Discuter:Sociologie/Arch 070110

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Sommaire

[modifier] Ibn Khaldun

Je suis désolé mais le père fondateur de la sociologie est Ibn Khaldun.

voir : http://www.monde-diplomatique.fr/2003/01/LEPAPE/9892

  • cet article du diplo, bien que très intéressant ne représente aucunement l'opinion commune de la communauté "scientifique". Je ne crois donc pas qu'une modification soit à apporter. tintamarre

[modifier] Marx

Marx se trouve dans sociologue et inspirateur, il y contradiction !

Comme je n'y connais strictement rien en sociologie, je n'ai fait que traduire brutalement l'article anglophone. Effectivement, il semble qu'il y ait contradiction.

N'hésite pas à corriger comme bon te semble ...

Buzz

j'y connait pas gd chose non plus. j'y jette un coup d'oeil. Gihelle


Il faudrait peut-être remettre un peu d'ordre dans les liens : la sociologie ne doit pas devenir un fourre-tout.

dommage, c'était pratique :-)

Quant à l'idée de mettre Marx comme sociologue, je suis assez réservé... mais je ne suis pas spécialiste (même si c'est ainsi sur le wiki en:).

laissons le tant qu'un plus connaisseur donne son avis
Pour avoir étudié de la sociologie il y a peu, je peux vous dire que Marx y a un place importante Utilisateur:Jloriaux 24 avr 2003 à 20:49 (CET)

Et non, je ne me taperai pas l'article !

mais si, mais si...allez, un bon mouvement. Tu peux même oter les liens vers race et ethnie, on ne te diras rien...
j'ai hésité (pour les liens, pas pour faire la page). Mais puique la philosophie de WP c'est de ne rien enlever sans une bonne justification, «laissons [le temps] qu'un plus connaisseur donne son avis»
pas d'accord Idéfix. La doctrine anglophone dit même be bold (ah, ils ont le sens des formules ! l'anglais, c'est cool pour ça). Nettoie, nettoie...

De la sociologie j'en ai fait pas mal, Marx a une influence énorme, surtout dans la sociologie française. J'ai rajouté le truc sur Durkheim dites moi si c'est compréhensible pour des néophytes.

Panoramix 24 avr 2003 à 02:51 (CEST)

[modifier] Ce qui ne peut (vraiment) pas être dit

Que Durkheim s'inspire de Marx. (Non, – de ce qu'il en dit – de Montesquieu et de Rousseau.) Ca n'aide vraiment pas à la compréhension de la "sociologie française", ou, plus exactement, de l'Ecole française de Sociologie, celle qu'on enseigne à l'université (ce qui ne veut pas dire que Marx ne soit pas un auteur important). Durkheim est proche du solidarisme de Léon Bourgeois et du juriste Léon Duguit (les juristes de la IIIe République, si je ne me trompe, sont les vrais durkheimiens), et pas du tout, mais pas du tout un révolutionnaire (voir sa croyance dans les institutions intermédiaires – on est très loin de la "lutte des classes" ! ). Suffit de se reporter à deux grands classiques : la Construction de la sociologie de Berthelot (Que sais-je?) et surtout l'Invention du social de Donzelot (Seuil/Poche). Il en va, avec cette affirmation, de la crédibilité de l'article.

Il refait l'histoire. Or, celle de la sociologie, c'est aussi celle de prises de position (sur des métaphysiques sociales). Daniel Linderberg, historien des idées politiques, a écrit tout un livre (c'est dire que ça mérite d'être pointilleux) sur le rapport de "la" sociologie française et du marxisme : ça s'appelle Le marxisme introuvable !

L'équivoque, c'est autour de Pierre Bourdieu, qui a eu une influence énorme. Mais Pierre Bourdieu n'est pas Emile Durkheim.

Dans l'histoire de la discipline, qui s'enseignera, qui passera de la vocation au métier, entre temps il y a le structuralisme, le fonctionnalisme et un désintêret pour la thématisation du pouvoir.

Juste pour prendre la mesure : est-ce qu'un cours sur l' "idéologie" (un grand concept marxien) est sytématiquement dispensé aux étudiants de socio de première année ? Moi je CROIS qu'il faudrait, mais la REALITE est différente. On fera peut-être par contre un truc sur l'"habitus" chez Bourdieu.

Dit autrement, si, pour reprendre les terme de l'article, "le politique et la sociologie ne font qu'un", il y a de vraies lignes de fracture politiques, qui font que telle sociologie prendra tel chemin et pas telle autre. Vouloir tout unifier, c'est méconnaître cette dynamique, et c'est ne rien comprendre aux sociologies (le pluriel est de mise) : aux manières qu'elles ont, chacune différente, d'expliquer une chose (voir la rubrique sociologie de la connaissance ou les pages liées de Bruno Karsenti).

Je me suis permis de modifier ce qui a trait à Marx (la réception de la pensée de Marx), avec notes à l'appui.

Je ne crois pas qu'il existe de rubrique sociologie critique dans Wikipédia : il faudrait la créer. (octobre 2005)

[modifier] L'enjeu de l'Enjeu

Moi ca fait près de 3ans ke je fais de la socio mais la j'ai une kestion a poser pour tous, ds un esemaine j'ai mes partiels et le prof nous a déjà donner le sujet... vu que personne n'y comprend rien c'est "L'enjeu de l'Enjeu" cad l'intérêt de l'interêt de la socio. .. kelkun paut mù'éclairer car la c'est le noir total...

personnelement je vois la une dissert' s'orientant vers une critique de la sociologie crozérienne. Maintenant c'est à toi de savoir quelles sont les orientations que tu est sensé choisir. Avec un sujet comme celui là on peut aborder pas mal de paradigme sociologique

Oui. La sociologie par l'analyse des enjeux implique la prise en compte des investissements (politiques ? économiques ? sociaux ? culturels ?) par rapport à un gain (politiques ? économiques ? sociaux ? culturels ?) espéré. Pour cela, plusieurs combinaisons sont pôssibles. Tout dépend de la nature des gains espérés et des inputs (investissements) estimés par chaque acteur, nécessaire au jeu en jeu ou au au champ social considéré. Vous comprenez bien que l'enjeu de l'enjeu est par excellence l'analyse de l'action stratégique (Crozier; Touraine) dans des champs spécifiques (P. Bourdieu) ! Conseil de prof (d'afrique)


[modifier] Sociologie ou philosophie sociale?

La question de la fondation de la socio dépend grandement de sa définition. Si l'on voit la sociologie comme un genre de philosophie sociale, Platon peut être considéré comme l'un des premiers sociologues...

Si l'historien Ibn Khaldun pensait en terme de conflits entre sociétés, le philosophe Karl Marx, en terme de conflits entre groupes sociaux... il semble que la sociologie voie le jour, en tant que science sociale, à la fin du XIXe siècle. Volapük 19 mar 2005 à 11:58 (CET)

[modifier] Objets d'études de la sociologie

Je ne vois pas l'utilité du terme "information" dans la Sociologie des médias de l'information et de la communication. Pour ma part (et je l'étudie, donc...), Sociologie des médias et de la communication suffirait puisque "on nomme média un moyen de diffusion d'informations" (http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9dias) Yves

[modifier] Autre proposition reprise de l'article (copyvio possible)

Voir sous : Chapitre 4 Socialisation et culture

[modifier] sociopôle

un lien qui peut servir : http://www.iresco.fr/ressources/sociopole/europe.htm

[modifier] La notion de paradigme n'est pas neutre + méthodologie

Je n'ai pas le sentiment que la notion de paradigme soit acceptée par tous les sociologues, ne faudrait-il pas le mentionner ? En effet, elle présuppose une certaine conception de la science, avec notamment cette idée très kuhnienne d'incompatibilité entre paradigmes. En plus, le problème de parler de paradigmes, c'est qu'on risque de tomber dans des tergiversations interminables : combien de paradigmes, comment les délimiter, etc ...? Concernant les méthodes, il n'est pas évident que tous les sociologues acceptent de devoir se soumettre à des méthodes. En outre, il manque de nombreuses techniques d'observation participante (breaching, observation dissimulée, etc.). Personnellement, cet article me semble manquer de neutralité, car il faudrait rajouter une partie sur les problèmes liées à la définition de la sociologie. Ce que je peux faire, si personne n'y voit d'inconvénientsrecyclage 5 mai 2005 à 18:02 (CEST)

[modifier] Durkheim

Un chapitre sur Durkheim a été rajouté dans l'article général sur la sociologie. Or il y a déjà un article Durkheim dans l'encyclopédie, qui peut être modifié. Je supprime donc cet ajout. (7/12/2005)

[modifier] Auguste Comte

Comte est souvent considéré comme le fondateur de la sociologie, du moins en France. Pour y voir plus clair sur l'article sociologie, je vous propose de consulter les modifications que j'ai apportées à l'article Auguste Comte en fonction de la lecture que j'ai faite de l'ouvrage Auguste Comte : le positivisme est un culte des morts (Raquel Capurro). Ce livre contient des révélations sur la vie de Comte. Les principes de sociologie ont été décrits par Comte dans la phase dite "religieuse" du positivisme. Utilisateur Pautard:Pautard (18/12/2005)

[modifier] Historique du terme

Si celui qui a créé le terme est Sieyès, il est malvenu de mettre les théories de Saint-Simon dans l'introduction. Il faut corriger. J'ai fait une remise en ordre chronologique du paragraphe fondation, j'espère que cela contribuera à une meilleure clarté. Pautard 3 mars 2006 à 13:32 (CET)

Cette information semble inexacte toutefois : le terme "sociologie" n'apparaît pas dans l'ouvrage cité (Qu'est-ce que le tiers état ?), disponible sur wikisource à http://fr.wikisource.org/wiki/Qu%E2%80%99est-ce_que_le_tiers_%C3%A9tat_%3F


Des preuves ?

Sieyes a-t-il réellement utilisé pour la première fois le terme de sociologie ? Quelqu'un peut-il le prouver (ou prouver le contraire) ? A ma connaissance, Sieyes a parlé et écrit sur le thème d'une science des hommes en société en utilisant le terme d'"art social" et non de sociologie. Condorcet, dans son "Esquisse d’un tableau historique des progrès de l’esprit humain" utilise le même terme d'"Art social" qu'il définit dans le chapitre 9. Cette définition est claire, c'est bien d'une sociologie qu'il parle sans toutefois employer le terme et avec une définition différente de celle de Comte. Comte s'inspirera entre autres de Condorcet, de Sieyes et de ce groupe connu sous le nom d'"idéologues" où on retrouve aussi des physiocrates (par ex. Jean Baptiste Say), des "socialistes" comme Leroux et bien sûr Saint-Simon. Condorcet parle également de "sciences morales et politiques", et voit dans l'art social l'application de celles-ci, avec une utilisation systématique des statistiques. L'originalité de Condorcet est que cet art social n'est pas fait pour étudier la société telle qu'elle est mais pour construire celle qui permettra de concrétiser les idéaux de la révolution : liberté, égalité. Mais, et jusqu'à preuve du contraire, c'est Comte qui aurait forgé et utilisé ce terme pour la première fois.

Morgenthaler

[modifier] A la recherche de la sociologie perdue !

Très très fort, Pgreenfinch, le titre de paragraphe que vous venez de proposer dans l'article Sociologie ! Mais, pourquoi ne pas allonger davantage la liste de ce qu'il faudrait à cette misérable discipline pour survivre : refondations, soutènements, arcs-boutants, haubans, béquilles, étais, que sais-je encore...

Sérieusement, je peux comprendre (et je partage) votre agacement face à certaines "bourdieuseries", mais là je ne vous suis pas. Votre titre de paragraphe est indigne de Wikipedia ... et de vous ! Merci donc de proposer quelque chose de plus sobre et de moins négatif. Sinon je m'en chargerai.

Bien cordialement !

--Champagneur 26 août 2006 à 21:07 (CEST)

Peut-être qu'un titre du genre "une discipline à la croisée des chemins" masquerait mieux la déroute ? Encore qu'il n'est pas tellement négatif de dire que cette discipline cherche maintenant sa voie. Bon, je n'ai pas de conseil à donner aux sociologues, mais s'ils tiennent à garder un certain fond de commerce, après avoir considéré qu'ils dominaient le champ intellectuel, cette voie pourrait maintenant être un peu moins celle des grandes envolées dogmatiques et un peu plus la recherche d'applications plus modestes et concrètes. --Pgreenfinch 26 août 2006 à 23:18 (CEST)
Bonsoir ! Merci de votre réponse Pgreenfinch. "Une science à la croisée des chemins" ? Pourquoi pas. Mon sentiment est que cette discipline s'est toujours cherchée, sans jamais réussir à se constituer un petit socle de certitudes comme on en trouve en économie (fausses certitudes selon moi, mais c'est une autre histoire...). A titre personnel, je vous avoue que j'aime l'espèce de bazar qui caractérise le champ de la sociologie, ainsi que les doutes sans fins qui animent traditionnellement les sociologues (peut être même Bourdieu, mais je n'en suis effectivement pas sûr!). Que dire alors ? Votre dernière proposition est moins "méchante" que la précédente, mais ne sommes nous pas, tous autant que nous sommes, et à chaque instant de notre vie "à la croisée des chemins" ? Et la sociologie est-elle une science ? Bien des sociologues patentés n'en jureraient pas ! Par ailleurs, on peut avancer que la sociologie n'a jamais été aussi florissante : il n'y a jamais eu autant de sociologues, de cours de sociologie, de recherches sociologiques. Donc cela ne va pas si mal... Mince ! C'est en fait bien compliqué de se prononcer. Vous allez voir qu'après une bonne nuit de sommeil, je vais finir par trouver votre première formulation adéquate. A demain, avec des idées peut être plus claires de mon côté. Cordialement, --Champagneur 26 août 2006 à 23:30 (CEST)
Depuis que je suis ici , je regarde plus en détail les articles de sociologie. Habituellement, ce n'est pas ici que je viens pour m'instruire sur la sociologie. J'essaye de voir comment je pourrais contribuer depuis mon arrivée, mais ce que je constate c'est qu'il me semble qu'on nous enseigne pas la meme sociologie d'un continent à l'autre. Je ne suis pas la plus instruite de vous, loin de là ! Néanmoins, le débat entre littérature et science est réglé d'où je viens. La sociologie ne se cherche pas autant ... Je ne sais pas par où débuter ni comment l'exprimer mais disons simplement que je me retrouve projeté dans un autre monde ! (sans vouloir insulter personne, sorter de la France ou de l'Europe ... Allez étudier un an ou deux en Amérique du Nord: c'est pas "mieux" que je dirais , mais les étudiants étrangers de l'université que je fréquente, eux l'affirment !!!!) --Idéalités 20 septembre 2006 à 03:58 (CEST)
Rien de plus désolant et de plus pauvre que la sociologie nord-américaine. On aurait beau me payer, pour rien au monde je n'irais étudier là bas !!! Déjà qu'on est pollué par leurs "social science" illisible, dieu merci, qu'ils gardent leur enseignement médiocre !!! J'irais plutôt en Amérique Latine, en Afrique, en Mongolie, en Italie ou en Chine. Au moins en Europe, on se pose des questions de fond, on se cherche et on a de la diversité théorique, ça, ça devrait faire pâlir d'envie ces "nord-américains", mais hélas, en sont-ils encore capables ? Quand on est à ce point persuadés d'être au sommet de la science mondiale, il est sûr qu'on est moins enclin à se poser des questions... recyclage 22 septembre 2006 à 16:32 (CEST)

Merci et bonne chance ! Ca fait plaisir de voir que jai pas ma place ici ! Que je tente de toutes les facons que ce soit, ce n'est jamais appropriée avec vous. Je laisse tomber. --Idéalités 22 septembre 2006 à 21:10 (CEST)

Bien sûr que si, vous avez votre place ! l'avis de "Recyclage" n'est qu'un avis. He is not the only peeble on the beach. Personnellement, je suis d'un avis contraire. Alors, vous voyez ! JL Morgenthaler 1.12.2006

je passe par là par hasard mais je rappelle à l'ami Recyclage que le wikilove ce n'est pas seulement un mot et que ces propos pourraient considérer par plus d'un comme ceux d'un troll (je pense à cette délicieuse phrase "Rien de plus désolant et de plus pauvre que la sociologie nord-américaine. On aurait beau me payer, pour rien au monde je n'irais étudier là bas !!! Déjà qu'on est pollué par leurs "social science" illisible, dieu merci, qu'ils gardent leur enseignement médiocre !!!"). Si Recyclage n'est pas d'accord avec moi qu'il aille se plaindre, je m'en contrefiche, Tryphon Tournesol
Wikilove, c'est bien beau, mais on en voit rarement la couleur. Ca marche surtout quand on est un bon petit wikipédien bien dans le rang. Dans tous les cas, je ne fais que répondre à un message, un peu obscur, d'idéalités, où j'ai eu l'impression qu'elle disait : la sociologie en France est trop portée vers le questionnement (métaphysique ?), alors qu'en Amérique du Nord (le Québec ?) tout est réglé, tout est beau et tout est lumineux. Allez étudier en Amérique du Nord, vous verrez bien, tout le monde le dit. Au prix où sont les études là bas, non merci ! De toute façon, ce genre de propos, ça m'énerve, qu'on soit sur WP ou ailleurs. Le discours pro-nord américain, dans les sciences, c'est vraiment pénible. Et petite précision : en France, il n'y a pas un enseignement de sociologie, ça change dans chaque labo, fac ou dea. Le changement de continent est sûrement aussi dur que le changement de fac. Maintenant, si Idéalités réagit mal, j'y peux rien. Et puis, c'est qui ce « vous » dont elle parle ? Faut arrêter la parano. Sinon, est-ce que je suis un troll ? Pourquoi pas. Si un troll est quelqu'un qui ennuie tout le monde en provoquant et en sortant des propos non conformes. L'idée me plaît bien. Recyclage.

A Idéalités : j'enseigne la sociologie en Amérique du Nord depuis plusieurs années, mais merci tout de même pour votre bon conseil. A recyclage : les américains paient vraiment bien, vous savez, même les sociologues ! Bien à vous. --Champagneur 23 septembre 2006 à 07:07 (CEST)

Tant mieux pour vous, mais personnellement, je trouve immoral de gagner sa vie en faisant le commerce des idées. J'ai plus d'admiration pour les agents immobiliers. recyclage 23 septembre 2006 à 08:05 (CEST)
Une seule chose à dire:Don't feed the troll, Tryphon Tournesol
Ce sont mes convictions profondes. Je ne vois pas où est le problème. Je trouve immoral de gagner sa vie en vendant des idées. Mais bon, il faut bien vivre ! Etre marchand de canons, chercheur ou professeur d'université, ce n'est pas très glorieux, mais ça permet au moins de nourrir sa famille ! Au fait, si être un troll, c'est être anti-conformiste, sophiste, relativiste et du mauvais côté de la barrière. Vive les trolls, les inclusionnistes et les geeks ! Wikipédia serait un beau projet, si il n'y avait pas tous ces conformistes qui rêvent d'en faire un temple du savoir académique. Recyclage
Il est vrai qu'affirmer qu'il n'y a "rien de plus désolant et de plus pauvre que la sociologie nord-américaine" est d'un anticonformisme ébouriffant (passe moi le peigne, chérie !). Il est vrai aussi que l'Université Paris Dauphine, où vous dites étudier, mon cher Recyclage, est un haut lieu de l'anticonformisme en France et de la pensée révolutionnaire ! Un lieu où professeurs et étudiants ont fait voeu de ne pas faire commerce d'idées, c'est bien connu... Allez, allez, Recyclage, j'avais trouvé plutôt sympathique, quoiqu'excessive, votre réaction aux propos d'Idéalités, mais là vous n'allez déranger personne, et seulement faire rire de vous. Par ailleurs, quand vous aurez repris vos esprits, je tiens à votre disposition les noms d'un certain nombre de sociologues américains, morts ou vifs, qui pourraient vous donner de vraies leçons d'anticonformisme. A bon entendeur salut, et bon courage pour la thèse ! --Champagneur 23 septembre 2006 à 17:44 (CEST)
En quoi les commerçants de Dauphine diffèrent-ils de ceux de Nanterre ou de Berkeley ? En rien. Mêmes méthodes, mêmes objectifs : vendre leurs produits. Dois-je faire rire de moi ? Avec plaisir. Je préfère la sociologie drôle et joyeuse à la sociologie pathétique et sérieuse des articles nord-américains. C'est plus fort que moi, en les lisant, je meurs d'ennui ! Jamais une petite boutade, une histoire drôle... Quelle tristesse. Mais diable, pourquoi ces sociologues sont-ils si sérieux ? Tracassés par la misère du monde ? Niet. Voilà la vraie raison : en s'auréolant du sérieux des croque-morts, leurs articles se vendent mieux. Pour le commerce, on est prêt à tout. Et c'est vrai que tant qu'on est payé... Faut en profiter. Mais y a pas de quoi en être fier ! Merci pour vos encouragements. Et pour vos leçons d'anticonformisme, c'est un oxymore assez comique ! Y a des écoles en Amérique du Nord qui enseignent l'anticonformisme ? Comment on fait pour se conformer à leur enseignement ?.
recyclage Je t'ai répondu sur ta page. --Idéalités 23 septembre 2006 à 19:17 (CEST)

Deux grosses erreurs sur l'histoire du terme "sociologie"

1. Il ne figure pas dans "Qu'est-ce que le tiers-état?" de Sieyès; il suffit de consulter ce texte disponible en ligne à partir de cette page pour le constater. On l'a retrouvé en revanche récemment dans des manuscrits de Siéyès. 2. A. Comte n'attend pas 1e Système de politique positive pour l'employer. Il figure dès la 47ème leçon du Cours de philosophie positive, qui date de 1839.

[modifier] Wake up

Je songe sérieusement à revoir cet article qui ma foi est gravement boîteux et trop obscure pour rien. --Idéalités 14 octobre 2006 à 04:27 (CEST)

Jai apposé un bandeau À reclycler. Vous pouvez exprimer votre opinion. Moi je vais bosser a refaire cet article. --Idéalités 14 octobre 2006 à 17:53 (CEST)

[modifier] Origine du néologisme "sociologie"

Dans "Qu'est-ce que le Tiers Etat?", le néologisme 'sociologie' n'est pas utilisé (Siéyès, © 1788, voir référence ci-après). Ce néologisme a été effectivement créé par Auguste Comte pour traduire l'expression de "physique sociale" figurant dans son Cours de Philosophie Positive (© 1830-1842). Les trois premiers tomes de ce Cours sont consacrés aux mathématiques, à l'astronomie, à la physique, à la chimie et à la biologie. Le tome IV inaugure "La partie dogmatique de la philosophie sociale" ("écrite du 1er mars au 1er juillet 1839") et la 46ème leçon s'intitule : "Considérations politiques préliminaires sur la nécessité et l'opportunité de la "physique sociale", d'après l'analyse fondamentale de l'état politique actuel". Comte accompagne l'introduction du terme "physique sociale" d'une note tout à fait explicite : "Cette expression, et celle, non moins indispensable, de "philosophie positive", ont été construites, il y a dix sept ans, dans mes premiers travaux de philosophie politique. Quoique aussi récents, ces deux termes essentiels ont déjà été en quelque sorte gâtés par les vicieuses tentatives d'appropriation de divers écrivains, qui n'en avaient nullement compris la vraie destination, malgré que l'on eusse, dès l'origine, par un usage scrupuleusement invariable, soigneusement caractérisé l'acception fondamentale. Je dois surtout signaler cet abus, à l'égard de la première dénomination, chez un savant belge qui l'a adoptée, dans ces dernières années, comme titre d'un ouvrage [Quételet, © 1835] où il s'agit tout au plus de simple statistique." Ensuite, Comte intitule la 47ème leçon de son Cours : "Appréciation sommaire des principales tentatives philosophiques entreprises jusqu'ici pour constituer la science sociale". Après avoir évoqué Aristote, Comte affirme que : "Depuis Montesquieu, le seul pas important qu'ait fait jusqu'ici la conception fondamentale de la sociologie est dû à l'illustre et malheureux Condorcet dans son mémorable ouvrage sur l'Esquisse d'un tableau historique des progrès de l'esprit humain." Sur le terme "sociologie" Comte introduit une note cruciale relative au néologisme : "Je crois devoir hasarder, dès à présent, ce terme nouveau, exactement équivalent à mon expression, déjà introduite, de physique sociale, afin de pouvoir désigner par un nom unique cette partie complémentaire de la philosophie naturelle qui se rapporte à l'étude positive de l'ensemble des lois fondamentales propres aux phénomènes sociaux. La nécessité d'une telle dénomination, pour correspondre à la destination spéciale de ce volume, fera, j'espère, excuser ici ce dernier exercice d'un droit légitime, dont je crois avoir toujours usé avec toute la circonspection convenable, et sans cesser d'éprouver une profonde répugnance pour toute habitude de néologisme systématique". L'attribution à Siéyès du terme sociologie est une double erreur, tant de forme que de fond. D'une part, il est facile de vérifier que le pamphlet de Siéyès ne contient pas le terme (© 1788, se reporter au manuscrit original reproduit en ligne par la Bibliothèque Nationale, texte reproduit également dans Wikisource). D'autre part, la visée de Siéyès concerne le droit politique. D'entrée de jeu, il anticipe de révolutionner son fondement: "Qui donc oseroit dire que le Tiers-Etat n'a pas en lui tout ce qu'il faut pour former une Nation complette ? Il est l'homme fort et robuste dont un bras est encore enchaîné. Si l'on ôtoit l'Ordre privilégié, la Nation ne seroit pas quelque chose de moins, mais quelque chose de plus. Ainsi, qu'est-ce le Tiers ? tout, mais un tout entravé et opprimé. Que seroit-il sans l'Ordre privilégié ? tout, mais un tout libre et florissant. Rien ne peut aller sans lui, tout iroit infiniment mieux sans les autres " (manuscrit original cité p. 10).Siéyès ne se borne pas à mettre en cause la composition et le fonctionnement des Etats-Généraux du royaume. Tel Rousseau dans le Contrat Social (© 1762), mais différemment, il vise à énoncer des principes de droit politique : " Si nous voulons actuellement considérer le même sujet, indépendamment de tout intérêt particulier, et d'après les principes qui forment la science de l'ordre social, nous verrons prendre à cette question une face nouvelle. Je soutiens qu'on ne peut accueillir, soit la demande du Tiers, soit la défense des Privilégiés, sans renverser les notions les plus certaines. Je n'accuse pas les bonnes Villes du Royaume d'avoir eu cette intention. Elles ont voulu se rapprocher de leurs droits, en réclamant au moins l'équilibre entre les deux influences ; elles ont professé d'ailleurs d'excellentes vérités : car il est constant que le veto d'un Ordre sur les autres seroit un droit propre à tout paralyser dans un pays où les intérêts sont si opposés ; il est certain qu'en ne votant pas par têtes, on s'expose à méconnoître la vraie pluralité, ce qui seroit le plus grand des inconvéniens, parce que la Loi seroit radicalement nulle. Ces vérités sont incontestables. Mais les trois Ordres, tels qu'ils sont constitués, pourront-ils se réunir pour voter par têtes ? telle est la véritable question. Non. A consulter les vrais principes, ils ne peuvent point voter en commun, ils ne le peuvent ni par têtes, ni par Ordres. Quelque proportion que vous adoptiez entre eux, elle ne peut remplir le but qu'on se propose, qui seroit de lier la totalité des Représentants par une volonté commune. Cette assertion a, sans doute, besoin de développement et de preuves. Qu'on me permette de les renvoyer au sixième Chapitre. Je ne veux pas déplaire à ces personnes modérées qui craignent toujours que la vérité se montre mal-à-propos. Il faut auparavant leur arracher l'aveu que la situation des choses est telle aujourd'hui, par la seule faute des Privilégiés, qu'il est temps de prendre son parti, et de dire ce qui est vrai et juste dans toute sa force " (pp. 60-61). Ainsi, Siéyès affiche avec cohérence et véhémence sa conception d'une science de l'ordre social en tant qu'ordre éminemment politique, caractérisé par sa dimension constitutionnelle, ce qu'il confirme encore dans son chapitre V intitulé " Ce qu'on auroit dû faire. Principes à cet égard " :" Ici, nous avons besoin de nous rappeler tout ce qui a été dit dans le Chapitre précédent, tant sur la nécessité de constituer le Corps des Représentants ordinaires, que celle de ne confier ce grand ouvrage qu'à une députation extraordinaire, ayant ad hoc un pouvoir spécial. On ne niera pas que la Chambre du Tiers aux prochains Etats-Généraux ne soit très-compétente assurément à convoquer le Royaume en Représentation extraordinaire. C'est donc à lui, surtout, qu'il appartient de prévenir la généralité des Citoyens sur la fausse constitution de la France. C'est à lui à se plaindre hautement que les Etats-Généraux, composés de plusieurs Ordres, ne peuvent être qu'un Corps mal organisé, incapable de remplir des fonctions nationales ; c'est à lui à démontrer en même temps la nécessité de donner à une députation extraordinaire, un pouvoir spécial pour régler, par des lois certaines, les formes constitutives de sa législature. Jusque là, l'Ordre du Tiers suspendra, non pas ses travaux préparatoires, mais l'exercice de son pouvoir ; il ne statuera rien définitivement ; il attendra que la Nation ait jugé le grand procès qui divise les trois Ordres. Telle est, j'en conviens, la marche la plus franche, la plus généreuse, et par conséquent la plus convenable à la dignité du Tiers-Etat " (pp. 152-154). Le langage de la science de l'ordre social chez Siéyès s'apparente bien à celui d'un juriste politique. Il anticipe celui de l'homme politique qu'il deviendra bientôt et ne saurait être confondu avec celui de la sociologie, même celui de la sociologie dite d'intervention. Jacques Van Bockstaele, socianalyste.

On est pas sortie du bois si on parle de sociolgie comme étant un néologisme --Idéalités 13 décembre 2006 à 21:42 (CET)PS.Et moi qui croyais que depuis le temps c'était un terme lexicalisé..

[modifier] Commentaires replacés en bas de discussion

[modifier] Commentaire sur la sociologie en général

Je pense que la sociologie ne doit pas être présentée comme un tout uni, homogène et linéaire car ils existe non pas une mais des sociologies. Ces pensées sociologiques utilisent des concepts communs mais n'appréhendent pas de la société de la même manière. La présentation de cette discipline doit être principalement axée sur l'exposition de la démarche sociologique générale et de son objet d'étude, puis sur les pensées sociologique qui constituent la discipline. ébauche de plan de présentation:

  • presentation génerale en quelques mots
  • objet d'étude de la sociologie
  • méthode génerale, démarche sociologique
  • les pensées sociologiques (les grands clivages)
 1.hollismes et individualismes (ou atomismes)
 2.sociologie de l'ordre et sociologie du désordres
chronologie des courants de pensées

Bonjour, Bien sur nous somme d'accord! Il y a même un bandeau : Cet article est à recycler en haut de l'article. N'hésites pas à faire des modifications. Le même article, en d'autres langues rapporte autrement la sociologie, donc il suffit de modifier cet article et de le rendre meilleur. Si tu t'interresses à la sociologie, présentement nous somme en train de refaire la facade du projet et du portail; tu es bienvenue pour y donner tes avis et commentaires. Voici notre "vestibule" => Projet:Sociologie/ravalements. Si nous arrivons a refaire le look et de plus avoir un meilleur article pour "Sociologie", ca serait fabuleux :D Au plaisir de se retrouver lors de contributions --Idéalités 2 janvier 2007 à 18:32 (CET)

[modifier] Commentaires sur l'article

Sur l'ensemble oui.Mais bon. Cela dit, aujourd'hui l'histoire de la sociologie est suffisamment communement admise pour en tracer le cadre et les grandes lignes. il y a bien sur des oublies, comme toute discipline n'ayant q'un projet scientifique de connaissance et non une définition proprement scientique au sens positiviste du terme. Si j'en crois l'article du diplo Ibn Khaldun apparait être dans une démarche similaire à celle de la sociologie, du moins tel qu'elle ce définie en occident. En ce qui concerne le résumé de thèses, ...Image:Icon eek.gif c'est du boulot mon coco image:Icon_wink.gif certains gagne même leur vie ainsiimage:Icon_redface.gif. Les liens c'est pas très compliqué, compernic est une bonne aide pour les trouver. N'étant pas adepte du prémaché...Image:Icon cool.gifimage:Icon_wink.gif, ni partisan du trocage de cervelle contre un bout de silicumImage:Icon confused.gif. En ce qui concerne les définitions et des exemples plus concret ,là , entièrement d'accord. Mais il y a un apprentissage incontournable: l'histoire de la sociologie qui est tres proche de l'histoire des idées de l'humanité (P.BOURDIEU; R.ARON; P-J SIMON le plus abordable pour des néophytes; ...) , et l'apprentissage des concepts élémentaires là aussi il y a plusieurs auteurs accéssible. On ne peut apprendre à lire une partition sans connaitre le solfège. Nous avons tous été à l'école, nous pouvons tous en discuter et réfléchir sur la question, mais cela ne sera que de la sociologie spontannée, bref une sociologie de comptoir. Une sociologie qui ce donne pour projet scientique de connaîte l'organisation des hommes en socièté utilise des concepts forgé au fil du temps. Cela remonte au grec pour l'occident, plus loin dans le temps pour l'orient. http://www.iresco.fr/ressources/sociopole/accueilfrance.htm

Cordialement phitros.


[modifier] Commentaires sur l'article (2ème)

Plutôt que discuter sans fin sur des fondateurs réels ou supposés, sur des définitions que même les plus grands sociologues ont fuies, il vaudrait mieux accepter les diversités de la sociologie et notamment de la sociologie française. On pourrait ainsi proposer dans Wikipedia des résumés de thèses produites par les grands auteurs (Le suicide de Dürkheim par ex.), des essais de définition de concepts sociologiques (les classes sociales chez Marx et chez Bourdieu...) ainsi que des présentatins de travaux sociologiques sur la société actuelle.

Les participations à des listes d'ouvrages disponibles en français, des indications de revues, des biographies intellectuelles d'auteurs seraient utiles.

Ainsi, on accumulerait des connaissances disponibles et utilisables en évitant les suppressions terroristes et les polémiques. Par exemple, Ibn Khaldun est bien un ancêtre de la sociologie, il faudrait encore dire en quoi.

Des exemples seront toujours plus utiles que des définitions trop abstraites et nécessairement porteuses d' exclusion.

groucho

Ayant quelques heures de vols en Socio( j'attaque mon 3ème cycle après 2 ans de pratique sur le terrain) je peux peut être vous aider. Oui Marx appartient à la sociologie , mais comme précurseur et non comme fondateur.

il y a différentes écoles en sociologie (anglo-saxone; française; allemande;...) pour certaines marx est un sociologue pas pour d'autres. La distinction entre anthropologie et sociologie est avant tous académique. A la première les sociètés "exotique" à l'autre les sociètés civilisées. Aujourd'hui les anthropolgues (pour les anglo-saxons)ou ethnologues (pour les français) et les sociologues passent d'une société à l'autre. Actuellement, on trouve des travaux d'anthropologues urbain par exemple. La distinction de terrain et d'objet entre les deux disciplines s'éfface peu à peu.

Voila rapidement, désolé pour l'orthographe mais c'est une visite rapide suite à l'article de libé. Mais je repasserais ;)

Pour conclure, disons que l'article sur la sociologie me semble a travailler il y a plusieurs erreur notamment sur la définition et son histoire. il faut que j'y réfléchisse mais je suis bien tenté de vous en écrire un. je vais réfléchir... sinon A+ ;))