)

Je trouve effectivement la neutralité de cet article très discutable : "Or, depuis le début des années 1990, la Suisse traverse une crise économique et morale sans précédent et de nombreuses affaires illustrent l’immobilisme, sinon l’incompétence des responsables du pouvoir politique"...

---- Es2003

[modifier] à vérifier et éventuellement fusionné

Parti politique Suisse de droite libérale et conservatrice, issu de l'ancien Parti des Artisans et Bourgeois. Il a remporté les élections de 2003 au Conseil national, la chambre basse du parlement suisse. C'est actuellement le parti le plus fort de Suisse en terme de suffrages (26,7%) Son président est Ueli Maurer. Parmi les personnalités les plus connues de ce parti figurent Adolf Ogi, Markus Feldmann où encore Friedrich Traugott Wahlen. Les hommes forts de ce parti sont le président Ueli Maurer, et MM Caspar Baader, André Bugnon, et surtout les conseillers fédéraux Christoph Blocher et Samuel Schmid. En allemand : Schweizerische Volkspartei (SVP)

je pense que il est faux de dire que ce parti compte sur le déclin nationale mais plutot sur l immigration incontrolée

[modifier] Chômage en Suisse

J'ai enlévé la modification suivante "(alors qu'il est des plus bas d'Europe avec seulement 3,8% de chaumeurs en février 2006)" car cette histoire de chômage bas en Suisse est une illusion savamment entretenue, un peu comme les chiffres de l'insécurité en France qui tiennent plus de "Alice au pays des merveilles" que de la réalité. -Semnoz 11 mars 2006 à 07:27 (CET)

Si le chômage est élevé, il faut dire de combien il est. Par ailleurs "élevé" n'est pas très précis ... ce que tu peux faire alors, c'est comparer avec les pays d'Europe qui ont moins de chômage que la Suisse pour qu'on se fasse une idée plus précise de l'horrible crise qu'on traverse dans ce pays pauvre ! -Helder 13 mars 2006 à 11:32 (CET)

Bon j'ai réintroduit une phrase qu'un bon samaritain avait enlevée il ya quelque temps et qui de fait permet de mieux comprendre cette histoire de chômage caché. Par exemple, à Genève dont le chômage n'avait officiellement pas dépassé les 6,2% en pleine crise au milieu des années 1990, ce dernier était en fait de plus de 22% si on ajoute seulement les travailleurs frontaliers qui se sont retrouvés au chômage en Haute-Savoie et dans l'Ain. -Semnoz 15 mars 2006 à 21:31 (CET)

et depuis quand la haute-savoie et l'ain font partie de la Suisse? A cette époque à cause de la limitation du nombre de permis de travail, il est normal que l'impact ait été plus fort en France qu'a Genève par effet de protectionisme. Le chomage suisse est calculé sur la norme BIT qui est la même pour tous les autres pays européens, alors oui en comparaison le chomage suisse et l'un des plus bas d'Europe. greatpatton 3 juillet 2006 à 09:14 (CEST)

[modifier] Résultats de l'UDC

"Prenant l'électorat d'autres partis d'extrème droite comme les Démocrates Suisses, l’UDC avait obtenu 11,1% en 1991, 15% en 1995, et 22,5% en 1999."

Et comment l'UDC aurait-elle pu atteindre un quart des électeurs si elle n'avait pris que les voix de l'extrême-droite? Cette dernière n'a jamais dépassé les 5-10% dans les dernières décennies... L'UDC a pris des voix de tous les partis: ouvriers déçus du Parti Socialiste devenu un parti d'intellectuels, conservateurs déçus du Parti Démocrate-Chrétien qui s'affiche désormais au centre etc.

Paragraphe devenu incompréhensible et illogique parce qu'une IP anonyme s'est amusée à le vider de son sens. Je vais tout remettre en place. -Semnoz 8 mai 2006 à 00:51 (CEST)

[modifier] Références nécessaires

J'ai parsemé l'article de {{référence nécessaire}}. La plupart du temps, il s'agit d'opinions à attribuer, ou à retirer de l'article s'il est impossible de citer une source notable ayant publié cette opinion. Plusieurs passages de cet article ressemblent plus à un éditorial très partial sur la situation politique Suisse qu'à un article encyclopédique sur l'UDC.

Comme cet article est mis en avant par la presse de boulevard romande, j'invite notamment les rédacteurs intéressés par la politique éditoriale de Wikipédia à lire avec soin Wikipédia:Neutralité de point de vue, ainsi qu'un de ses corollaires, Wikipédia:Contenu évasif. Marc Mongenet 2 juillet 2006 à 15:28 (CEST)

Finalement, j'ai tout remanié. Marc Mongenet 3 juillet 2006 à 04:49 (CEST)

Ben ça c'est de la neutralisation à la suisse, dite aussi "neutralisation par étouffement". Un parti passe en 11 ans de 11% à 26,7%, surtout en Suisse où les chosses ne bougent que très lentement, et aucune explication fondamentale. C'est arrivé, point à la ligne, il y a rien à voir ni surtout à essayer de comprendre.

Tu as enlevé des choses pourtant aisément vérifiables. Donc si je comprends bien tu n'as pas lu de journaux même suisses depuis 1999. Tu en as fait un article complètement ennuyeux comme la politique en Suisse. Des évènements pourtant bien développés dans les actualités Suisses ont disparu. Mais tu étais peut être à cette époque dans une monastère thibétain.

Surtout tu as enlevé toute référence aux déplacements des voix populaires de la gauche vers l'UDC. En fait un peu comme ce qui se passe en France tu as enlevé surtout, sous couvert de neutralité, toute allusion au fait qu'un parti de la droite populiste attire en masse certaines franges des anciens électeurs de gauche, PC en France, PS en Suisse (le PC y étant inexistant). Cela ce n'est pas neutre du tout c'est même très très orienté idéologiquement.

Je remet donc le bandeau NPOV -Semnoz 3 juillet 2006 à 06:22 (CEST)

Oui, j'ai enlevé des choses parfaitement vérifiables, et tout aussi parfaitement hors sujet. L'actualité suisse n'a rien à faire dans cet article. Quand aux rapprochements faits entre l'actualité et l'UDC, je suppose que c'est ça les explications fondamentales ? Et bien ces rapprochements n'étaient pas sourcés, pour le moins douteux, voire carrément fantaisistes (comme le rapprochement entre l'UDC et la catastrophe d'Überlingen (et pas « du lac de Constance » comme le saurait quelqu'un d'un plus compétent en actualité suisse)). Marc Mongenet 3 juillet 2006 à 19:44 (CEST)
Ce rapport entre actualités et montée de l'UDC est pourtant essentiel. Sors un peu de ton université et va discuter avec les gens et tu t'en appercevras vite. C'est vrai que depuis deux ans je ne vais presque plus à Genève, mais j'y étais très présent de 1987 à 2004. -Semnoz 5 juillet 2006 à 14:56 (CEST)
Concernant le soi-disant « déplacement de voix de la gauche vers l'UDC », ça manque de source, et ça en aurait rudement besoin. D'abord, comme tu l'as toi-même écrit : « Jusqu'à présent l'UDC se développait au détriment des partis de droite comme le Parti radical-démocratique» ! Ensuite les « voix populaires » qui se déplaceraient, dans un pays comme la Suisse avec un secteur des services particulièrement développé et environ 20% d'étrangers, puisqu'on en est à inventer des explications (mais moi je le fait en page de discussion, pas dans l'article), on peut aussi bien prétendre qu'elles ont disparu pour une part, et qu'elles n'ont pas le droit de vote pour l'autre. D'ailleurs l'article ne donnait guère d'informations consistantes à ce sujet, mais plutôt de la spéculation politique basée sur une compréhension erronée de la Suisse : « aujourd'hui l’UDC semble avoir un boulevard politique devant elle.» Pour informations, les commentateurs politiques suisse ne parlent guère de déplacement, mais de « renforcement des extrêmes » (UDC et PSS). Je l'avais évidemment corrigé dans l'article, avant qu'une andouille remette le tas de spéculations. Marc Mongenet 3 juillet 2006 à 19:44 (CEST)
Les comparaisons avec la France sont du grossier franco-centrisme. Évidemment, dans les article Front national (parti français) et Front national (parti français) on ne risque pas de trouver des comparaison avec l'UDC ou le PSS... Marc Mongenet 3 juillet 2006 à 19:44 (CEST)
Je vois que cet article est à nouveau dans le lamentable état où je l'avais trouvé. J'espère bien que le bandeau NPOV y est ! Et j'ai ajouté {{franco-centrisme}} pour faire bonne mesure. Marc Mongenet 3 juillet 2006 à 18:41 (CEST)
Je me mêle à la discussion et vais faire une petite relecture. Dake@ 3 juillet 2006 à 19:48 (CEST)
J'ai supprimé ce gros passage avec les "affaires" car il concerne tous les partis suisses et peut servir pour leur argumentation, tout dépend de la position utilisée pour présenter les choses. J'ai également retiré ce passage francocentré, si on veut faire ce type de comparaison, alors il faut faire un autre article du genre Comparaison entre les partis politiques suisses et français. Dake@ 3 juillet 2006 à 20:21 (CEST)

En passant, on ferait mieux de traduire l'article en allemand, il a l'air de mieux présenter les choses que nous (en particulier la ligne politique). Dake@ 3 juillet 2006 à 20:23 (CEST)

As-tu lu ma version ? J'avais ajouté beaucoup d'informations : http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Union_d%C3%A9mocratique_du_centre&oldid=8399189 Utilisateur:Marc MongenetMarc Mongenet 3 juillet 2006 à 20:50 (CEST)

Je trouve qu'on est maintenant arrivé à un bon article, bravo. - Caspi Waltch 4 juillet 2006 à 18h02


Transfert d'anciens électeurs de gauche - invention de Semnoz ? comme le dit Marc - pas du tout, que nenni, les partis populistes - l'UDC est un parti populiste ce que vous avez enlevé - pêchent une partie de leurs électeurs dans les classes les plus populaires des partis de gauche tels les communistes et les socialistes. Ce n'est pas une invention de moi mais un fait. Mais il est certain que les intellectuels socialistes ne veulent pas l'admettre car cela les gène grandement, mais c'est une réalité un point c'est tout. -Semnoz 5 juillet 2006 à 14:48 (CEST)

Marc, ton attaque contre moi sur la base de ma soi-disante invention est complètement injustifiée car cette phrase n'est pas de moi. Ma contribution initiale que je met ci-dessous est très différente de ce que tu as enlevé :

« Le discours de l'UDC innove dans une Suisse où la culture d’opposition et l’alternance politique n’existent plus depuis 1959, au moment où s'est instaurée un système, que d'aucuns dénoncent comme une « dictature molle » du compromis, du consensus et du politiquement correct. Les électeurs suisses de la droite traditionnelle sont de plus en plus sensibles aux arguments de Christoph Blocher lorsqu'il affiche sa volonté de bousculer ce « consensus » étouffant et apparemment immuable. Le rapport de forces entre la gauche et la droite demeurant identique à celui de 1999, c'est la nature du bloc de droite qui a évolué avec 40 % d’élus UDC.
Jusqu'à présent l'UDC se développait au détriment des partis de droite comme le Parti radical-démocratique (PRD), la plus ancienne formation politique de la Suisse moderne, qui n’a jamais été évincée du gouvernement en cent cinquante ans de fédéralisme, ou du PDC, mais aujourd'hui l’UDC semble avoir un boulevard politique devant elle. Les ouvriers et les électeurs des classes les plus populaires (1) ne se reconnaissent plus dans le Parti socialiste suisse (PSS) qui a abandonné le terrain des luttes sociales qu’il incarnait en échange de sa participation à la politique du gouvernement de consensus, en pensant que la force du dieu « franc suisse » pourrait résoudre tous les problèmes et permettre la réalisation de toutes les aspirations.
Le PSS, à l'instar du PS français attire aujourd'hui surtout des militants et des électeurs de formation professionnelle supérieure, se sentant aussi intellectuellement supérieurs, jouissant de revenus élevés et dont les revendications et les aspirations politiques sont bien éloignées des couches populaires. Face à ces socialistes peu engagés et engageants, à des communistes absents et à des écologistes émergents, l’UDC pourrait librement se positionner comme le nouveau parti des travailleurs suisses, un peu comme a réussi à le faire en France le Front National en récupérant une importante minorité des anciens électeurs ouvriers de gauche et de leurs familles. »
-Semnoz 5 juillet 2006 à 19:12 (CEST)
Tu n'as effectivement pas écrit la phrase : « mais aussi du Parti Socialiste, lâché par une partie de son ancien électorat ouvrier, aujourd'hui séduit par le style "musclé" de la politique de l'UDC.» Je m'excuse d'avoir fait un commentaire d'historique qui laisse croire que tu es l'auteur de cette phrase, alors que tu es en fait l'inventeur de l'idée exprimée.
En effet, dans Wikipédia:Liste des articles non neutres/Union démocratique du centre, tu m'as reproché d'avoir « enlevé toute référence aux déplacements des voix populaires de la gauche vers l'UDC » et enlevé qu'« un parti de la droite populiste attire en masse certaines franges des anciens électeurs de gauche, PC en France, PS en Suisse ». Tu n'es donc pas l'auteur de la phrase, mais l'idée qu'une masse de gens qui votaient PSS votent maintenant UDC, est bien de ton invention. À moins que tu ne sortes de ton chapeau la source d'où tu tires cette affirmation. J'ai donné une source qui affirme le contraire : « Les transferts d'un camp idéologique à l'autre (de la gauche vers la droite, ou réciproquement) ont été extrêmement rares.» D'ailleurs en Suisse, contrairement à la France, je n'ai jamais entendu parler de ce transfert. En Suisse, on parle d'un renforcement des extrêmes, au détriment du centre (PRD et PDC).
Enfin, si ta contribution initiale est effectivement différente, tu écris toi-même clairement dans Wikipédia:Liste des articles non neutres/Union démocratique du centre ce que signifiait vraiment ce qui était maladroitement caché sous une formulation indirecte, toute en rapprochements insidieux. Marc Mongenet 6 juillet 2006 à 00:28 (CEST)
Je ne vois pas où j'ai enlevé que l'UDC est un parti populiste. C'est écrit où ?. Marc Mongenet 6 juillet 2006 à 00:28 (CEST)

La référence à l'UDC en tant que part populiste a été enlevé le 12 janvier 2006 à 11:57 par un IP 134.21.202.238 ici dont le traceroute indique qu'elle a agit depuis l'université de Genève, donc je pensais que c'était toi.

En tant que parti populiste, - et je pense qu'il a évolué au populisme — l'UDC est donc de la même famille idéologique que le Front national. Or - je sais bien que c'est une idée niée par la gauche car elle remet en cause sa légitimité - les partis populistes - quelque soit le pays suisse compris - recueillent une minorité significative des voix les plus populaires.

Là immédiatement je ne pourrais pas te fournir de références - car je ne suis pas universitaire et je n'ai donc pas accès aux études réalisées ni à leur historiques - mais il y en a t'il - cependant cette idée n'est en rien de moi - même si j'y adhère entièrement - et on la retrouve souvent dans les analyses politiques et pas depuis récemment dans de nombreux journaux et périodiques de droite comme de gauche. Je pensais même jusqu'à aujourd'hui que c'était une idée admise et vérifiable - un sorte de crédo - d'autant plus que fréquentant souvent des personnes des milieux populaires, je puis - chaque jour en vérifier la véracité. Je ne compte plus les personnes, françaises ou suisses qui ayant voté auparavant pour des partis de gauche m'ont déclaré voter aujourd'hui pour le FN ou l'UDC. -Semnoz 6 juillet 2006 à 05:44 (CEST)

En cherchant à me renseigner sur la question je suise tombé sur cette page [1] ou l'on voit qu'entre 1999 et 2003, si l'UDC progresse de 4% le PS suisse progresse lui aussi et que les autres partis de droite reculent. greatpatton ~
L'UDC est souvent qualifiée de « populiste » et ça manque effectivement à l'article. Toutefois, il me semble que cette qualification est utilisée péjorativement, comme synonyme de « démagogique », et je n'ai pas l'impression que l'UDC le revendique. À vérifier.
Note, 134.21.202.238 tombe sur l'Université de Fribourg. Enfin, de toute façon j'ai terminé mes études en 1997, c'est pas moi l'IP.
Note 2: Genève a un paysage politique très particulier en Suisse, avec depuis 20 ou 30 ans des partis extrêmistes, de droite ou de gauche, qui font de hauts scores et disparaissent aussi vite. La situation genevoise n'a rien à voir avec la situation nationale. Marc Mongenet 6 juillet 2006 à 15:21 (CEST)

Mais pourtant, le fait que les ouvriers votent aujourd'hui en masse UDC est incontestable, de même que l'électorat socialiste est de plus en plus constitué de personnes avec une formation universitaire... Le profil de l'électorat des partis, ce n'est quand même pas une invention, cela figure même dans l'article... Caspi Waltch

Mais on entends quoi par ouvrier? Car de nos jours et surtout en Suisse les métiers peu qualifié dans l'industrie sont une minorité très faible.
C'est peut-être un franco-centrisme. En Suisse on parle plutôt du revenu. Dans [2] on parle de « personnes à revenus bas et moyens (entre 3000 à 7000 francs) » (note : CHF 7000 = 4500 €). Marc Mongenet 6 juillet 2006 à 15:21 (CEST)
Oui mais il semble que les ouvriers qui votent UDC votaient déjà à droite avant, peut-être même plus à droite que l'UDC, ou ne votaient pas du tout. Il y a plus 50% d'abstention aux élections nationales suisses, et l'UDC est le parti choisi par la plus grande part des nouveaux votants. Marc Mongenet 6 juillet 2006 à 14:09 (CEST)

Référence exploitable : Une analyse de 22 pages des résultats de 2003 : http://www.ipw.unibe.ch/mitarbeiter/linder/Anneepolitique/APS-eidg-Wahlen-2003.pdf

Le fait que le PSS augmente le nombre de ses voix ne signifie pas qu'il ne perd pas dans les classes populaires. Comme dans d'autres pays - et je ne vois pas pourquoi il y aurait une particularité suisse - il peut prendre des voix chez les fonctionnaires et les étudiants et en perdre chez les ouvriers. -Semnoz 7 juillet 2006 à 08:00 (CEST)

[modifier] contre les abus en matière d'asile

Dans les lignes directrice du parti, mais cela ne veut pas dire grand chose, de droite à gauche modéré, on veut lutter contre les abus. Cette phrase, c'est la démagogie comme c'est si bien faire l'UDC...non??? qu'en pensé vous?? faut-il pas la supprimé??? Sdrik 24 novembre 2006 à 18:35 (CET)
Commence par apprendre l'orthographe, après tu pourras venir faire des théories sur la politique. 5 fautes en moins de deux lignes, c'est très fort! 212.152.14.171 21 juin 2007 à 18:58 (CEST)

[modifier] Extrême Droite

L'UDC n'est absolument pas un parti d'extrême droite. Un tag de classification lié à un article n'est en aucun cas une source suffisante pour prétendre cela. De plus, il s'agit d'un journal français, donc pas le mieux placé pour juger objectivement un parti suisse. Et je le répète: cet article ne dit pas que l'UDC soit d'extrême-droite, il tendrait plutôt à dire le contraire. Le terme d'extrême droite n'est utilisé pour l'UDC que par... l'extrême gauche, à titre polémique. Même les médias suisses, qui tendent généralement vers la gauche, ne parlent généralement pas d'extrême-droite. Et si l'UDC était d'extrême-droite, comment qualifier alors les DS et le PNOS? Extrême-extrême-droite?

Justement l'UDC occupe toute la place à la droite de l'échiquier politique... Clin d'œil--Cyriloo 20 septembre 2007 à 18:50 (CEST)

D'ailleurs les politologues suisses s'accordent pour dire que l'UDC n'est pas d'extrême-droite.

par politologue tu entends Ueli Windisch?? Je veux bien si tu as des sources...--Cyriloo 20 septembre 2007 à 18:50 (CEST)

Malheureusement, aujourd'hui, le simple fait de refuser l'adhésion à l'UE ou d'avoir une vision conservatrice est déjà considéré par certains comme extrémiste.

Non pas du tout, même si l'opposition à l'UE est en général un élément commun des extrêmes. De même pour le conservatisme du reste, en tout cas à droite. Mais la xénophobie, l'homophobie, le racisme et le populisme sont des éléments universellement reconnus comme constitutifs de mouvements d'extrême droite. Et ils caractérisent l'UDC, même si c'est un parti gouvermental. Tu as raison de dire que l'article ne le souligne pas assez, mais j'y travaille, avec des ajouts sourcés comme sur les affiches homophobes à Genève et islamophobes en Valais. En essayant de rester le plus neutre possible.--Cyriloo 20 septembre 2007 à 18:50 (CEST)

A propos: le communisme n'est pas considéré comme étant d'extrême-gauche. Deux poids-deux mesures?

Re-non: en Suisse en tout cas, le communisme est considéré comme d'extrême gauche.--Cyriloo 20 septembre 2007 à 18:50 (CEST)

Mais ne nous lançons pas dans une guerre d'édition et discutons-en ici, si tu le veux bien.Cardinal1984 20 septembre 2007 à 14:00 (CEST)
Un petit détail encore: sur une échelle de 0 (extrême-gauche) à 10 (extrême-droite), 5 étant le centre, l'UDC est à 7, le PS à 2.8 ([3] p.26). Autrement dit, le PS est plus éloigné du centre que l'UDC. Classera-t'on le PS à l'extrême-gauche? [4] p.26

Bon je vais aller voir. Cela pose la question de savoir si ces notions de gauche et droite et d'extrêmes sont seulement relatives. Selon les études de ce genre, le PDC est à gauche alors qu'il se déclare au centre, le PRD au centre alors qu'il se dit au centre droit, voire à droite, etc. Le PS genevois est considéré comme à gauche à Genève, mais serait sans doute d'extrême gauche en Suisse alémanique ou aux States... --Cyriloo 20 septembre 2007 à 18:50 (CEST)
Je connais en tout cas plein de gens d'extrême-gauche qui se reconnaissent comme tels Mort de rire Bon je suis d'accord pour ne pas faire de guerre d'édition, mais au moins de ton côté ne réverte pas indistinctement ce que tu n'argumentes pas. Ainsi, si la question litigieuse est la qualification d'extrême droite, il ne me semble pas litigieux que l'UDC est un parti nationaliste ni que le terme d'extrême droite soit attesté, fût-ce du côté de la gauche, ni enfin que le MD soit une source pour ces différents éléments. J'ai donc rétabli tout ça (y compris "parfois qualifié de parti d'extrême droite", ce qui est conforme à la réalité). Je laisse ouverte la question du maintien dans la boîte d'info. Est-ce que tu es d'accord avec ce cadre de débat?--Cyriloo 20 septembre 2007 à 14:24 (CEST)
Concernant la source, je le répète, un journal français est-il vraiment une source suffisamment fiable pour juger un parti suisse? Il me semble en tout cas important de relever que l'utilisation de l'adjectif extrême reste marginale. Je propose un compromis, en déplaçant la question dans le positionnement politique est non pas dans l'introduction, ce qui permet d'expliciter davantage les différents points de vue. D'accord comme ça? Cardinal1984 20 septembre 2007 à 14:48 (CEST)
S'agissant du Monde diplo, il est admis qu'il s'agit d'une source sérieuse, quelles que soient les opinions des uns et des autres, et quand bien même sa ligne éditoriale est de gauche. De même pour Le Temps qui est de droite. Une source étrangère est parfois plus fiable, car elle a une vision de l'extérieur; l'article est du reste très modéré. Cela dit, j'ai retouché un peu ton compromis et le résultat me convient pour l'instant, y compris l'absence d'extrême droite dans la boîte info, jusqu'à ce que je trouve davantage de sources et aussi par souci de compromis...--Cyriloo 20 septembre 2007 à 18:50 (CEST)
OK pour moi. Merci pour ta collaboration. Cardinal1984 21 septembre 2007 à 09:44 (CEST)

L'UDC a définitivement perdu l'étiquette ED dans les grands média romands au centre gauche voire à gauche (non pas qu'ils aurait été régulièrement traité de la sorte), tels que la TSR-RSR (en Suisse alémanique, je crois que personne n'a jamais eu l'idée d'associer l'UDC à l'ED "Rechtsextremen"), le jour où Blocher est entré au conseil fédéral. Lorsqu'il s'agit de stigmatiser l'UDC, référence est faite à la "droite dure". Pour ce qui est du "racisme", ce parti s'est toujours défendu de procéder à de quelconques généralisations ou amalgames. Il n'a par ailleurs jamais été condamné pour discours racistes (et pourtant ils ont dû faire face à plusieurs plaintes pénales déposées par leurs opposants). Suffit-il donc d'être accusé de racisme par l'opposant politique pour être raciste?

[modifier] Logo UDC

Bonjour,

Le logo de l'UDC a changé, mais je ne sais pas comment m'y prendre pour mettre le nouveau logo sur la page... Quelqu'un pourrait-il s'en occuper? Cardinal1984 (d) 23 février 2008 à 12:35 (CET)

Qu'est-ce que sont que ces sources qui devraient illustrer la qualification d'extrême droite de l'UDC??

[modifier] Uniquement Des Châtiments

Une plaisanterie de La Soupe (RSR). Fafnir (d) 7 avril 2008 à 00:51 (CEST)

Et alors?

[modifier] un parti ultra-libéral ?

J'enlève le préfixe "ultra-" accolé au terme libéral dans la présentation du parti. Cette expression n'a aucun sens et est souvent utilisée par démagogie ou péjorativement. L'UDC est juste un parti libéral économiquement. C'est tout. RedGhost

[modifier] Homophobie

Je cite l'article Homophobie:

"Le terme d'« homophobie » désigne l'hostilité explicite ou implicite envers les homosexuels. Cette hostilité relève de la peur, de la haine, de l'aversion ou encore de la désapprobation envers l'homosexualité. Par extension, l'homophobie désigne les préjugés et la discrimination anti-homosexuels."

Cela correspond tout à fait à ce qui est écrit dans cette page sur l'UDC : "contre les droits des homosexuels". Que ça soit politique ou non, c'est bien de l'homophobie, c'est pourquoi je suis contre la suppression du lien vers l'article "Homophobie". Avant de retirer ce lien, merci d'en discuter ici. --84.227.156.172 (d) 8 juin 2008 à 11:43 (CEST)

Précisément, cette mention "contre les droits des homosexuels" n'est pas sourcée. Aucune mention de l'homosexualité n'est faite dans la plate-forme politique de l'UDC. Le fait de s'être opposé au PACS et de continuer à s'opposer à l'adoption par les homosexuels ne signifie pas encore être "contre les droits des homosexuels". Cardinal1984 (d) 8 juin 2008 à 19:20 (CEST)