Discuter:Quotient intellectuel

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Je viens de réécrire la page qui contenait de multiples erreurs. La nouvelle page est très incomplète. Il manque notamment :

  • Les principes fondamentaux des tests (mesure de l'intelligence par ses manifestations et non pas par ses caractéristiques)
  • L'explication des problèmes posés par le passage du QI en âge mental au QI par rang (et la solution de Cattell d'utiliser un écart-type de 48)
  • Les limites de la modélisation par une Loi Normale
  • L'étude de la validité des tests (ils sont corrélés à 0,7 avec l'Intelligence Générale)
  • etc.

Il faudrait aussi compléter la page Intelligence pour y rajouter une explication de ce qu'est l'Intelligence Générale.

Mais tout cela serait beaucoup trop long. J'ai donc uniquement cherché à donner une indication des différentes significations que peut prendre le terme QI, et indiqué les liens vers un site francophone assez complet que j'ai développé sur le sujet.

PG 30 avr 2004 à 00:53 (CEST)

il semble qu'on a ajouté beaucoup de choses sur cette page depuis avril.

J'ai ajouté des réserves à la partie sur "les réserves sur le QI" car il y en a. Elles sont extraites de la FAQ en cours d'élaboration sur un site que j'administre. Au fur et à mesure, je reviens ici déposer ce que mes recherches ont donné. Du coup, j'ai été amenée à ajouté aussi une page sur l'effet Flynn. Comme j'ai dû aussi intervenir sur la Courbe de Gauss, etc. Volontairement, j'ai cherché à rester le plus simple possible et à m'éloigner des chiffres : derrière le QI, il y a des gens.

J'ai ajouté donc ajouté des liens faciles d'accès (sic).

--Lauranne 29 nov 2004 à 00:31 (CET)

Sommaire

[modifier] Un morceau obscur

Ci-dessous un copier-coller d'une partie de la page que je trouve trop chevelu pour être intégré et que je n'arrive pas à peigner. gbog 16 jan 2005 à 09:35 (CET) ...

OK. J'ai reclassé certains items. Mais, justement, si on enlève les passages (ce n'était pas un copier-coller mais un COUPER-coller), on ne comprend plus rien.

il y avait de grosses confusions d'ajoutées. (du moins, elles figuraient en lieu et place d'autres notions, d'où confusion)

Modifications : J'ai ôté ces deux passages.

  • Le test de QI a été souvent critiqué à cause de sa dépendance au contexte socio-culturel. En effet, la résolution rapide de tels problèmes est rendue plus facile quand on est habitué à ce type de raisonnement. Suivant la voie tracée par les penseurs Grecs, la civilisation occidentale a donné une grande importance à la logique, au raisonnement déductif, à l'analyse, au principe de non-contradiction, bref aux mathématiques. D'autres cultures ont développé d'autres outils pour comprendre le réel, comme le raisonnement par analogie, l'utilisation de l'intuition, la référence à l'Histoire ayant valeur de preuve, etc. Ainsi il faudrait prendre en compte les caractères culturels pour que le QI puisse s'appliquer universellement comme mesure d'une certaine capacité intellectuelle.

... Le Qi ne mesure qu'une certaine capacité intellectuelle, et pas, en effet, la référence à l'Histoire (??), etc.! Ce passage là parle de la définition de l'objet testé. Ca n'a pas de rapport. Si l'auteur parle de "l'intelligence" (?), il peut se référer à l'article en émergence sur le sujet. S'il parle de certaines facultés... Eh bien, les tests de QI ne mesurent pas celles-là. Point.

Ce n'est pas ce dont il est question quand on parle de dépendance socio-culturelle.

Notons que "l'intuition", en tant que capacité à repérer des éléments permettant d'anticiper les effets d'une action ou situation, est prise en compte dans les tests de QI (forcément, puisqu'il faut deviner le résultat d'après les éléments donnés), et même insconsciente, puisqu'on ne doit pas fournir de justification de ses réponses.


  • enfin, le test de QI ne donnant qu'une note globale, il ne permet pas de connaître la qualité de la capacité intellectuelle du sujet testé, il ne donne pas de renseignements sur ses points forts et ses points faibles.

--> c'est faux. La note (QI) est globale, mais il y a plusieurs sub-tests, et le but est justement de renseigner sur les points forts et les points faibles ! (confusion entre les termes "QI" et "test de QI"). Par contre, tous les points ne peuvent être abordés (capacité à léviter, prescience...). --Lauranne 28 jan 2005 à 09:31 (CET)

[modifier] Lapsus et calembour

"On peut programmer assez facilement un ordinateur en LISP ou en SLIP"

S'agit-il d'une référence à un langage dont j'ignorais l'existence, d'une allusion au protocole de ce nom, ou d'une blague vaseuse ? Apokrif 29 mar 2005 à 13:25 (CEST)

SLIP (Simple LIst Processor) était un ensemble de sous-programmes FORTRAN permettant de réaliser du traitement de listes. C'était tout aussi fastidieux que le LIPS? mais enfin, cela ne comportait pas vraiment plus de parenthèses pour traiter un problème donné 81.65.27.14 8 septembre 2005 à 18:33 (CEST)

[modifier] NPDV

Créer un sous-titre nommé froidement "invalidité qu QI" ne peut en aucun cas être considéré comme neutre ni même conforme à la simple réalité (si l'on distingue en moins de deux heures de conversation un 150 d'un 100, c'est bien qu'il y a quelque chose qui distingue quelque part le 150 et le 100). Je modifie donc ce titre en "Objections", ce qu'il était me semble-t-il au départ (?) 81.65.27.14 8 septembre 2005 à 18:35 (CEST)

Corrections également d'une double atteinte à la NPDV : un contributeur, par sa mauvaise formulation, pouvait faire risquer d'amalgamer le notion de QI avec celles d'élitisme, d'eugénisme et de racisme (première erreur) et avait rédigé son article dans un sens dépréciant les deux premiers sans raison valable, autre atteinte à la NPDV. 81.65.27.14 8 septembre 2005 à 19:10 (CEST)
Wiki est là pour informer de tous les aspects d'un sujet, c'est en donnant tous les points de vue que l'on obtient la neutralité, pas en exposant ton seul point de vue et en supprimant toute réflexion et mise en cause du sujet (tu devrais lire les pages de wiki consacrées au npov).--84.101.175.97 26 septembre 2005 à 20:42 (CEST)


Tu me dis en gros: "Si des gens disent que X est plus intelligent que Y c'est sùrement vrai!" Et bien je dis NON.
La différence entre un 100 et un 150 c'est le milieu social, l'éducation, l'entrainement de l'individu, et surtout la volonté d'acceptation et d'adaptation à des codes de raisonnement logiques choisis totalement arbitrairement, et sùrement pas par une intelligence assez supérieure aux autres pour avoir le droit de fixer les critères définissant "l'intelligence".

L'intelligence, même dans son sens courant, ne possède pas de rapport direct avec le conformisme social ou le politiquement correcr. On a pu entendre mettre en cause la provocation d'un Serge Gainsbourg, le cynisme en affaires d'un Bill Gates, l'absence de sens moral du professeur Moriarty; jamais n'ont été mis en cause pour autant leur intelligence, au contraire. 81.65.27.14 26 septembre 2005 à 16:28 (CEST)
Je te dis que personne ne peut valider une thèse sur ce sujet de façon empirique, et toi tu me parles de politiquement correct, aucun rapport. --84.101.175.97 26 septembre 2005 à 20:42 (CEST)

La classification d'individus en "surdoués", "moyens", "attardés" à partir de ce genre de test n'a pas plus de valeur que les autres thèses passéistes associées.

Ici, tu n'es pas NPDV. La Wikipédia est là pour informer des lecteurs, et non pour permettre à ses rédacteurs d'exorciser leur préjugés par article interposé. 81.65.27.14 26 septembre 2005 à 16:28 (CEST)
Wiki est là pour informer de tous les aspects d'un sujet, c'est en donnant tous les points de vue que l'on obtient la neutralité, pas en exposant tes préjugés et en supprimant toute réflexion et mise en cause du sujet. Et je n'ai aucun préjugé, la classification grossière que j'ai donné juste au dessus est à peine exagérée du consensus sur les résultats de QI (plus policé certes) partagé par certains beni oui oui. --84.101.175.97 26 septembre 2005 à 20:42 (CEST)

Et personne n'a le monopole de l'intelligence, cette classification est une invention civilisationnelle, totalement artificielle.

L'automobile est également une création totalement artificielle, et tu peux constater que nous avons un article [[automobile]. 81.65.27.14 26 septembre 2005 à 16:28 (CEST)
Comparer des thèses sur l'intelligence avec des automobiles, j'aurais pas osé. --84.101.175.97 26 septembre 2005 à 20:42 (CEST)

Le QI ne mesure pas l'intelligence mais l'adaptation à des fonctionnements logiques choisis arbitrairement, c'est la seule définition objective.

Si l'on a choisi arbitrairement non seulement ce que mesure le QI, mais également les disciplines enseignées dans le cadre scolaire, c'est tout simplement en raison de leur intérêt général. Le degré celsius aussi est arbitraire, cela ne rend nullement nocif ou pernicieux l'usage d'un thermomètre. 81.65.27.14 26 septembre 2005 à 16:28 (CEST)
On est d'accord, le QI ne doit donc pas être présenté comme mesure de l'intelligence mais bien comme un test aux critères prédéfinis sur des matières données, ce n'est pourtant pas ce que tu as fait sur cet article jusqu'à présent, contradictoire tout ça. --84.101.175.97 26 septembre 2005 à 20:42 (CEST)

Sinon, voilà le genre de raisonnement qui en découle: "Le classement des individus par «intelligence» supposée induit quasi systématiquement le classement des individus en «bons» et «inaptes», de façon plus ou moins nuancée et donc plus ou moins socialement acceptable. Or c'est là un détournement de la notion de QI : un faible QI n'empêche en rien par exemple de devenir artisan de génie ou employé modèle.."
->Les QI faibles (sous-entendu stupides) ne sont donc voués qu'à être de bons subalternes et de bons larbins, c'est bien ça ton raisonnement?

Ce point de vue n'engage que toi. Si tu as tel ou tel compte à régler ou bien tel ou tel complexe à éliminer, cela est parfaitement licite; je rappelle simplement que la Wikipédia ne constitue pas le lieu adéquat pour cela, non plus que pour quelque réaction émotionnelle que ce soit. 81.65.27.14 26 septembre 2005 à 16:28 (CEST)
S'il te plaît, épargne moi ta rhétorique de comptoir, vouloir discréditer la personne avec qui on débat c'est une méthode bien minable. Je n'ai aucun complexe quant à mon intelligence, en revanche je me poserais des questions si je tenais des raisonnements aussi pauvres que ceux qui t'amènent à cantonner les "QI faibles" dans des taches "d'employés modèles" (sic) ou autres subalternes. --84.101.175.97 26 septembre 2005 à 20:42 (CEST)

Et quand je vois aussi que sur la page Intelligence il est dit que « L'intelligence, c'est ce que mesurent les tests d'intelligence », il y a vraiment un problème. (désolé pour la réponse trop longue) --84.101.175.235 11 septembre 2005 à 05:12 (CEST)

Cette discussion-là ne concerne pas le présent article. 81.65.27.14 26 septembre 2005 à 16:28 (CEST)
Si elle le concerne. Tu prétends que les QI représentent l'intelligence et ça ne te gêne pas que l'intelligence elle même ne soit pas définie (et pire, ramène directement à cet article). Aucune honnêteté intellectuelle. --84.101.175.97 26 septembre 2005 à 20:42 (CEST)


La forme actuelle me convient. --84.101.175.97 26 septembre 2005 à 20:56 (CEST)

Pour respecter la neutralité de point de vue j'ai réécrit la dernière phrase de l'intro. Elle me semblait trop subjective. --Freefater (d) 29 janvier 2008 à 11:56 (CET)

[modifier] Variance du QI au cours du temps

Je lis : le QI des parents influe sur celui des enfants, qui a néanmoins tendance à se situer entre la moyenne nationale et celui des parents. Contrairement à une idée reçue, cette loi n'implique pas une diminution de la variance du QI.

Je ne vois là nulle "idée réçue", mais au contraire un résultat pas trop difficile à montrer mathématiquement : si tous les rejetons d'une génération 1 ont un QI compris entre celui de leurs parents et celui de la population, alors nécessairement la variance de la génération 2 sera inférieure ! 81.65.26.198 5 janvier 2006 à 21:18 (CET)

[modifier] Variance du QI au cours du temps, réponse.

Tu n'as pas bien lu l'affirmation que tu cites et considères comme fausse. D'accord, si tous les rejetons d'une génération 1 on un QI strictement compris entre celui de leurs parents et celui de la population, alors la variance de la génération 2 sera strictement inférieure. En revanche, si tous les rejetons d'une génération 1 on un QI moyen strictement compris entre celui de leurs parents et celui de la population, on ne peut rien conclure.

Un exemple avec une population très simple: mettons qu'on a un escargot qui fait un enfant et un seul.

Soient QIPapa et Perturbation deux v.a. gaussiennes, indépendantes, de moyenne nulle et de variance 1. On définit la loi du QI du bébé escargot par : QIBebe=1/\sqrt{2}*(QIPapa+Perturbation).

Si on ne connaît pas le QI du papa (population globale):

E(QIBebe)= 1/\sqrt{2}*(E(QIPapa)+E(Perturbation))=0=E(QIPapa)

E(QIBebe^2)= \frac{1}{2}*(E(QIPapa^2)+E(Perturbation^2))=1=E(QIPapa^2)

La variance est stable, ainsi que la moyenne d'ailleurs. Maintenant calculons l'espérance du QI du bébé connaissant le QI du papa (influence du QI du papa sur le QI du bébé):

E(QIBebe/QIPapa)=1/\sqrt{2}*E(QIPapa).

L'espérance de QIBebe connaissant QIPapa se situe strictement entre QIPapa et 0.

Bon voilà.

Voici un autre exemple avec deux escargots, un au QI de 125 et l'autre au QI de 75. Imaginons que leurs enfants aient, conformément à la "prévision" d'Eysenck, par exemple 115 et 85. Ainsi donc selon toi la variance ne change pas ? :-D 81.64.199.142 27 juillet 2006 à 16:58 (CEST)

[modifier] Paragraphe déplacé de l'article - remarque sur le 'facteur g'

Je n'y connais rien, donc je déplace juste cela ici. Merci de le reformuler le cas échéant et de remettre ce qui a lieu d'être dans l'article. C'était situé dans la section Quotient intellectuel#Historique simplifié, entre la fin de l'item 1939 et le début de l'item 1961.
-- AlNo (m'écrire) 29 mars 2006 à 15:38 (CEST)

L'existence du facteur g n'en est pas pour autant mise en cause : celui-ci se retrouve en tronc commun, probablement cognitif, des autres facteurs.Thurstone réfute ainsi la thèse du facteur générale de Spearman dans une étude publiée en 1938 ("Primary mental abilities", Chicago: University of Chicago press, Psychometric monographs 1) "Jusqu'à présent, dans notre travail, nous n'avons pas trouvé le facteur g de Spearman. [...] Pour autant que nous puissions le dire actuellement, les tests qu'on a supposés saturés en ce facteur général commun répartissent leur variance en facteurs général qui ne sont pas présents dans tous les tests. Nous n'avons rencontré aucun facteur général commun dans la baterie des 56 tests qui ont été analysés dans cette étude." (Dans Stephen Jay Gould "La mal-mesure de l'homme", Éditions Ramsay, Paris, 1983).--64.18.185.49 19 mars 2006 à 19:52 (CET)

Je suis l’auteur de cette insertion un peu cavalière, je l’admets. Il faut faire très attention en abordant cette question puisque Thurstone n’aimait pas le facteur g de Spearman; non pas parce qu’il avait fait la preuve de son inexistence, mais simplement parce qu’il la croyait trop simpliste. Il est donc faux de dire que les travaux de Thurstone sont en continuité avec ceux de Spearman et ce sera toujours faux. Il serait malhonnête de recorriger cette partie du texte une troisième fois pour faire croire le contraire. Si vous n’y connaissez rien, alors je vous recommanderais au moins de consulter l’article de Thurstone de 1938 que j’ai déjà cité et que j’ai ajouté à la bibliographie pour votre édification! AW

[modifier] Le QI vu d'Afrique

Voici une critique des tests d'intelligence que m'a envoyé un site Ivoirien:

http://cipdtf.ruwenzori.net/iquiz/RacismeLesTestsDIntelligence.htm

Attention! Le reste de ce site est très satirique! (anti-raciste mais pas anti-français)

Ce texte est intéressant car certains de ses arguments sont très pertinents.

Par exemple sa critique des résultats de Lynn et Vanhanen (QI Guinée Éqautoriale=59):

http://cipdtf.ruwenzori.net/iquiz/RacismeLesTestsDIntelligence.htm#1

On y parle également de plusieurs études Européennes et de Eysenck.

Dans la mesure où il est établi depuis plus de dix ans qu'Eysenck a commis dans le meilleur des cas une erreur de méthode, et dans le pire falsifié ses résultats, il n'a a me semble-t-il plus lieu de prendre ceux-ci en compte. 81.64.199.93 12 mai 2006 à 04:01 (CEST)

[modifier] Évaluation de dommages

Cette information a etre autres été présentée le 11 mai 2006 en débutd'après-midi lors du Journal de la santé. L'émission est visible pour quelques jours ici : Lien France 5 - Journal de la santé.

[modifier] Les composantes et le composé

En reprenant les analyses de Spearman, Thurstone conclut que ces sept facteurs sont orthogonaux, c'est-à-dire représentent autant de types d’intelligence et n'ont pas de lien entre eux. Le g de Spearman serait donc inexistant

Comme il s'agit d'un commentaire personnel, ce qui suit n'a pas sa place dans l'article, mais cela ne vous rappelle-t-il pas ce qui s'est passé pour les PC ? Au tout début, on ne parlait que de puissance du processeur et il s'agissait du critère unique proposé par les revues. Aujourd'hui, 2006, on constate que le meilleur processeur ne donne pas grand chose si lui adjoint une médiocre carte graphique, et vice-versa. Il doit bien y avoir autant de composantes différentes dans la puissance d'un PC que dans l'intelligence humaine. Peut-être la métaphore méritait-elle d'être avancée.

Honnêtement, je ne vois absolument pas le rapport. --Sixsous 27 août 2006 à 03:48 (CEST)
Cela n'a rien d'un commentaire personnel à mon avis. Ce sont les conclusions de Thurstone! Si on devait enlever les commentaires personnelles de ce type, alors il faudrait jeter tout le contenu du Wiki "QI"... Et garder seulement les éléments qui vous font plaisir.

[modifier] Marylin vos Savant

ci-dessous un texte extrait de la page de cette personne, à recycler éventuellement dans la page QI. Chris93 30 août 2006 à 15:55 (CEST)


NB : si la moyenne est de 10, une personne sur 6 résout 20 problèmes 116 QI, une personne sur 40 résout 30 problèmes 132 (niveau à partir duquel on est considéré comme surdoué), 1 personne sur 500 (on attendrait une personne sur 750 en loi normale) résout 40 problèmes 148, et une personne sur 10 000 résout 50 problèmes 164. Au delà, les psychologues ne disposent pas de données fiables parce qu'il faudrait rendre les questions beaucoup plus difficiles pour que la moyenne chûte et permette à un nombre infime d'avoir plus de 5 fois plus de bonnes réponses. Par induction, certains psychologues pensent qu'une personne sur 100 000 (au lieu de 1 sur 3 millions) résoudrait 60 problèmes là où la moyenne serait de 10 soit 180 de QI. Il faut également savoir qu'une personne ayant 132 de QI (en France 1 personne sur 40 soit quasiment 20 000 personnes par année) est capable de suivre l'éducation primaire et secondaire en 8 ans au lieu de 12 et donc d'obtenir le Bac à 13 ou 14 ans (nombreuses expériences dont une Ecole à Nice aujourd'hui fermée). Les personnes qui ont 148 de QI (soit une personne sur 500, soit 1500 personnes chaque année) pourraient avoir le bac et entrer dans le supérieur à 12 ans (nombreuses expériences aux USA dont l'université de Washington Early Entrance Program). Une école publique co-financée par des donateurs privés vient d'ouvrir dans le Nevada USA, Davidson Institute, pour les enfants qui ont un QI de 151 au moins (soit 1 personne sur 1000). C'est la première fois qu'une expérience aussi structurée se crée à un tel niveau de sélection (les expériences précédentes concernaient plutôt les personnes avec un QI supérieur à 125 ou 130). Les résultats ne seront connus que dans plusieurs dizaines d'années.


[modifier] La validité

Je viens de revisiter la section « Le QI mesure-t-il l’intelligence? » en y accolant le terme « validité ». C’est mon domaine d’étude alors j’ai donc cru bon vous en faire profiter un peu. J’espère que vous apprécierez, d’autant plus que j’ajoute 4 citations à la bibliographie qui, selon moi, n’est pas assez mise en valeur ici.

Personnellement, je trouve les commentaires qui s’y trouvaient à l’origine plutôt insignifiant, mais je n’ai pas osé les enlever. Qu’en pensez-vous?



[modifier] Quelques questions

Je ne suis pas spécialement compétent en la matière donc j'aimerais vérifier auprès de ceux qui connaissent un peu le sujet (s'il en est). Du peu de tests de QI que j'ai eu entre les mains il m'apparait que le principe est toujours le même. Déterminer la bonne réponse, soit parmi plusieurs posées, soit en rentrant une valeur. Parfois il est précisé "plusieurs réponses possibles".

La deuxième chose est que la plupart des tests sont limités dans le temps, souvent aux alentours de 2 minutes par question en moyenne.

Je suis étonné que personne ne s'offusque de ce procédé. Je ne tiens pas à rentrer dans le débat sur "qu'est-ce que l'intelligence?", et il est évident qu'à la base le test de QI est à prendre avec beaucoup de précautions, mais les deux points que j'ai évoqués invalident (à mon sens) complètement le test.

Le premier pour la simple raison que mis à part les questions à réponses "évidentes", il est pour un grand nombre de questions possible de trouver une logique aboutissant à un résultat différent de celui attendu.

Sachant que justement une des caractéristiques des "génies" est qu'ils raisonnent différement que la plupart des gens en employant des cheminements de pensées différents, la question se pose : lorsqu'on attend un certain raisonnement détourné et complexe en réponse à une question, et (ce qui est presque systématiquement le cas) qu'il existe un raisonnement tout aussi détourné et complexe qui parvient à une conclusion différente, dans ce cas quel résultat est plus légitime que l'autre?

Si on demandait une justification, même brève, pour chaque réponse, le test de QI y gagnerait déjà en crédibilité.

Le deuxième point que j'ai évoqué prête également à réflexion. Il est normal de limiter un tant soit peu les réponses dans le temps, mais la limitation est souvent excessive, surtout quand on sait que :

-pour les questions à raisonnement simple, rien n'indique que les "génies" mettront moins de temps à répondre que les autres, ils sont même plutôt pénalisés du fait qu'ils élaborent souvent des raisonnement plus "tordus" que la moyenne. -pour les questions difficiles, le facteur chance a beaucoup trop d'importance : chance de celui qui trouve le résultat tout de suite par rapport à celui qui va d'abord partir dans une autre direction (pas nécessairement moins pertinente), et ensuite chance de celui qui aura déjà vu un raisonnement similaire. -la gestion du temps n'est pas du tout liée à l'intelligence, de quelque point de vue que l'on se place (et surtout si le barème du test n'est pas donné à l'avance) : entre une personne qui passe 30 minutes à résoudre un problème très ardu qui vaut 10 points et une qui en termine 10 "abordables" à 2 points chacun pendant le même laps de temps, il est aisé de voir que la deuxième a mieux géré son temps, mais supposons maintenant que cette même personne soit incapable de résoudre le problème ardu, même en lui donnant une journée entière... Cela change la donne.

En bref la limite temporelle est venue se greffer tout naturellement au principe du "test d'intelligence" alors qu'elle demande vraiment réflexion.


Voila ce sont quelques questions que je pose, qui de mon point de vue contribuent à démontrer que le test de QI en général est une vaste farce, et qu'il est abbérant que ce test soit utilisé aussi fréquement et par autant d'institutions, et participe d'une définition répandue de la précocité ou surdouance. Je mets ces remarques en commentaire car elles n'ont nullement leur place dans l'article, mais j'espère que ceux qui le liront nuanceront leur lecture de cet article sur ce "test d'une certaine partie de l'intelligence", qui pourtant montre bel et bien de grandes failles, même en se plaçant dans la "partie de l'intelligence" en question. Il n'est même plus question de "logique arbitraire" mais de "logique totalitaire" quand au cadre de ce type de test.

(Je précise également que je n'ai aucune motivation personnelle à l'écriture de ce commentaire, et aucune frustration quelle qu'elle soit concernant les tests de QI, obtenant moi-même un excellent score à ces tests absurdes)

Le tout est de savoir ce que mesurent les tests de QI. Dans l'article il est écrit qu'ils mesurent "la compréhension de systèmes logiques prédéfinis". Ce dont vous parlez (résolution d'énigmes, QCM chronométrés) ce sont les systèmes logiques en question. Donc ces tests restent valides, mais bien sùr en aucun cas pour mesurer l'intelligence.
Ces tests ne valent pas plus qu'un contrôle de français ou de mathématiques autant pour la qualité des problèmes que pour la validité des résultats dans le temps (obtenir 120 à un test de QI ne vaut pas plus que d'obtenir 15/20 un jour à un contrôle de maths). Et on sait très bien que ceux qui s'entraînent pour ces tests peuvent augmenter leurs résultats.
Enfin, tant que des charlatans, des psys autoproclamés ou des parents vaniteux y trouveront leur interet, on a pas fini d'entendre parler de ces tests. 16 avril 2007 à 19:11 (CEST)~
on sait très bien que ceux qui s'entraînent pour ces tests peuvent augmenter leurs résultats : Euh, mais c'est vrai de tout, cela, voyons ! C'est valable également en éducation physique, en mathématiques, en français, et c'est fort heureux. On ne voit pas pourquoi le QI serait censé mesurer quelque chose d'inné et de non modifiable par le travail : cette présupposition n'existe nulle part dans sa définition, que je sache. 212.198.139.69 (d) 8 avril 2008 à 17:54 (CEST)

[modifier] Réaction: Polémique sur la validité et la portée des tests

En lisant les deux commentaires postés précèdement, il m'est venu à l'esprit que d'une part les chercheurs et ou les psychologues qui concoivent les tests de Q.I ne sont -indépendamment du fait qu'ils soient ou non des charlatans- vraisemblablement pas surdoués eux-mêmes(en tout cas, pas plus que le commun des mortels), ce qui peut expliquer pourquoi les tests peuvent pénaliser les surdoués dans la mesure ou certaines questions exigeront un mode de réflexion qui n'est pas celui du "vrai" surdoué mais celui que le chercheur ayant élaboré le dit test aura été en mesure de prévoir.

D'autre part, je peux comprendre que l'on s'offusque du fait qu'un outil d'évaluation imparfait soit employé par un grand nombre d'institutions et d'organismes, mais le test de QI n'est néamoins pas le seul à avoir de "grandes failles", des études statistiques pourraient tout a fait faire passer l'amiante pour un matériau quasiment innoffensif ou Sarkozy pour l'homme qui à lutté efficacement contre la délinquence... Mais pour en revenir à mon propos de départ, j'ai bien peur qu'il ne faille absoluement recourir à ces tests et ne pas les voir uniquement comme une "vaste farce" dans la mesure ou ils donnent tout de même une indication sur un certain nombre de performances intellectuelles et que mis à part le test du quotient emotionel, il n'y ait -du moins à ma connaissance- pas d'autres moyens d'évaluer ne serai-ce que partiellement l'intelligence et aussi tout simplement parce que affirmer que les tests ne sont pas adaptés aux "caractèristiques des génies", c'est admettre que les traits caractèristiques que l'on prête aux génies, leur correspondent réellement et que par conséquent la "définition répandue de la précocité ou surdouance" à laquelle participent les tests de QI, est la bonne.

Pour finir, quoi que l'on pense de la pertinance d'un test de Q.I et si l'on admet que "une des caractéristiques des "génies" est qu'ils raisonnent différement que la plupart des gens en employant des cheminements de pensées différents" et que par ailleurs, les méthodes "traditionnelles" d'enseignement (j'entends par la les anciennes comme les actuelles), n'ont pas étés prévues pour prendre en compte cette caractèristique récement découverte (Je l'ai évoqué précedement mais c'est, vraissemblablement aussi le cas des tests de Q.I), il semble logique qu'une partie des décrochages scolaires s'explique par cette inadaptation des méthodes d'enseignement aux jeunes surdoués, qu'il est alors urgent de les trouver pour les aider, et pour ce faire, je ne comprends pas bien on peut espèrer y parvenir si on renonce à faire des évaluations, aussi imparfaites soient-elles. je pense par contre que renoncer totalement à éssayer de "dépister" les surdoués parce que les tests seraient trop restrictifs ou bien pas assez fiables est un exellent moyen d'entretenir le fantasme d'une supra-intelligence non-humaine en taxant de charlatanisme toute tentative scientifique d'analyser ce phénomène et donc d'en conclure que les surdoués n'existent pas réelement, tant ils seraient rares et donc de ne prendre aucune meusure pour les aider.

[modifier] 'Génie' synonyme de 'Surdoué Intellectuel' ?

On peut lire dans la section Mises en cause du QI Que mesure-t-il ? Qu'est-ce que l'intelligence ? Qu'est-ce que l'intelligence ? [...] . Si quelques individus semblent supérieurement intelligents, géniaux, on est sûr que la société ...

Génie est-il synonyme de surdoué intellectuel ? Dans l'article, ce n'est pas clair. Un génie, c'est un créateur. Sans aucun doute très intelligent d'accord mais pas seulement. Ces gens sont surtout des visionnaires qui, par leur travail et leur passion, apportent quelque chose de fondamentalement nouveau à leur domaine. Je pense que c'est dommage de laisser possible dans cet article l'amalgame entre ces individus et ceux qui éffectuent certaines formes d'opérations mentales avec une aisance aussi peu commune soit-elle. (?) felipe 7 juillet 2007 à 16:15 (CEST)

[modifier] L'article

A la lumière des enjeux de son sujet (c.à d. trop souvent un marché juteux pour des "psychologues" dénués de scrupules) est un véritable fourre tout. Il paraît qu'il va y avoir une conférence de concensus sur le sujet du test qui permettra peut-être de dénoncer le scandale des utilisations falsificatrices de ce test. C'est simple, aux études, ceux qui se passionnaient pour ce test étaient les cancres ! (juste assez malins pour comprendre où était le chemin du tiroir caisse des parents...) Il suffit par exemple de lire 3 pages d'un livre de Jean Piaget ou encore de connaître l'histoire de ses idées pour se rendre compte à quel point la mesure de l'intelligence par l'unique test du QI est une escroquerie. Que font donc les fameuse asocciations de psychologues pour défendre et promouvoir leur code déontologie ? Léon99 (d) 16 janvier 2008 à 21:41 (CET)

[modifier] QI et Phrénologie

J'ai lu il y a longtemps qu'il y avait un lien historique entre ces deux disciplines (considérées comme scientifiques à l'époque) et qu'elles avaient été promues par les mêmes milieux. Je crois que ce point devrait être développé dans l'article, car il met en lumière les bases idéologiques des promoteurs de ces tests. 27 mars 2008 à 00:45 (CET)

Cela, c'est de l'insinuation, non des faits. 212.198.139.69 (d) 8 avril 2008 à 17:50 (CEST)

[modifier] Référence disparue

L'article citait autrefois un procès contre un pollueur où des statistiques sur le QI des enfants de la régin polluée faisaient apparaître une diminution en dix ans qui avait été utilisée pour faire condamner le pollueur. J'en cherche la référence. Quelqu'un sait-il où elle est passée ?

Je sais que "Le journal de la santé" en avait largement parlé à une époque, mais cela ne me donne pas le nom du pollueur, ni de l'agent polluant incriminé, ni le lieu et la date du procès.

Quel est l'intérêt exact de faire disparaître des références d'une encyclopédie ? 212.198.139.69 (d) 8 avril 2008 à 17:49 (CEST)

[modifier] Ajout d'un lien externe

Contribution mineure : j'ai ajouté un lien externe vers des explications sur les différents tests de QI Leidja 21 avr 2007 à 20:23 (HAE)

[modifier] Anecdote sur le Q.I. de George W. Bush

"Georges W. Bush aurait un QI de 91 [...]."

Je me permets d'enlever cette affirmation ; il s'agit en effet d'une intox qui remonte maintenant à 2001, comme on peut le constater en lisant cette page.

En ce qui concerne Madonna, le lien donné comme source ne vaut pas un kopeck : "91 pour George W. Bush, 140 pour Madonna, paraît-il."... Je ne suis pas en mesure d'infirmer en ce qui concerne Madonna, donc je ne supprime pas, mais une référence serait la bienvenue.

--SniperMaské (d) 30 avril 2008 à 00:12 (CEST)

[modifier] Q.I. de Goethe

Je serais favorable de virer le paragraphe sur l'étude de Catherine Morris Cox sur le QI de Goethe. En effet, la probabilité d'avoir un QI au moins égal à 210 est de 1 pour 8 000 millards (si vous voulez faire le calcul sous excel : 1/(1-LOI.NORMALE(210;100;15;VRAI)) ). Sachant qu'on estime à environ 80 milliards d'humains ayant vécus depuis l'origine, c'est très improbable ! [1]

Pierrelm (d) 4 juin 2008 à 22:19 (CEST)

Je suis très curieux de savoir où vous avez trouvé votre probabilité d'avoir un QI>210 de 1 pour 8000 milliards, encore plus curieux de savoir quelles satistiques de "psychologues" (ou coachs personnels, ou que sais-je) ont servi de base à ce calcul. Se baser sur du charlatanisme pour en faire ensuite des statistiques et des probabilités, on sait bien où ça mène.
Mais dans l'absolu, il est vrai que cette anecdote sur Goethe n'a pas grand interet, tout comme la majorité de l'article, il faudrait s'en tenir à une analyse scientifique et factuelle des thèses d'Alfred Binet et consor. 11 juin 2008 à 18:59 (CEST)
La formule qui permet d'arriver au chiffre de 8000 milliards est décrite sous excel ou OpenOffice.org Calc: 1/(1-LOI.NORMALE(210;100;15;VRAI). J'ai trouvé les paramètres 210 (QI de Goethe), 100 (QI moyen, Espérance d'une loi normale), 15 (écart type arbitraire du QI standard) dans ce même article. Ne connaissant pas votre niveau en mathématiques, je vous renvoie vers l'article Loi normale. Pierrelm (d) 11 juin 2008 à 20:49 (CEST)
Vous avez calculé une probabilité alors que les données ne sont ni fiables ni scientifiques. Et si on vous dit que le beauté moyenne d'un individu est de 100 au test de QB (Quotient de Beauté), et que Goethe était très beau avec un QB de 210, est-ce que vous allez aussi produire une probabilité sans même vous soucier de la validité de l'unité de mesure des QB pour mesurer la beauté ?
Produire des statistiques (puis en déduire des probabilités) à partir de choses non scientifiques, pardon, mais ça n'a aucun interet. Le point de QI ce n'est pas une unité scientifiquement reconnue, ce ne sont pas des secondes, des mètres, des kilos, ou des hertz.
On peut dire que Goethe avait un QI de 210 000 000, aucune probabilité ne pourra contredire cette affirmation puisque l'unité de mesure à la base n'est pas fiable. 11 juin 2008 à 23:12 (CEST)
Un test de QI est construit pour avoir certaines propriétés et mesurer quelquechose (l'intelligence, le facteur g, peu importe ici). La conclusion logique si on considère que ce n'est pas fiable, c'est de ne pas utiliser le QI du tout, pas d'utiliser arbitrairement un chiffre improbable au regard de la définition du QI, non ? GL (d) 11 juin 2008 à 23:31 (CEST)
Je suis d'accord. Mais de toute façon, je ne met pas en cause le calcul de probabilité de Pierre, son calcul est sùrement correct, mais il aurait aussi bien pù le faire à partir de statistiques sur la température moyenne de barbatrucs en Nouvelle-Zélande, et le calcul aurait été aussi bon. Tout ce que je veux dire c'est que produire des calculs à partir de thèses et de données peu fiables, ça peut donner l'impression de les valider scientifiquement. 11 juin 2008 à 23:44 (CEST)
J'ai beaucoup de mal à vous suivre, le but de mon calcul de probabilité était justement de démontrer que la valeur de QI de 210 pour notre ami Goethe était, à mon goût, très farfelue ! Les valeurs de 100 pour la moyenne et de 15 pour l'écart type sont les valeurs de base du calcul de QI. Pierrelm (d) 12 juin 2008 à 09:48 (CEST)
Ce n'est pas le fait que Goethe aurait un QI de 210 qui est farfelu, c'est l'unité de valeur du QI (et par extension le calcul de QI moyen) qui sont non fiables. 12 juin 2008 à 13:36 (CEST)