Wikipédia:Pastiches/Commerce Inique

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La notion de commerce inique (en anglais fuck the World) est née au début de la préhistoire. La filière inique ne garantit rien au producteur si ce n'est une vie de labeur et d'incertitude dans le meilleur des cas mais permet aux intermédiaires de s'en mettre plein les fouilles et à la grande distribution de dégager des marges hallucinantes. Son slogan est : « The more you have, the more you want » ( « Plus tu en as, plus tu en veux » ) - Prends l'oseille et tire-toi .

Le commerce inique concerne essentiellement les rapports commerciaux Nord-Sud. À l'heure actuelle, ce sont les produits agricoles et alimentaires transformés (chocolat, café, thé...) qui représentent la grande majorité des ventes. Toutefois, le commerce inique concerne également le trafic d'armes, le trafic de drogue, la prostitution et (mais de moins en moins) l'esclavage. Récemment, des débouchés intéressants apparaissent sur les médicaments de contrebande frelatés et le trafic d'organes.

Le commerce inique justifie son existence en citant La Fontaine : « La raison du plus fort est toujours la meilleure. »

[modifier] Apparition et évolution du commerce inique

De tout temps les hommes ont été des enfoirés. Et quand y'avait du blé à se faire, Homo Sapiens n'était pas le dernier à jouer de la massue pour accroître son avantage compétitif. Cela s'inscrirait dans le Volonté de puissance pensée par Nietzsche.

Le commerce inique trouve son apogée dans le commerce triangulaire. Cette période bénie de libre entreprise ouvre la voie à la notion de [[pillage global]], trop souvent déformé en [[village global]]. Comme si nos voisins (lointains devrait-on dire) étaient autres choses que des moutons qu'il faut tondre toujours plus ras.

Les robber barons appartiennent aussi aux figures mythiques.

Au XXe siècle, en perte de vitesse, le commerce inique a su se renouveler, notamment grâce à de grands penseurs qui ont mis leurs idées en pratique, comme Adolf Hitler en Allemagne de 1933 à 1945, qui a eu cette grande idée: financer l'oppression d'une grande partie de la population par une spoliation totale d'une petite partie de celle-ci, ce qui permet au système d'être à la fois stable, efficace et auto-finançant avant même la mise en vente des ses produits à l'état allemand, qui les utilise pour spolier les autres nations et ainsi rentrer dans ses fonds...

L'intervention américaine mettra prématurément fin à cette grande parenthèse de résurgence du commerce inique. Heureusement, ceux-ci reprennent le système à leur compte, par exemple lors du coup d'état du 11 septembre 1973 au Chili et des guerres du Golfe...

De nos jours, cette idée fort ancienne mais toujours promise à un grand avenir se matérialise à travers les vice funds